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You're real + COLIANA

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Tu as décidé de faire le nécéssaire pour rattraper ta connerie, même si pour toi ce n’était en rien méchant, mais tu pouvais comprendre niveau fatigue, elle n’avait pas du dormir énormément. Tu connaissais les spring break, tu en avais fait un paquet durant toute ta scolarité. Pour rien au monde tu n’aurais pu en louper un, donc tu pouvais savoir ce que ça faisait le retour à la réalité. Difficile, surtout avec l’alcool et les nombreuses soirées et toi avec la drogue en plus. Un mélange toxique, carbonique, qui faisait de toi une vrai loque une fois de retour. Les stages, ça avait été simple pour toi vu que tu les faisais avec ton père, ce qui t’avait permis plus d’une fois de louper quelques jours pour pouvoir rattraper la fatigue. Tu avais donc toqué à sa porte, pour rentrer dans son bureau et s’asseoir sur l’un des fauteuils disponible. Ton regard se promenait dans cette salle, des photos, des dessins, c’était ça que tu appréciais ici. Une entreprise familiale, les salariés s’y sentaient bien, très peu de turn over, des personnes qui étaient payé avec une belle commissions, des avantages que toutes les entreprises ne proposaient pas. Ton regard se posait sur la jeune femme, plutôt bien assise dans ce fauteuil, et tu l’écoutais, lui proposant même de prendre quelques jours si besoin. Tu n’étais pas le type horrible, sans coeur, même si tu tentais de paraitre ainsi. Une défense, une protection pour ne plus souffrir, pour ne plus t’attacher, chose que tu voyais qui s’envolait petit à petit. Cette jeune femme changeait beaucoup de chose en toi, et ça te perturbait mais tu tentais de ne pas le montrer, mais finalement plus le temps passait et plus elle brisait ta petite carapace. « Pas de soucis, mais tu sais que ma proposition tient, si besoin tu n’as juste qu’à me le demander. » un léger sourire pour accompagner tes paroles. Tu savais qu’un jour ou l’autre, ça arriverait, qu’elle te demanderait des explications et ce jour venait. Alors, tu tentais d’être le plus délicat possible, de ne pas la braquer, ce n’était pas le but et encore moins actuellement. Elle était l’une des meilleures stagiaires, ton père voudrait la garder dans la société, tu ne devais donc pas foutre le bordel dans ces prévisions. Une fois que tu finissais d’expliquer, tu préférais la prévenir que personne n’était au courant. Elle n’avait donc aucun soucis à se faire, et ça resterait forcément entre elle et toi. Ton regard se posa de nouveau sur elle « Des ennuies ? Ne t’inquiète pas Oriana, je n’aurais pas de problème. » soufflais-tu doucement, une voix calme et posée. « Tu sais, mon père voudrait bien une belle-fille comme toi, je n’entends parler que de toi. » tu rigolais un peu, tentant de détendre l’atmosphère, même si ce que tu disais était totalement réel. « Il t’apprécie beaucoup, alors si il venait a apprendre ça, il espérerait qu’on aille plus loin. » tu levais les yeux au ciel, en haussant les épaules.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer

Âge : 27
Lieu de naissance : là où siège la dame de fer soit la capitale française, celle nommée paris.
Quartier d'habitation / Colocation : au centre de boston.
Situation sentimentale : veuf depuis mars 2022.
Études / Métier : étudiant en linguistiques étrangères. - traducteur au sein d'une maison d'édition.
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Nommées, nombrées, étaient les choses que tu avais apprise au contact du Lowry. Architecte brillant dont la vision était si dimensionnée qu'elle lui permettait de voir chaque projet dans son ensemble et ce sans omettre la moindre idée même infime. Tu avais appris à décupler ta portée de visuelle sur le domaine architecturale tout en étoffant ta vision toute personnelle. Si le directeur avait su déceler un grand potentiel chez toi, il te l'avait davantage démontrer lorsqu'il t'a assigné sous la tutelle de son propre fils. Colton était connu dans le métier mais encore plus dans les corridors de l'entreprise où il avait gagné ses propres galons. On le dépeignait comme un acharné de la perfection, un pointilleux dessinateur et un homme difficile à supporter à cause de son caractère arrosant. En ce qui te concernant, tu n'étais pas là pour juger quiconque, tu étais là pour apprendre du meilleur et derrière ses longues heures de travail en binôme, tu avais découvert une toute autre personne derrière le maque. Un maque que l'on peut nommer carapace et qui résulte d'un mal qu'il a sans doute vécu. En ta présence, il était divergent de l'homme d'affaire qui négocie sans la moindre ouverture. Une ouverture qu'il te laissait entrevoir de temps en temps et sur laquelle tu ne jouais pas car tu cela n'est pas dans ta nature, loin de là. « C'est gentil mais j'espère ne pas avoir à te le demander. ». Une réponse imprégné de beaucoup de sincérité alors qu'un sourire solaire vient fleurir aux coins de tes lippes. Une éclaircit qui se fane quelque peu lorsque tu prends conscience que les images qui franchissent la barrière de ta mémoire ne sont pas le fruit de ton imagination mais bien la réalité. La confirmation de brun venant clairement rendre la tangibilité de la situation. Tu passes machinalement la paume droite de ta main dans ton cou, sentant les battements de ton myocarde sous cette dernière. Les dires de Colton soulagent quelque peu la crainte qu'il puisse avoir des ennuis par ta faute. Tu as confiance en lui, c'est un homme qui ne revient jamais sur sa parole donné, du moins c'est ton instinct qui te le dicte comme un murmure. Bien que l'intonation de sa voix demeure emplit de tempérance tu sais que la poursuite de sa tirade se pare d'un élan de taquinerie pour détendre l'ambiance régnant dans le bureau. Pour autant, cela accentue le trouble de sentiments qui se mélangent d'une drôle de manière dans ton esprit. Le père de Colton était un homme visionnaire, moderne et d'une grande tolérance. Un homme que l'on pouvait juger rare en cette époque qui était la votre, et en cela il était bien différent de ton paternel. « Ton père a toujours été un grand visionnaire mais de l – ... ». Sa dernière réplique invite le silence à sceller tes lèvres que tu comprends le sens de ses mots. Tu t'interroges sur l'opinion de ton interlocuteur, comme une curiosité qui ne devrait pas être car il est ton supérieur. Tu ne devrais pas lui poser la question mais cette dernière franchit tes lèvres avant que tu es le temps de songer plus loin. « Et toi ? Tu espères aller plus loin ? ». ce n'est qu'une fois la parole énoncée que tu prends la mesure de ce que tu viens de dire. Tu fermes les paupières afin d'éviter de croiser son regard tout en te mordant la lèvres inférieure. Super Oriana, décidément tu aurais mieux fait de croire à ton horoscope ce matin et rester au lit !
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


soon
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Le temps passe et tu n’es plus un petit enfant comme avant, tu n’es plus un adolescent ni même le jeune adulte. Il était temps pour toi de reprendre ta vie en main et de tirer une bonne fois pour toute, un trait sur ton passé. Chose bien difficile à faire, sachant qu’à chaque repas de famille, tu te retrouvais en compagnie de ton frère. Lui, qui n’avait pas hésité à coucher avec fiancée, et ce durant des années. Il était impossible de pour toi de poser une regard autre que haineux sur lui. L’envie de le ruer de coup, de lui faire regretter tout ce qu’il avait fait. Mais non, tu restais toujours d’un calme olympien en apparence, mais l’intérieur, ton corps était en fusion, pire qu’un volcan sur le bord d’être en irruption. La famille, pour toi, elle n’était plus présente, totalement brisé depuis cette découverte. Tu ne lui parlais plus, ne répondant jamais à ses questions, faisant comme si il n’existait plus. Tu venais à ces repas de famille simplement pour faire plaisir à tes parents, sinon, tu ne viendrais pas. Ta soeur, elle faisait son chemin seule en compagnie de son petit ami, ce qui était une bonne nouvelle pour elle, quant à lui, tu n’en savais rien. Tu ne t’intéressais même plus à sa vie, ni même à sa santé, pour toi, il était mort. Tu devrais passer au-dessus de tout ça, accepter ça et avancer, mais tu n’y arrivais pas. Tu repensais toujours à cette déclaration, tu n’arrivais pas à tourner la page et aller de l’avant. Ce n’était pas pour rien, qu’aujourd’hui tu fuyais dès qu’une personne commençait à s’attacher à toi. Malgré le fait que tu étais devenu un coureur de jupons, un profiteur, il te restait tout de même un coeur. Certes, bien camouflé, mais tu ne voulais pas faire souffrir réellement quelqu’un. Alors, tu prenais rapidement tes distances, préférant coucher une fois avec et ne plus avoir de contact. Comme ça, il était impossible qu’elle finisse par s’attacher, car toi, à l’heure actuelle tu en étais incapable. Tu ne pouvais pas donner ce qu’une femme désirait, une vie de couple, un mariage, une famille. C’était encore trop récent, même si finalement, ça remontait à plusieurs années derrière toi. Perdue un peu dans tes pensées après avoir dit que ton père parlait régulièrement d’elle. Et voudrait surtout avoir une belle-fille comme elle, oui ça te replongeait un peu dans tes lointains souvenirs. Il est vrai qu’elle était sublime, tu ne pouvais pas le nier, elle te plaisait cette jeune femme. Depuis que tu l’avais rencontré, il y avait eu ce quelque chose qui faisait que tu voulais apprendre à la connaitre. Ton père avait fait un très bon choix en te mettant en binôme avec elle, à croire qu’il avait vu que tu t’intéressais à elle. Où tout simplement, il voudrait réussir à te faire changer d’avis sur l’amour et te faire avancer. Tu en avais aucune idée, mais tu savais simplement qu’il l’appréciait et qu’il ne dirait pas non à ce que tu t’unisses avec elle. Un léger sourire se posa sur tes lèvres, un vrai visionnaire, ça tu ne pouvais pas la contre-dire. Cette phrase, cette question, elle te retourna le cerveau en peu de temps. Ton regard se braqua automatiquement sur elle, était-ce une question pour rire, sans but, sans intérêt où pensait-elle ces mots ? Tu arquas un sourcil, interrogateur. Mais, elle t’avait pris au dépourvu, ne sachant pas réellement quoi répondre. Le but n’était pas de la faire espérer, mais pas de la faire fuir également. Si ça se trouve, elle n’attendait rien de toi, ne désirant rien de plus qu’une relation de travail. « Euh.. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. « Cela dépendra de ce que tu veux, toi. » retournant la situation pour sauver tes fesses. C’était ce que tu savais faire de mieux, mais finalement dans ces paroles, il suffisait de comprendre que tu n’étais pas contre d’aller plus loin, tout dépendait d’elle. Mais, tu regrettais déjà d’avoir dit ça, tu ne savais pas si tu en serais capable d’avancer, d’aller plus loin, de penser à quelque chose d’agréable, de délicat avec elle.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer

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L'espace d'un court instant, le temps suspend son envol pour te laisser entrevoir une autre facette de la personnalité du jeune homme. Une nuance qui vient renforcée celle que tu songes avoir deviné. Celle où le myocarde à cesser d'éprouver le moindre ressenti afin d'éviter toutes substances de souffrance même infime soit-elle. La mémoire tremble à chaque acte de douleur car cela invite le passé à entrer dans une danse que l'on a guère envie de suivre. La muraille de fer qu'il a érigé tout autour de son être est alors visible à l'oeil nu, peut être pas pour le monde mais tu le vois. Qu'as-tu bien pu vivre pour avoir construit avec force et froideur une telle armure autour de ton cœur Colton ? C'est une question qui se murmure personnellement ta conscience mais que tu préfères conserver pour toi. Tu prends la mesure des paroles que tu viens de prononcés, elles ce sont envolées de ta bouche avant que tu puisses émettre le moindre frein mais tu respires silencieusement car une partie de toi avoue que tu aimerais recouvrer la sensation de la complicité, de la proximité que vous avez partagés il y a quelques semaines. Plus les jours passent, plus les images prennent une précision dans le détails et dans la réalité des sensations. Pour autant, tu sais aussi qu'il était ton employeur et qu'il te perçoit certainement comme une jeune femme qui ne sera que de passage, rien de sérieux à ses yeux. Même si tu ne peux parler pour lui. En tout cas, la pirouette interrogative qu'il te pose lui permet de reporter ton attention sur toi. Un renvoi de balle sur laquelle tu vas devoir à nouveau rebondir. Tu penches légèrement la tête sur le coté, les bras croisés contre ta poitrine tout en le toisant d'une expression tant mystérieuse que réfléchie à la fois. « Moi je crois que tu es tout simplement doué pour me renvoyer la balle, mais cela fait partie de tes atouts. ». Ton intonation de voix est de ce calme doux et serein qui te colle à la peau au quotidien, vecteur de la signification que tu es tempérante sur cette discussion – même si une partie de ton myocarde se serre soudainement. « Tu veux que je prenne une décision mais tu nourris des doutes, je sais je suis dans la même impasse que toi. Tu es quelqu'un de particulier … ». Lui dis-tu en toute honnêteté alors que l'esquisse d'un sourire confiant accompagne tes propos. « Si tout dépend de ce que l'on désire alors on est deux dans l'histoire, Colton. Mais si je devais me prononcer alo – ... ». La sonnerie de ton téléphone s'élève soudainement dans le petit bureau et tu t'excuses tout bas car tu dois prendre l'appel, puisqu'il s'agit du numéro du médecin chargé de ta rééducation. Tu te lèves, prends l'appel et te diriges devant la grande fenêtre offrant une vue panoramique sur le centre de la ville de Boston. Ton regard se perd dans ce vaste paysage durant les quatre minutes que durent votre conversation et tu raccroches en soupirant légèrement. « Excuse-moi ... ». Tu te retournes pour te rapprocher du bureau afin déposer ton cellulaire puis tente de retrouver le fil de votre discussion.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


soon
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Tu étais le spécialiste dans la matière de renvoyer la balle, ce n’était pas une nouveauté, tu le faisais dès que ça t’arrangeais. La situation était plutôt délicate, cela faisait des années que tu avais décidé de mettre de côté l’amour, décidant de profiter de la vie. Il est vrai que tu ne pourrais pas éviter les sentiments durant toute ta vie, même si ça te plairait bien de continuer ainsi. Un jour tu finiras par regretter et tu le savais parfaitement, dans le fond tu n’étais pas un connard, ni même un abruti. Tu restais un humain avec un coeur, un peu endommagé depuis quelques années. Tu avais toujours eu cette fibre si naturelle en compagnie des enfants, tu le voyais bien avec tes petits cousins, tu avais les épaules pour être un bon père, mais fallait-il encore que tu te décides de rencontrer des femmes, de leur faire confiance et d’accepter d’aller plus loin qu’une partie de baise. Tu ne mens pas quand tu lui avoues que ton père l’adore et voudrait une belle-fille aussi intelligente, investie qu’elle. Tu utilisais parfaitement ces mots pour la décrire, elle avait réussit à faire succomber le fils Lowry, mais elle avait également dans sa poche le patriarche. Que demander de plus ? Elle remettait en question tout ce que tu avais construit autour de toi pour te protéger. Elle remettait absolument tout en question, ne sachant même plus sur quel pied danser. Cette question, qu’elle venait de te poser, elle compliquait absolument tout, tu ne voulais pas poser de mot sur cette relation, mais d’un côté, ça ne pouvait qu’aider. Tu pourrais être fixé sur ce qu’elle envisageait, si elle t’appréciait, si tu lui plaisais. Car finalement, l’autre coup sous l’effet de l’alcool, ça ne t’avait pas aidé plus que ça. Tu sais que toi sous l’effet de l’alcool, tu n’es pas compliqué, tant que la femme est consentante, tu y vas. Regrettant parfois le lendemain, il est vrai que tu avais tenté de faire un effort là-dessus et avoir la main un peu moins lourde sur ce liquide. La preuve, tu te souvenais absolument tout de cette soirée, de cette nuit que tu avais échangé avec elle. Un merveilleux souvenir, ne sachant pas si tu pourrais avoir une seconde chance, mais au moins, tu avais tes souvenirs pour te consoler si ce n’était pas le cas. Un léger sourire sur tes lèvres, tu rigolais légèrement à ces paroles. Passant doucement une main dans tes cheveux, libérant quelques bouclettes qui retombaient sur ton front. « Il est vrai, qu’il aurait que je suis un professionnel dans ce domaine. » tu osais les épaules, attrapant sur le bureau un stylo avec lequel tu jouais. Le faisant pivoter entre tes doigts, tu espérais qu’elle allait te dire quelque chose et non pas contourner la question comme tu l’avais fait quelques secondes avant. « Je sais, je suis ton patron et je suis loin d’être le mec qui montre ses sentiments, ses émotions et qui est ‘agréable’ » soufflais-tu doucement. Tu avais déjà entendu tout ça, tu te connaissais et tu ne pouvais qu’approuver ses dires. Particulier, n’était qu’un petit mot pour te décrire. Alors qu’elle commençait à reprendre la parole, pensant qu’elle allait dire ce qu’elle désirait et finalement le téléphone la coupa dans son élan. C’était raté pour toi, pourtant tu te tournas, la laissant prendre la communication. Tu regardais devant toi, la porte du bureau, elle pouvait s’ouvrir n’importe quand pour avoir la deuxième occupante de ce bureau et de ce fauteuil où tu te trouvais. Un regard rapide sur ta montre, il te restait encore bien une petite demie-heure avec elle en tête à tête. Elle raccrochait, déposant le téléphone sur le bureau, tu relevais la tête dans sa direction. « Pas de soucis. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. « Pour faire simple, je dis ça car je suis incapable de te dire actuellement ce que je voudrais. Ça fait des années que je m’efforce de reculer ces moments, de m’éloigner de chaque sentiment. » finissais-tu par avouer. « Tout simplement parce que ma fiancée couchait depuis des années avec mon frère. » au moins, elle était fixée, elle savait pourquoi tu étais ainsi, pourquoi un mur de pierre t’encerclait en permanence. Une souffrance qui revenait à chaque fois que tu posais ton regard sur ton frère, difficile à accepter. « Mais, je ne suis pas contre le fait de te connaitre davantage, autre que dans ces bureaux. » cela laissait plusieurs possibilités, tu ne te fermais pas à l’idée d’aller plus loin que de l’amitié.
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Aleph Wertheimer

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Aleph Wertheimer
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Un sourire aux attraits doux et mutin vient étirer tes lippes lorsque tu entends sa seconde réplique. C'est vrai, il était ton patron mais si tu souris aussi aisément c'est surtout parce que tu as toujours perçu le Lowry au delà de son statut d'employeur. Bien évidement, ce dernier aurait du suffire à le définir mais la lueur dans son regard et l'attitude qu'il dépeint au quotidien sont deux choses bien distinctes qui laissent entrevoir de nombreuses interlignes. Ces dernières demeurent silencieuses mais tu as su les interpréter afin de comprendre que son comportement résultait d'un événement antérieur. « Quand je disais que tu étais particulier, c'est parce que je le pense vraiment. Il y a une dualité dans ta personnalité qui interroge, qui pique la curiosité d'autrui. Certains seront fascinés, d'autres charmés si on peut le dire comme ça. ». Tu presses tes lèvres en une ligne mince, un brin gêné par les dires que tu as prononcé car ils sont véridiques. L'appel impromptu de ton médecin est venu casser la dynamique mais tu as au moins pu terminée ta phrase. Tu t'excuses par ailleurs d'avoir répondu à l'appel mais cela ne semble pas trop déranger l'architecte qui tout en aisance installé sur son siège t'observe d'une manière étrange avant d'entamer une explication qui vérifie ton instinct. Tu aurais aimé avoir tort, vraiment alors que sa souffrance demeure encore palpable dans son récit. L'engagement devient le leurre de la peur et la méfiance est une armure que l'on brandit en avant tel une arme pour se défendre. Son raisonnement, tu ne le partages que trop bien pour te comporter de la même manière depuis le décès de ta figure maternelle il y a plus de cinq désormais. L'attache favorise la douleur, qui peut devenir faiblesse dans certains cas ou alors force dans un autre cas. Le gagnant n'est pas toujours vainqueur après tout, tu le sais mieux que quiconque et le jeune homme également. La confiance est une complexité de chaque jour avec laquelle il se doit de composer au quotidien. « Je suis désolé de ce que tu as vécu, Colton. ». Ton assertion est sincèrement profonde, partagé mais aussi teinté d'un souhait que tu aimerais lui accordé : celui d'un espoir meilleur. « Personne ne m'a trompé, mais je comprends pourquoi tu te protèges, je fais pareil bien que ma raison soit bien différente. ». c'est vrai, c'est bien divergent mais vous vous retrouvez sur un point de converge : celui de ne pas vouloir s'attacher à autrui.  Tu t’appuies légèrement contre le bureau avant de croiser les bras lorsqu'il te propose de mieux apprendre à te connaître en dehors de la sphère professionnelle. Une partie de toi opte pour la sécurité et te rappelle qu'il est supérieur tandis qu'une tout autre partie te murmure de laisser champs à ce qui doit advenir, que rien n'est figé dans l'avenir. Cette dernière est particulièrement majoritaire quand bien même tu ne saurais l'expliquer. « Okay. ». Ta réponse est courte mais assuré car pour la première fois depuis longtemps, une émotion étrange s'éveille en profondeur.
(Aleph Wertheimer)


soon
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Tu appréciais toujours les échanges avec elle, elle avait de la discussion et surtout, elle était sacrément intelligente contrairement à plusieurs femmes que tu croisais. En effet, il y en avait qui ne savait pas écrire deux mots sans faire une faute, ni même avoir une conversation interessante, un réel échange. C’était peut-être ça que tu appréciais chez elle, elle avait une forte personnalité, qu’elle cachait. Un caractère que tu appréciais, un physique qui te faisait certainement tomber raide dingue d’elle. Elle changeait ton comportement, avec elle, tu étais bien différent, tu n’étais pas le même Colton que les autres connaissaient. Avec elle, tu laissais tomber pratiquement toutes tes barrières, tout ce que tu avais créé depuis des années et des années. En effet, l’homme froid et distant, ne montrant aucune émotion, paraissant intouchable, oui c’était bien toi. Du moins, quand elle ne se trouvait pas dans les parages où quand Wilma n’était pas là. C’était les deux seules femmes qui arrivaient à te faire changer, à te faire montrer les vraies parcelles de ton visage et de ton caractère. Tu étais là, sur ce fauteuil en face d’elle, c’était bien la première fois que tu décidas à te montrer réellement, de dire ce que tu avais sur le coeur. Pourquoi tu étais ainsi ? Pourquoi tu tentais de te protéger ? Il n’y avait pas énormément de raison, une seule suffisait, et cette raison avait fini par te faire sombrer tout comme ton coeur. Un léger sourire sur le bord de tes lèvres, ça te faisait étrange d’entendre ceci venant d’elle, tu ne pensais pas qu’il était possible de te voir ainsi, charmé ? fasciné ? Tu n’aurais jamais pensé à tout ceci. « Tu vas finir par me faire rougir mademoiselle Versace. » soufflais-tu doucement, avec un mélange de surprise, mais de joie également. Elle était la seule à connaître ton secret, à savoir le plus de chose sur toi. Personne, ici, mis à part ton père connaissait cette histoire. Les gens savait que tu étais une personne différente, avec un passé douloureux, c’était simplement ça qu’ils connaissaient. En effet, ils avaient été pour la plupart au courant de ton absence qui avait duré plusieurs mois, un problème de santé, alors que finalement c’était simplement le contre coup. Le besoin de quitter cette ville durant un petit temps, pour te remettre sur pieds et accepter tout ceci. Tu haussas les épaules, regardant la jeune femme « Nous avons tous durant notre vie, une partie noire, une partie qu’on aurait aimé ne jamais avoir. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu ne connaissais pas son histoire, ne sachant pas ce qu’elle avait vécut, mais certainement suffisamment fort pour qu’elle t’en parle ainsi. « Je m’en excuse également. » soufflais-tu doucement, une voix douce, bien différente de celle de d’habitude. Tu proposais de la connaitre autrement que dans ces bureaux, de se voir plus souvent à l’extérieur, de profiter de la ville en sa compagnie. Occuper tes soirées avec elle, plutôt qu’une autre femme dont tu ne prendrais pas le temps de connaitre plus que son anatomie. Elle était positive à tout ça, simplement un mot, ça suffisait peut-être pour le moment. « Je vais peut-être te laisse travailler ? » lançais-tu avec un léger sourire. Il est vrai que le temps passait et qu’elle avait peut-être des e-mails à traiter tout comme toi. « Même si finalement, on devra se revoir rapidement pour le projet. » tu te levais de ton fauteuil, déposant ce stylo avec lequel tu jouais depuis un petit moment.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer
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Tu te souviens encore de la première fois que tu as fait sa connaissance. Il était d'une froideur élégante mais sans pour autant se départir de son charisme tant de leader à en devenir, que de la casquette d'homme d'affaires. Le directeur avait été limpide dans chacune de ses paroles en te désignant comme un élément potentiel de la jeune génération et semblait avoir apprécier ton humilité qu'il jugeait encore bien trop modeste. Le patron des lieux croyait en ton talent bien plus en ton talent que toi-même. Tant et si bien, qu'il n'a pas hésité une seule seconde à te mettre sous la tutelle de son fils. A son coté, tu ne cessais d'apprendre encore et encore, poussant jusqu'en profondeur la minutie des détails. Son audace pointilleuse et son sens du détail te permettrait de percevoir diverses manière d'entrevoir la carrière et les filons du métier. Alors, oui le Lowry était particulier soit il fasciné son monde, soit il charmé son audience. Sa première tirade t'arrache un sourire silencieux tandis que tu secoues la tête pour conserver une certaine constance. Tu comprends ensuite que son attitude au quotidien résulte bien d'un antérieur marqué la trahison et la souffrance intimé dans le silence.  Tu corrobores ses propos en lui avouant comprendre sa raison, car tout comme lui tu avais érigé une muraille tout au tour de ton myocarde afin de te protéger tel un mécanisme naturel. Le jeune homme te propose alors d'apprendre à te connaître en dehors de la sphère professionnelle. Une proposition ouverte qui te laissait la possibilité de refus et d'accepter. Ta réponse positive énoncé, Colton se lève en te disant qu'il devrait sans doute te laisser travailler. Instinctivement, tu regardes la montre ornant ton poignet gauche en constatant que bientôt la fin de la réunion serait terminé. « Ouais, tu as raison. ». Un sourire étire tes lèvres alors qu'il dépose le stylo à bille avec lequel il jouait avant de mentionner que vous vous revoyez dans quelques heures pour la continuité du projet. Tu hoches la tête t'apprêtant à répondre lorsque ta collègue de travaille pousse la porte de votre bureau commun. Tu le regardes sortir de la pièce, tout en souriant à ta collègue également en stage.
@Colton Lowry
- rp terminé -
(Aleph Wertheimer)


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