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Unbroken (Azia)

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    Autant d’émotions avaient légèrement déséquilibrée la pauvre Chiara. Elle n’était pas habituée à ressentir autant de choses à la fois, elle se sentait complètement perdue. Sa vie était si simple avant : ses études, ses cours, ses recherches, ses livres… Elle n’avait à se préoccuper de rien, seulement d’avoir les meilleurs résultats et cela lui suffisait. Cet attentat venait tout remettre en question, tout avait changé. Voilà pourquoi elle était si irritée, elle venait de comprendre : sa vie venait d’être bouleversée et elle n’y était préparée. Chiara avait beau être quelqu’un de prévoyant, toute cette histoire lui était tombée sur la tête sans prévenir et elle ne savait pas comment y réagir. Elle n’aurait jamais pensé pouvoir se comporter de manière aussi infecte face à cela, même si elle savait qu’elle n’était pas la fille la plus adorable de ce monde. L’inconnue devait sans doute avoir envie de lui mettre des gifles, Chiara avait tout fait pour et maintenant elle allait subir les conséquentes de sa propre imbécilité. Elle avait beau s’être excusée, elle savait que son comportement était impardonnable et qu’elle méritait ce qui allait lui arriver. Elle espérait juste que son adversaire n’ait pas trop de poigne, Chiara n’étant pas franchement résistante. Mais l’inconnue réagit elle aussi d’une manière inattendue, elle s’éloigna un peu de l’italienne pour aller s’accoter contre un mur. Son visage n’exprimait aucune rancœur, elle avait même l’air compatissante : « C'est vrai que ce n'est pas une excuse mais ça arrive à tout le monde de... de craquer. Et cette période n'est pas facile à traverser alors c'est d'autant plus normal. » Seulement voilà, Chiara ne pensait avoir aucune raison de craquer. Ce qu’elle ressentait était paradoxal : d’un côté elle comprenait enfin la raison de son irritation mais de l’autre elle ne considérait pas cela comme une circonstance atténuante. Des gens avaient perdu tellement plus dans cette catastrophe et s’étaient relevés, les exemples de ce genre étaient légion dans la confrérie jaune. « Je ne sais pas comment vous avez vécu le... l'attentat. Moi, je n'y étais pas, et ça m'a beaucoup bouleversée quand même alors je peux « comprendre » ce que vous ressentez. » Continua l’inconnue. Chiara releva soudain la tête. Ainsi son ex-défouloir était tant la même situation qu’elle. Pouvait-elle pour autant lui avouer son histoire ? Après une petite réflexion, elle considéra que c’était trop risqué, elle avait laissé transparaître que l’attentat l’avait directement touché et se retrouverait fortement humiliée si elle admettait qu’elle avait menti. L’ironie du sort avait visiblement voulu que Chiara ne soit pas punie de sa méchanceté par des tortures physiques mais psychologiques… Peut-être que si elle avait été en possession de toute sa raison l’italienne aurait laissé perdurer le mensonge, mais à cet instant elle se dit finalement qu’elle devait bien ça à son ancienne victime. « Vous savez, je n’étais pas non plus sur le campus quand ça s’est passé. Enfin, si, j’étais chez moi, mais Résidence Hall n’a pas été touché. » Commença-t-elle d’une petite voix sans regarder son interlocutrice dans les yeux. « Mais ça s’est passé si près… Et puis la bibliothèque… Je suis en première année de maîtrise alors sans la bibliothèque je ne peux pas continuer mes études vous comprenez. » Chiara sentait le rouge lui monter aux joues, le rouge de la honte. « Mais ce n’était pas une raison pour me défouler sur vous et j’espère qu’un jour vous pourrez me pardonner. » Là, peut-être qu’elle en faisait un peu trop je vous l’accorde. L’inconnue semblait déjà avoir acceptée ses excuses et prête à passer l’éponge, mais Chiara voulait seulement s’assurer de sa sincérité.
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Azia repensa à ce moment où elle buvait un verre tranquillement en compagnie d'une amie. Elle avait été étonnée de voir que son frère l'appelait en plein milieu de l'après-midi, mais avait décroché, heureuse de pouvoir lui parler. Quelle n'avait pas été sa surprise lorsqu'elle avait entendu la voix paniquée, soucieuse de savoir si elle était en bonne santé, si elle n'était pas trop choquée. C'est lui qui lui avait appris pour l'attentat alors qu'elle était plus près d'Harvard que lui. Elle s'était sentie ridicule et étrangement démunie, incapable de savoir quelle était la bonne réaction à avoir. Elle avait simplement couru, pris un taxi pour se rendre à l'université. Azia n'était pas spécialement courageuse, mais savoir que les personnes qu'elle aimait été en danger ou pire l'avait horrifiée au point de la pousser à se rendre sur les lieux alors que le psychopathe n'était peut-être pas encore parti. Puis ç'avait été les allers-retours incessants. Loft-hôpital, hôpital-loft. Elle avait évité Harvard de longs jours après cela, et venait juste de s'y rendre pour voir les dégâts. Elle s'était rendue compte qu'elle était bien plus attachée à ces lieux qu'elle ne l'avait imaginé, après tout ils avaient été le théâtre de nombreuses rencontres et de bons moments. Elle était fière d'y étudier et d'autant plus fière de faire parti des Eliot. Après l'attentat, elle n'avait plus vu sa confrérie du même œil. Ils s'étaient soutenus les uns les autres, et ça, elle ne l'oublierait jamais. Les Eliot était sa nouvelle famille.

« Vous savez, je n’étais pas non plus sur le campus quand ça s’est passé. Enfin, si, j’étais chez moi, mais Résidence Hall n’a pas été touché. » Azia remarqua que la jeune femme ne la regardait pas. Avait-elle honte? Azia avait l'impression d'avoir affaire à deux personnes différentes. D'un côté, la première attitude, plutôt négative, de l'inconnue. De l'autre, son air honteux, désarçonné. Il n'y avait pourtant aucune raison d'avoir honte, aucune d'elles deux ne l'avait pas vécu et pourtant elles n'en étaient pas moins touchées. « Mais ça s’est passé si près… Et puis la bibliothèque… Je suis en première année de maîtrise alors sans la bibliothèque je ne peux pas continuer mes études vous comprenez. » Azia hocha la tête, compréhensive. C'était comme si on lui enlevait son ordinateur, elle en deviendrait sûrement folle. A tous les coups, cette fille était une Dunster, donc elle faisait partie des têtes du campus. Azia comprenait très bien. « Mais ce n’était pas une raison pour me défouler sur vous et j’espère qu’un jour vous pourrez me pardonner. » Azaria appréciait sa sincérité et son souci de se faire pardonner. Elle n'avait pas un si mauvais fond, finalement. Et puis, comme on dit, il n'y a que les cons qui ne change pas d'avis, et Azia n'était pas du genre à ranger les gens dans une case – enfin, c'est comme tout : ça dépend. Je n'étais pas loin non plus, et c'est une véritable épreuve à traverser, commença Azaria, vous êtes déjà pardonnée, je ne vous comprends que trop bien pour vous en vouloir. Elle remit une mèche de cheveux en place. Et puis, ajouta-t-elle avec un clin d'oeil complice, parfois ça fait du bien de se défouler un peu!

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    « Je n'étais pas loin non plus, et c'est une véritable épreuve à traverser. » La réponse de l’inconnue marqua pour Chiara le temps de faire le point. Maintenant qu’elle avait retrouvé son calme et était apte à réfléchir sans se laisser influencer par ses émotions, elle pouvait commencer à penser à ce qu’elle allait faire à présent. Traverser cette épreuve… Chiara n’en demandait pas moins, mais pas où commencer ? Elle n’avait jamais fait face à un tel traumatisme. Peut-être son histoire avec son professeur de lycée, mais à cette époque elle avait été touchée dans sa fierté et avait pris une revanche magistrale en étant acceptée à Harvard. Cette fois-ci les choses étaient différentes, toute débrouillarde qu’elle était Chiara ne pouvait pas reconstruire la bibliothèque et reconstituer les livres perdus. Puis elle réalisa qu’il lui fallait du temps. Elle avait bien essayé quelques minutes auparavant de se ressaisir mais le résultat avait été catastrophique car elle avait tenté de forcer les choses. Il ne fallait pas se précipiter, elle devait faire les choses à son rythme, en parler peut-être avec des personnes de confiance, et ensuite seulement elle pourrait surmonter sa tristesse. Pendant qu’elle réfléchissait, son interlocutrice continuait de la rassurer sur sa pensée : « Vous êtes déjà pardonnée, je ne vous comprends que trop bien pour vous en vouloir. » Chiara prenait peu à peu conscience qu’elle n’était pas la seule touchée par ce drame. Tout le monde l’était, à des degrés différents certes mais tout le monde portait la même douleur et avait besoin de temps et de réconfort. « Et puis, parfois ça fait du bien de se défouler un peu! » termina la jeune inconnue avec un clin d’œil. Chiara ne put s’empêcher de lâcher un petit sourire. D’ordinaire quand elle était irritée elle se calmait par d’autres moyens, en prenant un bon bain ou en se plongeant dans un de ses romans favoris par exemple. Mais là encore les circonstances n’étaient pas les mêmes et les réactions étaient forcément différentes. L’italienne releva alors la tête vers son interlocutrice : « Vous êtes gentille. » Elle le pensait réellement. Cette fille n’était pas mauvaise, pas plus que Chiara, elles traversaient juste toutes les deux une phase difficile. « Frappez-moi si vous le voulez mais ça m’a fait du bien de vous crier dessus, et ensuite de vous parler. J’espère qu’à l’avenir nous pourrons discuter plus calmement. » La jeune femme sentait que l’échange touchait à sa fin, à présent elles avaient toutes deux besoin de faire un bout de chemin seule. Mais il y avait une dernière chose qu’elle désirait savoir : « Au fait, vous avez un nom ? Parce que je trouve que c’est extrêmement impoli d’agresser les gens sans connaître leur prénom » ajouta-t-elle en essayant de faire de l’humour à sa façon.
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La relation entre l’inconnue et Azia semblait être devenue un peu plus normale ; ce qui soulagea la jeune femme. Elle détestait s’énerver, elle était nulle pour ça et pouvait devenir très méchante sous ses airs de jeune femme adorable. En fait, quand on la mettait en colère, il lui arrivait de réagir en véritable petite fillette à son papa : elle allait se plaindre à ses parents, qui réglaient le problème. Ainsi, avant l’université, n’importe qui ne l’approchait pas mais elle avait tout de même des amis fidèles. Et puis, elle ne se sentait jamais seule, son frère n’était jamais loin et gardait un œil sur elle. Et si elle avait toujours été indépendante, par certains côtés, elle avait trouver étrange de se retrouver à Harvard sans sa famille pour surveiller ses arrières et réparer ses bêtises. Elle qui rêvait de pouvoir prendre ses décisions elle-même avait un peu déchanter - juste un peu. « Vous êtes gentille. » Azia haussa les épaules. Elle n’avait pas été spécialement gentille, juste elle-même. Mais effectivement, elle avait un bon fond, malgré certaines parts d’elle un peu plus « sombres ». Et puis s’énerver sur les gens blessés ne servait strictement à rien, et on voyait à des kilomètres que Chiara n’allait pas spécialement bien. Si elle s’était montrée froide et désagréable, c’était pour masquer ce qu’elle ressentait vraiment ; du moins selon Azia. « Frappez-moi si vous le voulez mais ça m’a fait du bien de vous crier dessus, et ensuite de vous parler. J’espère qu’à l’avenir nous pourrons discuter plus calmement. » Azia rit de bon cœur. Bientôt cette petit « dispute » ne serait plus qu’un souvenir - dont elle rigolerait peut-être toutes les deux, qui sait? La belle Carlson l’espérait. Mais non je ne vais pas vous frapper, j’ai à peu près la force d’une mouche… répondit Azia en riant, et puis j’suis plutôt pacifique comme personne! En tous cas ça me ferait plaisir d’avoir l’occasion de parler avec vous à nouveau, dans de meilleures circonstances, ajouta la jeune femme. Azia allait tourner les talons pour rentrer chez elle se pelotonner dans son lit - toutes ces émotions lui donnaient envie de se carapater un peu chez elle pour réfléchir - lorsque la jeune femme lui posa une dernière question. « Au fait, vous avez un nom ? Parce que je trouve que c’est extrêmement impoli d’agresser les gens sans connaître leur prénom » Effectivement, très impoli, fit-elle en hochant la tête d’un air grave. Azria Carlson, mais je préfère Azia, se présenta-t-elle, et vous?

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    Chiara se savait mal aimée par la plupart des élèves. Il faut dire qu’elle n’avait pas grand-chose pour attirer les foules avec son caractère épouvantable, elle était facilement irritable et n’hésitait pas à piquer la fierté de ceux qui lui cherchaient des noises. Aussi fut-elle étonnée de la gentillesse dont faisait preuve la fille qu’elle avait agressé : « Mais non je ne vais pas vous frapper, j’ai à peu près la force d’une mouche… » Chiara ne parvint pas à retenir un petit éclat de rire. Sur ce point là elles étaient pareilles, peut-être un signe de plus prouvant qu’elles étaient faites pour s’entendre. Depuis que les deux filles avaient cessé de se crier mutuellement dessus et qu’elles avaient livré leur véritable ressenti, Chiara pensait de plus en plus qu’une conversation au calme avec cette fille ne pourrait pas être inintéressante. Et apparemment son interlocutrice pensait la même chose : « Et puis j’suis plutôt pacifique comme personne! En tous cas ça me ferait plaisir d’avoir l’occasion de parler avec vous à nouveau, dans de meilleures circonstances » Le sourire de l’italienne s’élargit. Elle qui considérait cette inconnue comme la pire peste de l’univers quelques minutes plus tôt, elle lui semblait désormais être quelqu’un de vraiment sympathique et intéressant. Qui sait, peut-être qu’elles pourraient devenir de bonnes connaissances – Chiara n’utilisait jamais le terme d’ami, elle pensait que cela correspondait à une relation bien plus poussée que le lien qu’elle entretenait avec ses connaissances de l’université, même si ces derniers temps Sateen commençait à se rapproche de ce que Chiara appelait une amie. L’inconnue déclina ensuite son identité avant de demander à la sienne à son interlocutrice : « Azaria Carlson, mais je préfère Azia. » Azaria… Ça sonnait italien, amusante coïncidence pensa Chiara, même s’il y avait de fortes chances pour que ce nom n’est rien à voir avec sa terre natale. « Et moi c’est Chiara Giovanni, enchantée. » répondit la sicilienne. Elle avait pris l’habitude de donner le nom de sa mère depuis qu’elle était arrivée aux Etats-Unis afin de bien signifier ses origines. Ses parents n’étaient pas mariés, c’est pourquoi elle portait leurs deux noms de famille. Un héritage dont elle était fière en Sicile, mais plus dur à porter en terre anglophone où elle voulait se démarquer des autres. Chiara fixa sa nouvelle connaissance dans les yeux et lui sourit sincèrement : « Eh bien, Azia, j’espère aussi qu’on aura d’autres occasions de discuter car vous êtes quelqu’un d’appréciable. Notre altercation m’a fait réaliser plusieurs choses et je vous en remercie, même si ça n’a pas vraiment bien commencé. Mais pour le moment j’ai besoin de rester seule. » Elle ne savait pas trop comment conclure cet échange, alors elle se contenta de faire un signe de la main à Azia en souriant timidement : « Bon ben… à plus ! » Sur ce, elle cala sa sacoche sur son épaule et tourna les talons en direction de Residence Hall. Chiara n’avait plus rien à faire ici pour le moment et elle avait vraiment besoin de réfléchir au calme. Sa rencontre… frappante, avec cette Azia l’avait indirectement aidée à faire face à son traumatisme, mais le reste c’était à elle et elle seule de le faire. Un nouveau sourire se dessina à son insu sur son visage. Toute cette histoire l’avait apaisée et elle se sentait plus forte que jamais. Du moins, jusqu’à la prochaine personne qui lui rentrerait dedans.
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L'échange entre Azia et la brune touchait à sa fin. Toutes les deux allaient pouvoir réfléchir sur les événements passés et sur leurs comportements aussi. Le voyage en Thaïlande arrivait bientôt ; Azia avait hâte. Cela allait remettre tout le monde d'aplomb. Fini les jours tristes et les gros soucis. Ils auraient deux semaines de vacances, la mer, l'hôtel, les visites, la chaleur... ce serait forcément bénéfique. Du moins la jeune femme le souhaitait de tout son cœur. Le bonheur s'était fait chassé du campus, et même si les petites habitudes revenaient doucement, ce n'était pas encore ça. « Et moi c’est Chiara Giovanni, enchantée. » Chiara Giovanni. Une italienne, il n'y avait pas de doute possible. Pourtant elle n'avait pas le physique qui l'indiquait. Peut-être avait-elle seulement des origines, comme Azia. Cette dernière était très fière de pouvoir dire que sa mère venait d'Italie. Et puis elle se sentait vraiment chez elle dans ce pays. Enfant, elle passait la plupart de ses vacances scolaires à Rome, chez ses grands-parents. L'ambiance était bien différente de celle de New-York et une petite pause loin de la grosse pomme, histoire de souffler un peu, faisait toujours du bien à la petite fille. Puis elle avait grandi et s'y était rendue un peu moins souvent. « Eh bien, Azia, j’espère aussi qu’on aura d’autres occasions de discuter car vous êtes quelqu’un d’appréciable. Notre altercation m’a fait réaliser plusieurs choses et je vous en remercie, même si ça n’a pas vraiment bien commencé. Mais pour le moment j’ai besoin de rester seule. » Azaria apprécia beaucoup la franchise de Chiara. Finalement, et bien qu'elle ne l'aurait pas cru au début de leur échange pour le moins mouvementé, elle était contente d'être tombée sur cette jeune femme, et espérait bien avoir l'occasion de parler de nouveau avec elle. Et de prendre de ses nouvelles. Eh bien je vous retourne le compliment! Et je comprends tout à fait, cependant n'hésitez pas si vous avez besoin de discuter, un jour. Je crois que cette conversation nous aura fait prendre conscience que nous ne sommes pas si différentes, répondit-elle en souriant sincèrement. Elle imita Chiara en faisant elle aussi un geste de la main. Bonne fin de journée! Azia décida de rentrer chez elle. Elle avait besoin de se retrouver un peu seule aussi pour le moment, pas seulement pour réfléchir, penser à ce qui s'était passé, mais aussi pour se retrouver un peu. Elle cherchait beaucoup à voir du monde, pour ne pas s'exclure... mais s'isoler le temps d'une soirée ne veut pas dire s'exclure. Simplement prendre du temps pour soi. C'est humain, non? Cette rencontre avec Chiara avait été étonnante, inattendue, mais agréable. Et utile.

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