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My Heaven could be my Hell

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William Alexander Norrington
fiche; en cours - terminée

C'est le 15 juillet 1986 à Garnavillo, que la famille Norrington m'a accueilli dans leurs bras. Ils m'ont prénommé William Alexander. Je suis célibataire à temps plein et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Depuis maintenant trois ans, je travaille comme policier. Et pour terminer, je fais partie des citizen.

Études
Alexander était dans la filière littéraire, au lycée. Il s'est ensuite dirigé vers des études universitaires en droit. Il a fait trois ans de licence avant de quitter le système scolaire. Ce n'était pas un étudiant casanier, mais il travaillait vraiment un minimum. Il était présent à chaque cours, bien que sa participation n'était guère brillante. C'était un étudiant qui avait quelques sombres amis et d'éclatants ennemis, ces derniers voyant en lui quelqu'un de nocif.
Après sa période de détresse plus qu'intense, il a su rebondir et s'est donné corps et âme dans son concours pour devenir policier, lequel il réussit plutôt avec brio et les félicitations du jury.


Caractère
Ambivalent, contradictoire
+ aimant ಇ ambitieux ಇ appliqué ಇ attentionné ಇ autonome ಇ aventureux ಇ capable ಇ collaborateur ಇ concerné ಇ conséquent ಇ convaincant ಇ combatif ಇ curieux ಇ direct ಇ doux ಇ efficace ಇ émouvant ಇ exemplaire ಇ honnête ಇ indomptable ಇ insouciant ಇ intrépide ಇ libre ಇ loyal ಇ nuancé ಇ obstiné ಇ passionné ಇ planificateur ಇ pragmatique ಇ protecteur ಇ rassurant ಇ réfléchi ಇ spontané ಇ tenace
- agressif ಇ arrogant ಇ bavard ಇ borné ಇ brouillon ಇ bruyant ಇ cachottier ಇ calculateur ಇ coléreux ಇ émotif ಇ emporté ಇ excessif ಇ familier ಇ impulsif ಇ indépendant ಇ intransigeant ಇ médisant ಇ négligeant ಇ passif ಇ rancunier ಇ renfermé ಇ soupçonneux ಇ susceptible ಇ vulgaire

signes particuliers : père d'une petite fille ( n'étant plus avec la mère de cette dernière, il ne s'occupe pas d'elle ). Il a beaucoup de mal à faire confiance aux personnes. C'est une personne bipolaire.


Everyone Has Their Own Story

#1 - Take a breath, take it deep, " Calm yourself ", he says to me

Il leva de nouveau la main au dessus d'elle. Agenouillée sur le sol, elle enlaçait son ventre de ses deux bras et le regardait d'un air craintif. Elle avait l'habitude de se faire taper par son mari, mais elle craignait à présent pour la vie du petit être qui grandissait en elle. Lui, il la fixait, de la rancœur, du dégoût brillant au fond de ses yeux. La lueur familière de l'alcool brillait elle aussi. Et la femme savait qu'elle ne pouvait rien faire contre ça, même se soustraire à sa violence. Comme toujours lorsqu'il avait bu plus que de coutume, il pensait que sa femme l'avait trompé, l'avait escroqué, avait volé son argent et l'avait claqué au casino en moins de dix secondes. Bien sûr, rien de tout cela n'avait eu lieu. Elle le supplia de cesser mais ses supplications atterrirent dans l'oreille d'un sourd. Alors, elle ferma les yeux, attendant que le coup fatal parte. Lorsqu'elle le reçut, quelque chose en elle se fissura. Quelque chose en elle se déversa sous son corps recroquevillé. Et le vide semblait l'envahir.
La porte d'entrée claqua. Bien après le départ de l'homme, le bruit résonnait encore dans la maison vide. La femme sanglotait, tandis qu'une contraction vint la surprendre. Il n'y avait plus personne autour d'elle, et elle ne désirait pas attendre le retour de son mari, qui serait encore sous l'effet de l'alcool. Ses voisins étaient devenus indifférents aux sévices qui sévissaient dans la maison d'à-côté. Les seules personnes qui la comprenaient et sur qui elle pouvait compter étaient ses parents, son frère, et son meilleur ami. Elle pourrait les appeler afin qu'ils lui viennent en aide maintenant, mais se relever lui demander un effort surhumain d'autant plus que son enfant se tordait en elle et lui provoquait d'horribles douleurs. Pourtant, dans un moment où tout semblait se calmer, elle se leva, se dirigea vers le guéridon où était posé le téléphone, composa le numéro de ses parents. Elle eut juste le temps de leur dire de venir la chercher que les ténèbres l'avaient envahi.
C'est ainsi que je suis né. Sur un parking de station essence, sans mon père. La première chose que je pus sentir, ce fut les mains douches de l'homme qui m'avait pris dans ses bras et qui m'enveloppait d'un linge doux et chaud. Et rassurant. Je pleurais autant que je le pouvais. Et, comme dans un cauchemar pour ma mère, mes cris s'interrompirent. J'étais en arrêt cardiaque. Le premier de ma courte existence.
#2 - What doesn't kill you makes you stronger, stand a little taller

« Maman, quand Papa rentrera du boulot, on pourra aller manger une glace chez Nanie ? »
« On verra, mon fils, on verra... »
Ma mère ne s'était pas remise avec mon père biologique. Elle avait retrouvé un homme, un an après ma naissance, qui la rendait heureuse. Et qui pansait ses plaies d'autrefois. Elle s'est mariée avec lui huit mois plus tard et cet homme m'a adopté. Il s'appelle Walt Grigori Norrington et travaillait dans un petit cabinet d'avocats qui peinait à se faire un nom dans le milieu. Je croyais alors qu'il était mon vrai père, tant il me protégeait, tant il était un vrai papa poule avec moi. Il prenait soin de moi, faisait attention à mon cœur, médicalement parlant. Car sur le trajet de la station essence à l'hôpital, j'ai fait deux autres arrêts cardiaques, en plus du premier. J'ai été opéré d'un petit problème cardiaque qui aurait pu me coûter la vie à long terme. Cependant, les médecins restaient sceptiques : il pourrait toujours m'arriver quelque chose de grave qui pourrait laisser d'importantes séquelles, si ce n'est la mort.
J'étais scolarisé à l'école de la ville. Elle n'était pas grande, mais on travaillait bien. Je n'y avais pas beaucoup d'amis, en y repensant. J'étais privé de sport, jusqu'à nouvel ordre. Alors, je regardais souvent, impuissant, les autres enfants jouer dans la cour de récréation. Assis sur un banc en pierre qui me refroidissait toujours les fesses, j'avais un livre entre les mains et je subissais les insultes des autres enfants de mon âge. « Hé, Fillette, tu viens pas courir avec nous ? Ah, c'est vrai t'aimes pas le sport, comme les filles ! » était la phrase qui revenait le plus souvent. J'en souffrais mais je ne disais mot. Mais un jour, je n'ai pas résisté à l'envie de coller mon poing dans le visage d'une gueule d'ange. Il pissait le sang et moi, assis dans le bureau de la directrice de l'école, j'attendais avec appréhension ma punition. J'attendais aussi que mon cœur, qui faisait mille et une cabriole dans ma poitrine, daigne s'apaiser. Je le sentais se contracter, se relâcher, toujours en enfonçant plus profondément en moi de fines épines acérées. Je suffoquais. La directrice était arrivée en me hurlant presque dessus, mais je ne l'écoutais pas. J'avais mes deux mains posés sur la poitrine. Même en essayant de respirer, je n'arrivais pas à calmer la cadence effrénée de mon cœur. Un bruit sourd. Le sol venant à ma rencontre. Le noir total.
Je sentais des mains fortes qui me palpaient, qui me soutenaient, qui me soulevaient. Je sentais la douceur réconfortante d'une couverture, le moelleux d'un brancard qui roulait. J'entendis les voix comme si elles venaient de loin. Je sentais les présences, mais j'étais incapable de voir, quand bien même j'avais les yeux ouverts. J'essayais de parler, mais tout ce qui sortit de ma bouche n'étaient que des gémissements. Des petits cris plaintifs. Je me sentais faible, ma respiration était trop cadencée. Je voulais juste dormir, fermer les yeux et ne les rouvrir jamais peut-être. Mais Maman était là. Je voulais faire de ma seule faiblesse ma plus grande force.
Après tout un tas d'examens, on me détecta alors un myxome dans l'oreillette gauche. C'était assez rare pour mon âge. On expliqua plus à ma mère le déroulement de l'opération qui consisterait à enlever la tumeur de mon cœur. Ça me faisait peur ; j'étais certain que j'allais mourir. Mais si ça ne me tue pas, ça me rendra plus fort.
#3 - 'Cause I can read those velvet eyes and all I see is lies

Survécu. J'ai survécu. Ma mère ne s'y attendait plus, elle pensait que je serais fini et qu'il ne resterait de moi que des souvenirs, des photos rangés dans une boîte en carton, au fin fond du grenier. Mais ce ne fut pas le cas. Les photos s'alignaient, au fil des années, sur le rebord de la cheminée de la maison. Des photos de mon premier concert de musique classique ( j'étais au violon, donc dans les premiers rangs ). Maman me protégeait quoi qu'il en soit. Walt avait réussi à faire décoller son pauvre petit cabinet d'entreprise. Le soir, à table, il nous racontait parfois des histoires que son cabinet était tenu de régler. Mais il ne citait jamais de noms. Juste les faits divers tels qu'une femme a tenté d'étrangler son homme avec le lange du nourrisson qu'on avait retrouvé mort quelques mois auparavant, dans un bain. Cette dernière l'avait laissé sans surveillance tandis qu'elle et son mari se disputaient. Alors, l'envie de devenir policier ou de travailler dans la police criminelle me tentait de plus en plus. C'était hyper cool d'être au plus près d'affaires comme celle-là, de savoir démêler le vrai du faux.
Pourtant, un jour tout semblait basculer. La rue me semblait sombre, bien plus sombre qu'à l'ordinaire. Et une sale odeur d'urine flottait dans l'air. Des cartons s'entassaient ici et là, les poubelles débordaient de déchets. Un sdf ronflait tranquillement sur une couverture rongée aux mites, accompagné de son chien amaigri et infesté de puces et tiques. Lleroyd le regarda avec dégoût et lui donna un coup de pied dans les côtes en lui balançant un « Lève-toi con***d ! » empreint de haine et de rage. J'affichais un sourire masqué sur mon visage. Le pauvre homme ramassait avec lenteur ses maigres affaires avant de partir d'un pas fatigué vers un autre endroit où il pourrait mourir tranquillement. Mon pote s'était alors retourné vers moi et m'avait proposé, de sa voix rocailleuse, une dizaine de grammes de shit pour deux cent dollars. J'ai regardé de part et d'autre de la rue avant de lui fourrer entre les mains les liasses de billets que j'avais volé à ma mère. Il me glissa un sachet de poudre blanche dans la main avant d'enfourner les billets dans sa poche. Il m'adressa un sourire confiant avant de me tourner le dos et de repartir vers le peuplement dans la rue. Je regardais avec appréhension la drogue dans ma main. Plus par peur que l'on me voit que par honte, le sachet atterrit dans ma poche de manteau. A mon tour, je me dirigeais vers le peuplement.
Le sachet de poudre glissa rapidement vers moi. Je voyais les larmes d'une amère déception briller dans les yeux de ma mère. Elle se tenait en retrait, dans la salle à manger. Walt, debout devant moi, me défiait de lui mentir. Je le regardais durant quelques minutes avant de baisser mon regard, honteux. Je n'arrivais plus à faire une phrase cohérente sans être coupé par mon beau-père. J'avais beau tenter de me défendre, il me démolissait aussi vite que je tentais de me construire une muraille de protection. En moi, tout bouillonnait ; ma rage avait du mal à être contenue et se mêlait implicitement à de la honte sans nulle autre pareille. Que faire dans ces cas-là ? Se la fermer et passer outre ? Ou au contraire exploser et s'en prendre à ceux qui ont construit notre avenir ? Je ne savais plus. La seule chose dont je me souviens, c'est que je me suis levé et, que, m'enveloppant dans mon manteau de mensonges, j'ai hurlé, aux visages de mes « parents » que ce n'était pas à moi, que de toute façon, je me foutais royalement d'eux et de ce qu'ils me reprochaient, que je ferais toujours ce que je voudrais. Alors, avec un retentissant « Allez vous faire voir ! », je suis sorti de la maison, mon sac de sport sur les bras.
#4 - But I walked away. If only I knew what I know today

Maman, excuse-moi pour le mal que j'ai pu te faire. Excuse-moi pour toutes les déceptions que j'ai pu te donner. Excuse-moi pour tout ce que je n'ai pas été et que tu aurais voulu me voir devenir. Je suis désolé d'être devenu un vrai con. Je sais que j'ai été de mal en pis, que j'en étais arrivé à un point de quasi non-retour, que sans ton aide précieuse, je ne serais plus parmi les vivants. Tu m'as sauvé de toute cette merde qu'était la dope, l'alcool et le sexe ; tu m'as sauvé de cet enfer qu'était le fait d'appartenir à un groupe qui te bizutait encore, même après trois ans d'appartenance. Si j'avais su à quel point tu tenais à moi, si j'avais su que tu ne m'ignorais jamais, que tu venais parfois dans ma chambre me regarder dormir, je n'aurais peut-être pas eu à entrer dans tout cela. Je n'aurais peut-être pas eu à me sentir coupable de te faire souffrir, je n'aurais pas eu à me sentir seul, comme j'ai pu le penser autrefois. Pourrais-je seulement me racheter un jour, Maman ?
Alors, je me suis armé de courage et je me suis reconverti dans le sport. C'était le seul moyen pour moi de décompresser et de me sortir ma sombre histoire de la tête ( et accessoirement de te prouver que j'ai aussi du bon en moi ). Et puis, afin de te montrer que j'avais réellement tourné la page, je décidais de devenir policier. Les études ne m'intéressait guère plus. Je passais cependant mon bac sans grande conviction, j'entamais une licence en trois ans en droit, avant de me reconvertir. Je voulais te plaire, Maman, te dire à quel point je t'aimais et à quel point j'étais fier d'être ton fils. Mais ça, tu ne pourras peut-être pas le voir. A quel point ton bonheur m'a reconstruit et t'as détruit.
Ton accident de voiture m'avait plongé alors dans une profonde tristesse. Même si tes jours ne semblaient dorénavant plus en danger, ton état restait préoccupant. Tu étais plongée dans le coma. Tu aurais dû te réveiller depuis un moment mais tu semblais te complaire dedans, comme si cela te permettait d'oublier ce que tu as pu vivre. Lorsque je venais te voir, je te racontais mes histoires amoureuses, combien j'étais heureux avec chacune des sept filles qui ont pu faire parties de ma vie. Que l'enfant que j'avais donné à Christina, la dernière fille en date, était une pure merveille, la huitième de ce bas-monde. Mais que j'avais fait le salaud et que je l'avais quitté pour venir à ton chevet, rester avec la seule femme que j'aie vraiment aimé : toi. Puis, vint un moment où les chaînes devaient se briser et où je devais me sortir les doigts d'un endroit peu vu ( en général ) afin de voler de mes propres ailes.
#5 - Oublier le temps des malentendus et le temps perdu

Mon talkie-walkie grésillait. D'un geste las, je l'empoignais et répondais d'une voix non guère joyeuse.
« Ouais ? »
Mon interlocuteur m'avertit d'une rixe au centre commercial. Je sautais dans la première voiture de fonction avec une collègue et roulais en trombe vers ce qui pourrait calmer mes nerfs. Arrivé là-bas, je tombais sur Lleroyd qui se battait avec Walt. Comment en sont-ils arrivés à ce point, je n'en savais rien. Toujours est-il que les coups de poings pleuvaient et qu'au bout d'un moment, Lleroyd sortit un flingue de sa poche et le pointa en direction de mon beau-père. Il tira un coup dans son épaule. Sans chercher à comprendre, je me jetais sur l'ancien dealer armé, le faisant tomber à terre. Je lui flanquais une bonne droite en plein visage, en lui reprochant d'avoir gâché ma vie et d'avoir tué ma mère ( bien que cette dernière est toujours entre la vie et la mort ). Je lui écrabouillais accessoirement la main pour qu'il puisse lâcher son flingue. Manuela, ma collègue, tentait de me ramener en arrière mais je me débattais pour rester coller à mon ancien ami, afin de lui faire comprendre le revers de la médaille. Il a de la chance que je ne l'ai pas encore dénoncé pour trafic intense de drogues en tout genre. Mais je le dénoncerais volontiers pour meurtres à l'arme blanche ou meurtres sur personnes âgées avec préméditations.
J'ai dû être suspendu de mes fonctions pour quelques jours. J'en profitais pour aller tenir compagnie à ma mère, à l'hôpital. J'étais tout le temps dans sa chambre, à lui tenir la main, à lui chanter des chansons en anglais, parfois en français ( c'étaient les quelques rares chansons que j'avais daigné apprendre par cœur pour faire plaisir à Maman ), à lui lire le journal, les contes pour enfants et parfois à regarder des films à la télévision. Une fois, je me suis lamentablement endormi au milieu de Kick-Ass. Et elle a fait son premier arrêt cardiaque. Ce n'est que lorsque les infirmiers ont débarqué en courant dans sa chambre, un chariot de réanimation avec eux que je compris. Le bip résonnait comme un glas funèbre à mes oreilles.
Mon cœur battait à la chamade. Walt et moi nous nous tenions en dehors de la chambre depuis trois bonnes heures. Les médecins s'acharnaient à faire tout un tas d'examens à ma mère. Ils l'avaient tantôt amenée au scanner, tantôt ils l'avaient passé faire des irm et tout un tas d'autres trucs. Lorsqu'ils quittèrent sa chambre, en laissant derrière eux le llt dans lequel gisait le corps inanimé de ma mère, je la fixais toujours, les regrets refaisant surface. Et c'est là que je vis ce que les médecins n'osaient guère plus espérer. C'est là que ses yeux se sont réouverts et que dans une respiration on ne peut plus bruyante, elle revint à la vie.


A l'heure où je vous raconte mon histoire, ma mère va bien. Elle est en convalescence à la maison. Walt a pris un congé afin de s'occuper correctement de sa femme et moi, j'ai repris mes fonctions depuis quelques semaines.



the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Alinoé
↬ ÂGE - 20 ans
↬ PAYS/RÉGIONS - Etudes en Bretagne, maison en Normandie, le tout en France
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - par Meghan :)
↬ TES IMPRESSIONS - Quelques petites fautes d'orthographe que j'ai corrigé dans la fiche de présentation. Sinon, Meghan a déjà sûrement dû vous faire part des remarques que j'avais fait. :)
↬ CRÉDIT(S) - avatar par DISTURBING MIND, gif trouvé sur tumblr & icon par ... . Paroles du #1 issues de la chanson Russian Roulette de Rihanna, du #2 issues de Stronger ( What doesn't kill you ) de Kelly Clarkson, du #3 issues de Remedy de Little Boots, du #4 issues de Hurt, de Christina Aguilera, du #5 issues de Ne me quitte pas de Jacques Brel
↬ AVATAR - Ryan Kwanten
↬ SCÉNARIO OU PI? - Personnage Inventé :D
↬ LE MOT DE LA FIN - Last night I dreamt of San Pedro ♪

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Jaimie My Heaven could be my Hell 3338944726
Bienvenue parmi nous My Heaven could be my Hell 73120010
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YEAHHHHHH !

Bienvenue ici & Bonne chance pour ta fiche hanwii
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Merci :finger:
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Bienvenue parmi nous My Heaven could be my Hell 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun My Heaven could be my Hell 1688815589
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Bienvenue sur ILH & Bon courage pour ta fiche :rvmp:
Jamie est pris par contre...
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Bienvenue My Heaven could be my Hell 3850463188
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Bienvenue. My Heaven could be my Hell 2109348208
Excellent choix d'avatar. :)
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C'est vrai, il n'y était pas la dernière fois :) je vais changer de sitôt alors :)

Merci en tout cas :)
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bienvenue sur le forum My Heaven could be my Hell 3850463188
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