Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityReyes - Calme avant la tempête
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Reyes - Calme avant la tempête

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Il y a des choses qui changent pas. Comme par exemple un message bizarre envoyé à Reyes alors je suis clairement assis sur le canapé en crise noire et intense d'absence depuis des heures. En fait, j'aurais cru pouvoir me calmer, souffler et être au calme avec de la musique classique mais c'était clairement sans compter sur le monde autour de toi. J'ai entendu des hurlements dehors, j'ai entendu des bruits dans le couloir et j'ai paniqué. Mon frère me dit toujours ne pas rester seul à la maison mais je viens clairement de comprendre pourquoi.

Un seul message, un seul message Help, appartement Le message le plus bizarre et insupportable que j'ai pu envoyé. Parce que d'habitude ce sont des crises de rage, des crises de suicide ou même des crises d'aucune possession de mon corps, mais là c'est une crise noire, celle quand on est dans ces démons, dans son univers, dans son monde. Et mon monde est bien plus noir que les gens peuvent le croire.

Le téléphone est posé sur la table basse, je suis clairement assis sur le canapé et je ne fais rien. Je suis là à attendre. J'ai du avoir un peu de lucidité pour laisser la porte fermée mais pas verrouillée dans je suis rentré et Dieu me dit merci. Je ne sais pas, je ne sais pas qu'est que je fais mais je fixe le téléphone depuis des longues et insupportables minutes. Pour toi, c'est juste un débile qui commence à perdre la tête, pour moi, c'est une crise de déprime. Bien sur quand j'entends du bruit, je ne dis rien, je ne fais rien, cela doit être Reyes...

@Reyes Rothschild :heaart:
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Il y a le songe d'autrefois, celui qui réapparaît quand lorsque ton âme s'égare. Cela arrive à chaque fois que ton esprit n'est pas occupé. Telle une inspiration, tu ressens la douceur éphémère de sa présence avant que l'expiration la fasse disparaître en une seconde. Bien évidement, tu parles du souvenir de ta défunte petite amie à qui la vie a été arraché trop vite.  Tu viens de mettre un point final à un dossier sur lequel tu bosses depuis le début de semaine, et après relecture tu sais que la précision et de l'ampleur est de taille. De quoi ravir ton paternel qui t'a prévenue que cela serait le dernier. Une manière détourné de te dire qu'il s'inquiète pour toi et les dires de ta figure maternelle le confirment. Tu recules ton fauteuil de bureau d'un petit coup de pied, tandis que ton regard protecteur et paternel se pose sur le visage paisible de ta gamine qui dort sur ton lit. Tu te lèves pour la recouvrir d'un plaid à l'effigie de bébés cygnes lorsque ton cellulaire vivre comme un bourdon dans la poche ton jean. Le message est limpide, il ne t'en faut guère plus pour agir. Tu attrapes ta veste, laisse la porte de ta chambre entre ouverte avant de demander à Moon de garder la petite. Ta belle sœur hoche la tête mais au moins tu sais qu'avec sa tante, Emma ne risque pas de se réveiller en panique si elle ne te voit pas. Quelques kilomètres en voiture et des pas précipités plus tard, tu pénètres à l’intérieur de l'appartement de Léo sans prendre la décence de toquer – mais tu claques la porte pour le refermer. Assis sur le canapé, immobile, le jeune homme semble englouti par un flux de pensés sombre. « Hé, Léo ! Dis-moi quelque chose. ». Ton intonation de voix est d'une tempérance apaisante car tu sais que le timbre de voix fait beaucoup, surtout lors des crises de ton ami.
@A. Léo de Liechtenstein
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Cela aurait été trop facile si j'avais été en bonne phase toute ma vie mais je ne sais pas pourquoi cela tombe maintenant. Mon frère n'étant pas là, je ne savais pas à qui me tourner et j'ai envoyé ce message à Reyes parce que je sombrais lentement dans les ténèbres. Je pensais à pas mal de choses, négatives, venant lentement et petit à petit oublier rapidement tout ça et bien sur le canapé n'aidait pas à me sentir vivant. Je me laissais aller, sentant mes yeux me fermer alors que la porte émit un claquement. Reyes. Il était arrivé, il avait compris, il allait t'aider. Je ne me sens pas très bien ce qui était fortement le cas, mais je n'avais pas forcément besoin de l'exprimer pour que cela se voit. J'étais sans un état second, un état négatif que je n'aimais pas avoir et je ne supportais pas réellement ça. Je soupire, venant à ajouter Je suis désolé d'être comme ça... Parce que c'était la maladie, parce que c'était la folie, parce que ce n'était pas moi malheureusement. Je n''avais aucune envie de mourir, encore moins être enfermé et pourtant j'étais incapable d'être normal dans ce moment qui partait pourtant en lambeau. Je viens attraper maladroitement ma main pour résister un peu à toutes ses pensées mais tout venait se bousculer dans ma tête. De la peine, de la rage, de la mort, tout cela n'était pas forcément bon pour moi.
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La carte de la tempérance a souvent été érigé, apposé lorsque ton jeune frère se montrait trop impulsif. Un moment de tempérer ses ardeurs qu'elles soient énergiques ou encore colériques. De la fratrie, tu étais celui qui temporiser bien des situations, rare demeurer les fois où tu ne parvenais pas à gérer. Avec le De Liechtenstein, l'écho jouait sur la même logique mais avec une profondeur supplémentaire. L'expression de visage semble dénué de toutes émotions, ces dernières entravées dans un flux obscur de négativité. Tu connaissais assez Léo pour savoir qu'il avait horreur que l'on puisse le voir dans cet état, un état sur lequel il n'avait toujours pas le dessus. Pour autant, celle image est relayé au tiers plan, le plus important était de maîtrisé et d'apaiser au mieux ses maux intérieurs. « Ne t'excuse pour cela, Léo, on en déjà parler il me semble. ». Ton timbre de voix respire la pérennité et la confiance la plus véridique. Tu t'assois en sur la table basse en face de lui, venant serrer son avant bras comme pour forger un point d'ancrage par lequel conserver le lien. « T'es pas tout seul à gérer ça, mon gars. ». Tu avais conscience que de nombreuses pensées tourbillonnaient dans son esprit mais le but était surtout de le tirer vers le haut, non vers le bas. « Dis ce qui te passe par l'esprit, j'ai une réponse à chaque chose que tu vas dire. ». Un pari que tu prenais à chaque fois que l'une des crises de ton ami remontait à la surface.
@A. Léo de Liechtenstein
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Reyes savait toujours quoi dire pour me rassurer. Il était certes un peu plus jeune que moi, il savait quoi faire, au bon moment et c'était sans doute pour ça que c'était à lui que j'avais envoyé le message. Je fixais le vide, venant me rendre compte de sa présence par son toucher et aussi par sa voix, les sens étaient développés mais pourtant j'étais aveugle de bonnes ondes. Je m'accroche à cette voix alors que j'essaye de parler mais c'est assez compliqué de se concentrer avec toutes ses pensées. Mais voilà, j'entends du bruit, pensant qu'il était partit pour aller cherche de l'aide ou même partit tout court mais j'enlevais cette pensée rapidement de mon esprit, Reyes n'était pas comme ça. La preuve, il me touchait encore, il s'assit je ne sais trop où mais il me tenait mes avant-bras, bien fermement et d'instinct je serras les siens également. C'était difficile de savoir si une personne était douée pour réussir à me ramener dans mes pensées positives ou non, mais là, la crise était différente, des pensées complexes, mélangées entre elles, c'était le bordel. Et dire qu'il voulait que j'arrive à lui expliquer ce que j'avais dans le crâne. Bonne blague ou pas finalement. Je me laissais un peu aller quand même, venant à pincer les lèvres. Les décrire ça va être compliqué, mais je vais essayer. Je sais pas, j'ai envie de me faire mal. Je voix du sang, j'ai mal à la tête aussi. Je crois que je respire lentement aussi J'essaye de décrire mais c'est super compliqué et même impossible à faire finalement. Donc je ne sais pas si tout ce que je lui ai dis, ça va l'aider finalement. Peut-être qu'il faut que j'essaye aussi de fermer les yeux mais j'y arrive pas totalement à le faire malheureusement...

@Reyes Rothschild
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La maladie est un calvaire dans un quotidien. Tu es le mieux à même d'en dépeindre une situation car les vestiges de la présence de Carla sont là pour témoigner d'un vécu. Pour autant, tu sais également que la bipolarité de ton jeune camarade est loin d'être anodine. Elle est même bien plus complexe car elle guide ses pas vers des chemins toujours plus différents. Néanmoins, tu agis toujours avec beaucoup de précaution et de tempérance. Un attrait qui fait presque partie intégrante de toi. Assis en face de Léo, tu lui demandes de te décrire les pensées qui obstruent son esprit afin que tu puisses prendre la mesure de la noirceur qui s'écoule. L'obscurité macabre est une danse où l'ichor carmin ondule sur le siège d'une violence qui l'éreinte. Les maux de tête, le souffle qui semble lui manquer … Le fait qu'il parvienne à dire à voix haute ce qu'il ressent – même de manière succincte demeure encourageant pour l'instant. « Okay, pourquoi aurais-tu envie de te faire du mal ? ». Ton timbre est toujours calme, apaisant. Tu exerces une pression douce sur le poignet de ton ami afin de lui signifier qu'il est toujours encré dans l'instant présent mais aussi que tu es toujours là. « Tu devrais fermer un petit moment les yeux, Léo. Je vais te chercher un truc à boire, mh ? ». tu sais que  Léo prenait un traitement mais l'avait-il pris correctement ? On n'est jamais certains que le médicament fonctionne avec exactitude c'est cela le souci également.
@A. Léo de Liechtenstein
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J'aurais du m'en douter que c'était une mauvaise idée de rester seul ce soir. Et voilà que la crise débarque, encore plus appréciable tout ça, mais je me laisse aller aux paroles de Reyes. Le plus important était de revenir, d'oublier tout ce à quoi je pensais, de laisser libre recours à ces paroles et de mettre m'éviter un incident. Après tout, qu'est ce qu'était réellement une crise quand les gens me connaissaient. Cela pouvait être tout et n'importe quoi, dont des pensées trop sombres pour comprendre pourquoi et comment je suis là. Je fixe un instant le sol, essayant de lui décrire ce que j'avais en tête, des paroles, des images, mais je décris surtout ce que je pensais être le plus juste. La question de Reyes me résonne en tête et j'ajoute presque à la suite sans réfléchir Parce que ça fait du bien. Cela pourra être débile pour certains mais pas pour moi, c'est naturel et normal d'être ainsi finalement. Et puis je n'avais pas réfléchi, c'était simple et efficace comme réponse finalement. Je continue de sentir sa présence, cela me fait du bien de savoir qu'il était là et même si j'avais appris à me calmer avec mon frère, Reyes était un ami proche qui avait du me dompter rapidement finalement. Mais voilà il veut que je ferme les yeux mais j'avais pas très envie de le faire et de me retrouver seul avec toutes ses pensées. Je soupirais lentement, plusieurs fois comme pour savoir que mon souffle cardiaque n'était trop rapide, ni trop lent et j'ajoutais Et je fais quoi après avoir fermer les yeux ? tel était la question fatidique finalement. Que faire dans le noir et avec ses pensées meurtrières ? Mais il avait toujours réponse à tous, c'était pour ça que même les questions connes n'étaient pas connes avec le jeune Rothschild.
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La confiance a été simple a tisser quand bien même la persévérance s'est révélé être un ingrédient majeure du coté  de ton camarade. Par sa bipolarité, tu as très vite deviné que cela ne serait pas simple pour lui mais il est apparu que ton calme quotidien a été un atout majeur dans ta manche. Léo – tout comme son petit frère – sait qu'il peut compter sur toi en cas de problème, même le plus infime. La preuve étant de révélation lorsque tu as reçu son message court mais explicite de la situation. Cette dernière n'est jamais la même, tout dépend des flots émotionnels du porteur. Présentement, la fatigue est prédominante, écumant – ou presque – sa colère par un élan de froid qui le rend comme léthargique. Tu écoutes avec pertinence ses courtes paroles et tu sais alors que ce n'est pas la minute propice pour le laisser en compagnie d'une solitude même de petite durée. « Le bien procuré n'est pas toujours salvateur, Léo. On peut trouver autre chose, tu ne crois pas ? ». Timbre toujours serein de plénitude, ton interrogation est ouverte, simple au lointain du jugement. C'est une proposition que tu lui proposes dans son plus simple appareil, s'il refuse, tu t'adapteras comme à chaque fois. Sa question soudaine respire l'hésitation crainte de la prochaine étape, ce qui renforce ton idée de ne pas le laisser seul. Toujours en maintenant le point d'ancrage, tu viens t'asseoir à coté de lui avant de poursuivre. « Tu fermes les yeux et tu te laisses guider. Il n'y a aura pas de silence, juste le son de ma voix pour commencer et si cela te va on poursuit, si ce n'est pas le cas on avise autre chose, okay ? ». Il n'y avait jamais de pression de ta part, juste le libre choix de ton ami car la liberté est une ligne ténue qui semble lui échappé dans la vision de sa maladie. Et cela, tu espères et tentes à chaque fois de lui en défaire l’étau.
@A. Léo de Liechtenstein
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Qu’est que j’aurais fait sans Reyes ? J’aurais sûrement fait trop de conneries pour m’éviter les pensées négatives que j’avais dans le crâne. Il intervenait souvent à toutes les crises peu importe dans quel état j’étais. Positif ou négatif il était là. Mais la seule qu’il n’avait pas connu était bien la crise suicidaire. Je n’arrivais pas à me dire que cela serait facile pour lui de me découvrir sans doute à moitié mort afin de m’aider. Le problème c’est que c’était horrible. Je les protégeai aussi un maximum lui et mon frère parce qu’on ne sait jamais ce que cela peut déclencher. La première fois, mon frère a vomi presque sur moi en me découvrant dans la salle de bain et depuis j’essaye de lui faire croire que tout va bien à ce niveau mais c’est faux bien entendu. Mais là c’est différent, ce sont des pensées seulement, noirs, intéresses et assez oppressantes pour moi finalement. Sauf que Reyes est là et il va m’aider à tout réaliser, parce que oui, ensemble, nous sommes plus forts. Je le crois quand il me dit que cela me fera du bien de fermer les yeux alors quand il s’assoit à côté de moi, je ferme les yeux et ma main se resserre plus durement sur sa main sans que je ne contrôle quoi que ce soit finalement. Je lui fais confiance, il me fait confiance. Mais tout se bouscule dans ma tête, tout devient perturbant, comme un cauchemar dans la ville réelle, impossible à sortir et impossible à détruire. Je ne supporte pas du tout cela, et j’essaye de calmer ma respiration bien que ma main ne lâche absolument pas la sienne parce que c’est le seul encrage à ce moment. Je finis par souffler fortement Je le sens pas du tout … Non parce que tout est différent. Bousculade dans ton cerveau, dans ton imaginaire, dans ton corps clairement, je ne peux absolument rien fait pour contrer tout ça et il n’est pas avec moi...
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Ses maux sont perceptibles. Ils le sont sans aucun doute parce que tu le connais, que tu as appris à l'apprivoiser au travers de votre amitié unique en son genre mais surtout parce que tu es un être particulièrement analytique et fin observateur. Un attrait de ta personnalité qui dérange un temps soit peu, grand bien que cela fasse à autrui, tu n'en as que faire. Les réponses surgissent à ton esprit sans que tu es besoin de demander confirmation aux individus. Pour autant, avec le jeune prince tu avais appris que chaque situation est différente de la précédente d'autant plus lorsqu'il est sous l'influence d'une aura qu'il ne peut contrôler en solitaire. Sa poigne autour de ta main est ferme, solide tel un naufragé s’accrochant à une bouée, signification sous-jacente de la moindre volonté quand bien même il ne peut l'apercevoir de ses propres yeux. Ses propos demeurent un murmure, une impression où il se laisse engloutir et où toute volonté comme à s'effacer petit à petit. Tu exerces une légère pression sur sa main afin de tenter de la ramener dans l'instant présent. Tu saisis ton cellulaire à l'arrière de la poche arrière de ton jean tout en cherchant dans tes fichiers audio. « Concentre toi sur ma voix, Leo. ». Déclares-tu d'un intonation calme et ferme à la fois afin d'inciter son esprit à demeurer en éveil le plus longtemps possible. Tu lances enfin la morceau de musique que tu cherchais, haussant quelque peu le son pour permettre d'avoir un fond sonore sans que cela soit trop fort pour brouiller la quiétude. Tu déposes ton smartphone sur la petite table basse, laisse la musique classique prendre possession de la pièce. « Laisse toi bercer par la musique. ». Tu raffermis la prise sur le point d'ancrage formé par vos deux mains alors que tu poursuis tout doucement pour apaiser davantage l'ambiance. « C'est un morceaux qu'a enregistré Emma. ». Tu poursuis le discours maintenant une quiétude dans la sphère qui se créée doucement mais certainement. Tu avais enregistré la performance de ta gamine lors de son dernier spectacle afin d'avoir des souvenirs mais aussi parce que son talent à la flûte traversière était précoce.
@A. Léo de Liechtenstein
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