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soirée détente | @Minha Wolford
Il n'y a rien à faire, tout te retrouve à chaque fois dans la même impasse. Celle où rien à changer, celle où ta crainte ne cesse de croître, tel un spectre qui te poursuit depuis deux années. A chaque fois que quelqu'un fait allusion à ton agression, tu te braques et tes défenses s'élèvent une à une. Une attitude loin de te ressembler mais qui pourtant interroge ton entourage notamment ta sœur qui se veut particulièrement intuitive de nature – tout comme Eneas. Ceci expliquant cela, tu tentes de recouvrer la tempérance intérieure des battements de ton cœur avant de vouloir être détaché, comme si tu n'avais rien à te reprocher. Et pourtant, Ame, tu as tellement de chose à te reprocher pas la peine de le nier. Ta conscience ne cesse de relancer l'assaut d'une culpabilité qui te taraude souvent lorsque le silence est maître. Minha te toise avec attention prenant le recul de tendre une main de secours sur laquelle te reposer mais elle sait également que ta nature première te pousse à prendre soin des autres avant toi-même. Une déchirure qui te blesse de voir que tes proches se font tant de soucis pour toi. Tu secoues la tête d'un geste lent avant de poursuivre. « Non, je vais bien rassure toi. ». une affirmation que tu espères assez sereine pour apaiser le doute explicite de ta frangine. « Je sais que tu es là, je ne l'oublie pas vous me rappeler assez souvent à dire vrai. ». l'esquisse d'un sourire enfantin vient étirer tes lippes alors que tu pioches une énième friandise dans le paquet. « Et Eneas ne sait toujours pas ce qui peut se passe avec maman alors ? ». après tout, cela concernait le comportement étrange de votre figure maternelle, non ?
Il n'y a rien à faire, tout te retrouve à chaque fois dans la même impasse. Celle où rien à changer, celle où ta crainte ne cesse de croître, tel un spectre qui te poursuit depuis deux années. A chaque fois que quelqu'un fait allusion à ton agression, tu te braques et tes défenses s'élèvent une à une. Une attitude loin de te ressembler mais qui pourtant interroge ton entourage notamment ta sœur qui se veut particulièrement intuitive de nature – tout comme Eneas. Ceci expliquant cela, tu tentes de recouvrer la tempérance intérieure des battements de ton cœur avant de vouloir être détaché, comme si tu n'avais rien à te reprocher. Et pourtant, Ame, tu as tellement de chose à te reprocher pas la peine de le nier. Ta conscience ne cesse de relancer l'assaut d'une culpabilité qui te taraude souvent lorsque le silence est maître. Minha te toise avec attention prenant le recul de tendre une main de secours sur laquelle te reposer mais elle sait également que ta nature première te pousse à prendre soin des autres avant toi-même. Une déchirure qui te blesse de voir que tes proches se font tant de soucis pour toi. Tu secoues la tête d'un geste lent avant de poursuivre. « Non, je vais bien rassure toi. ». une affirmation que tu espères assez sereine pour apaiser le doute explicite de ta frangine. « Je sais que tu es là, je ne l'oublie pas vous me rappeler assez souvent à dire vrai. ». l'esquisse d'un sourire enfantin vient étirer tes lippes alors que tu pioches une énième friandise dans le paquet. « Et Eneas ne sait toujours pas ce qui peut se passe avec maman alors ? ». après tout, cela concernait le comportement étrange de votre figure maternelle, non ?
:copyright: lumos solem.
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