english kids (( sully ))

« C'est exactement ça. » Vous arrivez facilement à vous comprendre, c'est fou. C'est pour ça aussi que tu es aussi proche d'elle. Même d'un regard vous arrivez à vous comprendre. « Je ne vois pas de quoi tu parles, vraiment. » Évidemment, que tu sais ce qu'elle raconte. Tu fais simplement semblant de ne pas l'être. « Ce n'est pas le but de l'été ? » demandes-tu en hochant les sourcils. Tu as toujours su plaire aux femmes et tu aimes être un séducteur avec elles. C'est plus fort que toi. « Je m'en contre fiche si tu savais. Même devant les parents j'aurais le même discours que je tiens devant toi. » affirmas-tu. @maëlys carmichael

@Sully Carmichael tu connaissais ton frère par cœur. véritable don juan, il jouait de sa belle gueule et de sa plastique de rêves pour toutes les faire tomber sous son charme, et cela fonctionnait. depuis tout petit, il avait ce besoin de plaire et de rouler des mécaniques, ce qui te faisait toujours aussi sourire bien que ces techniques marchaient à la perfection. — le but de l'été est de baiser à tout va ? souris-tu. — nan peut-être pas quand même. j'dirai que mon but de l'été, qui m'est donc personnel, est de décompresser et de profiter sans pour autant être dans l'excès, lui dis-tu en te redressant sur le lit. — et toi, t'aurais bien besoin de calmer tes excès hormonaux, le taquinas-tu. — ouais et ils te diraient rien parce que tu es l'unique fils carmichael, le seul et unique sully, le grand et majestueux, déclaras-tu en prenant un air théâtral. — crois-moi que si t'étais né avec un vagin entre les jambes, t'aurais bien moins de liberté avec nos darons, assuras-tu d'une grimace. la preuve, tu n'estimais pas être libre de tes mouvements.

Ça serait un crime mondial si tu ne venais pas à jouer de ton charme. Tu sais que tu plais, alors autant le mettre à profit. Ta belle gueule, tes abdos, son sourire ravageur, il n'y a rien de tel pour faire succomber une femme. Cela commençait déjà à ton adolescence. " Exactement, c'est la définition parfaite. " répliques-tu tout sourire. " Si tu n'es pas dans l'excès l'été c'est un crime. Déjà que toute l'année on doit être exemplaire, l'été est là justement pour briser tout ça. " C'est ton point de vue, même si tu respectes celui de ta sœur sans souci. " laisse mes hormones tranquilles stp. " Ils sont très bien là où ils se trouvent. " Pour une fois que tu me mets dans la sauce, je te remercie grandement Maëlys. " Tu sais que tu es privilégié d'être le seul fils. Tu peux absolument tout faire, tes parents ne t'en tiennent pas rigueur. Comparé à tes deux soeurs qui sont obligées de se montrer parfaites pour ne pas ternir la famille. " Je le sais bien. D'ailleurs je t'admire pour tout ça. " C'était la stricte vérité. Une vérité que tu n'as jamais dit à Maëlys jusqu'à présent. @maëlys carmichael

« Oui je fais le charo que l'été, c'est à ce moment-là qu'il y a plus de proie et de nouvelles expériences pour moi. Après le reste de l'année, ça ne m'empêche pas de coucher avec des femmes. Mais, c'est différent. » avouas-tu en haussant les épaules. Si elle ne veut pas te croire, tu t'en fiches un peu. Tu sais ce que tu fais et quand tu le fais, c'est le plus important non ? Le fait que ta soeur te qualifie comme le chouchou de la famille ne te plait pas tant que ça. Tu n'as jamais voulu avoir cette place surtout avec les conneries que tu ne cesses de faire. Tu n'as jamais compris pourquoi vos parents te chéri autant. « Tu es un exemple pour moi Maëlys. » soufflas-tu avant de reprendre. « Parce que tu as le courage de leur tenir tête, de dire ce que tu penses aux parents sans te préoccuper des représailles. Je n'ai jamais eu cette force en moi pour le faire. » Tu n'as jamais osé lever la voix sur tes parents pour te faire entendre. Tu as toujours accepté leurs décisions te concernant sans te rebeller. @maëlys carmichael

" ouais. je les vois ainsi. " C'est bien un discours de gros charo. Sauf, que tu assumes tes mots ainsi que tes agissements. " sinon quoi ? " Tu veux savoir la suite de sa phrase. Tu aimerais bien entendre la fin de sa pensée. " t'inquiète pas pour moi, je vais profiter comme jamais. " C'était déjà dans ton programme de profiter. Du moins, jusqu'à que Rhéa débarque au summer camp. Ensuite, tu resteras uniquement disponible pour elle jusqu'à son départ. " tu me connais Maëlys. je fais toujours les choses bien. " Tu as toujours dit ce que tu désirais aux femmes avant de faire quoique ce soit. Jusqu'à présent, tout le monde trouve son compte ce qui te convient parfaitement. Puis arrive le moment où tu fais une déclaration à ta soeur. Tu n'es pas quelqu'un qui dit ce qu'il pense ni même ressent et Maëlys pareillement. Pourtant, tu te devais de le faire là. " absolument pas. je m'en voudrais si je venais à le faire. " soufflas-tu en refermant le livre qui se trouve sur tes genoux avant de le poser sur le bureau. " je te soutiendrais toujours Maëlys, c'est ça que tu ne le sais pas. Je serai toujours présent pour toi. " réponds-tu. " putain enfin. " déclares-tu en éclatant de rire. Tu serres ta soeur dans tes bras, tu préfères détendre l'atmosphère. @maëlys carmichael

@Sully Carmichael — sinon je t'aurai castré, plaisantas-tu en prenant une mine faussement sérieuse. tu détestais les garçons qui parlaient comme sully le faisait mais tu le connaissais bien. tu savais que c'était un bon gars. charo sur les bords avec la gente féminine mais toujours respectueux, ce qui était peu commun désormais. — et t'es sûr à cent pour cent que t'as personne en particulier dans le viseur ? même pas une crush d'été ? insistas-tu d'un sourire. t'étais le genre de sœur à vouloir le bonheur de son frère, alors tu cherchais coûte que coûte à le caser, en vain. ses dernières paroles te surprirent quelque peu. avec sully, vous vous aimiez passionnément mais vous ne vous faisiez jamais de telles déclarations. t'étais quelque peu déstabilisée, sentant que les larmes te montaient aux yeux. tu pris ton frère dans les bras, esquissant un sourire d'émotions. — t'es le meilleur, vraiment, soufflas-tu en te redressant quelque peu. — bon, après cette séquence émotion, j'vais retourner réviser à l'appart moi, soupiras-tu d'un air peu motivé, récupérant ton sac à main qui traînait par terre. — on essaye de se voir après les examens ? lui demandas-tu, passant la hanse de ton sac autour de ton épaule.