Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[Flashback] You're my perfect little madwoman to me || ft. Kara
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[Flashback] You're my perfect little madwoman to me || ft. Kara

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Kara & Valentin

© Kaiji

Avec tout ce remue-ménage qu'avait causé ce foutu attentat contre l'université, je n'avais plus su où donner de la tête. J'avais essayé de contacter le maximum de personnes proche et importante à mon cœur. Je ne croyais pas en avoir autant à l'époque, mais avec ce genre de tragédie, je me rendis compte que je tenais à bien trop de personne. Dont Kara. Et le fait qu'elle n'avait pas répondu à son téléphone toute la journée suivant l'attentat, je n'avais trouvé qu'une seule solution, me précipiter jusqu'à sa chambre. J'avais passé la journée à l'hôpital avec les personnes que j'avais pu retrouver, mais ma Kara, non. Alors elle ne pouvait être que dans sa chambre. Je l'espérais tellement ! J'ai alors déboulé dans la maison des Lowell et ai presque couru jusqu'à sa chambre, pour ensuite frapper comme un taré. Pas tellement fort - remarque je sais pas trop tellement j'étais en stress - mais bien trop de fois, ça c'est sûr. J'étais hors d'haleine, mais je m'en foutais je voulais absolument savoir si elle allait bien. Vite, faites qu'elle ouvre cette maudite porte !!
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La bombe. Effet désastreux sur des destin, éclat incroyable de centaines de vie et tout un rebondissement pour tout un lieu. Les cris avaient été perçant et comptés par centaines ou milliers. Les blessés avaient été nombreux, les rescapés n'était pas moindre, mais les morts n'étaient guère peu. Je faisais parti des blessés qu'on pourrait qualifié de moindre dans la mesure où a part une grosse perte de connaissance, une blessure moyenne à la jambe et des égratignures, je n'avais eu qu'une nuit à vivre aux urgences avant de pouvoir courir me renseigner pour Xaver ou mes autres amis. Néanmoins, ayant très vite entendu ou su par message que la plupart de mes proches allaient bien et si perturbée, je n'avais vu que Xaver avant d'aller m'enfermer à la résidence. Je me sentais si mal. Si faible, moi faisant pourtant si souvent bonne figure en me montrant forte et surtout, en ne me laissant jamais prendre au dépourvu par une peur quelconque mais la vie semblait vouloir me montrer que je ne pouvais pas tenter d'être invincible en me faisant vivre cela. Ce que j'avais ressenti durant l'explosion, l'impossibilité de bouger, l'incapacité d'être utile, le traumatisme, une incapacité de faire la justicière comme d'autres aurait fait.

Cela faisait depuis le retour de l'hôpital que je n'étais pas sorti de mon lit. Seul un jour était passé mais déjà, je sentais la honte imprégnait en moi, la honte de moi-même. J'aurai voulu être plus forte, n'avoir pas eu ce traumatisme sur le moment. Ne pas tomber, ne pas flancher. Je me sentais encore comme une loque. J'étais seule dans la chambre et cela ne me dérangeait guère. Je ne dormais pas, j'essayais juste de pouvoir fermer les yeux et de me concentrer sur moi, sur la vie mais justement, de m'en éloigner me pensant en ce moment trop mal, trop néfaste ... trop énormément de chose. Soudain, On tambourina à la porte. Je sursautais. Je ne savais pas qui c'était mais cette présence me sortit de cette léthargie dans laquelle je m'installais depuis l'explosion en un rien de temps comme si déjà je savais que mon sauveur, ma sauvages arrivée ... Je n'arrivais pourtant pas à oser ouvrir, mais la force de l'inconnu m'obligea à me lever et ouvrir la porte. Mon visage devait être plus que pale, livide je dirais même. Je tentais d'afficher un sourire, mais je ne pouvais pas alors je restais naturelle. C'était Valentin. Mon adoré. Un véritable ami, mon jumeau devrais-je dire. Cela me réchauffa le coeur. Néanoins, je ne décrochais qu'un simple "Salut ..." Avant de lui laisser la liberté de me suivre et de fermer la porte car déjà, je retourner dans ma chambre telle un zombie, m'assoir sur mon lit coller contre le mur les genoux contre mon buste tentant néanmoins de ne pas me faire paraitre victime malheureuse car cela n'était guère correcte. Je ne pensais guère en avoir le droit. Quoique ... Peut-etre que je me posais tout simplement trop de question, non ?

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J'eue l'impression d'attendre des heures avant que la porte ne s'ouvre enfin. Voir le teint livide de mon amie me calma d'un coup, pour me foutre un choc. Elle m'avait laissé sur le cul. Elle allait bien, du moins physiquement, bien que je voyais quelques égratignures. Non, elle n'allait pas bien moralement. Je la connais ma Kara, et c'était loin d'être la forme. Elle était allée s'asseoir sur son lit, et s'engouffra dans ses genoux. Ce fut le déclic, je rentrais alors décidé dans la chambre et m'installa sur le lit en face d'elle. Je posais alors une main sur sa tête pour lui caresser les cheveux et l'autre sur l'un de ses genoux, tout en lui disant Ma princesse ... Qu'est-ce qui ne va pas ?! J'étais plus qu'heureux de la voir saine et sauve, mais la voir dans un tel état m'avait complètement fait oublié le fait que j'étais venu ici pour voir si elle n'avait rien de cassé. Là, je m'inquiétais doublement, mais au moins j'allais pouvoir être là pour elle.
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La tête dans les genoux, je me sentais bien comme dans un noir profond alors que la lumière brillait pourtant et traversait la fenêtre. Je ne regardais pas Valentin comme si j'étais honteuse de tout; d'être moi. Je ne savais même pas ceux a quoi je ressemblais, ce que Valentin admirait comme spectacle mais je me doutais qu'il était pitoyable. J'avais plié les genoux pour cacher mon bandage un maximum et il ne semblait pas avoir remarqué malgré que je portais un mini-shirt de nuit. Sa main vint toucher ma peau avant de se loger sur ma chevelure, qu'il caressait, sa seconde main se posa sur mon genou et j'eus un léger tremblement de peur qu'il touche ma légère blessure. Je relevais la tête, plongeons dans ses yeux, triste, je me sentais plus honteuse encore de le voir si mal ... qu'avais-je fait ? ça ne pouvait être moi la cause, pourquoi serait-il mal pour moi ? Il me demanda si j'allais bien et d'une voix décidée mais néanmoins peu convaincue, je lui répondais ; Je vais bien Valentin. Je vais bien. Tu n'as pas à t'inquiéter ! Je le regardais tentant un sourire pour le rassurer vu qu'il semblait de toute évidence bien mal pour moi. Pourquoi es-tu arrivée en trombe comme ça ? Veux-tu parler ... il est arrivé quelques choses ? Je crois que je semblais carrément déconnecter du monde a cet instant là et pourtant, je me sentais présente mais en même temps. A la fois au cinéma de ma vie, voyant la scène de l'explosion, mes parents, castel, toute ma vie défiler devant moi.
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La voir dans un tel état me fendait le cœur, vraiment. Parfois je me demande comment je fais pour avoir autant d'affection pour ces jeunes femmes que je considère comme des sœurs, presque autant que la vraie. Mais une chose est sûre, jamais je ne les abandonnerais, encore moins ma Kara, qui semble avoir besoin de moi plus que jamais. Quitte à ce qu'elle se défoule sur moi, je m'en fiche, j'en ai vu des plus dures. Elle me répondit alors que tout aller bien. Je m'étais mis à froncer les sourcils. Elle voulait me persuader, ou se persuader elle-même ? Je la laissais finir tout de même. Ce qu'elle dit par la suite, me fit un peu plus flippé. Elle devait être encore sous le choc. J'avais peur de lui répondre la vérité et qu'elle se retrouve encore plus dans un sale état. J'étais perdu. Je la regardais, toujours avec cet air inquiet, puis me jetais à l'eau, sans réfléchir, et lui répondit d'une voix extrêmement douce et calme Je n'ai pas eu de tes nouvelles, ça m'a fait peur. Je voulais savoir si tu allais bien, avec ce qui vient d'arriver à Harvard, j'avais peur qu'il ne te soit arriver quelque chose de grave ... Je n'étais pas sûr qu'elle ait oublié l'incident, alors j'avais préféré jouer dans le trouble. Si vraiment elle était sous le choc et me demandait vraiment ce qui était arrivé, alors sûrement que je lui répondrais.
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La tête enfouie dans mes genoux, je devais ressembler à une petite malheureuse ce qui m'était insupportable, mais en ce moment, ce n'était que ça, encore ça. Valentin devait être surpris car là, j'étais totalement différente de lui alors que d'habitude, nous étions un peu les mêmes, là carrément pas. Je faisais mine que tout allait bien mais je devais bien avouer que j'étais à l'instant une piètre actrice voir pire un cauchemars à moi seule. Lorsque je relevais ma tête, il fronçait les sourcils, trouvant surement peu crédible les propos que je lui tenais. En fait, il était simplement inquiet de pas avoir eu de nouvelles, et il est vrai que je ne cherchais pas à donner ou a ce qu'on en prenne. C'était surement égoïste , mais j'avais bien trop honte de mon état je crois et je n'étais pas le genre de fille qui se confiait, qui importunait. Je sais que je me répète, mais personne semble comprendre que j'ai déjà été un poids pour mon frère, je ne veux plus l'être tout simplement. Je le regardais, rabaissais le regard, relevée ensuite à nouveau les yeux encore un peu perturbée de le voir simplement arriver comme cela, de l'avoir face à moi et surement aux pensées des drames survenus. Je me forçais à lui offrir un sourire ; c'est gentil de t'inquiéter pour moi, mais tout va bien ... Juste une blessure à la jambe, quelques égratignures et ... Je n'arrivais pas à reparler de ma perte de conscience pendant la bombe parce que je savais qu'elle avait pu inquiéter Xaver même si ce n'était rien et surtout que j'en avais honte de ne pas avoir était assez forte pour aider au lieu de perdre directement connaissance comme une faible. Je savais pourtant que pour vraiment parler de cela, je devais le faire auprès de lui, mais je me sentais comme bloquée, mais naturellement sans un mot, je me blottis contre lui comme pour lui montrer que je l'adorais, que j'étais un peu dans un désespoir étrange mais que je n'arrivais pas à parler. Je respirais un grand coup et tentais de parler encore ; J'ai tellement honte si tu savais ... je ne suis qu'une merde, j'ai ... j'ai perdu connaissance, ne pouvant pas aider Xaver, je suis restée là, j'ai pas pu aider ! Je ... Je ... J'éclatais en sanglot alors que cela ne m'était pas arrivée en "public" depuis avant la mort de mes parents, généralement, je restais toujours de marbre, ne laissant rien percevoir.
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Ça m'inquiétais de la voir dans cet état, dans ce passage assez dur de sa vie. Elle était encore sous le choc, je le voyais bien, et pour le coup je ne savais pas comment lui répondre. Mais en lui disant ce que je ressentais, que je m'étais vraiment inquiété pour elle, c'était la bonne solution, heureusement pour moi. Elle m'expliqua donc qu'elle allait bien, encore, et qu'elle n'avait eu que de légères blessures. Quand elle me parla de sa jambe, j'eus pour reflex d'ôter mes deux mains de son corps, mais à peine avais-je fait ça, que c'était elle qui était venu se blottir contre moi. Je l'enlaçais alors et l'écouta parler de nouveau. Elle me confia quelque chose que je ne pouvais que comprendre Tu aurais voulu l'aider, tu aurais voulu aider tous ceux qui ont eu besoin de secours. Je te comprends ma princesse, mais tu es pas une Wonder Woman, il faut bien qu'on s'occupe de toi aussi. Mais je suis là .... Comparé à elle, j'avais réussi à sauver quelque personne, et je savais que je me serais moi aussi senti coupable si j'avais été dans l'incapacité d'aider mes amis. Comment je m'étais senti mal quand je n'avais pas pu aller voir ma Sateen quand on était au lycée et que l'ouragan nous avait séparé ... J'avais donc resserré un peu plus mon étreinte sur mon amie pour bien lui faire sentir que je ne la lâcherai pas de si tôt.
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Je restais dans ses bras, je m'y sentais bien comme entourée et protégée comme jamais. Il n'y avait aucune ambiguité et cela était bien. Je savais qu'il était mon frère, rien de déplacé et lui, le savait aussi. Il était là pour moi, je ne pouvais que le remercier. Par ma tristesse, je m'en voulais de tout, je me sentais coupable de tout, tous ce que j'enterais au fond de mon être ressortait aujourd'hui, dans cette période de ma vie et ça me peinait alors je lâchais tout, comme jamais auparavant. Il ne me rassurait pas seulement par sa présence mais aussi par ses mots, il tentait de me réconforter et de me faire comprendre que c'était normal, que tout était compréhensible mais que je ne devais pas m'en vouloir, mais je savais pas trop comment réagir, je me détachais de lui ... sans plus attendre. Oh je sais que je ne suis pas WonderWoman, mais ... je ne peux pas m'empêcher de m'en vouloir et ... et c'est comme si, tout ce que je tente de garder en moi pour ne faire suer personne, remonter soudainement ... Pourquoi ? Pourquoi ? Une voix pleine de désespoir, comme si je cherchais à trouver une explication alors qu'il devait surement ne pas en avoir. Enfin si, peut-etre avait il tous raison, je n'aurais jamais du tout garder pour moi ? Je devrais me confier, parler et arrêter d'écouter sans parler quand j'en ressens le besoin. Mes pensées et réflexions se battaient en duel dans a tête, mes larmes ne cessaient pas, je me sentais découverte, à nue, comme jamais a vrai dire et ça faisait mal ... Comme un cri de désespoir, je m'écriais telle une folle sortie d'un asile : CHIER ! puis je mettais ma tete sur mes genoux en me recroquevillant un peu plus avant de reprendre une voix douce, normal mais toujours désespérée ; Tu dois penser que je fais de la comédie ... c'est compréhensible. Désolé. Je veux pas te faire chier, justement je ne les jamais voulu et c'est surement ça qui me vaut ce mal être, ce pétage de plomb ...
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Voir mon amie dans un état aussi critique me brisait de plus en plus le cœur. Je me sentais impuissant, je ne savais pas quoi faire pour elle. Pour qu'elle aille mieux. Puis quand elle se décolla de moi pour me répondre, ses paroles me donnèrent la solution. Voilà tout ce dont elle avait besoin. Elle avait besoin d'exploser, de dire ce qu'elle avait sur le cœur, de se laisser aller et de ne plus retenir ses émotions. Et en tant qu'ami, qu'en tant que frère de cœur, je me devait d'être là pour elle, de comprendre par quoi elle passait et de la laissait faire surtout. Je la regardais alors avec tristesse, elle se mit à crier puis à s'engouffrer la tête dans ses genoux. Puis elle rajouta qu'elle ne voulait pas me faire chier et que je devais sûrement la prendre pour une folle Kara ne t'inquiète pas pour ça. Tu n'as pas besoin d'être forte avec moi et encore moins ressentir l'impression de me faire chier. Tout ce dont tu as besoin c'est de te laisser aller, sans te demander si c'est bien ou non. Penses à toi ma princesse un peu et fais et dis ce que tu veux. J'espérais qu'elle m'écouterait et qu'elle suivrait mon conseil. En tout cas, elle semblait bien partie pour péter un plomb. C'est ce qu'il lui faut, et pas d'un psy ou de quelqu'un qui l'écouterait. Non, il faut qu'elle pense à elle et qu'elle se laisse aller.
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Regard de chien battu, j'étais honteuse et pourtant si désespérée, c'était comme si, j'osais enfin laissé toutes ma colères, mes inquiétudes sortir de mon être pour le libérer de ce fardeau et je devais l'avouer ; peu à peu, la douleur, cette boule affreuse en moi se brisait au fil de mes paroles. je regardais mon amie soudain sans aucunes vraies pensées et émotions dans le regard. A nouveau face à cette crise de nerf, mon ami tentait de me rassurer, il tentait de m'assurer que je ne le faisais pas suer ou du moins que je ne devais pas me soucier de cela. Lui aussi me disait ensuite que je devais laisser tous cela sortir auprès de ceux avec qui je me sentais le plus à même de parler, et en gros, que ce n'étais guère bien de garer cela enfoui en moi comme un cristal indestructible qui me détruit moi-même. Je tente de sécher mes larmes, attrapant un mouchoir dans ma commode. Penser à moi, disait-il ? Oui, surement devrais-je l'écouter, je savais par plusieurs amis communs qu'il était de bons conseils et a vrai dire, moi même j'avais pu le voir et je crois qu'il a raison mais quelques choses m'en empêche, quelque chose me dit que je n'en ai aucunement le droit. Je sais que tu as raison ... Lilo & mon frère m'ont déjà reproché de ne jamais me confier, de tout garder, mais je ne me sens pas le droit de faire suer mon monde avec mes inquiétudes, mes problèmes, tu vois ? Je le regardais tentant un sourire qui fut néanmoins bien raté. Je me collais de nouveau contre le mur, regardant droit en face de moi, le mur comme envoutée. Tu sais ... je ... comment dire ... je repense sans cesse à mes parents, à ce manque, à Castiel ... et bref, tout remonte comme si on voulait me dire ; tu avais qu'à en parler au lieu de tout garder en toi ! Oui, désespérée, c'était le mot approprié à ma situation du jour. Une énième fois, je me tournais vers lui pour parler ... oui, ma langue se déliée enfin - dirait Lilo ou encore mon frère- ; J'ai juste peur, peur de tous ça ... de cette rage en moi, peur de me livrer, peur de passer pour une nulle ... je ne sais pas comment dire, comment parler de mes sentiments, je n'en sais rien.
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