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the reincarnated clumsiness. (edie)

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A cette heure-ci, t'as le cerveau en bouilli. Tes patients t'ont vraiment épuisé et tu te demandes encore pourquoi tu interviens dans les hôpitaux au lieu de te concentrer uniquement sur le cabinet. C'est souvent comme ça lorsque tu passes une journée de merde avec des vieux qui ne veulent faire aucun effort et des jeunes qui se pensent invincibles. Y a eu cette grand-mère qui te faisait beaucoup pensé à la tienne. Un brin râleuse et l'attitude d'une enfant capricieuse. Elle croisait les bras et secouait la tête, refusant de se lever de son fauteuil sous prétexte que tu n'étais pas assez en chair pour la rattraper si elle tombait. T'aurais bien voulu retirer ta chemise pour lui prouver que tu n'étais pas une brindille non plus mais, tu t'es retenu. T'as serré les dents, t'as souri bêtement et t'as réussi à lui faire faire trois pas à l'aide de son déambulateur. Rien de bien glorieux mais, c'est mieux qu'un refus catégorique. Ensuite, il y a eu ce jeune, tombé de scooter il y a quelques mois. Celui de son père, toujours absent parce que bien évidemment, il n'avait pas l'âge de conduire. Comme toujours, il était scotché à son portable. Aujourd'hui, son meilleur ami lui avait envoyé une photo de sa petite-amie en train d'embrasser son pire ennemi. Alors, il prétendait qu'il n'y avait plus aucune raison pour qu'il se lève et fasse les exercices que tu lui proposais. Parfois, tu te dis que tu aurais du faire psychologue et que, dans le pire des cas, si un jour tu devais être remplacé par des machines et bien, tu pourrais toujours te reconvertir. Quoiqu'il en soit, tu en avais ras le bol des clients capricieux et t'étais plus qu'heureux de quitter les murs de l'hôpital. C'était sans compter sur le nom de ton ex petite-amie qui fut prononcé dans les couloirs de l'accueil. Maria... Dis-moi où elle est ?! Inutile de préciser que t'as du de nouveau négocier parce que, secret professionnel etc. Une boîte de chocolat fera l'affaire. Tu fonces donc aux urgences, le coeur battant, t'imaginant le pire scénario possible ! @Edie Reuben
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Deux doigts levés vers le haut, le signe d'un plongeon sous la surface. Le discours silencieux est aisément compris par tes petits mammifères carnivores. Le sourire aux lèvres, tu réitères une seconde fois le mouvement par tes mains mais cette fois avec la revers de la paume qui indique le mouvement avec l'anneau en plastique jaune qui flotte dans le bassin d'eau. L’entraînement du spectacle, tu le répètes depuis plusieurs semaines avec tes petits compagnons que tu as appris à chérir et dont tu prends soin parce que c'est ton métier à devenir, ta responsabilité et ta passion en tant que soigneuse animalière. Une aubaine pour colorer ton expérience mais également ton diplôme en chirurgie vétérinaire. Après avoir remerciés tes trois loutres pour leur travail et leur effort, tu les récompenses en leur donnant un petit en cas avant de le faire rentrer dans leur bassin. Une fois cela fait, tu te diriges vers les vestiaires pour prendre une douche rapide. Une quinzaine de minutes plus tard, quittes le centre aquatique afin de rejoindre ton véhicule sur le parking. Les cheveux toujours un peu mouillés, tu les attachent en une tresse vite fait avant de prendre la route en direction du centre ville. Le trafic routier est assez d'ordinaire assez fluide à cette heure de l'après midi mais il semblerait qu'il y ait eu un accident non loin de la grande artère commerçante. Il faut dire que la ruelle est spacieuse mais depuis qu'elle donne la priorité au deux roues, la sécurité est moindre pour ne pas dire qu'elle laisse à désirer. Patience étant mère de vertu, tu attends que la file se décante pour pouvoir tourner à droite lorsque le cri strident d'une femme interpelle de nombreux regards dont le tien. Il ne te faut que deux secondes pour comprendre la situation : une gamine de l'âge de la tienne joue non loin de la fontaine et le cycliste roule à une allure sans précédent. Ni une, ni deux, tu décroches ta ceinture, ouvre la portière de ta voiture afin de courir en direction de la gamine. L'instinct aura eu raison de te pousser à agir car la gamine manquait de se faire brutalement renverser. Au lieu de quoi, tu sais la fillette dans tes bras, la fait tourner de l'autre coté de telle manière à ce que le vélo te fauche plutôt que l'enfant. Tu tombes sur les fesses, rattrapant la rouquine dans tes bras. Des pleurs retentissent à ton oreille au même titre que de remerciements de la figure maternelle. Une douleur fulgurante transperce soudainement ton bras gauche, attirant dès lors ton attention. Une tâche de sang macule ta blouse en broderie anglaise. Et merde ! Tu jures intérieurement mais très vite, tu sais qu'il faut que tu te rendes aux urgences. Une fois la gamine en sécurité, tu recouvres le chemin de ton véhicule et roule tant bien que mal en direction de la clinique. Une bonne demi-heure plus tard, le résultat exige quelques points de sutures et une ordonnance d'anti-douleurs. Alors que le médecin à finit de te recoudre, la porte s'ouvre sur le visage de Elias.
@Elias Wertheimer
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Tu tentes d’abord d’amadouer la première secrétaire. C’est une nouvelle. Elle est toute jeune et tu vois bien qu’elle n’est pas sure d’elle. Donc tu insistes et tu précises même que c’est ta femme. Après tout, c’est la mère de ta fille, ça pourrait être le cas. Elle précise que vous n’avez pas le même nom de famille donc tu t’embarques dans un cours sur les nouveautés du moment, le fait que la mariée peut très bien garder son nom de jeune fille... Ça aurait pu fonctionner si Maria n’était pas arrivée pour lui annoncer que t’étais en train de lui raconter des bobards. Ouais bon, elle te connaît plutôt bien depuis le temps. T’as fait la plupart de tes stages ici et t’en as raconté des histoires pour séduire les belles filles. Maria, elle lève toujours les yeux au ciel, elle soupire mais en voyant ton charmant sourire et en lui promettant monts et merveilles, tu arrives à obtenir ce qu’elle veut. C’est ainsi que tu gagnes le box des urgences ou a été admise Edie. T’as a peine le temps de pousser la porte que tu te retrouves nez à nez avec la belle, soupire de soulagement quand tu la vois sur ses deux jambes. Tu reprends ton souffle parce que t’as couru jusque là. Hey, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Tu vas bien ? Tu laisses ton myocarde se remettre de ses émotions et tu embrasses son front avant de l’observer de la tête aux pieds. Tu aperçois le sang sur sa blouse et fronces les sourcils en observant son bras sous toutes les coutures. A peine dans l’abus ! Elle a beau être ton ex petite-aloe, Edie reste l’une des personnes les plus importantes de ta vie. Tu lui as fait les pires crasses possibles et pourtant, tu l’aimes à la folie cette femme. Pour elle, tu serais prêt à tout et pas seulement parce qu’elle est parfaite mais bel et bien parce qu’elle t’a offert ce qu’il y a de plus cher a tes yeux, Louise. Quoiqu’il arrive, tu ne pourras jamais la délaisser. Quoiqu’il arrive, tu t’inquiéteras toujours pour elle. Tu ferais tout pour le bonheur de cette femme et ce, bien qu’elle en doute souvent. Oui, tu n’as pas toujours été parfait. C’est vrai que tu l’as trompé. Tu l’as fait galérer un bon nombre de fois. T’as joué avec ses nerfs parce que ça te fait rire quand tu la vois s’énerver. Tu ne lui montres pas toujours l’importance qu’elle a à tes yeux et elle te prend souvent à la rigolade quand tu lui fais des déclarations démesurées et pourtant... Tu ferais tout pour Edie et tu l’aimes bien plus qu’elle ne peut se l’imaginer. Tu ne peux pas t’empêcher d’être aussi protecteur avec elle que tu peux l’être avec Louise ou encore Alizée ou Orphea. @Edie Reuben
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La peau de ton avant bras gauche te tiraille un peu, la gaze et le bandage n'y change rien. Tu sais qu'il va te falloir prendre ton mal en patience. Et il fallait que cela arrive juste avant les examens qui sont dans quelques jours. Les prunelles rivées vers ta blessure, tu entends à peine les derniers mots du médecin qui te tend une ordonnance d'anti-douleurs. Il t'accorde un bref sourire de complaisance avant de faire demi-tour alors que la porte de l'un des box des urgences s'ouvre sur la silhouette coutumière du jeune Wertheimer. L'espace d'une fraction de secondes, toi et le médecin urgentiste le toisaient d'un air surpris, les yeux écarquillés. L'homme repousse ses lunettes sur le bout de son nez avant de saluer Elias par son patronyme. « Wertheimer. ». Vu son timbre de voix, ces deux là ne semblent guère s'entendre. Il sort du box alors que la porte se referme lourdement derrière lui. Elias t’assomme alors d'interrogations successives qui te tire de ta rêverie passagère et tu secoues la tête vivement pour reprendre la constance du moment. La respiration saccadé, tu le vois tenté de reprendre son souffle alors qu'il déposer un baiser sur le sommet de ton front toujours en attente que tu lui répondes enfin quelque chose. « Il n'y a pas mort d'homme, comme tu peux le voir … bein j'ai eu besoin de quelques points de sutures. La banalité d'un jour de semaine ... ». Dis-tu tout en laissant un rire moqueur étirer tes lippes afin de détendre l'atmosphère, de dédramatiser la situation. Cette dernière aurait pu être pire, tu en as pleinement conscience mais tu préfères te dire que tout fini bien. Tu fermes les paupières respirant doucement puis inspirant de la même manière pour détendre les muscles qui semble être entravés, bloqués. Tu penches ensuite légèrement la tête sur le coté avant de l'observer attentivement. Et puis, une question soudaine s'impose à toi. « Comment tu sais que je suis là au fait ? ». A croire que la clinique de Boston est tel un téléphone messager ou tout fini par fuiter.
@Elias Wertheimer
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Tu marches dans l'établissement avec plus de modestie dans dans le passé. Quand t'es arrivé pour la première fois dans le coin, inutile de préciser que tu étais un petit con prétentieux qui passait que le monde était à ses pieds Tu ne te pliais pas aux règles et tu faisais tourner des têtes. Après tes nombreux stages, on a hésité à te proposer un bureaux au sein de l'hôpital. T'avais beau proposé un bon petit pactole, ton comportement agacé. Et puis avec le temps, t'as appris à être plus humain, plus mature aussi. T'es un bon kiné alors, ils ont accepté que tu bosses ici. Parfois, tu aimes rappeler à quel point tu étais insupportable à ton arrivé et aujourd'hui, c'est Maria qui en fait les frais. Tu croises le regard de monsieur je suis un super docteur. Il te lance un regard noir, plein d'hostilités et on ne peut pas dire que tu lui rendes un sourire en retour. Tu t'intéresses tout de suite à Edie en la submergeant de questions, reprenant doucement ton souffle. Comment tu t'es fait ça ? Tu la vois se concentrer et fermer les paupières alors instinctivement, tu t'approches d'elle pour t'assurer que ça va et qu'elle ne va pas s'écrouler une fois debout. Tu observes d'abord les points de suture pour t'assurer que c'est fait correctement et ensuite, tu reportes ton attention sur son doux visage qui te fait automatiquement sourire. Je sais tout ! Je te ferais dire que je bosse ici, tu ne peux rien me cacher. Tu lui adresses un clin d'oeil, amusé par ta réponse. Ouais bon, t'aimes bien marcher au chantage et ça, tout le monde le sait. Aller viens, je te ramène ! Inutile de préciser que tu ne comptes pas la laisser rester seule et encore moins la laisser conduire. Elle a besoin de repos. D'autant plus que tu ne sais pas ce qu'ils lui ont injecté. Tu n'as pas envie qu'elle s'endorme au volant, qu'elle fasse un malaise ou qu'elle s'arrache maladroitement ses points de sutures. @Edie Reuben
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L'adrénaline de ces dernières heures se répercute à l'ensemble de ton organisme et retombe seulement maintenant. D'où le vertige qui te submerge soudainement mais que tu parviens à contenir en fermant tes paupières tout en inspirant profondément. Un mécanisme automatique qui est resté depuis que l'on t'a enfermé dans les sous-sols du collège lorsque tu étais adolescence. Un souvenir lointain mais proche par les stigmates qui demeurent. Une attitude qui interpelle le jeune homme car tu sens son regard peser sur toi lourdement tant sur l'inquiétude que sur les points de sutures qui ont été faits quelques minutes auparavant. Son interrogation vient attirer ton attention alors que tu soupires doucement. « J'ai été renversé par un cycliste à la place d'une gamine. ». Une seule phrase pour résumer tout un tas de décisions que tu as pris sous la mesure comptée et rythmée du temps. La fillette avoisinait l'âge de Louise, et sans te poser la question que tu es descendu du véhicule pour l'empêcher de vivre pire que la cicatrice que tu auras sur ton avant bras. Tu finis par le toiser d'une expression curieuse et interrogative à la fois tout en lui demandant comment il avait pu savoir que tu étais entre les murs de la clinique. Après tout, son service se trouvait à l'autre bout de l'entrée des urgences. Esquissant un sourire jaune presque moqueur, tu secoues la tête avant de te lever avec prudence pour éviter les étourdissements possible. « J'aurai du m'en douter, tu as toujours fait du gringue à tout le monde Wertheimer. ». Même à toi il fut une époque, songes-tu l'espace d'une fraction de seconde avant de récupérer ton sac dont tu réajustes la bandoulière sur épaule. « Pas besoin Elias, je peux rentrer toute seule. ». Une affirmation posée et sincère, tu avais l'habitude de te débrouiller et de faire cavalière en solitaire. Quand bien même, tu sais que le père de Louise de l'entendrait pas de cette oreille à tous les coups.
@Elias Wertheimer
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Tu as toujours été très protecteur envers les personnes qui te sont chères et il semblerait que le temps n'arrange pas les choses. Lorsque tu étais jeune, Orphéa a été kidnappé. Cette épreuve a été plus que compliquée pour toi. Tu t'es senti impuissant. Non seulement tu n'as pas réussi à protéger ta petite soeur, tu as manqué à ton rôle de grand frère mais en plus de ça, tu n'as rien pu faire pour la retrouver. T'as totalement pété les plombs. Plus rien n'avait d'importance si ce n'est les rendez-vous médicaux d'Alizée. Si tu avais abandonné Orphéa, tu ne comptais pas manquer à ton rôle une seconde fois en la laissant livrée à elle-même. Mais le reste du temps, tu préférerais t'amuser plutôt que de chercher l'affection ou même l'amour. Tu ne pensais pas mériter une telle chose, être à la longueur. Tu n'avais pas non plus envie de souffrir à nouveau. Alors, tu essayais de te la jouer solitaire. Bien entendu, en chemin, tu t'es parfois égaré et toutes les personnes auxquelles tu t'es un tant soit peu accroché, tu les as placé tout en haut de la liste de tes priorités. En tant qu'ex petite-amie et surtout, maman de ta fille, on peut dire qu'Edie est dans les premières de la pyramide. Alors, tu t'inquiètes pour la douleur, pour ses points de suture aussi, que tu observes sous tous les angles pour t'assurer que ce soit bien fait. Une véritable héroïne. J'espère que t'as au moins eu un câlin en guise de remerciement. Tu sais qu'édite est une belle personne. Elle donne toujours beaucoup pour les autres. Lorsqu'il s'agit des enfants, c'est décuplé étant donné qu'elle s'identifie toujours à Louise. Tu ne peux pas lui en vouloir ou lui crier dessus parce qu'il est inconsciente alors qu'elle a tenter de venir en aide à un enfant dans le besoin. Tu lui lâches le bras quand tu constates que le médecin à tout de même fait du bon boulot. C'est surement parce qu'il ignorait que tu connaissais Edie. C'est pas plus mal ! Elle te demande des informations quand à ta venue ici et tu hausses les épaules en lui rappelant que tu es au courant de tout comme tu travailles ici. C'est sans compté sur la demoiselle qui arrive à te balancer un reproche en toute subtilité. Edie... Tu soupirs. Inutile de te battre avec elle. Tu la laisses récupérer son sac en lui informant que tu la ramènes mais bien entendu, elle t'envoie sur les roses, trop indépendante. C'était pas une question. Tu veux t'assurer qu'elle va bien, qu'elle rentre en un seul morceau et surtout, qu'elle ne fasse pas une nouvelle folie sur la route. @Edie Reuben
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Les premiers dires du jeune homme t'arrachent un sourire mélancolique qui se fane doucement. Ce sont des mots que l'on a tendance à te répéter que cela soit de tes proches amis ou encore des membres de ta famille. Néanmoins, elles reviennent souvent dans la bouche de ta petite fille qui te voit souvent comme un « héroïne ». une facette de ton quotidien que tu ne perçois pas de cette manière. Si du point de vue de Louise tu comprends aisément, tu l'acceptes même ; du point vue d'autrui c'est bien plus différent. Tu es une personne qui fait front à l'existence, à ce qu'elle place devant toi car tu as appris a compter uniquement sur toi-même – et ce depuis longtemps. Était- ce dans ta nature ? Oui. Avais-tu toujours le choix ? Oui mais la déception est un accord avec lequel tu ne prends plus le moindre risque et pour cause l'antérieur est source de leçon. La gamine t'avait remercier en serrant ses menottes autour de ton cou mais tout c'était passé si rapidement que les souvenirs sont flous.  Bien évidement, sa présence au sein du service des urgences te surprend et tu l'interroges alors que la réponse est loin de t'étonner. Elias a toujours eu l’œillade attractive et une aura captivante, des prunelles azuréennes dont l'horizon est source de rêves à vendre, une couleur où l'on tend à se laisser porter vers un leurre. Tu l'entends souffler ton appellation en un murmure ténu, certes mais assez audible pour que tu puisses l'entendre. Rajustant ton sac à bandoulière sur ton épaule tu avances de quelques pas en direction de la porte de sortie lorsque sa dernière réplique te stoppe net. Lui tournant le dos, tu fermes les paupières un instant pour reprendre contenance mais surtout pour tempérer la soudaine colère qui germe à l'intérieur de toi. «Et ce que je viens de te dire était une réponse définitive. ». Ton timbre de voix est d'un calme serein mais qui ne cache aucunement l'anneau d'agacement qui tourbillonne autour pour maintenir cette tempérance en orbite. Tu te retournes pour lui faire face croisant les bras contre ta poitrine ravivant quelque la douleur de ta blessure à l'avant bras. Dès lors, tu laisses ton bras le long de ton corps, l'autre sur la sangle de ton sac. «  Je sais que tu es protecteur par nature ... ». Encore plus depuis la disparation de sa petite sœur quelques années auparavant et de la maladie de son autre frangine. « … mais ça va aller. J'ai l'habitude de me débrouiller toute seule, encore plus depuis la naissance de Louise. ». des paroles véridiques mais énoncés sans la moindre rancune, juste comme une véracité qui se dépeint depuis presque quatre années désormais.
@Elias Wertheimer
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T'étais destiné à passer le restant de tes jours au sein des établissements médicaux. Depuis que t'es gosse, ce sont les seuls rendez-vous que tu ne fais pas semblant d'oublier. D'abord pour Alizée ensuite, pour les examens qu'a du passer Orphéa à son retour, pour l'accouchement d'Edie, pour chaque blessures de tes proches. Certes, tu n'as pas réussi à rester à l'université, à poursuivre la filière médecine, bien trop distrait par ce que la vie a à t'offrir. Mais t'as tout de même su trouver ta place au sein du corps médical et cela te permet de garder un oeil sur tout le monde, notamment sur tes proches. T'es malin, tu sais que t'as une belle gueule et t'as la parole facile alors, tu arrives à toutes les embobiner pour arriver à tes fins. Un brin maniaque du contrôle, tu as toujours ton mot à dire et aujourd'hui, il semblerait que ça soit à la mère de ta fille d'en faire les frais. Tu la connais assez pour savoir qu'elle est très indépendante. Edie a toujours su se débrouiller seule, même dans les pires situations. Elle n'a jamais réellement eu besoin de toi et heureusement pour elle, car on ne peut pas dire que tu étais très présent à l'époque. Quoiqu'il en soit aujourd'hui, tu ne lui laisses pas vraiment le choix et ton sale caractère lui tape sur les nerfs, t'en as parfaitement conscience. Elle rétorque et tu la questionnes du regard, attendant une ribambelle de reproches en guise de réponse. Tu te mords la lèvre, touché en plein coeur. Elle est douée, tu ne peux pas le nier. C'est le genre de reproches que tu comptes me faire jusque quand exactement ? Tu croises les bras, plantant ton regard dans le sien pour lui faire comprendre que tout ça, tu ne le sais pas pour la faire chier. Je sais que tu te débrouilles très bien toute seule Edie mais, ça me rassurerait de savoir que t'es arrivée entière donc, si tu permets... je serais plus serein si j'avais la chance de pouvoir te raccompagner ?! Essayons la méthode douce comme l'autre n'a pas fonctionné ! Au pire, tu la portes jusqu'à ta voiture, tu l'enfermes dans le coffre et on en parle plus. Et puis, je suis sûr que Louise préférerait que sa mère garde ses deux bras donc, autant pas prendre de risque. Imagine tu te raccroches dans un truc, ta plaie s'infecte, on doit te le couper. Tu ferais comment hein ?! Jamais dans l'abus, toujours raisonnable ! @Edie Reuben
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L'indépendance a toujours été de manière prépondérante innée chez toi. Un instinct qui te vient tout naturellement, en toute circonstance, en tout temps. Tu as toujours su faire face aux problèmes qui se sont posés sur ton chemin tel un papillon sur les pétales d'une fleur. Gérer les choses, prendre les décisions, cela tu connais et encore plus depuis la naissance de ta petite puce. Un événement loin d'être prévu au programme et tergiverser ne sert alors à rien, tu préfères avancer et prendre mesure des conséquences sur un autre registre. Ton histoire avec le Wertheimer t'a bien faire comprendre de manière unanime que la confiance est un bien précieux que l'on ne peut accorder à toute le monde. Et que – sans réellement vouloir – tu étais destiné à faire cavalière en solitaire. Votre passif commun renforce cette conviction mais surtout que tu dois faire les choses de manière solo. Son interrogation est teinté de lassitude et tu ne lui en veux pas mais c'est une vérité que tu ne nies pas. Ce n'est pas la première fois que tu lui tiens ce genre de discours, néanmoins c'est une réalité qui est aussi tangible que la pointe de rancune qui te rappelle ton besoin de débrouiller seule. Ses perles azuréennes te toisent avec attention et tu soupires car tu sais que son attitude part avant tout d'un bon sentiment. Tu secoues la tête préférant ne pas alimenter davantage cette ambiance que tu trouves déjà pesante. Bien évidement, ses propos te le confirmes et tu perçois à nouveau ce besoin de protection qu'il dépeint en permanence lorsque la situation l'exige. La disparation soudaine de sa sœur cadette a faire naitre de nombreux ressenti intérieurs chez lui et cela s'est renforcé avec le temps. « Pas la peine de t'imaginer me porter comme un vulgaire sac de patates. ». Une assertion catégorique mais prononcé sur la rime de la moquerie et du sourire alors que tu lèves les deux paumes de ta main en guise de drapeau blanc, fin des négociations. « C'est dingue ce que tu peux en faire des tonnes. ». Dis-tu tout en secouant la tête avant d'ouvrir la porte de la pièce tout en te dirigeant vers le parking au dehors de la clinique.
@Elias Wertheimer
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