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talk to me, simply. (gael)

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Derrière les verres teintés bleutés de tes lunettes de soleil, l'ocean s'étale à perte de vue. Un paysage à la fois agréable et reposant qui te remémore bon nombre de tes souvenirs relatifs à l'enfance. Le cœur battant à un rythme régulier, un pas de course à la cadence énergique, tu prends plaisir à te perdre dans ce bain de nostalgie antérieur. Venir courir sur Canon Beach est une habitude coutumière depuis que tu vis sur le continent américain. C'est un petit paradis, une sphère presque personnelle où il fait bon vivre mais surtout idéal pour effectuer ton petit footing matinal. Comme toujours, ton fidèle compagnon canin t'accompagne pour cette petite heure de course et l'air marin est un bon atout pour se défouler et prendre l'air. Après presque quarante-cinq minutes de course à pied, tu tires doucement sur la laisse de Oslo afin qu'il ralentisse le mouvement. Tu t'abaisses à sa hauteur afin de lui faire quelques caresses pour le remercier, le féliciter lorsque ton cellulaire se manifeste par la sonnerie. Tu le récupères dans la poche avant de ton sweat un brin trop grand pour toi avant de reconnaître le message de Gael qui t'annonce qu'il vient d'arriver au coffee shop qui borde la plage. Tu lui réponds rapidement puis range ton téléphone. « Allez mon grand, un dernier effort et ensuite le réconfort ! ». Tu gratifies ton golden retriever d'un clin d'oeil avant de reprendre le pas de course jusqu'au lieu de rendez-vous situé à moins de dix minutes à pieds. C'est donc le souffle quelque peu court mais le sourire dynamique que tu rejoins le coffee shop où tu découvres ton meilleur ami déjà installé en terrasse. « Ça alors, tu es arrivé avant moi ! ». Dis-tu en t'approchant de lui tout en déposant une bise sur sa joue. « Comment tu vas ? ». Lui demandes-tu, un sourire solaire accroché à tes lippes. Ton chien vient tout de suite de poser en dessous de ta chaise, tout en saluant ton camarade d'un aboient energique.
@Gael J. Dinkley
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Regard perdu au loin, je regarde les vagues apparaître et disparaître à un rythme régulier. Spectacle hypnotique, j'aurais pu rester toute la journée ainsi à simplement regarder la mer, même si je ne pouvais l'entendre. Écouteurs dans les oreilles et environnement trop bruyant, il était bien trop tôt pour entendre le chant de l'océan. Un chant qui ne révélait sa beauté qu'à des heures moins fréquentées, particulièrement tardives. Mais ce n'était pas une surprise pour moi. La même chose arrivait de l'autre côté du pays, sur la côte ouest. Et c'était bien une des similitudes entre Boston et Los Angeles qui me donnait le sourire. Parfois, la cité des Anges me manquait. J'y avais passé mon enfance, joyeuse et insouciante. A mille lieux de la vie d'adulte que je menais désormais qui consistait à réfléchir constamment à mes décisions et leurs conséquences. Une réflexion permanente qui me fatiguait grandement. Et puis, une partie de ma famille était toujours là-bas, et me manquait. Même si mes sœurs vivaient également ici et que c'était toujours un plaisir de les voir, ça n'était pas pareil que quand on était tous réunis, ce qui n'arrivait plus qu'aux grandes occasions. Oui, la simplicité de ma vie d'enfant me manquait.

Chanson qui se termine, je détourne le regard de l'immensité aquatique pour me remettre en chemin. Rendez vous dans dix minutes, il ne me restait plus beaucoup de chemin à faire, mais il fallait le faire avant d'être en retard et de faire attendre Edie. Edie, c'était clairement une des personnes qui rendaient ma vie à Boston incroyable, et que j'affectionne particulièrement. Comme une troisième sœur, et encore, parfois je me sentais encore plus proche d'elle que de celles avec qui je partageais mon nom. Surement parce que, même si je les aimais, je n'avais pas eu d'autre choix que de laisser Shannon et Maeve faire partie de ma vie. Mais Edie, c'était différent. J'avais choisi d'être proche d'elle, de lui confier des choses que je ne confiais à personne d'autre. Elle était mon amie, la meilleure qu'on pouvait espérer dans une vie. Et c'est donc toujours avec enthousiasme que je me rendais à nos rendez-vous.

Cinq minutes de marche supplémentaires et je me retrouve devant le coffee shop auquel nous avions rendez-vous. Pas de Edie cependant. Étais-je pour une fois arrivé avant elle ? Je m'installe à une table et lui signale mon arrivée par un court message avant de ranger mon téléphone et mes écouteurs dans mes poches. Ca me faisait bizarre de l'attendre. D'habitude c'était l'inverse. Mais sa silhouette ne tarde pas à se dessiner, accompagnée par celle d'Oslo. « Comme quoi tout arrive ! » Sourire qui se dessine et qui persiste sur mes lèvres alors que nous déposons une bise sur la joue l'un de l'autre. « Ca va et toi ? » Aboiement qui fend l'air, je me penche pour caresser Oslo avant qu'il ne s'installe sous la chaise de sa maîtresse. «  Vous avez bien couru ? Pas trop fatiguée ? » Lui en tout cas semblait bien parti faire une sieste pour récupérer son énergie.

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Ta confiance s'accorde toujours sans aucune ambiguïté aux amitiés que tu noues avec autrui. Elle brille bien plus que les histoires de cœur – auxquelles tu ne laisses plus rien passé. L'amitié, c'est le socle de la famille que l'on s'est quelque peu permis de choisir ni plus ni moins. Une vision qui te convient plutôt bien et qui s'exprime on ne peut plus au travers de ton amitié avec le jeune Dinkley. Rare sont les occasions où vous pouvez vous voir ces derniers temps, tant par raisons de vos emplois du temps respectifs que par vos quotidiens personnels. Bien évidement, chaque instant partagé est précieux et il n'y a que cela qui compte. C'est sans doute pourquoi tu ne peux t'empêcher de rire tendrement lorsqu'il te dit que tout arrive. Et oui, de coutume tu es celle qui définit au mieux la ponctualité et pour une fois tu ne l'ais pas vraiment. Tu fronces le bout de ton nez, légère grimace joviale qui tend à laisser ressortir une facette de ta vulnérabilité. Un attrait que tu ne laisses que très peu entrevoir hormis à certains proches. « Ça va, même si en ce moment j'ai l'impression que le temps me manque entre Louise, les études et le boulot … Mais c'est une adrénaline à laquelle je me dope volontiers, c'est grisant surtout avec les examens qui arrivent ... ». Tu esquisses un rire narquois tout en secouant la tête car tu sais que lorsque ton frère ou ta sœur entendent ce discours c'est pour t'entendre dire que tu es complètement folle. Tu es une érudite de nature, mais tu sais aussi que tu as besoin de tout cela pour te dépasser encore davantage. La dernière interrogation de Gaël semble réveiller ton golden retriever qui aboie une seconde fois comme pour confirmer par la positive une réponse presque victorieuse. « Ouais on a fait un bon petit tour, et puis c'est toujours agréable de courir dans ce recoin de la ville. Un peu fatiguée mais ça fait du bien ! Tu pourrais nous accompagner la prochaine fois si tu veux ? ». Au même moment, la serveuse s'avance vers votre table pour prendre votre commande. Tu optes pour une limonade au citron et demande un verre d'eau supplémentaire afin de pouvoir en donner à Oslo.
@Gael J. Dinkley
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S’il y a bien une de mes relations qui est restée simple malgré toutes les difficultés que je pouvais éprouver depuis quelques temps, c’était celle que j’entretenais avec Edie. Tout était simple et évident avec elle. Les mots à dire, l’attitude à avoir, les sourires à dessiner sur mes lèvres. Comme une chanson ou une danse que je connaissais par cœur et qui se rejouait à nouveau chaque fois que nous étions ensemble, sans que jamais je me lasse. Qu’on se voit une fois tous les six mois ou tous les jours, c’était impossible que je me lasse. Je le savais. Aucune ambiguïté dans notre relation, mais un amour plus sincère que pour n’importe qui d’autre. Et ce depuis le premier jour passé à Boston, ou presque. Alors quand elle me taquine sur le fait que je suis, pour une fois, arrivé avant elle, elle sait de quoi elle parle. Et quand une légère grimace se dessine sur son visage, je sais pourquoi. Alors je souris en l’écoutant parler, l’imaginant presque courir partout avec son emploi de ministre, mais il fallait avouer qu’elle en avait, du courage, de la détermination et de la force pour mener sa vie comme elle le faisait. « Et tu arrives encore à trouver le temps de dormir avec tout ça ? » Je me fais taquin, mais en même temps en peu inquiet. Avec la fin de l’année qui approchait pour les étudiants et les examens, je ne voudrais pas qu’elle se surmène ou fasse un burn-out. « Tu vas assurer encore cette année, je crois en toi ! » Des mots encourageants et sincères, car je ne doutais pas une seconde d’elle et de ses capacités. Encore moins dans le domaine qu’elle avait choisi. Il suffisait de voir comment elle traitait Oslo et les gens pour comprendre qu’elle était douce et bienveillante, et que prendre soin des autres - notamment des animaux - elle savait faire.

Oslo ne tarde d’ailleurs pas à se manifester lorsque je mentionne leur jogging du jour. Je me penche légèrement sur le côté, sourire aux lèvres, pour regarder sous la table et la chaise d’Edie. « C’est oui que tu es en train de me dire c’est ça ? » Je ris doucement alors qu’il aboie à nouveau et me redresse pour me remettre convenablement sur ma chaise. « Pourquoi pas. Les beaux jours reviennent, ça serait toujours une bonne occasion de prendre l’air. » Courir n’avait jamais vraiment été une de mes activités favorites, et en dehors de la danse, je n’avais jamais été très sportif de manière générale. Mais il m’arrivait parfois d’aller courir aussi, notamment au retour des beaux jours, simplement pour prendre l’air ou parce qu’on me le proposait comme venait de le faire Edie. « Pas un trajet trop long par contre, ou Oslo va devoir me traîner sur la fin. » Un grand sourire amusé se dessine sur mes lèvres. Il y avait bien trop longtemps que je n’avais pas couru pour pouvoir rivaliser avec leurs performances. Serveuse qui s’arrête à notre table, j’opte pour un thé glacé tandis que Edie porte son choix sur une limonade. « Quand commencent tes examens alors ? Que je t’envoies pleins de messages d’amour et d’encouragements pour accompagner ton adrénaline ? »

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Ces derniers temps, il te semble de tour complet d'une horloge ne suffirait même pas pour tout caser et que la durée de vingt-quatre heures dans une journée viendrait à manquer. Pour autant, et tu ne saurais comment le justifier toi-même, tu parviens les trois quart du temps à tout caser même de justesse. Il est vrai que tu es pointilleuse dans ton sens de l'organisation et la présence de ton entourage est d'un grand soutien. « Je m'écroule tu veux dire. ». Lui dis-tu tout en esquissant un rire amusé en songeant que la nuit précédente tu t'es endormie sur tes bouquins alors que tu discutais avec tes amies sur l'ordinateur. Tu penches légèrement la tête sur le coté, observant ton meilleur ami qui reflète une une certaine inquiétude. « Rassure-toi, je vais bien. ». Ton golden retriever de six années n'hésite aucunement à se manifester et tu secoues la tête a voir ces deux là communiquer entre eux. Une image que tu ne vois que très peu en ce moment, il faut dire que vous avez été respectivement bien occupés et puis ce n'est pas toujours simple du coté du Dinkley pour se libérer. Tu n'hésites aucunement à lui proposer de vous accompagner la prochaine fois. « T'inquiète on ira à ton rythme ou même juste pour se faire une petite balade, ça pourrait sympa ! ». Ton intonation de voix respire l'enthousiasme mais surtout la dynamique de votre amitié qui ne cesse de se renforcer au fil des années. La jeune serveuse s'éloigne en direction du comptoir pour composer votre commande et tu esquisses un sourire mutin à sa réplique. « Oh je suis persuadée qu'il le ferait, pas vrai mon grand ? ». Énième aboiement affirmatif alors que tu caresses le sommet de sa tête afin de tempérer son ardeur enjoué. « Milieu mai, mais ça va s'étaler sur la toute la semaine. Tes encouragements ? Je les attends toujours avec impatience comme chaque année, ça carbure toujours mon adrénaline tu as raison ! ». Le sourire en présence de Gael a toujours été naturel, appréciable. Tu sais que cela fait un petit moment que vous n'avez pas pu vous voir et même si parfois ça te manque, même si vos échanges écrits sur les réseaux est un file de dialogue, ce n'est pas toujours évident de son coté. « Et toi, parle moi un peu de toi ? ».
@Gael J. Dinkley
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Une légère moue d’inquiétude prend place sur mon visage alors que mon amie avoue d’elle-même en faire trop. Et même si elle assurait aller bien - ce que je voulais bien croire sans le moindre doute - je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il fallait sûrement qu’elle lève un peu le pied pour respirer. Je n’étais pas capable de comprendre l’énergie que ça demandait de faire de telles études ou d’élever une petite fille de trois ans, mais je savais que si on ne prenait pas le temps de souffler de temps en temps, le corps et l’esprit pouvaient s’effondrer. Et même si je souhaitais à Edie de réussir, je ne voulais pas que ce soit au détriment de sa santé. Mais elle avait l’air de connaître ses limites. Et c’est ce qui me rassurait.

« Maintenant qu’il fait à nouveau beau et chaud, ça serait dommage de ne pas en profiter pour sortir. » Ayant vu le jour dans un pays chaud et ayant grandi dans une région du pays aux températures plutôt agréables, j’avais toujours été du genre à apprécier la saison estivale que hivernale. Voir le ciel bleu tous les jours, les étoiles chaque soir, sentir les rayons du soleil caresser chaque centimètre de peau exposé… C’était vraiment un plaisir dont je ne me lassais pas. « Courir ne me ferait pas de mal. Ça pourrait être bien que je refasse un peu de sport. » Simplement histoire de me maintenir en forme, même si mes performances n’avaient rien d’exceptionnelles. Et puis ça me donnerait aussi une occasion de me vider la tête ou de voir mon amie plus souvent. Même si on échangeait souvent par messages, ce n’était pas le même plaisir que de se retrouver face à face. « Je note alors ! Je ne voudrais pas que tu ais une baisse d’énergie parce que je ne t'ai pas envoyé de messages. » Ca pouvait presque être considéré comme une tradition à force, étant donné que je ne loupais jamais une occasion de lui exprimer mon soutien.

Je me pince légèrement la lèvre lorsqu’elle me demande de parler de moi. Si par message, j’essayais d’éviter les sujets un peu sensibles sur moi - sans pour autant lui mentir - c’était autrement plus difficile lorsque son regard d’émeraude se posait sur moi. « Ça va même si… C’est un peu compliqué avec Dahlia en ce moment. » Ca l’était beaucoup plus souvent que je ne voulais bien l’admettre même. « Elle n’aime pas trop que je travaille au Lord Hobo, dans un bar, avec des horaires de nuit… Mais j’aime bien. C’est un peu épuisant certains soirs, mais l’endroit me plaît, l’équipe est sympa, et je n’ai vraiment pas envie de changer à nouveau de travail. Même si ça crée souvent des disputes entre nous. »

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Les traits de son visage exprime une expression coutumière, celle qui s'inscrit de le registre d'une anxiété ténue alors que l'inquiétude devient ses ronces qui embrouillent l'esprit. Tu sais qu'il s’inquiète pour toi mais tu n'hésite aucunement à le rassurer afin de lui exprimer en toute vérité que tu connais tes limites et que tu sais également prendre le temps de souffler. Des instants de solitude le temps d'une musique ou juste le temps d'un trajet de bus te permettent de respirer, de remettre de l'ordre dans tes pensées, d'éclaircir certains soucis pour y dégoter des solutions. L'une d'elles se trouvent peut être dans l'une des promenades à venir et cette perspective t'enchante car passé du temps avec le jeune Dinkley est primordiale, agréable. « Ouais, c'est vrai que le temps est propice en plus. J'attends cette période de l'année toujours avec autant d'impatience ... ». des quatre saisons, c'est bien celle de la période estivale qui révèle cet attrait qu'est l'impatience. Elle a toujours été synonyme de bons souvenirs mais surtout de rivages et de paysages où la mer est une digne maîtresse de liberté et de plaisir. La pratique du surf sur les plages californiennes et australiennes te manquent car il est difficile de trouver de bons coins pour prendre les vagues à Boston. Tu esquisses un sourire amusé et complice car tu sais que le jeune homme s'est toujours bien défendu en pratique sportive quoi qu'il puisse en dire. « Tu te débrouilles très bien, ne prétend pas le contraire. Tu n'auras qu'a m'envoyer un jour où tu es libre et je m'adapterais okay ? ». Autrefois courir en présence de ton comparse était naturel, voir une bonne habitude coutumière mais ce rendez-vous c'était quelque peu essoufflée ces dernières semaines, pour ne pas dire moi. Rapidement, vous entrez dans le sujet actuel des examens. Ta session d''examens de fin d'année se déroulaient durant la mi mai, plus qu'une question de quelques jours désormais. L'excitation de passer les dernières épreuves est grisante pour toi et c'est sans doute une bizarrerie de plus à ajouter à ton palmarès selon Elias. « Je sais que tu ne l'oublieras pas, mais ça me fait toujours plaisir de les lire. ». Lui dis-tu tout en voyant la serveuse venir en votre direction afin de vous servir vos boissons. Tu la remercies en lui donnant un billet afin de régler vos consommations. Tu te penches pour donner le petit ramequin d'eau à Oslo avant de reporter ton attention sur Gael en lui demandant comment cela se passe pour lui. Une question qui l'interpelle au vue de sa gestuelle car tu sais que certains sujet de conversation sont vulnérables au dialogue. Sa tirade énonce alors la personne de Dahlia, sa petite amie dont la jalousie est un parfait étendard couplé d’égoïsme. « Je sais que ce n'est pas simple pour toi Gael, mais le principal c'est que tu puisses t'épanouir dans un environnement où tu te sens à l'aise, en confiance et ça … c'est du positif, mh ? ». ton intonation de voix est teinté de soutien, de douceur et d'encouragement. Sa copine ne t'a jamais réellement apprécié mais ce n'est pas pour autant que tu lâcheras ton meilleur ami. Tu déposes ta main sur la l'avant bras de ton camarade, un geste de bienveillance pour lui rappeler que tu es là en cas de besoin. « Je sais que c'est complexe pour toi … je l'entends bien Gael mais tu dois avant tout songer à toi ... ».
@Gael J. Dinkley
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La douceur du printemps me permet d’envisager à nouveau certaines activités que j’avais tendance à délaisser lors des saisons froides. Certaines d’entre elles consistant à passer un long moment dehors, il était hors de question pour le garçon frileux que j’étais de m’y adonner. Dans ces activités se trouvaient bien évidemment la course à pied, mais pas que. La natation, la marche le long des plages pendant de longues heures, l’admiration des levés et couchés de soleils, tout cela n’était plus envisageable dès que les températures descendaient en dessous d’un certain degré. C’était ainsi. Et même si je faisais l’effort de m’habiller chaudement pour ne pas trop souffrir du froid, la grisaille du ciel et l’absence du soleil suffisait à me faire renoncer à toute activité extérieure pendant plusieurs mois. Alors l’impatience de mon amie au retour de cette période marquée de beaux jours, je la comprenais, et surtout, je la partageais avec elle. La proposition d’Edie à remettre doucement mon corps à l’épreuve des efforts physiques ne pouvait donc pas mieux tomber. « Mon cardio n’est pas si mauvais, mais ça fait longtemps que je n’ais pas couru. Je vais le sentir passer. » Même si je gardais encore un peu mon corps en forme via quelques sessions solitaires et discrètes de danse, l’effort fourni pendant la course n’était pas le même et cela risquait de me mettre en difficulté malgré tout. « Je t’enverrais mes disponibilités en fonction de mon planning. On trouvera bien un moment qui nous conviendra à tous les deux. » Sachant à quel point cette période pouvait être éprouvante pour mon amie, je ne voulais pas qu’elle soit la seule à faire des efforts pour trouver un créneau possible. En dehors de mes heures au bar, j’étais prêt à faire un effort pour aller courir avec elle qu’importe le jour et l’heure. Surtout si ça pouvait lui donner un coup de boost supplémentaire.

Nos boissons déposées sur la table, je laisse Edie régler l’addition tout en la faisant promettre que la prochaine serait pour moi. Que ce soit aujourd’hui ou un autre jour. Ca faisait partie de notre complicité de s’inviter de temps à autre, sans vraiment tenir les comptes puisqu’on alternait à chaque fois. Mon verre entre les mains, je le fais tourner lentement entre mes doigts, dans un geste qui traduit ma nervosité face à la question de Edie, à laquelle je réponds pourtant avec le plus d’honnêteté possible. Et comme toujours, mon amie est d’un soutien sans faille. Pourtant, Dahlia n’avait pas toujours été très avenante avec elle - tout comme avec le reste de mes fréquentations, notamment féminine - et malgré tout, Edie ne m’avait jamais jeté la pierre sur mon couple, ni reproché le comportement de celle qui partageait ma vie à son propre égard. Elle s’était toujours contentée de mettre en avant le positif, comme elle le faisait actuellement. « Oui, c’est vraiment agréable de travailler là-bas. » Sa main sur mon avant bras, je viens poser ma main par-dessus la sienne avec un léger sourire. Si certains contacts me faisaient parfois trembler, ça n’avait jamais été le cas avec mon amie, toujours si douce à mon égard. «  Je sais mais on sort ensemble. C’est normal de prendre en compte son avis sur quelque chose qui nous impacte tous les deux. J’ai juste peur qu’elle interfère directement avec mon travail et que la patronne me vire pour ça. Elle n’est encore jamais venue pendant mon service, mais je ne sais pas si ça se passerait bien si ça devait arriver. »

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Le sourire fleurit sur tes lèvres à l'image de la saison printanière qui bientôt laissera place à la prochaine. « je me souviens qu'il faut te mettre dans le bain, et c'est d'ailleurs ce qu'il faut pour bien débuter ! ». Avec un grand-frère à cheval sur la passion du sport et surtout de la boxe, tu as appris à y faire au contraire de ta petite sœur qui a horreur de toutes activités sportives hormis la sieste. Tu proposes alors au jeune Dinkley de lui dire le moment qui lui conviendra le mieux et tu t'adapteras sans aucun problème et tu sais que la réciproque de fait tout naturellement de son coté. Vos commandes sur la table, tu profites des embruns marins et de la vue qu'offre la terrasse du bar où vous êtes installés. Un peu comme un avant goût de vacances qui n'en finit pas d'arriver mais d'abord il y a les dernières sessions d'examens à passer. Ton meilleur ami exprime sa jovialité et dépeint un épanouissement personnel sur son nouveau job. Une joue intérieure à demie remise en cause par sa petite amie. Bien évidement, ton entente avec elle n'a toujours été calé que sur sa jalousie de ta complicité avec le brun provoquer une inimitié alors que tu ne lui as jamais rien fait – si ce n'est soutenir ton camarade de ton mieux. Tu sais que la situation comme le dialogue est délicat concernant Dahlia mais ce qui nourrit ton inquiétude c'est surtout le discours de réserve avec lequel Gaël réplique. Tu ne l'avais jamais jugé et jamais tu ne le ferais mais cela ne t'empêchera nullement de te montrer cavalier – tout en diplomatie – pour le bien être de celui que tu considères comme ton frère de cœur. « l'autre soir, j'étais venue avec des amies mais je pense que tu ne travaillais pas ce jour là, c'est dommage. En tout cas, je suis fière de toi Dinkley. ». Tu le considères d'un clin d'œil franc et complice à la fois avant de portée ton verre de limonade à tes lippes tout en écoutant les prochaines paroles de ton meilleur ami. Ce dernier vient recouvrir ta main posé sur son avant bras alors qu'il dépeint telle une justification ses décisions et les actes de sa petite amie. Sa jalousie possessive est devenue de plus en plus importante au cours des dernières années, impactant jusqu'à la vie professionnelle du brun. Un soupire aphone s'échappe de ta bouche alors que tu reposes ton verre sur la table en bois. La détresse est ténue mais tu la perçois quand bien même Gaël ne le voit pas. Tu exerces une légère pression douce et sécuritaire sur son avant bras. « Je ne suis pas bien placé dans les histoires de cœur ... ». Il suffisait de songer à ton histoire avec le père de Louise qui n'avait été existante qu'à tes yeux alors que ta confiance avait été mise à rude épreuve. « … mais tu dois lui parler franchement de ce que tu viens de me dire. Qu'elle soit jalouse je peux le comprendre mais pas au point de t'empêcher d'être heureux … tu as déjà tenté de parler de ça ? ».
@Gael J. Dinkley
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Se remettre dans le bain… Une réelle difficulté pour les gens comme moi qui n’était jamais très régulier dans leurs pratiques sportives. C’était presque tous les printemps la même chose depuis que je connaissais Edie. Elle réussissait à me convaincre à chaque fois de venir courir avec elle, ce qui me mettait en difficulté physiquement, au moins les premières semaines. Rien de bien méchant, mais ça passait quand même par quelques courbatures et points de côtés les premières semaines avant que la difficulté ne devienne plus raisonnable. Mais je ne le regrettais jamais, car aussi difficile que ça pouvait l’être, je passais toujours un excellent moment avec mon amie. Et c’était l’essentiel pour moi. Alors c’était certain qu’on finirait par trouver un moment elle et moi, et malgré nos emplois du temps bien remplis en cette période.

Une moue légèrement attristée se dessine sur mon visage alors que j’apprends justement que j’avais loupé une de ses venues au Lord Hobo. Le service n’était pas le meilleur moment pour discuter ou m’amuser avec mes amies, mais ça me faisait toujours plaisir de les croiser au bar. J’avais la chance de faire un métier où je pouvais échanger avec les gens, que je les connaisse ou non, ce qui rendait la profession vraiment agréable. Etre barman, c’était avant tout un métier de contact. « Possible. Ou alors j’étais de journée. J’ai un planning qui varie un peu d’un jour à l’autre. » Et comme il y avait quelques étudiants qui travaillaient avec moi, c’était plus simple de leurs laisser les services de soirées ou de nuit pour faire ceux de la journée, même si ça ne m’empêchait pas d’avoir des services tardifs certains jours. « En tout cas, j’espère que vous vous y êtes bien amusées. » Qu’on y vienne seul ou accompagné, c’était le but de cet endroit, s’amuser. Un sourire vient remplacer ma moue alors qu’elle me dit être fière de moi. Je ne voyais pas vraiment ce qui pouvait lui faire ressentir de la fierté à mon égard, mais ça restait agréable à entendre.

Pourtant mon sourire ne prend pas place sur mes lèvres indéfiniment, disparaissant immédiatement lorsque Dahlia est évoquée. Les difficultés que l’on rencontrait dans notre relation étaient si lourdes ces derniers temps qu’y penser suffisait à zapper mon humeur en quelques secondes. Pourtant, Edie ne se fait ni insistante, ni intrusive. Elle cherche simplement à comprendre. A me comprendre. Rien de plus. Elle n’avait jamais porté le moindre jugement sur ma relation ou mes choix, ni même essayé de m’imposer ce qui pourrait être une solution. Elle se contentait de m’écouter, d’essayer de me faire les choses sous un angle que je n’avais pas encore envisagé. « Avec elle ? Pas sous cet angle, mais oui... » Ce qui n’avait rien donné d’autre qu’une dispute au bout de laquelle j’avais dû m'excuser pour ne pas avoir pris en compte ses ressentis, ses inquiétudes. « Ca devient difficile de communiquer entre nous en fait… On passe beaucoup de temps à se disputer, parfois même pour pas grand-chose. Je ne sais trop comment faire pour renouer avec elle. » On avait perdu notre complicité initiale, nos moments de tendresse en tête à tête. J’avais pensé au départ que ça ne durerait pas, mais plus les jours passaient, plus j’avais l’impression que le tunnel s’allongeait, sans parvenir à rejoindre aucune issue. « Je sais que tous les couples ont des hauts et des bas, mais en ce moment j’ai l’impression que l’on a surtout des bas. Quitter le Lord Hobo ça serait prendre le risque de me retrouver au chômage et de rester à l’appart’ toute la journée. Et je n’en ai pas envie. Surtout que je ne sais pas ce que je retrouverais derrière. Mais elle pense que ce n’est pas un endroit convenable pour travailler. » Les mots sortent tout seuls, retenus depuis bien trop longtemps. Ce n’est qu’à la fin de ma phrase que je relève la tête, les lèvres pincées. « Pardon Edie, t’es surement pas venue me voir pour m’entendre me plaindre de mon couple... »

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