we young

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a history by la bande de copains

à tel âge, nous ne sommes qu’un casse-tête constant. à une vingtaine d’années, juste une paire de minutes à s’écouler inutilement sur les disputes constantes, ou les efforts de réconfort. des journées à s’être détestés, ou à avoir patienter que deux enfants puissent s’adorer de nouveau, à laisser les discours de tu n’es plus ma copine à la corbeille. juste une bande d’amis à rêver sûrement d’un ailleurs où on peut s’échapper, loin de la pression scolaire, loin d’une vie à laquelle on obéit, fiers, et droits. juste une bande d’amis comme des enfants, pour deux filles et un grand garçon. à jamais s’être recroisés depuis, à avoir raté le monde des horreurs, et le reste du temps à s’éviter - et à léviter les uns autour des autres comme un souvenir. alors les doigts appuient frénétiquement sur les touches d’autrefois, d’une machine qui sait encore compter les francs que les enfants y déposaient pour s’amuser, les rires aux éclats harmonieux. la cerise qui s’enfonce dans la chantilly coulante d’un milkshake laissé à l’abandon, parce qu’ils s’amusent, les trois enfants. aux pas de danse effrénés, on a tantôt du mal à les suivre, tantôt envie de retomber dans l’éternelle adolescence avec eux. à entendre le menu, à replacer les mèches blondes qui se font la malle d’une queue de cheval peu serrée, à avoir l’impression d’avoir vécu si loin du groupe d’amis, la bande de copains qui m’avait manqué - sans réellement y prêter grande attention. à l’amour qui m’a comblé, à me faire parfois oublier que je suis la pièce majeure des disputes et de l’amitié incessante.
@Amren Wolford & @Perséphone B.-Kerr

(Invité)

L'insouciance. Une sensation qui te semble plus qu'étrangère aujourd'hui. Comme si une partie de toi t'avait abandonné il y a deux années, non plutôt que l'on t'a arraché de force. Une vérité que tu conserves dans ton esprit tandis qu'une partie à été partagé avec Eben et votre figure maternelle. L'insouciance t'a quitté mais pas complètement lorsque l'amitié vient te rappeler que tout n'est pas terminé, que tout reprend sa place un jour ou l'autre. Tu ressens cette émotion à nouveau lorsqu'il est question d'être en compagnie de tes camarades, Theo et Persé étant tous les deux ce concentré de fruits vitaminés qui te redonne la dynamique tant recherché. La période de l'adolescence est une porte que vous franchissez ensemble d'un commun accord pour la soirée. « Bon alors, lequel de vous deux tente de me battre à Mortal Kombat ? ». Demandes-tu à tes deux camarades tout en désignant l'arcade de jeux à l'effigie du célèbre jeu vidéo. Gamine, tu observais tes trois frangins s'affronter a ce jeu jusqu'à ce que Evan te propose de jouer en étant certain que tu perdrais. Manque de chance pour lui, tu t'étais révélé être une excellente joueuse. « Allez, ça va être chouette, mh ? ».
@Theo Yun @Perséphone B.-Kerr

(Invité)

we young | @Theo Yun @Amren Wolford
À ses cœurs d'enfants qui ne cessent de grandir, mais dont l'esprit se teint encore dans l'insouciance de ce monde. À ces trois gamins, dont deux qui ne cesse de se chamailler ou bien se bouder, dont une à la présence paisible qui offre toujours cet aspect neutre parmi ces deux têtes d'effrontés, parvenant à équilibrer ce trio. À ces jeunes adultes qui profitent de leur moment de liberté pour laisser choir leur esprit sur leur envie enfantine qui ne peut les quitter, décidant de se rejoindre dans une arcade de jeux, dont les couleurs fluorescentes des écrans qui se reflètent dans leurs yeux encore émerveillés de cet échappatoire que l'offre la beauté de la technologie. " Je me propose la première alors " dit-elle en levant la main tout en offrant un clin d'œil complice à son amie. "Parce que je sais qu'avec toi , en deux secondes, je te fous une raclée." se moque-t-elle gentiment en pointant Théo du doigt. "Et si on pimentait un peu les choses hein ? Le perdant parmi nous trois payent pour les repas des autres ? " Propose-t-elle d'un sourire machiavélique pensant qu'elle ne sera pas ce fameux perdant.

:copyright: lumos solem.

(Invité)

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a history by la bande de copains

arcade désignée comme vile créature des idées les plus sordides. des paris les plus stupides. à éveiller les âmes des mômes que nous sommes, du haut de la vingtaine. du haut des grandes pensées enfantines. et on s’apprécie, dans les eaux douces ou dans les grandes marées. à l’aînée qui me ressemble, à être l’électricité palpable quand les voix partent en éclat, quand les messages ne reflètent jamais ce que l’on pense réellement. et quand la cadette est notre opposé, nous complète, quand en réalité, on ose les eaux douces pour savoir canaliser les énergies trop présentes. et ce soir, c’est l’oubli. les études abandonnées, les bouquins encore ouverts sur les bureaux, éclairés par les lampadaires de boston. éclat de lumière à travers les rideaux ridiculement fermés d’un geste rapide avant de savoir s’échapper à travers les machines d’une enfance trop lointaine. le rictus enfantin sur les lippes, aux iris brillantes, de savoir vivre au sein d’un groupe d’amis, enfin réunis par les aléas qui les séparent. gorgée de soda qui étouffe, lacère la gorge quand les paroles tombent. “ pardon ? vas-y, amren, fout lui une raclée qu’on rigole bien après. ” au regard malicieux, jusqu’à la langue tirée - signe de l’enfance pas si aisément effacée. grand corps qui sautille vers elle, levant un doigt pour prendre la parole. “ et pas que le repas. le reste. on va pas que rester ici. ” à tendre les doigts petits doigts pour une promesse, sourire naïf sur les lippes. “ deal ? ” à rire comme des adolescents, d’une promesse qui n’a pas de valeur pour les grandes personnes, quand pour les enfants qu’on demeure, c’est presque un rêve inavoué.
@Amren Wolford & @Perséphone B.-Kerr

(Invité)

En tant que musicienne, on pensait souvent que tu n'avais guère la fibre de l'amusement autre que les cordes de ton violoncelle. En tant que jeune étudiante réservé, on disait souvent que tu ne savais pas t'amuser. Hors, c'est bien le contraire qui se définit quand bien même tout est chamboulé depuis deux années. Néanmoins, les arcades et la présence de tes deux comparses est une combinaison certaine pour te révéler davantage. C'est pourquoi c'est dans l’euphorie de la certitude que tu proposes le jeu Mortal Kombat. Si Persé est la première à se dévouer en étant ambitieuse de te battre, tu es contente d'avoir le concours de soutien de Theo. Le piment du jeu étant posé, tu hoches la tête tout en mêlant ton petit doigts à ceux de tes camarades pour affirmer la promesse. « Deal ! ». Tu recules de quelques pas pour mettre une pièce dans la machine avant d'appuyer sur le bouton pour lancer la première partie et bien évidement tu fais signe à Persé de faire son choix de personnage. Un brin curieuse de savoir laquelle la jeune femme va choisir.
@Theo Yun @Perséphone B.-Kerr @Namkyu Jeong

(Invité)

we young | @Theo Yun @Amren Wolford @Namkyu Jeong
On pourra dire ce qu'on voudra d'elle, qu'à ses vingt-six ans, elle devrait faire des choix plus matures qui reflètent son âge. Mais non. Étudiant déjà dans la branche médicale où l'environnement stressant de ce dernier peut ternir l'humeur à quotidien de quiconque qu'y pratique son métier, des moments comme ceux-là, où elle peut se relâcher, prendre un souffle, sans avoir à s'inquiéter d'avoir la vie d'un patient entre ses mains, elle s'en délecte jusqu'à la dernière minute. Que ce soit pour provoquer un peu Théo en rigolant de la réaction de ce dernier, ou bien s'amuser avec sa bonne copine Amren, y'à que ces moments là où elle se sent elle-même. "Deal" acceptant le pacque d'un sourire carnassier tout en cocotant un plan pour que ce soit ce bon vieux Theo qui aura le fatidique sort de payer pour tous. Elle se rend vite compte qu'il manque un autre membre de leur petite bande. "Bah, il est où Namkyu ? Vous n'êtes pas venue ensemble ? " Pose-t-elle la question au jeune blond, tandis qu'elle et Amren s'apprêtaient à démarrer une première partie, prenant Ermac pour ce premier combat.

:copyright: lumos solem.

(Invité)

02/05/2021

toujours parfaitement en retard, le sale gosse. le sourire sur les lèvres, les mains dans les poches et les chaussures qui se traînent contre le bitume. toujours un truc à faire avant de partir, toujours un truc à régler qui le met en retard, le gamin tête en l'air. peut-être qu'il faisait ses devoirs ou peut-être qu'il était avec une fille. mais il va juste encore s'inventer une excuse pour ne pas être à l'heure. vagabond de la rue, il rejoint enfin ses amis. son nom qui résonne jusqu'à ses oreilles, vibrant dans la voix de son amie. entrée triomphante de l'insupportable gamin. — il est là namkyu, merci de t'en inquiéter ! le fanfaron qui se glisse auprès de sa bande d'amis, qui regarde un peu ce qu'il s'est passé pendant son absence. rire enfantin qui s'échappe de sa gorge. — hé amren t'as pas honte un peu, défier la mémé de la bande. c'est pas de sa génération les jeux vidéos. regard taquin qui se tourne vers perséphone. un plaisir sans fin qu'est celui de la taquiner à longueur de journée sur son âge. le gosse se tourne vers son meilleur ami, passe un bras autour de ses épaules. — tu paries sur laquelle comme grande gagnante ? clin d'oeil amusé, c'est qu'il a faim, l'enfant.

@Theo Yun @Amren Wolford @Perséphone B.-Kerr :heaart:

(Ida Schäfer)

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et ne jamais abandonner les dix-sept et dix-huit ans. adolescents au cœur de nos corps d'adultes. à suggérer que l’âge enfantin ne se taise jamais. à suggérer que l’on sache, peut-être pour une soirée, encore devenir les mômes que les curieux admirent, à l’insouciance qui se fait maîtresse de ces parties de jeux vidéos endiablées. gamins solaires qui se taquinent, au détour d’une promesse de nourriture payée par le perdant, au détour d’une malice dans le regard. et les regards se comprennent, avec l’aînée. ils communiquent, se murmurent qu’on trouvera un moyen pour que l’un de nous deux soit l’heureux perdant - ou le malheureux portefeuille qui se videra, ce soir, sous les estomacs criant famine. rivalité constante, entre nous. rivalité amusante, juste deux idiots au détour d’une manette, des bras croisés sur mon torse en observant ma jeune pouline choisir son personnage. et l’attention est reportée sur le nom du meilleur ami, les épaules qui se haussent. feindre une moue boudeuse lorsque ce dernier éclate sa voix dans cette résonance insupportable, jusqu’au sourire incapable d’être contenu. “ au moins, on l’entend arriver celui-là. ” poing déposé sur les lèvres, à contenir le rire qui éclate à l’intérieur de moi, iris malicieuses levées en direction de l’aînée de la bande. aux deux mômes que nous sommes, garçons du pire. “ amren. c’est ma chouchou, mon petit ange. je crois en elle. ” à cette attache toute particulière avec la cadette de la bande. ange et rayon de soleil. douceur quand je ne suis que brutalité. bras passé autour des épaules de l’ami brun, à observer la partie se dérouler.
@Amren Wolford & @Perséphone B.-Kerr & @Namkyu Jeong

(Invité)

Prunelles rivées sur l'écran du panel de personnages, la question soudaine de Perséphone te tire de ta rêverie passagère. C'est vrai que Namkyu n'est toujours pas arrivé surtout que de coutume, il es toujours en compagnie de Theo. Les deux garçons forgeant un sacré binôme. Après ce n'est pas la première fois que votre ami n'est pas ponctuel et quelque par c'est ce qui fait le charme de son caractère. Et lorsque l'on parle du loup, sa voix tonne comme le début d'une partie de football ce qui attire l'ensemble des regards de la bande. La réplique de Namkyu a le don de t'arracher un sourire mutin alors que tu toises Persé avec un sourire entendu. « Peut être pas, tu sais Persé a de la ressource même si je me débrouille plutôt bien. ». Tu considères ton amie d'un clin d'oeil entendu avant de reporter ton attention sur l'arcade de jeu et que les garçons commencent à débattre sur laquelle des deux filles va remporter la première manche. Tu entends la voix du jeune blondinet parier sur toi, tu le remercies d'un sourire amusé avant d'observer le choix définitif de Persé.
@Theo Yun @Perséphone B.-Kerr @Namkyu Jeong

(Invité)

we young | @Theo Yun @Amren Wolford @Namkyu Jeong
La minute où il apparaît et ouvre son bec, elle regrette immédiatement qu'elle ait demandé pour lui. Tout aussi mesquin que son copilote quand il s'agit de la charrier sur son âge et oh quel point c'est elle la plus mature en année parmi eux, Namkyu et Theo se donnent à cœur joie de la traiter de mamie ou bien de mémé cette chère Perséphone. Soyons honnête, vu de son visage de poupin et de ses dents d'en-avant légèrement prononcés, lui donnait un air de lapin, elle ressemble plus à une lycéenne rien qu'à en juger de son apparence. Mais bon, ça n'arrête pas ces deux crétins de lui faire rappeler à chaque occasion qu'elle est la plus vielle parmi leur joyeuse bande de pote. — oué oué, elle va te faire manger le sol après la mémé, on verra qui d'entre nous deux ira à la maison de retraite en premier . — Elle lui fait un joli doigt d'honneur sans détourné les yeux de l'écran. — tu sais que je t'aime Amren hein ? Plus que ces deux idiots réunis. — Un ange. Cette fille était trop douce pour rester parmi eux. Ils allaient finir par ternir son côté angélique, surtout par les deux corrompus au nom de Namkyu et Theo. — bon laissons les chahuté comme des poules et concentrons-nous sur la partie — elle fait craquer les jointures de ses doigts, une mine sérieuse plaquée sur le visage.

:copyright: lumos solem.

(Invité)

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