Comment ne pas être dubitatif quand tu, à une réaction extrêmement joyeuse alors que tu cherches un truc sur ton téléphone Kat' ? Franchement qu'est ce qui pouvais te rendre aussi euphorique que ça au point de me faire chasser mes sombres pensées. Et finalement je comprenais ce qui pouvais te rendre aussi heureuse à ce point Kat', tu pouvais être fière de toi et du travail que tu avais réalisé sur toi même. En tout cas moi j'étais fier de toi c'est certainement aussi pour cette raison que je venais t'apporter un cadeau en échange. T'avais l'air surprise de ça. Je laissais ta question en suspend pour te faire languir Kat', un sourire sur les lèvres, parce que je sais bien que tu ne sais pas attendre, comme les petits enfants qui devienne fou en ouvrant leur cadeau. Mon cadeau n'avait pas d'emballage alors on à qu'a dire que c'est ce temps d'attente sans réponse serai ton papier cadeau. Cette attente qui fais monter l’excitation de découvrir la surprise. Et je sais que tu était sensible à ça Kat', alors je prenais un malin plaisir à prendre tout mon temps. Tes grands yeux brillant alors que je t'offrais ce présent me faisait un bien fou. Et comme beaucoup trop surpris par ton élan, d'affection alors que je venais à peine de me réinstaller à tes côtés nous basculions en arrière, te serrant dans mes bras un peu plus, comme pour prendre un peu plus de toi et de ton affection Kat'. T'était fier de moi. Moi aussi je l'étais, j'étais fier de mon travail, malgré toute la difficulté que j'avais eu au moment de l'enregistrement, parce que c'était clairement pas le meilleur moment de l'année pour ça. Mais qu'importe. Et puis même s'il n'y avait pas les arrangement finaux et qu'il y avait encore du travail à faire dessus. Ce Cd était pour toi et uniquement pour toi, un exemplaire unique d'oWen, pour Kat', un compilation de ce que j'avais enregistré et fait gravé uniquement pour toi. Peut être qu'un jour il vaudra de l'or. M'enfin c'est pas ce que je cherchais en faisant ça, mais à titre posthume lorsque tu aura parlé de moi à tes petits enfants de nos années ici et qu'ils ne comprendront pas pourquoi toi et moi on avait cette si belle amitié, ce si grand attachement l'un envers l'autre. Que leur grand mère avait connu un artiste qui s'était fait sa place dans la musique, alors peut-être qu'ils se feront de l'argent sur notre histoire qui sait.
Je suis fier de moi aussi. Ouai je l'étais alors autant le dire parce que ça me faisait du bien. Dans les bras l'un de l'autre, tu prenais ton portable, pour rechercher je sais pas trop quoi, bien trop silencieuse, jetant un coup d'oeil sur ton écran, je ne disais rien, on aurai très bien pus l'écouter sur mon ordinateur, ce Cd tu sais Kat'. M'enfin passer un temps supplémentaire avec toi ça ne se refuse pas. Et un poil autoritaire, comme tu pouvais l'être parfois, je t'écoutais bien sagement.
Bien Chef. J'allais pas faire des effort à me baisser, je laissais juste mes pieds glisser dans la paire de tong que j'avais déposé la veille à côté de la porte. Je te laissais partir un instant revenir avec ton sac. Direction la boutique, ça sentais l'ancien ce genre d'endroit où je n'avais pas mis les pieds depuis New York, pourquoi ? J'en sais rien, ça fait cinq ou six ans maintenant que les disquaires n'étais plus mon quotidien, peut être que Moscou était trop contraignante au niveau musicale j'en sais rien, peut être que l'institut littéraire me prenais trop de temps lui aussi. Et à Boston pourquoi je ne m'étais pas perdu dans les rayons cette années ? Aucune idées toujours est'il que je ne l'avais pas fait une seule fois, je devrais reprendre ses habitudes à mon retour. Me retrouver, et pourquoi pas y proposer un premier EP finalisé ? Je lâchais pas ta main Kat', toi qui avait le sourire au oreille un peu trop pressé de découvrir ce que je t'avais préparé, un mélange de mon passé, mais aussi des chansons que j'avais écris sur toi, sur nous, sur KLM, et peut être une chanson ou deux que j'aimais beaucoup trop pour ne pas te les partager. Toujours main dans la main on rejoignais la ville glissant les écouteurs dans les oreilles, pour nous mettre dans un monde, le notre, un instant unique au milieu des rues de Tokyo, au milieu de la vie. Il n'y avait plus que toi et moi, les yeux dans les yeux, main dans la main. Un sourire l'un pour l'autre, ceux qui nous connaissais pas pourrai bien croire qu'on pourrais s'embrasser et ce serai totalement stupide de croire ça. On passait un bon moment comme ça le temps de deux ou trois chanson, avant de reprendre le pas, silencieux appréciant beaucoup trop le moment. Un moment parfait où il nous manquait simplement de quoi manger. Un glace, maintenant j'avais plus besoin de te demander ce que tu préférais Kat'. Pour ma part une envie de coco et de Stracciatella et un soupçon de miel lavande. Certain que ça se marierai bien, tout autant que j'étais certain que tu viendrais viendrait y mettre tes lèvres incapable de te contenter de tes parfums Kat'. J'attendais tout de même ton avis, même si je savais bien à ton expression que tu aimais.
@Katalia Borgia-Locke