Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCALHEN/SOFIA ❝ La joie des vielles voitures ! ❞
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CALHEN/SOFIA ❝ La joie des vielles voitures ! ❞

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Cela faisait deux bonnes heures que je m’étais mise en route vers Cambridge. J’avais profité du week-end pour aller rendre visite à l’une de mes amies. La nuit était tombée depuis un bon moment et je sentais la fatigue me gagner peu à peu. Je pensais à faire une pause, seulement, m’arrêter sur le bords de la route ne me rassurait pas tellement à cette heure tardive. Qui sait sur quel genre de phénomène je pourrais tomber ? J’avais baissé la vitre près de moi pour faire un peu d’air et me tenir éveillée. La musique résonnait aussi dans l’habitacle de la voiture. La fatigue, je suis habituée à y résister. Bref. Mon trajet se déroulait bien jusqu’au moment où je remarquais de la fumée qui s’échappait de dessous le capot de la voiture. La Charger ralentissait toute seule – « Oh non qu’est-ce que tu me fais... » - Dis-je à voix haute avant de m’arrêter sur le bas côté, j’y étais bien obligée. La joie des vielles voitures ! Mais c’était moi qui l’avais choisi. Je trouvais que celles-ci avaient bien plus de charme que le dernier modèle ferrari. J’éteignis le contact et fouillais dans mon sac pour chercher mon portable. Je n’avais plus qu’à contacter une dépanneuse maintenant et le pire, c’est que je n'étais pas encore arrivé à Cambridge !
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J'étais à Harvard depuis la rentrée et pourtant, j'avais l'impression de passer plus de temps à l'extérieur que dans Cambridge. Cette fois-ci encore, j'étais parti voir un acheteur pour mes photographies. Il était souvent intéressé par mon travail et il m'avait répété que si j'avais à nouveau quelque chose pour lui, il suffisait de venir le voir. Je l'avais donc pris au mot. J'avais profité d'être près de Boston pour aller le voir. Et je n'étais pas mécontent. Je voulais lui donner quelques clichés pour sa prochaine édition. C'était le but de mes études, réussir à intéresser les autres, les éditorialistes grâce à mes clichés. J'avais donc rendez-vous avec lui après le bouclage de l'édition du soir. Alors en attendant, j'avais profité d'être à Boston pour racheter un peu de matériel mais aussi pour revoir des amis que je n'avais pas vu depuis un moment. Et il était tard quand j'avais repris la route pour regagner le journal. Je n'avais pas envie de louper mon rendez-vous. Et j'avais bien l'intention de rentrer ensuite à Cambridge. Je n'avais pas envie de sécher les premiers cours de la matinée de demain. Sur la route, alors que la nuit était tombée depuis un moment, j'apercevais deux phares arrières sur le bas côté de la route. Je ralentissais, croyant à un accident de la route mais apparemment c'était une simple panne vu qu'il n'y avait rien alentour. La Ferrari ralentissait alors que je dépassais la voiture en question. Bon après tout, qu'est-ce que je pouvais faire? Je jetais un œil dans le rétroviseur alors que je venais de dépasser la voiture garée sur le bas côté. Je soupirais. Si je m'arrêtais, je ne pouvais pas déposer mes photographies. Raahhh! J'appuyais sur la pédale de frein et la voiture s'immobilisa, me plaquant contre mon siège. Je faisais demi-tour pour venir me garer devant la voiture. Je coupais le contact et je sortais du véhicule en venant vers l'automobiliste. C'est là, en m'approchant, que j'ai reconnu une silhouette familière. « Sofia? » Je m'arrêtais à côté de la Charger. « T'as besoin d'aide? »
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J’appelais un numéro de renseignements afin d’obtenir le numéro pour appeler une dépanneuse. On me mit rapidement en relation avec et j’exposais alors mon problème. L’homme à l’autre bout du fil me promettait d’arriver au plus vite. Je raccrochais. Il ne me restait plus qu’à attendre maintenant. La lumière de phares qui approchaient attirait mon attention. Peu de voitures étaient passées depuis que j’étais arrêté. Cela était sûrement dû à l’heure tardive. Je fus étonné de voir cette même voiture faire demi-tour quelques secondes plus tard. La Ferrari s’arrêtait devant ma Charger et le conducteur descendis du véhicule pour venir à ma rencontre. J’observais la silhouette s’avancer vers moi, un peu sur mes gardes et lorsqu’il approchait, je reconnaissais immédiatement Calhen, un étudiant d’Harvard. J’étais plutôt soulagé qu’il s’agisse d’un visage connu. J’esquissais un léger sourire avant de répondre : « Je pense que ça va aller, je viens d’appeler la dépanneuse, qui devrait arriver, j’espère… » - Je sortais du véhicule et reprit la parole : « La pauvre, les longs trajets, ça la fatigue. » - Je souriais derechef, j’essayais de prendre sa de façon détendue. Inutile de s’énerver et de s’angoisser.
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J'aurais très bien pu ne pas m'arrêter en voyant cette voiture sur le bas côté de la route. Parce que j'avais un rendez-vous important. Enfin, je pouvais toujours reprendre un créneau, une prochaine mais je savais que j'allais devoir attendre. Malgré tout, j'avais freiné. Parce que je m'étais dis que si j'avais eu une panne, j'aurais aimé que quelqu'un s'arrête. C'est con, mais vachement frustrant de devoir patienter jusqu'à ce que quelqu'un nous vienne en aide. Donc j'avais fini par faire demi tour. Et en fin de compte, je ne le regrettais pas. Parce qu'il s'agissait d'une amie. J'avais travaillé avec Sofia à plusieurs reprises et j'avais même fait des photographies de la demoiselle quand elle dansait. Bref, je portais mon regard sur elle, alors que je venais m'enquérir de la situation. Je l'observais descendre de sa voiture. Une dépanneuse ne devait pas tarder à arriver. « J'aurais bien jeter un œil sous le capot mais j'y connais rien en mécanique. » Et oui, je détestais tout ça. Enfin je ne détestais pas mais cela ne m'avait jamais intéressé. Je jetais un oeil à la voiture. C'était une vieille Charger. « Je ne savais pas que tu aimais les anciennes voitures. Un héritage familial? » En général, ce genre de voitures se léguait en famille. Ou alors il fallait être un collectionneur ou une collectionneuse. C'était peut-être le cas de la danseuse.
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Calhen ne s’y connaissait pas en mécanique, ce n’était pas bien grave puisque la dépanneuse allait s’occuper de cela. Je me demandais ce que le jeune homme faisait par ici, mais apparemment, nous avions tous les deux passé le week-end bien loin de Cambridge. Quel étrange hasard de se croiser ici au milieu de la nuit quand même. Comme quoi, le monde n’est pas si grand que cela ! – « Non, c’est pas un héritage familiale. J’adore les voitures anciennes. Je trouve qu’elles ont une classe et une allure que n’ont pas les nouveaux modèles. » - Répondis-je – « Le point négatif, c’est que les vielles voitures demandent beaucoup plus d’entretien que les récentes. » - Ajoutais-je en souriant alors que je remarquais la lumière de phares arrivant par ici. La dépanneuse ? Si c'était le cas, c’était du rapide en tout cas !
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J'appréciais les vieilles voitures également mais je crois que c'était trop d'entretien à mon goût. Comme je venais de le dire à Sofia, je n'étais pas mécanicien, même amateur. Et devoir vérifier sans arrêt les compteurs, les jauges, etc, ce n'était pas du tout mon truc. Je préférais davantage les nouveaux bolides du marché. Je ne relevais pas son affirmation. Parce que c'était un point de vue personnelle qui se discutait. C'était comme dire que le chocolat était écœurant, alors que l'on avait gouté ni le chocolat au lait, ni le chocolat blanc. Bref, je finis par acquiescer de la tête. « Oui c'est l'inconvénient. » Puis je suivais son regard. Une voiture roulait vers nous. La dépanneuse. Le type en question se présenta et expliqua à Sofia, après avoir regardé sous le capot, qu'il allait devoir la remorquer. Mais qu'il n'aura pas la pièce tout de suite. Elle était donc clouée ici, jusqu'à nouvel ordre. Pas de chance. Alors que le type mettait les chaines à la voiture de la danseuse, je lui proposais: « J'ai raté mon rendez-vous. Et vu l'heure, je vais prendre une chambre dans un motel du coin. Tu veux que je t'y dépose? » En même temps, je ne voyais pas d'autres options pour elle, à moins qu'elle voulait rentrer à pieds.
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Le type de la dépanneuse avait répondu à mon appel très rapidement. Mais cela ne voulait pas dire que c’était la fin de mon problème. Il n’avait pas la pièce qu’il fallait pour réparer la charger, il devrait la commander. Autrement dit, j’étais coincé dans ce petit coin paumé où je ne connaissais rien. J’attrapais mon sac à main et laissais le garagiste s’occuper de la voiture et me tournais vers Calhen qui m’avait de nouveau adressé la parole – « Oui, je veux bien. » - Répondis-je alors qu’il me proposait de me déposer au motel du coin. Il avait aussi l’intention de prendre une chambre – « On peut dire que tu tombe plutôt bien ! Merci de t’être arrêté. » - Ajoutais-je avec un petit sourire. Je rejoignais le côté passager de la voiture du jeune homme. Une Ferrari, un beau modèle, mais rien qui ne puisse m’impressionner. Après tout, si j’avais voulu, j’aurai pu me payer la même – « Donc, tu as décidé de passer le week-end loin d’Harvard toi aussi ? » - Lui demandais-je bien que ça paraisse assez évident.
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En achetant cette voiture, je ne l'avais pas choisi pour impressionner les autres. Si j'avais fais l'acquisition de la F12, c'était tout simplement parce que j'aimais cette voiture. Sa coupe, le contrôle de sa direction, le confort à l'intérieur, tout me plaisait. Et c'était pareil avec ma Porsche. J'y allais au feeling. Je n'étais pas du genre à faire des achats pour m'en vanter ensuite au premier venu. Ce n'était pas du tout mon style. Et ceux qui pensait cela, me connaissait vraiment mal. « Y'a pas de quoi. Si j'avais été dans cette situation, j'aurais voulu que quelqu'un s'arrête aussi. » Ouais quoi, patienter comme ça, sur le bord de la route, c'était pas terrible. Et puis, elle avait encore de la chance que les ondes des portables captent quelque chose ici, puisque l'endroit était un peu perdu. Je venais lui ouvrir la portière passager pour qu'elle puisse s'installer à l'intérieur. Une fois à l'intérieur, je remettais le contact. Puis aux paroles de Sofia, j'acquiesçais de la tête. « Oui, enfin quasiment. Pour tout te dire, j'avais rendez-vous avec un rédacteur en chef pour lui vendre quelques clichés. » Je suivais les panneaux indicatifs qui signalaient une zone commerçante à quelques kilomètres. « Et toi? Que faisais-tu sur cette route, toute seule? »
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J’accrochais ma ceinture de sécurité et Calhen démarrait – « Ah c’est ça le rendez-vous que tu as raté. » - Il m’avait parlé quelques minutes plus tôt d’un rendez-vous manqué. Je savais que Calhen aimait prendre des photos, d’ailleurs, il m’avait photographié à quelques reprises en train de danser – « Tu avais rendez-vous avec le rédacteur de quelle revue ? » - Demandais-je avant que Calhen se mette à me questionner à mon tour – « J’ai été rendre visite à des amis pour le week-end et j’étais en route pour rentrer quand la charger à décidé de faire des siennes. » - Répondis-je en souriant. Cette galère ne me faisait pas perdre le sourire pour autant. Je ne suis pas du genre à me plaindre. Après tout, ce genre de choses arrive, surtout quand on a une vielle voiture. Et puis, j’étais tombée sur Calhen qui avait eu la gentillesse de me proposer de me déposer au motel. D’ailleurs en parlant de motel on arrivait devant l’un d’eux.
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Tout en conduisant, je jetais un oeil à Sofia qui venait de prendre la parole. Je hochais la tête à sa phrase. « Pour le Boston Herald. Ce n'est pas la première fois que je vends des clichés. Ils sont assez ouvert à ce niveau. » Ouais ce n'était pas comme d'autres journaliers qui refusaient de faire affaire avec des indépendants. Ce que je trouvais cela, complètement idiot. « Alors de temps en temps, je vais les voir pour leur proposer des photo. » Puis j'écoutais les raisons qui avaient poussé Sofia à parcourir ces kilomètres. Ah d'accord. Elle, elle rentrait et lui, il partait. Heureusement qu'ils s'étaient croisés au bon moment. « Tu devrais la faire réviser en même temps, ta voiture. » Je ne m'y connaissais pas trop mais il était mieux de faire les deux à la fois, ainsi elle serait certaine de ne plus avoir ce genre de problème à l'avenir. Je venais ensuite arrêter la Ferrari sur le devant du motel, sur l'une des places de stationnement disponible. Je coupais le contact avant de sortir de la voiture en même temps que la danseuse. « Ce n'est pas un palace mais je suppose qu'on y sera bien. »
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