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Couture ft. Zhamès

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Zhaleh reposa son petit ciseau sur la table près d'elle et étira son dos avec douceur. Elle commençait à fatiguer mais le résultat qui apparaissait peu à peu sous ses yeux ne la rendait que plus fière d'elle même. Si sa mère pouvait voir son travail, nul doute que la jeune fille serait félicitée. L'étudiante soupira doucement, arrangeant un peu le tissu de la robe qu'elle était en train de confectionner. Celle là était une création unique et originale pour elle même. Sa robe de bal. L'an dernier, elle y avait assisté seule, n'ayant pas trouvé chaussure à son pied. Cette année, elle accompagnait Neyla, la laissant s'occuper de leur placement à table. En vérité, elle s'en fichait un peu. Elle ferait acte de présence, irait faire un bisou aux membres de sa famille et partirait sûrement avant la fin, ne trouvant aucune raison de rester. La jeune femme s'étira quand elle entendit toquer à la porte. Ni une ni deux, elle s'empressa de couvrir sa création avec un drap et de ranger ses plans. « C'est ouvert. » Elle était dos à la porte, rangeant son atelier avec soin. Elle n'aimait pas laisser traîner ses affaires surtout ici. Elle partageait cet atelier avec deux autres filles et ce n'était pas particulièrement dans son état d'esprit de laisser traîner ses affaires et de permettre aux autres de toucher ou de se servir. Zhaleh redressa son buste, détendant doucement ses épaules avant de tourner son visage vers la personne qui venait d'entrer. Elle haussa les sourcils en découvrant Hermès, le fameux mâle que sa cousine fréquentait de très près. Si Zhaleh aurait bien fait main basse sur lui, elle ne pouvait se résigner à trahir sa cousine. Cependant, elle s'était permise de le souligner, un soir alors qu'ils s'étaient retrouver chez Neyla. « Je peux t'aider ? » Demanda la brune sans bouger de sa place, se demandant s'il s'était perdu.
@Hermès Arnault
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Le français était un homme qui se souciait de son image. Toujours bien habillé, même quand il voulait donner l’impression qu’il ne faisait pas attention, il choisit sa garde-robe avec le plus grand soin. Si les marques à la mode et hors de prix n’avaient plus de secret pour lui, Hermès aim découvrir de nouveaux vêtements, des tenues inédites pour parfaire l’image qu’il renverrait de lui.

Ce jour-là à Boston, il marchait pour tromper l’ennui de son appartement. Rien d’alarmant, son logement était l’un des plus chers de la ville et le français s’y plaisait bien, mais il aimait aussi, par moments, apprécier l’air et l’ambiance de la ville. Une cigarette vissée dans le coin de ses lèvres, il arpentait les rues américaines pour se rendre à cet atelier de couture près duquel il était passé en voiture quelques jours plus tôt. En se renseignant sur le net, il eut un rapide aperçu des produits de luxe que les artisans confectionnaient ici – parfait pour lui. En arrivant devant l’atelier, il jeta sa cigarette sur le trottoir, laissant les cendres qui embrasaient son extrémité s’épuiser avec le temps. « Bonjour ». De dos, il ne la reconnu pas de suite et du attendre qu’elle montre son visage. Zhaleh al Zahid, la cousine de Neyla. S’ils s’étaient croisés plusieurs fois, chez Neyla ou pendant le Spring Break, ils n’avaient échangé que de rares paroles. Et pourtant, ces quelques mots avaient laissé un souvenir précis chez le jeune home. « J’ignorais que tu travaillais là » poursuivit-il en accompagnant son geste d’un mouvement vague de la main. « Je suis venu car j’ai envie d’une nouvelle tenue, et j’aime le travail des couturiers indépendants plus que celui des grandes marques … ». Hermès haussa les épaules, parcourant alors l’endroit du regard. Son attention se focalisa sur plusieurs détails, sur des vêtements accrochés ça et là. Il ignorait si Zhaleh les avait tous confectionnés elle-même, mais ce qu’il vit le réconforta ; il était au bon endroit.  
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C'était étrange pour Zhaleh de retrouver Hermès dans son atelier. Ils ne se parlaient pas réellement. Ils ne se parlaient pas en vérité. Le peu de fois où Zhaleh l'avait croisé, ils s'étaient contentés de bonjour/au revoir. De comment ça va ? Et c'était tout. Certes, Zhaleh avait eu l'audace -mais c'était Zhaleh- de dire ce qu'elle pensait de lui. Si Neyla n'avait pas été entre eux, il y a longtemps qu'elle aurait enfilé sa peau de séductrice pour jouer un peu avec lui. Neyla lui avait brièvement parlé de Hermès. Si Zhaleh avait fait mine de ne pas s'intéresser à lui, au fond elle savait qui étaient les Arnault et leur réputation les précédait. Si Neyla se le gardait pour elle toute seule, c'est qu'il en valait le coup. Mais la brune était loin d'aller jusqu'à être une sacrée garce avec sa cousine. Zhaleh inspira profondément, observant le français de haut en bas en faisant une moue songeuse. « C'est en attendant de trouver un bon local pour m'y établir. » Parce qu'elle n'aimait pas partager son lieu de travail avec d'autres. Et puis, ça ne faisait pas longtemps qu'elle était ici. Zhaleh se déplaça pour pousser le mannequin qui portait sa robe de bal, caché sous le drap, laissant plus de place. Elle invita d'un geste de la main, le français à venir se positionner non loin d'elle. « Tu voudrais quoi comme tenue ? Tu as une idée ? » Elle s'était permise de le tutoyer des son entrée, ne le considérant pas comme un inconnu. Elle était simplement étonnée que Neyla ne l'ait pas envoyé en vérité. Peut être qu'ils ne parlaient pas de ça. Zhaleh n'en savait rien. Elle ne savait pas ce que des amants pouvaient se raconter sur l'oreiller, n'en ayant jamais eu. Il y avait eu Gauthier oui, mais l'espace d'une nuit seulement et le lendemain, elle n'était déjà plus là. Une relation aussi régulière que celle de Neyla et Hermès la ferait certainement s'attacher de manière ridicule à une histoire sans aucun avenir. « Et tu le veux pour quand ? »
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Suivant l’invitation de la saoudienne, Hermès quitta le seuil de la porte pour pénétrer davantage dans l’atelier. Il se rapprocha d’elle, lui permettant alors de mieux la détailler. « Il me faudrait une veste de costume – ce n’est pas pour le bal » précisa-t-il, jugeant nécessaire d’apporter cette précision. Les couturiers dans son genre devaient déjà être demandés de toute part alors que l’échéance du bal de fin d’année approchait, autant ne pas en rajouter inutilement, et ce alors qu’il n’avait toujours pas sa tenue. « Une veste de costume, sobre mais élégante. Ce ne sera pas pour de grandes occasions donc il me faudrait quelque chose de … hum « décontracté », si ce mot veut dire quelque chose en couture ». Il n’en savait rien, parce qu’il était totalement hermétique à la couture. Hermès n’était pas le genre d’hommes habile de ses mains. Ses dix doigts n’étaient pas fait pour les tâches manuelles, et la couture en faisait bien évidement partie. Le français s’appuya alors contre quelconque meuble placé derrière lui, croisant les bras alors qu’il lui donnait le détail de ses envies. « Je vois bien quelque chose de foncé mais si tu as une meilleure idée, je suis preneur », peut-être que le regard de la professionnelle pourrait l’aiguiller sur quelque chose d’original. « Et fais ça pour quand tu peux. Je ne suis pas pressé. Idéalement, j’ai un repas de famille en fin de semaine … mais si je ne l’ai pas d’ici là, ce n’est pas grave ». Il savait que le travail fait rapidement était plus susceptible d’être bâclé, alors il aimait donner du temps aux personnes avec qui il travaillait. Hermès ne la quittait cependant pas des yeux. « Ça te semble réalisable ? Tu en penses quoi ? ». Parce qu’Hermès restait un homme, et avoir l’avis d’une femme sur les vêtements qu’il portait lui importait. Après tout, s’il s’habillait bien, c’était aussi et surtout pour séduire, non ?
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C'était compliqué. Il est vrai que Zhaleh esquivait volontairement Hermès. Il s'occupait déjà de Neyla et elle n'avait pas envie de briser les coups de sa cousine, elle n'était pas comme ça. Pourtant, le français exerçait une attraction particulière sur Zhaleh et elle détestait ça. S'il venait à trop se rapprocher, elle doutait pouvoir se retenir de s'amuser avec lui, de le séduire. La jeune femme faisait comme si tout ça n'était qu'un jeu mais elle avait rêvé à trouver ses bras plus d'un fois. Pourtant, elle se l'interdisait, très fort. Et Zhaleh n'aimait pas agir comme ça, elle qui aimait vivre de ses pulsions. Elle avait invité Hermès à se rapprocher, essayant de ne pas avoir trop de contacts visuels avec lui. Zhaleh redressa les épaules, cherchant à ne pas, surtout pas, montrer quoi que ce soit. Elle fit une moue songeuse. « Je vois oui. Je comprends ta demande. » Zhaleh attrapa son carnet pour noter quelque chose, écoutant la suite. Elle ne le regardait pas, elle n'y arrivait pas. S'il voulait une veste, elle allait devoir prendre ses mesures. Et donc, être très près de lui. Son cœur battait trop fort dans sa poitrine, ça commençait à l'énerver. Elle inspira profondément pour se calmer et leva un œil vers Hermès. Il avait l'air si décontracté lui. « C'est réalisable oui. Si je m'y mets rapidement. Je n'ai pas de grands projets en ce moment de toute manière. » En dehors de sa robe de bal. Encore un bal qu'elle passerait seule. La jeune femme était peut être destinée à rester seule. Son père l'avait déjà abandonné, comme si elle était la responsable de la mort de sa mère. Pourtant, elle n'avait jamais souhaité ça. La jeune femme attrapa son mètre et glissa son carnet dans la poche de son jean. Elle fourra son crayon dans son chignon et fixa Hermès. « Déshabille toi... Enfin je veux dire, le haut. Garde ton... t-shirt. S'il te plaît. » Elle se racla la gorge en fronçant les sourcils avant de s'approcher de lui. « Mets toi ici, face à moi et lève les bras à l'horizontale. »
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Avec une certaine attention, il la regarda prendre des notes sur son carnet. Le français ne pouvait défaire son regard des petites mains de la couturière, fines et élégantes. « Je ne veux pas te faire travailler plus que de raison. Je suis sûr qu’avec le bal, tu seras bientôt débordée par toutes les demandes » . C’était de toute façon comme cela que les choses se passaient normalement. Chacun voulait se présenter au bal avec une tenue unique et faite sur mesure. Hermès parcourut une nouvelle fois l’atelier du regard, à la recherche de la robe de Zhaleh. Il se demandait quelle robe elle porterait. A l’image de ce qu’il semblait exercer sur elle, la saoudienne avait sur lui une certaine emprise. Il reconnaissait son charme et il lui aurait déjà sauté dessus s’il n’y avait pas Neyla. Hermès n’était certes plus avec, mais cela était beaucoup trop récent pour qu’il ne se jette dans les bras de sa cousine. « Je ne garde que le t-shirt ? » fit-il un sourire joueur aux lèvres, alors qu’il retirait sa chemise pour la placer soigneusement sur le dossier d’une chaise. Bon élève, il se plaça face à elle et tendit les bras. A cette distance-là, il pouvait presque attraper son visage entre ses paumes. Alors qu’elle s’approcha de lui pour prendre ses mesures, Hermès porta son regard – encore une fois – sur le corps et les formes de Zhaleh. Nuls doutes qu’il aimait ce qu’il voyait, mais il en revint tout de même aux yeux de la brune, deux iris bruns qui semblaient l’hypnotiser lui. Il semblait se perdre en eux, comme englouti dans un océan dont il ne pouvait voir le fond. Il détourna une nouvelle fois le regard, portant ce dernier autour de lui. « Je suppose que tu confectionnes toi-même ta robe … Tu as terminé ? »
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C'était étrange comme le hasard faisait bien les choses non ? Combien y avait-il de maisons de coutures ou de petits stylistes indépendants à Boston ? Combien y avait-il de chance pour que Hermès Arnault entre dans le seul petit atelier où Zhaleh travaillait sur ses créations ? La jeune demoiselle se demandait si ce coup du destin n'était pas une blague de mauvais goût. Mais elle n'allait pas le mettre dehors non plus. Parce qu'elle n'en avait pas envie. « J'ai mes travaux pour les études donc je ne vais pas m'amuser à habiller tout Harvard. Ma famille à la limite. Et encore, s'ils ne s'y prennent pas à la dernière minute. » Inutile de préciser que Neyla lui avait déjà demandé sa robe. Assortie à la sienne. Zhaleh avait attraper son mètre ruban pour prendre les mesures, demandant à Hermès de se placer et de retirer sa chemise. La réponse du français interpella la couturière qui l'observa, un peu étonnée d'une telle blague. Elle finit par s'approcher de lui, un sourire se dessinant sur les lèvres. Il fut suivi d'un léger rire, amusée. « Tu peux retirer le reste mais ça ne servirait à rien. Tu risques d'avoir simplement froid. » Elle secoua doucement son visage, conservant toujours son sourire sur le visage. Elle n'aurait pas pensé qu'il pouvait être drôle. Elle ne le voyait que comme un connard froid qu'elle voulait mettre entre ses cuisses sans rien attendre de plus de lui. Alors qu'elle se trouvait très proche de lui, elle glissa une sangle en cuir autour de son propre cou où pendait un carnet minuscule. De son mètre, elle commençait à prendre les mesures de son cou, de ses bras, venant noter à chaque fois. « Oui, je la fais moi même. » Elle leva les yeux vers lui. « Non, pas encore, Je ne sais pas quels tissus prendre... » Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la saoudienne. « Pourquoi... ? Tu veux la voir ? » Et évidemment, il était hors de question qu'elle lui montre. Elle glissa le mètre autour de lui en passant ses bras dans le dos de Hermès, venant à trois centimètres de lui. Elle en profita pour humer discrètement son odeur et dieu qu'il sentait bon. Elle se recula pour prendre la mesure de son torse. « Et toi ? Tu as déjà ton costume pour le bal ? » Elle se demandait s'il serait tout aussi sexy dans un costume trois pièces. Oui, sûrement.
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Rarement dans sa vie, Hermès Arnault n'avait autant désiré une femme. Là, à seulement quelques centimètres l'un de l'autre et alors que l'atelier de couture leur était réservé, le français mourrait d'envie de la saisir fermement à la taille pour la ramener à lui. Il bouillonnait de voir ses mains inquisitrices courir sur le corps de la jeune femme alors que plus haut, il viendrait croquer dans la peau de son cou. Zhaleh Al Zahid dégageait quelque chose d'envoûtant et Hermès, simple mortel qu'il soit, était tombé sous le charme. « Oui, j'aimerais la voir ... Mais je doute que tu ne me la montre aujourd'hui ». Il lui sourit simplement, « Et je ne veux pas la voir étalée sur une table ou suspendue à un mannequin ». S'il voulait voir cette robe, c'était sur le corps de Zhaleh. « Mais tant pis. Je saurai résister jusqu'au bal » fit-il finalement en baissant la tête vers elle. Quand la couturière passa le rubans dans son dos, la faible distance qui les séparait diminuait encore. Seuls une infime poignée de centimètres creusait l'écart entre eux. Ils étaient si proches que Hermès pouvait presque voir avec précision le grain de sa peau et le détail de ses lèvres. Il se mordit légèrement la gencive, comme pour se rappeler à l'ordre de ne pas venir saisir ces lèvres. « Je n'ai pas encore mon costume ». Il venait seulement de se trouver une cavalière - enfin une partenaire avec qui affronter le regard de ses frères. « Je ne me suis toujours pas penché sur la question ». Il n'y avait même pas réfléchi, mais sûrement qu'il se rendrait chez l'un des plus grands couturiers de la ville pour y faire confectionner un costume sur mesure. Hermès haussa les épaules puis demanda : « Il te faut d'autres mesures ? » n'importe quoi tant que cela lui permettait de rester davantage dans cet atelier de couture.
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La jeune saoudienne ne put s'empêcher de sourire en entendant les paroles du français. Il voulait la voir dans sa robe. L'homme se montrait exigeant dans ses envies. Elle ne cachait la fierté qui animait son cœur à ce désir français. Zhaleh redressa légèrement les épaules. « Dommage, elle n'est même pas terminée. Tu ne voudrais pas que je me pique avec les aiguilles quand même... » Bien entendu, même terminé il n'aurait pas eu le loisir de la voir porter sa robe de bal. Oui, il devrait attendre le soir même. La saoudienne glissa dans le dos du français, lui faisant baisser les bras pour prendre la mesure de ses épaules. Là, il ne pouvait pas la voir et Zhaleh ne put s'empêcher d'admirer cette nuque où elle aurait aimé glisser sa main, y déposer des baisers emplis de tendresse. Elle inspira pour tenter de songer à autre chose, persuadée que Hermès et Neyla se voyaient toujours. « T'as une belle carrure... » Souffla Zhaleh avant de revenir en face de lui. Elle aimait travailler sur les hommes à la carrure normale. Quand c'était trop ou pas assez, elle avait un blocage. « Je peux te faire ton costume si tu veux... Tu seras ma seconde commande. Mais on peut pas dire que l'autre soit compliquée... » La jeune femme s'éloigna pour mettre la cafetière en route. « Je n'ai besoin de rien d'autre sauf si tu veux que je fasse ton costume. Là tu devras retirer le bas. Juste le pantalon. Tu veux un café ? » Demanda Zhaleh avant d'attraper l'échelle pour aller se percher devant des étagères remplies de tissus. Elle attrapa des rouleaux de différents gris. Elle vint les poser sur la table de l'atelier. « Le gris ou le noir iront bien avec tes yeux. Sinon du noir. Comme tu préfères... » La jeune femme le laissa choisir alors qu'elle versait le café. Il y avait des questions qui lui brûlaient les lèvres mais elle se retint, elle n'avait pas envie de casser ce moment. Ce moment où il n'y avait qu'eux deux. Ce moment où elle pouvait être près de lui, le toucher sans que ça ne passe pour autre chose que du professionnel. Pourtant, Zhaleh aurait aimé qu'il prenne les devants, qu'il enserre sa taille et dépose ses lèvres contre les siennes. La saoudienne sentait qu'elle se perdait et fut ramener à la réalité quand le café déborda de la tasse. « Merde ! » Elle s'empressa d'attraper un linge pour nettoyer et vida la moitié de la tasse dans une autre. Quelle cruche. Il la mettait dans tous ses états.
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Il la regarda évoluer, ne comprenant pas totalement tous les gestes qu’elle faisait. Mais il s’en fichait puisqu’elle faisait son travail. « J’adorerais que tu me fasses mon costume oui » , dit-il alors que, paradoxalement, il n’avait que peu d’idées de ce qu’était capable Zhaleh avec des aiguilles. Mais le français voulait cette tenue et rester plus longtemps avec elle, dans cet atelier. Il acquiesça pour le café, puis son regard sur déporta sur la jeune femme alors qu’elle grimpait l’échelle. Ses yeux ne quittèrent pas les jambes de la saoudienne alors qu’elle était perchée devant lui. Chaque partie du corps de Zhaleh lui faisait envie. Ces jambes-là, il voulait les effleurer avec ses doigts et les voir enroulées autour de son bassin. Hermès s’approcha pour observer les différents tissus, avant de reporter son attention sur Zhaleh pour lui sourire. « Gris foncé alors ? » . Il s’en remettrait de toute façon à l’expertise de la saoudienne.

« Attends je vais t’aider » . Rapidement, quand la tasse de café déborda, Hermès s’approcha pour l’aider à éponger les dégâts. « Je ne suis pas sûr de vouloir te laisser mon costume … c’est un coup à aller au bal avec des tâches de café sur ma veste » lui dit-il en la regardant, souriant toujours. Ils étaient de nouveaux plutôt proches. Si l’atelier de couture était suffisamment grand pour accueillir plusieurs personnes à la fois, force était de constater qu’Hermès avait passé son temps à moins d’un mètre de Zhaleh. Et pourtant, ils n’étaient pas assez proches à son goût. Pour rééquilibrer les choses, il vint remplir lui-même les deux tasses en versant dans chacune la moitié qui manquait. « Ça va aller ? » demanda-t-il sans se douter de ce qui n’allait pas.

Une tasse de café plus tard, Hermès releva les yeux vers elle. « Donc pour le costume … » . Se pliant aux exigences de la couturière, le français retira simplement ses chaussures, puis son pantalon afin de laisser à la professionnelle le loisir de prendre les mesures nécessaires.
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