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Mikail † Wounds no one can see

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Wounds no one can see.
Seul refuge entre mes orages. J’ai su tisser un territoire à l’abri des failles ici, reconstituer un semblant de meute. Elevant l’endroit à la seule force de ma volonté, d’alliances solidement ancrées, le Sidh s’élève chaque jour un peu plus, gagne en puissance, se crée sa propre renommée. Malgré les trahisons, les embûches semées sur ma route, mon établissement lui ne faiblit pas. Poupée régnant sur ses enfers, je déambule entre les clients, les badauds de passage qui caressent seulement le but de pouvoir entrer dans les lieux plus secrets de l’autre monde. Gamine qui a appris à enterrer ses sentiments pour se vendre davantage, de pas susciter la méfiance chez les autres. Pour autant, tout le monde sait qu’il ne faut pas me nuire. Sourire de façade et de rigueur. Un homme se détache, après m’être renseignée, je sais qu’il est ici face à une recommandation d’Albus, mais je ne le connais pas. Je fais confiance au médecin, allié de mon ancienne ombre, mais quoi qu’il arrive, je ne me fie qu’à moi. Me contentant d’être à distance, d’observer de loin ses faits et gestes avant qu’il ne vienne m’approcher, voir la raison qui le conduit ici. Puisque nous avons tous des démons à dompter, celui-ci ne doit sans doute pas déroger à la règle.
(c) AMIANTE



@Mikhail Sabourov
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Malgré le fait qu’il soit un loup solitaire, Mikhail a réussi à gagner une amitié, en quelque sorte, avec Albus. Un médecin polonais. Les deux étant d’Europe de l’Est, cela l’a plutôt mis à l’aise et après quelques paroles, et quelques verres de vodka ensembles, ils s’en sont mis à parler de femmes. Ou plutôt des bordels existants sur Boston. Le russe étant en ville depuis peu, il ne connait encore que très peu. Et comme tout homme, normalement constitué, il a des besoins à assouvir. Alors sur les conseils de son nouvel ami, il s’était frayé un chemin vers le Sidh. Se remémorant les paroles du polonais, il quitta le lieu un peu plus public, afin de rejoindre la partie un peu plus sombre du lieu. Tout en regardant autour de lui, il alla se commander un verre de vodka pure, comme à son habitude. Pour une fois, il n’avait pas pris ses pilules miracles, souhaitant se souvenir de tout. Et ne pas être viré à cause d’un comportement inadapté. Verre en main, il sentit une douleur dans son bras, ou alors ce n’était que psychologique... Il scrutait toutes les femmes du lieu, ne faisant pas attention aux autres hommes, car il n’est pas venu pour eux. Jusqu’à ce que son regard se pose sur une jolie demoiselle. La plus belle des lieux. Il but d’une traite sa vodka pure, afin d’aller à son encontre. Elle semblait l’avoir vu aussi. Une fois à sa hauteur, il lui demanda. “Tu es libre ? ” Puis il posa son bras valide sur sa taille, avant de venir lui déposer directement des baisers au creux du cou.  
(c) AMIANTE



@Lyra Bain
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Les nuits s’enchaînent et se confondent. Les hommes viennent pleurer les mêmes vices entre les cuisses de mes alliées. Toujours la même misérable et monotone rengaine depuis que l’histoire a fait l’homme. Le plus vieux métier du monde et en ce sens honorable. Le commun se prête à rejeter la légèreté de ces femmes, lorsqu’elles s’arment pourtant d’un courage qu’il manque à la plupart. Regarder l’humanité en face. Les plus obscures facettes avant les insipides carapaces. C’est sans doute parce que j’ai moi-même trop évolué dans ces milieux artificiels que je me repais désormais de ces abords plus authentiques. Baissez la garde, offrez-moi le vice, ce qui vient pulser là dans les entrailles, animer une soif bien plus obscure. Étreindre le myocarde et l’étouffer un peu plus. Mes orbes délavés se révèlent, détaillent avec agilité les différentes silhouettes. Je connais chacune des identités qu’on tait, j’approuve la venue de chacun des viciés en ces lieux. Je suis une présence silencieuse qui règne et certain ignorent que la Gamine préside ces enfers paradisiaques. Le Russe s’avance, se permet une familiarité qui me fait sourire. Il est inconscient et c’est presque drôle. Puisqu’il est un ami d’Albus, je l’épargnerai encore un peu. Main qui s’abaisse dans le dos masculin, qui se contente brièvement de la largeur des épaules. Mais je les aime pourtant teintées d’une plus vive noirceur, du relief de cicatrices. Mes yeux se relèvent une fois l’étreinte de ses lèvres sur mon cou agonisée. Sourire toujours doux empli d’une bien plus franche moquerie sur mon visage. « Libre de ? » Je suis libre oui. Obstinément. Mais sans doute pas soumise à tes vices.

(c) AMIANTE



@Mikhail Sabourov
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Il n’allait pas passer par quatre chemins, il n’était pas là pour se faire des amis. Seulement pour tirer un coup. Seulement, pour cela, il est assez minutieux et cherche la plus jolie femme de la pièce. Il n’est pas compliqué, mais s’il paie, il se doit de trouver une jolie femme et non pas la première venue. Après quelques minutes d’observation, il en remarqua une et s’avança donc en sa destination. Pas de présentation, rien, il lui demanda si elle était libre, tout en lui offrant directement des baisers. “Passer un bon moment avec moi.” Et afin de se faire davantage comprendre, il posa sa main, qui était auparavant autour de sa taille, sur une de ses fesses. “Tu es la plus belle femme ici.” Lui murmura-t-il à son oreille. Il ne pensait pas un seul moment avoir affaire à la propriétaire des lieux. Et même s’il l’avait su, cela ne l’aurait pas arrêté. Qu’elle soit propriétaire du lieu ou professionnelle, s’il a envie de se la faire, il fera tout pour.  
(c) AMIANTE



@Lyra Bain
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Le Maladroit s’entête, s’affirme dans un désir qu’il ne dissimule pas. Après tout, pourquoi ? Les hommes sont ici pour laisser courir leur instinct, armer leur désir et le laisser s’épanouir. Alors mon corps tressaille légèrement lorsque ta poigne s’aventure sur la courbe plus ronde de mes fesses. Mon regard s’abaisse. Tu es un bel homme et parfois je ne comprends pas vraiment votre besoin de venir ici, même si je ne viendrai pas m’en plaindre, après tout, cela nourrit le business. Ma main se pose sur la tienne, la relève gentiment avant de l’en écarter. « C’est aimable mais bien loin d’être vrai. » Sourire moqueur offert, les femmes ici sont toutes plus belles les unes que les autres et je suis bien plus terne et fade à leurs côtés, peu importe, parce que ce n’est pas par ma beauté que j’ai souhaité briller. « Mais je ne suis pas à vendre. » Contrairement aux autres. Je ne me donne pas sous la seule volonté d’un autre mais bien par la mienne. « Tu as l’embarras du choix, non ? » Mais le sort a voulu que tu veuilles la seule qui ne se donnera pas.


(c) AMIANTE



@Mikhail Sabourov
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Mikhail ne comprit pas très bien sa réponse. Attendait-elle qu’il lui sorte des plus belles paroles ? Si c’était cela qu’elle attendait, elle était tombée sur le mauvais gars. Il n’est pas du genre à se faire prier et en rajouter une couche seulement pour qu’une femme le croit. Si elle ne souhaite pas le croire lorsqu’il lui dit qu’elle est la plus belle femme ici, tant pis pour elle. Il l’aura dit une seule fois et cela est suffisant. Il n’allait pas en rajouter plus. “Je ne suis pas obligée de t’acheter.” Répondit-il, bien que décidemment il ne comprenait pas. Si elle n’était pas à “vendre” comme elle le suggérait, que faisait-elle ici ? Peut-être était-elle aussi une cliente ? Ça ne le choquerait pas. Après tout, il n’y a pas que les hommes qui pourraient avoir ce besoin de venir ici. “Ouais mais c’est toi que je veux.” Puis il plongea ses yeux bleutés dans le sien, tentant de la comprendre. Qui était-elle ? “Que fais-tu ici ?” Finit-il par lui demander. Il n’allait pas passer par quatre chemins. Il ne voulait pas perdre son temps si elle était plutôt branchée femmes.  
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@Lyra Bain
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Pulsions animales, le Russe face à moi se montre témérairement carnassier à mon égard. Billes délavées qui parcourent un instant ta silhouette, amusée. Tu es bel homme, c’est peu de le dire et la question me taraude. Pourquoi des hommes tels que vous cherchent une compagnie monnayée ? Vous pourriez facilement avoir la primeur de draps féminins sans verser le moindre billet. Mais les choses sont sans doute plus confortables de la sorte. Te laissant t’empêtrer dans mes filets. Mon index se pointe sur ta bouche, en guise de silence. « C’est pourtant le but ici non ? » Monnayer pour prendre son plaisir et ne plus rien devoir ensuite. Récupérant mes phalanges pour les passer dans mes cheveux, je souris une nouvelle fois. « C’est flatteur mais ce ne sera pas possible. » Je ne suis pas volage et encore moins éphémère dans mes unions. « Je suis la Responsable. » Il faut bien admettre la farce tant qu’il est temps. « Albus m’a parlé de toi. » Façon de te dire que je n’ignore pas ton identité, et que ton entrée ici fût accordée selon ma propre volonté. La Reine de ces enfers, c’est bien moi.

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@Mikhail Sabourov
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Il y a encore quelques années, Mikhail n’aurait jamais pensé se retrouver dans un tel endroit. A payer pour son simple plaisir sexuel. Il trouve cela pourtant plus prudent. Il ne veut pas développer des sentiments pour une quelconque femme. Ou qu’une femme puisse en éprouver pour lui. Faire entrer de l’argent de ce genre de relation pousse à une sorte de “contrat” et il pense donc qu’il y a moins de chance pour que ce genre de chose puisse arriver. Il n’est seulement là que pour du sexe et rien de plus. “C’est vrai... Mais si tu ne veux pas être payée, c’est ton choix.” Il en a de l’argent et il ne compte pas. Mais s’il peut éviter de sortir du fric pour cela, il ne se fera pas prier. Il lui sourit lorsqu’elle posa son doigt sur ses lèvres. C’était plutôt sensuel comme geste, non ? Mais quelle fut sa surprise lorsqu’elle lui annonça qu’elle était la responsable de ce lieu. Il la regarda, surpris, étonné, mais admiratif. Il n’aurait pas pensé qu’une femme puisse tenir ce genre d’établissement. Et pourtant... Il était choqué, mais en même temps, cela lui plut. “Oh … La patronne.” Rajouta-t-il avec un sourire. Il prit la main de la jeune femme qui était plus tôt sur ses lèvres, pour la garder dans la sienne. “Ça pose un problème ?” Demanda-t-il, car après tout, ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. “Je ne veux pas être le mari de la patronne... mais pourquoi pas l’amant.” Ces belles paroles furent suivies d’un sourire charmeur. Parmi toutes les femmes présentes, il était venu vers la propriétaire des lieux... Et l’idée l’en excita davantage. “Je suis sûr qu’il ne t’a dit que du mal de moi …" Dit-il à propos d’Albus. “... Et ce n’est que la vérité en tous les cas.” Il est loin d’être un enfant de cœur depuis qu’il est arrivé sur le territoire américain. Ce n’était pas par choix... mais plutôt, le destin ?
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@Lyra Bain
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Rire qui veut naître dans ma gorge mais qui s’éteint aussitôt, l’intrus se délecte de sa provocation, ignorant encore à qui il a à faire. Certes, je ne le fais pas pour de l’argent mais pas non plus selon la volonté d’un homme. Je ne réplique rien toutefois, jouant encore un instant de sa méprise, avant de lui révéler le famo de l’histoire. Cette fois, mon rire s’échappe discrètement pour de bon. « C’est cela même. » Gardant ma main dans la tienne, mon sourcil se hausse car tu ne lâches tout de même pas l’affaire, cela m’amuse mais je ne suis pas si docile. « On ne m’obtient si facilement, désolée. » Je ne me donne qu’aux hommes que je veux sincèrement. Responsable du paradis des volages, je suis sans doute une des personnes qui l’est le moins sur cette planète. C’est là le paradoxe. « Ici on ne dit que du mal des gens de toute manière, c’est un critère pour être admis. » dis-je avec amusement. Point trop d’ennuis mais de mauvaises habitudes, c’est meilleur pour les affaires. « On peut trouver une fille à ton goût si tu souhaites ? Mikhail n’est-ce pas ? Ici tout le monde m’appelle Nova. » Lyra c’est l’enfant perdue, la juvénile vagabonde, ici je suis Lyra, la jeune princesse des enfers, puissance frêle du paradis des débauches.

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@Mikhail Sabourov
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Était-ce censé arrêter Mikhail lorsqu’elle lui avait annoncé qu’elle était la patronne des lieux ? Peut-être, surement. Et pourtant, cela ne l’arrêta point. Cela lui donna même davantage envie de l’avoir elle et non une autre. Après tout, elle lui avait tapé tout de suite dans l’œil et ce n’était pas pour rien. Il n’était pas du genre à lâcher l’affaire aussi facilement. “Justement, j’aime les défis.” Lui dit-il tout en lui laissant un baiser sur sa mâchoire. Il n’allait pas la forcer non. Il n’est pas de ce genre-là. Il allait juste se lancer le défi de l’avoir, un jour. Coûte que coûte. “Parfait alors. Je rentre pile dans les critères alors.” Ce n’était surement pas la meilleure des façons de la draguer, mais il était ainsi maintenant. Il n’arrivait plus à se voir comme une bonne personne. Et il était totalement entré dans ce rôle de bad boy. Bien qu’il savait qu’il y avait pire que lui. Heureusement. Il ne voulait pas être le pire des hommes sur Terre. De toute façon, le pire des hommes était celui qui avait exécuté toute sa famille. “Je pense l’avoir trouvé : la femme à mon goût.” Il la regarda profondément pour lui faire comprendre qu’il s’agissait bien d’elle qu’il parlait. “Mais vas-y, montre-moi ce que tu as... sait-on jamais.” Peut-être que sur un malentendu il trouverait mieux que la patronne, bien que ce serait compliqué. Il le savait d’avance.  
(c) AMIANTE



@Lyra Bain
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