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don't leave me | @Mickey Ainsworth
ton week-end avec hope est passé tellement vite. pas le temps de faire grand chose. vous connaissiez déjà les rues parisiennes depuis cet été. ce que vous vouliez surtout c'est passer du temps à deux. oublier le quotidien. essayer de souffler loin de tout. vous en aviez besoin l'une comme l'autre. pas les mêmes problèmes certes, mais des problèmes quand même. ressourcées, tu pourrais pas dire ça comme ça. du moins, toi, te concernant t'es pas non plus remontée à bloc. dès que t'as reconnu le premier bâtiment de boston, tes problèmes du quotidien te sont revenus en pleine tronche. demain, tu vas reprendre le taff. prendre le risque de recroiser ce mec qui te suit depuis quelques jours. cette semaine à new-york t'avais permis de ne pas avoir peur. mais, cette fois, tu ne pourras pas reculer. t'as même presque envie de l'affronter. parce que tu sais que c'est après toi qu'il en a. et au fond de toi, t'as l'impression qu'il se passe un truc. c'est bien plus compliqué que ça en a l'air. t'as juste pas hâte d'être à demain pour affronter ça. le retour à l'appart' s'est déroulé dans le silence le plus complet. vous qui d'habitude avait tellement de choses à vous raconter.... t'es distante depuis un moment, tu le sais. mais cette fois, c'est lui que tu trouves distant. et ça, ça lui ressemble pas. tu dis rien. tu poses tes affaires, te rends dans la salle de bain histoire de prendre une bonne douche. t'es enfin chez toi. rien de mieux que cette sensation de retour à la maison. t'as l'impression de passer une éternité sous l'eau chaude. t'as juste envie de profiter de cette sensation de bien être au maximum. cette sensation, tellement agréable. tu retrouves le sourire petit à petit. ça te mets presque du baume au coeur. serviette enroulée autour de toi, tu te rends vers l'armoire pour prendre des affaires propres. et c'est là que tu vois un sac rempli d'affaires. tu te baisses, fronçant les sourcils, puis l'ouvre un peu plus pour regarder dedans. des fringues. de mickey. ses fringues et là, tu te figes en te redressant d'un seul coup. fermes les paupières, évitant de penser au pire. mais après tout, est ce que ce serait pas évident ? t'es consciente de tout évidemment. palpitant qui s'active, boule au ventre qui ne fait que s'accroitre au fil des secondes. la panique qui manque de s'emparer de toi. respire. il veut partir ? vraiment ? tu te laisses tomber sur le bord du lit. t'as besoin de t'asseoir. c'est clairement pas le genre de mickey de mettre des fringues dans un sac pour les amener chez le pressing hein. c'est pas bon signe. tu déglutis, puis te racles la gorge « .. bébé ? t-tu peux venir dans la chambre s'te plait ? » t'essayes de pas paraitre trop ferme, puisse que maddie se trouve dans le salon avec lui. tu souffles, essayant de retenir tes larmes.
ton week-end avec hope est passé tellement vite. pas le temps de faire grand chose. vous connaissiez déjà les rues parisiennes depuis cet été. ce que vous vouliez surtout c'est passer du temps à deux. oublier le quotidien. essayer de souffler loin de tout. vous en aviez besoin l'une comme l'autre. pas les mêmes problèmes certes, mais des problèmes quand même. ressourcées, tu pourrais pas dire ça comme ça. du moins, toi, te concernant t'es pas non plus remontée à bloc. dès que t'as reconnu le premier bâtiment de boston, tes problèmes du quotidien te sont revenus en pleine tronche. demain, tu vas reprendre le taff. prendre le risque de recroiser ce mec qui te suit depuis quelques jours. cette semaine à new-york t'avais permis de ne pas avoir peur. mais, cette fois, tu ne pourras pas reculer. t'as même presque envie de l'affronter. parce que tu sais que c'est après toi qu'il en a. et au fond de toi, t'as l'impression qu'il se passe un truc. c'est bien plus compliqué que ça en a l'air. t'as juste pas hâte d'être à demain pour affronter ça. le retour à l'appart' s'est déroulé dans le silence le plus complet. vous qui d'habitude avait tellement de choses à vous raconter.... t'es distante depuis un moment, tu le sais. mais cette fois, c'est lui que tu trouves distant. et ça, ça lui ressemble pas. tu dis rien. tu poses tes affaires, te rends dans la salle de bain histoire de prendre une bonne douche. t'es enfin chez toi. rien de mieux que cette sensation de retour à la maison. t'as l'impression de passer une éternité sous l'eau chaude. t'as juste envie de profiter de cette sensation de bien être au maximum. cette sensation, tellement agréable. tu retrouves le sourire petit à petit. ça te mets presque du baume au coeur. serviette enroulée autour de toi, tu te rends vers l'armoire pour prendre des affaires propres. et c'est là que tu vois un sac rempli d'affaires. tu te baisses, fronçant les sourcils, puis l'ouvre un peu plus pour regarder dedans. des fringues. de mickey. ses fringues et là, tu te figes en te redressant d'un seul coup. fermes les paupières, évitant de penser au pire. mais après tout, est ce que ce serait pas évident ? t'es consciente de tout évidemment. palpitant qui s'active, boule au ventre qui ne fait que s'accroitre au fil des secondes. la panique qui manque de s'emparer de toi. respire. il veut partir ? vraiment ? tu te laisses tomber sur le bord du lit. t'as besoin de t'asseoir. c'est clairement pas le genre de mickey de mettre des fringues dans un sac pour les amener chez le pressing hein. c'est pas bon signe. tu déglutis, puis te racles la gorge « .. bébé ? t-tu peux venir dans la chambre s'te plait ? » t'essayes de pas paraitre trop ferme, puisse que maddie se trouve dans le salon avec lui. tu souffles, essayant de retenir tes larmes.
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