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the last time was too short (chesterbane)

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On avait à peine parlé depuis notre dernière rencontre. J'avais pas envie qu'elle me fuit, pas envie de la faire fuir non plus. J'en avais parlé avec Eris, qui m'avait dit d'y aller pas à pas, que la jeune femme était plutôt difficile à approcher, et je ne pouvais que confirmer les faits. Après avoir partagé un moment intense, j'avais compris que ma présence n'était pas si souhaitable à ses côtés, et j'avais plié bagages aussi vite que j'étais arrivée dans cet atelier qui nous a vues nous émouvoir. Et le silence complet s'était installé de son côté, comme du mien. J'avais envie de la revoir, mais j'étais pas sûre que ce soit réciproque. J'avais écris des tas de messages, toujours effacés, ne trouvant pas la formule assez bien pour cette fille intelligente. Puis je m'étais lancée, sans forcer, naturelle. C'était passé. Et je devais la rejoindre après mon service au Black Dog, entre deux et trois heures du matin. Et c'est ce que j'ai fait. Son adresse envoyée dans un message, me voilà en bas du bâtiment en question. C'était comme le milieu d'un mauvais film romantique. La nana qui attend devant la porte du bâtiment, qui se demande si elle va appuyer sur l'interphone et qui va finalement se raviser. Mais j'ai sonné, et je suis entrée, grimpant les marches rapidement jusqu'à sa porte. Je n'avais pas besoin de cogner contre le bois, puisqu'elle était déjà là, dans l'encadrement de la porte, aussi belle de jour comme de nuit. Je lui adresse un sourire, avant de déposer mes lèvres sur sa joue. « Tu m'as attendue tout ce temps ? » murmurais-je pour ne pas réveiller ses voisins, vu l'heure presque matinale.

@Lana Killbane
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J'avais menti sans ressentir la moindre honte, du moins en apparence. J'avais passé du temps, planquée dans la réserve de la boutique, couverte par Aisling qui ne savait pas vraiment que je m'y trouvais. Recevoir son message avait bouleversé mes plans de fumer une clope en cachette dans l'arrière boutique pendant que je consultais mes messages. J'avais été obligée de lui parler, de l'appeler, d'entendre cette voix qui résonnait parfois dans ma tête quand j'étais seule chez moi. J'avais toujours réussi à m'en sortir sans trop de casse, de ces histoires sans lendemain, de ces histoires qui duraient et qui prenaient de l'ampleur dans le coeur des filles que je brisais. Mais elle a ouvert une boîte de pandore, la dealeuse. Les failles que j'avais comblées du mieux que je pouvais, les cicatrices qui brûlent, les pensées qui secouent tout cet équilibre précaire que j'avais mis en place. Elle avait foutu un bordel pas possible dans ma vie, en l'espace de quelques heures passées ensemble.
J'ai lutté toute la soirée, enchaînant les cigarettes les unes après les autres, quelques bières aussi, et beaucoup d'accords de guitare. J'étais quelque peu stressée à l'idée de la revoir, et l'idée de faire comme si je dormais m'avait même traversé l'esprit. Mais il ne fallait pas, il fallait affronter ce regard, ce sourire qui m'avait mise en émoi à la plage. Et l'heure fatidique était arrivée plus vite que prévue. Trois heures et demi du matin. L'interphone me ramenait à la raison et me rappelait que j'étais à peine habillée de mon débardeur et de mon shorty. Foutue pour foutue, elle m'avait déjà vue nue, et elle s'en plaindra sûrement pas. J'ouvrais la porte, un léger sourire qui se dessine quand elle vient embrasser ma joue. « Faut croire. » répliquais-je seulement, la laissant entrer et refermer la porte plus délicatement que d'habitude, vu l'heure. Ca me faisait quelque chose de la voir chez moi. Parce que j'allais être obligée de parler, vu la présence de mon iguane.
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J'avais envie de la voir, même si c'était clair entre nous désormais. On était pas ensemble, chacune pouvait faire ce qu'elle voulait. Ca m'allait très bien, du moins je pensais que ça m'allait très bien. Mais quand je la vois, je ne suis pas sûre de vouloir l'imaginer avec une autre qui l'embrasse, qui la séduit, ce genre de choses. Mais j'ai pas spécialement le choix. Parce qu'elle est libre, parce que cette vie lui va bien. Parce qu'elle pense ne pas pouvoir m'offrir autre chose. C'est ce qu'elle m'a dit. Alors je vais prendre ce que je peux prendre, et donner ce que je peux donner, de la même manière. Cette conversation ne m'a pas quitté l'esprit de la soirée, au point que j'ai foutu un vrai bordel dans la caisse. Tant pis, je foutrais quelques billets demain dans le tiroir. Cette discussion et l'envie pressante d'en parler mieux que derrière un téléphone avaient eu raison de ma concentration. Parce que je ne comprenais pas ce qui déconnait. Pourquoi m'avoir chassée sans vraiment le faire, pourquoi m'éviter, et puis finalement accepter de me revoir ?
J'étais persuadée, en sonnant en bas, que j'allais rester là des plombes parce qu'elle dormait et que mes illusions m'avaient encore bercée. Mais non, elle était là, réveillée, sublime, avec son sourire. C'était sympa, comme environnement. Je tombais directement nez à nez avec Prédator, son fameux iguane et j'esquissais un sourire. « Sacré morceau. » dis-je, impressionnée par la taille de la bestiole. C'était pas un petit lézard. Puis je vois la tête de son chat qui se lève quand je m'approche du canapé. Le fameux Alien. Il se rendort directement, puis je me tourne vers la belle blonde. « J'ai ramené ça, du boulot... » dis-je en sortant une bouteille de rhum de mon sac, avec un sourire, avant de la poser sur sa table basse. C'était bizarre, comme ambiance. J'avais envie d'aller vers elle et de fuir à la fois.
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C'était bizarre, de la voir là, elle que je convoitais dans mon fort intérieur, mais la peur panique qui me hante m'empêche de me libérer vraiment, provoque la fuite perpétuelle, la gêne de ne pas savoir quoi faire en sa présence. Tendre uniquement ma joue était le plus simple à faire, on verra plus tard pour le reste. C'est donc ça que ça fait, le désir d'une personne ? L'estomac qui vrille, les pensées qui s'embrument, le sourire accroché, le regard qui dessine la forme globale ? Je tentais de garder le contrôle, parce que c'est la seule chose qui risque de ne pas flancher aussi vite que j'en ai véritablement envie. Inspirer, expirer, recommencer jusqu'à être calmée. Je m'avance dans le salon, juste derrière elle, qui fait enfin la rencontre de mes colocataires animaliers. Je pose mon regard sur Prédator avec un sourire en coin. « Ouais, quand je l'ai eu, il était pas plus gros qu'un cigare. » puis je reposais mes prunelles sur la demoiselle, qui sortait une bouteille de rhum de son sac. C'est pas spécialement l'heure à laquelle je bois du rhum en temps normal, mais bon. « C'est cool, merci. Tu veux un verre ? » demandais-je en me dirigeant vers ma cuisine, en la frôlant lentement. « Sinon, j'ai de la bière. » ajoutais-je, devant elle, mordillant ma lèvre inférieure. Faut que je reprenne mes esprits. Contrôler.
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Quelque chose avait changé. Je ne savais pas si elle avait passé sa soirée à boire ou quoi, mais elle était moins sur la défensive que l'autre soir, ou même lorsqu'on était au téléphone quelques heures avant que je ne parte travailler. J'ai du mal à cerner la demoiselle, mais je n'oublie pas les conseils de notre amie commune. Ne rien brusquer, la laisser venir quand elle veut le faire, et la laisser filer quand elle en a besoin. J'esquissais un sourire en imaginant sa bête immense qui était autrefois miniature. Ca semble tellement loin, quand on voit le mastodonte. Quand je sortais la bouteille de mon sac, je ne pensais pas en boire, c'était juste un cadeau, comme ça, pour pas débarquer les mains vides en plus d'arriver au beau milieu de la nuit. J'haussais les épaules avant qu'elle ne colle lentement à moi. « De la bière, ça me va... » murmurais-je en plantant mon regard dans le sien, avec un sourire en coin. « T'es très belle, ce soir. Enfin, comme toujours. » repris-je alors, en la regardant filer à son frigo.
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Quand les failles s'écartèlent, il est difficile de pouvoir les combler vraiment. Et depuis l'autre soir, j'ai du mal à m'y retrouver dans tout ce bordel qui s'engage dans ma tête. L'armure cède, les blessures remontent à la surface, et le fait d'avoir dû en parler à la séance de thérapie de groupe n'était que le début de ce que j'appelle ma descente dans les abysses de l'enfer. Je perdais le contrôle, totalement, m'enfonçant lentement dans ce que je fuyais le plus. Le lâcher prise est effrayant quand tout ce qu'on connaît, c'est la haine de soi. Donner le change en public et ne pas vouloir croiser son reflet dans un miroir, parce qu'on ne voit jamais ce que les autres voient de nous. Je vois un monstre quand on voit une jolie femme. Je vois mes fêlures quand on voit mon sourire. Je ne vois pas l'amour et la tendresse, mais la destruction qui en découle. Merci pour ces bons moments thérapeutiques, bande de cathos de mes couilles.

Avec Anna, je ne sais pas si je dois me laisser aller ou non. J'en ai envie, elle m'inspire confiance, la chaleur qui me manquait avant, l'envie, le désir, ce genre de choses. Poupée cassée et poupée abîmée, quel duo de folie. Je devrais la faire fuir, la fuir au pire, mais c'est plus fort que moi. Je veux sentir sa chaleur quelques instants, sans en faire plus. Regarder ses iris puis ses lèvres qui m'ont donné chaud. J'esquisse un sourire avant de me poster devant le frigo, souffler un court moment puis de lui tendre la bière qu'elle voulait. « Toi aussi t'es...bien. » Ouais, les compliments, c'est vraiment pas mon truc, je suis au maximum de mes capacités, là. J'ouvrais un soda, pour pas tomber dans un état d'ébriété qui serait malvenu. J'ai besoin de garder encore un peu de prestance. J'attrape sa main et je l'entraîne vers mon canapé, avec un sourire. « Tu paieras pas plus cher si tu t'assois à côté de moi. » dis-je en me jetant dans le fond, ramenant mes jambes contre ma poitrine et posant ma tête sur mes avant-bras, l'observant. « T'aurais pu me dire que ma collègue c'était ton ex. » lançais-je, moqueuse.
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Quand je la regarde, si douce, si belle, j'ai les images qui me reviennent. Ce jeu dangereux auquel on jouait à la plage, la tentation trop grande, le risque de tout perdre, la beauté des gestes, la grâce de ses pas dans le sable, mon regard fixé sur ses courbes arrières -je n'y peux rien, c'était plus fort que moi-, sa voix qui casse quand elle chante, ses lèvres qui venaient trouver les miennes, la fièvre qui monte, son corps qui se découvre, qui s'ouvre dans toute sa beauté. Ces quelques mots tatoués sur son aine, que j'avais embrassés lentement. Un frisson me parcourt alors, discrètement. Le coeur qui bat plus vite à cette proximité qui s'échappe encore. Un léger rire qui s'échappe à son semblant de compliment, quand je me regarde. C'est clair, vachement classe, le débardeur avec la chemise ouverte et le jeans slim troué. La classe à Dallas. « J'suis pas repassée chez moi pour me changer, sinon j'étais pas arrivée. » répondis-je pour plaisanter, en portant le goulot à mes lèvres. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle attrape ma main pour m'embarquer avec elle, mais je m'installais dans le canapé, comme elle le désirait. « Parce que je dois payer pour rester ? » dis-je en souriant doucement. Elle était mignonne, comme ça. Je déposais ma bière sur la table basse et m'installais plus confortablement dans le sofa, pour mieux la regarder, puis ça me cognait de plein fouet. Aoutch. « J'savais pas que mon ex était ta collègue jusqu'à tout à l'heure. J'savais même pas qu'elle avait quitté New-York pour Boston. » dis-je en passant une main dans ma nuque, un peu gênée par la situation. « Puis c'est pas vraiment une ex... » ajoutais-je, amusée, en relevant les yeux vers la belle blonde.
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Elle avait son style et ça lui va comme un gant. Elle est belle avec sa chemise un peu trop grande, son débardeur qui moule parfaitement ses formes. Elle aurait pu venir autrement, les choses me sembleraient aussi belles, et cette pensée m'étonne. J'ai envie de poser mes mains sur sa clavicule, jouer avec les boutons de sa chemise ouverte, jouer avec elle tout court, comme l'autre fois. Un sourire amusé se dessinait sur mes lèvres quand elle avouait ne pas être repassée par chez elle. « T'es très bien comme ça. Te prends pas la tête. » puis je me regardais, en petite tenue, avant de rire. « Toi au moins, t'accueille pas une meuf en culotte. » ajoutais-je alors. Elle me faisait rire, avec sa question. Comme si j'allais lui faire payer sa présence. J'étais pas une pute, et je ne comptais pas le devenir pour de bon. « Normalement non. » répondis-je en souriant doucement, avant de l'observer me répondre sur Aisling. Elle devait pas s'attendre au fait que je sois au courant et que je lui balance ça de but en blanc, et voir sa gêne m'arrachait un sourire satisfait. « Ah ouais, d'accord. Après, c'est ton passé, j'm'en fous. » dis-je en souriant. Je m'en foutais pas vraiment. J'appréciais bien la petite irlandaise, parce qu'elle est bon délire, que c'était une amitié à en devenir. Mais j'aimais vraiment bien Anna, et ça me revenait en pleine face. Plus je passais du temps avec elle et mieux je me sentais. J'attrapais mon soda, avant de bailler. « Bon, tu me parles un peu de ce que t'as foutu ces derniers temps ? » demandais-je avec un sourire, en la regardant.
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Elle ne s'arrêtait pas de me complimenter à sa manière, un peu maladroite. Mais c'était agréable à entendre, venant d'une fille aussi jolie qu'elle. Il faisait bon, chez elle. Mais elle me donnait chaud, dans sa tenue qui n'en est pas vraiment une. Je lutte pour que mon regard ne vienne pas se poser trop bas, ne la déshabille pas si vite. J'enlevais ma chemise, que je trouvais vraiment de trop, qui m'enfermait trop, et je me sentais mieux. La pression baissait d'un cran. « Ah bon, t'es en culotte ? J'avais pas remarqué. » répondis-je avec un air moqueur. Comme si c'était pas le premier truc que j'avais remarqué, sur le pas de la porte. Ces longues jambes dénudées qui laissent rêveuse. Un léger rire s'échappait alors. « Alors j'peux me le permettre. » répondis-je avec un sourire.

Aisling, c'est un sujet épineux à aborder ce soir. Non seulement elle venait de refaire apparition dans ma vie, le genre de truc auquel je ne pouvais pas m'attendre. Puis j'ai appris qu'elle travaillait dans la même boutique que la jolie blonde à la voix rauque, et enfin, on avait prévu de se revoir. Mais ça, je n'allais sûrement pas en parler. C'est le genre de situation inconfortable que j'ai toujours essayé d'éviter. Elle voulait se montrer compréhensive, dire que c'était du passé. « Ouais, j'suis sûre qu'un jour je vais croiser une fille qui fait partie du tien. C'est le hasard. » essayais-je de me convaincre. Le hasard, c'est vraiment de la merde. En la voyant bailler ainsi, je m'en voulais de l'avoir forcée à attendre ma venue. J'ouvrais alors mes bras pour qu'elle vienne s'y blottir. « J'ai bossé, j'ai vendu, j'ai voulu t'écrire, et j'ai dormi. » répondis-je, amusée en posant mes prunelles dans les siennes, avant de sourire. « T'as l'air éclatée, tu veux aller te coucher ? » demandais-je alors, attendrie devant cette poupée si belle, même au naturel.
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Croiser une fille de mon passé, ça me faisait rire. C'est pas le genre de truc dont elles vont se vanter, ça c'est clair. Qui irait se vanter d'avoir fréquenté une fille frigide, abîmée, qui n'offre aucune attention ? Si j'étais à leur place, je ne le ferai pas. Sauf pour la mettre en garde, peut-être. « Qui sait, peut-être que t'en as déjà fréquentées et que tu l'sais pas. J'sais pas avec qui tu traînes, donc j'peux rien confirmer, ni infirmer. » Rien n'est impossible. Elle a l'air d'être le genre de nana qui a vu passé pas mal de petits culs bien moulés dans son lit. Jusqu'à ma collègue de boulot, que je connais à peine et qui vient de débarquer de New-York, faut le faire. Quand elle ouvrait ses bras, j'hésitais un instant à m'y installer. Puis j'ai finalement cédé, parce que c'était bien, la première fois dans ses bras. « Oh, cool. » dis-je en riant doucement. La vie de tout le monde quoi. Surtout la partie vente de drogue. Et moi pendant ce temps-là, je suivais une thérapie, j'ai revu Rosa pour discuter de notre dernière embrouille au Starbucks et j'attendais ce putain de message qui disait que j'étais pas un objet, avec la rage qui grandit et la peur que ça implique dans le fond, d'apprendre que ça ne donnait rien de plus qu'un petit coup comme ça. Et finalement, on est là, ma tête sur sa clavicule, mon bras qui l'entoure. J'étais bien, apaisée. Mes yeux rencontraient les siens, avec le même sourire que le sien, avant que je ne me détache d'elle un instant et lui tend la main pour l'emmener dans ma chambre, sans un mot, puis de m'installer à califourchon sur elle, un sourire provocateur aux lippes. « Tu vas réussir à dormir ? » lançais-je avant d'effleurer ses lèvres, et de m'allonger, comme si de rien n'était.
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