Dans cette nuit douloureuse, le sommeil n'avait rien apporté que des cauchemars, des angoisses, des larmes, mais pas de question, pas de réponses. Rien tout comme dans la journée dans la soirée j'étais perdu, juste des certitudes, de douloureuses certitudes, immuables certitudes, que j'allais souffrir encore par l'amour que je te portais, cet amour incandescent qui brûle en moi, qui me consume à petit feu, tu me brûles, tu me brûles trop, beaucoup trop fort, et j'étais là malgré tout ce que j'endurais, une putain de course d'endurance dans laquelle je ne sais même pas si j'allais atteindre la ligne d'arrivée. Je croyais rêver quand j'entendais des clés, préférant fermer les yeux, seulement j'entendais la porte et finalement t'étais la dans l'encadrement de ta chambre, t'excusant d'être venu chez toi, comme si t'étais un étranger, je récupérerais bien vite mes affaires et tu pourras faire ce que tu veux te ton appartement, pourquoi pas même le rendre finalement … hum … c'était une possibilité, une option. J'en sais rien, je te regardais en m’asseyant, dans une tenue totalement improbable, parce que c'était bien la première fois que je portais sur moi l'habit d'un autre, la première fois que j'avais ressenti le besoin de dormir avec un peu de toi sur moi, putain de première fois, comme si ça serai la dernière fois. Et alors que tu partais je te demandais de rester, de ne pas partir pas comme ça, parce que j'allais partir en Italie et je voulais pas y aller alors que... que j'en sais rien putain... je sais pas quoi... Fatal error 409 Lukas Mais j'suis pas prés à partir en Italie alors qu'on est comme ça … que t'es comme ça... fuyant … Alors oui je t'arrêtais parce que je voulais pas que tu fuis, pour te dire que malgré tout ce que tu m'avais dis mes sentiments n'avaient pas changé, mon regards n'avait pas changé...
mais pourquoi … Lukas … Pourquoi est ce que tu avais tellement d’œillère ? Pourquoi Lukas … t'arrivais pas à voir … Pourquoi t'étais si aveugle … Lukas si aveugle … l'amour rend aveugle mais pas comme ça Lukas … Tu te raccroches à quoi ?
Je t'avais pris le bras pour te tourner face à moi, retirer ta capuche, pour te regarder pour te montrer pour te dire que tout ces mots était sincère, mais est ce que la sincérité était suffisante, et qu'est ce qu'elle pourrait changer, est qu'elle pouvais avoir un quelconque poids. Alors que je déposais un baiser sur tes lèvres qui restait sans réponse, avant que tu t'esquives, sans pour autant lâcher ma main un instant...Trop court.. trop long à la fois.
Ta main quittais la mienne et tu laissais apparaître l'autre, et en un rien de temps te te retrouvais torse nu face a moi. Putain ça veut dire quoi? Un coup tu te cache et un coup tu assumes? Je comprends plus là. Pire, tu devais carrément provoquant a m'en faire frissonner d'envie. Qu'est ce que tu tu cherchais a faire??? Tes mains venais me saisir comme jamais auparavant, et tes yeux dans les miens je ne les reconnaissaient pas, ils étaient loin des yeux amoureux habituel, loin de ces yeux noirs du Badgrilz, ces yeux là étaient provocants, effrayant dans un sens, face a la combinaison de l'action que tu me faisais subir, parce que tes main me tenais avec une telle fermeté, une telle force, mais tu étais doux aussi, une douce force inconnus qui faisais accélérer mon cœur douloureusement. Je m'accrochais a toi, le temps de voir ce que tu me réservais, avant de basculer en arrière et de me retrouver dos au matelas, dos sur le matelas, alors que tu venais t'installer sur moi. Je sais pas ce que tu me réservais et la situation était effrayante parce qu'il n'y avait rien qui justifiait une telle action, toi qui fuyait y a encore quelques secondes. La situation était effrayante, mais ma respiration s’accélérait laissant monter une envie puissante. Je laissais passer une sorte de gémissements plaintif, légèrement affiché sur mon visage, lorsque tu me prenait les poignets pour me bloquer totalement, pour me contraindre. Me soumettre ? C'était douloureusement excitant, faisais accélérer mon cœur encore plus fort, avant qu'il ne loupe deux ou trois tour, quand tes lèvres s'ouvraient face aux miennes... j'avais pas le droit... et j'entre ouvrais la bouche... fatal erro 409: conflict la douloureuse excitation qui s'installait en moi était remplacée pas un tiraillement de mes entrailles, un boules dans la gorge face a la vérité, j'étais parti... et j'étais de retour, sans rien... si ce n'est pas que j'étais pas près a affronter la réalité... Non j'étais pas près absolument pas près. Parce que peut être que pour toi c'était facile de prendre une décision, t'avais tellement peu d'estime pour toi même, a force je l'avais bien compris que je pouvais juste te repousser parce que tu me révulsais, tu me donnais envie de vomir ? Putain ce serai tellement plus facile ouai... Alors j'écoutais silencieusement, docilement, ces mots, que je ne voulais pas entendre, prendre en compte jusqu'à maintenant... Alors que mes yeux s'emplissaient de larme et que mon corps chauffait, que les dents de serrais, et que mes mains ouvertes jusqu'à maintenant se serrais. J'écoutais docilement, douloureusement, jalousement. Puis ce regard de défi, parce que tu voulais une réponse, et tu me provoquais encore une fois, te frottant contre moi. Puis plus rien... l'étreinte que tu formais autour de mes poignets qui commençaient à s'endolorir, s'éloignait laissant passer le sang un peu plus agréablement. Tu manquais de chuter, et puis tu t'arrêtais les mains en l'air, pour dire que tu n'irai pas plus loin, qu'il fallait que je me décide maintenant !!! Je me redressai sur mes coudes dans un premier temps avant de m'asseoir sur le lit, et venir masser mes poignets rougis par ton emprise. Tu m'avais fait mal, Neal. Et je serrais toujours les dents, pour essayer de contenir la chaleur encore plus ardente que j'avais dans le corps, seulement ça marchait pas... Je me levais du lit, et commençais a tourner comme un lion en cage... Alors je laissais sortir, ouvrant les vannes de mes yeux, de ma bouche et de mon coeur... Putain mais tu veux que je te dises quoi ??? Que tu me dégoûte ? Et que j'ai plus envie de te voir ? Que j'ai plus envie de toi? C'est ça que tu veux entendre ? Bordel Neal j'te le dirais pas... Que tout mes sentiments pour toi il s'efface comme ça... juste parce que tu couches, que tu prends ton pied avec la moitié de la ville ? Mais putain oui j'aimerais tellement pouvoir te le dire que je t'aime plus et que me donne envie de vomir, ça serai tellement plus facile et plus simple pour prendre une décision... Mais merde Neal, j'peux pas te dire ça parce que c'est pas vrai, ça serai un putain de mensonge de te dire que je t'aime plus, tu m'entends ??? Je m'arrêtais un instant face a toi, pour prendre ton menton plus durement, et planter les yeux dans les tiens. Putain Neal, je t'aime et tu me revulses pas. Je t'aime et j'ai envie de toi. Dire le contraire ça serai te mentir et me mentir. Je venais voler un baiser un peu trop violent, avant de reculer, te lâcher faisant tourner ta tête dans le mouvement, et retourner faire les cent pas. Tu m'appartiens pas Neal, t'es pas a moi, t'es pas ma propriété, j'arrive même pas a dire que t'es mon mec, alors que je suis clairement le tiens ou un des tiens comme tu veux... T'es pas mon mec et t'es celui que j'aime, t'es l'homme que j'aime, t'es mon amour, mais t'es pas mon mec, t'es celui que j'aime, celui pour qui je donnerai ma vie, autant de fois qui le faudra, celui que j'irai toujours repêcher au milieu de la mer parce qu'il veut se foutre en l'air, celui que j'irai chercher au milieu de la nuit, parce qu'il est en pleine crise... T'es l'homme que j'aime et tu te prostitue... T'es pas a moi et ton corps m'appartiens pas. Tu fais ce que tu veux avec si ça te fais plaisir. Si t'arrive a vivre avec l'idée grand bien t'en face. T'es celui que j'aime et dont j'ai envie, avec qui je veux faire des projets, avec qui j'veux faire une parti du chemin... Alors voilà tu te prostitue et ça me plaît pas, ça me plaît pas, mais tu m'appartiens pas... Alors oui j'suis désolé si c'est pas ce que tu veux entendre mais c'est la vérité. J't'aime et t'es pas a moi... Alors oui j'suis pas près a te laisser partir, ni même a partir ... J'ai passé mon temps a essayé de trouver une solution, une réponse, des questions et rien me venais d'accord? Parce que je culpabilisais bien trop de t'avoir laissé dans l'état que tu étais et que t'allais encore une fois te blesser a cause de moi... et j'avais pas tord au final.... fis je en lançant ma main pour montrer la tienne sous se bandage. Ta putain de sécurité, ton estime de toi, et le fait que tu m'aie repoussé voilà tout ce que j'ai pensé toute la journée... Comment est ce que d'un claquement de doigt tu passes de l'un a l'autre.... répond pas j'le sais...d'une espèce de légèreté, tu retourne dans ta tanière... tu me dis que tu prends ton pied avec les autres, mais tu me dis aussi que tu veux pas retourner dans la rue... tu te laisse toucher par les autres mais tu me laisses pas te voir et te regarder, tu te caches... Et tu me repousses tellement a chaque fois qu'il y a un truc, tu préfères me repousser que me rentrer dedans ... Voilà la totalité de mes pensées depuis hier. Parce que je sais pas ce que ça implique d'être consciemment avec quelqu'un qui se prostitue... putain non j'en savais foutrement rien... Alors excuse moi de prendre le droit de te faire ça ... de te foutre dans une situation instable, de pas de prendre gants avec toi juste parce que je sais pas, aller on va dire que pour cette fois je pense qu'a ma gueule, ouai on va dire ça cette fois je pense qu'a moi, je prend le droit... parce que tu l'as créé, on l'a créé ensemble, que t'aurai pus éviter... largement, si tu m'avais dis la vérité. le premier jour là première fois, quand j't'ai demandé. Seulement maintenant j'peux pas me décider !!! Et je sais que je m'en voudrais... et je sais que je vais souffrir... putain de merde Neal j'le sais ... s'était bien plus facile de t'imaginer dealer, même si je savais que c'était des conneries... qui deal en plein milieu de la nuit... j'dis pas que ça s'fait pas mais... ça avait une certaine logique... dans ton état... tu voulais que je te dises ce que j'en pensais... alors voilà t'étais servis, tu avais réussi a faire sortir rien de plus qu'une pseudo colère sincère qui pour ma part ne m'apportais pas de réponse... Je venais me placer devant toi Tu me brûle Neal, tu me brûles trop , beaucoup trop fort et ça me fout des cicatrices, j'suis là, j'ai été en enfers et pas qu'une fois pour toi … Comment tu peux dire que que j'ai pas le droit ... ... le souffle cours parce que j'avais débité tellement dans ce marathon de parole, un peu trop sec, un peu trop violent que j'en pouvais plus ... tu voulais continuer a me provoquer a m'en remettre une couche, j'vois pas ce que je pouvais dire de plus mais s'il le fallait j'le ferais...
@Neal T. Hood
mais pourquoi … Lukas … Pourquoi est ce que tu avais tellement d’œillère ? Pourquoi Lukas … t'arrivais pas à voir … Pourquoi t'étais si aveugle … Lukas si aveugle … l'amour rend aveugle mais pas comme ça Lukas … Tu te raccroches à quoi ?
Je t'avais pris le bras pour te tourner face à moi, retirer ta capuche, pour te regarder pour te montrer pour te dire que tout ces mots était sincère, mais est ce que la sincérité était suffisante, et qu'est ce qu'elle pourrait changer, est qu'elle pouvais avoir un quelconque poids. Alors que je déposais un baiser sur tes lèvres qui restait sans réponse, avant que tu t'esquives, sans pour autant lâcher ma main un instant...Trop court.. trop long à la fois.
Ta main quittais la mienne et tu laissais apparaître l'autre, et en un rien de temps te te retrouvais torse nu face a moi. Putain ça veut dire quoi? Un coup tu te cache et un coup tu assumes? Je comprends plus là. Pire, tu devais carrément provoquant a m'en faire frissonner d'envie. Qu'est ce que tu tu cherchais a faire??? Tes mains venais me saisir comme jamais auparavant, et tes yeux dans les miens je ne les reconnaissaient pas, ils étaient loin des yeux amoureux habituel, loin de ces yeux noirs du Badgrilz, ces yeux là étaient provocants, effrayant dans un sens, face a la combinaison de l'action que tu me faisais subir, parce que tes main me tenais avec une telle fermeté, une telle force, mais tu étais doux aussi, une douce force inconnus qui faisais accélérer mon cœur douloureusement. Je m'accrochais a toi, le temps de voir ce que tu me réservais, avant de basculer en arrière et de me retrouver dos au matelas, dos sur le matelas, alors que tu venais t'installer sur moi. Je sais pas ce que tu me réservais et la situation était effrayante parce qu'il n'y avait rien qui justifiait une telle action, toi qui fuyait y a encore quelques secondes. La situation était effrayante, mais ma respiration s’accélérait laissant monter une envie puissante. Je laissais passer une sorte de gémissements plaintif, légèrement affiché sur mon visage, lorsque tu me prenait les poignets pour me bloquer totalement, pour me contraindre. Me soumettre ? C'était douloureusement excitant, faisais accélérer mon cœur encore plus fort, avant qu'il ne loupe deux ou trois tour, quand tes lèvres s'ouvraient face aux miennes... j'avais pas le droit... et j'entre ouvrais la bouche... fatal erro 409: conflict la douloureuse excitation qui s'installait en moi était remplacée pas un tiraillement de mes entrailles, un boules dans la gorge face a la vérité, j'étais parti... et j'étais de retour, sans rien... si ce n'est pas que j'étais pas près a affronter la réalité... Non j'étais pas près absolument pas près. Parce que peut être que pour toi c'était facile de prendre une décision, t'avais tellement peu d'estime pour toi même, a force je l'avais bien compris que je pouvais juste te repousser parce que tu me révulsais, tu me donnais envie de vomir ? Putain ce serai tellement plus facile ouai... Alors j'écoutais silencieusement, docilement, ces mots, que je ne voulais pas entendre, prendre en compte jusqu'à maintenant... Alors que mes yeux s'emplissaient de larme et que mon corps chauffait, que les dents de serrais, et que mes mains ouvertes jusqu'à maintenant se serrais. J'écoutais docilement, douloureusement, jalousement. Puis ce regard de défi, parce que tu voulais une réponse, et tu me provoquais encore une fois, te frottant contre moi. Puis plus rien... l'étreinte que tu formais autour de mes poignets qui commençaient à s'endolorir, s'éloignait laissant passer le sang un peu plus agréablement. Tu manquais de chuter, et puis tu t'arrêtais les mains en l'air, pour dire que tu n'irai pas plus loin, qu'il fallait que je me décide maintenant !!! Je me redressai sur mes coudes dans un premier temps avant de m'asseoir sur le lit, et venir masser mes poignets rougis par ton emprise. Tu m'avais fait mal, Neal. Et je serrais toujours les dents, pour essayer de contenir la chaleur encore plus ardente que j'avais dans le corps, seulement ça marchait pas... Je me levais du lit, et commençais a tourner comme un lion en cage... Alors je laissais sortir, ouvrant les vannes de mes yeux, de ma bouche et de mon coeur... Putain mais tu veux que je te dises quoi ??? Que tu me dégoûte ? Et que j'ai plus envie de te voir ? Que j'ai plus envie de toi? C'est ça que tu veux entendre ? Bordel Neal j'te le dirais pas... Que tout mes sentiments pour toi il s'efface comme ça... juste parce que tu couches, que tu prends ton pied avec la moitié de la ville ? Mais putain oui j'aimerais tellement pouvoir te le dire que je t'aime plus et que me donne envie de vomir, ça serai tellement plus facile et plus simple pour prendre une décision... Mais merde Neal, j'peux pas te dire ça parce que c'est pas vrai, ça serai un putain de mensonge de te dire que je t'aime plus, tu m'entends ??? Je m'arrêtais un instant face a toi, pour prendre ton menton plus durement, et planter les yeux dans les tiens. Putain Neal, je t'aime et tu me revulses pas. Je t'aime et j'ai envie de toi. Dire le contraire ça serai te mentir et me mentir. Je venais voler un baiser un peu trop violent, avant de reculer, te lâcher faisant tourner ta tête dans le mouvement, et retourner faire les cent pas. Tu m'appartiens pas Neal, t'es pas a moi, t'es pas ma propriété, j'arrive même pas a dire que t'es mon mec, alors que je suis clairement le tiens ou un des tiens comme tu veux... T'es pas mon mec et t'es celui que j'aime, t'es l'homme que j'aime, t'es mon amour, mais t'es pas mon mec, t'es celui que j'aime, celui pour qui je donnerai ma vie, autant de fois qui le faudra, celui que j'irai toujours repêcher au milieu de la mer parce qu'il veut se foutre en l'air, celui que j'irai chercher au milieu de la nuit, parce qu'il est en pleine crise... T'es l'homme que j'aime et tu te prostitue... T'es pas a moi et ton corps m'appartiens pas. Tu fais ce que tu veux avec si ça te fais plaisir. Si t'arrive a vivre avec l'idée grand bien t'en face. T'es celui que j'aime et dont j'ai envie, avec qui je veux faire des projets, avec qui j'veux faire une parti du chemin... Alors voilà tu te prostitue et ça me plaît pas, ça me plaît pas, mais tu m'appartiens pas... Alors oui j'suis désolé si c'est pas ce que tu veux entendre mais c'est la vérité. J't'aime et t'es pas a moi... Alors oui j'suis pas près a te laisser partir, ni même a partir ... J'ai passé mon temps a essayé de trouver une solution, une réponse, des questions et rien me venais d'accord? Parce que je culpabilisais bien trop de t'avoir laissé dans l'état que tu étais et que t'allais encore une fois te blesser a cause de moi... et j'avais pas tord au final.... fis je en lançant ma main pour montrer la tienne sous se bandage. Ta putain de sécurité, ton estime de toi, et le fait que tu m'aie repoussé voilà tout ce que j'ai pensé toute la journée... Comment est ce que d'un claquement de doigt tu passes de l'un a l'autre.... répond pas j'le sais...d'une espèce de légèreté, tu retourne dans ta tanière... tu me dis que tu prends ton pied avec les autres, mais tu me dis aussi que tu veux pas retourner dans la rue... tu te laisse toucher par les autres mais tu me laisses pas te voir et te regarder, tu te caches... Et tu me repousses tellement a chaque fois qu'il y a un truc, tu préfères me repousser que me rentrer dedans ... Voilà la totalité de mes pensées depuis hier. Parce que je sais pas ce que ça implique d'être consciemment avec quelqu'un qui se prostitue... putain non j'en savais foutrement rien... Alors excuse moi de prendre le droit de te faire ça ... de te foutre dans une situation instable, de pas de prendre gants avec toi juste parce que je sais pas, aller on va dire que pour cette fois je pense qu'a ma gueule, ouai on va dire ça cette fois je pense qu'a moi, je prend le droit... parce que tu l'as créé, on l'a créé ensemble, que t'aurai pus éviter... largement, si tu m'avais dis la vérité. le premier jour là première fois, quand j't'ai demandé. Seulement maintenant j'peux pas me décider !!! Et je sais que je m'en voudrais... et je sais que je vais souffrir... putain de merde Neal j'le sais ... s'était bien plus facile de t'imaginer dealer, même si je savais que c'était des conneries... qui deal en plein milieu de la nuit... j'dis pas que ça s'fait pas mais... ça avait une certaine logique... dans ton état... tu voulais que je te dises ce que j'en pensais... alors voilà t'étais servis, tu avais réussi a faire sortir rien de plus qu'une pseudo colère sincère qui pour ma part ne m'apportais pas de réponse... Je venais me placer devant toi Tu me brûle Neal, tu me brûles trop , beaucoup trop fort et ça me fout des cicatrices, j'suis là, j'ai été en enfers et pas qu'une fois pour toi … Comment tu peux dire que que j'ai pas le droit ... ... le souffle cours parce que j'avais débité tellement dans ce marathon de parole, un peu trop sec, un peu trop violent que j'en pouvais plus ... tu voulais continuer a me provoquer a m'en remettre une couche, j'vois pas ce que je pouvais dire de plus mais s'il le fallait j'le ferais...
@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)
You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride
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