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TARDIS

C'est plus grand à l'interieur




« Moi non plus ! Maintenant que tu le dis… T’as bien l’air d’un Irlandais toi aussi au fond en fait ! »



Je me suis mis a sourire, je commence a plus ressemblait a un Irlandais? Cela me paraissait une bonne chose, moi qui veut abandonner ma vie làbas, enfin c'était bien partit. Bizarre je sentais une tension après l'épisode du mouchoir. J'alla nous chercher a boire et puis soudain je l'entendis m'apeller: « Rory. » Je me retourna un sourire aux lèvres avec ses deux canettes dans la mains j'en posa une sur la table et en decapsulant l'autre j'entendis un surnom... Un surnom que ca fait bien longtemps que je ne l'ai pas entendu... « Ou plutôt, Elwyn. Elwyn… Elwyn le Centurion ? » Je resta sur le cul, ma canette glissa entre les doigts... Deux personnes m'apelle comme ça, Marie biensur mon amour quand j'étais jeune et Lazarus mon Oncle quand je lui ai raconté que ma petite amie m'apeller comme ça, il avait tellement adoré qu'il décida alors de m'apeller comme ça. Ma canette se fracassa a terre... Je suis resté un peu tétanisé...: « Co...Comment? » Je ne comprenais rien... Comment Charlie pouvait connaitre ce surnom, son regard était fixant me donnant froid dans le dos... « Comment connais tu ce surnom... Peut de gens m'apelle... Comme...ça... » Soudain une illumination, je me mis a courir dans le hangar a la recherche d'un meuble ou mes toiles était entreposer, je fouilla a l'interieur, trouvant une toile. La toile que j'ai faite aux beaux arts et qu'il était hors de question que je la vende. Je la sortis regardant la toile... Deux personne de profil le front coller, on sentait l'amour entre les deux personnes. La fille était une rousse au cheveux onduler au regard de biche, l'autre était un jeune homme les cheveux friser et chatain... Le sourire d'un con bien entendu... Le garçon c'était moi quand j'avais 15 ans. Marie celle qui etait representer par la rousse en avait 13 a l'époque... La peinture était tiré d'une photos, l'une des seules que j'ai pris avec moi quand je suis partie... La photo était agrapher dans un coin de la toile, pour que jamais que j'oublie que ma vie a Dublin n'était pas qu'un enfer ! Je m'approcha de Charlie en retournant la toile vers elle, je savais... Je savais qu'au fond de moi, que la fille devant moi... Etait la fille que j'ai attendu 2000 ans non que j'ai attendu 7 ans... Je lui dit alors: « Marie... »




    notes:ON VA TOUT PETER !!!!!

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RORY LE ROMAIN & CHARLIE LA ROUSSE




D’accord.

C’était lui.

C’était vraiment lui.

Elle tourna lentement – plongée dans une torpeur nauséeuse – sa tête vers la toile que Rory – Elwyn – regardait à côté d’elle. Elle s’y vit. Elle l’y vit. Et deux fois, même. Un dessin qui exposait la saveur d’anciennes émotions. Une photographie qui démontrait le vérité de ce réel tranchant. C’était elle et lui, jeunes. Quand Charlie tourna sa tête vers Rory alors qu’il l’appelait – mais pas par son prénom ou son surnom, non, par l’autre, le murmuré, le secret, Mary, celui que sa mère seule utilisait et uniquement Dieu savait pourquoi, et que Elwyn, pour quelque obscure raison, ou peut-être par goût, elle n’en avait jamais rien su, n’avait jamais osé lui demander, avait récupéré également, dans une pincée de folie – alors qu’il l’appelait Mary donc, elle tourna sa tête vers lui.
Son émoi d’adolescente, sa peur de fillette et son assurance de jeune femme s’emmêlaient dans son corps. Ce n’était même pas un combat. C’était quelque chose de beaucoup plus vicieux, une remontée lente qui cherchait à la posséder sournoisement en s’infiltrant çà et là en elle. Violet ne savait comment réagir. Elle était confuse. C’est-à-dire qu’elle ne savait pas si elle devait se mettre à pleurer, sauter dans les bras de Rory, éclater de rire, taper du pied ou des mains, faire le tour de la salle en courant, crier, se passer la main dans les cheveux, lui prendre les mains, lui mettre une tape dans le dos, hurler à s’en époum (…) ou bouger.

Ce furent ses lèvres qui se murent, rictus doux qui passa quelques secondes sur son visage puis prit son envol pendant que ses yeux s’abaissaient furtivement.
Rory. Elwyn.

« Hello. »* finit-elle par murmurer.

Un souffle amusé passa ses lèvres puis elle observa… Son ex petit-ami ? Oh, damned. Qu’est-ce que c’était étrange de dire ça. Elle n’était pas sûre que cela lui convienne mais elle ne voyait pas d’autre façon de l’appeler non plus.
Il avait changé depuis l’Irlande. Elle ne s’étonnait pas de ne pas l’avoir reconnu. Adolescent, son visage était moins… Moins grave ? Ou au contraire moins épanoui ? Elle ne saurait trop dire. Quelque chose indiquait en tout cas que des années étaient passées et qu’il avait fait son chemin. Et puis, il était tatoué… Et il ne l’était pas encore en Irlande, si ? Peut-être. Peut-être qu’elle avait si bien fait son travail d’oubli qu’elle en avait éludé ce détail. Mais il avait changé, c’était évident. Cependant, en comparant la photographie et le Elwyn d’aujourd’hui, quelque chose persistait entre le deux et peut-être, si elle y avait pensé, aurait-elle deviné toute seule au bout d’un certain temps.

À force de l’observer, ses souvenirs revenaient. Et elle sentait que des larmes finiraient par lui venir si elle continuait, alors plutôt que de pleurer, Charlie préféra émettre un rire embarrassé, détournant le regard puis le portant vers le portrait d’eux qu’avait fait Rory. Elle ne l’avait jamais vu – quand l’avait-il donc fait ? Plus tard, après l’Irlande ? Non, quand même pas… Il n’avait pas dû le lui montrer à l’époque. – mais se souvenait de la photo’. Qui l’avait prise cependant ? Son frère ? Non, il n’aurait pas cautionné une niaiserie pareille, si ? Quoiqu’il en soit, revoir ça là, maintenant… Charlie sentit des frissons la traverser.

« Tu as vraiment… Tu as vraiment toujours eu un don pour la peinture. » souffla-t-elle, une de ces phrases inopinées qui arrivent dans ces situations d'entre-deux ; passant légèrement ses doigts sur les contours de leurs deux corps représentés puis adressant un coup d’œil à l’ex-Lowell, émue par cette toile.

Elle voulut ajouter quelque chose, elle ouvrit la bouche. Et puis la referma. Charlie détestait être prise au dépourvu de la sorte. D’ordinaire elle avait toujours quelque chose à dire. Mais cette fois, l’émotion la paralysait. Elle était transie d’émotions, vous y croyez, vous ? Et son corps ne cessait de vouloir trembler, et son cœur de se faire sentir, cognant contre sa poitrine – mais arrête, arrête, calme toi donc bon sang, ça fait mal ! – et ses yeux totalement perdus.



    Notes : *Cette manie de faire des références à DW. 8D Non mais j'ai pas pu m'empêcher de penser à la reconnaissance Eleven/Song. Welcome to my TARDIS  - Page 2 3850463188
FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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C'est plus grand à l'interieur




J'avais cette chanson dans ma tête...Cette chanson que j'entendais quand j'étais plus jeune... Cette chanson que j'avais imaginer lors d'un rêve, cette chanson qui me faisait penser à elle ! Cette voix qui chantais tel une sirène venant de la grece antique. Je pensais a chaque fois a cette chevelure rousse et dense que possède Charlie... Marie... Violet? Enfin je savais même plus comment lui parler... Le Centurion... Voila qui j'étais avant, celui qui ne perdait pas son sang froid face au petit con de Dublin. Celui qui n'avait pas peur aux yeux. Celui qui pouvait sauter dans l'ocean en plein hiver... Celui qui a gravit des sommets pour avouer son amour... Celui qui a defoncer la gueule de plusieurs pour proteger l'honneur de sa famille... Rory le Centurion comme m'apellait la jeune fille... J'eu un sourire tout ses souvenir qui revenait dans ma tête comme des coups de poignard lancé au hasard dans le vide... Quand j'entendis de sa part:

« Tu as vraiment… Tu as vraiment toujours eu un don pour la peinture. »

Ses phrases, ce visage... Comment ai je pu bonsang. Je me deteste! Comment j'ai pu oublier son visage. Le visage de Charlie represente tout! J'ai tellement griphonner son visage pour ne pas l'oublier.... Je l'aimais tellement que j'en avais marquer les mur de ma chambre a paris de son visage, Charlie était ma premiere muse... Celle qui m'inspira mes toiles, mon book pour rentrer aux beaux-arts tout ca ce fut grace a elle... Son visage s'illuminait face à moi j'eu un sourire en lui disant:

« Comment j'ai pu... Comment j'ai pu oublier ton visage... Je te remercie... »

Mes yeux commencais a ce vitrifier surement couler des larmes dans peu de temps, je me lanca la prenant dans mes bras nichant posant ma tête sur la sienne comme quoi j'étais toujours aussi grand et je lui dit: « Je suis surpris... Mais heureux de te revoir... » Un grand sourire sur mes lèvres et des larmes de joies coulèrent comme si cela faisait 2000 ans que je ne l'avais pas vu tellement de choses c'était passer dans ma vie et surement dans la sienne... C'était tellement bien.






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RORY LE ROMAIN & CHARLIE LA ROUSSE



 

Sa gorge s’était bloquée, elle empêchait Charlie d’exprimer quoique ce soit, contenant à l’intérieur ses émotions. Ce n’était pas différent de ce qu’il se produisait d’ordinaire, en définitive. Oh bien sûr, tout le monde serait choqué à cette idée : Charlie Lestwood, contenir ses émotions ?! Car ce qu’ils ignoraient, tous, c’est que dès qu’il s’agissait de pleurs et de peurs, de souvenirs et de secrets, et, disons-le avec toute la pudeur et l’angoisse et la honte qui enserrent son cœur, d’affinités et d’amour – n’importe lequel, n’importe qui, mais amour –  Charlie n’était plus exubérante. Elle nourrissait son for intérieur de tous ces ressentis et émotions – sentiments intenses et petits dans le même temps car elle les éprouvait dans une étrange pudeur, des billes qui exploseraient délicatement les unes après les autres dans tout son corps, diffusant leur saveur progressivement mais laissant des traînées brûlées – et avait trop honte – oui, honte – pour les dévoiler à la lumière du soleil comme elle le faisait pour la joie. Ainsi, aucune surprise à sa gorge bloquée en cet instant. Elle n’aurait su que dire d’intelligent, se serait ridiculisée – se ridiculiserait, fatalement, un moment ou un autre dans une telle situation, mais elle voulait l’ignorer, retarder cette échéance.

Qu’est-ce que Rory – Elwyn – le Centurion – son Centurion – allait répondre à une telle absurdité ? Celle-là même que sa bouche avait propulsé dans l’air avant de se paralyser, consciente de sa sottise. Mais il semblait aussi perturbé qu’elle et son regard reflétait ses songes. Sans parler de stupide histoire de connexion, d’âmes liées ou de quelque autre blabla niais de ce genre dont il n’est absolument pas question, Charlie voyait sur le visage de Rory qu’il se souvenait, lui aussi. Ses yeux étaient trop hagards pour le cacher. Elle-même se laissait prendre dans ce tourbillon d’infernales réminiscences. La légèreté qui la prenait une fois qu’elle était avec lui. Tout ce poids oppressant caractéristique de la maison Lestwood – mais aussi, dans un élan contraire et vif, ce vide – que la présence d’Elwyn balayait d’un regard, d’un sourire, un geste – même un geste de rien. Et toutes ces vagues de souvenirs ne faisaient que nouer de plus en plus son corps, le serrer, le comprimer, l’étouffer. Elle avait chaud. Et il lui semblait que son cœur battait de peur. N’aurait su dire cependant si c’en était – mais il battait et ce n’était pas de vie.

La phrase du peintre ne fit que rajouter à sa confusion. Ses premiers mots la touchèrent, la seconde partie de sa réplique la troubla. La remercier ? De quoi la remerciait-il ? Qu’avait-elle fait ? Mais avait-elle besoin de se poser cette question ? Après tout Charlie, souviens-toi. Elle aussi aurait pu le remercier. Sans lui elle ne se serait pas ouverte au monde de la façon dont elle l’avait fait – elle aurait fini folle, réellement folle, oui folle, absolument folle, folle, folle et re-folle, pas comme sa mère non, une folie, une vraie. Des mots allaient franchir ses lèvres – vraiment, l’auraient-ils fait ou n’était-ce pas un mirage ? – cependant son regard capta celui qui tant d’années avait été son centurion (et même plus tard, bien plus tard, au creux de la réalité éprouvée enfin, sortie de son Irlande chimérique) et tandis qu’elle essayait de comprendre ce que les yeux du garçon trahissaient, elle fut prise d’un violent assaut – c’était son cœur qui la battait, à renfort d’un seul et unique bond extrême qui avait électrisé le reste de ses membres. Elle était dans ses bras. Il l’avait prise dans ses bras. Que s’était-il donc passé ? Elle retint son souffle, il parla. Il la touchait sans qu’elle ne sache quoi faire – combien de siècles s’étaient écoulés depuis qu’elle n’avait été dans les bras de quelqu’un qu’elle aimait ? Charlie pensait : Il va me venir un hoquet. – Ou plutôt non, elle ne pensait pas, son regard était fixé sur le mur en face, c’était son corps en vérité qui réfléchissait. Mais Rory lui avait sa tête contre la sienne, et il pleurait.

Pétrifiée tout ce temps, enfin ses dents mordirent sa lèvre inférieure. Ce picotement fit baisser ses yeux qui, légèrement, allèrent regarder dans le coin de l’œil – ce coin mystérieux où on ne va pas souvent voir – et ils y trouvèrent les cheveux de Rory (puis sa tête), posés là contre ce corps auquel ils appartenaient. Alors Charlie eut un petit rire, un rire nerveux, provoqué non par l’esprit mais par le corps – comme il arrive à la moelle épinière de pincer quelques instruments corporels nichés dans les vertèbres. Elle tenta d’ouvrir sa bouche mais celle-ci ne fit que se déformer en mimiques grossières. Finalement, ce furent ses bras qui parvinrent à trouver une vérité dans cet instant flottant – un peu en marge des réalités, un point figé et fixe dans leur temporalité. Ils se serrèrent à leur tour autour de Rory et Violet eut un sourire avant d’oser appuyer sa tête contre lui.

«  Merci à toi. » chuchota-t-elle. «  Et puis… La prochaine fois que tu te tatoues… Préviens-moi. La prochaine fois que tu grandis aussi. Et puis à ta prochaine nouvelle vie et ton prochain changement de visage. Histoire que je te reconnaisse un peu plus vite que ça. Et que je me prépare mentalement. Parce que là, je suis un peu lamentable tu vois. » déclama-t-elle au final, la gorge de nouveau libre, des bêtises lui venant, niaiseries pour rire qui accompagnaient les grandissant sourires sur son visage.

Rory Elwyn McGillian était là, bel et bien là – non, mieux, dans ses bras, il l’avait prise dans ses bras, lui, pas elle, lui, spontanément, lui. Et elle ne savait plus ce qu’elle devait penser, ni même ce qu’elle pensait tout court, et elle savait qu’en elle tourbillonnaient l’angoisse et l’euphorie mais son souffle se calait sur les pleurs allègres du Centurion – oh combien de temps donc s’étaient-ils écoulés ? se demanda-t-elle de nouveau, vous répéta-t-elle, vous interrogeant, et pourquoi pas de réponse ? – et elle n’était plus folle ou enfant, elle était transie d’émotions. Elle ne savait plus qui elle était, se confondaient l'amoureuse (un peu trop jeune murmuraient les mauvaises langues pour aimer si fort, mais elle les regardait et ses yeux ne trompaient pas, et, mieux, elle leur déclamait que l'amour, ce n'était pas cette chose codée, ordonnée et réglée à laquelle ils croyaient, mais un élan, un empressement, une impulsion, ardeur folle et vive, rapide, mais aussi douce et c'était bien cette douceur et son intensité qu'ils ne comprenaient pas et qui leur faisait peur), cette vieille figure fantôme de son passé (lointain, croyait-elle – si proche au fond) et l'ombre de l'étudiante, si vive, si vivante, si espiègle, détachée et débridée (si fausse, accuse la vieille amoureuse, cette idiote qui fait mal).





    Notes : TAAAAAUÏOOOOOOT !
    Et... Euh... J'esère que tu vas pas me prendre pour une folle mais non c'est pas déjà fait ! après ce que j'ai écrit. Welcome to my TARDIS  - Page 2 749226586 J'ai recommencé à écrire à côté des RPs du coup je fais des trucs bizarres dans mes phrases. Welcome to my TARDIS  - Page 2 2157042859

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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