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(+ alekseï) you miss someone, you feel like the world is empty

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« Arrête … Ca te ferait du bien. » Sortir ne pouvait que lui faire du bien de toute façon. Et puis, si jamais il restait obstiné à ne pas bouger de cet hôtel, je n’aurais pas la force de supporter son attitude. Savait-on jamais, peut-être allait-il devenir le plus insociable des hommes, peut-être tomberait-il dans les vices les plus malsains de la vie. Je n’allais pas supporter que son état se dégrade plus qu’il ne l’était à ce jour. « Tu ne vas pas rester planté là pendant encore des mois, à te buter à l’alcool en espérant que ça ira mieux. Ca n’ira pas mieux et tu le sais autant que moi. Il faut que tu sortes un peu, que … que tu retrouves un contact humain. » Je le suppliais du regard à présent. « Que tu sombres est là dernière chose que je souhaite Aleks. » J’espérais que cette dernière phrase ait un impact sur lui. Qu’il prenne conscience que je ne voulais que son bien, et que son bonheur. Même si pour le moment, tout ça était loin d’être gagné. Aleksei m’annonça alors l’annulation de ses fiançailles avec Anastasiya. C’était une nouvelle que je ne m’attendais absolument pas à attendre en venant ici. Alors tout ça … toute cette mise à distance pour qu’il ait une vie heureuse avec elle … tout ça avait été une perte de temps. J’avais un mal de chien à réaliser. Je dû même déglutir plusieurs fois de suite avant de pouvoir réagir. Je voulais savoir. Pourquoi avoir tout arrêté comme ça ? Mais surtout, intérieurement, une question me vint instantanément à l’esprit : pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? C’est vrai quoi. C’était quelque chose d’important tout de même … et j’aurais aimé avoir été au courant dés le départ. Au fur et à mesure de ses explications, tout me paraissait complètement absurde, insensé. Je ne comprenais plus rien. Je balbutiais mes mots. « Tu parles d’une nouvelle. Pourquoi tu ne m’en as pas parlé avant ? » Et soudain, lorsque les mots « j’ai perdu la mienne » parvinrent à mes oreilles, ce fut le choc. Cette Solweig … Et merde. « Je vois. Tu as toutes mes condoléances. » J’étais la plus sincère du monde. Mais peut-être ne le voyait-on pas, trop consternée devant la déduction que je venais de faire dans ma tête. Il était amoureux de Solweig. Il en était amoureux. Et il l’avait perdue. Je me permis de poser une main sur son épaule, en signe de présence, de réconfort. « Je suis en train de m’en rendre compte. » Pour le coup, oui, j’étais en train de comprendre.
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Mouais tu parles... je savais qu'elle disait ça pour mon bien, mais je n'avais pas la tête à sortir et avoir ce contact humain comme elle venait de le dire juste après, elle me faisait sa morale, je la regardais, j'étais pas agacé, je ne m'en foutais pas mais qu'elle dise ce qu'elle voulait, mon avis n'allait pas changer. Pourquoi pas hein ? C'est mieux que ce contact humain non ? J'ai pas la tête à sortir... pas du tout.. Je la voyais bien percer mon regard, tout ce qu'elle me disait là c'était pour mon bien, je le savais mais j’étais du genre borné Vraiment ?... ton éloignement en est la preuve à ce que je vois... putain Youri, elle te disait par cette putain de phrase qu'elle était là pour toi et qu'elle ferait tout pour que tu retrouve la joie de vivre et là tu l'envoie chier comme si elle n'était rien à tes yeux, t'es con quand t'es déprimé Désolé... C'est vrai elle s'était éloigner, je lui en ai voulu, c'est même surement pour ça que je n'ai pas fais le premier pas vers elle quand on s'est revu ici, je n'avais pas cherché à comprendre et j'ai laissé le temps filer. On étaient assis sur le canapé et je venais de lui foutre apparemment une grosse claque en lui apprenant qu'avec Anastasiya, nos fiançailles étaient rompus, je voyais bine à son regard que c'était une nouvelle auquel elle ne s'était nullement attendue, je ne lui en avais jamais parlé, je lui avais juste dis que je me fiançais, juste ça, à l'époque, ça se dégradait entre nous à cause de Natalya, je ne veux pas ressasser le passé, j'aurais du lui expliquer mais on s'éloignaient sans s'en rendre compte puis elle a quittée la Russie. J'en sais trop rien... à l'époque entre nous c'était plus trop ça.. je cherchais mes mots toujours avec cette voix fiable et blessée, elle devenait encore plus blessé lorsque je parlais de Solweig, celle dont j'étais tombé amoureux, la première, qu'elle ne soit plus là, ça faisait mal très mal et j'entendais ses condoléances, je la regardais mais je ne répondais rien, parler de Solw, je détestais à présent, juste son nom, j'avais sa tête en image dans la mienne, tous les souvenirs, sa voix, son sourire, c'était juste trop douloureux. Je sentais sa main venir se poser sur mon épaule, je regardais celle-ci quelques secondes avant de lever les yeux vers elle Désolé que tu me vois comme ça... tellement faible je venais reposer ma tête contre le canapé et je fermais les yeux, accablé par trop de douleur.

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Je n’avais pas oublié à quel point il pouvait être têtu comme une mule quand il s’y mettait. Loin de là. Je m’attendais même à cette réaction. Ca m’agaçait, mais il fallait rester le plus calme possible. Je n’allais pas me mettre à l’engueuler comme une mère engueule son enfant. S’il ne voulait pas m’écouter, il était assez grand pour savoir ce qu’il voulait. Sortir de là dépression ou y demeurer. C’était son choix. « Fais comme tu voudras. Si t’es bien dans ton coin, qu’est-ce que tu veux que je te dise ? » De toute façon, j’aurais bien l’occasion de lui répéter de sortir bien assez de fois encore. Il n’en avait pas fini avec moi. Je levais les yeux au plafond, complètement désespéré de le voir aussi borné que ça. Et alors que je lui faisais part de ce que je ne voulais absolument pas pour lui, il osa me dire une chose si dure à encaisser que j’eu tout de suite envie de partir afin d’éviter de m’énerver. Je me pinçais les lèvres, hésitante pendant quelques microsecondes. « J’ai pigé. » Et sur ces mots, et le plus rapidement possible, je me levais du canapé et empoignais ma veste. Je me retenais de me faire entendre, de lui dire ce que je pensais à l’instant précis. Mais alors que j’étais sur le point d’enfiler la première manche de mon manteau, il s’excusa. J’avais tellement envie de l’envoyer balader, de lui dire de se débrouiller sans moi. Mais, et à ma propre surprise, je reposais mon manteau. J’étais une femme rancunière, il me connaissait. Il savait très bien que ce n’était pas parce qu’il n’était pas dans son état normal qu’il n’allait pas en réentendre parler plus tard. Je ne laissais rien passer. Pas même ce genre de pic. Je m’asseyais à nouveau à ses côtés et lui demandais alors des explications sur ses fiançailles et surtout, je lui demandais pourquoi il ne m’en avait pas parlé. Je baissais les yeux et déglutis à nouveau. Il avait raison. « Quand j’y pense, t’as pas tort. » Je lui fis alors part de mes condoléances pour Solweig et ça avait l’air de le faire souffrir encore plus que si je n’avais rien dis. C’est pourquoi ma main vint se poser sur son épaule, alors qu’il commençait à s’apitoyer sur ton sort. « C’est vrai que je suis pas vraiment habituée à te voir aussi mal, mais ça arrive. On a tous des moments comme ça ou rien ne va. » Je plissais les yeux, alors que je le voyais s’affaler au fond de son canapé et fermer les yeux. Ma main glissa, pour finalement quitter son épaule. « Tu veux que je te laisse seul ? » Vu comme ça, il avait l’air d’avoir besoin de solitude. A nouveau.
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Même si on s'étaient éloignés depuis pas mal de temps, elle pouvait retrouver ma si grande qualité, le fait que je sois borné, et têtu comme pas possible lui avait certainement manqué, je jouais sur l'ironie en parlant de ça mais elle ne méritait pas que je lui parle de cette façon, je savais très bien que tout ce qui sortait de sa bouche était pour mon bien, sortir et retrouver le contact humain mais je n'avais plus la force, plus l'envie pourtant c'était sur que c'est ce qu'il me fallait mais comme elle pouvait le voir, je n'étais pas de cet avis, je restais sur cette déprime qui me consume depuis que je suis rentré de Russie Rien justement.. bordel fallait que j'arrête là, pourquoi avais-je commenter son propos ? Pourquoi ? Même après tout ce temps je savais que ça l'énerverait et qu'elle risquerait de se casser,mal au point j'étais vraiment pas sociable, pathétique. J'étais pathétique mais ce que je venais de lui lancer dans la gueule c'était juste méchant, lui reprocher de s'être éloignée de moi, elle était là, mauvais endroit, mauvais moment, j'étais mal, il fallait que je passe mes nerfs et soit elle allait tout encaisser ou péter un câble et se casser. Elle se levait du canapé, bordel le con que j'étais, elle prenait son manteau mais avant qu'elle puisse l'enfiler, je m'excusais, c'était la moindre des choses, elle était venue pour moi, et je l'envoyais chier à chaque parole, est-ce vraiment logique ? Je ne crois pas. J'aurais pensé que ça ne changerait rien, qu'elle enfilerait quand même son manteau et qu'elle quitterait ma suite mais non, rancunière elle l'était et pas qu'un peu même et surement plus que moi si elle s'y met vraiment, elle venait se rasseoir et je lui en disais plus sur Anastasiya et moi, elle fut pour le moins choqué de ne pas avoir été mise au courant mais comme je venais de lui dire, entre nous ce n'était plus trop ça à l'époque, elle confirmait la chose, je ne la regardais pas alors que je venais à parler de Solweig, j'entendais ses condoléances, je pouvais la remercier, je le pensais mais rien ne sortait, sa main venait sur mon épaule et je m'excusais une deuxième fois pour qu'elle me voit dans cet état Rien ne va depuis pas mal de temps.... je crois que ça à commencer quand t'as quittée la Russie c'est vrai, ça m'avait assez marqué qu'elle parte, avec le temps j'ai laissé ça de côté mais j'y repense et cette douleur s'ajoute aux autres. Je venais reposer ma tête contre le canapé et fermer les yeux, elle enlevait sa main de on épaule, me proposant de me laisser seul Reste... j'ouvrais les yeux pour la regarder S'il te plait....

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Il m’énervait. Vraiment. Il m’énervait à renier absolument tout ce que je lui disais. Il se foutait complètement de tout, de son moral, et même de moi. Je n’étais pas venue le voir pour m’énerver ainsi, merde ! Rien qu’une réaction positive, rien que ça, m’aurait fait plaisir. Mais non, monsieur Ivanovitch, n’ayant que faire de son moral, de son état et même de moi, ne voulait rien entendre. C’était pourtant un homme intelligent. Mais là, il me prouvait tout le contraire rien que par son comportement. Je me retenais de ne pas partir en vrille, de ne pas lui gueuler dessus en lui crachant ses quatre vérités comme j’avais l’habitude de le faire lorsque l’on osait me provoquer. Je me la fermais, en m’expliquant le comportement d’Alekseï par le décès de Solweig. Mais il me connaissait et intérieurement, il devait bien se douter que je n’allais rien oublier. Et s’il s’en doutait, il avait tout à fait raison. Je ne répondais donc rien, juste un soupir, soulagé, gonflé, passa le cap de mes lèvres, histoire de lui faire comprendre par un autre moyen qu’il m’agaçait avec ses réflexions à deux balles. Mais il continua, et là, ce fut plus fort que moi. Je me levais, rapidement, prête à dégager de cette foutue chambre d’hôtel. Trop c’était trop. Je ne disais rien parce qu’il était mon meilleur ami, mais il allait trop loin. Cependant, alors que j’étais sur le point d’enfiler la première manche de mon manteau, de prendre mon sac et de me tirer, il s’excusa. D’une petite voix, certes, mais il s’excusa. C’était mieux que rien, après tout. Et encore une fois, sans lui répondre de vive voix, je reposais mes affaires et retournais m’asseoir sur le canapé. Il avait de la chance que je réagisse comme ça. Beaucoup de chance. Je lui offrais de très sincères condoléances, à propos de Solweig. J’étais désolée de ce qui était arrivé à cette fille, et par conséquent de ce qui arrivait à Alekseï. Ma main vint se poser sur son épaule, alors qu’il s’excusa une seconde fois. Puis il se mit à prendre conscience de certaines choses. A ma grande surprise. « Je sais … Mais tu sais bien que s’il n’y avait eu que moi je ne serais jamais partie, rien que pour rester avec toi. Mais il fallait que je parte. » Je fis une courte pause avant de continuer. « De mon coté aussi, c’est à partir de là que les choses ont changé … » Je faisais glisser ma main de son épaule, la laissant retomber sur le tissu du canapé. Il avait l’air de vouloir être seul, encore. Pourtant, il me regarda, dans les yeux cette fois, et me demanda de rester avec lui. « T’es sur ? » Ma question était d’une utilité déplorable. Mais enfin. « Qu’est-ce que j’peux faire pour que t’ailles mieux ? Dis-moi … »
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Ce n'était pas le bon jour, je n'avais rien contre elle, si j'avais quelque chose contre elle, qu'elle soit parti, que les nouvelles qu'elle me donnait de l'étranger était de plus en plus invisibles jusqu'à devenir invisibles, je lui en voulais toujours pour ça et même lorsque je suis arrivé ici, même si je l'ai vu je n'ai pas fais le premier pas, ce n'était pas à moi de venir m'excuser, c'était à elle, j'avais mis cette peine de côté mais là j'avais trop mal, Solweig m'avait été arraché alors toute cette douleur et cette peine que j'ai ressenti quand Georgia à quittée la Russie, tout s'exprimait dans le ton que je prenais en lui parlant, lui parler comme si elle n'était que de la merde. Elle était terriblement rancunière, pire que moi quand elle est décidée et je sais qu'elle pourrait me parler aussi froidement et aussi sèchement car c'est une des rares qui arrivent à me tenir tête et à m'en foutre plein la gueule, elle à été celle qui a compté le plus durant tant de temps, maintenant c'est différent, je n'ai pas de remords ni de culpabilité à lui avoir parlé comme ça mais lorsque je la vis se lever, prête à enfiler son manteau et partir, ça n'a fait qu'un tour dans ma tête et je me suis excusé, je ne savais pas pourquoi mais je ne voulais pas me la mettre à dos, j'avais besoin d'être entouré, et de sortir de cette solitude, elle était là, donc j'avais besoin d'être entouré de sa présence, qui je dois l'avouer, m'avait manqué après tout ce temps. Elle se rasseyait sans un mot à côté de moi sur le canapé puis j'entendais ses condoléances, elle ne la connaissait pas et pourtant j'avais son réconfort, preuve qu'elle n'était pas là que pour me dire ça, elle était là pour me sortir de ce cocon, retrouver le contact humain comme elle m'avait dit quelques instants plus tôt. Je sentais sa main venir sur mon épaule alors que je réalisais que les choses avaient changées ou plutôt commencées quand elle fut parti et de sa voix sortait à peu près la même chose T'aurais pu rester... m'enfin ce qui est fait est fait... elle retirait sa main alors que je venais enfoncer ma tête contre le canapé et fermer les yeux, c'est vrai que tout c'était compliqué et je ne voulais pas qu'elle parte comme elle m'avait supposer, je ne voulais pas rester seul même si c'était le contraire qui paraissait Oui... je relevais légèrement ma tête puis je la regardais Tes bras je crois... j'en ai besoin je n'aurais jamais cru dire ça, paraitre aussi faible, dire des choses aussi faibles, j'avais changé.

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Rester. J’aurais pu, en effet. Il y avait de très bonnes universités en Russie et à Moscou. J’aurais pu ne pas partir, rester avec mes parents, avec toute ma famille, et avec Alekseï. Seulement j’en avais décidé autrement. Et il était égoïste de réagir ainsi, en ne pensant qu’à sa belle gueule et en pensant que j’aurais pu rester seulement pour lui. Si j’étais partie, c’était avant tout pour moi et pour mon avenir. Harvard était, à mes yeux, l’une des plus prestigieuses universités où je rêvais d’être admise. Alors j’étais partie, avec le soutient de mes parents. Alekseï aurait fait la même chose s’il avait été à ma place, et dans ma situation. D’ailleurs, il l’a fait en quelques sortes, en partant à son tour quelques mois plus tard. A cette heure-ci, il devait être heureux pour moi, pour mon parcours au fil de mes études. Et inversement. J’étais fière de lui, j’étais fier de tout ce qu’il avait pu accomplir ici. Mais lui, n’avait pas l’air si fier de moi. Super. « Je sais que j’aurais pu rester à Moscou mais Harvard, c’est Harvard. Tu sais très bien que les études comptent beaucoup pour moi. Je suis allée là où je pensais profiter des meilleurs enseignements. » Je me retenais de lui faire remarquer son égoïsme. « Et puis toi aussi, t’es parti. » Sans blague. Je sentais alors que ma présence était peut-être de trop, Alekseï ayant l’air de vouloir se reposer. Il avait la tête enfoncée dans le canapé – très confortable d’ailleurs – et les yeux fermés. S’il ne voulait pas se reposer, je me demandais bien ce qu’il voulait. C’est pourquoi je lui proposais de le laisser seul, à contre cœur, évidemment. De base, je n’étais pas venue ici pour rester cinq minutes et partir. Mais si Alekseï souhaitait être seul – et c’était normal – il n’y avait aucun souci afin que je m’en aille. Mais quasiment sans aucune hésitation, il me demanda – m’ordonna presque – de rester, à ma grande surprise. Je lui demandais même s’il était sur de lui et vu sa réponse, il l’était. « D’accord … » Je laissais alors mon dos s’appuyer contre le cuir du canapé, confortablement. Et sans attendre, je lui demandais, les yeux implorants, ce que je pouvais faire pour qu’il aille mieux. Vu la situation, j’aurais fait absolument n’importe quoi. Et sa réponse m’alla droit au cœur. Mes bras ? Ca faisait combien de temps qu’il ne m’avait pas demandé de le prendre dans ses bras ? Longtemps, hein. Mais malgré tout, je ne pu retenir un très léger sourire qui ne resta pas longtemps sur mes lèvres. J’écartais ma main vers lui, afin qu’il vienne se caler contre moi. « Viens-là. » Et une fois qu’il se tenait prés de moi, ma main caressa sa nuque, tendrement. Il y avait bien longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés ainsi, tous les deux. Mais ça faisait du bien. Et tant qu’il ne me rejettera pas, je resterais là.
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Aleksgia
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Je lui en voulais toujours de m'avoir laisser tout seul en Russie, pas au sens propre, plutôt figuré, à l'époque elle et moi nous ne faisions qu'un, elle était toujours prêt de moi, son bras autour du mien, son rire, ses blagues, ses morales, nos engueulades, nos moments, tout m'avait manqué, j'avais de ses nouvelles mais elles disparaissaient en fonction du temps, plus les jours passaient, moins de ses nouvelles me venaient, puis un jour plus rien, j'ai du avancer seul, sans ma meilleure amie, sans ma Georgia et je suis égoïste, elle est parti pour elle avant tout je le sais mais j'étais tout pour elle à l'époque, dans ma tête, elle ne pouvait pas partir, je lui en voulais toujours pour ça même si c'est du passé. C'est vrai... mais à l'époque c'était toi et moi... Aleksgia... ce surnom pourri mais tant connu à l'époque... dans ma tête c'était ça... j'étais égoïste et je t'en veux encore car je suis toujours égoïste... lui mentir serait inutile avec elle, elle me connait par cœur, je suis un livre ouvert pour elle et même si elle n'est plus ma meilleure amie, je sais que ça n'a pas changé, que je reste ce livre qu'elle à tant aimé lire. C'ets vrai que quelques années après j'ai quitté à mon tour la Russie mais c'était dans un contexte différent, très différent du sien C'est vrai... mais si ça n'aurait tenu qu'a moi je serais resté à continuer en Russie, c'est mes fiançailles avec Anastasiya et mes parents qui ne m'ont pas laisser le choix, je n'y suis pas aller pour moi, j'y suis aller pour eux. mais maintenant je me rend compte que je suis venu pour moi, j'ai tant visiter de choses étant plus jeunes, je suis tant sorti de la Russie et maintenant que je n'y suis plus, je sais que c'est mon choix, j'aurais pu leur tenir tête et rester mais non, j'ai fais ça pour eux mais avant tout pour moi, Georgia avait raison. Ma tête enfoncé dans le canapé, les yeux fermés, je ne réalisais toujours pas que Solweig n'était plus là et même si Georgia ne voyait que se que je montrais, ce n'était pas le cas, je ne voulais pas rester seul, c'était tout le contraire dont j'avais besoin, de contact humain, et je voulais le trouver avec elle, avec ses bras. Je venais trouver de la présence dans ceux-ci, ma tête était dans le creux de son cou, mes bras l'entouraient, je sentais une de ses mains caresser ma nuque, ce moment avait tellement était absent durant tant d'années que je voulais qu'il dure infiniment. Même après toutes ces années t'as gardé ce parfum que je t'ai offert pour tes 16 ans... je souriais comme un con, le première sourire depuis que j'étais rentré mais elle ne pouvait pas le voir, il restait discret.
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« Dans la mienne aussi, c’était ça. Nous deux. Mais à t’entendre, tu parles comme si mon départ n’avait affecté que toi. » Je savais que c’était pas le bon moment pour en parler mais c’était plus fort que moi. Il me provoquait clairement là. « Et si tu m’en veux encore, je n’y peux plus rien. Puis … le principal, c’est qu’on soit là tous les deux, non ? » Valait mieux couper court à la conversation maintenant. Ce n’était un moment propice à se disputer sur un sujet passé auquel on ne peut rien changer. Mais au moins, comme ça, il venait de me confirmer qu’il m’en voulait encore après tout ce temps. Super. Sincèrement, ça me touchait d’entendre ce genre de discours sortir de sa bouche. Mais ce qui me faisait le plus mal, c’était le fait qu’il parle de nous et de notre amitié au passé. Genre c’est fini, on en parle plus. Ca me dépitait complètement mais comme à mon habitude, je ne montrais rien. Cacher mes sentiments était l’une de mes premières qualités. « Pour tes parents, pour tes fiançailles, et pour toi. Peut-être que tu t’en rends pas compte, mais tu es là surtout pour toi. » A quoi bon essayer de faire changer sa vision des choses ? Alekseï était quelqu’un de borné. J’aurais beau lui sortir tout ce que je voulais, il resterait sur sa position. Surtout quand, comme aujourd’hui, il était dans un mauvais état d’esprit. Je faillis le laisser seul, pensant que son amie la solitude lui serait peut-être plus précieuse que son amie Georgia. Mais, à ma surprise, il me demanda de rester et même de le prendre dans ses bras. Parce qu’il en avait besoin, selon-lui. Mais ça me faisait tellement plaisir que je m’exécutais sans hésitation. Je l’invitais à venir contre moi, ce qu’il fit. Sa tête se cala plutôt confortablement au niveau de mon épaule et de mon cou, sa chaleur me fit du bien. Je caressais sa nuque du bout de mes doigts, histoire de tenter de le décontracter du mieux que je pouvais. Il y avait peu de gens avec qui j’étais si attentionnée. Alekseï était celui avec lequel j’exerçais le plus de douceur et d’attention. Il était spécial, donc j’étais spéciale avec lui. Je fonctionnais comme ça. Et alors que j’enchaînais les courbes de mes doigts contre sa peau, il réussit une nouvelle fois à me faire sourire, et même à me faire pouffer de rire. « Contente de voir que tu te rappelles de sa senteur. » J’ignorais s’il souriait ou non. Je tentais alors une petite note d’humour. « D’ailleurs si tu pouvais m’en acheter un nouveau flacon … J’ai beau l’avoir gardé des années, il se vide peu à peu. » Je me pinçais les lèvres, histoire de voir sa réaction, et toujours avec le sourire, je repris. « Non je déconne. » J’étais le genre de fille qui osait plaisanter même quand ce n’était pas le moment. Mais enfin. « Ca m’avait manqué de me retrouver seule avec toi. Ca me rappelle l’ancienne époque … »
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Maintenant j'ai conscience que c'était autant douloureux pour toi que pour moi que tu parte et que tu quitte la Russie mais à l'époque oui je pensais que seul moi était touché, Georgia, toi et moi on étaient... j'veux dire... toi sans moi c'était plus toi et inversement et j'ai pensé que je n'étais qu'un fardeau, que tu m'a laissé derrière toi pour avancer... oui à l'époque c'est ce que je pensais, ça pouvait être dur à encaisser, même pour une fille comme Georgia mais elle savait qu'avec elle je n'y allais pas par quatre chemin, je disais ce que je pensais, que ça plaise ou non, elle était de cette trempe aussi. Oui c'est vrai... mais je dois être encore con pour encore t'en vouloir... pour moi quand elle est parti j'ai su que notre relation n'allait plus être la même, elle partait, me laissait derrière elle, étais-je encore ce meilleur ami avec qui elle était si proche ? Je n'en savais plus trop rien, j'ai eu de moins en moins de ses nouvelles, pour moi j'étais son ex-meilleur ami, tout comme elle devenu mon ex-meilleure amie, je parle de notre relation au passé car je ne me voile pas la face pour moi ce n'est plus comme avant même si là, le fait qu'elle soit ici, je ressens de nouveau cette proximité si proche entre nous, elle m'a manqué, aucun de nous n'a fait le premier pas une fois ici, ce n’est que maintenant qu'on se retrouvent. Tu as surement raison... c'est vrai elle était parti pour elle, ses études et j'avais fais la même chose, quitter la Russie pour l'Amérique, pour mes parents, mes fiançailles avec Anastasiya, c'était pour ça que j'étais parti étudier ici à Harvard mais au fond, c'était aussi pour moi, elle avait su le voir sans même me demander, je suis un livre ouvert pour elle tout comme elle l'est pour moi et c'est ça qui est si troublant avec elle, je ne peux pas mentir, elle me connait mieux que je ne me connais moi-même, à quelques choses prêt. Elle me proposait de partir, voyant bien que j'étais disposé à rester seul mais c'était loin d'être le cas, j'avais besoin de compagnie, elle était là, j'avais besoin d'elle, je lui demandais de rester, elle acceptait et dans les secondes qui suivirent j'étais dans ses bras, j'avais trop besoin d'eux. Ma tête dans le creux de son cou, mes bras poser contre elle, je sentais ses caresses si tendres et affectives qui me faisaient tant de bien, ça m'avait manqué, ils dataient les moments où on se retrouvaient tous les deux et où nous faisions preuves d'autant de douceur et de tendresse l'un envers l'autre, bien que là c'était elle qui me réconfortait. J'entendais son rire après tant de temps et ça me faisait juste un bien fou, même moi j'avais lâché un petit sourire avec la remarque que j'avais sortis Impossible de l'oublier vu le prix qu'il a couté puis sa remarque me fit lâcher un léger rire Edition limité... quel dommage mon rire s’effaçait pour que je me retrouve encore apaisé dans ses bras, ce moment était si parfait et elle avait raison à moi aussi ça me rappelait l'ancienne époque, je relevais ma tête pour la regarder dans les yeux A moi aussi Gerogia....

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