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Super nanas & Bridget w/cecilia ricciarelli

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Chagrin d’amour ? Bridget Jones. Solitude amoureuse ? Bridget Jones. Amourette ? Bridget Jones. Moment entre meilleures amies addict à la glace et aux films à l’eau de rose ? Bridget Jones.
Bridget Jones est la réponse à mon état actuel : je ressens cette irrésistible envie d’amour. Elle était aussi le prétexte pour que ma meilleure amie revienne dormir à la maison, à passer sa nuit à rêver d’amour avec moi, et notre fidèle ami : le pot de crème glacée.
Bridget Jones, c’est un peu ma solitude amoureuse qui fini par me narguer car elle-même a trouvé l’élu de son cœur. Une irrésistible envie d’un Monsieur Darcy n’est pas interdit.
Bridget Jones est aussi celle qui me réunit à Cecilia, deux filles qui aiment flâner devant la romance et l’horreur.
Mais ce soir, nous allons devenir guimauve.

Je prépare mon appartement comme un réel petit nid douillet. Je n’ai pas encore trouvé un colocataire, ou une colocataire, voulant supporter le brin de folie sur pattes que je suis. Alors mon salon devient l’endroit où nous allons, très certainement, nous endormir très tard.
Couvertures au sol, café et chocolat chaud en préparation, et surtout légère tenue pour se sentir à l’aise, je suis prête pour la soirée des deux super nanas.
Le balai en main, puisque je viens de ranger un peu mon chez-moi, je danse et chante avec lui en main. Je suis une inconditionnelle admiratrice de Mamma Mia, et n’hésite pas à chanter à vive voix cette musique entraînante.
Mes voisins apprécient ma voix, surtout ce beau garçon qui habite non loin de cet appartement du brin de folie. J’arrive tout de même à me dire que je dois être une plaie à vivre.

J’ai l’impression de m’entraîner pour le bal. Même si je suis bonne danseuse, j’aimerai faire bonne impression à mon cavalier.
Je baisse la musique et range mon balai. Je prépare un endroit pour Rags, la grosse peluche de Cecilia. Je l’adore, il est le réconfort et la douceur incarnée malgré sa grande taille. Ce chien peut vivre des journées et des journées avec moi ; je me dis qu’il serait temps pour moi d’adopter un animal, ou un colocataire.

- I can still recall our last summer, chante-je doucement, en tapant mes coussins sur le canapé.

Je rajoute quelques petites bricoles à grignoter : quelques bonbons, guimauves, et bières. Si le café et le chocolat sont de mise, quelques bières ne nous fera pas de mal.
Et enfin, j’entends quelqu’un frapper à ma porte. Je sais que c’est elle.

- Tu peux rentrer, bébé !

Eh bien ? Un peu de suspens pour les voisins, les laisser croire que la folie habitant à côté de chez eux s’est enfin trouvé un amoureux.



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Fourrant son pyjama dans son sac, Cecilia ferma la fermeture éclaire et soupira doucement. Elle était contente, elle allait passer la nuit chez Jo Hee, sa meilleure amie. Elle adorait passer ses soirées là bas, avec Jo c'était toujours une expérience folle. Elle savait parfaitement qu'elles allaient passer leur soirée à rire -ou pleurer devant un film- et à papoter de tout et de rien. Cecilia adorait Jo, c'était son énergie depuis des années et elle refusait de l'abandonner elle aussi. La jeune femme attrapa son sac pour aller le poser dans l'entrée, observant Rags qui avait déjà sa laisse dans la gueule. Avec un petit rire, elle l'accrocha à son collier qu'elle venait de lui mettre et enfila ses chaussures avant de vérifier qu'elle avait tout ce qu'il fallait pour la nuit. Si Jo n'avait demandé que du sucré, Cecilia ne s'était pas gênée pour se prendre aussi du salé, passant à l'épicerie asiatique non loin de son appartement. L'emplacement de son appartement avait été un choix stratégique qu'elle avait exigée à son arrivée à Boston. Chinatown. Il était hors de question que la jeune femme ne soit pas à trois pas de ce quartier, souhaitant ne pas faire tout le tour de la ville pour s'y rendre. Elle avait donc été acheter des chips de ramens, des pois grillés et salés ainsi que des beignets chinois. Elle savait qu'elle allait encore se gaver ce soir. Cecilia s'étira, attrapa son sac et son sac à main, la laisse de Rags et fila au parking pour s'installer dans sa voiture. Elle roula tranquillement dans les rues de Boston pour rejoindre l'appartement de Jo qui devait encore être complètement excitée de cette soirée. Une fois devant la porte, Cecilia donna quelques coups avant d'entre Jo lui dire d'entrer. Sa façon de parler l'amusa et Cecilia prit une voix grave en rentrant dans l'appartement, parlant bien fort. « Salut mon bébé ! » Avant de pouffer de rire en fermant la porte. Faire croire aux voisins que la jeune femme avait une vie amoureuse était un jeu des plus amusant. Posant son sac dans l'entrée, elle fila prendre Jo dans ses bras avant de lui embrasser la joue. « Mon bébé. » Un sourire tendre et amical le temps d'admirer la beauté qu'était sa meilleure amie. Elle relâcha doucement son corps, laissant Rags venir lui faire des câlins et couiner pour en avoir aussi. « J'ai amené plein de trucs ! » Lança Cecilia en prenant son sac, filant en cuisine pour le vider. Elle fourra le pot de glace dans le congélateur et sorti les divers paquets qui encombraient son sac. « J'ai pris du salé et du sucré. Et je me suis pris de la pâte anko !!! J'aime trop la manger comme ça ! » Cecilia apporta le tout dans le salon, tout excitée. Elle sautilla sur place avant de se jeter dans le canapé.
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Un doigt sur la bouche, je fais signe à mon amie de ne pas rire trop fort. Si les voisins s’étaient plu à voir quelques garçon entrer dans mon appartement, ce n’était plus le cas depuis de longs mois. Mon cœur n’a plus penché pour un homme depuis ma dernière relation. Cependant, je trouve ça plutôt amusant de satisfaire la curiosité des plus dévouées aux potins, et de rassurer les hommes de l’immeuble qui tenteraient de flirter, à un moment, juste en allant chercher le courriel. Avoir sa meilleure amie, qui plus est, rentre dans le jeu, est plus amusant. J’ai tout de même la chance d’avoir cette femme en or à mes côtés ; elle est la lune de mes nuits, elle est l’amour de ma vie, ce coup de foudre amical que je ne regretterai pour rien au monde.
Mes bras l’entoure pour lui offrir une étreinte. Avec elle, les câlins sont comme un ourson en guimauve qui essaie de vous rendre le sourire. Bien que je n’ai pas envie de manger ma meilleure amie, ça me fait tant de bien lorsqu’elle me prend dans ses bras. Elle apaise, ne serait-ce, que les petits maux les plus enfouis.

Je me baisse et tend mes bras pour ce chien qui remplit mon cœur de joie. Je suis bien trop gaga avec lui, je m’en rends bien compte, mais ce chien est un vrai petit bout de chou. Je lui gratouille le ventre en l’embrassant sur son museau.

- Toi, tu es l’homme de ma vie, c’est assuré, dis-je en riant.

Je me redresse en entendant la jeune femme m’assurer qu’elle avait ramené pleins de petites choses. Pour la nourriture, nous sommes toutes deux aux aguets. Elle me fait sourire alors que je danse encore sur la musique qui joue en fond. Je devrais très certainement reprendre la danse, mon corps est en manque de musique.
Je montre la table basse, et mon salon, fière de moi.

- Je te présente notre petit nid douillet, avec des bières, du café, du chocolat chaud, et tout ce qu’il faut pour pleurer, pour envier l’amour et pour manger en toute liberté !

Je hausse les épaules en souriant, comme pour annoncer la meilleure soirée… Parmi toutes les autres toutes plus géniales que les autres.
Je saute sur le canapé à mon tour, près de ma meilleure amie puis passe mon bras autour d’elle. Je la regarde dans les yeux.

- Nous allons entrer dans le monde de notre déesse de l’amour : Bridget Jones, je respire un bon coup avant de continuer, laissons place à l’amour.

Avec Bridget Jones, je ne rigole pas. Elle est ma déesse intérieure.
Je lance le film et met un plaid sur nous deux, invitant Rags à se joindre à nous.

- Qu’est-ce que tu veux manger en premier ?




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C'était fou comme Jo savait faire du bien à Cecilia. Chaque fois qu'elle lui parlait, qu'elle la voyait, qu'elle se serrait contre elle, elle avait cette sensation d'être totalement normale. Cecilia se sentait vivante et aimée. Jo était sa petite guimauve, son rayon de soleil. L'amour de sa vie. En dehors de sa famille, c'était une des seule personne au monde à savoir lui faire ressentir autant d'amour rien que dans le regard. L'italienne était si heureuse d'avoir retrouver le chemin de la maison de Jo, ça faisait quelques jours qu'elles ne s'étaient pas vues et ça lui manquait affreusement. Cecilia fit une fausse moue boudeuse en la voyant papouiller Rags qui remuait la queue comme un dingue, essayant de lécher le visage de Jo. « Eho, c'est le mien avant tout ! » Cecilia sourit doucement avant d'observer la table basse, généreusement garnie de choses comestibles. C'était à se demander comment elles faisaient pour garder la ligne ces deux-là alors qu'elles mangeaient comme quatre. Cecilia devait cependant faire particulièrement attention à ce qu'elle mangeait, ne pouvait se permettre trop d'écart. En vérité, son alimentation était très saine en général. Aussi, des qu'elle le pouvait, elle profitait pour faire des excès. « Ah oui, pleurer dans les chips c'est ce qu'il y a de mieux. Ça ajoute du sel ! » Elle se mit à rire doucement, attrapant un coussin contre elle quand Jo la rejoint dans le canapé. Cecilia vint aussitôt se coller contre sa meilleure amie, toute contente. Elle adorait ce genre de soirées, elle adorait avoir sa meilleure amie contre elle. La jeune femme soupira doucement, se demandant si un jour son cœur la priverait de tout ça. Malgré le fait que Cecilia refusait de s'attacher, de faire souffrir les autres, elle était égoïste concernant Jo. La jeune femme fit une moue songeuse, observant la table avec envie de tout. « Je vais commencer par manger une bière avec un beignet chinois. Ah tiens, j'ai eu ma mère au téléphone, elle te fait un gros bisou. » Elle redressa son visage pour lui embrasser la joue en souriant. Elle savait combien sa mère adorait Jo pour le simple fait qu'elle rendait sa fille heureuse. Jo était vraiment un bout-en-train, un rayon de soleil. Si la bonne humeur et le bonheur devait avoir un prénom ce serait Jo Hee. Sans nul doute. Cecilia attrapa un beignet et s'installa en tailleur, manquant de se faire foutre par terre par Rags qui vint se coller à elle, la bave aux lèvres. « Il faudrait un canapé plus grand avec ce gros tas de poils ! » Elle remua un peu pour pousser son chien avant de le caresser doucement, mordant dans son beignet en fixant la télévision. « Un jour, j'achèterai un appartement comme celui de Bridget. Je l'adore. » Lança t-elle, la bouche pleine.
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C’est une merveille. Une femme avec du caractère, une femme avec une joie de vivre comme nul d’autre, une femme qui me ressemble. Qu’elle est merveilleuse, cette jeune fille qui se balade dans mon cœur. Je ris un peu, oui, cette fille a ce don de me rendre bien plus heureuse que je ne peux déjà l’être. C’est un amour, une réelle perle rare. Je pense bien qu’elle doit beaucoup entendre ce compliment, mais j’ai l’honneur d’avoir rencontré mon coup de foudre amical il y a quelques années, et je sais qu’il n’y a qu’elle qui fait chavirer mon cœur vers une amitié d’or et de diamant. C’est pour vous dire à quel point ce qu’il y a entre nous est réellement précieux.

Vous me croyez si je vous dis que ne prenons pas un seul kilo en mangeant autant de cochonneries ? Je pense que vous le pouvez. Nous avons cette même gourmandise, traditionnelle lors des soirées comédies romantiques, ou les soirées histoires d’horreur, celle qui vous donnent la chair de poule et la peur au ventre.
La bière ? Pour les peines de cœur, pour les peurs trop prenantes. Une gorgée, et on repart sur le droit chemin.
Je hausse un sourcil lors du magnifique jeu de mot de ma chère et tendre amie. Un sourire se dessine sur mes lèvres : ne pas éclater de rire, le jeu de mot n’était pas fameux, ne montre pas ce mauvais humour qui te fait tant rire.

- Oh mon dieu, ce jeu de mot, Lia, dis-je en riant.

Je passe mon bras autour des épaules de la jeune femme, en posant ma joue contre ses cheveux. Bière et beignet chinois ? Son combo parfait. Le mien est très certainement chocolat chaud, crème glacée à la vanille avec des morceaux de cookies. Le sucre ? Une addiction. Cette addiction ? Seulement en cas de besoin d’amour… Et en cas général, devant un film, ou une série. Ou un Disney… Oh, vous l’avez bien compris, c’est presque mon quotidien.
Je passe ma main dans la grosse touffe de poil à côté de ma meilleure amie ; quel bonheur d’avoir cette peluche vivante ici. Cet appartement mérite bel et bien un peu de vie. On me dit le soleil, mais je n’arrive pas à rendre cet appartement plus heureux que je ne le suis moi-même.

Un regard brillant, un sourire chaleureux, je suis émue de l’amour que la mère de ma meilleur m’apporte. Cette femme est une mère merveilleuse, elle m’a toujours considérée comme sa fille, comme-ci elle savait que ma mère me manque terriblement. Ma mère est cette douleur régulière, mais je garde ce beau souvenir de cette femme qui m’a toujours aimée et élevée malgré l’erreur que j’étais aux yeux de ses parents.
J’embrasse la joue de ma meilleure amie en retour et lui offre une étreinte pour sa mère, en murmurant que je la remercie de tout mon cœur.
Puis, ce moment émotion dépassé, je ris légèrement en observant ce gros chien dans mon canapé.

- Il faudrait un lit, pour lui !

J’observe l’appartement de notre chère déesse Bridget. Et j’avoue qu’il me fait rêver, moi aussi. Je prends une légère moue mi-boudeuse, mi-triste, en observant le beau Monsieur Marc Darcy entrer dans la scène. Comme il est beau, comme il est amoureux et maladroit. Cet homme fait chavirer mon cœur.

- Je veux un Marc Darcy, pas l’appartement, l’homme.

Je prends mon pot de crème glacée puis casse des morceaux de cookies. Je commence à déguster mon duo favori tout en regardant ce film avec envie. Je suis comme envoûtée, je mange machinalement. Une bouchée, deux bouchées, trois bouchées…

- On devrait écrire un journal comme Bridget. On est les Bridget 2.0, dis-je en souriant, avec envie.

L’amour, c’est ce qui me fait le plus rêver. Mais quand va-t-il m’offrir, de nouveau, le plaisir de sa présence ?



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Ça allait être une super soirée. Une soirée entre fille avec des rires et des larmes. Mais jamais de tristesse. Cecilia le savait, elle avait une chance incroyable d'avoir Jo Hee dans sa vie. Elle savait parfaitement qu'aucune fille ne pouvait la remplacer. Jo Hee était sa douceur, son phare dans la nuit. Quand elle doutait, elle l'appelait. En vérité, elle ne faisait rien sans elle. C'était un peu comme son âme sœur, sa sœur siamoise. Même sa mère l'avait adopté, comprenant l'importance de Jo dans la vie de sa fille. Un léger rire franchit les lèvres de la jeune femme qui s'étira doucement. Elle aimait faire de l'humour. Elle aimait voir Jo Hee rire à ses blagues. L'italienne s'enfonça un peu plus dans le canapé, soupirant d'aise. Elle fit une moue songeuse en fixant Rags à demi étalé sur elle. « Ouais... Il lui faut tout un appartement rien que pour lui. Quand je l'ai pris, je pensais pas qu'il allait devenir si imposant. Mais je ne regrette pas de l'avoir. Au moins, on m'emmerde jamais ! » Cecilia croqua dans son beignet, fixant la télévision avec attention. Elle avait toujours eu un amour inconditionnel pour Londres et pour Bridget Jones. Mais aussi les livres qui se déroulaient en Angleterre. Elle ne savait pas pourquoi elle adorait tellement ce pays. Elle aimait aussi beaucoup l'Italie et la Corée mais ce n'était pas la même chose. Ça ne sera jamais la même chose. Jo Hee n'aspirait visiblement pas à la même chose qu'elle. « L'appartement de Darcy est pas mal non plus... » Dans la vie de Cecilia, on était loin du conte de fée que vivait Bridget Jones. Certes, ça n'avait pas été facile pour elle non plus mais l'italienne avait une vie sentimentale plus qu'étrange et mouvementée. L'italienne remua légèrement et soupira. « Écrire un journal... Mais qu'est ce que tu veux qu'on mette dedans ? 'Cher journal, aujourd'hui j'ai eu huit heures de cours bien pénible. Je soupçonne mon voisin d'amphi d'avoir pété pendant tout le cours. Quel lourd lui...' Yes. On est parties pour être suuuuper connues oui... » Elle secoua son visage en riant doucement. Elle ne se voyait pas écrire un journal, n'en ayant pas forcément le temps. Et puis, elle n'aurait jamais rien à raconter. Son journal ressemblerait plus à un planning qu'à un journal où elle pouvait écrire ses pensées. Ces dernières que Cecilia n'arrivait jamais à mettre en place, à garder sereines. Mais surtout, elle parlera de son ressenti vis à vis de son cœur et du fait que la greffe semblait avoir de la peine à prendre. Pourquoi son corps rejetait il la seule chose capable de le maintenir en vie ? Cétait assez irréel comme situation.
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Il est rassurant de savoir que cette énorme boule de poils assure la sécurité et le sérénité de la personne que je considère comme l’amour véritable de ma vie. Et lorsque je ris à cette remarque assez cocasse, mes pensées s’expriment. Comme il est bon d’avoir une personne si chère près de moi, une personne avec laquelle tous les rêves peuvent s’accomplir. Certains diront que nous avons une relation si précieuse qu’il impossible qu’elle se termine, d’autres diront que notre relation est quelque peu… Étrange.
Mais elle reste l’ami dont j’ai toujours rêvé d’avoir : une fille avec qui je peux tout partager, même nos pires angoisses et nos pires hontes. Il n’y a qu’un seul secret que je n’arrive pas encore à lui avouer, mais ce secret peut très bien ne jamais être dévoilé.

Je hausse un sourcil en penchant légèrement la tête sur le côté. Ai-je parler de l’appartement de Monsieur Darcy ? Ce que je désire est un appartement comme celui de ma déesse intérieure, mais j’aimerai aussi vivre le conte de fée dont elle est la protagoniste. Certes, ce conte est semé d’embuches, elle a le cœur qui balance pour deux hommes, mais celui-ci finit toujours pas retrouvé son âme-sœur.
Deux personnes liées par le destin finissent toujours par se retrouver, et une comédie romantique le prouve.

- Non, non, il faut l’appartement de Bridget avec un Darcy dedans, dis-je avec assurance.

Mon rire éclate dans l’appartement alors que je manque de m’étouffer avec une cuillère de crème glacée. Voilà un journal qui serait bien comique, ça, je peux vous l’assurer. L’université est l’endroit où un tout et un rien peuvent se dérouler dans les situations les plus banales comme les plus loufoques. Lorsque les professeurs ne voient rien, et qu’ils transmettent la passion d’instruire, les étudiants vivent le cours de toutes les manières possibles. Il faut y inclure les étudiants lourds, aux étudiants les plus modèles.
J’essuie donc une larme de rire avant d’ajouter :

- L’étudiant péteur de la rangée du milieu n’est pas le pire, il y a aussi cet étudiant qui ronfle juste à côté de toi. Ou alors celui qui s’amuse à manger comme un cochon, et qui fait des bruits extrêmement dégueulasses avec sa bouche, dis-je en grimaçant.

J’observe ma meilleure amie, en hochant la tête. Oui, cet étudiant était à chaque fois derrière moi, au même cours, à la même fichue heure. Mon journal serait rempli de mon dégoût face à cet étudiant qui me fait regretter de m’installer à l’une des meilleures places pour entendre le professeur.
Je repose mon regard sur la télévision et sautille comme une enfant lorsque je vois une scène : je m’écrie à Darcy qu’il doit embrasser ma déesse intérieure, au diable cette horrible femme qu’il doit épouser ! Je vis la scène, et je suis toujours si déçue que rien ne passe entre eux, à cette scène particulière.

- Ces hommes, incapables de voir le bon moment pour nous embrasser, dis-je avec une moue boudeuse.

Je prends ma meilleure amie dans mes bras, posant ma joue contre la sienne. Cette proximité avec elle, j’en ai terriblement besoin. Je lui met un peu de glace sur le nez puis sourit comme une enfant innocente.
Innocente enfance, voilà que parfois, tu me manques.



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Si Jo Hee et Cecilia vivaient dans une comédie romantique, ce serait sûrement dans Bridget Jones. Nul doute que les deux demoiselles s'identifiaient un peu à la trentenaire célibataire. Ce qui n'était pas vrai du tout puisqu'elles n'étaient pas trentenaires, elles. Les deux filles étaient encore jeunes et Jo Hee avait toute sa vie devant elle avant de trouver la bonne chaussure pour son pied. L'italienne, elle, était en sursis et pas certaine de vivre sa meilleure histoire d'amour avant que son cœur ne lâche. Il n'y avait pas d'âme sœur fait pour elle, même son destin le savait. Loin d'être abattue par cette idée, la demoiselle profitait surtout de ce que lui offrait la vie, dépassant parfois ses limites. Soupirant doucement, elle fit une moue songeuse. « Bah... Je veux déjà l'appartement. Le Darcy viendra plus tard. » Cecilia posa sa main sur le corps velu de son chien qui ronflait contre sa cuisse. Elle caressa son poils avec douceur, aimant sentir le corps de l'animal contre elle. Vivant seule, elle s'estimait heureuse de l'avoir avec elle chaque jour. L'humour fusait entre les deux demoiselles, qui s'amusaient à parler de faire un journal aussi. Sauf que Cecilia ne se voyait pas écrie son quotidien, surtout vu ce qu'elle pouvait vivre dans les amphithéâtres. La cohabitation avec les autres étudiants pouvaient souvent amener à des situations assez cocasses mais dont elle se serait volontiers passé. L'italienne soupira doucement. « On ne se doute pas que les trois quarts viennent de milieux aisés. À croire qu'ils n'ont pas eu d'éducation. Ou alors, ils ont tellement été bridés, que maintenant ils se lâchent !!! » Ce serait une terrible vérité ça. Après tout, Cecilia venait également d'un milieu riche. Et elle était bien éduquée et gardait ses gaz pour elle. La demoiselle leva les yeux vers l'écran de télévision, observant la scène avant de rire en sentant Jo Hee gesticuler. Elle était sûrement la plus romantique des deux et Cecilia secoua son visage. Elle se mit à imiter Jo Hee qui faisait exactement la même chose à la même scène, hurlant après la télévision comme si les acteurs allaient pouvoir l'entendre. Ses voisins devaient sûrement se poser des questions sur sa santé mentale quand Cecilia savait qu'elle était trop un cas désespéré pour que le corps médical s'occupe d'elle. La demoiselle se lova contre Jo Hee. Cette dernière était extrêmement tactile et Cecilia ne s'en plaignait jamais. Elle adorait sentir tout l'amour de sa meilleure amie. Au fond, elle était la seule qu'elle laissait entrer dans son cercle pour le reste de sa vie. Mais un jour, elle subirait la perte de Cecilia et elle savait que ça la rendrait triste. « Hey ! » Cecilia se redressa pour essuyer la glace sur son nez en souriant. « On ne joue pas avec la nourriture ! » Puis elle revint se coller contre elle, la câlinant. Les bras autour du torse de Jo Hee, la tête posée contre son épaule, Cecilia fit une petite moue songeuse. « S'il te plaît Jo... Marie toi avant que je meurs. J'ai envie de te voir en mariée, tu seras magnifique... » Plus qu'elle ne l'était déjà.
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Quelque part, elle n’a pas tort. L’homme peut passer bien après tant de choses : ce qui m’importe pour le moment est de réussir à construire ma vie avec celle que je suis : autant Jo Hee que Maze. Difficile de revendiquer sa liberté lorsque l’on cache cette partie de soi qui la défend le mieux. Liberté amoureuse et sexuelle ne sont pas celles qui se collent le mieux à la jeune étudiante charmante que je suis le jour. Je pose mon regard sur ma meilleure amie, mes dents emprisonnant ma lèvre inférieure. Ce geste qui accompagne mon incertitude, et un certain ressenti de l’angoisse, risque de me faire quelques marques sur ma lèvre. Pauvre d’elle.
J’ouvre les lèvres pour lui avouer ce secret que je n’ose pas avouer depuis mon entrée au Nirvana il y a quelques années, cependant, une phrase de mon amie vient couper cet élan.
Je souris donc amusée, ile st bien vrai que nous sommes loin de nous douter que nombreux des étudiants vivant à Harvard sont de bonnes familles, et ont reçu une éducation stricte et sérieuse.

- Harvard doit être le berceau de toutes les envies bien tassées au fond d’eux, de tous les fantasmes inavoués et de toutes les libertés rejetées, plus jeunes, dis-je, sérieuse.

Qu’elle est belle, cette femme qui s’amuse autant que moi, à gesticuler sur ce canapé, à hurler comme une réalisatrice mécontente du jeu d’acteur des protagonistes. Je ne remarque à quel point nous devons être folles à crier ainsi, devant un téléviseur sans vie, incapable de faire quoi que ce soit pour empêcher l’idiotie de Monsieur Darcy.
Un léger sourire se dessine sur mes lèvres lorsqu’elle s’écrie de ne pas jouer avec la nourriture. Je hausse les épaules comme une petite fille innocente. Comme elle est belle lorsqu’elle rit, je ne désire pas la perdre.

Mariage ? Mon visage devient livide lorsque ce mot résonne dans ma tête. Être fleur-bleue ne m’a pas réellement donné l’envie d’être mariée. Je ne suis pas l’une de ses filles qui se projette dans l’avenir, en me voyant avec un mari, et des enfants. Cette idée ne me fait pas plus plaisir que de revoir la famille de ma mère qui me traite comme la pire erreur que Dieu n’ai pu permettre.
De nouveau, mes dents mordillent ma lèvres inférieure. Je me tourne complètement vers elle. Mes mains se lient aux siennes, et mes iris se déposent dans les siennes.

- Le jour où je vais te perdre, sache que je ne serai plus la même, tu es loin d’être juste ma meilleure amie, tu es l’amour de ma vie. Je n’ai jamais cru que son âme-sœur pouvait se trouver dans l’amitié, pourtant tu es là, tu es la plus belle chose de ma vie, dis-je avec un léger sourire aux lèvres.

Mais quelque chose d’autre doit être avouer ce soir. Si je devais écrire un journal, je décrirai ce moment comme celui des plus compliqués à vivre. Pourtant, elle n’est pas la seule à qui j’ai besoin d’avouer ce secret, ce qui fait que je suis une autre partie de moi.

- Lia, quand je ne peux sortir avec toi le soir, c’est parce que je travaille au Nirvana, et que je m’appelle Maze, je porte une perruque rousse, tout ça… Le secret que je voulais t’avouer la dernière fois, c’était le fait que j’ai mangé coréen seule, mais c’était ça. Je n’ai pas honte de faire ce travail, mais… J’ai honte de cacher une partie de moi qui se revendique plus libre que je ne le suis pas… S’il te plaît, ne me voit pas autrement.

Je suis terrifiée à l’idée de perdre la seule personne qui compte autant pour moi, juste à cause de ce stupide travail. Mon regard est apeuré, et je sens que ma lèvre ressent déjà une légère douleur. Oh, Lia, ne me rejette pas…
 



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Cecilia avait l'ambition de tout tourner au drame. Un drame écarlate qui relatait bien de la vie qu'elle menait. En vérité, elle rêvait de paillette et de licornes, d'un homme qui saurait l'aimer en refoulant sa crainte de la perdre. Si Jo Hee avait été un homme, Cecilia l'aurait dragué, ouvertement. Persuadée qu'elles étaient des âmes sœurs, un amour perdu d'une autre vie qui s'était retrouvé. Depuis qu'elle était entrée dans sa vie, elle avait bouleversé son quotidien. Chaque fois que Cecilia n'allait pas spécialement bien, Jo Hee apparaissait comme par magie. Depuis qu'elle la connaissait, elle comprenait l'importance pour elle de son combat au quotidien contre son propre palpitant. Elle aspirait à toujours aller plus loin dans ce qu'elle entreprenait, voulait voir cette éclat de fierté briller dans les yeux de sa coréenne préférée. L'italienne savait que jamais elle n'irait loin dans sa vie, parce que de toute manière, c'était écrit. Son cœur finirait peut être par la lâcher. Son traitement pouvait être plus fort au point, sûrement, de la clouer au lit, de la faire se tordre de douleur jusqu'à ce qu'elle supplie le ciel de lui arracher la vie le plus vite possible. Il paraît que pour appeler Hadès, le Dieu des Enfers, le Dieu des Morts, il faut frapper le sol deux fois. Chaque fois qu'elle avait tenté, il avait fait la sourde oreille. Secret bien gardé par honte de voir Jo Hee s'emporter. Son heure n'était pas encore venue. Pourtant, Cecilia avait des envies, avant de voir le jour s'éteindre une dernière fois pour elle. Elle avait envie d'établir une liste pour faire des choses folles avant la fin. Jo Hee était sa plus belle expérience sur cette terre. « Je t'aime Jo, tu le sais ça hein ? Même quand je serais partie, je serais derrière toi à te surveiller ! » Un délicat sourire un peu triste qui apparut sur ses lèvres pour accentuer ses mots. La jeune femme se redressa cependant, observant sa dulcinée qui venait lui avouer des choses sans qu'elle ne le comprenne réellement. Un mensonge ? Non pas vraiment. En vérité, Cecilia ne comprenait même pas comment elle pourrait en vouloir à Jo Hee de son aveux. Le Nirvana ? Le Nirvana. Elle fouillait sa mémoire à la recherche de cet établissement visiblement un peu honteux de ce qu'il était. C'était quoi le Nirvana déjà ? « C'est un club de strip-tease ? » Oui, voilà, elle avait la réponse. Sa meilleure était donc une strip-teaseuse. Cecilia fronça les sourcils, un peu étonnée de l'aveu. Elle observa Jo Hee, non pas avec dégoût mais avec incompréhension. « Pourquoi tu me l'as jamais dis ? » La voir autrement ? Jamais. Elle se demandait simplement pourquoi elle ne lui avait rien dit, pourquoi elle se cachait de celle qui ne pouvait que l'aimer à en crever. Cecilia pinça les lèvres, occultant alors le film dont elle entendait les répliques qu'elle connaissait par cœur sans vraiment y porter attention. « J'ai le droit à un show privé gratuit au moins ? Des entrées gratuites ? Boire à l’œil ? » Une façon pour elle de détendre l'atmosphère, de montrer qu'elle ne changera jamais avec sa Jo. Parce que c'est son amour véritable et qu'au fond, elle ne fait rien de mal et ça ne la change pas.
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