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Deux heures trente que t’es posté le cul sur ce bloc de pierre à quelques mètres tout juste de l’entrée du bal. La vue directement sur les portes du bâtiment, aux aguets. T’avais prévenu Ava que tu la laisserais pas y aller seul alors tu t’as improvisé. A défaut de pouvoir y pénétrer, t’as les yeux partout, prêt à bondir dès l’instant où elle sortira de là, accompagnée ou non. Tu laisseras même pas l’opportunité à l’un de ces pauvres types de poser ne serait-ce qu’une main sur elle parce que tu sais que trop bien ce qu’elle a pu subir ; et, surtout, combien elle est importante. Ne serait-ce même qu’à l’imaginer, tu supporterais pas qu’un autre lâche se dresse contre elle et t’es absolument incapable de savoir comment tu réagirais. Le dernier en date s’est volatilisé dès l’instant où tu t’es chargé de son cas, à croire que tes arguments étaient les bons. T’es installé, penché en avant, les coudes posés sur tes cuisses alors que tes poings te servent à reposer ton menton en attendant un petit signe de sa part.

@Ava Faulkner :heaart:
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tu l’savais. t’aurais pas dû venir, t’aurais dû rester, ton cul dans le canapé percé. une série à la con, ton corps mal lavé dans un jogging crasseux. sexy ? nada. antipode ta tenue d’la soirée. robe blanche, trop courte, transparente. t’es peut-être la lune de la soirée ? ou alors la fiente d’un pigeon crevé. porte du bal que tu repousses, escaliers descendus du haut de tes échasses inconfortables. mine de déterrée, tu veux crever. crâne oppressé. migraine qui vient t’frapper, tu l’savais. les sons trop forts, tu gères pas. la foule, tu gères pas. trop d’alcool, peut être, ouais, mais ça t’es incapable d’le juger. enervée, tu veux qu’une chose, te foutre à poil, à peine démaquillée, sentir tes draps low cost contre ta peau fraichement épilée. talons assassins qui claquent contre le sol, tête penchée sur ton sac, paroles bafouillées. putain d’anti inflammatoires. tu redresses ton regard sur l’ombre en face de toi. regard rapidement échangés, adil, la fouine. tu soupires, grimaces qui déforment tes traits trop maquillés. tu m’surveilles ? t’as un cachet là ? j’ai mal à la tête là.. tes deux mains qui entourent ton crâne sans même le toucher. tambours. en plus j’ai faim. râleuse.  
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Capable de tenir toute la nuit s’il le faut, tu repartiras pas d’ici sans t’être assuré que ta meilleure amie est entre de bonnes mains. Les tiennes, en l’occurrence. Parce que tu fais difficilement confiance aux étudiants complètement pétés qui vont finir par sortir de là au milieu de la nuit. T’as pas envie qu’il lui arrive un truc encore une fois. Tu vois une femme vêtue d’une robe blanche beaucoup trop courte, la démarche sortie tout droit des enfers. Un démon. Ton démon. Ava. Les yeux qui se plissent en la détaillant, sourire à l’envers. « Je t’avais dit que je serai là et je tiens toujours parole. » que tu siffles pendant qu’elle râle. Elle a faim et mal au crâne. Et t’es pratiquement sûr qu’elle a bu, cette idiote. « Viens là toi. » Ta voix rauque qui résonne dans la nuit alors que tu te redresses pour te retrouver debout face à elle. En te courbant en avant, tes doigts viennent se glisser sur le bas de sa robe pour la descendre un peu plus. Beaucoup trop courte à ton goût. C’est pas ta Ava qui porte ça. « Je croyais que tu venais là pour bouffer ? Pourquoi t’as faim ? » Plus de deux heures trente passées ici et elle a pas eu l’occasion de chopper un truc à se mettre sous la dent ? T’y crois même pas un peu.
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comme une petite gamine capricieuse, enfant mal lunée, tout simplement fatiguée. t’essayes toujours d’te prouver que tu fais comme tout le monde. bout d’meuf incapable de rester tout le long d’un bal d’université, ravagée par une migraine. c’est adil en face de toi, silhouette familière, réconfortante. longues minutes passées entre ces quatre murs à l’excès de décoration kitsch à souhait, longues minutes où tu ne savais même pas qui pouvait bien en avoir quelque chose à foutre de toi. embrylla peut être, sa robe de princesse et son teint de déesse. merde. ton fond de teint périmé qui laisse juste apparaitre ton acné, peut être simplement ton revers de main qui a frotté cette joue en tentant de dégager une mèche de cheveux trop laquée. il est adil. ses mains qui tentent de redescendre ta robe, trop serré, ton décolleté qui finit par s’agrandir à son tour. prunelles azurs qui se baissent sur tes micros seins ben trop à découvert. sans le moindre mouvement, cadavre. je croyais que tu venais là pour bouffer ? pourquoi t’as faim ? soupire qui ressort d’entre tes lèvres. quasiment un rire nerveux. j’crois que l’alcool à dissout les p’tits fours. mais j’ai pas beaucoup bu ! faux, il le sait, tu te contrôles pas, tu bois, alcoolique. j’ai envie d’mourir, mes pieds sont morts, ma tête aussi, mon string me gratte le cul. un pas en avant pour s’assoir sur le banc. cachelot déposé.
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Tu t’affaires à vouloir la rhabiller comme si elle était ta poupée, comme si t’avais quelque chose à dire à son sujet. Comme si t’avais des droits sur Ava alors que t’es rien de plus que son meilleur pote. Elle est loin, ce soir, cette Ava qui t’a valu un nez pété y a des années de ça. Elle aussi, elle est à des années à l’heure qu’il est. T’arrives pas à t’y faire et t’en as même pas envie ; pourquoi elle est venue ici au juste ? C’est un bal, rien de plus. Rien d’obligatoire. Tes mains quittent le bas de sa robe quand tu lui demandes comment elle peut bien avoir faim puisqu’elle est venue ici pour s’empiffrer. Sauf que ton regard tombe sur son décolleté, beaucoup trop grand. Les yeux qui roulent en lâchant un soupir, tu retires ta veste de jogging pour la lui enfiler qu’elle le veuille ou non. « Et t’oses me mentir ? » Tu te stoppes un instant, tes billes qui se retrouvent plongées dans les siennes pour déceler le vrai du faux. Ton nez qui finit par s’approcher de sa bouche quand elle parle une fois de plus, à la recherche de cette odeur de trop-plein d’alcool. Et t’as pas tort. Ta tête qui se recule dans une grimace alors que tu refermes la tirette de ton gilet sur elle. « Tu pues l’alcool. » que tu grognes. « T’as qu’à enlever tes chaussures, y a rien de plus que trois cailloux au sol dans le coin. Mais compte pas sur moi pour ton string. » Tu secoues la tête, elle te fascine cette nana. Certainement pour ça que tu l’aimes autant.
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tu lui mens. pourquoi ? peut être la peur de le décevoir, qu’il soit dégouté que t’es passé la soirée avec ce mec que t’en as rien à péter. enfaîte, il s’en fou surement, après tout. alors ça serait la peur qu’il s’en foute, en vérité ? ton cerveau est un merdier. tu lui mens, mais il le sait. il sait tout de toi, quand tu mens, quand tu respires, quand t’as tes règles. t’es persuadée qu’il fouille tes poubelles pour savoir t’apporter de la glace vanille pile au moment de tes soldats rouges. tu marmonnes dans cette barbe inexistante, sa veste sur tes épaules. zip qu’il referme, pour te camoufler. ton cul qui se pose sur ce banc, froid, glacé. ton sang ne fait qu’un tour, artères qui se resserrent. peau dénudée sur le bois souillé. ton corps qui vacille de gauche à droite, tentant d’oublier cette gêne, tissus qui te gratte, qui t’emmerde. quelle bonne idée, string dentelle. tes phalanges glissent le long de tes chevilles, retirer un escarpin, bouger tes orteils, douleurs de longues heures de marches, avec ces objets de torture. tu redresses un regard vers le sien. j’étais avec ce mec de tinder là, tu sais celui qui voulait m’serrer. c’est lui qui avait une bouteille. enfin, des bouteilles. escarpin que tu remets finalement à sa place, avant de finalement te relever, warrior. tu m’en veux ? on a rien fait hein, j'lai juste fait mijoter. yeux de chiens battus, yeux fatiguées, tous mélangés.
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Le bal pour toi, c’est juste une soirée où des types en chien se baladent en toute impunité. Tu sais que certains profitent de ce genre de fête pour faire de nanas un peu éméchées ce que bon leur semble. T’as horreur de ça, c’est un truc qui t’insupporte au plus haut point. Rien que l’idée que ça pourrait arriver à Ava ou à ta sœur, ça t’amène à serrer ta mâchoire. Ta sœur t’a d’ailleurs traité de parano à ce sujet mais tu sais que trop bien qu’il peut arriver n’importe quoi en peu de temps. Zéro envie que l’une de tes proches soit une fois de plus touchée. T’observes attentivement ta meilleure amie qui s’installe sur un banc, à l’affut du moindre de ses gestes, à décrypter chacune de ses expressions. Ses talons abandonnés puis remis, tu comprends même pas pourquoi elle fait ça. « Tu te fous de moi là ? Dis-moi que tu te fous de moi Ava. » Pourquoi elle a bu avec ce type ? Il veut la serrer et comme une idiote, elle accepte tout ce qu’il lui file ? Tu serais même pas surpris qu’il ait foutu un truc dans la bouteille pour la rendre plus docile en sachant que lui tiendrait. Tes sourcils froncés, le regard assombri par l’énervement que tu sens monter en toi. « Ouais, je t’en veux. Tu fais n’importe quoi, t’es complètement inconsciente. » Tes doigts viennent s’enrouler autour de son poignet sans trop forcer, pas la volonté de lui faire mal. « On rentre. » que tu siffles d’un ton autoritaire, bien plus qu’à ton habitude. Parce que ça t’agace d’imaginer ce qu’il aurait pu faire d’elle.
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tes orteils libérés, bouger dans tous les sens , essayer d’atténuer la douleur, le temps d’un instant. |i] tu te fous de moi là ? dis-moi que tu te fous de moi ava.|/i] paradoxe infernal que tu renfermes. bout de femme sensible, angoissée de ce qui l’entoure, des hommes, pourtant tellement provocatrice et irréfléchis. tu voulais lui prouver à ce gauthier, prouver qu’il n’arriverait pas à te faire flancher. le simple égo mal placé, surement. tu sens cette colère, celle qui ressort d’adil par ta faute. petite fouteuse de merde que tu es, il n’a rien demandé, encore moins de s’énerver pour la débile que t’es. tu ne veux pas qu’il t’en veux adil, pas lui. il est un besoin, comme vital. son oxygène t’aide à tenir debout, malgré tout. il est là pour toi, ce que tu es, sans vouloir te changer. juste te protéger. t’es aveugle. sa main autour de ton bras, sans te débattre. tu ne fais que le suivre, emboiter son pas, gamine engueulée. phalanges libres qui dégagent ton visage de ces mèches de cheveux. nez qui snif. pourquoi j’suis comme ça ? tu sais, pourquoi j’ai toujours besoin de faire les mauvais choix ? existentiel. est-ce qu’un jour tu vas m’laisser parce que t’en aura marre de moi ? tu as peur, peur de l’abandon, de le perdre parce que t’es con.
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T’as aimé Ava dès l’instant où tu l’as vu. Petit bout de femme complètement perché, dans un univers parallèle. Le caractère de feu à mille lieux du tien ; toi, trop gentil et trop protecteur. Pourtant, t’aurais pu lui en vouloir et la détester ; t’imagines même que c’est exactement ce que n’importe quel autre mec aurait fait dès la seconde qui a suivi votre première rencontre. Un urbex, une pelle et ton nez. Mauvais mélange qui t’a occasionné quelques heures passées aux urgences de l’hôpital pour un nez pété. Ca te fait encore rire des années après. Tellement ridicule comme situation, t’aurais même pas cru ça possible. Mais pour l’heure, t’es là, ton bras qui s’enroule autour d’elle pour la protéger après avoir relâché son poignet. La protéger de ce monde trop agressif, trop plein de dangers auxquels elle pourrait succomber. T’as peur pour elle, peur de la perdre, peur de devoir vivre sans sa présence quotidienne. Elle te pose des questions auxquelles t’as même pas envie de répondre parce que tu sais pas. Sauf qu’elle te demande si tu vas la laisser, un jour. Et tu t’arrêtes aussitôt, ton bras la quittant pour venir déposer tes mains de part et d’autre de son visage, sur ses joues. Le regard planté dans le sien, l’air trop sérieux. « Je t’abandonnerai jamais. » que tu prononces trop lentement comme si tu voulais être certain qu’elle l’enregistre bien. « Je te ferai pas ce plaisir. » Rictus qui se dessine à la commissure de tes lèvres qui, elles, finissent par se plaquer sur son front.
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des milliards de questions qui te transpercent le crâne, tout le temps. insomnies à répétitions à force de penser, de réfléchir. resasser le passé, le présent, tirer des plans pour le futur quand tu n’arrives même pas à savoir ce que tu veux aujourd’hui. anxieuse de tout, de rien. l’anxiété elle-même. la peur de la peur. lucide ou tragique, personne ne sait encore. tu as peur, de le perdre, lui, embrylla, comme t’as perdu ta mère, ton cœur, ton âme. tu te sens comme une coquille vide, dépouillée par le passé. pourtant, tu ressens l’intégralité de tes organes vibrés à la moindre émotion. les yeux qui brulent, tu te retiens de pleurer, verser une larme, pleine de fragilité, pour le simple fait qu’il soit énervé, par ta faute. son bras autour de ta taille, cette tête qui va exploser. il s’arrête finalement face à tes questions. sa peau qui vient caresser la tienne. son regard qui se mélange au tiens. vague de chaleur qui te remonte le long du corps, bouffée de chaleur d’une vieille ménopausée. chaleur rassurante, un cocon douillet. adil, il t’apaise, c’est ta glace devant un film post rupture. son regard te réconforte un instant. je t’abandonnerai jamais. ses mots qui percutent tes pensées. tu pèses chacun d’eux. paupières qui se referment quand ses lèvres viennent déposer un baiser sur ton front. tes bras viennent à leur tour enlacer adil, fort, aussi fort que tout ce que ressens. ton visage contre son torse, un instant. le temps de redresser ton visage, la main qui balaye le tissu de son haut. y’a mon visage en double sur toi là. maquillage à la con. de toutes façons j’te laisserais jamais tranquille. tu tournes autour de lui, dans son dos, tes avants bras autour de son cou, un petit saut et tes jambes qui se mettent autour de sa taille. c’est confort là-haut ! une de tes mains retient ta robe en dessous d’ton cul. ok va pas falloir beaucoup bouger, sinon le monde va découvrir mon string.
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