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(priam) and if his opinion wasn't the same.

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Le mariage, tu as encore du mal à comprendre ce concept. Du moins, tous ces grands événements que l’on fait autour. Inutile d’en faire des tonnes, de se ruiner pour une journée qui restera quoi qu’il en soit gravé en mémoire. Tu penses de cette manière, car peut-être, tu vois trop de couples mariés être séparés aujourd’hui. Et toi, t’aimes la simplicité, rien d’extravagant. Quelque chose en petit comité, mais ça tu y penseras lorsque tu sauras certaine d’avoir trouvé la bonne personne. Tu prends les choses comme elles viennent, et pour le moment, tu te sens juste incapable de donner. Tu penses de cette manière, car peut-être, tu vois trop de couples mariés être séparés aujourd’hui. Enfant, tu rêvais seulement de pouvoir marcher, courir comme tout le monde. Ce rêve était plus important à tes yeux qu’un possible mariage qui aboutirait dans des années. Rien à voir avec un penchant féministe, comme il le dit si bien. Ok, il sait dire ce que pourrait te faire bondir. Le jugement. Pourtant, tu sens que ce côté dédaigneux est un humour qui peut mal s’interpréter. « Si tu savais.. » Dis-tu avec un malin sourire. Tu n’en diras pas plus. Tu n’es pas du genre à parler de ton passé peu glorieux. T’attends la dernière minute pour en parler, et en l’absence de ta canne, tu ne vas pas te priver de garder ça pour toi. Rien ne t’oblige à faire des confidences. Après tout, c’est un instant de séduction. Il joue avec toi, tu répliques sur le même ton séducteur. En plaçant un mot français, tu lui prouves le contraire de l’indifférence. T’ignore s’il comprend ce mot, s’il parle ta langue natale. T’ignores bien des choses à son sujet, mais une chose est certaine. C’est un véritable Anglais, celui qui met les formes à la langue française. Tu aurais pu être aveugle, le son de sa voix aurait suffi à te charmer. Accent exquis, amplifié lorsqu’il parle le Molière. Machinalement, dans un instinct de garder tes ardeurs pour toi, tu te mords fortement l’intérieur de la bouche. Il a fallu que tu tombes sur un Anglais. Sait-il le pouvoir qu’il peut avoir sur les gente féminine française ? Toi, tu n’es pas sans l’ignorer. Fini la séduction française, tu risques bien trop de te faire prendre à ton propre piège. L’anglais suffira amplement.
Vint alors l’instant où il te propose de partir. T’aimes te faire désirer, mais tu n’es pas stupide. Tu saisis les occasions lorsqu’elles se présentent à toi. Tu aurais pu attendre quelques minutes de plus, l’Anglais serait resté. T’en es certaine, mais à quoi bon. Ton thé est imbuvable, et tu n’es pas contre un peu de temps passé dans une librairie. Il y a bien plus désagréable comme lieu. Doit-on appeler un date ? Tu n’y penses pas. C’est une sortie peu ordinaire avec un parfait inconnu qui ne souhaite pas trop en dire sur lui. Dans un sens, c’est agréable. Il peut rester sans nom. Ce n’est pas dérangeant, ça s’aligne même parfaitement avec ta vision de tes rencontres actuelles. Sourcil arqué, tu ne comprends pas d’où vient sa surprise. Est-ce qu’il est maladroit, ou a-t-il un humour particulier ? « Parce que j’ai une tête de vieille fille qui vit avec ses dix chats ? » Qu’est-ce qui peut bien lui faire dire ça ? Ce n’est pas comme si tu portais un vieux pull crasseux, te coiffais maladroitement et portais le même jogging qu’il y a une semaine. C’est une image plus que stéréotypée, mais c’est comme ça que tu vois ces pauvres femmes. Ok, tu aurais vraiment dû lui donner un faux prénom, quelque chose de bien américain. Kelly aurait fait l’affaire. Il savoure, prononce ton prénom avec cet accent qui chatouille ta peau. Mentir ne fait absolument pas parti de ta nature, mais là, il touche un point faible. C’est difficile de ne rien exprimer, garder au fond de soi cette petite sensation particulière. Il ne doit pas se délecter, il le fait bien assez facilement. « J’en n’ai pas vraiment. Je préfère varier les plaisirs. Mais je crois bien compter plus de fictions dans ma bibliothèque. » Un comme celui qui se trouve dans ton sac. Et si tu n’as pas de genre préféré, Joël Dicker est bien ton auteur far. T’aimes sa plume si délicate, qui coulisse de manière fluide sous tes yeux. Tous trois, vous avancez, sortez de ce café pour retourner affronter le froid. « Et toi ? Je suppose que tu es du genre à collectionner les livres. » Il vous suffit de faire que quelques mètres pour trouver une librairie. Coïncidence ? Certainement, mais en même temps, cela t’arrange. Moins il y a de pas à faire, moins tu t’écartes de chez-toi. Le brun, poliment ouvre la porte et te laisse passer en première. Toi qui es du genre à te moquer de ces coutumes de courtoisie, ne te laisse pas prier et entre. « Merci. » Némo passe devant, tu t’empresses de te pencher pour le prendre dans tes bras. Certains n’apprécient guère la présence des animaux, et tu ne veux pas faire d’histoire. Heureux d’être pris, il remue la queue en tous sens, tandis que tu enroules d’une main la laisse pour la fourrer dans ton sac. « T’emmènes souvent tes futures conquêtes dans ce genre d’endroit ? » T’es lucide, pas stupide. Personne ne demande un numéro sans arrière-pensée, et encore moins avec autant de malice. Il ne s’est pas assis à ta table dans l’unique but de revoir les traits de ton visage. Les choses étaient plus que clair lorsqu’il t’a prédit l’avenir à travers ses cartes.
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quand le gamin y pense, parler de mariage est bien malvenu venant de sa part. s'acharnant presque à ce qu'aimée puisse le faire voyager à travers son enfance, moment même où elle aurait pu avouer qu'elle aime ce genre de chose. le genre que toutes les femmes aiment, soit de porter une robe immaculée en s'avançant vers leurs maris alors que celui-ci même se mettrait à verser une larme en la voyant. un mythe pourtant bien réel que le jeune homme a pu constater lors de conversation avec plusieurs nanas pour lesquelles son palpitant s'était emballé. mais pas pour la française. elle est libre. de toutes conventions. peut être ? le gamin se pose plusieurs questions la concernant car elle possède l'étincelle, celle qui le tiens en haleine. mais qui est-elle vraiment ? tout comme son pays, la révolte gronde en elle, les barrières ne semblent pas en être réellement. elle dégage une sorte de puissance. une aura que le rothschild ressent en sa présence, où est-ce à cause de son charme ? le gamin s'emmêle les pinceaux, préférant oublier de réfléchir, laissant ses pensées à l'abandon pour se prélasser dans ses pupilles, nageant à contre courant dans cet océan de mystère. plus pour le mariage, cependant. un bon point pour la brune puisque lui-même n'est pas particulièrement un grand fan des mariages. un acte qu'il caractérise comme de d'une fin en soit, de tradition désuète et trop symbolique pour le monde dans lequel ils vivent tous. lui est bien placé pour le comprendre tant il aime -non- il adore se parfaire dans cette liberté, sans contrainte à ne pas s'inquiéter de porter une alliance à son doigt. qu'il soit physique ou moral. le gamin croit en l'âme-soeur. mais pas en la parfaite harmonie pour une vie toute entière. ni en la loyauté. pas assez pour se marier. heureusement, il fait parti de ces familles qui se sont renouvelées en ne forçant pas leur progéniture à épouser un parfait inconnu pour les relations d'affaires ou bien encore d'autres idioties. il possède le choix. un mot bien précieux quand on côtoie les hautes sphères surfant entre les mondanités et le snobisme. revenant au dossier du jour, le rothschild se concentre sur son paraître, essayant d'être le plus agréable possible pour la séduire. un peu drôle. charmant. classe. et point important, cultivé. sans oublier un soupçon de surprise. un côté qu'elle semble aussi cultiver à son tour, le surprenant par ses mots et laissant un certain silence peser sur les pans de sa vie. n'affirmant que trop peu de chose à son goût. après tout, priam ne connaît que son prénom et son numéro de téléphone. un bien maigre butin. Mais la journée n'est pas encore terminée. il possède tout le temps qu'il lui faut pour en apprendre un peu plus sur elle, d'où l'idée de la librairie. elle aime lire. c'est ce qu'en conclu le garçon en voyant le bouquin qu'elle affichait entre ses mains un peu plutôt. sa stratégie ? attaquer par les passions. ce qu'elle aime afin de la toucher, de comprendre comment elle fonctionne. attacher quelques étiquettes en plus en dessous de son prénom. aimée. lovely. d'ailleurs, en dessous de son appellation, priam n'aurait jamais vu le mot chien. non, plus un chat. on dit que l'animal qu'on adopte nous représente. et pour le moment, c'est à un chat qu'elle lui fait penser. indépendante. distinguée. d'une froideur palpable mais attrayante. malheureusement, ses mots provoque chez la française une indignation qu'il n'a pas vu venir. « parce que les chats sont assimilés aux vieilles filles maintenant ? » l'artiste se baisse à peine pour renvoyer la balle de l'autre côté de la cours, profitant de ce petit tacle pour afficher l'un de ses sourires spéciale priam. un brin moqueur. et satisfait. si la question s'était révélée plutôt maladroite, le gamin redresse la barre avec brio, s'évitant une étiquette de misogyne ou de connard. leurs pas se font plus précis, s'arrêtant bientôt devant l'objet de leurs désirs. « des fictions, c'est à dire ? romans à l'eau de rose ? science-fiction ? policier ? » les possibilités s'offrent à lui, et quelque soit son choix, il serait prédicateur d'une caractéristique propre à la jeune femme. roman à l'eau de rose ? une romantique invétérée. science-fiction ? une rêveuse en quête d'un monde meilleur. un policier ? une femme sensible aux détails, observatrice pour laquelle la vérité est primordiale. « plus ou moins... dit-il, repensant à la magnifique bibliothèque que la maison familiale possède. se serait plus du goût de son père de collectionner les ouvrages, allant des plus rares au plus populaires. je lis de tout, un peu près. mais j'ai un goût particulier pour ce qui est logique. une histoire bien construite. solide. c'est quel genre de livre celui que tu détiens en ce moment même ? » demande-t-il, changeant un peu de sujet tant cette information se révèle de nouveau à lui. le gamin n'a pas eu le temps de lire la devanture, préférant époustoufler sa dulcinée dans un numéro de carte divinatoire. bientôt, ils entrent dans la boutique. priam remarque alors de plus près son chien puisqu'elle le porte dans ses bras. un petit chien. n'ayant jamais été de ce côté-là, préférant les chats, le gamin s'écarte, faisant mine de scruter les étagères. « hm ? » la question est plutôt surprenante, son visage se tournant dans sa direction cette fois-ci pour déceler dans son regard si la demande est réelle ou bien une plaisanterie. priam opte pour la première option. « pas vraiment. la librairie c'est la première fois. » le gamin évite le coup en faisant des phrases courtes. ne pas trop en dévoiler. juste ce qu'il faut. « mais merci de t'inquiéter pour ma vie amoureuse, c'est adorable... d'ailleurs. tu files souvent ton numéro à de parfait inconnu ? tu sais que c'est pas du tout recommandé ? » les mots glissent sur sa langue tandis que ses yeux se reposent sur l'étagère et sur un ouvrage en particulier. son doigts parcourt les divers livres avant de s'arrêter sur l'un d'eux. « après tout, tu me connais pas. » il en retire une oeuvre policière quelconque en s'intéressant à la quatrième de couverture. « on sait jamais sur qui on tombe. ça peut être effrayant. » enfin il repose le livre à sa place en prenant soin de ne pas l'abîmer. « ah, et mon genre préféré c'est le policier voir horreur, un peu comme ce que fait stephen king » farceur à ses heures perdues, priam tente d'éveiller le doute chez la jeune femme, peut être de l'effrayer un peu pour l'étourdir mais surtout pour se jouer d'elle. un acte plutôt à double tranchant car elle pourrait prendre les jambes à son cou ou même pire, rester.
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Ok, il marquait un point, jouant au squash avec ta répartie. Le brun ne semble pas être du genre à se laisser couper l’herbe sous le pied, ne plus avoir grand-chose à dire. Il est tout l’inverse, celui qui a réponse à tout. Il te nargue, rit intérieurement de ton franc-parler. Tu n’es pas habituée à ce qu’on sur-enrichit, encore moins dans ce genre de situation. Il semble comme être prêt à te défier. C’est un jeu qui s’installe. À savoir qui aura le dernier mot. Seulement, malgré ton débit de parole parfois incessant, tu sais quand il te faut tirer ta révérence, t’incliner face à plus fort que toi. T’es joueuse, mais pas stupide au point de t’afficher publiquement et de tourner finalement la situation au ridicule. T’aurais bien des choses à lui dire pourtant, mais ce sourire moqueur semble casser ton argumentaire que tu avais en tête. Maintenant tu es en certaine, l’Anglais est exactement le genre d’homme qui peut charmer n’importe quelle femme rien qu’avec un sourire. Et toi qui n’es pas difficile à charmer, tu tombes dans le panneau. Comme une bleue. Tu gobes tes lèvres, tout en pensant très fort : il m’a eu. Difficile de répondre à ça par la suite. Maintenant, c’est toi qui passes pour la misogyne, toi, une femme qui est particulièrement fière d’être de ce sexe. «  Je ne dirai plus rien à ce sujet, sans la présence de mon avocat. » La voilà ta révérence, tu la tires, avant de mettre le deuxième pied dans le plat. Pourtant, tu n’en passes pas moins, t’es contrariée qu’il t’ait vu du genre à être gaga des chats. Toi t’es du genre aventureuse, à ne pas te reposer. Tu te souviens du chat que tu avais gamine. Il dormait à longueur de journée, ne s’intéressant à rien d’autre qu’à se prélasser et manger. Il n’avait rien d’exceptionnel. Il était d’un ennui insupportable. Némo, il est du genre à te suivre partout, heureux de découvrir de nouveaux horizons. Tu partages beaucoup avec le Cavapoo. Peut-être trop même, ce qui peut en déranger plus d’un an. Mais tu t’en fiches. Tu ne demandes pas si ça dérange le brun, et n’y porte aucun intérêt. «  Romans à l’eau de rose ? » Tu ne peux t’empêcher de rire aux éclats. Toi qui a déjà pour horreur tout ce qui ressemble de loin comme de près au romantisme, impossible que tu lises ce genre de fiction. Tu te moques de vive voix de ceux qui se perdent dans cette lecture, rêvant d’un amour qui ne leur appartient pas. Il n’y a rien de plus exaspérant, de plus ennuyeux. «  Décidément, tu te fais une piètre image de moi. » Dis-tu alors que tu te remets de tes états, reprenant ton sérieux, sourire aux lèvres. «  Je peux aller de l’historique, au fantastique. Je dirai que du moment que c’est bien écrit, que je peux m’imaginer les scènes, j’achète. Après, j’ai mes auteurs préférés, si on peut dire. » Certainement que tu en as. Te précipitant dès qu’une alerte te sonne un livre tout juste publié. Et quand tu vins à supposer qu’il est un collectionneur, il reste évasif. Plus ou moins, voilà ta réponse. Comme si on pouvait être plus ou moins un collectionneur de livres. Tu l’es ou tu ne l’es pas, penses-tu fortement. Enfin, tu n’iras pas à la pêche aux informations, lui tirant à tout prix les verres du nez. Qu’il garde ça pour lui, peu importe, ça ne changera rien à votre conversation de toute manière. Et vous tombez d’accord sur la solidité d’une histoire, une trame qui suit la logique des choses. Tu venais de mettre la main dans ton sac, quand tu t’es rendu compte que lui passer ton roman n’aurait servi à rien. Version originale du livre, l’Anglais n’aurait certainement pas compris un traite mot français qui figure sur la quatrième de couverture. «  Policier. » Dis-tu simplement. Qu’il ne compte pas sur toi pour en faire un résumé. Tu détestes le faire, car il t’appartient, c’est ta vision condensée du livre. Elle t’est propre, et probablement que lui n’aurait pas la même. Il devra alors dénicher par lui-même un résumé, ou alors lire tout bonnement l’œuvre. Farfouillant sur les étagères, tu lui demandes, non pas de manière désintéressée si c’est la première fois qu’il fait le coup de la librairie. Tu ne prends pas d’épingles, t’en prend rarement, tant tu peux parler sans réfléchir. Les mots sortent comme ils te viennent, spontanément. Quant au brin, il ne vient pas contredire le moindre mot. Tu seras l’une de ses futures-conquêtes. T’apprécies cette sincérité, et pourtant, tu ne montres rien, tu regardes les livres sans savoir quoi vraiment regarder. Tu les regardes qu’à moitié. Tu roules des yeux, amusée, tandis qu’il se flatte de ta pseudo-inquiétude pour sa vie amoureuse. «  Ça reste qu’un numéro, je peux le changer si jamais. » Dis-tu en soulevant les épaules, comme si tu n’en voyais pas le mal. Très loin d’être cette fille qui donne son numéro à tout-va, le distribuant comme un flyer, tu ne cours pas grand-chose. Et t’aimes à croire que ton instinct est toujours le bon. Tu n’as pas eu d’alertes rouges, aucun signe te disant aujourd’hui, comme par le passé que l’inconnu était un dangereux prédateur. Il tente de t’effrayer, prononçant des phrases qui peuvent effrayer plus d’un, sans un sourire. Tes yeux ont quitté les étagères dès l’instant où il a commencé son monologue peu rassurant. Tu l’observes, tout en reposant soigneusement Némo au sol, lui faisant signe de s’asseoir et de ne pas bouger, avant de retourner ton regard sérieux sur le brun. Tu sens une douleur commencer à se loger dans ton dos. Certainement à cause de cette contracture sous les propos peu commodes du jeune homme. «  Il n’y a pas si longtemps, tu me contais notre histoire d’amour, et là tu fais tout pour que je prenne mes jambes à mon cou ? » Tu ne relèves pas le fait qu’il t’ait avoué avoir un penchant pour Stephen King. Tu es sérieuse, ton sourire ravalé depuis qu’il a essayé de t’effrayer. Tu le regardes attentivement, un sourcil arqué, tant tu ne comprends pas ce jeu. «  Je ne suis pas certaine de voir où tu veux en venir. Mais, ne me fais pas regretter d’avoir tenu ma promesse, s’il te plaît. » Dis-tu d’une voix douce. Jouer la séduction, au chat et à la souris, à qui aura le dernier mot, tu participes à tout ça avec un immense plaisir. À l’intimidation, tu passes ton tour. En voilà ta limite.
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ce doit être la première fois qu'il ramène une femme dans une librairie. autre que l'un des membres de sa famille bien sur. mais en réalité, le gamin conserve ce petit rituel en solitaire, préférant prendre son temps quand il doit prêter une attention particulière à plusieurs dizaines de livres. et sensible aux avis de son entourage, étant indécis, il sait d'avance que les personnes qui viendraient l'accompagner seraient rapidement ennuyés. de surcroît, un date dans cette atmosphère serait un fiasco complet. de part son expérience, il sait que les livres ne sont pas un accélérateur pour mettre une femme dans son lit. se serait même l'inverse. seulement, chaque femme est différente. priam s'en est rendu compte en grandissant, et par conséquent, il a appris à moduler ses phrases, s’exerçant à choisir comme dans un jeu à choix multiples, les meilleures réponses. ici, le gamin a en face de lui une femme qu'il pense brillante. cultivé. tout le monde ne se pose pas seul dans un café, donc indépendante. pas une étudiante. sinon, sa lecture serait plus ardue. avec des notes peut être. ses conclusions sont hasardeuses mais pas si loin de la vérité qu'il ne le pense. tout ce qu'il espérait cette fois-ci, c'est que se ne serait pas une végétarienne. se remettre à ce genre de pratique lui avait valu de sacré problème au niveau gastrique puisque son corps n'était clairement pas préparé à un tel changement. c'est tout ce qu'il sait d'elle. se basant sur des suppositions à deux balles pour faire des choix qui lui seraient favorable. ainsi marche le gamin. sans comprendre qu'il passe à côté de l'authentique. une chose qu'elle semble être. aimée. aussi transparente que de l'eau de roche, laissant simplement ses émotions s'évaporer de son être. tout comme celui de reconnaître ses fautes. où du moins, seulement à demi-mot. et caractéristique intéressante pour le gamin qui remarque qu'une fois prise en défaut, la jeune femme fait une moue. son palpitant fait un bon. craquant pour cette mine adorable. cependant, il se contente bien de ne rien dire, seulement de laisser planer sur son visage un minois réjouit. « dans ce cas. je crois que la discussion est close. » avoir le dernier mot. quelle réjouissance pour lui. tel un gamin, il garde son sourire caractéristique, fier d'avoir enrayé la machine. à croire qu'il ne grandirait jamais, se contentant de petite victoire qui ne veut rien dire mais qui le rend cependant heureux. priam est simple. peut être un peu trop. la conversation se poursuit, dérivant sur le style de roman qu'elle aime lire. le rothschild veut en apprendre plus sur elle. capter le genre qu'elle préfère en vu d'un possible cadeau. ou simplement d'une discussion bien plus profonde et peut être passionnante. d'ailleurs, quand il évoque les romans à l'eau de rose, la brune se met à rire, éparpillant partout sur son chemin un son cristallin telle une chanson. priam est surpris mais comprend aisément que ce genre de livre est le cadet de ses soucis. ce n'est donc pas une rêveuse. elle ne rêve pas d'amour. semble loin de s'enticher pour des relations fictives où tout dégouline de romance. en ajoutant le mariage. il comprend de plus en plus quelle jeune femme il a en face de lui. peut être est-ce dû à un ex petit ami violent ? décevant ? juste incompétent ? chaque être humain aspire à l'amour, à moins qu'on ne lui donne une raison contraire de le faire. comme des exemples. les exs. priam se pose des questions mais préfère rester mutique. parler de ce genre de chose maintenant est malvenu. « justement, je ne connais rien de toi. je tâte le terrain. » loin de lui l'idée de lui attribuer le rôle de la femme romantique, depuis le départ rien ne va dans cette direction mise à part le motif de le re-rencontre. quand il y pense, donner son numéro la prochaine fois qu'elle le verrait est -à son sens- assez romantique. mais rien dans son discours ne repose là-dessus. « et quels sont tes auteurs préférés ? » qu'il renchérit tant la perche lui a été tendue et qu'il aime la saisir. une autre d'ailleurs semble l'atteindre quand elle décrit le bouquin en sa possession comme étant du policier. encore un point en commun. décidément, aimée paraît s'être mis sur son chemin pas réellement par hasard. elle est réfléchie. et intérieurement le gamin la sent impulsive. sauvage. à attendrir comme une biche. « et ça parle de quoi ? » qu'il demande intéressé, scrutant la lueur dans ses pupilles. sans doute y'a-t-il meurtre mais ensuite ? étant l'un de ses genre favoris son attention est captivé. il ne se rend absolument pas compte que sa question peut l'agacer. sa question est innocente. simple. en quête d'un nouveau livre à détenir, et cela pourrait être le sien. après tout, tous deux sont dans une librairie et le gamin ne voit aucune gêne à possiblement acheter le même livre qu'elle détient. détail qui lui reste. cette librairie. aimée est curieuse. s'invite au détour d'une question presque anodine à comprendre un peu plus sur le fonctionnement du jaune. de ses conquêtes. moment même où le gamin arque un sourcil, surpris mais amusé à la fois par ce questionnement soudain. ce à quoi, il détourne pour renvoyer la balle sur son numéro de téléphone. « je vois que madame est pratique. pleine de ressource » et surtout encline à du jour au lendemain le laisser en plan. une possibilité à présent qui ne peut s'exclure de sa mémoire. se méfier. elle a l'air si légère que le vent pourrait l'emporter. ses mains viennent manipuler ses ouvrages tandis qu'aimée repose son chien sur le sol, et le jeu du jeune homme s'enclenche, imposant à la brune de quoi lui insuffler le doute. pour une réaction. et en parlant de réaction, celle-ci ne tarde pas à venir. mais pas dans le sens qu'il espérait. aimée semble exaspérée. ou peut être en colère. tout du moins mécontente de ses mots. son visage se ferme, ne laissant plus aucun doute sur un faux semblant. priam comprend qu'elle se braque. peut être même qu'elle veut le planter, là, maintenant ? « ok. je savais pas que tu le prendrai dans ce sens-là. » qu'il exprime en premier lieu, se tournant alors vers elle. il inspire un instant, passe la main dans ses cheveux courts et reprend de plus belle. « c'était une plaisanterie. je suis toujours ainsi. j'aime blaguer. rire. faire des pranks. blagounette. » plus la fin de sa phrase approche et plus sa voix se fait muette, tant il prend conscience qu'il s'enfonce. ses chances semblent s'amenuir à mesure que priam débite, peut être devrait-il mieux tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de sortir quoique se soit. « bon. on recommence à zéro ? » dit-il en pointant en sa direction sa main afin qu'elle l'attrape pour la lui serrer. il voit ici un moyen d'oublier son erreur. de marcher de nouveau dans son sens sans qu'elle se sente offensée. marcher sur des oeufs. c'est ainsi qu'il doit s'y prendre avec elle. quitte à s'effacer.
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Tu n’es pas habituée à donner autant d’informations sur toi. Tu préfères les esquiver, y répondre à moitié. Ça facilite bien des choses. Lui, il insiste. Souhaite savoir qui tu es sans te demander un DV détaillé. N’est-ce pas plus intéressant de faire connaissance de cette manière ? Se forger un avis à travers le profil d’un lecteur ? C’est probablement ce qu’il y a de plus fiable comme présentation. « Hm Joël Dicker est très certainement mon préféré. Sinon, il y a Tatiana De Rosnay, John Irving, ou encore Camilla Läckberg. Y en a tellement. » Tous les nommer pourrait revenir à lire une liste de course. Inutile de tous les nommer. Et s’il s’y connaît en fiction, il comprendra rapidement quel est véritablement son genre lecture. Ça permet d’en dévoiler sans aller dans les détails. Un peu de subtilité. De quoi laisser planer comme un léger doute dans l’atmosphère. Il vint à te poser cette question à laquelle tu ne détestes tant répondre. Une lecture doit être personnelle, pas calquée de toute pièce sur ta vision des choses. Tu te refuses d’y répondre. Il devra aller chercher par lui-même. Tu ne reviendras pas sur ce principe que tu appliques depuis de si nombreuses années. L’inconnu ne fera pas exception à la règle. Que ça lui plaise ou non. « Tu vas devoir te dégoter la quatrième de couverte pour le découvrir. » Lui réponds-tu avec un brin de malice. La curiosité le poussera ou non à aller farfouiller les étagères, écumer internet pour trouver la réponse à sa question. Auteur particulièrement connu du grand public depuis l’adaptation d’un de ses romans en série télévisée, on trouve facilement ses œuvres en boutique. Fidèle à ses romans, tu n’as pas tenu à suivre la série. Tu ne voudras pas être déçue, changer le sens des images que tu avais. Tu es comme ça. Tu as dû mal à regarder les adaptations de ce que tu as déjà lu.
Et la séduction prend une toute autre tournure. Une tournure que tu n’apprécies à moitié. Il se la joue mystérieux. Le mauvais, le psychopathe. Il te fait penser à Joe Goldberg. Le séduisant libraire de la série You sur Netflix. T’aimes ces histoires un peu tordue, mais pas tellement non plus. De loin, tu t’y attaches. Ou est-ce ce personnage si étrange qui attise ta curiosité, un attachement déconcertant ? Tu ne tiens à connaître la même fin que les femmes de sa vie. L’Anglais ne semble pas être mauvais garçon. Joe non plus n’y ressemblait pas. Le monde est trompeur. Mais tu penses que si tu devais mourir, tu serais morte il y a dix-sept ans déjà. Ton heure n’est pas venue. La vie te sourit, tu as encore de beaux jours devant toi. Toutefois, tu ne peux t’empêcher de lui montrer que cet humour, probablement, est loin d’être le tien. Il est gêné d’avoir créé en toi ce malaise. Là, tu peux être certaine qu’il ne joue pas. Il est n’est pas ce Joe. Il est sincère. Ton instinct te le crie. Il s’embourbe dans ses excuses perceptibles, alors que tu te pinces les lèvres. Il est si peu de sûr de lui. À l’inverse de l’image qu’il avait pu donner jusque-là. Ok, il donne envie d’approfondir. Il est tout aussi maladroit que toi. Oubliant de réfléchir avant de parler. C’est peut-être les conséquences de son assurance sans faille. Sa main se tend. Il veut recommencer à zéro. Il aurait pu partir. Tu aurais pu également. Mais vous êtes là. Furtives, secondes d’attends, tu viens serrer cette main tendue. Un signe de paix, drapeau blanc, un retour. Un retour, c'est impossible. Drapeau blanc, tu coches cette case. « Faudrait que tu me rendes mon numéro pour ça. Ou que je le change. » Ta tête se dandine d’une épaule à une autre, ton visage semble dire que ça va être compliqué. Tu plaisantes. Ce qui peut être assez déconcertant au vu de ta réaction précédente. Mais tu es comme ça. « Effaçons juste ce passage digne d’un thriller épouvantable. »
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le gamin se trouve déstabilisé. assez pour ressentir divers émotions la concernant. virevoltant entre crainte et amusement. et si ce premier est relativement interloquant en vu de cette récente relation, priam ne peut se permettre de perdre son attention, parce qu'il connait le sentiment. mais aussi parce qu'il déteste l'idée même de passer à côté de l'unique. et aimée, tend à chatouiller sa curiosité. pour une raison qu'il ne saurait dire exactement. peut-être est-ce à cause de son charisme. ou bien encore ses phrases courtes, laissant derrière elles un vide immense qu'il aimerait remplir pour mieux la comprendre. et si sa technique pour la séduire s'en trouve bien mise à mal entre autre pour ses raisons, priam doit reconnaître qu'il aime ça. le rothschild aime courir auprès des femmes. surtout quand elles lui plaisent follement dans ce genre de situation. alors toutes informations prisent au compte goutte ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. il note -non-, il grave dans son esprit les auteurs pour s'en servir plus tard. « je vois. » qu'il hoche de la tête alors que son cerveau en réalité tourne à plein régime puisqu'il ne connaît en rien ses ouvrages. tous lui semblent méconnus. quelques recherches sur google lui seraient volontiers utile mais, pas maintenant. pour ne pas perdre toute contenance, il préfère réserver cette partie-là pour chez lui. il s'y voit déjà, allongé dans son canapé avec son ordinateur sur le genoux munit d'une clope. c'est même essentiel s'il veut l'inviter pour une prochaine rencontre. d'ailleurs, il pourrait prochainement rajouter le livre qu'elle lisait précédent dans le dossier à chercher puisqu'elle ne semble pas décider à lui en dire plus à ce sujet. heureusement que la fin de l'année approche à grand pas, il aurait tout le temps de faire des recherches sur elle, mais aussi ses passions. « c'est ce que je ferai » qu'il répond, déterminé à comprendre de quoi il peut bien en retourner. et si son humeur est léger, presque joviale et donc taquine, ce n'est pas du goût de la jolie brune qui ne se démonte pas. répliquant quand les mots ou son comportement ne lui plaît pas. un attrait qui le surprend autant qu'il le rend coupable d'une maladresse. mais le sentiment ne perdure pas. il s'évapore rapidement en promulguant de plate excuse ainsi qu'en proposant un deal. recommencer à zéro. « ah. aimée. aimée. aimée. tout ce qui est à moi, est à moi. et ton numéro est mien désormais. » un large sourire moqueur revient presque aussitôt sur son faciès. oubliant presque instantanément sa bourde précédente pour écrire, passer à tout autre chose. et si le gamin semble plaisanter, en réalité il en pense chaque mot, il serait dommage après autant de temps, de faire durer le suspense un peu plus. sa main rejoint la sienne. un instant sa note glacée le surprend. son corps à lui est sans cesse en ébullition, oubliant bien souvent que ce n'est pas le cas de tous. il plante ses yeux azurs dans les siens, profitant de l'unique moment où elle se laisserait approcher. « ça me va. d'ailleurs. on devrait en rester-là pour aujourd'hui. » sans aucune autre explication que ce bout de phrase, le gamin clos cette rencontre. surprenant sans doute la gamine. et si c'est le cas, c'est le comportement recherché. si priam court. il aime que les femmes marchent, ruminent dans leurs cervelles. et il le sait, ce coup risque d'être risqué. aimée est insaisissable. mais il tenterait bien, de l'effleurer. à regret, sa main quitte la sienne. et alors qu'il s'apprête à quitter la petite boutique, il se rappelle de ce détail. une française. « que je suis mal-élevé... », il se retourne, passe ses doigts sur son épaule et vient déposer un furtif baiser sur l'une de ses joues. « à la prochaine. aimée. » le dernier mot est appuyé comme pour garder cet instant, celui où il connait son prénom alors qu'elle, non. ses talons se tournent et il quitte l'endroit sans un autre regard que celui d'un homme satisfait de son après-midi. et de la beauté d'un pur hasard.
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Repartir à zéro ? Ça semble être compliqué. Jusqu’à présent, le brun t’a montré qu’il savait exactement ce qu’il voulait. Alors tout effacer pour recommencer ? Tu en doutes fortement. La preuve. Il ne comptait pas une seule seconde revenir là-dessus. Apparemment, ça lui appartient. Ça t’amuse, tu souris en retour. Ce combat est donc perdu d’avance. Tu ne tenteras pas de récupérer ton numéro de téléphone. Et comme pour s’assurer de le garder précieusement prêt de lui, il préfère partir. Mine surprise, tu te dis qu’il ne cessera de faire le hors norme. Ça pique à ta curiosité. Tu te demandes qui est véritablement cet Anglais mystérieux. Il est aussi imprévisible que tu peux l’être. Juste avant, tu avais l’impression qu’il te courrait après. Et là, il semblerait que les choses s’inversent. C’est intéressant. Tu n’es pas habituée à ça. C’est plaisant. Il s’en va sans ajouter un mot de plus, alors que tu restes là encore à moitié stoïque. Et il revient, déposant un baiser sur ta joue, tout en prononçant une dernière fois ton prénom avant de partir. Ok, il marque des points. Il sait comment s’y prendre, jouer avec tes nerfs. Et peut-être avec la couleur de tes joues. Il se pourrait que tu aies légèrement rougi. « Salut... » Dis-tu doucement en français, légèrement bêta, ne savant pas vraiment quoi dire de plus. Tu le regardes partir, tandis que Némo te ramène à la réalité. Tu le caresses, jouant avec lui, avant de retourner furtivement vers une étagère, et de trouver finalement un livre qui te semble intéressant. « Je vais vous prendre ça. » Livre en poche, tu sors avec Némo, en direction de chez-toi.

FIN
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