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Love like you'll never be hurt (tallesca)

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T'es perplexe Tallev. Tu ne sais pas quoi penser de la proposition de cet homme. Tu ne t'y attendais tellement pas. En même temps, personne n'aurait pu prévoir un coup pareil. Signer les deux noms ? C'est une solution ouais ... Tallev Moseley-Graham, ça fait bizarre sérieux. Entre nous, je ne sais pas si mon père accepterait de me reconnaître. Pas 27 ans après quoi. Ou alors il a une idée derrière la tête. Il m'appelle souvent en ce moment, il s'intéresse à ma vie et je trouve ça étrange. Genre il en a rien eu à carrer de ma gueule et voilà que maintenant il veut savoir ce qui se passe dane ma vie, dis-tu, pas très serein. C'est vraiment que tu as confiance en Francesca, sinon tu ne lui parlerais pas de ton père. C'est un sujet un peu tabou chez-toi. Mais bizarrement là, tu as envie d'en discuter avec elle et d'avoir son avis. Ma propre agence d'édition ? Dis pas n'importe quoi. J'ai aucune connaissance dans ce domaine mais j'avoue que ça serait cool, que tu réponds en rigolant. Je ne sais pas du tout quoi faire et je pense qu'il va me falloir quelques jours pour que je prenne une décision. Je ne sais pas si je dois en parler à ma mère ou pas. T'es plein de doutes Tallev. Bourré de questions qui n'ont pas encore de réponse. Tu rigoles en constatant que la musique change et qu'elle est nettement plus rythmée que la précédente. Ça fait déjà une minute trente deux ? t'amuses-tu à dire en la lâchant. Toujours partante pour qu'on aille explorer les salles de cours vides ? demandes-tu au creux de son oreille. Tu lui prends sa main et ensemble vous quittez la piste de danse. Tu passes par la petite porte de derrière, attisant quelques regards sur vous. Pour l'instant ça va, ça te faire rire. Vous arrivez dans les couloirs. Maintenant faut trouver une salle d'ouverte. J'ai rien pour crocheter les serrures sur moi lances-tu en rigolant. A moins qu'elle ait une pince dans ses cheveux, ça pourrait éventuellement le faire.

w/ @Francesca De M-Borbón
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C’était une très belle opportunité pour Tallev, jusqu’à ce son père vienne y pointer le bout de son nez. "Signer des deux noms est une solution...Eh bien ne le lui laisse pas le choix Tal ! C’est ça, ou tu signes simplement Moseley, qu’il soit content ou non !  Une idée derrière la tête ? Laquelle à ton avis ? Qu’est-ce qui pourrait le pousser à faire ça ? L’argent que tu pourrais gagner ?", ça serait vraiment cruel de faire ça, et ça me donnerait encore plus envie de lui rendre visite pour lui mettre mon talon où je pense. "Ce n’est pas une idée si bête que ça ! On peut se renseigner, les professeurs peuvent peut-être nous aider...", je lui réponds tout en haussant les épaules. Continuant de danser tout contre lui, je joue avec le bijoux qu’il m’a offert. Doit-il le dire à sa mère ? Question assez délicate vu la situation de sa famille. "Je te dirais bien que vu son état ce n’est peut-être pas le bon moment...mais je pense aussi qu’elle deviendrait folle de savoir que tu lui as caché...". Je ne connais pas sa mère, mais ils ont l’air très proches. J’essaye donc de me mettre à sa place et voir comment elle pourrait réfléchir face à une telle nouvelle. Lorsque je retrouve mes esprits, je remarque que la chanson vient de changer. "Le temps passe vite quand on est en bonne compagnie", je répond en riant, alors que nous quittons la piste de danse main dans la main. Dans le couloir, je regarde à travers des portes, voir s’il n’y a personne tout en essayant d’ouvrir la porte. "Oulalalala non pas celle-là, ils sont entrain d’inventer une position". Vision d’horreur, je crois que je suis entrain de perdre la vue. J’avance ensuite plus loin pour rejoindre Tallev, trifouillant dans mes cheveux. [color=#c92323]"Tiens, essaye avec cette petite pince !". Je le laisse faire et quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre. J’entre après lui, fermant la porte à clé et baissant aussi le petit store de la vitre. J’ai pas vraiment envie qu’on puisse nous voir.  

w/ @Tallev Moseley
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Tu secoues la tête, toute cette histoire te semble tellement dérisoire. Tellement incompréhensible. Tes épaules se haussent de dépit. J'en sais rien du tout, je ne pense pas que ce soit à cause de l'argent. Il en a plein, il est blindé de fric, il doit avoir une autre motivation derrière. Peut-être qu'il va bientôt mourir et il veut voir ce que ça fait d'avoir un fils, balances-tu, pas content. Vous continuez de discuter de ce sujet encore quelques instants. Tu ne sais pas si tu dois l'annoncer à ta mère. Francesca a raison, tu ne dois pas lui dire tout de suite, surtout pas vu son état de santé. Et puis la musique s'arrête. Vous vous éclipsez de la piste de danse avec grand plaisir. T'as retrouvé le sourire Tallev. Tu fronces les sourcils en entendant sa remarque. Sérieux ? On est pas les seuls à avoir eu cette idée là à ce que je vois, réponds-tu en rigolant. Tu continues dans le couloir, t'es vite rattrapé par ta copine qui te propose une pince pour ouvrir la porte. Bonne idée. Appelles-moi McGiver princesse, admires le travail, déconnes-tu en trifouillant à la serrure pour ensuite entendre le bruit de déverrouillage. Tu ouvres la porte fièrement. Je suis trop fort, après vous mademoiselle. Tu la laisses passer en premier et tu refermes la porte derrière toi. Francesca s'occupe de fermer le store et certainement de verrouiller la porte. Tu te tournes vers elle. Tu peux pas attendre. T'es affamé ce soir Tallev. Tu te rapproches d'elle doucement, l'obligeant à reculer contre la porte. T'es tellement belle.. murmures-tu en glissant ta main dans son cou pour l'embrasser. Elle te rend fou. Complètement dingue. La bouche scotchée à la sienne, tu enlèves ta veste et la laisse tomber un peu plus loin. Ça va être la misère pour enlever tout ça, t'amuses-tu à dire en faisant référence à sa robe et à ton costume.
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@Tallev Moseley & Frankie

Love like you'll never be hurt

"Hm, c'est bizarre quand même cette histoire". Qu'il soit entrain de mourir ou pas, il n'a clairement aucun droit d'agir ainsi, surtout pas envers son fils. Enfin, ce qui est sûr, c'est que pour le moment, il ne vaut mieux rien dire à sa mère. Elle mérite de le savoir, mais quand elle ira mieux, pas maintenant. On finit par s'éclipser du gymnase, direction les couloirs du campus, à le recherche d'une salle de cours libre. On cherche, puis lorsque je pense en trouver une, c'est plutôt un couple en avance sur nous que je vois. "Visiblement, on a tenu plus longtemps qu'eux", je ris, alors que je le rejoins à une porte. Je lui passe une petite pince de mes cheveux, mais en même pas deux minutes, Tallev réussit à nous ouvrir la porte. Je ris quand il est fier de lui, fier d'avoir réussi à ouvrir la porte seulement à l'aide d'une pince. Nous entrons dans la salle, puis nous prenons toutes les précautions possibles pour qu'on ne puisse pas nous voir. Lorsque je me retourne, Tallev vient à moi, mon corps rentre alors en contact avec la porte. Je souris à son compliment, et comme toujours, mes joues deviennent rouge. Sa main dans mon cou, nos lèvres se retrouvent à nouveau. Je l'aide à retirer sa veste et commence à défaire les boutons de sa chemise. Je l'aurais bien arrachée, mais pas pratique si on retourne ensuite au gymnase. "Tu crois ? Pour ma part, ça n'a pas l'air compliqué....", je lui répond en plongeant mon regard dans le sien, mordillant ma lèvre inférieur, tandis que mes mains s'occupent de défaire sa ceinture. Son pantalon en moins et sa chemise en moins, je me retourne, posant les mains contre la porte. "Tu as juste à descendre le zip et défaire les deux petits boutons sur le côté des manches", je le guide, tout en tournant légèrement mon visage pour le regarder. Qu'est-ce qu'il est beau. Il est mien, je suis sienne. Je ne pourrais pas rêver mieux. Tallev est doux, intelligent, beau et il prend soin de moi.
AVENGEDINCHAINS
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T'arrives à ouvrir la porte à l'aise de la pince à cheveux de ta copine. T'as un don Tallev. Disons que t'as un passé un peu compliqué dans le Bronx. C'est déjà un miracle que tu n'aies pas mal fini, vendeur de drogue ou dans un gang. Tu connais quelques combines c'est vrai. On pourrait te donner le bon dieu sans confession mais t'as déjà fait des choses pas très nettes. Comme par exemple entrer par effraction un peu partout. Tu renoues un peu avec ton passé et ça te fait du bien. Parfois tu te demandes ce que tu fous là, à Harvard et avec une princesse comme copine. C'est pas ton monde. C'est pas dans ce genre d'environnement que tu te sens bien mais bon, t'es piqué par cette jolie brune. Tu ferais n'importe quoi pour elle. Tu entres dans la salle et tu n'attends pas longtemps pour te rapprocher d'elle. Elle t'a chauffé tout à l'heure en te parlant de ses sous-vêtements. Tu n'as plus envie d'attendre, tu veux la faire tienne encore et encore. Tu l'embrasses langoureusement. Tu ne lui laisses pas l'occasion de respirer, tu te colles à elle et laisses la passion te dévorer.



w/ @Francesca De M-Borbón
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