Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEt j'ai des centaines de flèches dans le cœur -- Mienke - Page 2


Et j'ai des centaines de flèches dans le cœur -- Mienke

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pourquoi lui dire en musique ? Parce que j'en suis incapable autrement. Ni à l'oral, ni par écrit. C'est difficile de se livrer, de poser mes envies dans sa main au risque qu'il n'écrase tout en quelques secondes. Ou qu'il ne veuille pas m'écouter, qu'il me coupe, qu'il ne me laisse pas terminer. Il a déjà mis un point de suspension à notre « relation », qui sonnait comme un point final. Et pourtant, je n'arrive pas à me dire que tout est terminé. Laisse moi te faire écouter, mon état d'esprit du moment. Je me sens idiote, alors cette chanson arrive directement dans mon esprit. Je veux être spéciale pour toi, je ne veux pas que tu t'enfuis. Laisse moi une chance Mikke, laisse nous une chance. Je ne te demande pas d'aller rapidement, on prendra notre temps, on ira à notre rythme. Tu en es capable, j'ai déjà remarqué les efforts que tu pouvais faire pour moi. Ne pas coucher ensemble, c'est peut-être bête, c'est peut-être un peu idéaliste mais je pense toujours que nous pourrions passer un moment magique en ayant attendu. Maintenant, je crois que ce serait puissant, mais toi, tu as décidé que cela ne se produira jamais. Je ne sais pas si nous allons tomber amoureux, je ne sais pas ce qui va se passer dans un mois, une semaine ou même dans une seconde mais... je n'arrive pas à me faire à l'idée que tu puisses couper les ponts... entièrement. Je n'arriverai pas à ne plus te voir non plus. Regarde moi, un peu plus d'une semaine sans toi et je fais n'importe quoi. L'alcool, venir te voir en pleine nuit sous la pluie, te gifler... La chanson me paraît extrêmement longue, et ce qu'il entend de celle d'après aussi. C'est violent comme mon cœur bat de plus en plus fort. J'ai mal. Et les pulsations augmentent sur la machine qui me contrôle. Je ne peux même pas mentir la dessus. Appuyée sur le brancard, je finis par enlever le brassard et le saturomètre pour éviter qu'il ne puisse me percer à jour en voyant les chiffres sur l'écran. Je suis surprise qu'il me redonne le téléphone rapidement, penche la tête, le regard interrogateur. Il ne me regarde même plus dans les yeux. Ai-je fait une erreur ? Encore ? Il s'excuse, mais je ne comprends pas de quoi. Du dernier message ? De ses mots chez lui quelques heures plus tôt ? Je ne me rends même pas compte qu'il avait fait un pas de plus vers moi. Sa main se pose sur ma joue, avec cette douceur que je suis heureuse de retrouver chez lui. Mikke... Je soupire à ses mots. Je ne veux pas que tu me laisses seule, je ne veux pas que tu partes. Mais toi, que veux tu vraiment ? Je ne sais pas si tu décides de me fuir ou non ? De rayer mon prénom une bonne fois pour toute. Si tu pars, fais le rapidement s'il te plaît, que je n'ai pas besoin de retenir mes larmes trop longtemps. Je ferme les yeux, appuie ma joue contre ses doigts chauds. Le réconfort suprême. Je reprends une dose de son odeur, comme la droguée que je suis, au cas où il partirait. Mes bras aimeraient s'ouvrir pour enlacer le jeune homme. Je me retrouve là, hypnotisée, paralysée par tout ce qu'il représente sans pouvoir faire le moindre mouvement. Mikke. J'aimerai que tu comprennes que jamais je ne choisirai la facilité en acceptant que tu partes. Je me battrai, je chercherai à décrypter tes émotions sans que tu ne t'en rendes compte. J'ai envie que tu restes avec moi, jusqu'à ce que le médecin m'autorise enfin à partir d'ici. Et même à ce moment là, j'aimerai que l'on reste ensemble. Je fais enfin non de la tête, pour bien poser une réponse à ses questionnements, à plusieurs en fait. Et me laisse aller en le prenant dans mes bras. Si tu savais tout ce qui se bouscule dans ma tête à ce moment précis. Je replonge, complètement. Cette semaine loin de toi ne m'a servi à rien. Aucun moyen de me débarrasser de toi. L'alcool n'aide pas, elle me remet sous les paupières nos souvenirs ensemble. Alors oui, peut-être que je brise tes efforts en faisant ça. Et si tu savais à quel point j'ai envie de t'embrasser maintenant, là, au moment où je suis le moins à mon avantage, au moment où j'ai le moins confiance en moi. Parce que tu me ramènes à mon adolescence dès que tu es là, tu me pousses dans mes retranchements. Je te serre un peu plus, laisse la blouse s'ouvrir un peu dans mon dos en claquant une pression sans faire exprès. Si tu savais le bien que ça me fait, si tu savais la plaie qui se déchire sur mon cœur pendant que mon cerveau me hurle de ne pas me coller à toi. J'ai peur Mikke, moi aussi. Beaucoup, peut-être moins que toi, peut-être plus. Les mains remontent dans son dos, et je reste là, contre lui, la joue contre son torse. Reprendre un peu mon souffle, et essayer quelque chose qui n'est plus inné chez moi. Chanter. Pour que tu comprennes. Doucement, les premiers mots sont timides, presque murmurés. Ça donnait mieux dans ma tête. Mais je m'enhardis un peu, ce n'est pas si mal après tout, ce n'est pas faux, ça ne déraille pas.
"Crawling back to you
Ever thought of calling when you've had a few?
Cause I always do
Maybe I'm too busy being yours to fall for somebody new
Now I've thought it through
Crawling back to you."


Je suis une piètre danseuse Mikke, mais je chante assez bien. J'en suis épuisée, de ces quelques notes. Mais elles représentent tellement ce que je suis en ce moment. S'il te plaît, ne me laisse plus.


credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ ET J'AI DES CENTAINES DE FLÈCHES DANS LE CŒUR
w/ @nienke van dijk

Tu ne pouvais pas partir sans un contact. Aussi minime soit-il. Vous aviez été trop été habitué à aimer le contact l'un de l'autre. Dès le début. Dès le premier rendez-vous, tu t'es rendu compte que cette fille t'avais électrisé. Quand elle avait voulue t'attraper la main. T'as ressenti un truc, direct. Alors t'avais retiré ta main. Et t'y a pensé longtemps à ça. Il s'était passé quelque chose de fou, mais c'était tellement agréable. Dès ce moment t'as su qu'elle ne serait pas comme les autres. C'est quand même fou... Elle ne t'en avais jamais reparlé de ça et heureusement parce que tu sais pas si t'aurais été à l'aise qu'elle te parle de ça. T'es jamais à l'aise Mikke quand on te parle de ce que tu fais ou de ce que tu as pu faire. T'es pas à l'aise qu'on parle de toi, tout simplement. En bien, en mal. Quoi qu'en mal ça te mettrais surement moins mal à l'aise. T'as toujours été celui qui parlait peu, qui ne critiquait jamais personne, qui donnait son avis que quand on lui demandait ou alors au contraire, celui qui prenait la parole uniquement pour donner son avis sur un sujet qui semblait pour lui, important. Alors ouais, quand tu parles, quand tu te mets à nu, c'est parce que ça t'importe vraiment. Alors, t'as trouvé rien de mieux que placer ta main sur sa joue et surtout, avant ça, t'excuser. Et pour le coup, ça ne t'as rien coûté. T'es vraiment désolé, pour tout. Pour avoir été aussi adorable qu'ignoble avec elle. Elle renforce le contact de ta main sur sa joue en l'appuyant un peu plus contre ta paume moite. Puis lorsqu'elle encercle ta taille de ses bras, tu t'avances encore un peu, pour l'avoir au plus près de toi. Mains qui viennent caresser doucement son dos, tandis que tu prends une grande inspiration. T'es pas bien, clairement. Elle doit sentir au creux de ton bide cette boule qui se forme. Ton palpitant en alerte, coeur qui est à deux doigts de s'échapper de ta cage thoracique. Tout ça, à cause d'elle, de son câlin et tes doigts qui se faufilent sous sa blouse légèrement ouverte, leurs bouts venant caresser sa peau. Tu la serres encore un peu plus contre toi en fermant les yeux, te disant que c'que tu fais là... ça n'arrangera pas ton cas. Mais si elle a besoin de ça pour aller mieux, soit. Et quand elle se met à fredonner, fredonner des mots qui te parlent. Bien trop. Beaucoup trop. C'est sa façon à elle de te dire, qu'elle te veut toi Mikke. Sauf que t'es encore dans le même mood qu'il y a une semaine. Tu veux pas que ça devienne encore plus puissant, plus intense. Pas aussi rapidement, parce que tu vas te perdre. Rien que là, elle dans tes bras, contre toi... tu perds pieds. Comme jamais. Tu te recules d'un pas, la regarde puis déglutis... T'as tellement envie de l'embrasser, pour lui montrer que tu veux pas l'oublier et tu ne veux pas qu'elle t'oublie. Sauf que... t'es pas prêt pour plus. Et t'es pas prêt non plus pour te séparer d'elle. Alors quoi faire ? T'es paumé. Complètement largué Mikke. Les mots de Marla, ils te reviennent en tête. Te laisser et te laisser être heureux ? Ne pas te priver ? Ne pas passer à côté de quelque chose... C'est dur pour toi... Elle sait pas elle, mais toi tu tiens aussi à ta liberté. Et pourtant, t'es envie que Nienke elle te tienne prisonnier. Pourquoi elle ? Pourquoi en si peu de temps elle bouleverse tout ? Sourire léger qui se dessine sur tes lèvres, comme ci tu venais de connaître la liberté après des années d'enfermement. L'apaisement total. Tu relèves son visage puis vient déposer un baiser sur son front et encore une fois, tu n'écoutes que toi au final - J'te laisserais pas... - que tu lâches doucement, sourire tendre en venant t'asseoir à ses côtés. C'est pas précis. Ça ne donne pas vraiment de réponses, à part le faire que tu ne veux pas la laisser. Tu ne veux pas qu'elle se saoule une fois de plus à cause de toi. Qu'elle pleure à cause de toi, qu'elle sorte sous la pluie pour venir te dire à quel point t'as été qu'un con avec elle. Alors tout ça c'est vague, mais le principal, c'est que tu sois là non ? Tu places à côté d'elle sur le brancard, prend sa main dans la tienne et la porte à tes lèvres. Tu seras celui qui la protégera maintenant. Parce que ouais, ce dont t'es sur en tout cas, c'est que tu tiens à elle. Énormément. Demain sera un autre jour. Là, t'as aucune envie de parler plus de vos problèmes. Qu'elle se repose. Sur toi, contre toi si elle le désire. Si c'est là qu'elle se sent le mieux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me questionne toujours sur tout, ma curiosité l'emporte souvent, avec cette authenticité qui éclate. Mes proches en font souvent les frais, je peux être très intrusive, sans en voir le mal. Tommy m'arrête souvent, Gauthier me sermonne, Jasper évite. Chacun à leur manière, font barrage devant mes intrusions à répétition et questions trop personnelles. Si je suis exigeante d'une transparence totale avec eux, c'est que je suis aussi extrêmement dure avec moi même. La perfection des actes, des études. Agir de la meilleure façon qui soit lorsque c'est important. Aider les plus démunis. Découvrir les autres, essayer de les comprendre. Avec toi, je perds pieds. Tu me renvoies à une nonchalance à peine contrôlée. Oui, tu as raison, elle fait aussi partie de moi. Cette insouciance, cette façon étrange d'agir avec les autres. J'aime l'Homme, j'aime la joie de vivre des enfants. Rappelle toi de notre journée à nous, au Mexique, après le spring break. Rappelle toi de la pauvreté des enfants et de leurs dons, de leurs sourires plus grands que ceux que l'on voit sur le visage des privilégiée d'Harvard. Ils auraient tout donné pour nous, sans recevoir en retour. C'est... ma façon d'être à moi. Être irréprochable dans le travail, et plus excentrique dans ma tête. Une petite fille dans un corps de femme. Et même si là, j'aimerai savoir ce qu'il y a en toi, je préfère ne pas poser de questions. Te laisser le temps, de reprendre ton souffle, de calmer ton cœur que je sens résonner sur mon oreille encore posée sur ton torse. C'est ma position favorite, celle où je peux, du bout des doigts, frôler le myocarde qui frappe contre la peau. Toi. Tout est différent avec toi. La thèse est passée au second plan, les neurosciences, la psychologie. Je mets tout de côté pour ne plus penser qu'à toi depuis que tu m'as repoussée. C'est une mauvaise chose, presque une mauvaise influence que tu as sur moi. Ne jamais t'en parler de peur que tu ne fuis une nouvelle fois. Tout allait bien avant ton dernier message Mikke. Tu m'inspires une joie de vivre, un désir de me plonger dans la dissection de cerveaux pour apprécier les moments où je vais sentir la vibration d'un message dans ma poche de jean sous la blouse. Et j'y crois moi, que le nuage va se dissiper au dessus de nos têtes, et que nous pourrons reprendre le cours de nos chemins croisés, en toute quiétude. Mais toi, tu as encore l'air d'en douter. Tu recules, brises le contact, avec une certaine différence. L'odeur s'éloigne, la chaleur des doigts dans mon dos aussi. Je ne sais pas encore ce que c'est, mais j'ai au moins décidé d'une chose cette nuit... je ne veux ni vivre dans le passé, ni vivre dans le futur. Juste l'instant présent, toi et toi, en ce moment. J'essaye de lire sur son visage, ses questionnements internes mais me heurte à une complexité cérébrale. Tu sais, habituellement, c'est assez simple de lire les envies d'une personne. Avec toi, cela me semble crypté. Tu me parleras, quand tu l'auras décidé. Je me soulève un peu et m'assois de nouveau sur le brancard, cherchant ses yeux qui ne me fuient pas aussi longtemps que je le pensais. Il finit par sourire, comme si un duel intérieur avait été gagné, ou des réponses trouvées. En se rapprochant, du bout des doigts, il soulève mon visage et pose ses lèvres sur mon front. C'est doux et tendre, un baiser réconfortant qui pourtant me laisse un petit vide dans le cœur. Malgré moi. Mais je m'en contente grandement, encore plus lorsque sa voix résonne. Le sourire s'étire en le regardant s'installer à côté de moi. Je suis heureuse de ton choix. La tête se pose sur son épaule, il manque un plaid et un bon film pour me rappeler notre deuxième soirée ensemble, chez lui. Les effluves me chatouillent les narines et le creux du ventre. L'apaisement. Le réconfort du tissu couvrant son épaule sur ma joue. Je ferme les yeux, me laisse emporter par cette fatigue intense. Ma consommation d'alcool, notre dispute, la crise, la chanson... cette nuit blanche m'a épuisée. La main se pose sur sa cuisse, juste pour un deuxième contact. Tu es Morphée, dieu de mes rêves. Tu es Apollon et Arès aussi, parfois. « Merci. » La brûlure de ton baiser encore sur mon front, je finis par m'assoupir contre toi. Quelques secondes. Quelques minutes. Je ne sais pas. Avec toi, je perds toute notion du temps. Parce que tout va trop vite depuis notre rencontre, parce que à moi aussi, parfois, ça me fait peur. On ne brûlera aucune étape Mikke. Laissons nous porter, glisser à la surface de l'eau, ta peau contre la mienne, sans nous noyer.
On frappe à la porte. Combien de temps après, je ne sais pas. Elle s'ouvre rapidement et me fait à peine décoller les paupières. Je remarque le médecin qui ne semble pas étonné de voir Mikke avec moi. Le regard se pose sur lui et le jeune homme par intermittence. Il lui parle mais j'entends à peine. Rentrer ? Ôtez moi la perfusion et laissez moi dormir encore un peu. Je me sens vidée, mais tellement apaisée contre lui. Ne me l'enlevez pas, je vous en supplie.


credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ ET J'AI DES CENTAINES DE FLÈCHES DANS LE CŒUR
w/ @nienke van dijk

Tu pensais avoir vécu les moments les plus compliqués depuis ton arrivée à Boston, l'année dernière, quand Alice t'as avouée ses sentiments. T'as juste pris la fuite et en revenant quelques mois plus tard, c'était de l'histoire ancienne. Ok, sauf que tu savais que les mois à venir allaient être encore plus compliqués à gérer. Ta relation avec Hope, ta meilleure amie, s'est vite transformée en une relation très fusionnelle, destructrice... ses sentiments avoués, puis ceux de Arwen, une pote que tu t'es fais cet été. Puis Nienke... tout ça.. t'as eu du mal à gérer. Tu le gère encore très mal. Pourtant, t'as rien voulu toi. Toi tu veux juste être tranquille, vivre ta vie comme tu le souhaites, ne pas te prendre la tête. Mais putain, parfois tu regrettes ta vie d'avant. Quand il n'y avait que toi, que tu te foutais du monde qui t'entourais, quand tu disais 'balec' à tout. Même aux filles. Là, c'est plus compliqué. Il y a de l'attachement et malgré le fait que tu voudrais que s'en soit autrement, t'es humain, t'as des sentiments... tu t'attaches comme tout le monde. Et au fond, t'as envie de faire de mal à personne. Et au final, tu fais du mal aux trois. Hope, elle c'est en continue. Tu lui fais du mal continuellement. Arwen, ça se passe mieux, ça se passe bien, peut-être un peu trop bien ? Et Nienke... Nienke, regardez où elle en est aujourd'hui à cause de toi ? Du fait que t'aies du mal à gérer ce que tu ressens. Faire un choix ? T'as pas envie de faire un choix. Aucun choix ne s'impose là. Tu veux être libre. Est ce que c'est si compliqué à comprendre ? T'es encore plus perdu et putain, si un jour on t'avait dit que t'allais être perdu à ce point pour une fille, des filles... t'aurais jamais cru. T'aurais tout fait pour cela n'arrive. C'était tellement plus facile de ne pas s'attacher. De ne pas regretter, de ne pas appréhender des choix futurs. Mais pour l'instant, tu ne penses pas, tu la gardes près de toi, contre toi... Quelques instants, avant que le docteur n'entre. Celui avec qui tu as passé un 'pacte'. Il te fais signe de la tête, sourire léger aux lèvres. Puis, te dis qu'il était temps de partir, que les visites allaient être terminées. Tu te décales d'elle doucement, lui murmure qu'il faut que t'y ailles. Puis une fois sorti de la chambre, tu parles quelques instants avec le docteur dans le couloir puis part chez toi, mains dans les poches, les pensées en vrac. Ce n'est surement que le début Mikke.

- fin du rp -

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)