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theostin - i want to destroy you

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@Theodora Pasquier Le regard noir, rempli de larmes chaudes. En colère. Et bien plus encore. C'est tout ce que je ressens au fond de moi. J'avais pensé ignorer cette rumeur débile qu'a lancé Theodora sur sa grossesse mais quand je vois que c'est l'une des causes de ma potentielle rupture avec Orphéa, je suis obligée de la confronter. Je peux pas faire l'autruche. C'est de sa faute. C'est elle qui a tout orchestré pour que la adams ne veuille plus de moi. Si ça tombe, elle a fait un arrangement avec Sofia pour que cette dernière m'embrasse à une soirée. Car y'a ça aussi. Un baiser langoureux surprise alors qu'on était tous les deux éméchés. Faute avouée, qui n'est même pas la mienne mais j'ai voulu être sincère avec la blonde. Rien n'y fait. Elle souffre trop. Pas à cause de moi, mais à cause des parasites autour qui font tout pour nous détruire. C'en est trop. Je ne peux pas perdre la fille que j'aime comme ça, si vite. Je suis dans une colère monstre, encore plus que quand je suis jaloux. Ca brûle à l'intérieur, ça fait tellement mal. C'est quelque chose que je n'avais encore jamais ressenti avant. Le gamin qui est incapable de contrôler ses émotions fonce dans le tas. Je cherche à confronter la Pasquier, mais en vain. Toujours fourrée à droite ou à gauche. Je décide de rester perché près de la porte de sa chambre pour la coincer lorsqu'elle sortira. Bingo. Dès que la porte s'ouvre et que je vois son visage, je l'attrape par le bras, la pousse en arrière pour qu'elle recule et je m'invite dans sa chambre en claquant la porte. “ tu vas nulle part tant qu'on aura pas une discussion toi et moi ! ” j'annonce la couleur, clairement. Fou de rage, je m'approche d'elle pour lui crier dessus. “ qu'est-ce qui ta pris putain ? DIS-MOI ! ” j'envoie valser au passage des affaires posées sur une étagère. Je ravage tout ce qui se trouve autour de moi, me retenant de ne pas la ravager elle. Mais vraiment, je ne sais pas ce qui me retient.
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@Gustin Mahoney À la Dudley, Theodora n'a pas souhaité retourner dans sa grande demeure elle ne voulait pas rester seule même si en soit elle agit ainsi en restant enfermée dans la chambre de sa confrérie. Mais Blondie ne s'est jamais sentie aussi troublée, aussi peu à l'aise. Joues creusées, teint blafard elle arrive à cacher son malêtre grâce au maquillage, face aux autres elle ressemble à la poupée parfaite. Mais pour ceux qui la connaissent vraiment, ou qui l'ont connu dans ses beaux jours, ils comprennent qu'elle est à ramasser à la petite cuillère, @Caesar Falls l'a compris et même si elle ne l'avouera jamais, Theodora lui en est très reconnaissante. Trop de fierté pour le clamer haut et fort. Studieuse la Pasquier tente de mettre ses soucis de côté en se concentrant sur les devoirs à rendre, durant le Spring Break elle n'a pas vraiment avancé alors, elle tente de se remettre dans le bain. Ayant une petite faim elle se décide à sortir de sa cachette afin d'aller se prendre des sucreries aux machines. La porte s'ouvre à peine qu'elle sent une main ferme lui attraper le bras l'obligeant de nouveau à rentrer à l'intérieur. Rien qu'à l'aura, rien qu'aux frémissements de son corps en la présence du brunet elle sait de qui il s'agit. Regard océan dans celui charbonneux, des mots hurlés, des mots compréhensibles, des mots qui énervent la blonde. Cette dernière croise les bras sur sa poitrine comme si elle n'était pas atteinte, alors que voir le père de son futur enfant face à elle, lui fait un petit quelque chose. Ça se sont mes affaires Gustin. Tu rangeras. Sûrement qu'elle fait durer le suspens, mais elle aime ça manipuler autrui et laisser le doute planer encore peu, laisser l'impatience monter au cerveau pour faire cramer les nerfs. Donc pour te répondre, il ne m'a rien pris du tout. Je n'ai fait que dire la vérité.
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@Theodora Pasquier Je suis énervé comme jamais et la voir garder cet air hautain indifférent, ça me rend encore plus fou. Est-ce qu'elle imagine tout le bordel qu'elle a foutu dans ma vie ? Détruire mon couple, me retirer ce que j'avais trouvé de plus cher, la seule chose qui me rendait heureux, un sentiment que je n'avais plus goûté depuis trop longtemps. Tout ce beau monde, il s'est écroulé avec des paroles fausses, grandes comme une maison. Je sais, y'a pas que cette histoire qui a été l'élément déclencheur du souhait d'Orphéa de prendre ses distances. Y'a d'autres chats à fouetter, mais ça a commencé par elle. Face à elle, poings serrés, je lui fais mon regard le plus méchant et la pousse à cracher le morceau, à balancer toute la vérité. J'attends son rire sadique et son air fier, celui d'avoir réussi à me mettre à bout. On s'en fiche de ses affaires sur le sol, qu'elle s'estime chanceuse que ce n'est pas son corps qui git à la place. Je perds patience, j'essaye de me contrôler mais je manque cruellement de temps. Je lâche un petit rictus en levant les yeux au ciel. “ la vérité hm ? la vérité c'est que t'es une timbrée ma pauvre ! ” je m'avance vers elle et attrape fermement son poignet pour l'immobiliser. “ tu vas aller dire à Orphéa que tu as tout inventé car tu ne supportes pas me voir heureux avec une autre femme. ” le bonheur que tu voulais, je l'ai perdu et regarde comme ça fait mal dans mes pupilles. J'ai envie de chialer, comme l'impression que mes yeux saignent abondamment, rouges vifs. Je serre un peu plus ma poigne sur son bras, ne me rendant pas compte de ma force sur le moment. “ je regrette ce putain de jour où je t'ai rencontré. j'ai tout de suite su que t'étais pourrie de l'intérieur et que t'allais m'apporter des emmerdes. ” je grogne ces mots que je lui crache au visage, sans retenue. C'est mauvais, c'est blessant, mais j'ai une blessure bien plus moche au fond de ma poitrine et l'infection fait grimper ma température.
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@Gustin Mahoney Peu surprise de voir Gustin débouler dans sa chambre, elle ne s'attendait pas à ce qu'il soit aussi énervé. Elle a du mal à comprendre un tel énervement pour une demoiselle si faible d'esprit qu'est Orphéa. Mais l'amour ne se contrôle pas, bien que Theo ne ressente plus aucun amour pour quiconque depuis de nombreuses années maintenant. Coeur de pierre, aura noire et corps de glace. À la serrer Gustin tu finiras pour briser la glace de ses poignets, Theo sera en mille morceaux, en pièces, tu n'auras plus qu'à bruler son corps pour ne laisser aucune trace de ton passage. Mais la nymphe ne se laissera pas tuer, pas par un homme tel que toi. Satisfaite de voir qu'elle est face au vrai Gustin et pas le gentil petit toutou à la nonne. D'après ton jugement hum, je suis timbrée. qu'elle dit d'un ton détaché se fichant bien des insultes. Le brunet sert de plus en plus le poignet féminin, mais elle ne tente pas de se débattre, après tout c'est ce qu'elle voulait : voir son Lucifer. Theodora explose de rire, Gustin pense vraiment être le centre du monde, ne s'est-il pas demandé un seul instant qu'elle puisse dire la vérité ? La seule chose que je peux aller lui dire c'est : vete a la mierda puta. Nul besoin d'être bilingue pour comprendre que c'est une insulte. Insulte qui signifie d'aller se faire voir, ces mots ont plus d'impact lorsqu'ils sont énoncés en espagnol, elle manie une fois de plus les dialectes et les mots Theo. Les paroles qu'il lui crache à la figure la blessent, mais elle ne laisse rien paraître et continue de le regarder de son air hautain, se fichant de la douleur à son poignet. Pourtant tu ne disais pas ça quand tu me baisais ! Tu en redemandais encore, tu voulais encore de mes seins contre ton torse, de mes fesses claquer sur tes cuisses, tandis que ton engin me pénétrait sauvagement. Tu l'ouvrais moins ta grande gueule insultante, t'ouvrais ta grande gueule de plaisir. Et lassée de la douleur à son poignet Theodora n'hésite pas et le gifle. Marqué comme au fer rouge, la trace nette de ses doigts a trouvé refuge sur la joue masculine. Ce n'est pas de ma faute si Wertheimer ne te satisfait pas au lit.
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@Theodora Pasquier Je me découvre un côté qui me fait peur un peu. Celui de la folie, celui qui me pousse dans mes excès de peur de perdre ce sentiment si plaisant qu'est l'amour. Je refuse de perdre Orphéa, j'en suis pincé jusqu'à la moelle et si elle vient mettre un terme entre nous, je ne sais sérieusement pas comment je vais y survivre. Avant, je refusais toutes attaches. Je voulais rester maitre de moi-même et de mon univers. Maintenant, il dépend d'une seule personne. Et si cette personne disparait, je crois que mon monde s'écroule. Des paroles niaises qui, avant, me donnaient la gerbe. Maintenant, je sais ce que ça veut dire aimer quelqu'un à en perdre la tête. “ Ne l'insulte pas ! ” que je grogne en serrant encore plus ma poigne. Elle gardera surement la trace de ma main d'une couleur violette sur son poignet pendant plusieurs jours. Calme le jeu Pasquier, ne cherche pas à me faire exploser encore plus car tu pourrais bien le regretter, et moi aussi. Je lui dis des choses horribles, que je regrette son existence et j'en passe. Y'a d'autres mots encore plus blessants. La française se défend, sort son venin encore plus piquant et je grogne rien qu'à citer tout le plaisir que j'ai pris avec elle. La veuve noire envoie ses phalanges sur ma joue, ce qui me prend de cours et me fait lâcher sa poigne sur son bras. Ma main sur la zone qui brûle, je la fusille du regard. Fallait pas. Non, fallait pas porter le premier coup. Je fonce sur elle, l'attrape par la gorge et la coince violemment sur le mur. “ crois pas que ton cul est indispensable. t'étais juste bonne qu'à me vider les couilles. ” mon visage proche du sien, l'électricité entre nos regards, la violence dans nos propos et nos gestes. “ tu sers à rien Pasquier, t'es juste une chatte parmi tant d'autres. ” je relâche ma poigne et la blonde s'effondre sur le sol, perdant l'équilibre comme une merde.
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@Gustin Mahoney Theodora est en joie d'avoir réussi à faire ressortir le pire côté de Gustin, même lui ne connaissait pas cette facette de sa propre personnalité. Mais comme il l'a si bien dit Theodora est pourrie de l'intérieur, si pourrie qu'elle a réussi à lire le pire côté du brunet, et a réussi à le faire ressortir. Je continuerai de l'insulter. Et si elle ne se retenait pas elle aurait déjà trouvé d'autres insultes mais elle n'a même pas envie d'utiliser sa salive pour elle. Elle ne le mérite finalement pas, Theodora et son esprit de contradiction. Sûrement qu'elle n'aurait pas dû le gifler mais c'est son instinct défensif de lionne qui a agi à sa place. Bien entendu elle ne regrette pas son geste, ni les paroles. Theodora n'a pas le temps de réagir que la main masculine lui attrape la gorge et la plaque violemment contre le mur. Theodora suffoque, elle a du mal à respirer mais garde son sourire diabolique dessiné sur les lèvres, telle une diablesse. Hijo de puta. qu'elle lui lâche entre les deux jurons qu'il lui lance, lâchant un petit rire au passage. Bien sûr qu'elle a mal, et qu'elle sent une douleur dans le creux de son ventre, elle pense au foetus. Avec toujours autant de violence il la relâche, et la diva s'écroule sur le sol. À genou elle se frotte la gorge, là où il l'avait empoigné, sentant la chaleur de ses mains, et les traces de ces doigts. La douleur qu'elle a dans son ventre est bien trop forte, Blondie s'appuie sur la commode pour se relever. Une sensation de chaleur émane de son intimité, elle baisse le regard et une marre de sang a tâché le pantalon entre ses jambes, cligne des yeux ayant peur de comprendre. Et elle se tord de douleur, appuie fortement sur son ventre, impression d'être réglée puissance dix, impression que ses démons vont ressortir de ses tripes. Là elle ne les retient pas, là elle comprend qu'elle a perdu son appât. Qu'est-ce que tu m'as fait putain ?
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@Theodora Pasquier J'ai jamais été aussi violent avec une fille de toutes mes années d'existence. Et je me déteste pour ça, mais elle aussi, la diablesse sait piquer là où ça fait mal. Insultez l'amour de ma vie et je viens Hulk, incontrôlable. Insultez moi si vous le voulez, sans soucis, mais pas elle, pas Orphéa. La traiter de pute, et j'en passe, ça me fait littéralement exploser. Theodora a l'habitude de l'appeler sainte nitouche et j'encaisse, je tolère jusqu'à un certain point. Là, elle a été trop loin. Une gifle sur le visage et en échange, je la maintiens par la gorge contre le mur. Non, je la frapperai pas, mais si je peux lui faire peur en utilisant la force d'une autre façon, je le fais. Je finis par m'éloigner d'elle et elle s'effondre sur le sol. J'y ai été trop fort avec ma poigne ? Pourtant, elle riait comme si ça l'amusait. Je fronce les sourcils en la voyant gémir et se plaindre sur le sol. Elle exagère, je l'ai à peine touchée. “ fais pas ta comédienne, je t'ai... ” elle se lève et se tord de douleur. Son pantalon qui s'empreigne de rouge. Je cligne plusieurs fois des yeux et change de tout au tout mon expression. La colère s'en va et l'inquiétude surgit. Theodora s'adresse à moi d'une voix qui brise le coeur des gens à proximité. Je comprends que ça ne va pas du tout. “ mais rien je... ” je ne l'ai pas frappé entre les cuisses tout de même. Je comprends rien, mais je ne peux pas la laisser comme ça. Même mon pire ennemi, je ne le laisse pas dans l'agonie. Je viens l'attraper par le bras et la taille et grimace lorsque je sens ses ongles manucurés s'enfoncer dans ma peau. “ tu te vides de ton sang... je vais appeler une ambulance.” je l'aide à s'asseoir et je compose directement les urgences en expliquant la situation. Je panique, j'ai peur, peur pour elle et peur d'avoir été trop loin. Je ne comprends pas ce qu'il se passe. Je n'ai pas conscience qu'elle est en train de perdre notre enfant...
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@Gustin Mahoney Gustin pense qu'elle plaisante, qu'elle le fait marcher une fois de plus. Bien sûr que les quelques secondes auparavant elle lui riait au nez pour montrer qu'elle n'avait que faire de ses menaces. Qu'elle était bien au dessus de celles ci. Douleurs mentales elle les camouflent, mais elle ne peut pas cacher les douleurs physiques encore moins le sang qui vient marquer son jean. Theodora hurle de douleurs, elle ne peut retenir ses larmes, lâchant une dernière remarque, crachant son venin. Elle ne le repousse pas quand il l'aide à l'assoir sur le lit, marquant de rouge ce dernier. Blondie se laisse tomber en arrière, mains plaquées sur son ventre. Intelligente, elle comprend rapidement ce qu'il se passe, elle perd le foetus, il ne faut pas être née de la dernière pluie pour comprendre. C'est le bébé... qu'elle tente d'articuler entre deux sanglots. Puis elle attend avec impatience, durant de longues minutes qui lui paraissent des heures que les secours arrivent. Enfin de nombreux médecins arrivent dans la chambre, celle ci est inondée de blouses blanches. Elle peut entendre des mots comme sédatif, perfusion, tension. Mais l'un des médecins lui dit Il faut vous emmener à l'hôpital Mademoiselle. Theodora secoue de la tête, elle est prête à les suivre tant que la douleur cesse. Rapidement mise sur un brancard, elle regarde derrière elle Gustin, et lui jette un dernier regard pour lui dire. Parles-en à personne sinon je te tue. Elle n'a pas envie que tout Harvard soit au courant, derniers moments à New Orleans, disons qu'elle écourtera son séjour. Elle ne sait pas si Gustin la suivra jusqu'au bout, s'il l'aidera à surmonter cette épreuve ou si il fuira comme un lâche.
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@Theodora Pasquier Tout va assez vite dès l'instant où j'ai appelé l'ambulance. J'ai l'impression de vivre le moment en accéléré alors que je réfléchis au ralenti. Y'a un médecin, des urgentistes qui examinent Theodora et moi je reste dans mon coin. On me demande comment ça s'est passé et je suis incapable de répondre. Pour eux, c'est clair et net, c'est une fausse couche et ça peut arriver à tout moment. Ils l'emmènent sur le brancard et l'observant s'éloigner, j'hésite un long moment avant de décider de la suivre. Je prends quelques affaires dont elle devrait avoir besoin si elle y passe la nuit. Son téléphone, son sac à main, une couverture, puis je claque la porte de sa chambre avant de courir pou rejoindre l'ambulance. On me laisse prendre place à côté d'elle et je joins mes mains, regardant le médecin l'ausculter alors que l'ambulance démarre. Je n'écoute pas vraiment, je suis totalement à l'ouest. Donc elle disait vrai, elle était bien enceinte. Et moi qui avait réussi à mettre dans le crâne d'Orphéa que Theodora était qu'une menteuse manipulatrice et jalouse. Est-ce que le bébé était vraiment le mien ? C'est une question à laquelle je n'aurais sans doute pas de réponse. C'est sa parole contre la mienne. Aucun moyen d'en avoir la preuve formelle comme bébé n'est plus là. Donc toute ma vie en fait, je vais vivre avec le fait que j'ai tué quelqu'un. Que ce soit le mien ou pas, j'ai provoqué la fausse couche de ce foetus. Theodora me le pardonnera jamais. “ c'est quoi ces marques sur votre gorge mademoiselle ? ” demande le médecin, perplexe. Automatiquement, je plie mes doigts pour cacher mes mains et risque un regard vers Theodora en la fixant. Va-t-elle me balancer ? Oh, ça lui ferait que plaisir de me jeter aux lions. De porter plainte, et tout ce qui en suit.
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@Gustin Mahoney Le plafond de l'hôtel défilant sous les yeux de Theodora lui donne des nausées, si bien qu'elle s'oblige à fermer les yeux pendant que les médecins continuent de courir afin de l'emmener à l'hôpital. Elle ne le montre pas mais elle a peur, au fond elle espère qu'ils arriveront à temps à l'hôpital et qu'ils pourront la sauver elle et le bébé. Les sédatifs qu'ils lui ont injectés, l'ont aidé à se sentir mieux, bien qu'elle ait toujours des palpitations. Theodora a assez de force pour lâcher quelques mots à Gustin, mais elle en a beaucoup moins une fois dans l'ambulance lorsqu'elle le voit assis sur une chaise près de son brancard. Elle ne le voulait pas à ses côtés jusqu'au bout, elle voulait vivre ce nouveau traumatisme seule, sans celui qui a brisé son avenir maternel. Et pourtant son aura noire embaume la sienne maussade si bien que d'une certaine façon elles se lient. c'est quoi ces marques sur votre gorge mademoiselle ? demande alors un médecin. Theodora sait de quoi il parle. Cela serait le moment de se venger et de pointer Gustin du doigt, pour l'envoyer tout droit vers la case prison sans passer par la case départ et empocher de l'argent. Theo réfléchit une fraction de secondes disons que je peux avoir des ébats un peu... sadomasochistes. Qu'elle lâche alors sur un ton détendu. Hein chéri ? qu'elle dit en attrapant les doigts moites de Gustin, entrelaçant les siens. Le médecin est gêné, et ne sait plus quoi dire. Et là discrètement Blondie sert de toutes ses forces les doigts du brunet, enfonçant ses ongles dans ses phalanges lui faisant clairement comprendre qu'il va devoir la remercier de l'avoir sauvé. Mais l'électrocardiogramme s'active, tant la blonde est énervée, les médecins se pressent, la main féminine relâche celle du jeune homme, et tout s'apaise.
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