Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2
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(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas

2 participants
Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
La réalité venait me percuter de plein fouet aujourd’hui. Bien évidemment, j’avais conscience de cette vérité depuis des mois. Elle trottait dans un coin de ma tête depuis si longtemps. Néanmoins, elle ne s’imposait pas. Elle restait en retrait me permettant de continuer à plonger dans ce que je considérais n’être qu’un délice difficile. Je savais que je faisais du mal à Lukas. Je savais que nous nous faisions du mal réciproquement d’ailleurs parce que j’avais été plus d’une fois blessé par le sexy musicien. J’avais senti mon cœur se craqueler plus d’une fois à la suite de propos qu’il avait prononcé ou d’actes qu’il avait eu à mon égard. C’était vrai. Nous nous heurtions en étant ensemble, mais jusqu’à présent je parvenais à vivre avec ça. Nous parvenions à vivre avec cela comme si c’était de cette manière que notre Neakas était censé fonctionner. C’était comme si nous savions que les choses devaient se dérouler de cette façon entre nous et que nous nous adaptions parce que nous étions simplement trop épris l’un de l’autre. Trop amoureux au point d’accepter de vivre cette histoire aussi magnifique que douloureuse. Ça faisait des mois que ça durait. Ça faisait des mois que la vérité battait dans un coin de ma tête. Et voilà qu’aujourd’hui, c’était encore plus fort. Plus fort que tout. Peut-être était-ce parce que j’avais sauvé Elie d’une souffrance quotidienne qui avait su la détruire et que je me rendais compte de l’impact que ça pouvait avoir. Bien sûr je n’avais rien à voir avec ces hommes qui avaient profité de la demoiselle et qui l’avait faite souffrir… Mais moi… Moi je détruisais lentement Lukas. Le poison de mon être toxique s’infiltrait lentement dans ses veines et la vérité de la souffrance imposée cognait dans ma tête tellement fort. Elle cognait si fort que je ne pouvais pas la stopper. Je voulais tuer toutes les personnes qui osaient blesser cet homme dont j’étais si follement amoureux. Mais… Merde… C’était moi qui le blessait le plus. C’était moi qui le torturait de façon quotidienne et incessante. C’était moi. Juste moi. Et je ne voulais pas. Je ne pouvais pas être ce bourreau destructeur de vie. Je ne voulais pas être ce tourmenteur qui venait gâcher son existence. Il méritait mieux. Il méritait tellement plus que ce que je pouvais lui offrir. Il ne méritait pas de subir tout ce que je lui imposais. Tous ces événements qui débarquaient souvent à l’improviste provoquant des disputes virulentes. Tous ces secrets qui se dévoilaient et qui venaient bouleverser notre couple, notre quotidien. Toutes ces crises que je pouvais faire qui heurtaient nos vie provoquant le manque de sommeil, l’angoisse, la colère et tellement d’autres choses. Toutes ces coucheries dont je ne pouvais pas si aisément me passer. Alors je me laissais avoir par cette vérité éclatante et je LA nourrissais. ELLE. Cette voix dans mon crâne qui savait si souvent prendre possession de mes actes et de mes mots. Cette voix qui savait me pousser à sauter dans le précipice en oubliant tout le reste. Cette voix qui me conduisait à plonger dans le tunnel sans la moindre hésitation. ELLE pulsait à l’intérieur de mon crâne. De plus en plus forte au fil des secondes. De plus en plus violente au fil des minutes. Ça s’écoulait. Je glissais. Je sombrais. ELLE me poussait à penser aux limites que je pouvais franchir pour tenter de préserver une personne extraordinaire comme Lukas. La mort était la première sur la liste, mais elle était aussi celle que j’avais raté trop de fois. Celle que je ne parvenais pas à atteindre. Alors, le départ se pointait dans mon esprit. Partir loin de Boston… Disparaître de la vie de tous… C’était une solution. C’était une idée. Mais où irais-je ? Je n’étais pas prêt à tout recommencer à zéro dans un autre endroit. Je n’étais pas prêt à essayer une nouvelle fois de me construire une vie qui serait sans aucun doute aussi bancale et douloureuse que celle que j’avais. Alors, l’Italie s’imposait à moi. Replonger dans une vie passée douloureuse… C’était peut-être la solution. Une solution qui ne me plaisait guère. Qui ne plaisait même pas à cette voix dans ma tête parce qu’elle perdrait trop de son pouvoir me laissant acceptant de tout aux mains de ces hommes. Alors, j’envisageais la dernière possibilité. La rupture d’une histoire qui avait duré un temps. La rupture d’une histoire qui avait fait du bien et du mal. La rupture d’une histoire pour pousser le jeune homme à trouver mieux ailleurs. J’étais incapable de stopper cette voix en moi, malgré l’ordre doux de mon copain qui me demandait d’arrêter. Arrêter de réfléchir. Arrêter de penser. Arrêter de la nourrir. Je n’y parvenais pas. Je continuais à plonger le cœur battant et le souffle court. Je me sentais mal alors que la réalité de cette souffrance m’échappait une nouvelle fois. Moi… Le toxique gamin qui causait tant de mal. Je sursautais doucement lorsque Mio Amore venait intervenir soufflant que ce n’était pas la solution. Mes sourcils se fronçaient. Qu’est-ce qui n’était pas la solution ? Un départ ? Une mort ? Je ne savais pas. Ou peut-être que je ne voulais pas savoir parce que mon copain semblait lire dans ma tête un peu trop aisément. C’était comme s’il pouvait tout voir et venir bloquer la porte de la voix avant que je ne m’y engouffre. Peut-être qu’il parlait de la fin de notre histoire qui n’était pas une solution à tous les problèmes. À tous nos problèmes. Quand bien même je tentais de le pousser à croire qu’accomplir cet acte serait bénéfique, la décision inévitable ne tombait pas entre nous. Pire encore, Mio Amore s’approchait de moi soufflant des tonnes de mots que je ne voulais pas entendre. Une envie de ne pas me quitter un peu trop difficile à croire… Des mots emplis de compliments que je ne voulais pas entendre car trop difficile à encaisser… Et, finalement, le sexy musicien attrapait ma main. Une main que je ne retirais pas, malgré les frissons douloureux glissant sur ma peau. Une main que je lui laissais, malgré mon cœur cognant trop fort et mon être totalement tendu. Lukas m’interrogeait sur la Mafia et je soufflais les mots qui offraient la délivrance. Tout était terminé. Il n’y avait plus rien à craindre. Je n’avais plus rien à craindre. Je voulais y croire avec ce nouveau rôle que j’allais accomplir de façon occasionnelle. Suite à l’aveu, Mio Amore fermait les yeux de soulagement. Je le voyais. Je le sentais. Tout était terminé et pour lui tout pouvait s’arranger maintenant. Mais saurait-il vraiment capable de vivre avec celui que j’étais redevenu ? Ce gosse qui ressentait de nouveau des besoins de domination un peu trop fort ? Ce gamin qui était trop perturbé au point d’enchaîner les nuits de cauchemars et les journées de panique ? Cet homme qui avait accompli un autre meurtre ? Pouvait-il vraiment vivre avec moi ? Moi… Le toxique. Le destructeur. Le différent.

Mio Amore semblait prêt à ouvrir la bouche pour souffler des mots à propos de cette nouvelle aussi soudaine qu’heureuse, mais la situation dérapait bien trop rapidement. Le contrôle s’évadait. La tempête débarquait. Imprévue. Violente. Je dérapais sans pouvoir me contenir parce que ça s’était mis à cogner de plus en plus fort en moi. ELLE avait remis sur le devant de la scène la réalité que je tentais d’oublier. J’étais toujours ce monstre qui faisait du mal aux autres. Je serais à jamais ce gamin un peu trop dangereux et toxique qui pouvait détruire des personnes formidables. J’étais toujours cette créature qui pouvait faire trop de mal autour de lui et tout foutre en l’air. Alors, poussé par cette voix, poussé par ces horreurs, j’agissais comme elle me le disait. J’agissais pour tenter de le pousser à bout. J’agissais pour tenter d’obtenir la fin de tout. La fin de nous. La fin qui serait mieux pour lui. La fin qui semblait la meilleure solution pour ELLE afin qu’ELLE puisse me dévorer dès que je serai seul. J’agissais sans le moindre préambule attrapant un peu trop vivement mon copain pour le bousculer contre le mur du salon. Est-ce que j’y allais trop fort ? Je ne savais pas. Je ne mesurais plus rien. Je ne contrôlais plus vraiment. Le dos de Lukas percutait le mur et il grimaçait. Surprise ? Douleur ? Allez savoir. Je ne m’y attardais pas. Je ne cherchais pas à savoir. Non. Pas dans l’immédiat. J’étais beaucoup trop perdu dans une tornade sans fin pour m’attacher aux détails importants. M’approchant de Mio Amore, je sentais mon corps trembler lentement sous la peur qui se propageait malgré le contrôle. Incontrôlable peur provoquée par ces hommes qui m’avaient fait du mal. Mes mains de part et d’autre de la tête de Lukas, je babillais des mots sur moi. Ma toxicité. La souffrance que j’imposais. Et je cherchais à savoir pourquoi il n’arrêtait pas tout ? Pourquoi il ne mettait pas fin à cet Enfer que je lui faisais vivre ? Ce n’était pas normal. Et, comme pour prouver un peu plus mon côté malsain et destructeur, mon poing s’abattait sur le mur juste à côté de Lukas. Juste à côté de lui ouais parce que je n’étais pas foutu de lui faire du mal à ce point. Je ne le pourrai sans doute jamais. Au fond de mon être, j’étais toujours ce gamin qui avait vu sa mère se faire rouer de coups par son père. J’étais toujours cet enfant qui ne voulait pas blesser physiquement ceux à qui il tenait beaucoup trop fort. Mio Amore arquait un sourcil sans rien dire, sans rien faire. La lueur de peur ne se trouvait même pas dans ces prunelles que j’observais si proche de lui. Si proche à attendre la réponse qui saurait me satisfaire. La réponse qui saurait LA satisfaire. Mais ça n’arrivait pas. Non… Contrairement à tout ce que j’attendais, ce furent les lèvres de Lukas qui s’échouaient sur les miens et non pas les couteaux déchirants qui pénétraient dans mon corps. Je me laissais avoir par le baiser. Je sentais mon cœur cogner plus agréablement dans ma poitrine. Je sentais l’agressivité s’éloigner doucement. Je sentais la tension redescendre lentement. Comme s’il savait me calmer. Comme s’il parvenait à trouver la faille dans le système pour remettre tout à plat. Et finalement je reculais à bout de souffle après quelques minutes. De trop longues minutes peut-être bien. Lukas me demandait alors de ne plus recommencer et je ne parvenais pas à savoir de quoi il parlait. Parlait-il de mon départ soudain en Italie ? Parlait-il de cette bousculade un peu trop violente ? Ou parlait-il plutôt de ce plein pouvoir de choix sur notre futur que je lui donnais ? Je n’en savais rien et je n’osais pas ouvrir la bouche pour le question. Pas alors que son bras venait appuyer sur mon épaule pour me pousser à bouger. Je cédais sans faire d’histoire lui offrant sa liberté et le laissant se dégager. Il s’éloignait vers le canapé contre lequel il s’appuyait tandis que je laissais mon dos se reposer contre le mur où il s’était trouvé quelques minutes plus tôt. Mes mains tremblaient encore comme si je n’étais pas totalement remis de l’acte de violence que je venais de commettre. Yeux baissés, je n’osais plus le regarder. Pas après ce que je venais de faire. Pas après toutes ces dernières minutes. Cette violence. Ce baiser. Cette demande. Tout s’embrouillait dans ma tête. Je n’y voyais plus clair. J’aurai pu me laisser happer par le tourbillon incompréhensible. Mais, la voix de mon copain s’élevait captant alors mon attention. Je l’écoutais parler de cette logique qui n’existait pas. Je l’écoutais me dire qu’il ne voulait pas me quitter… Qu’il ne pouvait même pas le faire car il n’était pas capable de me laisser partir ou de me faire disparaître. Les larmes me montaient aux yeux alors que je me rendais compte que nous étions allés trop loin. Le retour en arrière n’était pas possible. Nous avions sombré au sein du Neakas comme s’il s’agissait d’une drogue trop addictive et, peu importait le danger encouru, nous ne savions pas nous en détacher. Les yeux toujours rivés sur le sol, je restais sagement silencieux alors qu’il parlait de la douleur de mon absence, du fait qu’il avait appris à vivre avec mon trouble et de la difficulté de ces dernières mois parce que… Marmonnant un « Ouais j’sais… » comme pour le soulager et lui prouver qu’il n’avait pas à entrer encore plus dans les détails de ces derniers mois emplis d’Enfer et d’horreur. Mio Amore continuait. Il savait ce qui l’attendait avec moi et me choisissait quand même. Malgré moi, un sanglot venait franchir mes lèvres parce que merde, je ne m’étais pas attendu à ça. Non je ne m’étais pas attendu à ces mots-là. À cette décision là. Pas après tout ce qu’il avait pu me dire. Le sanglot m’échappait sous la douleur ou le soulagement je ne saurais vous dire alors qu’il babillait sur notre futur. Des disputes, des nuits sans sommeil à cause de mes disparitions et même des coucheries… Lukas semblait conscient de tout ça et tellement prêt à l’accepter que ça fissurait mon cœur. Il acceptait de plonger dans une vie instable de souffrances presque quotidiennes et je m’en voulais trop. Je m’en voulais, mais je ne savais plus quoi dire pour le pousser à partir. Encore moins alors qu’il s’approchait de nouveau de moi affirment qu’il n’allait pas me quitter. Il parlait de cette erreur qu’il était prêt à commettre avec le bon et le mauvais. Je fermais les yeux en l’entendant me souffler qu’il voulait se battre pour nous. Je mordais ma lèvre pour retenir ce nouveau sanglot qui montait en moi. Je ne voulais pas être si faible. Et pourtant, je l’étais déjà. Je cédais. Je reculais dans ma tête. J’acceptais de revenir sur un autre chemin. Pas de disputes. Pas de provocations. Pas de fin. Je tendais le bras pour attraper le haut de mon copain et l’attirer vers moi. L’attirer contre moi toujours appuyé contre ce mur. Ma main toujours accrochée à son haut, mes yeux venaient trouver les siens et je murmurer « Tu es fou tu sais ça… Ou peut-être maso… Ou les deux tiens… » Un léger sourire amusé étirait mes traits comme pour tenter de dédramatiser cette situation difficile. Ouais soit Lukas était un peu trop fou amoureux de moi pour accepter tant de souffrances, soit il était réellement maso d’accepter de plonger dans un quotidien de douleur. Je me redressais un peu pour déposer un baiser sur le bout du nez de mon copain avant d’enrouler mes bras autour de son cou. Et là j’hésitais un instant. Hésiter sur les propos à souffler. Hésiter sur la décision à prendre. Est-ce que je devais mettre fin à notre Neakas puisqu’il ne le ferait pas ? Est-ce que je devais le mettre à la porte puisqu’il ne prendrait pas la décision de partir de lui-même ? Mordillant ma lèvre, je baissais les yeux à la recherche des mots à prononcer. Et, finalement, yeux rivés au sol, je soufflais « J’suis pas convaincu Amore… J’suis désolé, je… Je continue de penser que je suis toxique… Que j’suis pas bon pour toi et que tu serais mieux avec quelqu’un d’autre… Mais je… Je… Je comprends tes mots et je… J’ai aucune envie que tu me quittes dans le fond… J’ai besoin de toi… Je… J’veux me battre pour nous et vraiment essayer de plus t’imposer tout ça… Je… Au moins les coucheries parce que le reste je… C’pas vraiment aussi gérable… » Non ça ne l’était pas. Mon trouble ne se contrôlait pas sur commande… À moins que je me décide à consulter quelqu’un et à suivre un réel traitement, mais ce n’était pas à l’ordre du jour dans ma tête. ELLE ne voulait pas. Je ne voulais pas. En revanche, les coucheries pouvaient peut-être se contrôler. C’était compliqué de battre une addiction. C’était difficile de surpasser le manque, mais je voulais faire des efforts. Pour lui. Lui montrer que je ne prenais pas tout ça à la légère et que j’essayais vraiment. Lui prouver que je ne cherchais pas obligatoirement à le blesser. Lui prouver qu’il m’était précieux et que je voulais faire des efforts pour lui. Relevant les yeux sur Mio Amore, je reprenais « Je t’aime Lukas et je… J’ai envie de commettre cette peut-être erreur avec toi, mais je… Je veux que tu me promettes quelque chose… Promets-moi que si un jour je te fais trop mal… Si un jour la situation devient trop ingérable pour toi… Tu… Tu me quitteras… Pour ton propre bien Amore… Je… Steuplait… Promets-moi de ne pas me laisser te détruire de façon irréversible… » Mes prunelles sombres suppliaient le jeune homme de me faire une telle promesse. J’avais besoin de l’entendre me dire ces mots. J’avais besoin de savoir qu’il s’évaderait avant d’être totalement brisé. J’avais besoin de savoir qu’il ne glisserait pas comme moi j’avais glissé dans la Mafia. Besoin de savoir qu’il s’en sortirait et qu’il ne se laisserait pas bousiller. Me décollant du mur, je me rapprochais encore plus du jeune homme venant enfouir ma tête dans son cou. Fermant les yeux, je respirais son parfum essayant de me détendre. Calmer le tremblement de mes mains. Calmer la tension de mon corps. Calmer le rythme affolé de mon cœur. La bouche collée au cou de Mio Amore, je marmonnais « T’sais… Vu comment t’as dit l’truc… Avec l’bon et l’mauvais… Ça fait très mariage… Pour le meilleur et pour le pire… » Le léger rire glissait entre mes lèvres laissant mon souffle s’échouer dans le cou de mon copain tandis que je ne bougeais plus. Je m’apaisais de secondes en secondes contre lui. Je relâchais cette pression accumulée depuis tant de jours. Trop de jours. Je n’étais peut-être pas prêt à me laisser toucher de partout tout le temps ou de façon imprévue. Mais, j’étais prêt à me blottir contre lui et à accepter une tendresse que Mio Amore savait m’offrir. Je n’étais peut-être pas prêt à croire à tout et à mon bienfait sur Lukas. Mais, j’étais prêt à tenter de continuer cette relation avec lui. Avec le bon et le mauvais. Pour le meilleur et pour le pire. Tout ça parce que je l’aimais sincèrement.

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
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LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

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” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

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My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 7PQ1Eq38_o
• Cadeau de Neal pour les 25 ans (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 2511619667
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Cadeau11
• Têtes de Mules
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 200327113946269016(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 1116103942

(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 NpszQwXL_o

RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 388
Messages : 45793
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas

Je tentais de stopper ton raisonnement, comme s'il était trop facile de lire ce qui se déroulait dans ta tête. Je voulais le stopper, pour qu'il n'y aie rien qui continue à tourner dans ta tête, est ce que j'y arrivais ? Non je le voyais bien je le sentais bien, je l'entendais. Tu me faisais souffrir. Mais quelle serai la douleur si tu n'étais plus là ? Qu'est ce qui pourrait arrêter la souffrance que je ressens à l'idée de te perdre ? Que tu disparaissent totalement ? Dans quelle mesure ? Rien, il n'y avait rien pour stopper ça. Pas même une rupture, parce que je savais que sur ce point je resterais toujours le même, trop inquiet, trop attaché, trop amoureux, trop accro. A ce nous si particulier, trop particulier. Que même s'il y avait une fin de nous, l'inquiétude serai constante, incessante, elle ne serai peut être plus légitime, où est ce qu'elle le serai d'avantage. Mais elle serai toujours là. Elle ne s’effacera pas même avec le temps. Elle sera toujours là. Alors non à l'heure actuel, il n'y avait aucune solution, je n'en voyais aucune. Pas même celle d'apprendre à au moins agir de façon aussi intense comme on se l'était promis d'essayer. On a jamais eu le temps pour ça. Est ce qu'on aurai le temps pour ça ? Je secouais la tête sur ces idées qui n'avait pas leur place pour faire le tour du canapé et donner ma décision je ne te quitterais pas, parce que l'envie n'étais pas là. J'avais beau avoir soufflé l'idée d'abandonner des jours plutôt, j'avais beaucoup trop parlé à Liam, beaucoup trop confié, et il avait sus me mettre les idées en place. Même si je savais ce qui m'attendais sur la route. J'étais conscient de toute ce qui arriverai à l'avenir, des scènes joué et rejoué, et pourtant j'étais incapable de sonner le clap de fin.
J'avais pris ta main pour, calmer le jeu, me calmer, te calmer aussi enfin je crois, être certain que cette histoire de prostitution forcé était terminée, et le soulagement ne se faisait pas attendre dans les mots que tu prononcés. Oui tu me l'avais déjà confié, plusieurs fois, plus d'une fois, mais j'avais besoin de l'entendre de nouveaux, de l'entendre de façon calme et clair. Alors oui j'étais soulagé et je fermais les yeux, pour apprécier tout ça. J'aurai voulus dire plus, faire quelques chose de plus. Te blottir contre moi et inversement, envoyer valser cette histoire loin de nous et pourtant je ne bougeais pas, essayant trop de parler. Et en moins de quelques seconde, j'étais envoyé contre le mur trop facilement, contrôlé par la surprise et la douleur dans le bras qui se réveillé. Par la violence du choc de mon dos contre la paroi, fort heureusement j'avais retenu ma tête de ne pas claquer. Et pourtant malgré tout, je te laissais agir, parler, aller au bout de ton raisonnement qui me paraissait ridicule, tant je savais le bien que tu me faisais au fond, le mal n'étais qu'en surface, mais le fond, tout au fond, je guérissais, peut être trop lentement, peut être que ça pouvait ressemblait à une toxine parce que c'était trop lent … J'écoutais tes mots puis je voyais ton poings. Ton poing s'abattre si prés de moi, et pourtant aucune peur ne venais pulser en moi. Aucune peur ne pouvais se lire. Je ne réagissais pas. Je n'avais pas peur de toi, pas peur de toi contrôlé par ELLE, pas plus que je pouvais être surpris. Parce qu'il y avait eu de trop nombreuses nuit où j'avais reçut un geste perdu à cause d'un cauchemars. De trop nombreux gestes perdus, qui ne me surprenais plus avec le temps. Pour moi ce geste était le même, même si tu étais conscient. Je n'avais pas peur de toi, je n'aurai jamais plus peur de toi. Une trop grande confiance en toi ? Trop inconscient ? Je sais pas. Mais je n'avais pas peur des gestes que tu pourrais avoir envers moi. C'est pour ça que tu ne liras plus jamais aucune peur. Je préférais déposer mes lèvres sur les tiennes et pour te calmer, te retrouver. J'aurai voulus passer mes mains dans ton dos, les faire glisser de haut en bas, pour te calmer encore plus, pour faire disparaître cette violence que je sentais. Un baiser dans lequel je me perdais, un baiser dans lequel nous nous perdions à deux, un long moment avant que tu ne recules. Mes yeux dans les tiens, réclamant de ne plus vivre une telle situation. De ne plus être bousculé de cette façon, de ne plus être abandonné, ou mis sur le côté. Comment avais tu pu croire que je ne réagirais pas? Que je ne serais pas blessé par une telle action ? Mon avant bras contre épaules et je sortais de la cage que tu avais voulus me construire. Appuyé sur le canapé, je venais réitérer ma décision. Parce que trop incapable de faire autrement, trop acharné aussi. Mais je savais où est-ce que je mettais les pieds, des nuits sans sommeil et des coucheries. Malgré tout c'était toi. Envers et contre tout, une erreur probable que j'étais prêt à commettre. Et comme attiré vers toi les derniers mots venaient se taire à quelques centimètres de toi.  J'étais prêt à me battre pour nous, quoi que j'avais pus dire il y a quelques jours ils n'étaient plus valable aujourd'hui. 

Tu venais combler le vide entre nous, en attrapant mon haut et automatiquement mes mains reprenaient leur place sur ton corps, comme pour t'empêcher de partir de nouveau. Yeux dans les yeux, fou, masso ou les deux? Qu'est ce que j'étais le plus? Peut être masso … et peut-être un peu trop fou souffler avec un sourire. Dédramatiser sur un fond de vérité. J'étais fou de toi, de nous, fou d'y croire, probablement. Mais est ce que la vérité ne se trouvait pas chez les fous? Ceux que l'on écoutait pas? Ceux qui avaient la capacité de voir le monde sous un autre angle? Un angle où ta toxicité n'existait pas même si tu persistais et signais après un baiser sur le nez et les bras autour de mon cou. Je fermais les yeux, écoutant tes mots, la respiration lente, pour nous calmer tout les deux. Tu n'étais pas convaincu mais pour ce soir je ne repartirai pas sur ta prétendu toxicité, parce qu'il ce serai un long chemin à parcourir, je le savais. Quant à ce que je méritais et ce qui était bon pour moi, c'était toujours pareil, tu ne serai jamais une récompense, mais un choix. Le choix du cœur malgré la difficulté, le choix de guérir à tes côtés quitte à ce que ça prennes du temps, mais toujours plus rapidement que si tu n'étais pas là. Ça je le savais pertinemment. Tu comprenais ce que je voulais dire et tu ne voulais pas d'une fin non plus, je sentais mon corps se détendre encore plus, affichant même un doux sourire rien que pour moi. Tu voulais tout de même te battre pour nous et la première étapes serai les coucheries … J'ouvrais les yeux rapidement. T'as besoin de moi ? j'avais l'impression de l'entendre pour la première fois. Oh je l'avais déjà entendu bien sur, mais pas de cette façon, ou du moins pas avec cette envie de te battre pour nous. Tes yeux se posais alors sur moi, me livrant tes sentiments et ton envie de continuer cette possible erreur, mais tu me suppliais une promesse, que si la douleur n'était plus gérable je devrais partir. Mais jusqu'où est ce que ça nous mènerai ? Jusqu'où je serai capable d'aller ? Quel serai la limite sachant qu'elles avaient toute été franchis ? Qu'est ce qu'il pourrai y avoir de plus douloureux encore que tout ce que nous avions vécut ? Est qu'il était possible de voir encore pire ? Vivre encore pire ? Mais surtout est ce que tu en serai le responsable ? Mes mains venais se placer de chaque côtés de ton visage. Je … je te promet que si la situation est trop ingérable, je partirai … Faisant une pause avant de reprendre sur l'engagement que tu étais prêt à entreprendre. Je … t'es … tu veux vraiment essayer de ne plus coucher ailleurs ? Parce que je savais que ça serai difficile et compliqué, qu'il y aurai des loupés, parce qu'il y a toujours ce genre de chose. Amore je … doute pas de ta parole et de ta sincérité, et je demande qu'à ne pas être jaloux quand je te croise au prêt d'un autre, et à te faire pleinement confiance à ce sujet … seulement je sais pas comment agir … Je venais prendre délicatement ton visage entre les mains pour croiser tes yeux. Je sais pas si je veux savoir à chaque fois que ça arrive, parce que je sais que ça va te mettre en porte à faux et mal et j'ai pas envie de te rendre mal, seulement je sais que ne pas savoir, va m'amener à me poser des questions être souvent dans l'incertitude … Faisant une pause un instant, avant de reprendre mais je sais aussi que ça ne me blessera pas que tu me le dises, dans le sens où ça me permettra de construire une confiance à ce sujet là, tu comprend ce que je veux dire ? J'espérais sincèrement que tu comprennes que ce n'étais pas pour te mettre dans le mal que c'était pas mon intention.

Tu te rapprochais alors encore plus venant te blottir contre moi et je laissais de nouveaux glisser mes mains dans ton dos, faisant des mouvements circulaires de haut en bas, te serrant un peu plus contre moi, déposant un baiser entre ta joue et ton oreille, inspirer ton parfum qui m'avais tant manqué, cette odeur qui m’apaisais. Et tu rebondissais alors sur des mots précédent dans un rire que j'accompagnais, pour le meilleur et pour le pire … ouai … tu crois que Neal Téodoro Spritz, ça t'irais ? Avec ce qu'on à traversé il ne peut rester que le meilleur ... C'était pas une demande, mais une simple question plus légère pour essayer de passer à autre chose. Et pour éviter de faire trop réfléchir je venais chercher du bout du nez quelques parcelles supplémentaire de ton visage, retrouver tes lèvres que j'avais besoin de retrouver.

Ce soir c'était ces mots qui était tombé et peut être qu'un jour ce seront ces mots qui tomberont : Dans une lettre, de vive voix C'est terminé, depuis longtemps déjà, et je sais pas vraiment a quoi je me raccrochais en restant à tes côtés. A cet amour trop fort et pourtant si sincère, si réel. A cette idée que si je mettais fin à nous, si je sortais de ta vie tu pourrais pas te relever. Moya lyubov' je t'aime oh Bordel je t'aime tellement et avec tellement de force Neal si tu savais. Et je pourrai me battre pour nous encore longtemps tu sais. Parce que malgré tout tu me fais du bien... Si tu savais à quel point tu me fais du bien, à quel point tu m'aides à rester debout, à sourire et à rire. A chanter et a jouer, a mettre du bonheur dans ma vie. Mon coeur c'est grace a toi tout ça. C'est grâce à toi que les nuits sont moins cauchemardesque, moins infernal. C'est grâce à toi si je suis pas totalement éteint. C'est toi qui me rallume Amore. Mais c'est terminé parce que je vais pas bien, je vais mal et t'en es pas responsable, c'est pas de ta faute et ça le sera jamais. Je vais mal parce que ce mois enfermé a été une torture de laquelle je n'arrive pas à sortir, même avec le psy, même avec le Sun, ça aide mais c'est pas suffisant … J'vais pas bien et y a tellement de choses que je te dis pas pour te protéger tu sais, pour pas que tu t'inquiètes encore plus, sauf que ça arrange pas les choses… J'ai besoin de plus, plus de soin, d'être plus suivi. Je … je suis malade … Et je peux pas t'imposer ça, je peux plus nous l'imposer. C'est terminé, parce que je sais pas combien de temps je resterai loin de toi, je sais pas tout ce qui pourra se passer pendant ce temps la. J'ai pas le droit de te demander de m'attendre. C'est terminé Moya Lyubov' est c'est tellement douloureux de le dire, ça fait tellement mal, parce que je te laisse une partie de moi, une partie de moi sera toujours pour toi, comme elle l'a toujours été Neal.
Moya Serdtse, peut être que tu me trouvera cruel de te demander ça, mais y a une bague de femme sur le bureau, à la maison, elle est pour toi, un héritage et je te demande de l'accepter. Ça fais des semaines qu'elle est dans mon portefeuille et c'est pour ça que je me suis autant démené pour essayer de le retrouver. J'étais heureux de recevoir, l'appel de maman pour me dire que mon portefeuille était arrivé à NYC. Alors elle me l'a renvoyé. Ce n'est pas le plus important, cette bague elle … Maman m'a raconté son histoire et celle de sa jumelle, c'est pour ça que je l'ai acceptée quand elle me l'a donné, j'aurai aimé que cette bague continue son chemin à travers nous. Mon coeur, nos mères se sont échangés ces bagues il y a tellement d'années, qu'on été même pas né, en se promettant d'être toujours là l'une pour l'autre quoi qu'il arrive, elles se soutenaient mutuellement, tu sais, pour tout. Maman aurait voulu être là pour toi tu sais, t'enlever de ses griffes, elle s'est battu quelques mois, quelques années, pour que les choses changent pour toi, elle s'en veut d'avoir échoué et d'avoir brisé sa promesse. Enfin j'ai récupéré la bague a Thanksgiving et j'aurai aimé te l'offrir un genou a terre Neal Teodoro Hood, sur cette Dune, sur notre Dune, celle qui me rappelle tant quand on était gamin, où on était si jeune et si insouciant, où quand on se faisait mal on savait le réparer, l'un, l'autre. J'ai rêvé de te demander en mariage sur cette plage, sur notre plage où j'aurai voulu t'emmener de nouveau Elle sera pour toujours et à jamais la nôtre, tout comme cette dune. Mais a défaut de te demander en mariage Neal accepte cette bague en gage de mon amour pour toi, une promesse que même, si je suis plus à tes côtés pour poser mes lèvres sur les tiennes tout les matins et tout les soirs, je t'aime et je te soutiendrais toujours, quoi qu'il arrive. Une promesse que je ne disparaîtrai pas de ta vie, parce que je refuse de la quitter totalement. Je refuse de plus te voir, je refuse de te perdre. Une promesse que quoi qu'il arrive je répondrai à ton appel à l'aide, au signal. Une main tendue vers toi, pour toujours, à jamais.
Alors à mon retour si tu acceptes cette bague j'espère que tu sera là, pour cette amitié que je veux nous offrir, que je suis prêt à nous offrir. Et que je n'ai pas fait une autres conneries en partant me soigner, en faisant ce choix. Je ne sais pas si c'est le meilleur pour nous, pour notre Neakas si particulier, si unique et si beau. J'ai aucun regrets Moya Lyubov', tout ce qu'on a vécu ensemble était magique, et je te remercie pour ça, pour ce premier baiser, pour cette première nuit, pour ce week-end à la montagne et pour toutes les autres fois, si nombreuses, si unique. Je te remercie pour m'avoir fais confiance, m'avoir aimé, m'avoir laissé t'aimer, m'avoir fait découvrir qui tu es. Un homme marqué par la vie, mais qui reste beau, sensible et prêt à tout pour ceux qu'il aime, courageux, et plein de force, qui sait se battre malgré ses démons, un amant qui sais me faire chavirer en un regard, un homme plein de talent et de ressources qui a beaucoup de choses à offrir et a donner. Neal t'es quelqu'un de bien et d'important, dans la vie de beaucoup de gens, dans la mienne et je veux pas te perdre. C'est pourquoi je te veux dans ma vie pour une amitié qu'on va construire, malgré la peine de nos coeur et la jalousie qui sera là, mais la douleur sera jamais aussi intense que de ne plus te voir, te parler, rire avec toi, te prendre dans mes bras ou être dans les tiens. Ça prendra du temps, pour que tu me pardonnes ces dernières semaines accroché à toi. C'est dernières semaines a te chérir et a t'offrir tout ce que j'ai. Mon coeur est à toi Neal, il le sera encore longtemps. Alors pardonne moi, de te briser le cœur, c'était pas mon but. Tu es trop précieux mon amour, trop important. J'ai besoin de toi dans ma vie, alors c'est pas une adieu Amore, c'est simplement un au-revoir.
Peut être que ce seront ces mots qui tomberont ou alors il y en aura d'autre à l'opposé …

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
En ce vendredi du mois de Janvier, je pouvais crier haut et fort que j’étais peut-être libre, mais que j’étais surtout et avant tout foutrement perdu. Ouais, je l’étais. Totalement. Absolument. J’avais l’impression de me retrouver au sein d’un monde dont je ne comprenais plus rien. J’avais l’impression d’être soudainement balancé au sein d’un jeu dont toutes les règles m’échappaient. Je ne savais pas jouer cette partie. Je ne parvenais même pas à lire la notice pour tenter de comprendre. Rien n’était clair. Tout demeurait trop flou et instable. En rentrant à Boston après ce court voyage Italien, je m’étais attendu à certaines choses bien précises. Pourtant, elles ne débarquaient guère comme je les attendais de pied ferme. Je m’étais préparé à certains événements. Néanmoins, ils n’étaient même pas là pour me saccager comme cela semblait prévu au vu des derniers événements. Tout le contraire se déroulait. En passant la porte de mon appartement aujourd’hui, je m’étais attendu à subir de plein fouet la rupture nette et brutale avec mon petit-ami Lukas. Je m’étais attendu à ce que toutes les affaires de mon copain aient disparu de mon appartement. Je m’étais même attendu à ce qu’il soit là pour me rendre ma clé et me dire qu’il ne voulait plus de moi dans sa vie. Je m’étais attendu à me retrouver face à lui pour l’entendre me souffler qu’il préférait se construire une meilleure vie loin de l’être toxique et néfaste que j’étais. Ouais, aujourd’hui, je m’étais simplement attendu à me faire abandonner sur le bas côté de la route. De notre route. Je le méritais tant. Ça semblait le chemin le plus logique à emprunter. Après tout, les messages vocaux de mon sexy musicien au cours de mon absence avaient été suffisamment clairs. Ils m’avaient fait comprendre que Mio Amore n’en pouvait plus. Non, il n’en pouvait plus de moi et tout ce que je lui faisais subir constamment depuis plus d’un an. Il n’en pouvait plus de cette vie foutrement trop bancale et douloureuse qu’il se retrouvait obligé de vivre avec moi. Je l’avais senti. Je l’avais entendu. En écoutant les mots du jeune homme, je pensais déjà savoir le chemin sur lequel il désirait tant s’engager. Ce chemin de rupture qui le rendrait plus heureux et lui rendrait sa liberté. Ce chemin de rupture qui lui permettrait de trouver une autre personne avec qui se lier. Quelqu’un qui saurait mieux s’occuper de lui. Quelqu’un qui saurait le rendre heureux. Quelqu’un qui l’aimerait mieux que moi je le faisais. Parce que, même si je l’aimais de tout mon cœur, je n’étais pas fichu d’être un normal petit-ami fidèle et constamment là. Je n’étais pas foutu d’être celui qui fallait. Alors, sur le chemin de mon appartement, je m’étais préparé à la rupture. Je m’étais préparé à voir mon cœur arraché de ma poitrine et piétiné à terre. Je m’étais préparé à la douleur de le perdre et au soulagement de le savoir voguer vers une vie meilleure qu’il méritait tellement. Mon Lukas si parfait. Pourtant, Mio Amore n’avait pas retiré ses affaires de mon appartement. C’était la première chose que je voyais en pénétrant chez moi seul. Le silence régnait. Les affaires de mon copain demeurait. Un copain qui avait fini par se pointer par ici et tout s’était retrouvé bouleversé sans que je ne le comprenne. Le plateau tanguait. Le plateau se renversait. Et, moi… Moi je ne savais plus sur quel pied danser. Les propos de rupture n’avaient guère franchi les lèvres de cet homme que j’aimais si fort. Non. Pas le moins du monde. Cela ne semblait même jamais être venu à l’esprit du jeune homme. Les premières minutes de nos retrouvailles avaient presque été trop douces et amoureuses. C’était comme si j’étais simplement parti pour un voyage déjà prévu et que je rentrais retrouver celui qui faisait battre mon cœur. C’était comme si les messages vocaux n’avaient jamais existé. Stupide gamin. Idiote histoires. Ces mots avaient bel et bien existé. Ces mots cognaient encore si vivement dans ma tête. Et pourtant, Lukas ne me quittait pas. Il n’empruntait guère ce chemin. Il prenait une toute autre route à laquelle je ne m’attendais pas. Je ne m’étais pas préparé à ça. Et ELLE… ELLE n’était clairement pas contente de ce revirement un peu trop soudain. ELLE Voulait de cette fin parce que cela semblait être la solution bénéfique pour tout le monde. Cela permettrait à Lukas de trouver quelqu’un digne de lui. Cela me permettrait de continuer de batifoler et de prendre des risques sans me ressentir cette pointe de culpabilité qui me poussait à freiner de plus en plus mes conneries. Cela nous permettrait de cesser de nous détruire de cette manière. Lukas ne voulait pas me quitter. Il m’approchait et me complimentait même tandis que je lui offrais la délivrance qu’il recherchait. Cette délivrance à l’idée de savoir que oui tout était terminé avec la Mafia. Je ne travaillais plus pour eux… Enfin, en tout cas, plus de la façon destructive dont je l’avais fait ces derniers mois. Je n’étais plus ce corps qu’il pouvait utiliser et cette nouvelle soulageait mon copain. Cette nouvelle me soulageait. Cela aurait pu être le début d’une nouvelle vie pour nous. Cela aurait pu être le nouveau départ de notre Neakas. Non ? Si, ça aurait pu peut-être. Cependant, je n’étais pas foutu de rester sage. Je n’étais pas capable de glisser dans cette atmosphère trop douce et amoureuse parce que ce n’était pas ainsi que les choses étaient censées se passer. Je ne pouvais pas juste plonger dans ce bien-être alors que les mots de mon téléphone se rejouaient dans ma tête. Je ne pouvais pas accepter ce changement tandis que je m’étais tant préparé à autre chose. Alors, je ne savais guère me contenir. J’agissais vivement comme le gosse toxique et dangereux que j’étais. Que je serais à jamais. Poussé par ELLE, désireux que tout suive le cours déjà tracé, je venais bousculer mon copain contre le mur et même frapper juste à côté de sa tête. Ça ne changeait rien. Mio Amore restait là face à moi sans la moindre peur. Il écoutait mes propos sans rien dire, sans rien faire. Il me laissait parler et il attendait son tour. Ce tour au cours duquel il venait prendre mes lèvres en otage. Il m’entraînait dans un baiser qui venait changer la donne une nouvelle fois. Ce baiser qui m’aidait à reprendre le dessus sur ELLE. Ce baiser qui savait m’aider à me contenir un peu mieux. J’y plongeais pleinement savourant le contact des lèvres de mon amoureux contre les miennes. Et, lorsque je m’éloignais pour reprendre mon souffle, Mio Amore me demandait de ne plus recommencer poussant mes sourcils à se froncer un bref instant. Ma tête était bien trop embrouillée. Il me poussait un peu plus dans le flou. Qu’est-ce que je n’étais pas censé recommencer ? Avant même que je ne puisse penser à l’interroger pour obtenir une quelconque réponse, le jeune homme se dégageait de mon contact et s’éloignait de moi. Je le laissais faire sans chercher à taper une esclandre. Il s’appuyait sur le canapé. Je m’appuyais contre le mur gardant mes distances comme une distance de sécurité de peur qu’ELLE ne décide d’aller encore plus loin simplement dans le but de vivre cette rupture attendue. Les mains tremblantes sous tout ce qui s’était passé au cours des dernières minutes, je gardais les yeux baissés au sol plongeant encore plus au sein de cette violente tornade qui m’embrouillait et me perdait dans un monde que je ne maîtrisais guère. Rien ne se passait comme ça aurait dû. Rien ne se déroulait comme je l’avais pensé. Les mots de mon copain tombaient alors entre nous. Il ne voulait pas me quitter et je fronçais un peu plus les sourcils face à cette contradiction avec ses mots sur les messages vocaux. Il ne pouvait pas me quitter et je soupirais brièvement alors que je rêvais de me frapper la tête contre un mur. C’était de ma faute s’il ne pouvait pas me quitter. Je l’avais empoisonné trop profondément au point qu’il était devenu accro à cette souffrance que je lui prodiguais depuis le début de notre histoire. Bordel. Il ne méritait pas ça. Il méritait mieux. Tellement mieux que moi. Mio Amore parlait de mon absence douloureuse et de ce trouble avec lequel il avait appris à vivre. Et, soudainement, ça tombait. Malgré toutes les difficulté à venir, il me choisissait. Moi et tout ça. Il me choisissait. Moi et ce futur instable fait de disputes, de nuits sans sommeil, de tromperies, de douleurs, de violences… Il me choisissait désireux de se battre pour notre Neakas. Il voulait commettre cette peut-être erreur à mes côtés et il semblait totalement déterminé à le faire. Déterminé à ne pas changer d’avis sur cette question. Mordillant nerveusement ma lèvre, je relevais doucement les yeux afin de tendre le bras pour attirer mon copain à moi. Je l’attirais tout contre mon corps et ses mains glissaient aussitôt pour se poser sur moi. C’était comme s’il désirait m’emmener au sein de notre bulle de sécurité. Notre bulle rien qu’à nous. Cette bulle dont je m’étais échappé au cours des derniers jours. L’effet était immédiat. Je sentais la situation s’apaiser un peu plus. Je sentais la pression quitter encore plus mon corps qui demeurait tendu face au contact que j’avais encore du mal à apprécier. Mes yeux trouvaient ceux de mon copain et je venais murmurer quelques mots avec un léger sourire. Quelques propos pour tenter de dédramatiser la situation si difficile et douloureuse. Lorsque mon copain souffla sa réponse avec un sourire, je venais laisser échapper malgré moi « Si ça peut te rassurer, j’le suis aussi tu sais… Maso et… Et fou… Fou de toi… » Ouais je l’étais. Si fortement. J’avais toujours été un peu trop maso parce que c’était de cette manière que la Mafia m’avait fait. C’était de cette façon que l’on m’avait construit au fil des années. Désireux d’être torturé au lit. Désireux de souffrir délicieusement dans ces corps à corps. J’étais maso sans le moindre doute possible. Une vie sans douleurs et sans souffrances ne m’intéressait pas. ELLE n’était pas pour une telle vie. C’était d’ailleurs pour cela qu’ELLE m’avait poussé à choisir Lukas lorsque j’avais été contraint de faire un choix entre lui et Nixon quelques mois plus tôt. J’étais maso ouais. Et j’étais fou. Fou à cause de ces cauchemars et de ces hallucinations. Fou à cause de ce trouble qui me collait à la peau. Mais, surtout et avant tout, fou de ce garçon qui se tenait si proche de moi. Fou de ce Lukas qui avait su faire chavirer mon cœur de façon si délicieuse.

Me décollant du mur contre lequel je m’étais échoué quelques minutes plus tôt, j’osais me rapprocher de mon petit-ami pour venir déposer un baiser sur le bout de son nez. J’aurai pu me contenter de ce geste et m’éloigner de nouveau. J’aurai peut-être dû faire ça parce que je n’étais pas encore totalement remis de ces dernières semaines de prostitution forcée. J’aurai peut-être dû faire ça parce que j’étais encore un peu trop dans le flou concernant notre histoire. Cependant, je ne savais pas agir comme ça. Je ne pouvais pas juste passer aux côtés de mon copain maintenant tant et si bien que mes bras s’enroulaient sagement autour de son cou. J’acceptais de me laisser aller et de baisser ma garde. J’acceptais d’ouvrir la brèche pour laisser le jeune homme entrer encore plus dans ce cocon que j’avais construit depuis plusieurs semaines. Je plongeais dans un rapprochement qui demeurait foutrement difficile pour moi. Laissant le sexy musicien m’approcher, je demeurais sur la réserve n’osant pas réellement le toucher plus que ça ou provoquer plus. Je demeurais proche sans être collé. Je restais accroché sans pour autant le caresser. Je demeurais sur cette réserve parce que les questions continuaient de pulser dans mon crâne. J’étais bien trop hésitant du futur qui s’offrait à nous. Qu’est-ce que j’étais censé faire à présent ? Malgré mes mots et cet aveu de la folie que je ressentais, est-ce que je pouvais mettre fin à notre Neakas aussi magnifique que douloureux ? Est-ce que je pouvais simplement dire au jeune homme qu’il devait partir ? Est-ce que je pouvais réellement mettre Lukas à la porte de mon appartement ? Un soupir glissait entre mes lèvres. Tout s’emmêlait. Tout se chamboulait. Tout me heurtait. Je ne savais plus comment me comporter. Je ne savais pas comment jouer ici. Mordillant nerveusement ma lèvre, je baissais doucement les yeux avec l’espoir qu’en ne regardant pas cet homme que j’aimais tout serait beaucoup plus aisé. Ça ne l’était pas bien sûr. Cependant, je parvenais à souffler tous ces mots qui cognaient à l’intérieur de mon esprit. Je n’étais pas convaincu de ne pas être toxique pour lui. Après tout, tout le monde pensait que j’étais bien trop toxique pour tout le monde. Alors pourquoi ne le serais-je pas pour l’extraordinaire Lukas aussi ? Je soufflais que je n’étais pas convaincu d’être bon pour lui. Je laissais entendre que j’étais bel et bien convaincu du bonheur qu’il pourrait trouver avec un autre. Il serait tellement mieux avec une personne normale qui ne passerait pas son temps à le charcuter. Il serait tellement mieux avec une personne exclusive qui pourrait l’aimer encore plus et ne jamais lui faire du mal. Je le savais. J’espérais qu’il le savait aussi. Cependant, je continuais sur mon chemin pour babiller que je le comprenais et que je ne voulais pas qu’il me quitte. J’avais bien trop besoin de lui au sein de mon existence à tel point que j’étais prêt à me battre pour ce nous foutrement magnifique et douloureux. Je confiais à mon copain que je voulais essayer de ne plus lui imposer tout ça. Ou tout du moins de ne plus lui imposer ces coucheries parce que le reste était difficilement gérable à moins de voir quelqu’un et ça je n’y étais pas encore prêt. Le corps de mon amoureux se détendait à mes propos. Je le sentais contre moi. Je l’entendais à sa respiration. Mes prunelles remontaient doucement pour croiser son regard alors qu’il me posait une question à laquelle je ne m’attendais pas réellement. Je mordillais nerveusement ma lèvre me demandant pourquoi il me posait une telle question. Est-ce que je ne lui avais jamais avoué ce besoin ? J’étais presque certain de l’avoir fait plus d’une fois. Peut-être pas aussi directement. Peut-être pas aussi sincèrement. Peut-être bien de façon tellement plus détournée. Alors ouais, peut-être qu’il avait besoin d’entendre cette réalité dont il n’était pas encore persuadé. Les yeux toujours rivés au sol, je sentais mes joues chauffer doucement alors que je venais souffler « Oui, j’ai besoin de toi Lukas… » Mes propos étaient solennels et sincères. Ça ressemblait à l’une de ces promesses dont on ne pouvait pas se défaire. Ça ressemblait à l’une de ces vérités que l’on ne pouvait pas contester. J’avais besoin de Lukas. Je le savais et je n’avais aucune raison de le cacher au jeune homme. Encore moins aujourd’hui. Encore moins après tout ça. J’avais besoin de son sourire qui réchauffait mes journées trop maussade. J’avais besoin de sa voix qui savait me tirer d’à peu près tout. Crises d’angoisse, cauchemars, hallucinations, crises de démence, flou… Il parvenait toujours à m’accrocher avec des mots ou des mélodies. J’avais besoin de son corps qui s’accordait si parfaitement avec le mien. J’avais besoin de son cœur qui s’était enchevêtré au mien et sans lequel je ne parvenais plus à vivre. J’avais besoin de Lukas. Mon Lukas si exceptionnel que j’aimais tellement. Relevant les yeux sur lui, je venais d’ailleurs confier mes sentiments à son égard et mon désir de commettre cette peut-être erreur avec lui. Néanmoins, si je m’engageais sur cette voie, j’avais besoin de quelque chose. J’avais besoin d’une promesse et je le soufflais bien vite. J’avais besoin que Mio Amore souffle cette promesse de me quitter si jamais les choses dégénéraient trop et le détruisait trop. J’avais besoin de savoir qu’il saurait s’évader avant que je ne le brise trop. Je refusais qu’il devienne le Neal de la Mafia. Je refusais qu’il devienne le Lukas brisé par Neal. Je ne pourrais guère supporter une telle situation. Je ne pourrais pas accepter d’avoir détruit le joyau qu’il était. J’avais déjà tant de mal à accepter cette souffrance constante que je lui imposant. Les mains de mon petit-ami se posaient de chaque côté de mon visage tandis que la promesse glissait entre ses lèvres. Cette promesse que si la situation était trop ingérable, il partirait. Mes yeux cherchaient les siens comme pour être certain qu’il s’engageait sur ce terrain et qu’il ne reviendrait pas sur ces propos. Je n’en étais pas certain, mais je lui laissais le bénéfice du doute tandis que l’interrogation s’invitait soudainement. Mio Amore me questionnait sur cet engagement que j’étais désireux de prendre à son égard. Est-ce que je voulais vraiment essayer de ne plus coucher ailleurs ? Ma bouche s’ouvrait presque instantanément. J’étais prêt à répondre lorsqu’il continua sur sa lancée me poussant à refermer la bouche pour écouter ce qu’il avait à souffler. Mio Amore ne doutait ni de ma parole, ni de ma sincérité. Il demandait même qu’à ne pas être jaloux en me voyant proche d’autre. Il voulait me faire confiance, mais il ne savait pas comment agir. Hein ? Comment ça ? Mes sourcils se fronçaient parce que je n’y comprenais plus rien une nouvelle fois. Trop perdu. Trop épuisé. Trop embrouillé. Lukas prenait mon visage entre ses mains laissant nos regards se croisaient alors qu’il continuait de babiller pour m’éclairer un peu plus. Il ne savait pas s’il voulait savoir à chaque fois que mes tromperies arrivaient parce que cela allait me mettre en porte à faux et me faire du mal. Oh oui, ça me ferait tellement de mal de venir dire que j’avais trompé Lukas. Ça me charcuterait si vivement d’avouer que je m’étais lié à quelqu’un d’autre. Et Mio Amore ne voulait pas ça. Cependant, s’il restait plongé dans l’ignorance de ces possibles corps à corps, il resterait baigné dans une incertitude qui le pousserait à se poser bien trop de questions. Mordillant nerveusement ma lèvre, je commençais doucement à voir où il voulait en venir et je restais tout de même silencieux lui offrant l’opportunité de continuer sur sa lancée sans faire d’histoire. Mon copain venait souffler que cela ne le blesserait pas de savoir parce que ça nous permettrait de construire une confiance à ce sujet. Malgré moi, je levais les yeux au ciel à ces mots qui sonnaient un peu trop faux. Lorsqu’il me demanda si je comprenais, j’acquiesçais lentement tout en marmonnant un « Ouais… Je… Ouais j’comprends… » Et c’était bel et bien le cas. Je comprenais parfaitement où Mio Amore voulait en venir. Il désirait me croire quand je lui soufflais que je désirais arrêter mes coucheries. Cependant, c’était bien trop difficile de me croire comme ça sans jamais se poser de questions – encore plus en me connaissant moi et mon addiction pour les corps à corps. Alors, mon sexy musicien avait besoin de savoir quand je commettais ces erreurs de parcours. Il avait besoin de savoir quand je m’abandonnais à un autre. Il osait même dire que cela ne lui ferait pas mal comme pour me rassurer et me pousser à me confier. Soupirant, je glissais ma main dans mes cheveux avant de revenir la glisser autour du cou de mon copain. Mordillant nerveusement ma lèvre, j’hésitais un instant à la recherche de mes propos. Et, les yeux rivés au sol, je marmonnais « Je… Tu… J’veux vraiment essayer de ne plus coucher ailleurs tu sais… Mais je… Ce… Cela ne pourra pas se faire en un clin d’œil Amore… » Relevant le regard sur mon copain, je voulais être sûr qu’il mesurait pleinement la réalité de la situation. Je voulais être certain qu’il se rende compte que tout cela n’allait pas pouvoir se faire d’un coup de baguette magique comme par magie. Pendant de trop longues années, j’avais été habitué à coucher avec des hommes différents TOUS LES JOURS. Pendant de longues années, je m’étais laissé faire acceptant d’être totalement dominé et offert à tous ces doigts étrangers. Je ne pouvais pas oublier ça en un clignement d’œil. Je ne pouvais pas effacer mon besoin de corps et de domination comme s’il n’avait jamais existé. Ce n’était clairement pas possible. Soupirant face à cette réalité, je reprenais « Je… J’vais craquer… Parfois… Et je… J’vais peut-être m’énerver aussi… Souvent… » Craquer en allant voir d’autres personnes pour obtenir des corps à corps sans sentiments. Des corps à corps fait de torture délicieuse et de domination brute que mon copain ne savait pas offrir. M’énerver parce que j’essayais si fort de me contrôler sans y parvenir. M’énerver parce que le manque pulserait ou parce que je m’en voudrais d’avoir craqué et trahi ma promesse d’essayer de ne plus coucher ailleurs. Tout était si foutrement compliqué. Tout était si nouveau pour moi. Moi, le gamin habitué à la liberté et à la non-exclusivité. Glissant ma langue sur mes lèvres, je venais demander « Je… Du coup… Je… Tu… Tu veux que je te dise dès que je couche avec quelqu’un d’autre… Ce… C’est ça ? Je… Tu… T’as besoin de ça pour construire une confiance sur ce sujet… Ce… C’est ça ? » Je mordillais nerveusement ma lèvre comme si je n’étais qu’un gamin un peu trop perdu dans toute cette histoire. Et, dans le fond, je l’étais tellement trop. Je me sentais comme un gosse mis devant un tableau face à un excercice qu’il avait du mal à appréhender. Je voulais des réponses claires et précises. Je voulais une affirmation ou une négation. Je ne voulais pas passer par mille et un chemin pour arriver à quelque chose. Et, croisant le regard de mon copain, j’étais presque certain d’obtenir cette affirmation. Il voulait savoir quand je couchais avec un autre pour que la confiance puisse s’établir à ce sujet. Il voulait savoir. Et, moi ça me brisait le cœur. Mes doigts glissaient dans les cheveux de mon copain les triturant nerveusement alors que je marmonnais « Tu… T’dis que ça… Que ça te blessera pas… Mais je… Tu… Je… Ce… C’pas vrai ça… Ça peut pas être vrai… » Non, cela ne pouvait pas être vrai. Il ne pouvait pas ne pas être blessé en apprenant que je m’étais lié à quelqu’un d’autre. Il ne pouvait pas ne pas être heurté en sachant que quelqu’un d’autre m’avait possédé. Encore moins s’il s’agissait d’un de mes amis. Je soupirais longuement parce que la situation ne me plaisait pas. Et, peu désireux de me perdre dans ces discussions beaucoup trop sérieuses alors que je venais de rentrer depuis peu et de démêler déjà trop de choses compliquées en Italie, je me décollais du mur pour me rapprocher de mon copain. Enfouissant ma tête dans son cou, je respirais son parfum fermant doucement les yeux pour me laisser transporter dans notre bulle unique. Les doigts de mon copain glissaient dans mon dos faisant des mouvements circulaires de haut en bas comme pour m’aider à me calmer. Ça fonctionnait. Ma respiration s’apaisait. Mon cœur se calmait. Mes tremblements s’effaçaient au fil des secondes. Mio Amore me serrait encore plus contre lui laissant ses lèvres se perdre entre ma joue et mon oreille. Et, là, je me détendais pleinement. Je m’apaisais totalement. La bouche contre le cou de mon copain, je relâchais cette pression incessante de ces dernières semaines en marmonnant quelques mots sur ce qu’il avait soufflé et sur ce côté très mariage que ça faisait. Mon rire était rejoint par celui de ce garçon que j’aimais. Ce garçon qui soufflait que ça y ressemblait avant de m’interroger sur mon identité. Je me sentais rougir en entendant mes prénoms associés à son nom de famille. Je me sentais rougir à cette demande en mariage qui n’en était pas réellement une. Et je me sentais défaillir lorsqu’il souffla qu’avec tout ce qu’on avait traversé, il ne pouvait que rester le meilleur. La tête toujours dans son cou, j’acquiesçais doucement en susurrant « Ça me plaît bien Neal Teodoro Spritz… Et ce… Ça me plaît bien qu’il ne reste que le meilleur… » Sourire amusé aux lèvres, je ne bougeais pas peu désireux de montrer mes joues rouges à mon copain. Je soufflais doucement que prendre le nom de mon copain me plairait et c’était vrai. Même s’il n’y avait pas de demande en mariage, même s’il ne pourrait sans doute jamais y en avoir tant nous étions particuliers, j’osais souffler que ça me plaisait comme pour lui faire savoir que, malgré toutes mes erreurs, j’étais et je serais à jamais à lui. Puis, j’avais envie de croire qu’il ne restait que le meilleur. Ouais, j’avais tellement envie de croire que nous avions fini de traverser l’Enfer dévorant. Cela me plairait follement. Le nez de mon amoureux glissait sur ma peau avant que ses lèvres ne viennent chercher les miennes pour m’entraîner dans un baiser. Un baiser qui faisait tellement de bien. Un baiser qui venait mettre fin à toute idée de dispute ou de tension. Un baiser qui nous faisait encore plus tomber l’un pour l’autre. Un baiser qui nous liait encore plus l’un à l’autre. En ce vendredi du mois de Janvier, Neakas était vivant. Neakas était ensemble. Neakas était amoureux. Neakas existait et allait continuer d’exister.

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
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Description (1) :

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LUKAS OWEN SPRITZ
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” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

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” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Tumblr_oyldxcjyMy1ug9tt2o1_1280
• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Tumblr_o17ow1XtXM1r2xr06o7_500
• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 7PQ1Eq38_o
• Cadeau de Neal pour les 25 ans (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 2511619667
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Cadeau11
• Têtes de Mules
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 200327113946269016(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 Neakas-4
•Nous Sommes Uns
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Description (3) : (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 20021608055864050


(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. (TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 1116103942

(TW) Should I free you from my toxic hands ? • Lukas - Page 2 NpszQwXL_o

RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 388
Messages : 45793
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Comment en était-on arrivé là? Comment on avait pus se retrouver au bord du précipice si facilement? Comment est-ce que j’avais pu lâcher cette note vocale et faire tout exploser? La solitude, l’absence, le silence, l’impression d’être là pour rien, inutile, impuissant face aux secrets pour nous protéger. Et pourtant tu avais été le premier témoin de mes réactions face à ce genre de silence, de disparition. Le premier à avoir vu ma réaction face au retour de Gemma, et la façon dont je l’ai repoussé, tu étais là. Oui tout avait explosé, en haut sur cette scène, amore, vide de monde, j’avais explosé. Un cri de rage et de douleur que tu m’avais fait arracher, à cause du silence et de cette protection que tu pensais nous apporter. Et même si c’est vrai? Nous protéger mais à quel prix? Celui de ta vie? Mais qui s’occupera de notre protection quand tu ne sera plus là? Crois-tu vraiment qu’il n’y aura plus d’horreur, une fois que tu t'effaceras? Penses-tu vraiment être les responsables de tous les maux de tes proches? Responsable des cauchemars que je subis? Amore avec le temps j’ai appris à encaisser les coups, mais je ne suis pas certain d’être capable d’apprendre à vivre avec ton absence. Ça c'était certain. Alors me voilà ce soir pour te dire que je te laisserai pas, que malgré ce que j’ai pus dire sous les coups de la fatigue, de la peine, de la tristesse et de ce sentiment d’abandon. Je te laisserai pas. Trop incapable, trop dépendant. Drogué à nous, fou de toi et surtout de nous. Peut être même un peu trop drogué à cette douleur qui me fait me sentir vivant. Amore j’en suis pas sortie indemne de cette cage et je crois que s’en est un des résultats, ma capacité d'absorption à atteint son seuil et tu avais réussis réussis à passer la limite.  

Et pourtant j’étais là, devant toi: coincé entre ton corps, ton poings et ce mur. Pensant pouvoir me faire peur. ELLE parlait probablement pour toi, mais Amore ça marchait pas, ça marchait plus depuis longtemps déjà. Qu’importait, il fallait te la faire quitter, et il n’y avait rien d’autre que je ne voulais plus que t’embrasser à cette instant. Nous retrouver et me perdre totalement en nous. Retrouver le bien fait d’un baiser, retrouver les frissons que ça pouvait provoquer, sentir mon coeur battre plus fort agréablement, le souffle court par l’envie, plus que par la colère, la peine ou la tristesse. Et pourtant je m’écarte avec cette requête, pour poser tout les mots. Pas de fin, incapable de te faire sortir de ma vie, conscient de l’avenir, des cauchemars et des coucheries, des disputes et des insomnies. Mais il n’y avait pas que ça Amore, il y avait tout le reste. Tout ces bons moments auxquels j’avais envie de me rattacher, tous ces bons moments qui me faisaient tenir, tout ces rires et ces fous rires, tous ces touchers et ces caresses, tous ces baisers et cette tendresse avait le pouvoir de balayer le reste. Et peut être que c’était une erreur de croire que ça marcherait. Peut être que c’était un erreur de croire qu’il ne pouvait rester que le meilleur. Dans tout les cas j’était prêt à me battre, et à voir ton bras venir s’accrocher à mon t’shirt, tu semblais l’être aussi, prêt  à faire un pas pour nous. Réunis par mes bras, rassurant, bulle protectrice où tout est possible, qui malgré les fissures et les fêlures semblent se fortifier, se renforcer avec le temps. Bulle où je me détend probablement plus rapidement que toi et pourtant je le sens sous mes doigts, cette tension qui t’abandonne petit à petit.   Yeux dans les yeux, pour cette réflexion qui fait sourire, une réponse dans sourire, qui s'élargit encore quand tu me réponds. Et j’ose venir monter ma main sans pour autant la poser sur ta joue pour tempe ta tempe de mon pouce Masso et fou l’un de l’autre. Une réflexion pour moi même qui passe sans contrôle. Une nouveau pas en avant et un baiser sur le nez, un nouveau pas en avant et tes bras lâchent mon haut pour mon cou, ma main qui reprend sa place. Les yeux qui se ferment et oreilles qui écoutent attentive tout de même, quand bien ma respiration se fait lente dans l’espoir d’avoir une détente totale plus tard. Réagissant aux mots qui me percutent le plus. Ce besoin de moi, qui sonnait réellement comme si je l’entendais pour la première fois, avec autant sincérité et ça me provoquait des frissons, c’était rassurant, c’était agréable à entendre et c’était tellement flou aussi, parce que je crois que ça englobait tout ce qu’on pouvait être l’un pour l’autre. Est ce que ce “j’ai besoin de toi.” Etait égal à un je t’aime? Probablement. Je serai toujours là pour toi. J’aurai pus me pincer les lèvres, parce que cette phrase n'aurait pas dû sortir maintenant, elle sonnait comme cette promesse que j’étais prête à faire depuis longtemps et qui n'était jamais sortie. Une promesse qui aurait probablement dû attendre quelques semaines de plus ou pas du tout. Peut être que finalement c’était le moment de le dire. De dire que toujours était la seule chose envisageable. Puisque je le savais, je serai incapable de rompre totalement le contact, quoi qu’il arrive le signale restera toujours le signal. Il l’avait été par le passé dans ses nuits enfantines. Alors pourquoi pas plus tard, si ça vient à se terminer. Puisqu’au final c’est ce que tu me demandes. Une promesse de te quitter si la douleur est trop grande, une promesse à laquelle je ne peux pas m’empêcher d’ajouter. Amore, si je part c’est notre couple que je quitte, c’est pas toi. Peut-être plus solennelle, et qui complétait mes mots d’avant. Toujours présent quoi qu’il arrive. Et comme incapable de me taire et de profiter de ce que tu m’offrais, de cet engagement que tu étais prêt à prendre, cette engagement qui prendrais du temps avant d’être effectif je le savais parfaitement. Mais je ne savais pas comment agir, tiraillé entre la nécessité de savoir pour avancer de mon côté et l’envie de ne pas te heurter. Silencieux j'acquiesçais à chacun de tes mots. Réitérant tes propos, et la complexité de la tâche de ce qui en découle. soufflant un je sais par ci, par là. Je soupirais aux question parce que j’avais vraiment pas envie d’une telle situation. Et pas tellement envie d’en parler ce soir. Alors je te laissais finir, toujours mes mains sur tes joues, jusqu’à ce que tu viennes te blottir contre moi, nez dans mon cou. Les mains qui se posent dans ton dos pour faire des mouvements circulaire, pour te calmer, encore.  Déposant mes lèvres dans ta nuque, pour un rapide baiser. J’aimerai qu’on arrive à faire en sorte que ce soit pas taboue. Que t’en parle sans crainte, et que ça ne m’atteigne pas. Mais l’un ne vas pas sans l’autre n’est ce pas? Les caresses dans ton dos ne cessaient pas, elles me faisaient tellement bien et j’étais conscient qu’elles participaient à ta détente. Je me laissais envahir par ton parfum et le poids de ton corps contre le mien, de ton souffle contre ma peau. Je me laissais baigner dans notre bulle si magique, où rien ne semblait impossible. Si bien que quand tu parlais mariage je ne pouvais m’empêcher de rire et tu me suivais. Entrant dans ton jeux, mélangeant supprimant ton nom pour le mien, et de meilleurs auspices. Auxquelles tu réponds à l’affirmative. Moi aussi ça me plait A quoi bon le cacher, quand nous avons plus ou moins abordé le sujet, à quoi bon le cacher quand j’ai une bague qui est probablement destinée à cet effet. Ouai ça me plairait. Même si ce n’est pas possible, ça me plairait si notre vision du mariage était différente. Peut être qu’avec le temps, et la discussion, peut être qu’avec du temps et dans la compréhension. Mais dans tous les cas que l’entendais et ça me faisait du bien de le savoir. Perdu encore quelques instant avant de venir jouer de mon nez pour chercher un baiser. Un baiser qui nous réunissait, un baiser pour nous retrouver. Est ce que les explosions n'étaient pas ce qu’il nous fallait au final, pour nous permettre d’avancer?

@Neal T. Hood

FIN
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


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