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 | GABRIEL ANGEL O'MALLEY fiche; terminée C'est le 14 février 1978, au soir, à Belfast, ville d'Irlande, que la famille O'Malley m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Gabriel. Je suis veuf et je ne veux pas en parler. Si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et je me fous de ce qu'on peut penser. Je viens d'une classe sociale moyenne. Depuis maintenant 10 ans je travaille comme profiler au FBI. Et pour terminer, je fais partie des Citizens. |
Études Que dire concernant ses études ? Ah oui, il a une licence de droit en poche, et ça s'arrête là. Le reste, il l'a appris de l'expérience de la vie comme on dit. Il a passé le concours de police, l'a réussi avec brio, notamment les épreuves sportives et les langues (allez savoir pourquoi, les langues étrangères l'ont toujours intéressées) et a été formé dans l'une des meilleures écoles d'Irlande en tant que jeune officier. Il avait alors 20 ans. Loin d'être le comique de la bande ou celui qui parlait le plus pour ne rien dire, Gab' n'en était pas moins un bon flic, un peu solitaire peut-être, mais qui ose battre du poing sur la table pour donner son opinion. En bref, la position de meneur lui allait comme un gant. On lui a connu peu de partenaires mais un en particulier, son meilleur ami d'antan, restait dans les mémoires. Pourquoi le dire ainsi ? Tout simplement parce que ce dernier a été tué au cours d'une mission. Il venait tout juste d'avoir 23 ans. Gabriel ne s'en est jamais remis. D'où le fait qu'il ne veuille plus de coéquipier aujourd'hui. Le métier en lui-même : après ses études au sein de la police, années pendant lesquelles il a assuré un service strict, pratiquement militaire, mais tout à fait probant pour un jeune en devenir comme lui, Gabriel est parvenu à se faire recruter plus haut, au sein de l'administration de son beau pays. De là, plus de portes se sont ouvertes à lui, et davantage de conseils par son supérieur qui l'incita à se rendre aux Etats-Unis, là où il pourrait pleinement exploiter son potentiel. Des cartes en mains, des contacts, c'est ainsi que Gabriel participa à sa première mission aux Etats-Unis, celle là même qui lui fit rencontrer une certaine jeune femme qui plus tard, devint son épouse. Notre homme était alors déjà formé au sein du FBI. Ses talents de profiler en Irlande, et les on-dits de son aimable chef de l'époque avaient fait de lui un être à part, aussi singulier que nécessaire au sein de l'Agence. Il est à ce jour toujours actif, et passe le plus clair de son temps à traquer dans l'ombre. Le travail de bureau, très peu pour lui, Gabriel a besoin de l'air frais de la nature pour vivre et se lâcher. Chef d'un petit commando de quatre personnes, deux hommes deux femmes, il veille sur eux comme une poule sur ses poussins. | Caractère Enigmatique. La plupart des gens qui dit le connaître le décrit ainsi. Enigmatique et solitaire. Un peu rustre sur les bords. En effet, Gabriel est peu loquace et ne montre ses émotions sous aucun prétexte. En outre, il fait preuve d’une franchise tout à fait désarmante qui ne laisse jamais de glace. Il lui arrive de faire preuve d’humour lorsqu’il est bien luné, un humour noir en général. En dépit de ce tempérament de feu, Gabriel est un homme qui n’use de violence, tant physique que psychologique qu’en dernier recours, lorsque toutes les voies ont été épuisées. Il peut même se montrer très courtois envers un homme ou une femme s’il pense qu’il est de son intérêt ou du sien de revêtir ce masque de bienséance. Plutôt réservé, il a tendance à ignorer ses problèmes, ou tout du moins, d’éviter d’en parler pour se consacrer à temps plein à ceux des autres. Il n’est pas non plus un très grand cuisinier au sens où il dévore n’importe quoi d’à peu près comestible. Il manque terriblement de patience, aussi, évitez de le prendre pour un idiot. Ce serait auquel cas la dernière chose que vous auriez faite. C’est un débrouillard aventurier qui se contente de peu. Le confort, la luxure, très peu pour lui du moins qu’il a son arme, sa brosse à dents et son portable, le reste a peu d’importance. Il dort très peu, et peut même passer des journées de 48heures sans fermer l’œil. On le doit à une solide constitution qui a fait ses preuves depuis son adolescence. Il a tendance à traiter ses collègues avec sévérité. D’où la raison que nul ne veut faire équipe avec lui, et que lui-même refuse tout partenaire. Plein d’assurance dans ses choix de vie, il n’en est pas moins méfiant du genre humain, homme ou femme. Aussi, n’essayez pas de le manipuler, ce serait pure perte de temps. Un problème qui le poursuit depuis qu’il est veuf et qui sans aucun doute causera sa perte un jour : la nicotine. Il peut en fumer plusieurs dans un même jour. Autre chose : Il se barricade toujours chez lui à double, triple, quadruple tours, et garde toujours un briquet sur lui. (Sans compter qu’il dort avec son arme planquée sous l’oreiller) On ne lui connaît aucune peur sinon ses …visions qui parfois, le tétanisent. Oui, j’ai bien dit vision. Voilà d’où lui vient son succès dans les forces de l’ordre. Il n’est pas médium. Juste un bon profiler qui utilise ses cinq sens à bon escient. Il comprend les gens, agit par instinct et se trompe rarement. |
Everyone Has Their Own Story
Ah la famille ! Il n'y a rien de plus beau et de plus dangeureux. Encore plus lorsqu'on est flic, et pire encore quand on dissimule sa véritable identité à longueur de temps. Passons sur ses parents et sa vie d'avant qui n'a rien d'exceptionnelle. Gabriel a une jeune soeur qu'il a quittée, en larmes – mais elle ne le sait pas, il a une réputation à tenir – lorsqu'il s'est rendu aux Etats-Unis. Idem pour ses parents. Venons-en plutôt à sa première et dernière conquête jusqu'ici. Je dis bien conquête parce que, bien qu'ayant toujours des aventures à la pelle, notre homme n'est plus jamais retombé amoureux depuis. Les femmes, un passe-temps, rien de plus. D'ailleurs, si elles pouvaient se taire pendant qu'il s'envoie en l'air, ce serait encore mieux. Macho lui ?! Non, juste blessé par la vie et incapable de s'en remettre. Mais revenons-en à la demoiselle : Mme O'Malley, qui, avant cela, portait le nom de Davenport. Oui, une riche vous allez dire, et vous n'aurez pas tout à fait tort. Cassie, de son prénom, avait trois ans de moins que notre profiler lors de leur première rencontre. Ce n'était pas un coup de foudre comme à Notting Hill. En vérité, c'était même tout le contraire puisqu'après l'avoir interrogé pendant près d'une heure à son bureau, Gabriel s'était tout bonnement pris un coup dans les valseuses, de quoi l'obliger – mais il l'aurait fait de toutes façons. Non mais, c'est une partie sensible j'vous signale ! - à l'enfermer pour le reste de la nuit. Fier d'avoir accompli son devoir presque autant que d'avoir emmerder la fameuse héritière Davenport, dont le papa chéri était l'un des gros business man des Etats-Unis, Gabriel fut contraint, après que des coups de fils soient passés, à relâcher illico presto la demoiselle une fois l'affaire arrivée aux oreilles de son paternel. Inutile de vous dire qu'il ne l'a jamais porté dans son coeur, et réciproquement. Seule Mme Davenport, conscient de la mauvaise influence que pouvaient avoir les amis de sa fille, avait été reconnaissante, malgré une légère frayeur – après tout, elle était sa mère – au policier de lui avoir inculqué une leçon de politesse. Mais l'histoire ne s'arrête pas là, vous pensez bien. La paperasse administrative avait tendance à traîner. Comme en France, les secrétaires laissaient à désirer, et miss Davenport junior dût revenir signer de nouveaux formulaires. L'occasion rêvée pour un jeune flic de jouer les emmerdeurs pour mieux saper son morale de princesse. Ni une ni deux, la discussion se transforme à nouveau en dispute, puis en bagarre, et pour finir, en fous rires impossibles à contrôler après avoir mis en miette le bureau du profiler. Bon, il devait l'admettre, elle avait un certain charme la tigresse. De quoi en tous cas le conduire à l'inviter à partager un dîner, ce qu'elle refusa. Un petit déjeuner ? Non. Un café ? Bon d'accord. Et de fil en aiguille, vous aurez compris où cela les avait mené. Accessoirement dans un lit, et plus tard, à l'Eglise. Sous l'oeil réprobateur de beau-papa qui reprochait toujours sa modeste condition à son gendre. Mais passons. Leur bonheur fut de courte durée. Comme je vous l'ai dit, il n'est pas facile pour un flic de vivre une vie rangée, espérer avoir des gosses quand on fait ce boulot. Gabriel l'a appris à ses dépens le jour de Noël. Il était en service et ne rentrerait pas avant une heure ou deux. Une heure de trop. Une heure à songer à sa femme qui attendait leur premier enfant. Une heure à prier qu'elle n'accouche pas sans lui. Oui, cela faisait deux ans qu'ils étaient ensembles, et voilà un événement qui devrait ravir le coeur du père de la mariée. Lui qui lui avait même reproché d'être stérile pour ne pas lui avoir encore donné de petits -enfants, il allait être servi.
Il faisait noir, une nuit d'encre. Pas de Lune, pas de nuages. Pas un bruit dans la maison. Même les décorations de Noël semblaient tristes à mourir. Un sourire sur les lèvres après une journée de dure labeur, Gabriel parcourait les derniers mètres qui le séparaient de l'entrée. « Chérie, c'est moi ! » Elle avait promis d'attendre son retour. Tiens, il n'y avait pas de courant ? Son sourire s'effaçait peu à peu. Cette odeur reconnaissable entre milles, ces traces de luttes dans le salon. « CASSIE ?! » Sa voix était devenue grave, tremblante. Ses yeux cherchaient un réconfort dans l'idée qu'elle devait s'être endormie à l'étage. Il empestait la peur à plein nez. Plus loin, une paire de bas se dessinaient à travers le couloir. L'un déchiré, l'autre retiré. Et cette tâche rouge qui avait envahi la cuisine. Il avait envie de vomir. Après les cris, les larmes, la colère avait durçi ses traits. Froid, pétri de culpabilité, voilà aujourd'hui l'homme qui vous fait face. Il le trouverait. Dût-il débarasser le monde de toutes les enflures dans son genre, mais il finirait bien par le dénicher un jour. Et ce jour-là, l'enfer lui-même sera trop doux pour expier ses pêchés ...
the face behind
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(Invité)
;)
) peu m'importe qu'il soit brun, blond, roux, tant qu'il n'est pas chinois x) Wala. Si vous avez des questions ... :lol!: 
] Et je suis tout à fait partant pour la demande de liens 
Je pensais qu'il était connu moi 
