Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAvant de se recroiser en Enfer - WESLA - Page 2
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Avant de se recroiser en Enfer - WESLA

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Pour n'importe qui d'autre, je n'aurais jamais pris la peine de m'arrêter, ni même d'écouter. Je serais retourné à ma voiture, je l'aurai démarrée, et je serais parti aussi vite que je suis arrivé. Mais, j'ai comme l'impression que t'as conscience du pouvoir que tu as sur moi. Et ce serait dérangeant que ce soit réellement le cas. Quoi qu'il en soit, je me suis arrêté, je me suis retourné pour te regarder, et je n'ai pas résisté à l'envie de revenir me foutre en face de toi. Mon regard noir, qui ne t'impressionne pas. Tu sembles même amusée, et j'en affiche ma ride du lion. Je reçois une leçon sur ton autre nom, qu'il est important de ne pas oublier. Léger haussement d'épaules, parce qu'à cet instant, je m'en contre balance. Tu es tellement dans le défi que tu réclames l'autre option. Je suis à la limite entre le sourire et le rire nerveux. Non, tu ne veux pas. « Comme tu voudras... » Je laisse mon regard s'échapper du tiens un instant pour regarder autour de nous. Pas que je m'inquiète de qui pourrait nous voir. Non, je tente de me raisonner. Et je ne pourrais jamais le faire si je continue de te regarder. Je pince ma lèvre inférieure, et je soupire. Je ne suis pas un lâche, et tant pis pour ce qui risque d'arriver après. Je repose mes yeux dans les tiens. Et, d'un coup d'un seul, mes mains se détachent de moi pour venir attraper ton visage, approchant le mien pour venir t'embrasser. Fougueusement. Pas le genre de baiser d'adolescent non. Le genre de baiser qui te retourne le bide, qui te chauffe le bas ventre et qui te coupe la respiration. Une main descend dans ton cou. Parce que je veux qu'il dure encore un peu. Mais il faut que nos lèvres se séparent, j'ai besoin de reprendre mon souffle. Bien que je m'écarte, nos visages restent proches, et j'ouvre mes yeux pour te regarder. Ma bouche entre ouverte, je respire avec difficulté. Il vient de se passer quoi là? Et dans un murmure « Je pense que c'est le moment pour moi de partir...» Mais je ne veux pas. Je ne suis pas celui qui décidera de l'option, mais tu avais affirmé que ce genre de chose n'allait pas se reproduire, et je viens de te contrarier. Lentement, mes mains glissent de ta peau... Je dois partir, mais pourtant je suis devant toi. Le regard qui ne te quitte pas.
 
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Je ne sais même pas pourquoi je me bats comme ça. Ça ne m'arrive jamais. Je laisse toujours les gens filer puisqu'ils ne m'intéressent pas, jamais. Il y a des milliards d'être humains sur la planète et ceux pour qui je me battrais sont vraiment peu nombreux. Mon frère, ma petite soeur que je n'ai pas vu depuis des lustres et puis Frannie, bien entendu. Je vaincrais vents et marées pour eux. Ma mère aussi. Je ne l'appelle pas souvent mais elle comprend, je crois. J'ai des tas de choses à gérer et là, c'est le Patterson qu'il me faut gérer. je ne veux pas qu'il parte comme ça. Il y a bien trop de non dit entre nous et ça ne nous réussit pas. Je suis toujours bien trop directe et jouer aux devinettes, ça ne me convient plus. Comme je voudrai. D'accord. J'attends, je le regarde, mon visage bouge comme le sien mais je ne comprends rien. Je fronce les sourcils et m'apprête à lui demander s'il attend que quelqu'un débarque pour me foutre une cagoule et m'embarquer. Les mots sont sur mes lèvres quand tu t'y places. Je suis prise par surprise. Un sursaut et je baisse les armes. Mes bras, pourtant le long de mon corps, remonte pour se coller à sa peau. Je suis gelée et il est brûlant. Le choc de température est si agréable. Mes pieds avancent tout seul, éliminant la distance entre nos deux corps alors que l'une de ses main glisse sur mon cou. Putain, putain, PUTAIN. Il se détache et je garde les yeux fermés quelques secondes, les lèvres légèrement entrouvertes, perdue dans ce moment. Je prends une grande inspiration et rouvre les yeux en expirant. Il aurait pu choisir ces trois secondes pour déguerpir, mais il ne l'a pas fait. Je le regarde et l'écoute. II pense ? Il n'est pas sûre de lui ? C'est nouveau ça. Il y a tellement de choses qui se passent dans ma tête. J'ai cent façons de terminer cette entrevue. Lui crier dessus. Le repousser physiquement. Lui dire qu'il n'a aucunement le droit de m'embrasser sans me demander si je le souhaite avant. Le gifler, bien entendu. Mais il y a aussi des versions où je lui dis de recommencer, parce que je ne suis pas sûre de ce que c'est, mon autre option. Qu'il dégage ou qu'il m'embrasse, encore ? Et puis il y a une version, celle que je choisis. " Oh, tu penses ? " Que je lance en le regardant droit dans les yeux. Je fais un pas vers lui sans le quitter du regard. " T'es pas sure de toi ? " Et ça m'étonne tellement de lui. Je fais un nouveau pas dans sa direction, me rapprochant encore plus de lui. " Et si c'est la deuxième option que je choisis, tu fais quoi ? " Je joue avec le feu. J'ai déjà été brûlée et je crois que je suis prêt pour un retour de flammes. Je suis très proche de lui, il n'y que quelques centimètres qui nous séparent. Alors, d'une voix douce, alors que mes yeux glissent sur ses lèvres, je souffle " Parce que je crois que je préfère la seconde option " Je sens son souffle sur mon visage et mordille légèrement ma lèvre inférieure. Et ma main glisse sur son torse. Putain ce que je voudrais qu'il ait sa chemise juste pour pouvoir l'agripper et le coller à moi. " En fait, c'est même sûre " Et je passe ma main dans son dos, me servant de ça pour me coller à lui et l'embrasser, doucement. Mon poing se referme et ma seconde main glisse dans son dos. Il me faut plus que de la force mentale pour ne pas que ce doux baiser se transforme en le baiser le plus fougueux qui existe. Mais il a allumé le feu et les braises ne veulent pas mourir.
 
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Lorsque nos lèvres se sont touchées j'ai senti cette électricité s'emparer de chaque centimètres carrés de mon corps petit à petit. Ta bouche m'en demandait encore, et ta main sur ma peau m'attirait vers toi, c'était la le début du combat entre mon envie et ma raison. J'ai ressenti cette si forte attraction. Cette fougue dans ce baiser dont je suis l'auteur cette fois. Tellement torride, qu'il nous faut un temps pour s'en remettre. Je lance qu'il serait préférable que je parte maintenant, parce que je dois avouer que j'ai une crainte de sa réaction. Elle pourrait hurler à nouveau, me demandant de dégager. Me gifler. Ou me briser en disant que c'était encore une belle erreur de ma part. « Je pense. Je ne peux pas l'affirmer à ta place... » Dis je d'une voix beaucoup plus calme. Mon regard noir s'est effacé, et il semble un peu perdu. Surtout de te voir te rapprocher. Mais, tu pourrais bien choisir la deuxième option, et je suis vraiment déstabiliser. Je ne quitte pas tes yeux. « Je ferais ce que je viens de faire. Encore...» L'envie m'en brule déjà les lèvres. J'avais stoppé le précédent par peur de ce qu'il se passerait. Mais si j'avais eu le choix, je serais encore collé à ta bouche. Mon coeur rate un battement quand tu annonces que tu préfères cela, à me voir partir. Ma langue passe sur ma lèvre sans que je ne me rende compte de ce geste. Je suis hypnotisé, et je ne bouge plus. Mon corps est chaud, mais j'ai un frisson intérieur de sentir ta main sur mon torse. « Tu crois? » Est ce que tu serais aussi paumée que moi? Est ce que tu perds aussi ta certitude? Non, toi tu sais ce que tu veux. Et tu le montres. Très vite, tu saisis de nouveau ma bouche de tes lèvres et m'embrasse passionnément, plus calmement. Tu me serres encore plus fort maintenant, tes mains glissent dangereusement dans mon dos. Qu'est ce qu'il nous prend? Je prolonge, posant une main sur ta hanche, et l'autre sur ta joue. Nos corps sont collés. Mes yeux sont fermés, et ma langue vient à la rencontre de la tienne. Cette fois, je n'arrêterais rien. Il est hors de question que je sois l'initiateur, que je stoppe tout feu, toute fougue. Je suis le Diable, et je laisse la tentation prendre le dessus. La main dans le cou qui descend doucement sur le haut de la poitrine. Ta peau est fraiche, mais la mienne brule. Ca n'a jamais été aussi intense. Faut croire que ta haine envers moi anime tout cela.
 
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Je ne sais pas pourquoi je fais ça, pourquoi j'avance vers lui comme si j'étais une lionne et qu'il n'était qu'une brebis égarée. Ce n'est clairement pas ce qu'il est mais ce baiser que nous venons d'échanger, c'est comme s'il venait de relancer de l'essence sur le feu qui m'anime depuis quelques temps déjà. Ce côté tentatrice, c'est tout moi. C'est celle que je suis quand je sais que j'ai du chemin à faire pour faire craquer la personne en face de moi. C'est d'ailleurs bien pour cela que je ne fais qu'un pas à la fois, histoire de lui laisser croire qu'il a le choix, qu'il pourrait très bien lever les yeux au ciel et foutre le camp de cette plage presque vide. Je ne le retiendrais probablement pas une seconde fois. Il ne peut pas l'affirmer à ma place. Pourtant j'ai envie qu'il mette des mots dans ma bouche, qu'il déchiffre ce que mon corps et mon cerveau essayent de lui dire. On te déteste mais putain qu'on a envie de toi. Mes questions sont simples et quand il me dit que si je choisis la seconde option, il recommencera, un très léger sourire s'esquisse sur mon visage. Mais ce que je ressens, au niveau de la poitrine, c'est bien étrange. Ce titillement est bien inconnu pour moi. Ma main se pose sur son torse et ne perds pas de temps pour se former en mon point d'ancrage, mon poing de force pour me coller à lui et l'embrasser. De la douceur, un peu de douceur parce que la passion, c'est bien mais il n'y a pas que ça. De mon côté du moins. Ses mains sur mon corps, je soupire contre ses lèvres avant de succomber totalement. Mon corps s'est lancé contre une bataille interne et ma langue à une danse des plus agréable. Je frissonne quand sa main glisse sur ma poitrine et rompt ce doux baiser puisque surprise, je sursaute et nos lèvres se quittent. Je mordille ma lèvre inférieure et ne bouge pas. Je bloque mes yeux sur les siens et souffle " On fout quoi là, au juste ? " Je me suis refusée absolument tout à cause de notre relation professionnelle mais elle n'existe plus. Alors peut-être que ? Non. Seulement, je ne peux pas m'empêcher à bouger mes bras, à m'écarter de lui, à le laisser filer. " Je sais pas ce qu'on fait là mais j'aime particulièrement la sensation de ta main sur ma poitrine " Il faudrait vraiment m'envoyer sur l'île de la Tentation et je vous jure qu'ils seraient tous à genoux en quelques secondes. " Embrasse moi encore une fois " J'aime commander mais j'aime surtout lui donner les rênes pour voir où est-ce qu'il va nous mener. Droit dans le mur, surement.
 
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Est-ce que je parviendrai à ne pas devenir une personne que je ne souhaite pas être ? Malgré ces désirs incandescents qui m'incendient de l'intérieur, je tiens bon. Je calme le feu avec ma culpabilité sans cesse croissante, mais je ne parviens cependant pas à l'éteindre. Chaque fois que je pense pouvoir y arriver, des braises chaudes se ravivent de tout leur soûl et mes pensées traîtres s'enflamment à nouveau. Où est-ce que je suis ? Est-ce que j'ai déjà pris la fuite ? Non, je m'y refuse. Pourtant cette chaleur insidieuse qui envahit mon corps me déroute, m'attire, et me consume. Elle ne demande qu'une chose, que j'y succombe tout à fait. Mais .. Quoi alors ? Quel sens donner à tout ça ? Faut-il qu'il y en ait nécessairement un ? Ne peut-on pas se contenter de vivre? J'oublie tout quand nos langues s'emmêlent pour un échange passionné. Ma main incontrôlable descend sur le haut de ta poitrine, et... Ton corps saute, et tout se stoppe. Je sors de cet état second pour te fixer. Entendre ta question, et froncer les sourcils. « Je... » Je ne sais pas. On succombe enfin à nos envies? On se laisse encore embarquer dans une folie? On fait ressortir notre haine passionnelle? Quoi que je fasse, je ressens cette radiation saine dans ma poitrine. Celle que j'ai lorsque je te regarde, lorsqu'on se touche. Quelle défaite. J'étais sur le point d'informer que j'ignorais la raison de ça. Mais, tu me surprends. Tes paroles ne s'accordent pas à ton action de t'éloigner de mon corps. « Est ce que ça ressemble à un premier shoot? » De cette drogue dont je pourrais tomber accro. Et tu en redemandes, me tentant à me piquer à vif. Je souris, cette malice dans le regard. Je retiens que tu à préciser 'encore une fois'. Si cela doit être la dernière, je vais jouer d'une main de maitre. J'attrape ta main de la mienne, et je te tire d'un coup vers moi pour t'avoir contre moi. « J'espère que tu vas autant aimer cette sensation là. » Dis je, les yeux dans les yeux. Ce regard rempli de désir. Et je penche la tête pour embrasser l'endroit où était posée ma main il y a quelques instants. Sensuel, mes lèvres tracent le chemin d'ici, à ton cou, puis ta mâchoire et frôlent les tiennes. Ce sourire en coin. Je ressens l'effet que je te fais, et me provoque des secousses dans le bas ventre. Et, approchant ma bouche de ton oreille, je te susurre « Comme ci c'était la dernière fois. » et mes doigts tournent ton visage pour reprendre un baiser. Laissant circuler la passion, la tendresse, une touche d'animosité, la hargne, le charnel,... Un cocktail bien particulier. Comme un gout de nous.

 
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Tu-quoi Wesley ? T'arrives à me dire ce qu'on fout là ? Y a deux jours, il m'a tué le cerveau, tué le corps et je suis incapable de le planter là en plein milieu du sable, de la plage. J'aurais pu ne rien dire, le laisser partir quelques secondes plus tôt mais non. Mon cerveau sait comment le pousser à bout, le taquiner, le faire réagir et putain que ça fait du bien. Je ne sais pas ce que c'est, cette chose que je ressens mais ça me fait tellement de bien. C'est une sensation qu'il va falloir que j'étiquette et que je range dans mon cerveau, juste pour m'y référer un jour où tout nous aura volé en éclat dans la face. Je sais que mon frère me tuerait sur place s'il nous voyait, si tout cela se savait. Mais je mets tout dans un coin de mon cerveau pour y penser plus tard, quand je ne serai plus commandée par mon corps. Je le regarde dans les yeux, pour pouvoir le lire. Parce que je sais que les yeux sont le miroir de l'âme et que ces derniers ne trahissent jamais. Un visage, on le contrôle, les yeux c'est un peu plus dure. Et cet iris… J'hoche la tête de haut en bas. Tout ça, c'est clairement un premier shoot. Celui qui te fait voir toute la perfection de la chose, qui te fait miroiter quinze milles possibilités. On est invincible, dans cet état. Jusqu'à la descente. Et là, ça fait souvent très mal. J'ai l'impression que mes respirations sont calées sur les siennes, comme si j'attendais qu'il fasse quoi que ce soit pour l'imiter mais aussi pour limiter l'effet qu'il a pour moi. Si je suis son miroir, c'est son désir que je réplique, n'est-ce pas ? Ses mots sont comme une promesse et quand il m'embrasse la fine peau en haut de ma poitrine, je ferme les yeux, sereine et souris doucement. " Même encore plus " Que je souffle tout doucement alors que le ciel s'assombrit et que les vagues montent de plus en plus et s'écrasent avec force contre les rochers plus loin. À ce moment, ce son me berce, me permet de profiter encore plus de ses lèvres sur ma peau. Les baisers s'arrêtent et je rouvre les yeux doucement, fébrile. Tout ce que j'entends c'est l'hypothèse de la chose. Comme si. Nous savons tous les deux que c'est irréel. Qu'il y en aura d'autres parce que c'est ceux que nous sommes. Deux idiots qui jouent avec le feu et qu'une fois loin de l'autre reprenne leurs esprits. Je me laisse faire et ce baiser est encore différents. Il y a un mélange de tout et de rien. De passion, de colère, de tendresse. Un goût amer de regret saupoudrée par un désir qui ne tarit pas, à aucun moment. Je suis plus que collée à lui, mes bras autour de son corps. Il est dur de me contrôler et je sais que je pourrais partir, pencher du côté où j'en ai rien à foutre de savoir qu'il va bientôt se marier. Avec Frannie, je savais qu'elle se fichait bien qu'il se passe quelque chose entre nous parce qu'elle n'avait aucune attache et lui non plus. Mais là, c'est différent. Ce n'est clairement plus la même chose. Le temps se déchaîne, comme s'il savait qu'il fallait stopper tout cela avant que ça aille trop loin. Parce qu'il y aura un trop loin. Je suis parcourue par un nouveau frisson et la chaleur de sa peau n'y fait rien, je suis obligée de rompre le baiser une nouvelle fois pour me coller un peu plus à lui. Mon nez contre le sien, j'ouvre les yeux, haletante et tourne les yeux vers l'océan. Je sais qu'il aime aussi ce lieu. Sauf qu'au loin, je vois sa chemise qui est emportée par les vagues. " Wesley ! Ta chemise ! " Que je lance en me détachant de lui, filant vers l'eau pour récupérer le tissu. Sauf que je n'y arrive pas. L'océan se retire un peu plus et je regarde la chemise filer, me donnant probablement en spectacle. " Je crois pas qu'on puisse y faire grand chose " Que je souffle en revenant vers lui. L'air frais me remet les idées en place. Mais pas assez vite puisqu'une vague me pourchasse et j'ai rapidement de l'eau jusqu'aux chevilles. Mon visage se déforme sous l'effet de la fraicheur des vagues qui trempent mes chaussettes et mes orteils. " C'est froid ! " Que je gémis en revenant vers lui en courant, mes cheveux au vent. " Je suis gelée, il faut que j'enlève ces chaussettes, je veux pas tomber malade " Que je finis par souffler en étant face à lui, un sourire malicieux sur le visage. Mon masque est tombé, je souris, ma voix est plus posée. J'ai probablement fait la plus grosse erreur qui soit. Mais j'en ai profité, de ces moments. Ils sont dans un coin de ma tête et je suis prête à les revivre, seule, à la maison. Puisque c'était la dernière fois, n'est-ce pas ?
 
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J'ai la bouche sur le haut de ta poitrine, et je prends soin de te procurer le maximum de plaisir. J'embrasse en étant sensuel, et je ne manque pas de remonter petit à petit. C'est confirmé, je viens de prendre ma première dose de cette drogue. Ou alors, c'était peut-être déjà le cas dans l'ascenseur et ça explique pourquoi je suis là? Cela pourrait même justifier que l'on se parle encore malgré l'épisode dans ta suite, où je pensais que tout était terminé. Nous sommes deux drogués qui en veulent encore plus. Animés par le dilemme de se laisser tenter ou de réussir à ne pas craquer. Bien que le dilemme n'en soit plus un à ce moment précis. Il sera bien compliqué de m'arrêter, encouragé par tes mots qui avouent que ce que je te fais, est encore plus agréable. Ca l'est, mais c'est aussi beaucoup plus dangereux. J'aurais pu rester silencieux, mais j'aime l'idée de te chuchoter que ce futur échange aura des airs d'adieux. N'arrivant pas spécialement à m'en persuader. Nos lèvres se retrouvent, sans que nous puissions vraiment reprendre un souffle correct avant. C'est encore différent, il ne ressemble ni au premier, ni au second. Je tentais de te transmettre toutes les émotions que tu me donnes. Et, il semblerait que le destin veuille aussi s'inviter pour donner son avis. Jouant de la météo. Mes oreilles perçoivent que le temps est entre de se gâter. Mais a part une tornade, rien ne pourrait me faire arrêter. Et tu deviens cette tornade, encore. Mais tu ne t'éloignes pas, nous restons collés, front à front. J'ai l'impression d'avoir couru un sprint, et je galère à reprendre mon souffle. Et tu me tires de ce doux sommeil en hurlant 'Wesley! Ta chemise!' « Mais je m'en... » pas le temps de terminer que tu te détaches pour courir après mon vêtement. Mais? Je te regarde, presque sur d'halluciner devant cette scène surréaliste. Je ne peux pas me retenir de rire. « Ce n'est rien Ella. Ce n'est qu'une chemise. Mon dressing en est rempli. » Mais c'est touchant que tu aies voulue la sauver de la noyade certaine. Je m'avance lentement vers toi, mais quand je vois la vague surgir, je fais des grands yeux, et une grimace... Et je reviens à mon fou rire. « C'était quoi cette tête? » que je te lance en te voyant revenir en courant, les pieds trempés. Je ne peux pas douter de ta parole sur le fait que tu sois gelée. Il faut rapidement trouver une idée. « On va aller se mettre au chaud dans ma voiture. J'allumerais le chauffage pour ne pas te laisser mourir de froid. » Tu n'es pas en position pour refuser cette proposition. En tout cas, ça semble avoir refroidi le feu qui était entrain de nous consumer. « Et si tu veux, je pourrais te ramener chez toi.. » Seulement si tu le veux. Sinon, nous pouvons tout aussi bien restés dans la voiture à regarder l'océan avec de la musique. Je te souris. Les cheveux qui comment vraiment à être dans tous les sens avec ce vent qui se lève, et ce ciel qui se fait de plus en plus gris.

 
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Ce qu'on fait là, tous les deux, sur cette plage va finir par nous retomber sur la figure. Et plus facilement sur la mienne que sur la sienne. Après tout, je suis la femme du duo donc la tentatrice, la garce qui l'embrasse et le pousse à bout pour avoir ce qu'elle veut. C'est toujours plus facile de tout coller sur le dos de la femme alors qu'un baiser, ça se passe à deux. Il me pousse et me cherche autant que je le fais avec lui. Nous nous attirons et repoussons à chaque occasion. C'est une bataille qui ne s'arrête jamais et chaque pic ravive un peu plus ce qu'il se trame dans notre corps. Ses lèvres sur ma peau, je frissonne et n'essaye pas de réfléchir, de penser, de rationaliser tout ça. Rien n'est rationnel, rien n'est logique. Alors autant profiter du moment le temps que ça dure parce que vu le bruit du vent, il va bientôt falloir se planquer pour ne pas finir trempé. Les éléments se déchaînent et on devrait juste prendre ça pour ce que c'est : il ne faut pas que l'on soit l'un avec l'autre, l'un contre l'autre. J'ai un coup de froid, mon estomac se serre et je suis incapable de décrocher mon regard du sien pendant quelques secondes. Parce que je suis bien, je vis, je suis où j'ai envie d'être pour quelques secondes. A savoir ses bras. Mais lorsque je tourne la tête et que sa chemise est au loin, je file pour la récupérer. Je me cherche n'importe quelle excuse pour me détacher de lui parce que, bien que je sois où je souhaite être, je sais que je suis au bord de tomber de l'autre côté. Je suis comme ces gamins qui marchent sur les murets. Sauf que, si je tombe, il n'y aura personne pour me rattraper. Ça va faire mal et je ne suis pas prête à prendre ce risque. Et je ne veux pas le prendre. Nous sommes un peu comme cette chemise qui part au large. À la dérive, prête à se perdre, loin de tout ce qu'elle connaissait., loin de la sécurité et de la sérénité du corps chaud qu'elle couvrait. " C'est gelé et ça me dégoûte " Que je souffle quand il éclate de rire en voyant mon visage déformé par le dégoût. Je déteste avoir les pieds mouillés et encore plus avec le sable. C'est d'ailleurs pour cela que je préfère me baigner à la piscine plutôt qu'à la mer. Mais quand je fais des exceptions, c'est pour de beaux paysages. Je ne crois pas au destin et à toutes ces choses mais je vais finir par croire que tout ça, nous deux, ce désir qui nous consume, ça n'aboutira jamais à rien. Si même les éléments s'y mettent… " D'accord " Que je lance tout simplement, pour réponse à ses deux questions. Karl ne m'attend pas et il est hors de question que je prenne les transports en commun pour rentrer les pieds mouillés. Je fais un pas de plus vers lui et grimace à nouveau. " Je peux pas marcher comme ça, je te jure que ça me dégoute " La sensation des chaussettes trempés contre mes orteils, c'est vraiment trop pour moi. Je pose ma main sur son épaule et ôte une basket puis la socquette qui va avec. " Je sais pas ce qu'il m'a pris de courir après un bout de tissu sérieux " Que je soupire, agacée contre moi même. Et quand je relève le visage pour le regarder, je lève les yeux au ciel. " Et enlève moi ce sourire de ton visage ou je te frappe avec mes chaussettes " Nous sommes dans une autre phase pour le moment. Ce n'est pas professionnel, ce n'est pas fusionnel. J'ai juste seize ans à nouveau. Et ce doux retour en arrière est aussi agréable que déstabilisant.
 
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T'as arrêté tout ça, d'un élan surprenant. Tu es partie courir après une chemise, comme ci il s'agissait d'un truc auquel tu tiens énormément. Tu m'offres une vision de toi que je ne connaissais pas, ou plus. Si je creuse dans les souvenirs, peut-être que je pourrais retrouver des moments de nous qui ressemblent à celui que nous vivons maintenant. Sans le désir, sans les baisers interdits, sans ce truc qui nous anime. Je te regarde, le sourire aux lèvres et, la moquerie en supplément parce que tu me fais une tête que j'aurais aimé prendre en photo. C'est inédit de te voir sortir de ta zone de confort et de ton allure naturellement hautaine. C'est un peu comme ci tu étais à découvert, et ça me plait. « Quelle idée en même temps.. » Dis-je en te voyant revenir vers moi. Et même si tu me fais rire, je n'ai pas envie que tu attrapes froid, ou que tu tombes malade. Mon vêtement n'en vaut pas la peine. Je ne vois qu'une solution pour rapidement être au chaud, ma voiture. Je te lance l'idée, ainsi que celle de te ramener. Et tu acceptes. Est ce que je viens de gagner des minutes supplémentaires en ta compagnie? La magie s'est envolée, il n'est plus question de savoir si nous allons nous sauter dessus. Mais la tournure que ça vient de prendre ne me dérange pas. Je nous sens moins adultes, moins responsables. Moins soucieux de ce qu'on pourrait bien penser de nous. Ta main sur mon épaule, je me fais solide pour que tu puisses t'appuyer correctement, et je ne manque pas de soutenir ton coude pour cela. « Ton amour pour la mode peut-être? » Mon sourire amusé ne cesse de s'afficher. Tu le remarques, et ta menace me fait éclater de rire. « Me frapper avec tes chaussettes? Tu n'as rien trouvé de plus crédible pour m'effrayer? » Cette vague de retour en adolescence me donne une envie idiote. Je sais qu'elle risque effectivement de me frapper si je me laisse aller à mon aversion. Tant pis, je vais me prendre des coups de chaussettes, et même de chaussures. « Allez, viens là Rocky Balboa! » Je surgis devant toi, j'attrape un de tes bras que je me passe derrière la tête et hop, je te soulève pour te porter tel un sac à patates. J'ai mal aux abdominaux de me marrer autant, mais putain qu'est ce que ça fait du bien. t'es là, sur mon épaules à te débattre. Et, je te mets une légère claque sur les fesses, tu vas me tuer je le sais. « On se calme là haut!  » Je marche, heureusement que personne ne peut voir ça. On passerait pour des fous. C'est ce que nous sommes, deux fous qui se cherchent. J'arrive à coté de ma voiture, et c'est le moment de te poser, et surement, de me faire frapper. Mon corps se baisse un peu, et tes pieds regagnent le sol. Bien sur, je me repense un peu en arrière, toujours ce même sourire d'idiot sur les lèvres.

 
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Je ne sais pas trop ce qu'il m'a pris. C'était complètement idiot de courir vers l'océan alors que le temps n'est clairement pas propice à la nage. Mais c'est la facilité et l'occasion de me détacher de lui avant que l'on fasse une connerie. Parce que l'envie de lui sauter dessus était tellement forte il y a encore quelques secondes. L'envie d'enrouler mes jambes autour de sa taille et de lui faire comprendre que, j'ai beau pas comprendre ce qu'il se passe, j'ai terriblement envie de lui. Je déteste cette attraction et je me demande si une fois fais, j'oublierais tout et pourrais passer à autre chose. Mais j'ai trop peur que ces baisers me manquent trop. Et puis, il est fiancé. Alors… C'est foutu. Clairement foutu pour moi en tout cas. Son regard, son rire, j'ai l'impression que nous venons de passer une autre étape dans notre douloureuse dynamique. Des enfants, à nouveau, en souvenir de ce temps où tout était plus simple. " Peut-être. Mais je ne l'ai même pas vu cette chemise au final, elle était peut-être hideuse " Parce que s'il a les mêmes goûts en matière de chemise qu'en matière de femmes - qu'on ne lui impose pas - on est pas sorti de l'auberge. Bien entendu, je ne dis rien de tout cela parce que ce n'est pas le moment de repartir sur un sujet qui pourrait nous diviser, nous aurons probablement le temps de faire ça ce soir, demain et les jours qui suivent. " Le linge mouillé, c'est pas très agréable " Que je souffle en attrapant ma seconde chaussette que je regarde avec dégoût. C'est vraiment un truc qui me… débecte. Je me détache de lui, sa main laissant comme une brûlure sur mon coude et je regarde autour de nous. Je ne sais pas d'où il est arrivé. Baskets en main, je le regarde et le questionne du regard. Il vient d'où ? De quel côté ? De quelle planète ? Et ça vraiment du être ça, mon occupation première. Parce que rapidement, je suis sur l'épaule de Wesley, une vue sur ses fesses et les miennes visibles par tout Revere Beach. " Pose moi par terre ! " Que je souffle, quelque peu agacée. Je ne me gène pas pour profiter de la vue, ma tête pendant dans le vide. " Je peux marcher Patterson, repose moi " Que je gronde avant de commencer à me débattre parce que je vois bien qu'il ne bougera pas. Et quand sa main claque sur mes fesses, j'hoquette de surprise. Il est sérieux là ? Je fronce les sourcils et prends mes chaussures en main. " Mais pose moi au sooool ! " Que je grogne en le tapant sur les fesses avec mes baskets. Je vous jure qu'il va avoir des bleus des ce soir parce que je n'y vais pas de main morte. Mais je sens aussi qu'elles sont musclées et je suis obligée de fermer les yeux pour ne pas me les imaginer nues. " Je vais te mordre si tu me reposes pas sur le sol " Que je lance, prête à me débattre pour lui chopper le bras, l'épaule ou tout ce qui me passera sous les dents. Il s'abaisse et je retrouve la terre ferme. Ma queue de cheval complètement défaite, j'ai l'air d'avoir vécu la meilleure bataille d'oreillers. J'ai les joues rouges, je suis obligée de rabaisser mon haut pour être sure que ma poitrine ne sorte pas du tissu et j'ai le souffle court. " Plus jamais tu poses ta main sur mes fesses, c'est clair ? " Que je lui lance, l'index droit en l'air, comme si je le menaçais réellement avant d'éclater de rire. Je n'ai aucune crédibilité, même si je sais me défendre. Seulement là, je me suis laissée aller. J'aurais pu le griffer, lui donner un coup de genou ou essayer de frapper fort du plat du pied, dans son entre jambe… Il y a des dizaines de façons de se débarrasser de la poigne d'un homme. Mais pour ça, il faudrait le vouloir. Je tente de reprendre mon calme, pose mes chaussures sur le toit de sa voiture et détache mes cheveux. On sera bientôt à l'abris du vent de toute façon. " Tu l'ouvres cette voiture ou il faut que je fouille tes poches pour les clés ? " Que je demande, le défiant du regard. Je doute qu'il ait envie que je fiche mes mains là. Alors qu'il se dépêche.
 
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