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You're real + COLIANA

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Le réveil sonne, les cheveux en pétard, une femme à tes côtés. A vrai dire, tu ne te souviens pas réellement de ce que tu as fait ce weekend. Tu avais eu la chance d’avoir un long weekend, étant donné que ta collègue et ta stagiaire par la même occasion n’était pas là. Spring break oblige, elle s’était envolée pour la Louisiane, un magnifique endroit. Tu y étais déjà allé quand tu étais plus jeune, elle avait certainement dû bien s’amuser. Et ta curiosité te poussait à vouloir savoir ce qu’elle avait bien pu faire, avec qui et quand. Une obsession, voilà ce qu’elle était devenue depuis que tu avais partagé une nuit avec elle. Il y avait quelque chose en elle, qui t’attirait et qui te faisait sortir de ta zone de confort. Célibataire endurci depuis ta dernière relation destructrice, tu n’avais jamais voulu replonger là-dedans. Mais, elle, c’était bien différent, elle te rendait dingue, elle avait ce petit sourire qui te faisait fondre. Bref, pendant qu’elle s’amusait à l’autre bout du monde, tu en avais fait de même. Te reposer, profiter du beau temps pour sortir et rencontrer des nouvelles personnes.La preuve avec cette femme à tes côtés, totalement nue, ayant le bras sur ton torse, un visage d’ange. Tu n’allais pas pouvoir la foutre à la porte ainsi, mais tu devais aussi bouger pour te rendre au travail, pas la peine d’arriver en retard. Quoique, tu pouvais étant donné que tu étais le fils du dirigeant, tu décidas tout de même de te lever, prendre une douche ne te ferait pas de mal bien au contraire. L’eau qui coule sur ton corps encore endolori, certainement trop d’alcool et de fumette. Cette charmante créature avait finalement décidé de se lever également, venant te rejoindre sous la douche. Aucun malaise ou gêne, tu étais ainsi, même si tu ne te souvenais pas forcément de son prénom. Une douche plutôt agréable, un réveil qui te mettrait certainement d’humeur positive. Une douche qui dura plus longtemps que prévu, elle te laissa son numéro et son prénom ainsi que son adresse, au cas où. Elle enfila sa magnifique robe, mettant son corps en valeur, elle quitta ton domicile pour te laisser le temps de te préparer et souffler un coup. Le manque de sommeil se faisait tout de même ressentir, cette journée allait être dure. Pas le temps de déjeuner, tu allais prendre de quoi faire un petit brunch directement au bureau. Un costard, la cravate et la veste, les clés de voiture et tu pris le chemin de l’entreprise. Une clope par la fenêtre, laissant la fumer s’échapper par la fenêtre, tu pris le temps de t’arrêter pour acheter les boissons favorites de tes collaborateurs et de ta stagiaire, ainsi qu’un ensemble de viennoiserie en tous genres. Tu repris le chemin, pris le temps de te garer au sous-sol, et tu marchais tranquillement, montant dans l’ascenseur pour t’envoler jusqu’au bureau. L’étage surplombait la ville, une magnifique vue, de quoi être en condition pour travailler. Ils étaient tous là ou presque, ton regard chercha automatiquement Oriana, un regard sur ta montre, il lui restait encore quelques minutes avant d’être en retard. Tu déposas l’ensemble sur la grande table de réunion, car oui, la semaine commence ainsi, par une réunion. Une chance pour toi, ce n’était pas toi qui allait l’animer mais ton père et par la suite, tu repartirais auprès d’Oriana car tu savais que jusqu’à la fin de ton stage, tu allais travailler avec elle.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer

Âge : 27
Lieu de naissance : là où siège la dame de fer soit la capitale française, celle nommée paris.
Quartier d'habitation / Colocation : au centre de boston.
Situation sentimentale : veuf depuis mars 2022.
Études / Métier : étudiant en linguistiques étrangères. - traducteur au sein d'une maison d'édition.
Date d'inscription : 02/08/2020
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Faceclaim : tobias reuter.
Crédits : lumos solem, avatar.
Multicomptes : seth.
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Aleph Wertheimer
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STUDENT › proud member of harvard university

L'évasion ne dure qu'un temps car bien que court l'âme sait en apprécier la durée. Durée d'un voyage pour lequel tu étais loin d'être partante au départ mais ravie de constater que ta meilleure amie avait eue raison de te convaincre. Et chez Marley, cela signifier ne pas te laisser le choix, elle parvenait toujours à ses fins – ou presque. Quoi qu'il en soit, la parenthèse de l'échappatoire était désormais révolu et la reprise n'avait pas été si difficile que cela car tu as toujours su faire la différence entre un instant et un autre. L'exemple des vacances et du quotidien était la même chose. Allongée sur le dos, le prunelles rivées sur le plafond, les échos de ta conversation avec ton paternel se rejouent en boucle tel un vieux disque rayé. Ton voyage à Rome s'est soldé par une demi victoire mais au moins tu étais parvenue à résoudre une partie de l'équation. Désormais c'était avec ton grand-frère que tu devrais aborder la conversation et tu le redoutais un peu. Un soupire emplit de fatigue s'échappe d'entre tes lippes alors que tu jettes une œillade à ta montre ornant ton poignet gauche. L'heure n'est pas encore articulée autour de la dernière minute, tu es dans les temps mais tu sais aussi que tu dois cesser de songer à tout cela.  Tu secoues la tête afin de mettre de l'ordre dans tes idées, puis te te lèves tout en rassemblant tes mèches brunes en queue de cheval. Fait de constater que ton reflet dans le miroir trahit ton sincère manque de sommeil et ton bâillement traître n'arrange rien. Un rire amusé s'invite sur ton expression faciale alors que tu attrapes ton sac à bandoulière avant de quitter la colocation. Le temps s'égrène entre la marche et le trajet du métro, ce qui surprend toujours autant tes proches depuis presque six ans, depuis ton accident est derrière toi. Une quinzaine de minutes plus tard, tu pénètres dans le grand building abritant les locaux du cabinet d'architecture où tu bosses depuis le printemps dernier. Un statut  de stagiaire où l'expérience et la passion sont une parfaite symbiose pour apprendre et ce sous la supervision du fils du directeur. Une fois dans l'ascenseur, ton cellulaire bourdonne dans la poche de ta veste pour afficher un message de Thélio. Le fait d'être rentré au pays t'a permis de revoir ton frangin, des moments précieux à tes yeux. Sourire aux coins des lèvres, tu lui réponds lorsque l'engin mécanique s'arrête à ton étage. Les portes s'ouvrent juste assez pour que tu te faufiles et tu te diriges vers l'accueil où tu salues ta collègue. Cette dernière est âgée de quelques années de plus que toi mais votre entente donne lieu à une belle amitié. Elle te considères d'un clin d’œil, désireuse de tout connaître de ton séjour à la Nouvelle-Orléans. Tu hausses les sourcils, un mince sourire accroché sur le bas du visage. Sans compter qu'elle doit certainement mettre ta moue fatiguée sur le compte de nuits torrides. Tu connaissais assez l'esprit foufou de ta camarade. Sans plus t'attarder, tu presses le pas en direction de la salle de réunion où demeurent la plupart des membres de l'équipe. Après avoir saluée certains des employés avec qui tu avais déjà travaillé, tes pupilles croisent celles de Colton qui te toise d'une expression étrange. Il faut dire que dernièrement ce dernier terme semblait on ne peut plus définir vos échanges pour ne pas dire la situation.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


soon
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La vie est bien différente, chaque jour une nouvelle journée, des nouveaux challenges et objectifs. Tu avais hâte de retrouver cette demoiselle, savoir ce qui s’était réellement passé durant ses petites vacances. L’alcool à couler à flot et elle n’a certainement pas du être bien sage. Ce qui juste à cette pensée, t’agaces, alors que dans le fond, ça ne devrait même pas te toucher. Elle n’était que a stagiaire qui faisait un travail remarquable, avec qui tua vais eu un bon feeling et ça aurait du s’arrêter là. Malheureusement, ça ne s’est pas arrêté à une bonne entente au travail, il y a eu cette soirée et c’est là que tout à changé. Il n’y avait plus de Chef et de stagiaire, c’était juste Oriana et toi Colton, deux humains en train de profiter d’une soirée et surtout de l’alcool. Dans le fond, tu t’en voulais d’avoir été plus loin, d’avoir partagé une nuit, c’était déjà beaucoup trop. Tu ne savais pas comment ça allait se répercuter sur ton travail avec elle, sur ta relation. Tu l’appréciais et tu ne voulais pas que quelque chose change. Peut-être qu’avec tout l’alcool, elle avait oublié ce qu’il s’était passé, et ça serait peut-être la meilleure chose. Toi, en l’occurence, tu te souvenais d’absolument tout, rien n’était voilé, pas de black out, tu te souviens parfaitement de son corps. Sa peau douce sous tes doigts, ses formes que tu avais enfin pu voir sans ses vêtements. Tu avais pu examiner son corps, et connaitre chaque parcelle de peau, soigneusement caché sous ses tops et pantalons. Juste à y repenser, des frissons parcouraient ton corps tout entier et tu n’arrivais plus à te concentrer sur ce que tu devais faire. L’ascenseur montait rapidement, tu voyais le paysage défiler sous les yeux, la ville était différente depuis ce point de vue. Le sachet de viennoiserie dans les mains, les nombreuses boisons collées contre toi, dans ton autre main. L’ascenseur ne mit pas longtemps avant d’arriver au bon seuil, le numéro d’étage venait de s’afficher et les portes s’ouvraient en grand. Tu déposas tout dans la salle de réunion, tu savais qui allait s’assoir où, avec le temps, les habitudes s’installaient. Ton regard sur la montre, quelques mots d’échangé avec ton équipe, elle n’était pas encore là. Tu ne lui en voudrais pas si elle arrivait en retard, c’était la première fois, elle avait toujours été présente et l’une des premières dans les locaux. Peut-être avait-elle eu quelque chose durant son séjour ? Un accident, une maladie ? Ton téléphone en main, tu étais prêt à lui envoyer un message, ou même l’appeler pour savoir si tout allait bien. Finalement l’ascenseur s’ouvrait une énième fois, avec la jeune femme dans l’encadrant. Elle avait l’air fatiguée, très fatiguée, certainement le manque de sommeil, une semaine bien mouvementée. Tu tournas un instant la tête, laissant un soupire s’échapper de ta bouche. Tu passas nerveusement et rapidement une main dans tes cheveux, comme tu faisais à chaque fois. Les gens s’installaient à leur place, toi tu pris la boisson de la jeune femme, décidant d’aller à sa rencontre. « Bonjour Oriana, tu as l’air bien fatigué. » un léger sourire pris place sur tes lèvres, lui tendant la boisson. Tu pris place sur la chaise à côté d’elle, derrière le groupe, cette réunion ne te regardait pas tellement, c’était la même chose pour elle. Vous aviez votre projet en commun, tu buvais tranquillement quelques gorgées et ton regard se posa de nouveau sur elle. « Tu as bien profité? » soufflais-tu pendant que ton père parlait avec ses collaborateurs.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer

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Aleph Wertheimer
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STUDENT › proud member of harvard university

Perdue. Une impression qui a tendance à te suivre un peu trop souvent à ton goût. Paumée ? Uniquement en ce qui concernait la frontière entre ton esprit en surface et en profondeur car pour le reste, étude comme travail, tu t'en sortais haut la main. Revenir au cabinet d'architecture fait renaître la passion de l'enseignement, de l'adrénaline d'un focus qui t'habite lorsque tu es impliqué pleinement dans un projet. En revanche, tout se semble différent lorsque ta mémoire s’égare sur les bribes d'un nuit où les souvenirs demeurent un brin flous mais présent à la fois. Rapidement, tu baisses le regard en direction de la grande fenêtre offrant une vue imprenable sur le centre ville sachant que ce répit sera de courte durée. Et comment, le jeune homme te rejoint, sa voix mélodieusement coutumière énonçant une assertion véridique. Super, il venait de notifier clairement sans la moindre teinte interrogative que les bras de Morphée t'étaient refusés. « Oh, bonjour Colton. Fatigué ? Ah oui un peu mais ne t'inquiète pas cela n'entravera aucunement mon travail. ». Ton intonation est spontanée, naturelle mais surtout  empreinte de détermination. Tu ne tenais pas à ce que ton patron, encore moins son fils – qui était ton supérieur au quotidien – songe que tu puisses manquer d'investissement. C'était loin d'être le cas. Tu acceptes avec plaisir la boisson qu'il te tend en prenant soin a éviter le bout de ses doigts mais c'est loupé car tu sens un frémissement le long de de tes avant-bras. Tu le considères d'un sourire afin de le remercier portant le gobelet à tes lèvres pour en boire une gorgée. Son impression soudaine te prend quelque peu au dépourvu et tu manques de boire de travers. « Pardon? ». Un simple murmure entre tes lippes tandis que tu déposes ta boisson sur la table. La réunion à déjà commencé lorsque le père de Colton dépeint les objectifs d'un projet prochain. Aisément, tu parviens à remettre les mots de ton interlocuteur dans leur contexte et tu hoches lentement la tête avant de le regarder droit dans les yeux. «Si on parle de profiter dans le sens dans lequel je le vois alors oui j'ai profité ... mais quelque chose me dit que c'est pas de cette manière que tu interprétais le verbe profiter, je me trompe ? ». tu penches légèrement la tête sur le coté, l'observant avec attention pour tenter de comprendre là où il voulait en venir exactement.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


soon
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Curieux de nature, c’était plus fort que toi, tu voulais souvent savoir surtout quand la personne t’intéressait. D’habitude, tu n’aurais jamais été ainsi, mais là, c’était différent. Toi, qui d’habitude ne s’occupait pas de ces demoiselles, elles étaient bien dans ton lit, le reste tu t’en fichais, mais avec elle, c’était si différent. A croire qu’elle t’avait ensorcelé depuis qu’elle était arrivée dans cette entreprise. Pourquoi, ton père prenait en stage des si belles créatures ? Tu savais parfaitement qu’il lui proposerait une fois ses études terminées, une place dans la société, il ne voulait pas laisser une jeune femme avec un talent aussi important, passer sous son nez. Tu le rejoignais sur ce sujet, mais ça n’allait pas t’aider, bien au contraire. Ce rapprochement qu’il y avait eu à la suite de ce projet, cette soirée qui avait dérapé, qu’est-ce que tu pensais bien durant cette soirée ? Elle était bien plus jeune que toi, elle était ta stagiaire, tu avais fauté du début à la fin, si ça finissait pas se savoir, tu ne savais pas comment ton père pourrait réagir. Même si tu avais plus ou moins, une bonne relation avec lui, ce n’était pas gagné pour qu’il accepte ce genre de chose, du moins pas au sein de son entreprise. Tu tentais d’oublier tout ça, de faire passer cette envie de savoir ce qui s’était bien passé durant son séjour là-bas. Pourtant, ça revenait à chaque fois, chassez le naturel, il revient au galop, c’était totalement ça. Tu décidas d’aller à sa rencontre, histoire de briser un peu la glace, elle était ta coéquipière pour un gros projet et certainement pour tous les autres à venir. Ton père avait trouvé le travail très impressionnant, il y avait une belle cohésion d’équipe et il voulait que ça dure, il t’avait fait comprendre qu’elle serait ton nouveau binôme à partir de maintenant. En soit, ça ne te dérangeait pas, elle travaillait bien, tu lui faisais confiance, elle avait toujours des bonnes idées, parfois à travailler, mais en général, que du positif. Tu allas vers elle, laissant quelques mots glisser entre tes lèvres, lui donnant également par la même occasion sa boisson. « Ne t’inquiète pas, on a tous été jeune un jour ici. On a tous profité et on a déjà connu tout ça. » un léger sourire venu appuyer tes paroles. Ça t’arrivait encore de te pointer avec la gueule dans les nuages, ce n’était pas rare. La réunion commençait, tu avais pris le siège à côté d’elle, un peu en retrait de la réunion, elle ne te concernait pas. Tu posas cette question, qui avait l’air de la perturber, haussant faussement un sourcil, avec une pointe de malice dans le regard. « Je parlais bien de profiter, des soirées, de l’alcool, de la ville. » disais-tu sur un ton calme et sérieux. « Mais si tu veux me parler de l’autre interprétation, je ne dis pas non. » tu haussas les épaule avec un grand sourire qui s’élargissait sur tes lèvres.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer
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Étrange impression qui se superpose à l'exactitude d'un souvenir flouté lorsqu'un simple rictus étire ses lippes. Un rire narquois qui dissimule bien autre chose mais qui te rappelle quelque chose que tu ne parviens pas à saisir totalement ? Serait-ce en lien avec cette fameuse soirée où tu t'est réveillée complètement paumé et sans le moindre souvenir? Probablement. Néanmoins, depuis quelques semaines ces vestiges reviennent par bribes et bien que cela soit toujours le cirque, ce qui se dessine est impossible. L'écho de son rire te ramène au moment présent lorsqu'il te dit que tous jeunes ont tous vécus cela. Tu esquisses un mince sourire à ton tour peu désireuse d'envenimer la situation en plus du trouble qui fait vaciller ta mémoire. Une mémoire qui se rejoue l'image de Colton et toi en train de vous embrasser et bien plus que cela … D'ailleurs il insiste à nouveau sur le verbe profiter et ce avant une désinvolture presque charismatique. Et oui, inutile de nier que le jeune homme possède un charme fou mais aussi une profondeur qui n'a cessé de piquer ta curiosité depuis que tu travailles au sein du cabinet d'architecture. Son assertion est des plus tempérées mais teinté d'un intérêt qui éveille de l'attention toute particulière. Un attrait tout nouveau que décline ces nombreuses facettes. « Disons que globalement j'ai soufflé un peu. ». Lui dis-tu tout sereinement tout en reportant ton regard sur l'ensemble de vos collègues qui absorbent avec précision les paroles du président de l'entreprise. Oui c'est vrai, ses vacances à la Nouvelle-Orléans t'ont permis de te reposer, de recouvrer de la quiétude mais surtout de t'amuser un peu. Ta meilleure amie te reproche souvent de ne pas te lâcher assez mais tu ne peux aller contre ta nature. Les soirées entre camarades trouveront toujours preuve de crédibilité à tes yeux mais les aventures sans lendemain, hasardeuse et irresponsable ce n'est pas toi. La lumière n'a toujours été qu'aisance qu'au travers de la danse mais jamais au delà. Mais là encore c'est un volet qui appartient au passé ni plus ni moins. Quand à l'ombre, elle est un refuge et se fondre dans la masse est une similitude. « Mais j'ai l'impression que dans ton interprétation des choses, il s'agit surtout de s'envoyer en l'air, mh ? » ; Un murmure à peine audible mais qui lui seul peut entendre et tu prends bien soin de mimer les guillemets sur la dernière partie de ta phrase. « Désolé mais si tu penses que c'est le cas alors c'est que tu me connais plutôt mal. ». Ta voix est un brin irrité mais calme à la fois alors que tu évites son regard tout en te levant discrètement pour aller dans ton bureau qui t'est attribué depuis presque une année. Es-tu en colère ? Pas vraiment, disons plutôt c'est l'idée qu'on te prenne pour une fille facile qui t'agace plus que toute autre chose. Les nerfs un peu en pelote, tu secoues la tête pour remettre de l'ordre dans tes idées alors que des images rejouent à nouveau dans ton esprit. Il ne manquait plus que ça.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


soon
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Le but n’était pas de te la mettre contre toi, ni même de la froisser. Peut-être que tu y allais un peu fort, après tout, elle n’était que ta stagiaire. Il n’y avait pas forcément un lien, très défini entre elle et toi, pas d’amitié. Du moins, pas encore et c’était plutôt mal barré. Même si tu avais eu la chance de partager son lit durant une nuit, ça ne se reproduirait peut-être pas d’aussitôt, ce qui est bien dommage. D’un côté tu n’avais pas réellement fait de sous-entendu, peut-être qu’elle l’avait pris ainsi, alors que finalement, ta question était simple. Tu voulais juste savoir si elle avait bien profité, si elle s’était amusée, mais pas dans le sens forcément sexuel. Oui, c’était quelque chose que tu aurais aimé savoir, tu aurais réussi à le savoir, les bruits de couloir ça va vite ici. Enfin du moins, ce n’était pas qu’ici, mais un peu partout, dans chaque entreprise, ça se passait ainsi. Alors que la réunion battait son plein, tu en profitais pour lui parler. « Tant mieux, c’est le principal. » laissais-tu simplement glisser entre tes lèvres. Ton regard s’était de nouveau poser sur les personnes devant toi, écoutant chaque mot que ton père pouvait prononcer. Toi, petit canard, tu écoutais absolument rien car tu connaissais déjà tout ce qu’il allait dire, ce n’était pas ton père pour rien et tu partageais son entreprise maintenant. Tu respirais calmement, buvant de temps à autre ton café, tu n’étais pas quelqu’un de réellement mauvais, juste disons, très ouvert sur tout type de sujet. Peut-être un peu trop ? Quand elle prononça ses mots, ton regard se posa de nouveau directement sur elle. Tu sentais bien au fond de sa voix, que quelque chose n’allait pas, tu l’avais froissé. Même voir énervé, c’est vrai que dans le fond, tu ne la connaissais pas réellement… Un léger soupire s’échappait de ta bouche quand elle prit ses affaires et décida de quitter la pièce. Elle n’avait pas été la seule, un autre sortait également avec le téléphone à l’oreille. Les affaires avant la réunion, c’était bien connu, mais toi, tu allais tenter de rattraper ta connerie. Alors tu t’échappas également à cette réunion, marchant dans la direction du bureau de la jeune femme. Tu connaissais son bureau pour y avoir travaillé pendant un peu de temps, tu toquas à la porte, passant la tête, ne voulant pas recevoir un truc en pleine figure. Tu fermas la porte derrière toi, prenant un siège pour t’asseoir à quelques mètres d’elle. « Excuse-moi si je t’ai offensé, ce n’était pas le but. » lançais-tu calmement, cherchant son regard. « Je n’ai jamais pensé que tu étais une femme facile, tu as bien suffisamment de caractère pour prouver le contraire. » tu haussais doucement les épaules. Tu pensais réellement ce que tu disais « Et tu as bien trop de valeur pour l’être. » que des compliments, c’était rare venant de toi, elle avait intérêt de bien les enregistrer.
@Oriana Versace
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Les vestiges de cette nuit là sont éparses, flous à l'ensemble de ta mémoire. Cette dernière semble presque sélectives sur le choix des images brumeuses. Des flash-back incessants qui reviennent de plus en plus en boucle lorsque ton esprit s'égare au lointain d'un horizon où tu songes trop. Tu te rappelles bien de cette fameuse soirée où le Lowry t'a invité à boire un verre pour fêter la réussite de ton premier projet. Une fierté semblait alors animé son enthousiasme au delà de son coté narquois emplit d'aplomb. Colton était un homme d'ambition mais surtout de conquérant qui avait conscience de ses atouts. Malléable des émotions d'autrui, il parvenait à être ce bloc de glace lorsqu'il s'agissait de ses propres ressentis. Pourtant, ce soir là il était un tout autre individu, attentif et abordable, communicatif et presque instinctif. Plus tu te forces à te souvenir plus tu te revois boire un verre, puis un second jusqu'à plus que cela en fin de compte. Tu n'as jamais tenue l'alcool, elle inhibe tes craintes et te donne une certaine audace que tu n'as pas au quotidien – surtout en terme de sociabilisation. Deux corps qui s'entremêlent sur l'équilibre d'une proximité presque innée, une symbiose où le naturel exprime un bien être que tu n'as jamais réellement connu jusque là ? Tu secoues la tête pour rafraîchir tes idées  tout en rangeant les documents que tu as entre les mains sur les étagères derrière toi. On toque à la porte du bureau, tu sais déjà qu'il s'agit du jeune homme, il est loin d'être du style à abandonner. La porte se referme, et un soupire silencieux s'échappe d'entre tes lippes alors que tu te retournes pour lui faire. Ses propos sont véridiques, l'architecte est prompt à la véracité de chacune des paroles qu'il énonce. Tes prunelles finissent par croiser les siennes et tu hausses à ton tour les épaules avant de lui répondre. « Tu n'as pas à t'excuser, c'est juste que je suis un peu distraite en ce moment et fatigué … tu n'y ais pour rien. ». C'est vrai, il n'était pour rien quand même sa présence taquine le point de chute de ta mémoire troublé et floue à la fois. Sa dernière réplique attire néanmoins ton attention car elle est concise de compliments dont Colton ne fait jamais preuve au hasard. C'est un as dans son domaine, il est doué dans chaque chose qu'il entreprend tout ayant le sens aiguisé de chacune de ses décisions. Et faire des compliments est rare car il ne dit jamais quelque chose qu'il ne songe pas. Tu penses légèrement la tête sur le coté tout en le considérant d'un petit froncement de sourcils avant de t'asseoir sur le fauteuil du bureau en face de lui. « Colton, je peux te poser une question ? Bien évidement elle paraître étrange parce que toute cette soirée est elle même étrange mais ... ». Tu te devais de lui demander tout de même si ces flashback qui te reviennent en tête sont bien réels.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


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La gentillesse ce n’était pas ton fort, du moins ce n’était pas le cas avec certaines personnes. Tu avais appris avec le temps de faire attention, de ne pas donner ta confiance à n’importe qui. Tu avais déjà été suffisamment blessé dans le passé, et tu ne l’oublierais certainement jamais. Un sentiment gravé en toi, tu ne pouvais pas oublier ce que cette femme avait fait de toi. Tu lui avais absolument tout donné, absolument tout. Il n’a fallut que de quelques secondes, quelques minutes pour la faire quitter ton logement, la faire sortir de ta vie. Du moins, physiquement, puisque mentalement, même après quelques années, il t’arrivait encore d’y penser. Elle t’avait détruit, entièrement, sans épargner une partie de toi. Tu es devenu cet homme, froid, distant, intouchable à cause de cette personne, qui n’a pas hésité à te poignarder en plein coeur. Alors oui, tu n’es pas l’homme parfait, tu n’es pas celui qui fait rêver, loin de là. Tu sais que tu fais souffrir un paquet de personne à cause de cette carapace, de ce moyen pour te protéger toi. Tu as tellement souffert, que tu ne veux pas le revivre, même si tu dois faire souffrir les autres à ta place. C’est égoïste, tu l’es devenu avec les années, et ça t’a permis d’en arriver là, ou tu en es actuellement. Pourtant, ça te touche quand cette jeune femme prends mal tes paroles et décide de partir dans son bureau. Auparavant, tu l’aurais laissé partir, ne te préoccupant pas de son bien, mais maintenant, c’était différent… Tu te sentais dans l’obligation de réparer ce que tu venais de causer, cette femme, il y avait quelque chose qui te contraignait à y aller. Alors, tu avais décidé de quitter ton siège pour la suivre, connaissant très bien le chemin jusqu’à son bureau. Elle était ta coéquipière dans plusieurs projets maintenant, limite tu devrais lui mettre un bureau dans le tient, il était largement plus ‘spacieux’ que celui-ci. Ça serait peut-être une proposition à faire, plus tard, pas actuellement. Elle ne le prendrait certainement pas de la bonne manière et t’enverrait certainement sur les roses. Tu avais toqué à sa porte, poussant celle-ci pour y entrer. Tu n’attendais pas une réponse, enfaite, tu ne lui laissais pas le choix de ta présence. Tu fermais la porte derrière toi, prenant place sur l’un des fauteuils du bureau. Tu faisais comme chez toi, même si c’était un peu le cas, et ça le serait dans quelques temps. Tu décides de t’excuser pour tout ça, de l’avoir froissé, ce n’était pas ton but. Non, de base tu rigolais, plus ou moins, même si curieux comme tu étais, tu voulais savoir absolument tout. « Si tu veux, tu peux prendre quelques jours. Ça ne sera déduit en rien, aucune remarque pour ton école. C’est moi qui te le propose, et mon père sera d’accord. » lançais-tu ainsi, sans aucune expression sur le visage. Qu’est-ce qu’elle te faisait pour que tu deviennes aussi, sympathique avec quelqu’un ? Tu le remarquais et ça te perturbait, ça ne faisait que d’empirer tes nombreuses questions. Elle voulait te poser une question, et finalement tu compris que ça touchait à cette fameuse soirée. Tu pris une grande inspiration, la confrontation, tu ne pensais pas que tu lui en parlerais ce jour. Tu repris place correctement dans ce fauteuil, posant ton regard sur elle. « Au vu de l’alcool que tu as ingurgité, je comprends que ta mémoire puisse te jouer des tours. » elle n’y était pas allée de main morte sur l’alcool. « Je ne sais pas exactement ce dont tu te souviens, mais je peux t’éclaircir tout ça, si tu as besoin. ». A vrai dire, tu cherchais tes mots, situation délicate, d’un côté tu avais peur qu’elle décide de s’éloigner de toi, de prendre des distances et d'un autre, elle devait le savoir. « Nous avons passé la soirée ensemble, chez toi. Je ne vais pas te dire en détail, je pense que tu comprendras. » tu passas nerveusement ta main dans tes cheveux, détournant le regard. « Personne n’est au courant, j’en ai parlé à absolument personne, ça restera entre toi et moi. » soufflais-tu pour finir cette discussion.
@Oriana Versace
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Aleph Wertheimer

Âge : 27
Lieu de naissance : là où siège la dame de fer soit la capitale française, celle nommée paris.
Quartier d'habitation / Colocation : au centre de boston.
Situation sentimentale : veuf depuis mars 2022.
Études / Métier : étudiant en linguistiques étrangères. - traducteur au sein d'une maison d'édition.
Date d'inscription : 02/08/2020
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Aleph Wertheimer
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STUDENT › proud member of harvard university

Depuis que tu travaillais au sien de ce célèbre cabinet d'architecture, ta passion ne s'est jamais autant décuplé, de même que ton talent artistique. Avoir un stylo à bille, un crayon de papier, une craie entre les mains a suffit à te sauver d'une impasse à une période où tout semblait t'échapper. Le dessin t'a permis de révéler un talent endormie que tu n'as jamais osé mettre en lumière mais qui a fait manifestement du chemin depuis plus de cinq années. Cette place au sein de cette prestigieuse entreprise t'a donner de l'aisance à l'assurance, met de te faire gagner en confiance et tu sais que le concours du fils Lowry y est pour beaucoup. Son paternel a dès le départ misé sur toi, tu le sais et même si cela t'a gêné au début, tu ne veux pas le décevoir. Confier ton stage à Colton semble avoir été mûrement réfléchi et semble donner les résultats qu'il espérait. Vos projets sont de grandes réussites et votre entente à tous les deux est sans aucun doute un atout. Le brun entre à l'intérieur de ton bureau, prenant soin de fermé la porte derrière lui avant de s'excuser. Tu le contredis en lui disant qu'il n'est pour rien, après tout il n'est pas responsable de ton état que tu mets sur le compte de la fatigue et de la distraction. Cette dernière étant dû à tous ses images floues qui se superposent les unes aux autres. Sa première réplique attise une fois de plus le sentiment de surprise. D'ordinaire, il découle de son être un égocentrisme cartésien et froid, une autorité à l'image du prestige de son travail où tout se doit d'être une minutie bien pensée. Tu as su apprendre à l'observer avec le temps, et derrière ce masque il t’apparaît presque que derrière ce maque de rigidité se cache un abîme de blessures intérieures. Abysse du passé qui se protège de la souffrance qui pourrait être à venir ? Tu ne saurais le dire pour autant tu sais que ses paroles ne sont qu'à ce moment que bienveillance. « Non, ne t'inquiète pas ça va aller. J'ai vraiment besoin de bosser en ce moment, ça me changera les idées. ». Tes dires sont on ne peut plus vrais, tu es une bosseuse dans l'âme surtout lorsque tu es investie et passionnée dans ce que tu fais, entreprends. Finalement tu oses l'interroger sur cette fameuse soirée qui n'est pas que l'illusion de ta mémoire, tout cela est bien réelle et non le fruit de ton imagination. Son regard est imbriqué dans le tien lorsqu'il te décrit ce qui s'est déroule entre vous lors de cette soirée. L'alcool ayant été une ressource dont tu avais un peu trop abusée et bien évidement le résultat demeure sans appel. Tu avais bien passé la nuit avec Colton. Tu hoches lentement la tête lorsqu'il te dit qu'il n'y a pas besoin d'aller plus dans les détails. Le sentiment de culpabilité est le premier à naître au creux de ton estomac car tu imagines déjà les répercutions que cela pourraient avoir sur l'architecte. Il pourrait être la cible de rumeurs, de murmures et pire encore, tu pourrais mettre à mal les relations entre lui et son père ? Un flot de pensées tourbillonnent dans ton esprit, et au bout de quelques minutes tu te rends compte que tu songes d'abord aux conséquences sur lui et non sur toi. Tu plisses tes paupières avant de secouer la tête pour remettre de l'ordre dans tes idées, quand bien même tu ne comprenais pas ton raisonnement. Bien évidement, tu n'étais pas de nature égoïste au contraire, voilà sans doute pourquoi tu te souciais de lui ? Non, ce gars avait fini par éveiller des sentiments mais tu préfères le refouler. Au moins tu étais honnête envers toi-même. Tes prunelles se pose à nouveau sur Colton qui évite ton regard tout en expliquant qu'il a gardé cela pour lui seul. « Je ne veux pas que tu ais des ennuis à cause de moi, Colton ... ». Aussi surprenant que cela puisse t’apparaître à ce moment là, tu as la crainte qu'il ne veuille prendre de la distance.
@Colton Lowry
(Aleph Wertheimer)


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