(fitzchael) on débranche, plus rien de censé (tw)

@Sully Carmichael Samedi soir, sortie en boite avec une copine, tu profites de ton jour de repos en gardant tout de même ton téléphone sous le coude. Oui car s'il y a bien quelque chose que tu sais pas faire, c'est décrocher. Toujours en sonnerie, même lorsque tu n'es pas cessé travailler, et t'as bien fait de le laisser ainsi car tu soupires doucement en voyant un message de ton boss. Un client veut un Champagne assez rare et a demande à ce que ce soit toi spécifiquement qui gère le service. "j'espère que c'est pas le vieux Williams, il va encore essayer de me parler pendant des heures et je suis claquée." tu lances en riant à ta copine qui se trouve aussi être une collègue. Elle te dépose devant le bureau avec son taxi et après une dernière bise tu entres dans le bâtiment, tapant le code de l'alarme du bureau puis le code de l'arrière bureau où se trouve quelques stocks de produits rares. T'attrapes une bouteille du Champagne, réactive l'alarme en sortant et te commandes un nouveau taxi car t'as trop bu pour conduire. T'indiques l'adresse sans forcement la reconnaitre car l'alcool a commencé à faire le chemin dans tes veines. Lorsque trajet terminé, tu grimpes dans l'ascenseur du bâtiment jusqu'arriver devant la bonne porte. Tu toques et t'annonces doucement derrière la porte comme à ton habitude "bonsoir c'est Rhéa de Concierge Prestige, je viens vous déposer votre commande." La porte s'ouvre et tu reste une seconde bouche bée devant l'homme pas très habillé qui t'ouvre la porte "oh Sullivan, salut."

@Rhéa Fitzsimmons Un samedi soir comme tu en vois très peu. Généralement, tu es de sortir avec tes amis pour faire des conneries où même boire un verre. Rien de bien alléchant en soi. Pourtant, celui-là est différent. Tu es cloîtré dans ton duplex a zappé les profils sur meets tout en regardant une série qui n'a aucun intérêt. D'un coup, tu as une faim de loup. Tu jettes ton téléphone à côté de toi pour te lever et rejoindre l'immense cuisine. Tu te prépares rapidement des macs and cheese. L'un de tes plats préférés sur terre. Tu manges rapidement en cause de ta faim soudaine. Tu te replonges dans ton téléphone lorsqu'une folle envie te prend de nouveau. Envie de champagne à deux heures du matin. Tu connais parfaitement les services de la conciergerie Prestige. Tu envoies une demande sur l'application en précisant que tu désires particulièrement que ce soit Rhéa Fitzsimmons qui te livre. Cela fait une petite semaine que tu ne l'as pas vu. Même si tu n'assumes pas d'être vu avec elle, étant donné qu'elle n'est pas de ton monde. Tu ne cesses d'être attiré par tout son être. Toujours les fesses sur ton canapé avec le téléphone en main, tu poursuis les profils lorsque la sonnerie de ton duplex résonne. Vêtu d'un simple short qui cache ta partie génitale, tu restes derrière la porte en silence tout en écoutant Rhéa se présentait. Avec un sourire sur les commissures de tes lèvres, tu ouvres la porte d'une seule traite. « Bonsoir Rhéa. » Simple et efficace. Tu te déplaces sur le côté pour pouvoir lui laisser un passage pour qu'elle puisse pénétrer à l'intérieur. « Je te laisse déposer la bouteille sur le comptoir de la cuisine. »

@Sully Carmichael C'est clairement pas la première fois que tu dois travailler pour lui au beau milieu de la nuit mais… c'est étrange, ce soir tu t'attendais à tout sauf à ça. Tu t'es éclatée en boite, t'as oublié tout le reste, t'as profité, t'aurais même été capable de rentrer chez toi avec un sombre inconnu sans même un seule pensée pour l'étudiant d'Harvard avant plusieurs jours. Pourtant maintenant que t'es là devant lui sur le pas de sa porte, toutes tes pensées vont vers lui comme si c'était la chose la plus naturelle et logique à faire. C'est étrange, ça te perturbe. Le fait qu'il soit à moitié nu, son sourire narquois, sa voix suave… T'as la tête qui tourne encore, cette fois plus à cause de l'alcool. Tu soupires doucement avant de t'exécuter, passer devant lui pour aller déposer la bouteille sur le comptoir. Tu sais où aller, tu devrais pas mais t'es déjà venue là, beaucoup plus de fois que prévu d'ailleurs… Tu te retournes et au lieu de sortir, tu viens croiser tes bras devant ta poitrine et froncer doucement les sourcils "si tu voulais me voir, il suffisait de le demander plutôt que de m'envoyer au bureau chercher cette bouteille, oh et tu me dois une course de taxi d'ailleurs." Jamais de ta vie avec un autre client tu te serais permis de dire ça, mais tu le fais car t'aimes le piquer, tu le fais car c'est lui.

@Rhéa Fitzsimmons Tu as beau savoir qu'il ne faut pas que tu traînes avec cette demoiselle. Tu ne cesses de lui réclamer des services. Elle ne fait pas partie de ton monde, impossible pour toi d'être vu avec elle à ton bras. Pourtant, tu es attiré par elle comme un aimant. Tu n'arrives pas à décrire cette attraction pour ce bout de femme. C'est plus fort que toi. Tu as des folies en pleine nuit, tu réclames uniquement ces services. Tout simplement, parce que tu sais qu'elle ne refuse ja-mais. Tu aurais dû t'habiller un peu plus pour l'accueillir. Tu ne le fais pas, parce que tu sais que ça lui fera un petit effet. Tu lui demandes de poser la bouteille sur le comptoir de la cuisine. Elle connait le chemin par cœur, tu n'as pas besoin de lui montrer. Tu te contentes de refermer la porte derrière elle sans oublier de regarder son joli fessier qui se dandine devant tes yeux. Un spectacle de toute beauté sous tes yeux. Impossible pour toi de regarder ailleurs. Comme n'importe quel homme dans ta situation. « Tu crois que j'ai fait tout ça pour te voir ? » Tu viens à ricaner sous ses yeux. Tu t'en fiches de t'attirer les foudres de la demoiselle. Au contraire, ça met du piment dans la situation. « J'avais simplement envie de champagne. Puis tu ne refuses jamais un service. Il n'y a personne d'autre n'aurait eu envie de me ramener la bouteille. » rétorques-tu avec un sourire aux creux de tes lèvres. Comme-ci tu étais fier de ta connerie de la soirée. « Je te paie la course de taxi uniquement si tu me fais un massage du dos. Hier, je me suis fait mal au sport à plusieurs endroits. » Tu t'approches d'elle pour déposer ton doigt sur son dos. Tu lui montres les endroits où tu as mal. Néanmoins, pour lui montrer les points de douleur, tu laisses ton doigt glissé le long de sa colonne vertébrale. C'est un moyen pour lui filer des frissons, d'allumer une étincelle. En espérant que cela se termine en un feu d'artifice d'ici quelques heures.

@Sully Carmichael Vous savez, cette sensation qu'on peut avoir lorsqu'on sent un regard posé ou même plutôt fixé sur vous ? C'est ce que tu ressens à cet instant, mais plutôt que de te retourner en faisant les gros yeux, t'en joue. Tu te tiens droite, remontes une paume sur ta taille avant de te retourner vers lui. "oui c'est ce que je crois." T'as pas honte de le dire, t'as pas honte de l'admettre et t'espères juste que lui aussi osera le faire. "si tu n'avais pas demandé mon nom spécifiquement, ça aurait été l'un de mes collègues qui serait venu te déposer dans la bouteille, tu lui aurais alors ouvert dans la même tenue ?" Tu le regardes de haut en bas sans scrupules et sans aucune discrétion, laissant même ton regard s'attarder sur son short avant de remonter sur son visage. Il s'approche, l'une de ses mains passe dans ton dos, tu le laisses faire, gardant le silence et frissonnant lorsque son geste devient une caresse. "j'suis pas masseuse…" tu lances entre deux loupés de respiration à cause de toute cette proximité. Bon d'accord t'es pas masseuse, mais t'es pas non plus censé déposer tes mains sur lui, sur son torse comme tu peux pas t'empêcher de le faire alors.

@Rhéa Fitzsimmons Tu ne peux t'empêcher de poser ton regard sur elle. C'est comme-ci vous mettez un enfant devant un bonbon et que vous lui demandez de ne pas manger. Tu ressens la même chose à l'heure actuelle. Elle est séduisante dans sa petite robe qui met en valeur ses courbes généreuses. « Tu peux croire ce que tu veux, je m'en fiche. » Tu n'as jamais eu honte de dire ce que tu pensais à Rhéa. Même si ça peut blesser, tu t'en contres fiches. Tu es comme ça, on t'accepte ainsi ou non. « À vrai dire, j'ai oublié que j'avais demandé un service sur l'application. Sinon, je me serai habillé plus convenablement. » Elle peut croire l'inverse, c'est la vérité. Tu te serais mise sur ton trente-et-un si tu t'en rappelais de ce service. Parce que ça fait un peu con d'être en simple short alors, que tu réclames une bouteille de champagne. Ta main devient une caresse sur son dos quand tu lui demandes un massage. Tu ne réclames pas la montagne, un massage. Ce n'est pas grand-chose pour toi. « Fais un effort ! » Elle ne veut pas, pourtant ses mains viennent retrouver le contact de ta peau, à ta grande surprise. « Allez cinq minutes, ensuite je te laisse. Sinon j'appelle ton patron pour dire que le service était déplorable. » Tu mets la pression sur Rhéa pour qu'elle accepte. Mais, si d'ici deux minutes elle ne prend pas les choses en main. Tu risques de le faire sans plus attendre.

@Sully Carmichael C'est toujours un rapport de force entre vous car, déjà, la relation que vous entretenez ensemble n'est qu'un sujet conflictuel de base. Lui qui ne veut pas que son entourage et ses potes savent qu'il se tapent une "roturière", toi qui n'a pas envie de perdre ton travail si ça se sait que tu te fais un client. Alors vous vous repoussez autant que possible, et parfois lorsque vous craquez, vous vous détestez encore plus pour ça… C'est pas très sein comme relation mais t'y peux rien, tu contrôles rien. Il fait sa tête de mule et tu roules des yeux au ciel, ouvres la bouche pour retorquer mais pas le temps car son geste te fait déjà perdre la tête. "ok juste cinq minutes et que si tu promets d'arrêter de me menacer." tu finis par céder en lui offrant un regard noir. Tu retires ta veste et ton sac pour les laisser sur le dossier d'un canapé, te retrouves en petite robe sombre, celle que t'avais enfilé pour aller en boite avec ta collègue. Tu retires tes talons et prends la direction de sa salle de bain pour chercher l'huile de massage. T'es pas surprise de le retrouver dans sa chambre à côté, le détaille encore une fois du regard avant de lui ordonner "allonge-toi sur le ventre." Tu remontes le bas de ta robe au haut de tes cuisses pour pas être gênée lorsque tu grimpes sur le matelas et vas t'asseoir sur le haut de ses fesses. Les mains enduites d'huile tu commences à appuyer doucement sur les endroits qu'il t'avait indiquer pour essayer d'y refaire les nœuds. "ça va je ne te fais pas trop mal ?"

@Rhéa Fitzsimmons C'est un peu 'fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis' entre vous. Il n'y a aucun de vous deux qui assume cette relation. Toi uniquement pour le regard des autres sur toi au vu de ton statut social. Elle en cause de son travail et le fait qu'elle ne veuille pas appartenir à un seul homme. Dans un sens, tu comprends parfaitement la jeune femme. Tu ne veux pas te contenter d'une seule femme. De faire des changements c'est plaisant. Ça te permet de voir autre chose, de ne pas tomber dans cette routine ennuyeuse. Dans quelques heures, tu vas te maudire d'avoir craqué avec elle et inversement. Pourtant, tu ne peux le contrôler. Dès que tu trouves face à Rhéa, tu es faible. « Non c'est tellement plaisant de voir que tu peux céder facilement sous les menaces. » Tu ne risques pas d'arrêter aussitôt. Maintenant que tu as trouvé une faille, tu continueras de l'utiliser. Lorsqu'elle te sort un regard noir, tu viens à ressentir une forte émotion en toi. De l'excitation. Tu rejoins ta chambre pendant que Rhéa va récupérer l'huile de massage dans la salle de bain. Elle te donne un ordre que tu exécutes immédiatement. Le ton autoritaire de Rhéa donne du plaisir. Pleins d'idées te traverse l'esprit tandis qu'elle s'installe sur le haut de tes fesses. « Non. On dirait un massage d'un enfant de cinq ans. Tu peux mettre plus de force. » Bordel, tu pars en couille Sully. Tu deviens même maso sur l'instant. Cinq minutes s'écroule sur le massage quand soudain tu te retournes brutalement. Rhéa se retrouve le dos contre le matelas, pendant que tu grimpes sur elle. Un retournement de situation qu'elle ne s'attendait pas à voir probablement. « Tu as encore un service à rendre ce soir ? »

@Sully Carmichael Maintenant que t'es là, la robe remontée en haut de tes cuisses, son corps et moitié nu sur le matelas, l'huile de massage plein les mains, tu te demandes clairement ce que t'es en train de faire. C'est n'importe quoi, tu devrais pas et pourquoi… tu peux pas t'en empêcher. Pourtant tu tentes de te déculpabiliser. Après tout, si vous prenez bien soin de garder cette soirée secrète, ça ne fera de mal à personne, non ? Tu sais pas si tu peux lui faire confiance ceci dit, pourtant à cet instant c'est le cadet de tes soucis. Y'a que ses provocations sur lesquelles t'as envie de te concentrer, et surtout sur ton envie de lui clouer le bec. Tu mets plus de force dans tes gestes "comme ça c'est mieux ?" T'appuies si fort que tu serais capable de te faire mal aux doigts mais heureusement il met vite un terme à cet exercice en se retournant brusquement et en te faisant basculer sur le matelas. "non et normalement c'est mon jour de congés aujourd'hui." Tu viens passer tes doigts et tes paumes sur son torse, pour les essuyer du surplus d'huile. "maintenant c'est à toi de me rendre un service." tu t'amuses à retorquer en faisant descendre tes mains toujours plus bas, jusque sous l'élastique de son short à l'intérieur duquel elles glissent sans en avoir attendu l'invitation.

@Rhéa Fitzsimmons Tu es dans la provocation depuis le début avec elle. Tu aimes pousser à bout la belle brune, c'est ton passe-temps favoris. Heureusement que ton duplex se trouve à l'extérieur de la ville, dans un quartier plutôt calme. Un quartier où très peu de monde circulent même les journalistes. Tu n'as pas envie qu'on découvre ton secret, tu ne veux pas avoir des réprimandes par quiconque de ton entourage. C'est dans ton intérêt et celui de la demoiselle. Pour qu'elle puisse garder son travail indemne. Une réclamation un peu sadique, qu'elle met d'emblée à exécution. Tu viens même à lancer un soupir de plaisir. Plus on te fait souffrir, plus tu es comblé. Tu n'es pas net dans ta tête. « C'est presque par-fait ! » Encore un peu de force et cela t'aurait donné satisfaction entièrement. Sans plus attendre, tu te retrouves au-dessus d'elle avec un grand sourire. « C'est dommage ça. » C'est faux. Tu es satisfait d'avoir ruiné un peu son jour de congés. D'avoir pu la voir même quelques heures. « Dis-moi quel service ? Peut-être que je pourrais y remédier ou peut-être pas. » Si tu peux lui refuser quoique ce soit, tu serais ravi de ton coup de poker. Toutefois, tu sens ses mains derrière vers ton entre-jambe sans que tu lui accordes ce privilège. Tu lances un regard surpris vers elle. « Est-ce que je t'ai permis de mettre les mains ici ? »