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les longs cheveux roux qui flottent dans son dos et surtout, l’agacement constant qu’il fait naître chez elle. lux. prénom qui l’hante depuis trop longtemps maintenant, qui la fait chavirer au même point où il sait la rendre folle en un claquement de doigt. elle a jamais comprit alix. elle a jamais saisit pourquoi est-ce que les choses étaient comme ça, pourquoi est-ce que c’était toujours aussi compliqué de partager son quotidien avec lui. et elle le sait qu’ils sont fucked up. elle le sait que la plupart du temps, c’est trop malsain pour pouvoir continuer sur cette voie. le souci, c’est qu’elle sait pas poser des mots sur tout ça. elle sait pas l’identifier, encore moins le comprendre. elle est juste fatiguée la plupart du temps de cette guerre constante. et encore une fois, il a menti. balançant sa présence chez une prétendue pote pour au final être chez lui. c’est pas nouveau avec lui. parce qu’il sait exactement ou piquer pour faire mal. il sait pertinemment qu’est-ce qui serait susceptible de l’emmerder. c’est sûrement pour la même raison qu’elle mentionne aidan à tour de bras. son prénom qui glisse trop souvent dans les conversations juste parce qu’elle jubile de savoir que ça ne lui plaît pas. non, elle ne l’aime pas. c’est les idiots qui prétendent ça juste parce qu’ils sont incapable de comprendre ce qui les lient. si elle l’aimait, elle le saurait. et cette relation les ravages depuis déjà bien trop longtemps, pas moyen qu’ils ne s’en rendent pas compte, pas vrai ? elle se persuade elle-même, se trouve des raisons, préfère balayer tout le reste parce que c’est plus facile de le contourner de cette façon. sa main qui tape à répétition contre la porte jusqu’à ce qu’elle s’ouvre, lux qui lui fait face et.. t’as même pas foutu ton pantalon. rien de non habituel en soit, le doux quotidien entre les deux. arrête d'être canon un peu
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J’y avait songé, à m’habiller. L’appel du matelas fut trop fort alors que, lentement, mon stylo caresse les feuilles de papiers de mon journal. Une lettre à France, une lettre à ma mère, une à mon père. Ritournelle sanglante qui brise, qui fracasse. Je me torture, mais au fond, c’est tout ce dont je suis capable. Alix. Elle aussi elle a droit à ses lettres…des mots qui ne sortent pas, des mots qui ne résonnent pas. Pourquoi lui dis-moi ? Pourquoi choisir un homme qui ne te voit pas, ne te respecte pas ? Tellement de questions sans réponses. Elle ne verra rien, jamais. Parce qu’entre elle et moi, c’est compliqué, c’est explosif. Y’a pas d’amour. France, si t’avais été là, tu l’aurais effacé d’un sourire, d’un regard. Mais elle remplace le vide, tu sais…le vide que t’as laissé, elle est la seule à savoir l’étouffer l’espace de quelques heures. J’aime un fantôme, j’aime son reflet. Mais qu’est-ce que le verbe aimer ? Je le comprends quand je pense à toi, mais je peux pas le comparer à la belle rousse sanguine. Elle va venir me rejoindre, j’en suis conscient, parce que c’est comme ça qu’on fonctionne. On pique, on râle, on explose et après, les regards deviennent confus, deviennent trop imposants. Je te déteste, Alix. Parce que tu sais où frapper pour me faire flamber. Putain, t’es vraiment sadique, autant que je le suis quand je frotte là où ça fait mal. Crois pas que je suis aveugle. Mais c’est pas de l’amour hein. Non, c’est juste un autre truc qu’on comprend pas, pas encore, probablement jamais. Les coups résonnent à ma porte et je grogne, comprenant de qui il s’agit. Attrapant mon journal, je le planque sous le matelas comme un gamin. Y’a mes secrets là-dedans, elle comprendrait pas. Ouvrant la porte, je me retrouve nez à nez avec elle, pourvu d’un simple boxer. C’est pas nouveau, j’ai déjà osé me promener nu dans ma chambre alors qu’elle beuglait que je devais m’habiller. « Ouai et alors ? » Que je réponds avec un sourire en coin, une flamme dans les iris. Je te provoque comme je peux. J’aime ça, et je suis sûr que toi aussi. Plutôt crever que de l’avouer. « J’y travaille, mais j’suis pas encore au point. » Pouffais-je alors que je la laisse entrer et referme la porte de ma chambre. Elle est spacieuse, bordélique, mais y’a pas de doutes, j’ai de l’argent et ça se voit. Me laissant aller sur le lit, je ne la quitte pas des yeux. Beauté féminine. « Je te manquais déjà ? »
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parce qu’il l’était trop. trop beau pour être vrai. et elle pouvait répéter à qui voulait l’entendre qu’il n’était pas à son goût, qu’elle détestait ses grands airs et qu’elle avait envie la plupart du temps de lui faire ravaler ses sourires narquois, les autres étaient capable de voir aussi. de voir que ses yeux brillaient d’un éclat étrange à chaque fois qu’elle les posaient sur lui. que c’était pas normal de s’immiscer dans sa vie de cette façon. encore moins de lui donner tous les surnoms affectifs du monde. tout comme elle ne devrait pas aller se réfugier dans ses bras un jour sur deux ou bien lui tenir la main en public. trop d’actions, de mots, d’échanges, qui perturbait le monde autour quand les deux principaux protagonistes déversaient des mensonges pour justifier le rendu. des mensonges à la face du monde, des mensonges à eux même. incapable d’avouer ce que tout le monde avait déjà vu. préférant de loin se complaire dans la pseudo relation amicale qui était loin d’en être dans la finalité. parce que les amis ne se dévoraient pas du regard, pas vrai ? les amis ne cherchaient pas à détruire tout ce qui pouvait venir graviter autour dans l’unique but de garder une place privilégiée. alix, elle pourrait même pas expliquer pourquoi est-ce qu’elle haïssait autant les gens autour de lux. les filles qui bavaient sur son passage, le nombre incalculable de fois où elle avait souhaité lui mettre des oeillères pour s’assurer qu’il n’en regarde plus aucune. et à ce comportement particulier, elle répondait juste qu’elle voulait le meilleur pour lui et qu’aucun de ceux autour de lui ne méritait ce titre. lève les yeux au ciel, agaçante alix qui rêverait de le voir enfiler quelque chose juste pour ne plus avoir le bas ventre qui tiraille. rouquine qui se laisse tomber sur le lit défait, inspire profondément avant d’hausser les épaules. aidan était juste pas disponible répond du tac au tac, le sourire mauvais au coin des lèvres. et je sais que si je viens pas assez souvent, t'es désagréable avec moi. même si tu dirais forcément le contraire.
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Aidan. Mon humeur, tu vas finir par la flinguer et tu le sais. Pourquoi tu parles de lui ? Tu sais que ça m’énerve. C’est sûrement pour ça. Mais t’es sadique, je peux l’être tout autant, mais à ma façon. Je m’en fou que tu me hurles dessus, que tu fasses battre mon myocarde dix fois plus vite. Non, tu finiras par avoir ma peau, dans un sens. Qu’importe. Je serre les dents, allongé sur le lit, près de toi. Bougeant un peu, je fais en sorte de remonter, de faire descendre le boxer qui dévoile plus qu’outrageusement ce qui m’a été donné. Les lignes de mon aine apparaissent, laissent clairement envisager un corps dont je prends soin. Rien que pour toi. Parce que je sais que tu me regardes. Ne me prend pas pour un con, tes yeux carnivores, je les connais. Mais tu sais quoi, je fais mine de rien parce que j’ai pas envie de comprendre, ni de savoir. Parce que c’est normal. Je suis pas mal, t’es plutôt canon. On reste des êtres humains…C’est normal de se bouffer des yeux comme ça. « Pauvre chou. Si je te sers de second choix, tu peux dégager d’ici. » Ouai, j’ai pas ma langue dans ma poche, encore moins quand tu me parles de ton pseudo copain. Tu sais que je le déteste. Y’a pas de raisons évidentes, du moins, pour nous. Eux, ils savent, ils en ricanent et se demandent quand je vais finir par lui exploser la gueule. Tes paroles, elles me font ricaner, comme si tu disais une connerie. Mais je sais…putain, je sais que t’as raison. Si tu viens pas, je suis de mauvaise humeur et c’est un euphémisme. Mais ouai, je préfère crever que de l’avouer, autant que tu préfèreras t’arracher la langue plutôt que d’avouer que je te suis nécessaire pour respirer. « C’est beau de rêver…T’inquiète pas, j’ai de quoi m’occuper. D’ailleurs, j’peux pas traîner j’ai quelqu’un à voir. » C’est faux…a moitié, mais tu m’as soulé avec Aidan, alors, je vais te souler avec quelqu’un d’autre. Tournant la tête vers toi avec un grand sourire, je fini par rouler sur le flanc pour mieux te regarder, réduisant notre distance. « Mais si t’es sage et que tu me promets un café ou de la vodka, je préfèrerais rester avec toi. »
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elle joue peut être les stupides quand ça en vient à vous deux, mais elle les remarque les signes. elle le voit qu’elle te laisse pas insensible la plupart du temps. alors bien sûr, l’unique raison à tout ça et parce qu’ils étaient avant tout être humain. parce que parfois l’appel de la chair était plus fort que le reste mais ça ne changeait pas le fait qu’elle était parfaitement consciente que trop de fois, tu l’avais trouvé à ton goût. et elle ne peut s’empêcher de garder ce sourire sur le visage, contente de t’avoir provoqué. heureuse de l’effet que ça pouvait avoir sur toi. le même sourire qui s’efface d’un coup quand elle réalise ton manège, le boxer qui glisse un peu plus sur ta peau et alix qui déglutit difficilement, ferme ses opales quelques secondes pour garder un peu de contenance. non, t’as envie que je sois là souffle finalement, les prunelles qu’elle repose sur lui, son index qu’elle fait courir sur ton épiderme, l’air amusée. après tout ce temps, n’as tu pas apprit qu’il était bien plus difficile que ça de la faire disparaître ? et soudainement, elle se redresse, l’ongle qu’elle plante un peu dans ta peau, les traits qui se durcissent. qui ? question sèche, la colère qui déjà fait surface. elle les déteste tous, toutes. tout ceux qui ont ton attention ne serait-ce qu’une seule seconde. fulmine intérieurement, l’envie de tout envoyer valser autour de toi. inspire, expire, fait craquer ses doigts lentement. dans tous les cas tu préfères rester avec moi souffle doucement, son visage qu'elle approche du tiens, les doigts qui glissent doucement le long de ta mâchoire. un café contre un nom. c'est qui ? oh elle démordrait pas. pas avant d'avoir annihiler le peu de chose que tu pouvais construire avec la personne en question.
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On sait toi comme moi qu’on part perdants. On est cons, mais on atteindra jamais la ligne d’arriver. Tu sais qu’on va se détruire, parce que c’est ce qu’on fait de mieux et que ton Aidan, il parviendra à rien empêcher. J’étais là avant lui, ma trace était déjà marquée. Tu le sais, je le sais, mais le comprendre et le savoir, c’est deux choses différentes. Je me régale d’avoir un accès à ta personne, qu’il ne pourra pas briser. Je te vois déglutir à mon petit jeu, fermer les paupières comme pour t’extraire de ma vision. Cherches pas, c’est comme tenter de ne pas avaler, de ne pas respirer. Impossible. Tu en réclameras encore, comme je réclamerais davantage. On joue avec le feu, on va se brûler, comme d’habitude. Je ne compte plus le nombre de pensement posés sur ma peau invisible à cause de toi. Bien sûr que j’ai envie que tu sois là. C’est comme demander à la lune si elle a envie de surplomber le ciel, au soleil si il a envie de briller. Ça coule de source, c’est évident, mais je ne réponds pas. Non, je me contente d’hausser les épaules sans te regarder, pliant les bras pour positionner ma tête sur mes mains. Du moins, un peu. Jusqu’à ce que je sente ton doigt effleurer mon épiderme. Je me contiens. Ma peau frisonne un peu, mais si tu me demandes, je dirais qu’il fait froid et que tu dois pas prendre la grosse tête. Caresses subtiles jusqu’à ce que les serres aiguisées se plantent, me fasse ricaner. T’as réagis comme je m’y attendais. « ça t’intéresse ? » Murmurais-je d’un air charmeur en posant mes iris sur toi. Bien sûr que ça t’intéresse…Je me retourne un peu, me retrouve sur le coté alors que tu continues ton manège. Ton visage approche ton près du miens, tes doigts s’amusent à effleurer ma mâchoire carrée. Tu joues, je vais jouer. Tu sais bien que tes actes ne sont jamais sans conséquences. Je souris en coin, ma main glisse sur ta hanche, se faufilent un peu sous ton haut pour sentir ta peau et pas le tissu. « Tu penses ? » Un air calme sur mon visage, alors que je ne te lâche pas des yeux. Un café pour un nom…Je te pousse, me positionne à moitié au-dessus de toi. Je te surplombe, ma main toujours contre ta peau. « Un nom pour un café ? Ce n’est pas équitable jeune fille. » Et je fais exprès de laisser mon souffle s’écraser sur ta peau, sur tes lèvres. Je cherche, je provoque et ce…jusqu’à ce que je saute hors du lit, me dégageant promptement pour me diriger vers mon armoire. « Je me laisse pas arnaquer. »
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w/ @Lux de Rosiers

elle ne supporte pas. elle n’a jamais supporté. peu importe le sexe, le visage. la simple pensée de te savoir avec une autre enveloppe corporelle que la sienne suffisait à lui faire perdre la tête. elle déteste ça, ce sentiment. cherche à le refouler la plupart du temps. elle est devenue forte alix. forte pour trouver des excuses, pour inventer des mascarades visant à couvrir le vrai ressenti. probablement parce que jamais elle n’assumera quoi que ce soit quand ça en viendra à toi. tu le sais non ? qu’elle s’en fiche de toi ? qu’elle n’éprouve rien si ce n’est de l’amertume. risible à quel point elle se déverse à elle-même des mensonges. toujours plus gros les uns que les autres. elle cherche à avoir le dessus, à contrôler tout ce qui se passe sans y arriver la plupart du temps. éternelle victime du jeu que vous avez instauré il y a des années. parfois, elle souhaiterait ne pas avoir croisé ta route. et puis elle se rappelle que sans toi, elle brillerait peut être moins. que t’es bien souvent son oxygène et qu’elle est la première à courir dans tes bras juste pour se sentir un peu mieux. inspire lentement, le souffle qui se coupe soudainement quand ta main glisse sous son tee-shirt, l’effet de tes doigts sur sa peau, l’impression de perdre la tête pendant une fraction de seconde. le coeur qui bat trop vite alors que l’instant d’après, tu te retrouves au dessus d’elle, vos yeux en connexion, les souffle qui se mélangent. elle en perd la parole, le fil de ses pensée. y a plus que son souffle lourd, l’atmosphère pesant de la pièce et vous deux. bordel lux, t’es un sacré foutoir. alchimie qui se coupe soudainement, alix qui inspire une nouvelle fois, cherche à faire entrer l’air manquant dans ses poumons avant de se redresser. tu fais quoi ? non, non, non. elle te laissera pas partir. pas comme ça. se lève à son tour, se retrouve derrière ton dos, sa main qu’elle pose sur ta hanche comme pour te stopper dans ton élan. comment est-ce qu’il ou elle s’appelle lux ? parce qu’elle ira le traquer tu sais ? juste pour s’assurer que plus jamais tu n’y retournes. tu veux me faire péter les plombs, c’est ça ?
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Les souffles qui se mélangent, qui déclenchent des frissons. Les myocardes qui s’enclenchent. C’est naturel. Chez nous du moins. Normal. Je crois. C’est physique. Je suis un mec, t’es une fille, ça s’explique aussi simplement. Entre amis, ce genre de chose ça se fait, sinon, ça serait malsain tu ne crois pas ? Puis, j’adore jouer à ce jeu avec toi. Il est facile de te piquer, de te faire réagir. J’aime ça. Je déteste quand tu me le fais, parce que je me rends compte que je suis aussi possessif qu’un putain de dragon envers son trésor. Mais de toute façon, j’ai rien à dire, sauf que ça m’empêche pas de le faire quand même. Alors, quand je sens nos souffles se mélangés, je fais pas attention, je cherches pas à comprendre l’accélération de mes pulsations. Sauf que voilà, je décide d’y couper net, de couper le fil pour mieux régner. Sans me faire prier, j’ouvre mon armoire pour plonger vers un pantalon. « Je m’habille. » C’est con comme question non ? Je fais quoi ? T’sais, je vais danser et te faire une danse privée. Sauf que, dès que je me dis cette merde, je sens des doigts se poser sur mes hanches et je me fige, comme foutu en pause. Un frisson, un nouveau, un énième. Les tripes se réveillent, je sens une excitation qui grouille au fond de moi. Ce n’est pas la première fois…Parce qu’au final, ça me fait souvent ça avec toi…Mais encore une fois, c’est normal. « J’ai un trou de mémoire. » Que je murmure en tournant un peu la tête, par pure provocation. Je m’appuie davantage contre toi, juste pour accentuer le contact, juste pour te montrer que tu ne me fais pas peur, que je ne suis pas pris au piège. Ok, je me mens à moi-même…mais j’ai l’habitude de ces mensonges. Devenir folle, péter un plomb. Je sais quels ravages tu peux faire…et j’en savoure déjà les saveurs. Je me tourne avec lenteur, jusqu’à ce que je te surplombe de ma hauteur. L’espace est réduit et mes mains glissent sur tes hanches, mes iris dans les tiennes. Sourire mesquin aux lèvres. « Peut-être…t’es tellement belle quand tu deviens folle de rage. »
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w/ @Lux de Rosiers

parce qu’il marchait sur la bonne pente. à deux doigts de la faire glisser dans les crises de colère dont elle seule avait le secret. le genre de colère dévastatrice où elle ruinait tout sur son passage, incapable de contrôler ses émotions. et c’était la raison pour laquelle elle le détestait trop souvent. cette capacité à appuyer sur l’interrupteur pour la faire glisser. personne n’avait encore jamais eu ce pouvoir. personne sauf toi. coïncidence. ils se connaissaient juste depuis trop de temps. c’était leurs caractères qui faisaient que c’était compliqué. ni plus ni moins. rien à interpréter sous tout ça. rien à imaginer. elle était juste possessive de nature alix. juste ça. et pourtant, jamais elle ne s’était comporté de cette façon avec les autres. jamais les crises n’avaient été aussi constante, aussi violente. comme si lux avait le pouvoir de tout faire dériver autour d’elle. repoussant ses limites à chaque fois. tu t’en vas pas. c’est un ordre, pur et simple. oh, hors de question qu’il passe la porte de cette chambre pour la laisser là. surtout pas en sachant ce qu’il comptait faire. et bordel ce qu’elle te hait. elle voudrait te faire disparaître, ne plus jamais poser les yeux sur toi. oublier que t’es rentré dans sa vie et tous les dégâts que tu y causes. contrôle alix. contrôle le contact entre vous deux. elle veut pas que tu la submerge. elle souhaiterait ne pas répondre aussi facilement à l’appel de ton corps. l’effet est dingue, comme à chaque fois. la même bulle qui se crée. le monde qui s'arrête de tourner pendant quelques secondes quand tes mains descendent sur ses hanches. ça t'amuse hein ? jouer avec le feu qu'elle peut être. probablement que tu aimes un peu trop te brûler. douce alix qui se surélève un peu, les mots qu'elle vient souffler à ton oreille, provocante. ne me pousse pas trop loin lux, la dernière fois ça a mal finit. ça avait été dévastateur pour vous deux, rappelles toi. parce qu'elle a toujours la brûlure du silence, les semaines sans vous parlez et l'atrocité que ça avait été de l'affronter.
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L’ordre claque à mes oreilles, comme une menace à peine voilée. Je sais que t’es au bord du précipice et que, sans nuls doutes, tu me traîneras avec toi dans ta chute. A vraie dire, t’auras même pas à m’y trainer, je sauterais avec toi…Parce que cet enfer, c’est le nôtre et le ricanement qui m’échappe à tes paroles ne passera pas inaperçu. Il est là, mélodieux, annonçant que je gagne au moins ce début de partie. Y’aura pas de gagnant oh ma douce Alix, élixire qui coule dans mes veines purulentes d’obscurités. Le corps répond à l’appel, comme un cri silencieux, une chansonnette que je ne comprends pas, que je ne déchiffre pas. Parce que cette mélodie, elle annoncera notre perte, notre fin. En couple ou pas, tu reviens chez moi, pas chez lui. Tu le sais aussi bien que moi, t’aurais même été mariée, notre jeu n’aurait pas cessé. Oh, je fais mon fier, mais je n’en suis pas moins sous ton emprise. Y’a une réciproque, c’est flagrant, même je préfère sombrer avant d’affirmer. Mon corps se serre davantage au tiens, cherche cette chaleur naturelle, connue. Tes mains se posent sur mes hanches, mon corps se tourne. Mon regard est un océan froid aux vagues meurtrières, tu es l’enclume, la marée. C’est beau, presque poétique. « Mh…je m’amuse de peu tu sais. » Annonçais-je alors que mes doigts caressent un peu la peau nue de tes hanches, se faufilant de nouveau sous ce tissu qui me brûle les doigts. Tu te positionne sur la pointe des pieds, tes lèvres frôlant mes oreilles bourdonnantes. Je me souviens…de cette dernière fois. A cette pensée, mon corps se crispe légèrement, comme si mon esprit me hurlait de cesser, de ne plus recommencer. Pourtant, c’est mal me connaître. T’es revenue, finalement. Moi aussi. Mais les jours, les heures, les secondes étaient interminables. J’ai passé le plus clair de mon temps à picoler, à baiser tout ce qui me passait sous la main. Glissant une main dans sa nuque, j’emprisonne celle-ci et viens placer mes lèvres à sa propre oreille. « Et toi, ne me menace pas, tu sais que des deux, je serais le plus têtu. » Mordillement de ce lobe, trop tentant, trop amusant. Pour une fois, je plie. Je finis par te lâcher, haussant les épaules d’un mouvement décontracté. « Luna. »
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