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@Priam Rothschild

Profitant d’un splendide soleil d’avril, couverte, tu te décides à promener Némo. Loin de la colocation, et des pièces fermées, la petite boule de poil se défoule, se dépense sans songer qu’il va falloir encore marcher par la suite. Et peut-être par chance, pour lui, il n’aura pas à faire tous ces pas. Il pourra se reposer dans un taxi pour rentrer directement à la maison, et s’écrouler comme une masse dans son panier. Mais même si tu n’as pas songé à prendre ta canne, juste en si besoin, vous poursuivez et marchez en direction d’un café. Et même si un sol peut paraître moins confortable que ce qu’avait à tête le Cavapoo, il ne se plaint pas de pouvoir faire carpette sur le carrelage du café. Épuisé, il s’allonge sans attendre un ordre. Il prend les devant tandis que tu t’installes à l’une des rares tables libres. A l’écart de clients, et des conversations, tu sors un livre dans l’attente que le serveur vienne à toi. Depuis sa sortie, le dernier livre de Joël Dicker, prend poussière. Attendant patiemment que tu veuilles effleurer ses pages, le dévorer sans pouvoir t’arrêter. Aujourd’hui, il sera récompensé de ce mal en patience, et te délectera. Plume fine, d’une lecture facile, t’aimes particulièrement cet auteur suisse. Sourire aux lèvres, après avoir demandé un thé, tu l’ouvres enfin, le tien d’une main, et défiles les pages jusqu’à ce qu’à y lire les premières lignes de l’histoire. T’oublies tout, te concentre sur ce que tu as entre les mains, ne te souciant pas une seule seconde du comportement de Némo. Sagement allongé, il va à la rencontre de Morphée et sombre dans ses bras délicats. Dans vos bulles, vous ne voyez pas les secondes défiler, de nouveaux clients combler les tables vides. Seul, le thé servi te pousse à corner le coin de ta page et à poser ton roman sur la table, à agiter la boule à filtre dans la théière. Pas assez tard, pas assez chaud pour prendre une bière.
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lassé après une semaine passée la tête dans le guidon, entre les cours mais aussi la pression des examens finaux, enfin, priam peut profiter d'un moment de détente, à ne s'occuper rien d'autre que de lui même. et si en temps normal le gamin serait resté bien gentiment chez lui à tuer le temps entre l'ordinateur, la télévision ou bien encore à juste lézarder sur son balcon où le soleil prédomine, le rothschild se décide à sortir. le nécessaire dans ses poches de jean, il entame ces derniers jours une envie fulgurante de décamper, s'abandonnant complètement à ses peurs les plus rudes. celle de ses quatre murs qui le terrorisent tant depuis bientôt maintenant deux mois. une fois à l’extérieur, il se rend à pied -bien évidemment- jusqu'au centre, non loin de son appartement. déambulant parmi les passants composés principalement de touristes et étudiants, il s'arrête finalement devant une boutique, une librairie précisément. y rentre et se rend à sa section préférée regroupant d'un côté les livres de cuisine et de l'autre un thème plus sombre appelé la divination. le gamin consulte mais ne trouve rien au niveau plat qui lui ferait particulièrement envie. par contre, concernant cartomancie, un jeu en particulier attire son attention, celui-ci est totalement noir et dénué de son habituel robe. non, tout est dessiné sous forme de squelette, ce qui incite le gamin à l'acheter. y'a longtemps qu'il ne s'est pas tirer les cartes, pourquoi pas recommencer ? il paie à la caisse et se détache de cette rue pour rejoindre une autre boutique. cette fois-ci, simplement pour regarder de quoi se vêtir, et oui, le bal de l'université approche à grand pas maintenant et si cette idée le rend particulièrement ennuyé, il a promis lors d'une conversation avec danna de s'y rendre. ses yeux roulent vers le ciel rien qu'en y repensant. cet esprit guindé ne lui colle pas à la peau, pire même, elle le rebute au plus haut point. et en tant que rothschild, ce n'est seulement qu'en connaissance de cause qu'il le sait. ce n'est qu'une cérémonie de plus. tous coincé entre des vêtements qui les emmerdent, de part une ergonomie non conforme. tous viennent simplement pour les ragots. les prix. mais il a promis. et le gamin ne revient jamais sur une parole. ce qui lui coûte bien souvent des situations douteuses. il regarde de beaux costumes signés d'une marque française très réputée. mais cette fois, il ne se décide pas à rentrer. pas encore. il possède encore le temps. priam se détourne et au moment où il se décide à prendre un plat à emporté thaï, ses yeux s'arrêtent sur un café. pas réellement intéressant en soi. mais ses pupilles sont intéressées, se sont arrêtées sur une demoiselle. à croire qu'il est doté d'un radar super puissant. c'est elle. cette jeune femme qui l'avait auparavant laissé sur la touche, lui promettant de lui donner son numéro quand ils se reverraient. une opportunité excitante naît en lui. puis il se ravise. un mirage ? croiser une personne deux fois dans un laps de temps si court relève de la magie, l'extraordinaire, l’irrationnel. le rothschild traverse alors la rue prudemment, s'avance jusqu'à sa table et pose alors son jeu de carte sur cette dernière. « je savais bien qu'on se recroiserai, les cartes me l'avaient prédit. » qu'il souffle, en étant de plus en plus sur que la personne qui se trouve devant lui, est bien elle. un sourire non mécontent s'affiche sur son visage, tout vient à point à qui s'est attendre. une expression véridique et approuvée. mais à présent, est-ce une coïncidence ? ou le destin ?
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Dans vôtre bulle à vous, Némo et toi, n’êtes pas dérangés par le bruit qui vous entoure. Certains aiment se retrouver au milieu du silence, pour n’entendre que ses propres pensées et pouvoir faire le vide dans sa tête. À l’inverse, toi, tu vis dans le bruit, et ne supportes pas le blanc pesant. Il te faut des vibrations, un son sans fin, de l’agitation pour marteler tes tympans. À travers cette sensation, tu sens la vie qui t’entoure, qui s’empare de toi. Tu sais que tes pieds sur terre, que tu ne sombres pas dans le néant. Tu existes, et ton corps frémit. Alors, non, le vacarme ne te perturbe pas, il te rassure. Tu peux continuer à vivre sans avoir un cri d’alerte qui t’interpelle, provoquant une angoisse insoutenable. Tasse en main, tu poursuis ta lecture. Tes yeux font des allers-retours, lisant chaque mot inscrit. Et les pages défilent, tandis que la boule de poil, toujours présente à tes pieds, dort, épuisée de cette longue marche. Et soudainement, ta lecture s’interrompt. Une ombre se dresse devant toi, de l’autre côté de la table. C’est lui, l’inconnu a qui tu avais refusé de donner ton numéro, il y a de ça de nombreuses semaines. Mauvais timing. Tu venais de te séparer de ton copain de l’époque, et tu n’étais pas réellement disposée à répondre à sa demande. Tu avais autre chose en tête, panser tes blessures et oublier celui qui avait déchiré ce cœur fragile. À cet instant, tu pensais avoir assez souffert pour toute une vie, et qu’il était temps de se protéger. Tu es comme une fleur, tu t’ouvres aux autres. Peut-être parfois trop, facilement, oubliant qu’un jour, tu te fanes. Car tout à une fin. Aujourd’hui, tu vis des relations sans lendemain. Les rencontres ne durent qu’un jour. Il est donc inutile de porter de l’intérêt aux autres, d’apprendre à les connaître. Tu te moques bien de savoir ce qu’ils font dans la vie, ce qu’ils aiment. C’est une rencontre éphémère, rien de durable. L’inconnu qui te fait face, pose des cartes assez sombres sur la table. Visiblement, il n’est pas venu pour jouer à une partie de uno. Sourcils arqués, tu tentes de comprendre ce que des cartes divinatoires auraient bien pu lui prédire. Tu ne crois pas en la divination. Comme si des cartes pouvaient lire ton avenir. Comme si tout était déjà écrit, que tu accomplissais une vie déjà toute prédéfinie. Tu n’y crois pas une seule seconde. La vie est pleine de surprises, rencontre des obstacles. Elle n’est pas une longue ligne droite. « Et qu’est-ce qu’elles t-ont dit ? » Tu joues la curieuse, entrant dans ce petit jeu. Peut-être qu’il croit véritablement en tout ça. Et peut-être qu’au-delà d’un physique une personne différente se cache. T’aimes cette entrée hors norme. Ça à son côté décalé qui reste en mémoire, demande à savoir ce qui peut se cacher derrière si on gratte un peu plus. « Je suppose que tu n’es pas venu ici pour me lire l’avenir. » Non, tu en es certaine, il n’est pas venu pour jouer aux cartes. Tu lui avais promis de lui donner ton numéro la fois prochaine où vous vous croiserez. Il semblerait que ce jour soit arrivé plus tôt que tu ne le pensais.
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une matinée chargée en émotion en somme. après plusieurs petits désagréments, un brin de soleil semble s'être décidé à faire surface. de quoi raviver chez le gamin l'excitation et l'adrénaline, un cocktail particulièrement explosif qu'il connait très bien puisque perpétuellement vécu lors du spring break. et hormis les chaises de ce café, le brouhaha des voitures ou bien encore cet environnement de bitume, on s'y croirait presque. du moins aux yeux de priam. grand amoureux des coups de coeur, priam possède le palpitante frivole, virevoltant entres les lippes de ses dames. n'arrivant pas réellement à se poser totalement sur une branche, puisque sans cesse exalté par une autre beauté. après elle, forcément, le gamin s'était penché sur d'autres dossiers, surtout durant le spring break même si la tournure subite de l'accident de métro avait eu le don de freiner ses ardeurs. seulement, priam est comme tous les êtres humains et par conséquent, c'est sans mal qu'il n'apprécie que très peu le rejet. seulement, un non est un non. et ce même si ses yeux s'étaient déjà imprimés sur sa peau. que ses mains avides, cherchaient déjà ce nouveau territoire à découvrir. pendant un court instant, priam s'était vu refuser la demoiselle, et c'est non sans peine qu'il avait du faire face de nouveau à son quotidien jusqu'à ce qu'une autre âme lui provoque un certain intérêt. mais fini ici ce goût amer, non, en cet instant, il est sucré. et le gamin savourait intérieurement ce retour de situation complètement improbable, digne d'un film à l'eau de rose. seulement, l'héroïne arriverait-elle à se rappeler du héros ? et de son charme inébranlable ? là, réside une question des plus passionnantes. un râteau ou un numéro ? ce pourrait être un nouveau jeu télévisé et le rothschild se verrait déjà en tant que premier du classement. « une re-rencontre. ce que tu sais déjà. ainsi que... » subtilement, priam s'installe en face d'elle, prenant habilement une chaise d'une table voisine et attrape les cartes de tarot. avec adresse, il les mélange. puis en tire une qui ne lui plait guère. son sourire s'estompe un moment avant qu'il n'en tire une autre bien plus agréable. « les amoureux. oui. une carte divine qui dit tout déjà dans son titre. en somme. je crois que nous sommes voués à de grandes choses. » qu'il explique, évitant bien évidemment ce moment gênant où il a tiré cette première carte représentant un pendu. forcément, ça aurait été moins romantique. « cette carte à l'endroit, représente l'entente, et surtout l'union. sans oublier que dans la version initiale ce ne sont pas des crânes, mais bien des humains nus. ça transpire la sensualité. l'érotisme... la complicité. » doté d'une imagination sans borne, le gamin peut jouer avec les cartes et les placer comme bon lui semble. ou bien encore en inventant quelques caractéristiques qui lui convient. un petit tour qui pourrait marcher, seulement la demoiselle le repose sur terre, lui demandant à demi-mot ce qu'il veut. ce qu'il désir. et ses yeux se portent alors dans les siens, un sourire narquois à peine dissimulé. « je veux mon dû. » toi, que ses pupilles semblent crier mais ses lèvres formulent une tout autre réponse. « ton numéro. c'était le deal. » la rencontre avait été impromptue, et comme tous les événements insolites, son cerveau s'en était souvenu. d'elle. et de ce numéro.
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Les cartes, lui auraient prédit que vous vous reverrez. Tu penses qu’il bluffe, que c’est seulement le fruit du hasard. Des retrouvailles non prédites, mais qui tombent à pic. Ce qui arrive constamment, car quand on y pense, le Boston n’est pas une aussi grande ville. Et si vous avez des points en communs, les probabilités de vous revoir sont encore plus grandes. Vous fréquentez alors les mêmes endroits, peut-être même aux mêmes horaires. C’est alors si simple de se revoir. Rien ne dit que ça sera dans l’immédiat, ou dans six mois, mais ça arrivera. Le brun vient alors à prendre place à ta table, tirant une chaise voisine. Il semblerait que l’inconnu s’apprête à lire les cartes à nouveau. Il les bat habillement, sourire aux lèvres puis en tire une qui semble le déstabiliser quelque peu. Mais il l’ignore et en prend une autre. Elle ne semblait pas être à son goût, à l’inverse de la deuxième. Les amoureux. Tu n’as qu’une envie, rire aux éclats. Mais tu te retiens, pinces les lèvres, et ris de l’intérieur. Il y a tout intérêt que l’homme qui te fait face, ne croit pas en son tirage, qu’il ne prenne pas les choses au sérieux. Car, ce n’est absolument pas ton cas. A tes yeux, ce n’est qu’une farce de plus. « Hm je vois. » Toujours, tu te retiens de rire. Ça te demande beaucoup de concentration pour le laisser poursuivre. Il en tire une troisième. Tu te demandes s’il n’invente pas ce qu’il raconte. Tu n’y connais absolument rien après tout. Il peut inventer, dire ce qu’il veut, tu ne seras pas celle qui lui criera au mensonge. Cette dernière carte semble s’accorder avec la précédente, un étire tes lèvres avec malice. Celle-ci est plus à ton goût, moins prise de tête. C’est même assez flatteur. Tu connais les beaux discours, mais jamais on ne t’en a un fait un de ce style. Il faut se l’avouer, le brun sait se démarquer. C’est étrange, pas conventionnel, mais c’est ce que tu apprécies. « Intéressant.. » dis-tu en secouant la tête, songeuse à ce qu’il vient de vous prédire. Pourtant, tu n’oublies pas cette première carte qui est passée à la trappe. Ça te questionne beaucoup, car elle ne devait certainement pas être très bonne pour son petit discours. Pourtant, tu attends pour demander à ce qu’il te la dévoile. Tu rebondis, lui demandant ce qui l’a amené jusqu’à ta table. Tu t’en doutes. Tu sais qu’il n’est pas venu jouer au divin, venu prendre un café juste par envie. Il ne passe pas par quatre-chemins pour réclamer ce qu’il veut. Il n’a pas oublié, et il est venu le récupérer. « C’était le deal. » Tu tiendras promesse, comme toujours. « Mais avant … elle disait quoi la première carte ? Je suis curieuse de savoir. » lui dis-tu en le regardant droit dans les yeux. Regard à la couleur claire, tu pourrais facilement t’y perdre. Et toi non plus tu n’oublies pas, et tu es bien trop curieuse pour passer à autre chose. Tu lui donneras ton numéro. Tu n’as plus vraiment d’excuse pour le lui refuser. Et disons qu’il a marqué quelques points en se présentant à toi de cette manière. Entre tes fines mains, tu prends ta tasse encore chaude, et bois lentement ce thé noir. Tu l’observes soigneusement. Il a typiquement le physique dangereux. Traits parfaits, yeux de biche, bonnes paroles, il est celui à qui on peut dire amen à tout. Généralement, tu fuis des échanges sur une longue durée avec eux. Il ne doit pas y avoir un lendemain, uniquement un aujourd’hui. Mais il semblerait que tu vas faire abstraction à cette règle. Tu as assez confiance en toi pour croire que tu peux t’en sortir sans attachement, sans fracture.
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une croyance atypique qui de surcroît est bien souvent réservé à la gente féminine. de son vivant, priam croit bien qu'il n'a du faire face seulement à quelques hommes. et bizarrement, il ne sait pas si c'est psychologique ou non, mais ils lui ont semblé bien moins talentueux que ces dames. et même s'il aime les côtoyer de temps à autre par fantaisie, le rothschild s'en cache bien souvent par peur du jugement des autres. certaines croient en dieu, offre leur vie à une entité invisible, et lui se contente juste de quelques cartes et d'une imagination florissante. d'ailleurs, c'est bien surprenant que le gamin se livre si facilement à la demoiselle, lui montrant son art pour les cartes mais pas seulement, en les lui lisant. même si le tirage est d'une vaste blague puisqu'une aucune question n'a été posé sérieusement, c'est bien la première fois qu'il utilise ce genre de chose pour baratiner. une technique qui n'est pas totalement à proscrire puisqu'elle l'écoute, la lèvre pincée, surement à deux doigts de craquer pour ses belles paroles. du moins c'est ce qu'il pense, que quelque chose se passe. qu'une connexion est peut être sur le point de se faire, et peut être de chambouler leurs deux âmes pour une durée plus ou moins longue. jusqu'à la prochaine. mais chaque chose en son temps, pour l'instant, toute son attention lui est dédié. priam tire une troisième carte, une fois encore, elle est un avantage. « l'étoile. c'est une carte protectrice. elle vous mènera sur le chemin de la réussite. c'est significatif d'une belle période dans l'avenir. et combiné à la carte des amoureux... on peut dire que tu as de la chance ». si des sous-titres pouvaient être là, il y aurait écrit en lettre noire AMOUREUX=MOI ETOILE=CHEMIN JUSQU'A CHEZ MOI. loin d'être le genre de séducteur à emmener toutes ses prétendantes dans son pieux, il apprécie particulièrement cette transition de séduction, de mots emmêlés, d’œillades prononcées ainsi que des pupilles rêveuses. mais en cette journée si ensoleillée et après tant d'attente, le gamin n'est pas contre une petite visite médicale. mais avant tout, faudrait-il encore qu'il obtienne ce fameux numéro, le graal. un sourire triomphant orne ses lèvres tandis qu'il patiente à ce qu'elle empoigne son stylo et qu'elle dessiner les chiffres sur la serviette en papier près de sa tasse. malheureusement, elle n’obtempère pas. et pose une autre condition. petite. « c'était pas dans les conditions d'utilisation. je refuse d'en dire plus. un véritable voyant ne révèle jamais ses tours. » habile, le gamin se dépêtre de cette situation en deux trois petits mots, après tout comment peut-il lui dire. avouer même que le pendu représente une action à suspendre. après tout ce temps, priam ne laisserai certainement pas une carte tout détruire. alors il ne dira rien. et ce même si leurs pupilles se croisent en cet instant, s'apprivoisent, non, il ne lâchera rien. il approche alors sa main et attrape la serviette, avant de la placer juste devant la table. son doigts dessus. « maintenant. s'il te plaît. et avec ton prénom. » qu'il agrémente, quand le gamin veut quelque chose il sait l'obtenir. « si tu as du temps devant toi, on peut faire quelque chose... » l'idée est émise, et même signé quand il porte son attention sur son bouquin « une librairie ? »
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Si tu ne l’avais pas encore compris, l’avenir voudrait vous dire que vous allez finir ensemble, main dans la main, des sentiments dégoulinant de partout. Ou est-ce qu’il veut te faire croire, en lisant des cartes qui n’ont aucune signification pour toi ? Peu importe la vérité, aucune ne l’est à tes yeux. Ce n’est que du charabia, un beau baratin que l’on te pond dans l’unique but de te charmer davantage. Tu vis à une époque, où tu te fonds royalement que l’on se moque de toi, qu’on te mente sur un avenir qui reste incertain. Tu n’attends pas le prince charmant, et à arrêté d’y croire il y a bien longtemps. Il n’y a que des hommes avec des failles, aussi imparfaits que toi. Accepter la réalité, évite bien des problèmes, des peines qui sont inutiles à panser. Alors tu es au bord de la crise de rire, tant tu ne crois aucune de ces divinations. Mais tu restes courtoise, à écouter sans dire ce que tu penses réellement. Il vient à tirer une dernière carte, celle qui est sensée mener votre couple à la réussite. Comme si ça allait durer toute une vie. Rien ne dure éternellement. Tu le sais parfaitement, et en a souvent payé le prix. Tu ne veux plus ressentir cette douleur, oubliant presque tout ce que l’amour à pu t’apporter dans la vie. Mais t’as compris où il voulait en venir, tu n’es pas née de la dernière pluie. « Donc si je comprends bien, on formera un couple heureux qui transpira le sexe, la complicité, vivant des longs jours heureux ensemble ? » Tu marques une légère pause. Puis reprends, gardant ce sourire amusé. « Ça me fait surtout penser à un compte de princesse, en moins censuré. » Heureusement, car il n’y a rien de plus barbant que des histoires de princesses, rien d’aussi absurde, à des années-lumières de la réalité. Pourtant, t’aimes ce petit jeu. Il n’y a rien de plus palpitant que de la séduction. Alors tu joues pleinement le jeu. Tu vas lui donner ce pour quoi, il est venu s’installer à ta table. Ces petits numéros qui font de toi joignable à quasi toutes heures de la journée. Pour beaucoup, c’est loin d’être le numéro gagnant, loin d’être celui qui permet de gagner à l’euro million. Mais à ses yeux, ça semble être véritablement important. Comme s’il avait attendu tout ce temps. Et pourtant, tu tentes de le faire patienter encore quelques instants. Tu n’oublies pas cette carte mise sous silence, comme si elle n’avait jamais existé. Il refuse catégoriquement. Tu fais mine d’être offusquée. « T’es dure en affaire. » Et tu n’auras pas l’occasion d’insister, il sait parfaitement ce qu’il veut, et ne perd pas plus de temps. Il place la serviette sous tes yeux, et te rappelle ce qu’il désire. Rien de plus que ton numéro souligné de ton prénom. Il aurait tout aussi bien pu te filer son smartphone, mais depuis le début, il joue dans une autre coure. Tout en te pinçant les lèvres, tu sors de ton sac un stylo, et viens y noter ce qu’il désire. Signé, Aimée. D’un doigt, tu fais pivoter la feuille et la glisse jusqu’à l’inconnu. « Vais-je devoir attendre un message pour savoir à qui j’ai à faire ? » Rien n’est fait dans les règles de l’art, tout est décousu, monté à l’envers. Et ta curiosité te pique. T’aimerais savoir de qui il s’agit, et arrêté de l’appeler l’inconnu. Vous avez dépassé ce stade depuis qu’il s’est assis et à tiré les cartes. Il vient à te proposer de passer du temps avec lui. Tu penses qu’il va vouloir directement t’emmener chez lui, mais non, il te surprend une fois de plus. « Tu ne fais rien dans l’ordinaire.» Dis-tu surprise par sa proposition. « C’est un oui, à condition qu’on s’y rende à pieds. » Depuis que tu as retrouvé la totalité de l’usage de tes jambes, tu évites au maximum tous les transports en commun. Il est préférable de marcher, c’est moins anxiogène.
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le palpitant est frivole s'arrêtant de temps à autre pour s'esquinter tout contre celui d'une autre, infligeant une empreinte parfois indélébile au creux de l'âme. priam est un tantinet romantique, presque trop pour l'avouer à ses potes ou bien les personnes qu'il rencontre. les belles retrouvailles, les coïncidences improbables font parties des jolies choses de ce monde. et la leur se distincte particulièrement des autres tant elle s'apparente à de la folie pour lui. digne d'une comédie romantique. et s'il n'est pas particulièrement friand de ce genre de film, il en retient qu'il désir l'unique. certains cherchent bien à gagner plus d'argent, d'autres à paraître plus mince, lui son but est de trouver cette perle, extraordinaire qui sortirait du lot, et de l'apprivoiser. en somme, il recherche son âme-soeur. des idées certainement désuètes pour quiconque viendrait à l'écouter déballer ce genre de chose alors qu'aujourd'hui la société pousse à la consommation, et entre autre celle des relations amoureuses. le gamin ne s'en cache pas, il obtempère comme tous dans cette direction mais uniquement parce qu'il ne tombe pas sur la bonne. d'où ce fatiguant penchant à s'enticher dès que de nouvelles recrues poussent la porte de son champs de vision. et peut-être, qu'elle en fait partie. une de plus. ou bien, l'oiseau rare. et si à cet instant, le cours de ses pensées se passionnent pour le physique de la jeune femme, l'imaginant se laissant aller à leurs désirs réciproques et torrides. priam n'en perd pas moins le nord. à la conquête du monde pour elle. et pour ça, il est prêt à tout, et même à s’épancher sur l'une de ses croyances préférés ; la voyance. si l'inconnue ne paraît pas emballé par ses prédictions, elle l'écoute cependant d'une oreille attentive. elle s'intéresse. le gamin en conclut qu'elle n'est pas insensible à son charme. bon point. « tu as un bon esprit de synthèse, c'est exactement ça. très positif. après, les cartes omettent peut-être les petits désagréments, mais si tel est le cas, je pense que les réconciliations ne seront que meilleurs. » le gamin ne s'arrête plus, comme un adolescent pré-pubère qui ne saurait se contenir lors d'une première fois, priam envoie la sauce, sortant les violons pour la conquérir. on l'aurait connu plus fin. mais après tout ce temps à s'enfermer -fenêtres ouvertes- chez lui, se torturant mentalement à cause des événements précédents dans sa vie, en cet instant, il ressent ce vent qui s'engouffre sous ses vêtements. l'adrénaline. le jeu habile de la séduction. une excitation renaît en lui. l'anime de nouveau et s'en est presque touchant. « quoi, t'as jamais rêvé d'être une princesse quand t'étais petite ? » qu'il réplique munit d'un fin sourire, non mécontent qu'elle apporte une touche amusante à ce conte. le leur peut être. tandis qu'il refuse d'en dévoiler d'avantage sur cette carte passée sous silence, le jaune arpente d'un oeil expert le visage de la demoiselle, puisqu'il ne peut qu'apprécier ce paysage pour le moment. brune. le regard droit, franc et d'une couleur fondante. les lèvres charnues. pulpeuses. les traits fins et pourtant détonnant avec la dureté qui repose par moment dans ses iris. une effronté ? « toujours ». et c'est finalement après plusieurs mois, et quelques minutes d'affrontements que le numéro s'affiche sur la petite serviette en papier, signé par la main d'aimée. son prénom. une donnée de plus qu'il ignorait jusqu'à présent. « aimée qu'il murmure, « ... ça sonne français » l'idée lui traverse à peine l'esprit, que les mots se sont emparés de ses lippes pour les prononcer. sans parler de cet accent. le gamin percute seulement maintenant qu'elle est surement française. priam les connait bien puisque se sont des voisins, et il n'était pas rare qu'autrefois il se rende en france pour divers raisons. une française. une caractéristique qui lui plaît bien. « pas plus tard que maintenant. je suis pas le dernier des cons. je veux pas me faire avoir par un faux numéro. » priam attrape son cellulaire, et recopie rapidement les coordonnées d'aimée. quelques minutes plus tard, il décide de la faire sonner. et à sa grande surprise et contentement celui de sa voisine se met à vibrer. « bravo, le premier essai est concluant » elle ne triche pas. se tient à ses promesses. « c'est souvent ce qu'on me dit » un brin amusé, il répond suite à sa proposition de la librairie, ce qui semble plaire à la demoiselle. loin d'être effarouché par cette demande, elle renchérit en proposant de s'y rendre à pied. un instant il perd son sourire. bien-sûr, c'est parfait. il n'aurait pas pu espérer mieux, cependant, la piqûre de rappel est soudaine et le renvoie à ses deux derniers mois. mais loin d'être décontenancé, il reprend son aplomb, balayant ces stupides ignominies qui obstruent le canal de ses pensées. « parfait. mais prends ton temps. se serait dommage de gâcher un café. »

hj ; j'ai un peu abusé, sorry éè
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Pas une fois, lorsqu’il lisait ses cartes, tu ne t’es prise à imaginer chacune des situations. Tu n’imagines pas une longue relation, remplie d’amour ou de réussite. Seule une relation éphémère, de corps nus te vient à l’esprit. Rien qui n’engage de complications, de longs discours ou des promesses que l’on ne peut tenir. Et bien que la vie reste imprévisible, il y a certaines choses que l’on peut encore contrôler. S’il reste difficile de maîtriser les sentiments, il est toujours possible de créer des barrages afin d’éviter qu’ils prennent surface. En évitant soigneusement de faire connaissance avec des hommes, tu t’évites tout attachement possible. C’est une solution qui peut sembler un peu radicale pour certains, mais elle te semble nécessaire au vu des nombreuses peines que tu as pu rencontrer. Pourtant, tu te laisses bercer par cette séduction unique dans son genre. Qui n’aime pas se sentir désiré, se savoir délicieux ? Être refoulée par sa différence, tu sais que trop bien ce que c’est. Ton handicap t’a à de nombreuses reprises laissée sur le banc de touche. Et depuis que tu n’es plus dans un fauteuil, ou en train de marcher avec des béquilles, tu as pris davantage confiance en toi. L’accident est finalement, peut-être la meilleure chose qui puisse t’arriver. A travers ce dommage, la différence, on voit le meilleur comme le pire chez autrui. On discerne alors plus facilement la vérité, mais à ce stade, tu te fous de savoir ce qui est dans le vrai ou une duperie. « Je n’en demandais pas moins. » Sourire malicieux, voilà que tu te prends à rêver de réconciliations érotiques. Les meilleures qui puissent exister. Elles débordent de désir, de sentiments plus forts que tout. Mais des réconciliations impliquent forcément des choses auxquelles tu te refuses. Et malgré ce côté très excitant, tu te méfies. « Si quand j’avais quatre ans, peut-être. » Dis-tu en rigolant. Mais les comptes de fée, de princesses, ça n’a jamais été ta tasse de thé. Ils ont toujours été d’un ennui mortel. Ces jeunes femmes ont toutes plus ou moins le même caractère et leurs histoires sont plus que très similaires. Gamine, tu aspirais à mieux que ça. Tu te prenais pour une aventurière, ou une héroïne. Vivre de grandes aventures, se battre te semblait bien plus amusant qu’une histoire d’amour et de belles robes. C’est peut-être ton côté-ci peu romantique qui s’exprimait déjà à un si jeune âge. Visiblement, les choses n’ont pas changé avec le temps. Vient alors l’instant où tu te décides à lui donner ton numéro de téléphone. Qu’il profite de cette victoire. Elle peut sembler petite, ou sans importance, mais rien n’était gagné au départ. Vous vous être rencontrés lors d’une période difficile pour toi. Et vous recroisez ne faisait pas parti de vos plans. Du moins pas des tiens. « Gagné. » Dis-tu en français, un Français à l’accent chantant, celui de ta ville natale. « Et ton accent me fait dire que tu es anglais, à moins que je me trompe. » T’as toujours trouvé l’accent anglais terriblement séduisant, si raffiné. Comme leur culture riche en histoire. Désormais, il sait comment tu te prénommes. Il peut poser un nom sur ton visage, et t’harceler si ça le chante. Toi, tu n’as rien de lui. T’ignores son prénom. Habituellement, ça n’a rien de dérangeant. Mais tu n’apprécies pas que les compteurs soient aussi différents. T’es pour l’égalité. Et quand tu lui demandes quand tu vas bien pouvoir savoir qui il est véritablement, il détourne à moitié la question, ne croyant pas en ta sincérité. « Je suis malicieuse, pas menteuse. » Dis-tu tandis qu’il s’empare de son téléphone et fais sonner le tien. Tu n’apprécies pas vraiment ce manque de confiance, mais tu te gardes bien de le lui dire. Il ignore beaucoup de choses sur toi, et tant qu’il reste sur tes gardes ça fait plusieurs épaisseurs de boucliers entre vous. « Je te l’avais dit. » Tu bois une profonde gorgée de ton thé devenu froid, à force d’attendre. Son goût est d’autant plus amer, ce qui a tendance à te dégoûter. Tu pousses la tasse, tandis qu’il te dit te prendre ton temps pour boire ta boisson. Tu ne le corriges pas, le laisses penser qu’il s’agit d’un café. « J’en ai terminé avec. » Tu te penches alors et viens caresser Némo qui émerge lentement d’un long sommeil. Il va être temps pour vous de partir, avec ou sans celui qui se laisse désirer en ne donnant pas son prénom. Tu laisses quelques billets sur la table, ramasses tes affaires, et remets une laisse à Némo qui s’impatiente de partir. « On y va l’Anglais ? »


hj ; pour le coup, je me suis un peu laissée emballée également. (priam) and if his opinion wasn't the same. 550846730
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mentir est une seconde nature quand le rothschild espère plus que tout obtenir ce qu'il désir. un moyen particulièrement désastreux puisqu'à de nombreuses reprises, cela s'est retourné contre lui. car même face à cette affection tendre pour cette technique qui lui a semblé pendant pas mal de temps fructueuse, personne n'aime le mensonge. être trompé si facilement. se baser sur de fausses informations. d'aussi loin qu'il puisse remonter, le gamin a toujours été ainsi, préférant se calquer sur ses proies, aspirant aux mêmes valeurs, partageant les mêmes opinons, allant jusqu'à s'accaparer certains modes de vie comme devenir végétarien. un terrible défaut en réalité puisque cette caractéristique ne lui permet pas de construire une relation solide basée sur la confiance des deux parties. ce qui en somme la souvent conduit à n'espérer rien d'autres que de petites aventures sans grandes impactes. un paradoxe quand on sait ce qu'il espère réellement. grand maladroit, il répète sans cesse les mêmes conneries comme dans cette situation, qui pour le moment n'a pas vraiment d'incidence majeur, mais cela reste les prémisses de bien d'autres menteries. sa langue se balade si bien sur les mots, les invitant à prendre place dans une danse endiablée, permettant à son imagination de faire un travail d’orfèvre. on pourrait presque y croire, à la joliesse de ses lèvres charnues, allant même admettre que ce qui en sort l'est tout autant. alors, tel le psychologue qu'il pourrait être, il déballe, tentant par divers moyen de rallier quelques âmes en peine jusqu'à lui. les berçant d'illusion sans réellement l'admettre. un magicien. les cartes en main, priam se concentre sur la demoiselle qui se trouve en face de lui, appréciant la douceur de ses traits et la vénusté qui s'en dégage. si son discours lui semble cohérent et particulièrement bien réfléchis pour de l'improvisation, il n'en reste pas moins qu'aimée ne paraît pas succomber avec ce tour de passe-passe. mais le gamin réserve encore bien des surprises. « quoi ? tu vas me dire que tu ne rêve pas de la robe blanche ? et de porter l'alliance à ton doigt ? woaw, tellement féministe. » nul ne sait si cette blague est acceptable chez elle, mais le gamin tente, jetant un pavé dans la mare, apportant un brin d'humour au jeu qui parait se créer entre eux. un jeu bien intéressant tant le gamin apprend d'elle, et plus encore, les caractéristiques qu'elle lui donne lui plaise. beaucoup. comme tout bon étranger d'ailleurs, il divague un moment, les pupilles appréciant la forme de ses lèvres ainsi que son accent exotique prononce un mot qu'il ne comprend pas. mais à cet instant, ça n'a pas d'importance à ses yeux. elle pourrait même l'insulter que priam rêverait qu'elle prononce encore ses mots. boston manque cruellement de diversité, et ce côté outre-atlantique, prête à lui susurrer des mots en français le rend dingue. son coeur en ferait presque un bon. infime. mais terrible dans sa poitrine. « gagné » dit-il à son tour suite à son affirmation, reprenant le même mot munit de son accent tellement british. il doute sur le fait qu'aimée puisse trouver ça à son tour sexy, mais il ne peut s'empêcher de s'affirmer, d'imposer ce côté si caractéristique des anglais. à la fois bourgeois. et classe. en espérant qu'elle ne retienne pas ce côté coincé. suivant les règles à la lettre, chose qui ne le caractérise pas, pour preuve, le rothschild ne prend pas de gant quand il se décide à l'appeler devant elle. ne se souciant absolument pas de son amour propre, non, tout ce qu'il désir, c'est son numéro. sans triche. juste une promesse. « je ne te connais pas encore assez pour affirmer une telle chose mais, je vais te croire sur parole. » réplique-t-il en affichant un sourire, espérant que celui-ci aurait l'incroyable don de se faire pardonner de sa maladresse. la française repousse finalement sa tasse lui assurant qu'elle a terminé avec. et c'est sans un mot en se contentant de son feu vert que le gamin ramasse toutes ses cartes. les rangeant rapidement pour les remettre dans leur boite. c'est à ce moment précis qu'il remarque le chien. priam lui lance un coup d'oeil rapide, définitivement ce n'est pas ce soir qu'il la ramènerai chez elle. savon, le chaton laissé par son ancienne colocataire n'apprécierait certainement pas ce nouveau venu. « un chien ? c'est bizarre, je t'aurais d'avantage vu penchant du côté des chats. » exprime-t-il en se levant de sa chaise, ainsi qu'en la replaçant bien gentiment à sa place. « ready aimée » le gamin se délecte. profitant de l'avantage dont il possède concernant une information. celle de son prénom. plutôt rustre ou indélicat, mais assez jouissif tant il ressent chez la française une certaine aversion pour cette disparité. ou peut être rêve-t-il ? surement l'un de ses fantasmes qui le rend bien plus mystérieux. absent de toute étiquette, le gamin s'amuse, préférant l’énigme à la révélation. « c'est quoi ton genre préféré ? » qu'il demande tandis qu'ils se mettent en marche, quittant le café pour une route sauvage où la loi de celui qui gueule le plus fort, l'emporte. tous deux traversent rapidement celle-ci, rejoignant un autre pan de trottoir. et coïncidence ou pas mais une librairie se trouve juste en face d'eux, leur permettant de se saisir rapidement de leur envie. « après toi.. » qu'il susurre à demi-mot, se montrant faussement gentleman pour apprécier les courbes de la jeune femme. « ladies first. »
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