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Take it easy with me w/seo jun han

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L’homme au bar est un homme qui aime autant la beauté des femmes, qu’autant la sensualité d’un homme. Je hausse les épaules d’un air compatissant. Pauvre garçon, il ne mérite pas d’être dragué de la sortes, malgré le fait que les femmes doivent abuser de sa trop bonne gentillesse. Je suis d’ailleurs curieuse des cocktails sans alcool que nous faisons au bar : je suis l’experte des mélanges d’alcool de notre bar de la dépravation. Peut-être même la meilleure barmaid de cet établissement du fantasme. Cependant, je préfère ne pas répondre à ces affirmations : je suis l’experte des nectars qui enveloppent mes clients d’un feu à éteindre.
Curieusement, ce nouveau baiser m’embrase. Il me consume, il me plaît, j’en ai envie. Je réponds à ce baiser avec la même sensualité. Immédiatement, je ne désire que ses lèvres, je ne désire que lui. Je sens mon cœur qui tangue : dois-je ressentir si rapidement ces sentiments d’addiction ? Dois-je le faire attendre encore un peu ? Dois-je me faire violence et réfléchir à ce que je suis actuellement de faire ?

Je grimace légèrement en entendant le mot « paternel ». Des souvenirs me reviennent, un par un. Mon père s’étant disputé avec celui du garçon qui possède mes lèvres. Une petite fille aux longs cheveux bruns qui s’était fâché contre un petit garçon qui la prenait bien trop de haut, qui pensait être supérieur à elle. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres, alors que je lui tourne toujours le dos.

- Je déteste ton père, je me souviens qu’il m’avait tellement disputée quand je t’ai dit qu’un petit bourgeois comme toi n’avait rien à me dire, que tu étais plus minable que moi. Nous avions à peine dix ans, dis-je, très peu nostalgique.

En me retournant vers lui, mes yeux deviennent ronds et un regard de surprise l’observe attentivement. Je m’approche de lui et essuie une larme qui perle sur sa joue. Je penche légèrement la tête, puis mordille ma lèvre inférieure.

- Ne pleure pas, nous n’avions que dix ans. J’avais déjà un horrible caractère mais tu l’avais cherché !

Je pose mes mains sur ses joues puis appuie sur celles-ci pour lui donner un visage plus enfantin. Je souffle sur une mèche qui glisse devant mon visage, tout en l’observant. Je l’observe de mon œil de photographe, comme-ci je jauge la qualité de mon modèle.
Je relâche doucement ses joues puis réfléchis au fait qu’il dorme ici, dans mon appartement, avec moi. Je grimace légèrement : et on passait encore une nuit ensemble et que je préférais m’enfuir à l’aube ?

- Tu prendras ma chambre, je dormirai sur le canapé. Je préfère au cas où on aurait l’idée de coucher ensembles.

Je lui souris, et cette fois, c’est à mon téléphone de sonner. Un message de mon père m’indiquant le lieu de son mariage. Je souris comme une enfant lorsque je vois la photo d’une jolie robe rose pastel, celle que je portais lorsqu’il s’est marié avec ma mère. J’ai l’air rêveuse, mais cette vision de moi enfant, avec ma mère souriante, me réchauffe le cœur. Je pose le téléphone contre ma poitrine, un sourire chaleureux sur les lèvres. Maman serait fière de toi, papa, je peux l’assurer.

- Excuse-moi, mon père va se remarier et il a retrouvé un beau souvenir, je vais te donner ma chambre, donc.




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"Oui je me souviens et d'ailleurs j'ai aimé ton cran de dire cela face à mon paternel. C'est pour cela que je t'aime Jo Hee, tu as du cran comme moi. Et cela est admirable, que ce soit à dix ans ou à un autre moment. Je m'en fiche, car tu es la même, enfin tu as évolué, mais tu es comme tu es. Et même si tu changeais encore, je t'aimerais toujours."

Je laisse échapper un rire en me souvenant de ce passage, puis je viens à penser à son père de ce qu'il peut bien devenir. Mais elle se retourne et je la regarde l'air surprise. Puis elle vient essuyer une larme sur ma joue. Je n'avais pas senti la larme. Elle pense que je pleure à cause de ce qui s'est passé lorsque nous avions dix ans. Puis je viens me mettre dans ses bras pour un câlin.

"Non ce n'est pas à cause de cela. C'est la chanson, je me souviens que ma mère me la chantait souvent. Et elle est morte quand j'étais au lycée. Avec mon paternel on l'a laissé à Daegu quand elle est tombée malade, il voulait absolument que j’étudie à Séoul. Et quand ma mère est morte ce jour-là, il pleuvait et l'orage grondait également. Désolé si je n'ai rien dit et je n'ai plus de contact avec mon paternel. D'ailleurs il a remplacé ma mère trois mois après son décès."

Je serre mes poings, sentant la haine monter, mais être dans les bras de Jo Hee me fait du bien et je me calme et je l'écoute doucement.

"Jo Hee, tu vas peut-être trouver cela bizarre, mais ce soir je veux seulement dormir. Alors, tu peux venir aussi dans ton lit avec moi. Et puis je suis blessé, donc je risque d'aggraver ma blessure si je fais quoi que ce soit."

Un téléphone sonne et ce n'est pas le mien, je laisse Jo Hee aller chercher son portable et je la suis et regarde et souris. Puis je viens poser un doigt sur sa joue pour lui dire qu'elle est mignonne.

"Désolé, mais je n'ai pas de photo de mariage de mes parents, car ils ne sont pas mariés. Et tu vas aller seule au mariage de ton père? En tout cas félicitation pour lui, d'ailleurs il va bien? Et reste avec moi dans ta chambre, je te promets de me tenir a carreau."

@Jo Hee Seo
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w/ @Seo Jun Han


Le caractère bien affirmé est un trait de caractère de ma défunte mère. D’autant plus que le temps n’arrange pas ce caractère difficile à supporter pour certains, et admirable pour d’autres. Une fille reste toujours le digne enfant de sa mère, elle porte les traits de son visage, elle possède le même caractère, et quelques fois, elle ramasse les rêves qu’elle a semé lorsque l’enfant est née. Ma mère a toujours été dans mon cœur, j’ai l’impression qu’elle me surveille chaque jour, et même si elle n’est pas fière des choix que je fais, elle soutient son unique enfant.
Quant à cet homme, le père du garçon qui s’en plaint tant, c’est un égoïste incapable de ressentir qu’il est humain. Ce n’est pas quelqu’un de bien, il ne l’a jamais été et ne le sera jamais. Un homme qui plaît tant aux croqueuses de diamants mais qui devient vite une ombre sur une toile parfaitement pure.

A mes dix ans, ma tête était bien dure, mais imaginez vous vous retrouver devant la même gamine, mais à ses vingt-trois-ans. Toujours aussi têtue, toujours aussi franche. Ce n’est pas pour rien que j’ai obtenu le travail de barmaid au bar de la dépravation et de tous les désirs.
Je hausse faiblement les épaules face à sa réflexion : ce caractère est une fierté, autant en profiter. Si le soleil rayonne en moi, je sais très bien me faire devenir l’orage lorsqu’il en est nécessaire.

Le regard un peu plus attristé, mes lèvres prennent un petit sourire mélancolique. Cette chanson est celle que l’on chante aux enfants lorsqu’ils font un mauvais rêve ou lorsqu’ils n’arrivent pas à dormir. L’histoire de deux enfants qui se promènent sur la route des rêves, qui doivent faire attention à ne pas s’approcher trop près de la rivière des mauvais rêves. Ils se tiennent la main, et découvrent qu’ils sont le prince des rêves de chacun, qu’ils se protègent de l’horrible monstre mangeur de poussière d’étoile.
Ces deux enfants, ma mère me chantait qu’il s’agissait de moi et de mon ami enfance, dont j’observe la petite poupée accrochée à mon sac, là, dans l’entrée.
Cependant, comme je comprends cette douleur vive que l’on ressent lorsque l’on perd cette personne qui vous a tenu contre sa peau la première fois que vous ouvert vos yeux au monde, celle qui vous faisait rire lorsqu’une vilaine blessure vous faisiez pleurer.

- Perdre sa mère est la pire chose au monde, dis-je en caressant doucement sa joue, mais on finit par se dire qu’elle est quelque part, qu’elle veille sur nous. Et ton père sera toujours plus con, alors sois le fils que tu aimerais montrer à ta mère, pas à lui.

J’hésite réellement à dormir avec lui, tout cet… Amour, qu’il me donne ce soir, et la fatigue du bar me donnent une migraine qui me frappe le crâne à coup de marteau. Je ne pense pas être en mesure de vouloir de la compagnie ce soir, dans mon lit. Mon regard est désolé, j’ai peut-être besoin de rester un peu seule ce soir, et mon canapé est fort confortable. De plus, même si demain est un samedi, j’aimerai préparer ma journée. Peut-être revoir ma Lia, ou aller me promener avec mon tendre ami d’enfance.
Je passe ma main dans mes cheveux et les détache, ils tombent en cascade dans mon dos, et ça me fait du bien de ressentir cette épaisse chevelure être libérée.

- Si tu veux bien, j’aimerai dormir seule ce soir. Tu es arrivé brusquement comme un boulet de canon qui veut détruire les grandes murailles de ma vie, et j’aimerai me reposer, je suis épuisée.

Je lui offre un petit sourire désolé avant de lui montrer ma chambre. Je lui montre le lit du doigt, puis m’appuie contre la porte.

- Il est confortable, et ce sera plutôt bien pour ton épaule, ça lui fera du bien.



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A ce moment précis, je ne cesse de la regarder, je préfère ne rien dire. L'admirer et la seule chose que je veux faire, si j'avais le pouvoir d'arrêter le temps, je le ferais maintenant. Seulement pour la regarder parler, car quand elle parle, chante, danse elle est magnifique. Je me rends compte maintenant la raison du pourquoi, oui pourquoi elle a fait de moi l'homme que je suis.

Seulement elle est unique, différente des autres que j'ai pu croiser. Personne ne peut lui arriver à la cheville. Si elle serait en danger, je n'hésiterais pas à donner ma vie pour elle. Et cette bouille, ce tempérament c'est pour cela que j'aime. Un coup elle peut être un ange et d'un coup être sérieuse.

Puis je reviens sur terre, lorsqu'elle me caresse la joue, je la regarde dans les yeux et viens caresser doucement et seulement ses joues, douces un peu rebondi comme j'aime. Pas une nouvelle fois, je ne vais pas l'embrasser. Puis elle parle de mon père et je ris amuser. Je prends sa main doucement et l'emmène sur le canapé.

"Jo Hee, je dois te dire quelque chose. D'abord, tu es unique et j'aime ça. Ne change pas. Je devrais porter le nom de famille de mon paternel, mais j'ai préféré prendre celui de ma mère. Et mon père est Yi Won, son Altesse impériale Yi Won de la dynastie joseon. Et je ne le laisserais pas mon paternel crée des ennuis dans ta famille. Donc oui ça fait de moi un Prince, mais vois le même homme que tu vois depuis des années."

J'embrasse son front et me redresse et garde sa main dans la mienne pour aller vers sa chambre. Je ne lui en veux pas pour son choix de dormir sur le canapé, mais je retiens si elle vient à vouloir dormir encore sur le canapé de l'autre côté, je refuserais. Pourquoi? Tout bêtement je ne veux pas qu'elle se blesse.

"Merci Jo Hee, fais attention à toi et n'attrape pas froid. Bonne nuit."

Je l'embrasse sur la joue doucement et ouvre la porte et souris, puis je la regarde un moment, je me mordille la lèvre. Mon coeur bat rapidement, puis j'oublie et la prends dans mes bras et viens l'embrasser. Je pose une de mes mains sur ses joues et continue de l'embrasser et l'embrasse encore avec tout mon amour que j'ai pour elle.

Je ferme la porte avec mon pied oubliant que nos portable sont dans la cuisine. Quoi de mieux pour être tranquille ensemble. Je viens m'allonger avec elle sur le lit et la regarde dans les yeux en caressant son front.

"Je t'aime"

@Jo Hee Seo
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Sans voix durant quelques minutes, mon corps incapable de bouger, ma voix incapable de s’exprimer, et le regard livide, je me trouve devant un prince, descendant d’une grande lignée de la Corée du Sud. Nous l’avions étudié à l’école, je m’en souviens, l’institutrice nous avait raconté qu’elle était l’une des dynasties princières encore vivantes aujourd’hui, et qu’elle était née bien avant que la Corée du Sud ne porte ce nom.
Pendant que lui est un prince reconnu, je suis la barmaid qui adore charmer les hommes dans un bar où tous les fantasmes sont permis. Je désire chanter sur une scène où les corps seraient envoûtés et danseraient au fil de ma voix charmeuse. Ce garçon, en face de moi, qui me répète quel être, ô grand unique je suis, est un prince. Vous savez, comme dans ces dramas coréens que je dévore autant qu’une bonne crème glacée avec des pépites de cookies dedans.
Un rire nerveux passe la barrière de mes lèvres au bout de quelques minutes d’égarement dans mes pensées. Une fille avec une sorte de double vie et un prince. Quel couple original !

- Ok, donc… On en reparlera une autre fois, parce que là ma tête va sûrement exploser.

J’ai réellement besoin de dormir, de me sentir reposée. Une bonne nuit de sommeil ne me fera réellement pas de mal, tout au contraire. Cette nuit a commencé par des révélations face auxquelles j’ai un peu de mal à faire face.
C’est pour ça qu’après un bonne nuit bref lancé au jeune homme, je me suis retournée pour me diriger vers mon salon. Sans compter sans ce prince pour me retenir dans un baiser que je n’arrive pas réellement à lui rendre. Ce soir est une soirée qui me fait un peu de mal, je n’arrive plus à remettre les pieds sur Terre.

- Tu dois arrêter de faire ça, ça va extrêmement vite, dis-je en le poussant sur le côté et en me redressant, tu dois comprendre que tu es un garçon vraiment charmant, mais… Mais tu me racontes trop de choses, et tu penses que ça peut aller tellement rapidement, tu dois attendre, je ne suis pas prête.

Je passe ma main sur mon visage puis pose ma main sur mon cœur. Je le sens ici, à battre si fort. Je me relève puis jette un regard vers le jeune homme avec un sourire désolé.

- Notre relation ne peut pas se construire sur ça, on doit sortir comme les gens normaux, tu sais, des dates, on doit apprendre à se connaître vraiment, comme les couples normaux, dis-je en soupirant.

Je lui souhaite une bonne nuit en murmurant ces mots envers lui, puis ferme la porte derrière moi.
Je me colle à la porte mais ne me rend pas compte que je parle tout haut, mes pensées étant plus fortes que ce que je ne pensais.

- Bon, Bridget, ma déesse intérieure, je sais que j’ai demandé l’amour mais pas besoin de me l’envoyer avec tant de violence en pleine figure…



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"Avec plaisir Jo Hee, je sais que ça dois faire gros ce que je viens de dire. Fais attention à toi. Sert toi de la bassine d'eau et pose un linge sur ton front. Enfin tu connais, je ne vais pas te dire comment faire."

Il est vrai que là je m'inquiète pour elle, surtout que si elle tombe ou qu'elle soit malade, je m'en voudrais. Etant dans la chambre je l'embrasse et je sens que je suis le seul à embrasser. On dirais bien qu'elle est fortement fatiguer, je sais quoi faire et j'attendrais qu'elle soit endormit pour le faire. Non je vais rien faire de mal, quelque chose de gentil et adorable.

Je l'écoute me parler et je caresse son visage doucement. Je la vois qui est vraiment épuiser. Je ne voudrais pas la retenir plus longtemps, je ne veux pas non plus que son état s'aggrave. Je la regarde se relever et l'aide au cas où qu'elle est un malaise. Puis je l'écoute toujours. Je viens lui répondre enfin.

"Je suis d'accord avec ce que tu demandes. Et ce que demain soir tu es libre? Peut-être que tu voudras demain passer la journée seule ou avec des amis. Alors je te propose le soir devant l'université si tu es d'accord. Et s'il te plaît je suis quelqu'un de normal. Ne fais pas attention à mon titre. Je suis Seo Jun Han"

Je me lève et la retourne pour la faire sortir de la chambre et avant je l'embrasse sur la joue. Puis je lui ébouriffe les cheveux et souris et ferme la porte. Puis je ferme les rideaux et j'entends une voix et souris entends la sienne.

Je ris en silence et je vais me glisser sous les draps pour dormir. Mais je sais que je vais pas tarder à me réveiller pour faire ce que j'ai dis. Je me suis promis de ne pas faire de chose qui pourrais tout mettre à terre. Mais je veux la protéger de tout coup de froid. Et je suis sérieux là, mais j'ai du mal à dormir et je commence à chanter la berceuse de ma mère, puis doucement je m'endors fatiguer. Je souris doucement parce que je suis heureux d'avoir dis mes sentiments.

@Jo Hee Seo
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Je ne me souviens pas vraiment avoir répondu à la demande du jeune homme. Je ne suis pas libre le samedi soir, c’est un soir particulier où je m’autorise une sortie avec Lia, ou peut-être dois-je dîner avec mon ami d’enfance. Oui, il me semble que c’est ça. Je dois dîner avec un ami, mais il me semble que cette nuit le sommeil ne va guère me faire l’honneur de sa présence.
Je dormirai très certainement demain toute la journée avant de m’autoriser une soirée agréable bien méritée.
Alors comme le jeune homme me l’a si gentiment proposé, je pose un tissu ma tête après avoir bu un bon verre d’eau. Essayons de calmer cette migraine qui tape dangereusement dans ma tête.

Seulement, je n’ai dormi qu’une heure. Me voilà parfaitement bien éveillée. Je suis assise en tailleur sur mon canapé, en tournant une mèche de cheveux autour de mon doigt. Dois-je ? Je ne risque de le réveiller si je tente de faire ce dont j’ai envie ? Je pense qu’il dort, l’appartement est plus silencieux qu’il y a une heure.
2h18 du matin, je ne suis toujours pas endormie. Bien, je pense sincèrement qu’il est temps d’accomplir ce désir qui me démange.
Après être allée chercher un bol de céréales, je lance l’un des Disney qui me fait plus le chanter, qui me donne le plus envie d’être moi : Raiponce. Si le son de la télévision n’est pas fort, ma voix, elle, est un peu forte et je me dispute moi-même. Baisse donc d’un ton, jeune fille, un homme dort dans ta chambre.
Je suis dans mon canapé, debout comme une enfant excitée de revivre l’un de ses Disney favori. Je chante à tue-tête, en me chuchotant de baisser d’un ton quelques fois.

- Cette brise la première, je l’entends m’appeler, chantonne-je, l’air absolument enfantin et comblé.

Si vous vous demandez si ma migraine est partie, je vous assure que c’est bel et bien le cas. La seule heure de sommeil que mon corps m’a accordé, et qui ressemble à une sieste, m’a redonné l’énergie nécessaire pour regarder ce qu’il me plaît et manger des céréales à pas d’heure.
Puis j’entends quelqu’un dans le couloir, je reste donc aussi immobile que possible, là, debout sur mon canapé, alors que Raiponce tourne sans s’arrêter.

- Pourvu que c’est juste un fantôme, pas lui, chuchote-je à moi-même.



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Étant profondément endormis, je me laisse partir dans un rêve, un rêve où je peux revoir ma mère, son visage, la voir danser, rire. Je me revois aussi dans le panier de son vélo et elle qui pédale à travers champ et moi qui ris heureux. Je ne me vois pas, mais je souris heureux. Puis je revois le jour où l'on ma annoncer la mort de ma mère.

Mes yeux bouge rapidement, bien qu'ils soient fermer. Cela veut dire chez moi que je fais un rêve horrible et que demain j'aurais une tête horrible. Je me réveille rapidement en revoyant la chambre et le lit. Je regarde le plafond éclairer faiblement par les rayons de la lune.

Puis j'entends une voix venir du salon, je souris amuser. J'allume la lumière et regarde l'heure et vois qu'il est tard. Je me demande si elle va mieux. Je quitte son lit voulant la rejoindre. J'éteins également la lumière et ferme sa chambre. Je ne suis pas en caleçon, non je suis en pantalon.

Avançant dans le couloir, je vois la lumière dans la pièce a vivre et j'avance et la vois debout immobile sans bouger. Je pose doucement ma main sur son épaule et regarde la télé. Mon visage et encore marquer par mon rêve horrible, ce qui veut dire pâle, c'est toujours comme ça quand je fais un cauchemar, mon visage est pâle.

"Jo Hee, tu vas bien? Tu regardes un disney? Ah Raiponce, tu peux le remettre? Je veux le regarder avec toi. Tu as quelque chose à grignoter pour nous deux? Ou si tu veux je vais me préparer quelque chose ou le chercher pour nous deux."

Cela est digne d'un moment de couple, aussi on apprends à se connaître. Car je n'ai jamais dis que j'aimais les Disney's. Alors sûrement elle va être étonner. Aussi je suis prêt à faire une collection de Disney. Je la regarde et lui demande.

"Tu as mis Disney+ ou c'est un dvd? Et ta tête elle va mieux?"

Je m'approche près d'elle, ignorant que je sois torse nu, je pose ma main sur son front et regarde si elle a de la fièvre. Je souris et me recule et la regarde.

"Ça va tu n'as pas de fièvre, mais ménage toi un peu. Je m'inquiète pour toi, même si tu es têtue."

@Jo Hee Seo
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Le fait que cet homme soit torse nu devant moi ne me dérange aucunement, cependant, et au vu de l’aspect de son visage, le sommeil doit lui manquer. Quant à moi, l’énergie est débordante et si l’on m’appelait pour refaire une nuit à servir les cocktails, je ne dirais très certainement pas non. Ma migraine s’étant envolée pendant ma petite sieste d’une heure, je me tiens debout comme une enfant excitée lors du matin de Noël. Sauf qu’à défaut, il est très tôt dans la matinée, la nuit règne encore, là-dehors, et il n’est l’heure de fêter Noël.
Aucune fièvre à l’horizon, plus aucune douleur, simplement l’envie de ne pas dormir ce soir. Je montre le paquet de céréales du regard pour montrer le paquet de céréales que j’ai dévoré un peu avant qu’il n’arrive.
La plateforme que Disney a mis en place il y a quelques temps n’est pas faite pour toi. Entre Disney et Marvel, ma collection de livres, de DVD et autres goodies n’a jamais cessée de s’agrandir.

Je me lève et ouvre les petites étagères du meuble télévision. Là se cache mes collections de DVD, tout ce que j’ai acheté au fur et à mesure du temps.

- Je te présente une collection bien remplie de Disney et de Marvel, soigneusement achetée par moi-même.

Je suis comme une enfant montrant sa collection de jouets à sa famille ou à ses amis. Je souris innocemment avant de sauter sur le canapé. Ce que j’aime tant les Disney où je sais que je peux me détendre sans me soucier d’autre chose que moi-même.
Je lève cependant les yeux au ciel lorsqu’il tente désespérément de savoir si mon état s’est empiré, ou au contraire amélioré. Je suis deux personnes à la fois, l’aurait-il oublié ?

- Je vais bien, je sais prendre soin de moi, même ivre je sais le faire, et tu t’en souviens bien puisque nous étions un peu éméchés quand nous avons couchés ensembles, c’est pour dire que même avec un coup dans le nez, je suis où je dois m’arrêter et où je peux aller, seule.

Je lui fais un clin d’œil, en espérant qu’il comprenne au fur et à mesure de notre relation que je suis une fille qui revendique sa liberté. Ce n’est une chose facile à accepter avec une fille comme moi, j’en suis bel et bien consciente. Mais pour rien au monde je changerai celle que je suis, je suis une fille correcte avec des rêves plein la tête et un comportement, ma foi, fort difficile à gérer.
Je ne désire pas que l’on me change, que l’on fasse de moi celle que je ne veux pas être.

Au fur et à mesure du film, je sens que le sommeil me gagne. Effet soporifique ? Ou simplement épuisement que j’ai tenté, vaguement, de faire disparaître ? Je pose ma tête sur les genoux du jeune homme assis à côté de moi, après y avoir posé un coussin, et me repose sur lui, les yeux fermés. Le sommeil me gagne, et je me sens apaisée, prête à passer une nuit paisible.
Une enfant endormie devant son film préféré, une jeune femme prête à passer une nuit auprès d’un homme qu’elle n’aurait jamais cru revoir.  



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Doucement mon rêve s'efface, je commence à me sentir mieux. Merci Jo Hee d'être toi même. Je souris et ris de la voir ainsi, toujours aussi excité comme une enfant devant ce quelle aime autant. D'ailleurs cela ne me dérange pas et j'aime qu'elle soit elle même. Sinon à quoi cela sert d'être une autre personne? Car en y repensant toutes les nanas avec qui j'ai eu des courtes relations, elles s'inventaient une vie et c'est pour cela que je coupais la relation. Mais Jo Hee est vraiment différente , la femme la plus libre, têtue, un caractère que j'aime qui est pas exactement comme le miens, mais c'est presque moi.

Je ris encore en repensant à le discussion entre elle et mon père. C'est un petit bout de femme, mais un électron que j'aime. Mon électron à moi. Avec une beauté, mais comme je plaide coupable, le physique ne joue pas sur mes sentiments.

"Ouha, tu es unique, je répète ne change pas."

Je viens regarder avec mes yeux près d'elle émerveiller par toutes ses choses, puis je me mets à rire en me souvenant d'une photo de moi avec le masque de Iron Man. Je la regarde encore me montrer, je crois que nous deux à Disney, ce sera merveilleux.

"Ma wonder women"

Je la regarde et je sens que si je continu, je risque les foudres. Je souris et lève mes mains pour ne pas en dire plus et me faire pardonner de mon comportement trop protecteur. Puis je comprend, ce qu'elle me dis et je lui en veux pas, en même temps nous sommes des canons, il est normal que nous ayons eu des aventures, coups d'un soir et j'en passe. Je me pose sur le canapé et je la vois qui commence à fatiguer. Puis elle pose un coussin sur mes jambes.

Je la regarde et vois qu'elle part dans les bras de morphée. Je soulève doucement sa tête et la repose sur l'oreiller et ferme son placard et la télévision. Puis je la prends dans mes bras pour aller dans la chambre. Je la mets dans le lit et la couvre.

Puis je reprends mon tee shirt que j'enfile et viens me coucher tranquillement près d'elle. Un dodo avec elle cela ne fais pas de mal. Je m'endors également sans problème étant serein. Je suis tellement bien, que je ne fais pas de cauchemars et j'oublie la pluie dehors.

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