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Lezy - My thoughts are messy

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★ ─ w/@Levi Fairchild :heaart:

Mes yeux, rivés sur la scène, qui détaillaient ta silhouette un instant, qui s’arrêtaient sur les traits de ton visage, légèrement déroutée par ta beauté. T’étais quelqu’un. Les premières secondes, j’étais inattentive, captivée par ta prestance, sans m’attarder sur le début de la mélodie. En outre ta carrure et tes traits attrayants, je me laissais finalement complètement emportée, par ta voix, par le choix instrumental et la mélodie. Une fois ta prestation finie, je me levais, tapant les paumes de mes mains l’une contre l'autre, ravie du spectacle avant de te faire un mouvement de tête pour t’inviter à te joindre à moi, à une table. « C’était parfait, incroyable même. » Que je soufflais quand tu t’installais face à moi. « Merci pour la prestation. » Et pour le spectacle aussi agréable pour mes oreilles et pour mes yeux. Mes pensées n’avaient rien de professionnelle et rarement elles l’étaient, mais j’essayais, du mieux que je le pouvais de respecter certaines limites. « Tu veux boire quelque chose ? Un cocktail, un verre de whisky ou de rhum ? Ou même un soft ? » Et je n’étais pas spécialement à l’aise dans mon rôle de dirigeante, encore fébrile à l’idée de prendre les mauvaise décision d’un bar qui n’était de base pas mon projet, mais que j’avais appris à aimer à mesure de m’en occuper. « Alors tu t’es senti comment sur scène ? » L’ambiance, le lieu, ça te plaisait au moins ?


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★ ─ w/@Izzy Bulger :heaart:

le nephilim. t'en entends parler depuis un bon moment. il a ouvert il y a quelques mois et c'est vrai que t'as toujours eu envie d'aller y jeter un oeil. dernièrement t'avais un contrat avec un bar pas loin de l'université, donc pas l'occasion d'y passer parce que quand tu poses ta guitare, repousse le micro, c'est ta tenue de 'super papa' que t'enfiles... en gros, pas un moment à toi. ton contrat terminé à l'autre, bar t'es tombé entre temps sur l'annonce du nephilim. ils cherchaient un peu de tout, mais pas de musicos. t'as donc proposé tes services à la proprio de la boîte, izzy. rendez-vous convenu le lendemain soir. et comme t'as la meilleure des voisines et aussi maman d'une petite à la même école que yeri, tu lui a demandé à ce qu'elle te gardes la petite pour la soirée. évidemment, elle n'a pas refusée. au contraire. arrivé quelques minutes en avance, parce que t's du genre très ponctuel. tu rigoles pas avec les rendez-vous pour du taff. si t'as pas de taff, tu peux pas faire vivre yeri aussi aisément que tu le voudrais et ça c'est juste impossible à imaginer. t'as le trac, légèrement. parce que t'as quand même l'habitude à force d'être 'jugé'. tu donnes tout c'que t'as. comme à chaque représentation. dans ta tête, il n'y a pas que izzy à charmer là, il y a toute une foule. et il faut dire que l'ambiance que dégage cette boîte, te donnes encore plus envie d'y jouer. elle te félicite pour ta prestation. tu la remercies d'un léger signe de tête, sourire léger au coin de tes lèvres. en la rejoignant à une table après avoir posé délicatement ta guitare contre la chaise placée sur scène. elle a l'air vraiment cool comme patronne. pas du genre à se prendre la tête, mais ce n'est qu'une première impression. première impression très agréable en tout cas. puis, elle te proposes de boire un coup. rhu... rhum ? elle te prends par les sentiments là. toi et le rhum c'est une grande d'amour. t'as toutes sortes de rhum dans ton petit bar chez toi. yeri, attendra un peu. et puis, elle est chez sa copine donc... pas de risque qu'elle t'attende en chouinant ah, j'dis jamais non pour un p'tit rhum. t'as quoi à me proposer ? que tu dis tout en regardant les alcools présents sur l'étagère du bar, un sourcil haussé. et en plus ça fait le difficile. premières impressions sur scène ? mains dans les poches, tu caches pas ton enthousiasme, en regardant autour de toi au top ! si ça va pour toi, ça m'va aussi. après faut voir niveau paye et planning, mais sans parler de ça, moi j'suis au taquet. sourire enjoué en tapotant sur la table. pas trop chaud de gérer un endroit comme ça ? et non, tu disais pas ça parce qu'izzy était une femme, mais parce que toi tu sais pas si tu serais capable de ça en vrai. quoi que recruter des musicos, pourquoi pas, c'est cool de recruter des gens pour animer les soirées, mais le reste... nope. pas pour toi.

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★ ─ w/@Levi Fairchild :heaart:

De tes doigts qui glissaient contre les cordes, de la mélodie qui émanaient de tes gestes, à ta voix sortie avec justesse derrière ton visage d’ange, je ne pouvais que capituler. Tu méritais de te faire connaître, autant ta beauté pouvait subjuguer, autant ton talent mettait tous les clients de la salle, d’accord. Je n’étais personne pour juger ton travail, j’en étais consciente, d’autant plus que je n’étais pas du milieu, mais j’avais observé suffisamment les réactions du public pour comprendre la plus-value que tu pouvais ajouter à mon projet. J’en étais certaine, t’allais conquérir bien plus que tu ne pouvais te l’imaginer. Le temps de terminer ta représentation, je me demandais comment se faisait-il que tu n’aies toujours pas signé quelque part ? T’avais la gueule de l’emploi, le physique qui se devinait attrayant sous le tissu, mais mieux encore, la voix pour. Levant les yeux au ciel pour retrouver mes esprits après t’avoir chaleureusement remercié de ta prestation par des applaudissements et des grands sourires, je finissais par te convier à me rejoindre, dans un carré, à l’écart. Comme l’annonce le montrait, je n’étais pas comme les autres, je ne cherchais pas à prétendre être une autre, alors mon poste de dirigeante, j’le foutais la plupart du temps au placard. « Tu marques un point de plus, le rhum s'est sacré pour moi. » Mon préférée avant le bourbon. Ta tête tournée pour contempler le bar, j’en profitais pour me relever et faire signe au barman. « Tu peux prendre la bouteille dans mon bureau s’il te plaît ? » Pas besoin de donner plus d’explication pour qu’il comprenne. « Je n’ai pas l’intention de te laisser filer pour que t’aille jouer pour l’un de mes concurrents. » Mais pour le coup, il y avait un temps pour tout et si j’étais de base très arrangeante, j’étais en plus prête à négocier pour t’avoir. « Mais avant ça… » Que je soufflais en voyant le barman arriver. « On doit célébrer ta première ici. » Parce que dans ma tête, tout était déjà acté. « Pour répondre à ta question… Ça l’était au début, quand mon frère est parti vers d’autres horizons, mais à force de débrouille j’ai compris tous les rouages du métier. Puis j’ai une belle équipe, sans eux, je n’en serais pas là. » A l’image d’une grande bande de pote. Je me redressais un peu, ôtais du carton la bouteille de rhum pour te la présenter. « Un Bally brut de fut de 17 ans d’âge. » J’attrapais les verres, laissant couler lé liquide à l’intérieur avant de t’en tendre un. « A la nôtre. » Disais-je en trinquant mon verre contre le tien, laissant rouler mon verre contre mes lèvres en attendant ta réaction, puis à mon tour y gouter. « Alors ? »


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la musique, c'est toute ta vie. après yeri, évidemment, mais est ce que c'est vraiment utile de le préciser ça ? quand on te connait, on sait pertinemment, que TOUT, absolument TOUT, passe après yeri. donc oui, passionné de musique depuis ton plus jeune âge. passionné principalement de guitare, surtout de jazz. t'en a une spéciale, qui t'as coûté un bras. mais ce soir c'est avec ta guitare classique, ton côté charmeur et le bagout qui va suivre qui va t'aider à décrocher ce job en leur en mettant plein les oreilles, mais pas trop fort, jamais trop fort, mais aussi plein la vue. parce que la musique, ça s'écoute, on est d'accord, mais l'apparence, c'est super important pour toi. toujours bien sapé, propre sur toi. tu fais attention au moindre détail concernant ton physique levi. sourire satisfait aux lèvres, tandis que ton regard se concentre sur l'étagère du bar. on dirait que tu marques un bon point avec le rhum d'ailleurs. et franchement ? c'est MÊME pas fait exprès. t'es pas du genre à t'inventer des goûts pour faire plaisir aux gens ou pour que ça t'apportes des trucs, loin de là. c'est juste que là, putain, bah ça tombe bien. tu tapotes sur la table en collant ton dos contre le dossier de la chaise, puis prends un air super étonné quand elle demande à ce qu'on lui ramène sa bouteille, de rhum du coup, qu'il y a dans son bureau. et là... tu te sens presque important. elle fait ça avec tous ses employés ? trop cool cette izzy ah ouais... bah j'vois ça. j'ai droit au rhum perso de la patronne; tu m'en vois honnoré. moue fièrement qui se dessine sur tes lippes. héhé, c'est peut-être pour mieux t’appâter ? et pourtant, t'as quand même bien en tête de négocier des soirs par semaine, tout ça. en fonction de ta fille quoi. mais l'heure est à la fête apparemment et toi t'as juste une seule envie, c'est de goûter son rhum qui va, sans aucun doute, envoyer du pâté. elle t'explique comment c'est de gérer cet endroit, et franchement, tu lui tires ton chapeau. tu sais pas quel âge elle a, mais elle a doit pas être plus vieille que toi si l'équipe est cool et que vous êtes tous soudés, ça aide ouais. t'as hâte de rencontrer les autres d'ailleurs. t'es du genre assez sociable, surtout dans ton taff. c'est mieux de bosser avec des gens qu'on apprécie vous faites des soirées entre vous ? patrons/employés ? intéressants à savoir ça aussi. enfin bref, toi t'es curieux, t'es du genre à poser un peu toutes sortes de questions. et là... elle déballe la bouteille de rhum et toi qui achète toujours le rhum le moins cher de l'épicerie en bas de chez toi, t'es en mode bug complet. main qui se porte à ta bouche, tu fixes la bouteille et te redresses à ton tour parce que bon, quand on boit une bouteille de cette qualité, on s'tient bien levi. deux verres servit, t'en prends un, trempe tes lèvres dans l'alcool, passe le bout de ta  langue sur tes lèvres histoire d'avoir un premier aperçu gustatif. wow. grosse claque. tu bois une légère gorgée, puis regarde ton verre ah bah.... c'est pas le rhum que j'achète chez jojo en bas d'chez moi hein. 'fin, c'est pas non plus le même prix. je dirige pas une boîte moi. sourire amusé, tu poses ton verre sur la table, puis poursuis en braquant ton regard sur elle, après l'avoir observée quelques secondes et t'as quel âge ? t'as l'air hyper jeune. et allez, bam. t'étais pas capable d'attendre au moins de la voir la prochaine fois pour lui demander son âge. bah non. toutes les questions qui te passent par la tête, tu les poses, voilà. normal. puis c'est quoi ce soucis avec l'âge ? t'as jamais compris toi.

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Un part de moi, se sentait privilégier d’avoir autant de responsabilités, quand l’autre était tiraillé à l’idée de pouvoir emmètre certains refus. Dans ton cas, je te voulais et j’étais prête à user du charme autant pour te booker ici, que pour avoir tes beaux yeux. Je savais pourtant que ce n’était pas bien de mélanger travail et plaisir, mais je n'étais pas une patronne comme les autres, tout était une question de feeling et pour le coup, tu m’avais transmis bien plus de sensation par ta prestation sur scène que certaines personnes qu’étaient passé dans mon lit. Un geste au barman pour lui demander ma bouteille et j’ancrais à nouveau mon regard azur, dans l’ébène du tien. Sacré contraste, mais il semblait tout aussi perçant que le mien. Petit sourire à ta remarque, sans pour autant prendre la peine d’en ajouter plus, mes avances se devaient d’être subtiles, sous peine de faire des jaloux. Je savais qu’on allait devoir parler business, organisation, salaire, mais pour le coup, je préférais cent fois le faire sous l’effet de l’alcool, qu’une simple discussion barbante. Je n’avais pas l’intention d’te rouler, mais ça tu ne pouvais pas tellement le savoir que je préférais la qualité, quitte à devoir faire le couteau suisse en prenant le rôle de barmaid, comme de danseuse, pour assurer des salaires plus que convenable à ceux qui bossaient ici. Le monde de la nuit avait suffisamment de contrainte et souhaitais que le salaire que je donnais suffisait pour ne pas avoir à prendre un autre job à côté. M’bref, tu me questionnais sur la gestion du lieu et j’essayais d’être la plus concise possible dans ma réponse, sans te voir fuir face à mon manque d’expérience. « Je suis consciente que je peux avoir certaines lacunes, n’ayant aucun diplôme, alors j’essaye de palier à tout ça grâce à mon énergie et j’ai l’impression que je m’en sors plutôt bien. » Sans vouloir me jeter de fleur, parce que je connaissais ma véritable valeur, sans avoir à continuellement me complimenter. « Ça arrivait avant, mais depuis l’accident de métro, je me suis retrouvée avec seulement quelques anciens, du coup, c’est beaucoup d’extra envoyer par une boite, d’où ma grosse campagne de recrutement. » Mais ça allait de soi, qu’à terme, je voulais à nouveau réunir mes employés pour profiter avec eux, même si très clairement, venir bosser était presque synonyme de profiter en soirée. « Ça te plairait, d’en faire avec nous ? » Même si dans ton message, j’avais bien compris que tu étais un jeune papa, l’un n’empêchait pas l’autre hein ? La bouteille arrivait enfin, alors que je l’ouvrais pour te la présenter, avant de nous servir, attendant impatiemment ta réaction. Parfois, je manquais de maturité, ayant des airs d’adolescente qui découvrait la vie, mais comme je m’en fichais pas mal du regard des autres, j’agissais au gré de mes envies. Petite gorgée avalée, avant de te sourire, puis je soufflais doucement en me penchant un peu vers toi sur la table. « Surtout que Jojo doit se faire une sacrée marge sur les bouteilles, l’avantage que j’ai, c’est que je paye le prix fournisseur, on pourra s’arranger si tu veux. » Peut-être pas pour un bally, enfin sauf si c’est ça qui te branchait. Sans reculer, je replaçais doucement une mèche de cheveux derrière mes oreilles, avant d’ajouter : « C’est mal poli de demander l’âge d’une dame. » Disais-je en tentant de garder mon sérieux, avant de rire doucement et m’cacher à moitié derrière mon verre. « J’ai 24 ans et j’aurais su le tien si j’étais une gérante normale, mais comme j’demande pas de CV, je vais te retourner ta question. » Posant mon verre contre la pierre de la table sur laquelle nous étions, je m’adossais finalement, croisant les jambes, te donnant un tout petit coup de pied, faussement maladroit, chuchotant un faible « Oups, désolée. » Histoire que tu m’remarques un peu plus.

Hj : Sorry pour le temps de réponse, mais je suis enfin back pour de bon :heaart:


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tu n'avais aucune idée de comment tout ça allait se passer. c'est vrai que t'appréhendais un peu niveau paye. toujours peur de devoir te serrer la ceinture pour que ta famille ne manque de rien. du moins, ne manque pas de l'essentiel. t'arrivais à t'en sortir, à chaque fois, mais évidemment, après l'entretien, parler salaire et jours de taff c'était hyper important pour toi. savoir quels sont les jours où tu devras faire garder ta fille et pourquoi pas négocier un week-end sur deux pour pouvoir être avec elle ? t'essayes de pas paraître trop pressé. tu vas attendre un peu pour parler contrat tout ça. et puis, de ce que tu en a vu, elle a l'air plutôt cool, izzy. izzy tu vois à quel point elle tient à cette boîte. elle a l'air de gérer. tu t'en feras une idée bien plus précise au fil des jours, mais.. de ce que t'aperçois, elle a l'air de savoir dans quoi elle met les pieds et en tant que nouvel employé, ça met en confiance. t'hausses les épaules personne n'est parfait et moi je pense qu'apprendre sur le tas, c'est la meilleure chose. puis quand elle te dit qu'elle a perdue quelques employés après l'accident de métro, tu grimaces et hausse les épaules d'un air lasse ah ouais... j'espère qu'il n'y a rien eut de grave du coup ? c'est vrai qu'elle semblait vouloir recruter pas mal. et franchement ça tombait plutôt bien pour toi. évidemment quand t'as vu l'annonce, tu t'es demandé si t'allais être le bienvenu ? non pas qu'on ne veuille pas d'un guitariste chanteur, mais... ce n'était pas ce qu'elle recherchait en premier lieu ah non mais moi je suis un mec ouvert... si ya des soirées, je suis le premier partant et d'ailleurs, je suis aussi le premier à bouger le cul des gens pour profiter de la vie, tu vois... beaucoup trop de gens restent enfermés chez eux maintenant. toi, avant d'avoir yeri, tu faisais la fête non stop. t'étais qu'un jeune adulte, qui n'avait aucune grosse responsabilité, alors tu t'en foutais un peu. t'étais le mec je m'en foutiste, dans toute sa splendeur. et puis, alix est tombée enceinte et là, t'as totalement changé. la petite n'était pas encore née que t'avais arrêté les conneries. cette gosse, elle était pas voulue, mais elle allait être là et t'étais pas du genre à fuir. pas toi. alors ouais, aujourd'hui, tu sais faire la part des choses. tu sors beaucoup moins, mais tu t'empêches pas de vivre pour autant. des gens qui t'aident, yen a des tas. t'es bien entouré. famille, amis. t'as rien à redire là dessus et ça t'aide vraiment. le rhum est là, tu y trempes tes lèvres histoire de te faire une idée et putain, t'es en amour. et tu sais pas cacher ce que tu ressens toi, tu complimentes son rhum, quitte à dénigrer le rhum de jojo, ton poto. un peu crado, certes, mais une crème. elle se penche vers toi, et bien entendu, c'est automatique, petit regard furtif vers son décolleté plongeant. mais, décolleté qui n'est pas aussi hypnotisant que son regard. beauté parfaite. du moins pour toi. aucun défaut sur son visage. sourire angélique, mais espiègle à la fois. elle use de ses charmes izzy, tu le sais. tu le sens. et franchement, pour être dans le monde de la nuit, pour gérer un pub comme le sien, c'est indispensable. clairement. sourire charmeur au coin des lèvres, regard aimanté dans le sien, t'hausses les épaules josé ouais. il s'appelle josé. c'est un ptit vicelard celui là. et c'est un putain de pirate surtout. je serais pas étonné qu'il abuse sur les marges ouais. donc ouais, moi je suis trèèèèès, pour l'arrangement. sourire amusé, tu tapotes sur la table légèrement de tes phalanges, puis tu t'affales contre le dossier de la chaise en pouffant croisant les bras contre ton torse pourquoi toutes les filles ont un soucis avec ça ? j'vois pas en quoi c'est malpoli perso. alors izzy, elle déconne surement, mais c'est ce que t'as remarqué, bien souvent toi. les femmes elles ont un soucis avec leur âge, leurs poids... tandis que vous, la plupart, des mecs vous avez des soucis avec la longueur ou la grosseur de votre bite. boarf, ça non plus tu comprends pas. surement parce que de ce côté là, t'as pas à te plaindre. t'es assez bien fourni. sans te venter. bon clairement, c'est un fait que t'as jamais dis à voix haute. t'es pas du genre à te vanter.. ou presque pas. disons que t'es du genre vantard, tout ça, dans l'humour ? et c'est là qu'elle se met à ricaner derrière son verre. rire cristallin, un brin cute même. t'hausses les épaules, puis pouffe en te redressant sur ta chaise, prenant ton verre en main pour en boire une gorgée vingt-six. tu marques une pause, grimaces en prenant un air presque honteux et... un cv ne servirait à rien. j'ai rien à marquer. mon cv, c'est mes partitions donc... un jour, si tu veux, je te jouerais toutes mes compo. non mais clairement, c'est ça. ton cv, c'est ces bouts de papiers à moitié tâchés et froissés, mais ils contiennent tes petits trésors. elle s'installe un peu plus confortablement, un de ses pieds venant t'effleurer le tibia. elle s'excuse dans un murmure. voix limite aguicheuse, mais pas vulgaire. et ça fait son effet, puisse que ton regard est hésitant, presque timide. elle est cool la patronne, mais elle sait aussi te mettre dans de sales états ya pas d'mal. puis tu te racles la gorge histoire t'éclaircir un peu la voix, pose tes coudes sur la table, verre en main,puis te penches un peu au fait... dis moi, pour moi ce sera izzy ou ... patronne ? est ce que c'est bien d'essayer de séduire aussi rapidement ? peut-être que tu devrais redescendre de trois étages là non ? le fait qu'elle soit la patronne, ça te freines un peu.. ou peut-être que pour le coup, ça pourrait être un challenge intéressant ? c'est fou... ce regard envoûtant, qui te fait perdre un peu pieds pour le coup.

hj : aucun pb chaton :heaart:
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J’étais dans mon élément, la nuit, quand la lumière du soleil disparaissait, je me levais pour partir à la chasse. Chasse aux billets, chasse aux clients, chasse à la décadence et c’était avec outrance que je profitais de ma liberté. L’épée au-dessus de ma tête semblait avoir changé de proie, bien longtemps que tout était trop calme. Ça me manquait presque, de me sentir en danger, d’être aux aguets, mais tu venais par ta prestation d’ajouter un peu de piment à mon quotidien. Mes pensées de femme et de patronne, se rejoignaient, d’une certaine façon. La business girl te voulait pour ton talent, pour l’afflux de clientèle que tu apporterais grâce à ton timbre unique et tes mélodies enivrante, quand la séductrice te voulait près d’elle, à des fins personnelles, que je tairais probablement, un certain temps. Un sourire à tes mots, touchée par le soutien que tu m’apportais. « Je vais te prendre, juste pour tes compliments, je crois… » Que je soufflais, sachant que j’étais prête à négocier pour être certaine que tu te produirais ici, mais chaque chose en son temps. Pour l’heure, j’étais trop occupée à analyser tes traits, tes remarques percutantes et je cherchais dans ton regard, la lueur. La lueur, qui me permettrait peut-être d’entrevoir une brèche. Étais-ce mal de penser ainsi ? D’espérer que mon attirance soit mutuelle ? Et je pouvais certainement perdre à ce jeu, y laisser des plumes, si je m’amusais un peu trop, mais la couleur chocolat de ta peau, ton visage lisse et tes yeux ébène, ils semblaient m’appeler. J’avais à peine compris ta phrase, trop occupée par mon imagination débordante, d’une scène où tu tenais le premier rôle à mes côtés. « Mmh.. Euh, non. Enfin, ils sont sur la bonne voie de la guérison pour la plupart, mais un seul veut rester après son arrêt maladie. » Un ami fidèle, qui pourtant comme toi, devait se battre pour le bien-être de sa fille. Et même si je regrettais la bonne ambiance d’avant, à l’époque ou Connor était posté sur le trône à mes côtés, aujourd’hui, j’étais seule. J’étais seule à maintenir son projet et tenté de faire perdurer la pérennité de l’entreprise. « Alors tu seras un bon allié pour moi ça veut dire. » Même si je me doutais qu’être père avait certaines contraintes, du moins pour quelqu’un de normal comme toi, parce que le mien n’avait pas cessé ses activités à la venue des quatre de notre fratrie. Et si t’étais un ennemi des Bulger, cacher sous cette silhouette plus qu’attractive ? Je prenais le risque, quitte à perdre beaucoup, quitte à rejoindre mes parents. T’étais une sorte de tentation, et malgré moi, j’avais envie de céder, que je peinais à rester pro. Nos verres remplis par mon carburant personnel, mon attitude, mes gestes, presque trop équivoques semblaient faire effet. Tes yeux discrètement glissés, avant de s’ancrer à nouveau dans l’azur de mes iris, je n’avais plus trop de doute. Alors sourire aux lèvres, je te proposais un deal, quitte à faire perdre un peu d’argent à Jojo, José, c’était une manière de plus pour passer, dans l’avenir, du temps avec toi. Tous les moyens étaient bons, pour arriver à ses fins, quittes à faire de la concurrence déloyale contre l’épicerie du coin. « Tu n’auras pas perdu ta soirée, tu gagnes un job et un bon plan. » Et moi, j’y gagnais pour les deux petits démons sur mes épaules. Aucun ange, nulle part. Je m’amusais à ta remarque, simulant être outré par ta question, te voyant jouer le jeu aussi, avant de me trahir par mon rire, caché derrière mon verre. « Entre nous, moi non plus j’comprends pas. » C’était probablement encore une règle de l’époque, trop ancrée dans les mœurs. Ils y avaient bien trop de règles sur la bonne conduite à avoir qui devaient être abolies à mon sens, mais c’était une autre histoire. Tu répondais à ma question, ton front se froissant, sous ton regard qui changeait à la suite de tes mots. « Tu pourrais, l’avoir sur clé usb ton cv, tu n’as jamais pensé à enregistré ? » Quoi que ça devait coûter un max et compte tenu de nos premiers messages, j’avais bien compris que ton but était de vivre pour ta musique, pour ta fille et non pas pour avoir forcément la gloire. Tu pouvais être fière de toi, de te battre pour ça, même si de mon côté j’étais loin de pouvoir comprendre les responsabilités que ça imposait d’être parent. J’étais une femme-enfant, bien plus attirée par le sexe, que par l’amour. Peut-être parce que je savais que personne ne m’aimerait entièrement ? Personne ne m’accepterait avec mes pires côtés, si ? Je me réinstallais, mon escarpin venant effleurer ta jambe, l’esprit tourmenté par ta simple vision. Et je n’arrivais pas à savoir si mon geste te mettait mal à l’aise, ou si tu l’appréciais. Tu éclaircissais ta voix, te penchant doucement, tes mots éveillaient mes sens, que je t’imitais. Je me penchais à nouveau, me rapprochant un peu plus, juste assez pour avoir les effluves de ton parfum, mais pas assez pour atteindre la limite du raisonnable. Quoi que…Alors je passais légèrement le bout de ma langue le long de mes lèvres, avant de me mordre l’intérieur de la joue et sourire doucement. Et notre échange de regard, il en disait long sur la situation, que j’en oubliais presque la raison de notre présence ici. Alors du bout de l’index je t’indiquais de t’approcher un peu plus, en décalant doucement mon visage, pour venir effleurer ma joue contre la tienne et chuchoter au creux de ton oreille : « Patronne ça a un côté autoritaire que j’aime bien, mais Izzy, ça m’va aussi. » Et ça ne serait que moi, on serait déjà à l’abri des regards, mais… Je devais résister, pour notre bien à tous les deux.


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si il y avait bien un détail qu'on avait omit de te dire avant de postuler ici, c'est que la patronne était tout à fait délicieuse. délicieuse à regarder, à écouter et le reste... t'aurais bien envie de le tester. à peine deux heures que t'es ici que tu n'as presque d'yeux que pour elle. t'aimes charmer et être charmé. mais izzy, elle t’envoûte complètement. ce regard, ces lèvres qui t'hypnotisent... wow. faut dire que pour faire ce job, il faut savoir charmer. elle s'y prend à la perfection et toi, il faut dire que face à ce genre de filles, t'es assez faible; c'est pas nouveau. bien que t'en aies pas rencontré des tonnes des filles comme elles. elle est jeune izzy, mais t'as l'impression qu'elle a un vécu, un passé qui l'a faite mûrir. tu ne la connais pas, mais parfois ça se ressent. et c'est le cas là. les regards que vous vous échangez à cet instant précis ne mentent pas. ils parlent d'eux même. alors ouais, dans son cas, c'est surement sa manière de fonctionner. charmer les petits nouveaux. mais dans ton cas, t'arrives pas à cacher qu'elle ne te laisses pas indifférent. il y a plusieurs choses qui te fascinent chez elle. tu ne saurais l'expliquer. alors pour le coup, ouais, elle t'intimide un peu. alors que d'habitude, t'es pas de ce genre là. izzy, c'est la charmeuse de serpents. tout à fait le profil. à moins que son assurance cache des faiblesses qui lui font peur ? toi, tu restes toi-même. du début à la fin. la séduire, ta mission ? t'y penses fortement oui. malheureusement, le fait que ce soit la femme qui t'embauche, ça te freines aussi. sinon, tu lui aurais clairement fais comprendre qu'elle ne passerait pas la nuit seule. et puis, tu serais aussi con de penser qu'elle n'a pas ce qu'il faut. ce genre de filles peut avoir tous les hommes qu'elle désire. pourquoi elle voudrait de toi ? clairement, ça te confortes juste dans le fait que ce soit dans sa nature de charmer les hommes. tous. sans exception. tu soutiens son regard quand elle te parles de ses employés, mais te rends compte qu'elle semble occupé ailleurs. fronces les sourcils, puis acquiesces d'un signe de tête en haussant les épaules juste un seul ? j'suis désolé pour les autres. ça fait chier quand tu perds autant d'employés d'un coup. souffles-tu prenant un air désolé. d'ailleurs, pensée qui se dirige automatiquement vers ton petit frère. tu lui en touchera quelques mots quand tu le verras. tu caresses ton verre du bout des doigts, tout en fixant izzy, sourire au coin des lèvres on les motivera ouais... compte sur moi. t'as pas la prétention qu'avec toi elle aura tout gagné, mais pas loin. tu connais pas le nephilim, mais rien que durant ta prestation, t'as ressenti pas mal de choses. tu te sentiras bien ici, et ce n'est surement pas elle qui te prouvera le contraire. du moins, de ce que tu as pu en voir en tout cas. tu mordilles la lèvre inférieure, puis hausse un sourcil, l'air interrogateur, petit sourire en coin tu parles de quel bon plan ? regard et sourie charmeur tout en continuant de caresser ton verre entre tes doigts, sans la lâcher un instant du regard. même si le sien semble de déstabiliser de plus en plus. t'essayes de garder de la contenance. au maximum. mais... oui, de quoi parle-t-elle en parlant de bon plan... du rhum, sans aucun doute. mais t'as juste un peu envie de jouer sur les mots. tu laisses planer le doute. et malgré le monde qui vous entourez, tu pouvais pas t'empêcher d'y aller encore un peu plus fort dans ce petit jeu. quitte à perdre vraiment tous tes moyens. est ce que t'allais en perdre ton job sans même avoir eu l'occasion d'en profiter un peu ? t'espérais que non. et pourtant, t'y pensais encore.... un peu. un petit peu. pied qui t'effleure, gestes, regards, sourires aguicheurs, t'es entrain de passer le meilleur entretien d'embauche de ta vie dans mon tel si. mais... je préfère les garder pour moi. c'est.. des brouillons. est ce que t'as déjà mit une de tes compo en fond pour endormir ta fille un soir ? oui. parce que t'as ce côté ' j'aime ce que je fais ' mais tout en discrétion. et faut dire que yeri, elle valide. tu te penches vers elle, lui demande avec ce petit sourire charmeur qui en fait craquer plus d'une, comment tu dois l'appeler. patronne ou izzy ? en vrai, izzy tu préfères.. mais c'est juste pour aguicher un peu. et ça semble faire son effet, puis qu'elle se penche à son tour, joue qui effleure la tienne et t'es à deux doigts de ne plus répondre de rien. tu te mords la lèvre quand tu sens son souffle s'écraser avec sensualité au creux de ton oreille et pendant ce temps, le bout de tes doigts vient caresser sa paume de main. frisson qui parcours ton échine toute entière. tu recules ton visage de quelques centimètres, histoire d'avoir un visuel sur l'expression de son visage. et son regard qui t'électrise encore une fois. levi stop. tu te stoppes d'un coup. doigts qui quittent sa paume rapidement, mais avec regrets. te recules contre le dossier de ta chaise en essayant de reprendre tes esprits. comme ci elle s'en était emparée sans que tu puisses l'en empêcher. humidifiant tes lèvres du bout de ta langue, tu regardes autour de toi, te racles la gorge. t'espères qu'elle ne l'a pas mal prit j-je... dur dur, de se reprendre sur le coup. t'attrapes ton verre, le porte à tes lèvres, puis tu le reposes du coup... je voulais savoir si c'était possible de bosser un week-end sur deux ? parce que je pense que je vais pas pouvoir faire garder ma fille tous les week-end et les nounous ça coûte assez cher. alors c'était clairement pas le sujet que t'avais envie d'aborder là tout de suite, mais tu commençais à être un peu trop en feu pour le coup et rien de mieux que le sujet 'yeri' pour faire tout redescende. pourtant, en la regardant de nouveau, ça n'a jamais été aussi compliqué de penser à autre chose qu'à faire un tour dans son bureau là tout de suite, pour un entretien plus... intime ?

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J’avais l’impression d’avoir le cerveau en ébullition, à trop réfléchir, à trop analyser. Et si je faisais fausse route ? Et si j’agissais de la mauvaise façon, en entamant la possibilité de créer un lien extra professionnel ? La vérité, c’est que j’avais beaucoup de mal à garder mon sérieux et c’était pour ça que je tenais tant à ce que les liens au boulot, soient semblables à des liens d’amitié. La bonne entente et l’humeur festive, donnaient bien plus envie de venir travailler, que de se contenter de sévir les clients et les voir s’amuser sans pouvoir participer. Mais j’étais une fervente adepte du « s’amuser tout le temps et n’importe où ». Tu semblais d’accord avec ma façon de voir les choses et d’agir en conséquence, ce qui me rassurait pour l’avenir. J’avais au moins le mérite d’avoir été honnête avec toi quant à mes lacunes, mais un an plus tard, malgré ces dernières le nephilim se portait bien. Je n’avais pas cédé à la proposition tentante de mon frère, de faire de mon bar, une plaque tournante du trafic de drogue pour m’en mettre encore plus dans les poches. Boston regorgeait suffisamment d’endroit pour se faire un tas de blé, pour ne pas salir la seule belle chose que j’avais fait jusqu’alors. « Ouep, qu’est encore en arrêt, à cause de son cœur, mais il reviendra parmi nous à la rentrée. » Sourire à ta remarque, avant de plonger à nouveau dans mes pensées en t’observant, c’était une situation délicate pour moi, là. Craquer au risque de te faire fuir, en répondant aux nombreuses images qui m’avaient traversé l’esprit depuis le début de cet entretien. J’en oubliais le reste, l’affluence de clients, la musique de fond, comme s’il n’y avait plus que toi et moi, dans une bulle. Bulle qui éclate quand je voyais tes dents emprisonner ta lèvres inférieur, captivant mon regard. « L’alcool moins cher déjà et me voir aussi peut-être… » Que je soufflais laissant planer le doute. T’en aurais envie ? Parce que c’était presque une proposition que je te faisais là. C’était peut-être trop indécent, mais je ne respectais pas les codes, jamais. Preuve étant, que je te cherchais, glissant mon pied subtilement contre ta jambe, simulant une gêne, ravie de ta réaction. « Tu me feras écouter un jour ? » Papillonnant du regard pour t’amadouer un peu. J’étais curieuse et satisfaite de ta première prestation, j’en voulais encore plus. Emporté par le moment, par ton regard sur moi, par le timbre de ta voix, je m’approchais un peu, beaucoup jusqu’à effleurer ta joue par la mienne. Et ce contact, même subtil, suffisait pour que tu en viennes en chercher un peu plus. Le bout de tes doigts contre la paume de ma main qui augmentait la température d’un cran et j’étais à deux doigts de venir mordiller ton oreille, mais tu reculais, me lassant sur ma faim. T’avais pris la bonne décision, je crois, mais égoïstement, j’aurais voulu repousser les limites. Tu t’éloignais encore plus, t’adossant à nouveau sur le dossier, rompant tout contacte. Lueur accrochée aux prunelles, tu verrais sûrement ma déception dans mon regard, mais qu’importe… Je reculais à mon tour, essayant par ce moyen, de faire redescendre la tension. « Mmh… » Histoire de ne pas te laisser sans réponse, avant qu’un léger blanc s’installe, le temps de me laisser reprendre mes esprits. « Oui bien sûr, comme la scène est libre, dis-moi simplement quand tu veux travailler et on le bloque sur le planning de la scène. » J’attrapais mon verre, pour le finir d’une traite, grimaçant légèrement, en sentant le liquide ambré parcourir ma gorge. « Tu auras accès à ce dernier pour t’ajouter ou te retirer selon tes envies, les imprévus, etc. » Et malgré tout, ça ne faisait pas l’effet d’une douche froide, l’attirance elle était présente, trop présente peut-être, mais c’était mieux ainsi, s’éloigner pour ne pas déraper, pas vrai ? « Tu pourras même faire en fonction de ses vacances et puis chaque employé à une cagnotte à son nom pour les pourboires, ça te fera un petit plus. » Et j’avais peut-être oublié quelque chose, mais j’étais légèrement perturbé, tiraillé même, de ne pas pouvoir faire parler mes envies.


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★ ─ w/@Izzy Bulger :heaart:

tu ignores tout de son passé, mais ce qui compte c'est de voir qu'elle réussit, par n'importe quel moyen. parce qu'à son âge, si tu n'avais pas eu yeri, t'aurais été incapable d'avoir autant de responsabilités. t'étais plutôt un je m'en foutiste. tu ne pensais qu'à ton petit bien être et les responsabilités, tu les fuyaient. tu vivais de ta passion, la musique, tu passais ton temps à faire la fête, à dealer pour te faire un peu d'oseille parce que la musique de rue, c'était pas ce qui te faisais vivre un mois entier. t'occupais de petits postes éphémères. tu vivais ta vie, sans te prendre la tête. et quand yeri est arrivé, tout a été remit en question. c'est ce qui fait de toi quelqu'un de mature. les excès t'as bien connu, mais t'as toujours été ce genre de personnes qui, quand elle a prit une décision, ne revient pas dessus. et quand t'as su qu'alix était tombée enceinte, ça a été le déclic. t'as tout arrêté. d'un coup. t'étais focus sur le bébé à naître, toi qui n'était pas un adepte des responsabilités. tu ne pensais même pas qu'un jour tu serais capable d'assumer un enfant. et si t'aurais su que t'allais l'assumer pendant cinq ans, tout seul, jamais t'y aurais cru. alors ouais, comme quoi, c'est sur ceux qu'on parierait le moins qui réussissent dans la vie. oui parce que ta fille, c'est ta fierté, ta réussite. et t'es plus que fier de l'avoir élevée. donc apparemment cet accident de métro a eut aussi des répercutions sur le nephilim. tu grimaces, prenant un air désolé, tu lâches un long soupire en secouant la tête légèrement putain, cet accident de métro c'était.. horrible. j'avais un pote dans un des wagons, mais ça va il a rien eut lui. et toi ? t'y étais ? bon au moins tu sais qu'elle a rien eu de grave et heureusement, parce que sinon tu serais pas devant elle ce soir. et putain, ça aurait été bien regrettable. parce que jusqu'à maintenant, tu ne regrettes pas d'avoir répondu à l'annonce. t'y a été sans grande espérance. évidemment tu te disais que si t'étais prit ce serait le top, mais tu préférais ne pas te faire de fausse joie. le nephilim, en peu de temps, est devenu un des pubs les plus réputés de boston. en bien.. évidemment il y a toujours des rumeurs, mais t'as beaucoup de potes qui te l'ont recommandés. alors pourquoi ils te prendraient toi ? pourquoi il s prendraient l'inconnu au bataillon ? et puis tu t'es dis, pourquoi pas ? parce qu'en général, tu positives toujours. et puis, c'est au delà de tes espérances. parce que même si t'étais venu ici ce soir, sans te faire de grands espoirs pour ne pas être déçu, au fond, tu te disais que t'avais peut-être ta chance. et ça a payé. t'as été pris, sans grand effort. t'as juste été toi, avec ton petit côté séducteur, parce que pour avoir ce qu'on veut, il faut user de ses charmes non ? tu connais tes atouts, tu t'en sers dès que l'occasion se présente. et ce jeu qui s'est installé sans grand effort depuis une bonne demie heure déjà, ça te plais. beaucoup. izzy elle a un truc. elle te captive. son sourire, son regard, ses gestes sous la table. elle te charme elle aussi. elle a aimé ce que t'as fais sur scène, elle n'a aucune envie de te voir aller ailleurs; chez la concurrence et putain, ça te fais un bien fou de savoir que malgré le fait que tu ne sois pas connu, ton art plait. ton art plait au point où on te veux où l'on fait tout pour te garder. te séduire. ok. la patronne, c'est surement sa manière de fonctionner et ça te vas. ça te vas parce que ça t'arranges tout ça. t'es ce genre là aussi. évidemment, tu vas pas aller lui proposer de s'enferme dans son bureau pour un rendez vous plus intimiste, parce que c'est avant tout ta patronne. t'as besoin de ce taff alors non, tu feras pas de conneries. et malgré le peu de temps que t'es ici, dans ce pub, tu la ressens la connexion. tu sens qu'il se passe un truc malgré le fait que t'essayes de remettre une barrière patronne/employé. parce que c'est comme ça. ça a beau être ta patronne maintenant, tu sais que tu l'aurais rencontré dans un autre contexte, ça aurait été la même. t'approuves d'un lent signe de tête quand elle te dit que t'auras l'occasion de te fournier en alcool, moins cher et meilleur que celui de jojo mais aussi et surtout que tu auras l'occasion de la voir... effectivement oui. puis quand tu parles de tes 'brouillons', elle te demande si tu lui feras écouter un jour, et... elle n'a qu'à battre des cils pour que tu pouffes légèrement en haussant les épaules tandis qu'elle était encore plus proche de toi. frisson instantané qui te parcoure l'échine. putain, elle sait pas à quel point tu te retiens, à quel point tu prends sur toi là. et tu le sens son souffle contre toi, wow, c'est... t'es au bord de l'explosion. tu te recules, faisant comme ci tout était normal en soufflant, l'envie débordante perceptible dans ta voix j'te ferais écouter tout c'que tu voudras ouais... on va peut-être calmer le feu qui naît peu à peu en toi. alors oui, tu peux pas t'empêcher de montrer qu'elle t'attire, mais sans vraiment lui dire clairement. les petits gestes, cette caresse sensuelle au creux de sa paume.. il est temps de tout stopper. tu te recules, reprenant tes esprits peu à peu en mettant le sujet initial sur le tapis. contrat, heures, jours de taff... elle semble arrangeante et franchement tu pouvais pas mieux tomber. toi ça te vas aussi. t'acquiesces d'un léger signe de tête en tripotant l'anneau à ton doigt, sans pour autant détacher ton regard du sien. un tic que t'as depuis toujours. quand tu passes un entretien, quand t'essayes de négocier des trucs, quand t'es légèrement stressé. tu t'éclaircis la voix, fronces les sourcils, puis bois une gorgée de ton verre j'avoue, la cagnotte, c'est un plus... sans aucun doute, cet argent sera pour yeri. toi tu te contenteras de ton salaire. le plus sera pour lui faire plaisir à elle. et plus tu poses ton regard sur elle, plus tu te sens mal à l'aise. elle te fait de l'effet et t'aurais pas imaginé que t'aurais ressenti ça en venant ici. en général, quand tu recherches du taff, tu te fous un peu de la personne que t'as en face de toi. comme quand t'es rentré dans le nephilim tout à l'heure. tu venais en priorité pour le taff, pas pour baver limite sur ta 'peut-être' future patronne. t'es donc de plus en plus dans la retenue. tu prends sur toi et tapotes sur la table tout en prenant un air décontracté. mais sous la table, ta jambe tremblote légèrement. signe que t'es stressé et que tu ne sais pas comment t'y prendre pour ne pas la braquer non plus du coup... je pense faire un week-end sur deux ? et deux soirs par semaines qui seront fixés à chaque fins de semaines pour la semaine d'après ? et pour les vacances, j'en aurais pas besoin... si je bosse que le soir, j'ai pas besoin de vacances. c'est que de toute manière, t'as pas assez d'argent pour partir en vacances.


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