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How can I trust you? Neakas

2 participants
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
Description (1) :

How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011101321484 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011100239403 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas - Page 2 210307010918770936 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011001575388 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas - Page 2 2511619667
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• Têtes de Mules
How can I trust you? Neakas - Page 2 200327113946269016How can I trust you? Neakas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
How can I trust you? Neakas - Page 2 FzbcgUN
• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
How can I trust you? Neakas - Page 2 Pendentif-trefle-a-4-feuilles-01
• KaNeakas <3
How can I trust you? Neakas - Page 2 2oor
• Souvenir de Cap Code
How can I trust you? Neakas - Page 2 CapeCod_Silver_Navy_1024x1024
• New Familly
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• Tentation
How can I trust you? Neakas - Page 2 Neakas-4
•Nous Sommes Uns
How can I trust you? Neakas - Page 2 Oi6g

Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 20021608055864050


How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Dans cette nuit douloureuse, le sommeil n'avait rien apporté que des cauchemars, des angoisses, des larmes, mais pas de question, pas de réponses. Rien tout comme dans la journée dans la soirée j'étais perdu, juste des certitudes, de douloureuses certitudes, immuables certitudes, que j'allais souffrir encore par l'amour que je te portais, cet amour incandescent qui brûle en moi, qui me consume à petit feu, tu me brûles, tu me brûles trop, beaucoup trop fort, et j'étais là malgré tout ce que j'endurais, une putain de course d'endurance dans laquelle je ne sais même pas si j'allais atteindre la ligne d'arrivée. Je croyais rêver quand j'entendais des clés, préférant fermer les yeux, seulement j'entendais la porte et finalement t'étais la dans l'encadrement de ta chambre, t'excusant d'être venu chez toi, comme si t'étais un étranger, je récupérerais bien vite mes affaires et tu pourras faire ce que tu veux te ton appartement, pourquoi pas même le rendre finalement … hum … c'était une possibilité, une option. J'en sais rien, je te regardais en m’asseyant, dans une tenue totalement improbable, parce que c'était bien la première fois que je portais sur moi l'habit d'un autre, la première fois que j'avais ressenti le besoin de dormir avec un peu de toi sur moi, putain de première fois, comme si ça serai la dernière fois. Et alors que tu partais je te demandais de rester, de ne pas partir pas comme ça, parce que j'allais partir en Italie et je voulais pas y aller alors que... que j'en sais rien putain... je sais pas quoi... Fatal error 409 Lukas Mais j'suis pas prés à partir en Italie alors qu'on est comme ça … que t'es comme ça... fuyant … Alors oui je t'arrêtais parce que je voulais pas que tu fuis, pour te dire que malgré tout ce que tu m'avais dis mes sentiments n'avaient pas changé, mon regards n'avait pas changé...
mais pourquoi … Lukas … Pourquoi est ce que tu avais tellement d’œillère ?  Pourquoi Lukas …  t'arrivais pas à voir … Pourquoi t'étais si aveugle … Lukas si aveugle … l'amour rend aveugle mais pas comme ça Lukas … Tu te raccroches à quoi ?
Je t'avais pris le bras pour te tourner face à moi, retirer ta capuche,  pour te regarder pour te montrer pour te dire que tout ces mots était sincère, mais est ce que la sincérité était suffisante, et qu'est ce qu'elle pourrait changer, est qu'elle pouvais avoir un quelconque poids. Alors que je déposais un baiser sur tes lèvres qui restait sans réponse, avant que tu t'esquives, sans pour autant lâcher ma main un instant...Trop court.. trop long à la fois.

Ta main quittais la mienne et tu laissais apparaître l'autre, et en un rien de temps te te retrouvais torse nu face a moi. Putain ça veut dire quoi? Un coup tu te cache et un coup tu assumes? Je comprends plus là. Pire, tu devais carrément provoquant a m'en faire frissonner d'envie. Qu'est ce que tu tu cherchais a faire??? Tes mains venais me saisir comme jamais auparavant, et tes yeux dans les miens je ne les reconnaissaient pas, ils étaient loin des yeux amoureux habituel, loin de ces yeux noirs du Badgrilz, ces yeux là étaient provocants, effrayant dans un sens, face a la combinaison de l'action que tu me faisais subir, parce que tes main me tenais avec une telle fermeté, une telle force, mais tu étais doux aussi, une douce force inconnus qui faisais accélérer mon cœur douloureusement. Je m'accrochais a toi, le temps de voir ce que tu me réservais, avant de basculer en arrière et de me retrouver dos au matelas, dos sur le matelas, alors que tu venais t'installer sur moi. Je sais pas ce que tu me réservais et la situation était effrayante parce qu'il n'y avait rien qui justifiait une telle action, toi qui fuyait y a encore quelques secondes. La situation était effrayante, mais ma respiration s’accélérait laissant monter une envie puissante. Je laissais passer une sorte de gémissements plaintif, légèrement affiché sur mon visage, lorsque tu me prenait les poignets pour me bloquer totalement, pour me contraindre. Me soumettre ? C'était douloureusement excitant, faisais accélérer mon cœur encore plus fort, avant qu'il ne loupe deux ou trois tour, quand tes lèvres s'ouvraient face aux miennes... j'avais pas le droit... et j'entre ouvrais la bouche... fatal erro 409: conflict la douloureuse excitation qui s'installait en moi était remplacée pas un tiraillement de mes entrailles, un boules dans la gorge face a la vérité, j'étais parti... et j'étais de retour, sans rien... si ce n'est pas que j'étais pas près a affronter la réalité... Non j'étais pas près absolument pas près. Parce que peut être que pour toi c'était facile de prendre une décision, t'avais tellement peu d'estime pour toi même, a force je l'avais bien compris que je pouvais juste te repousser parce que tu me révulsais, tu me donnais envie de vomir ? Putain ce serai tellement plus facile ouai... Alors j'écoutais silencieusement, docilement, ces mots, que je ne voulais pas entendre, prendre en compte jusqu'à maintenant... Alors que mes yeux s'emplissaient de larme et que mon corps chauffait, que les dents de serrais, et que mes mains ouvertes jusqu'à maintenant se serrais. J'écoutais docilement, douloureusement, jalousement. Puis ce regard de défi, parce que tu voulais une réponse, et tu me provoquais encore une fois, te frottant contre moi. Puis plus rien... l'étreinte que tu formais autour de mes poignets qui commençaient à s'endolorir, s'éloignait laissant passer le sang un peu plus agréablement. Tu manquais de chuter, et puis tu t'arrêtais les mains en l'air, pour dire que tu n'irai pas plus loin, qu'il fallait que je me décide maintenant !!! Je me redressai sur mes coudes dans un premier temps avant de m'asseoir sur le lit, et venir masser mes poignets rougis par ton emprise. Tu m'avais fait mal, Neal. Et je serrais toujours les dents, pour essayer de contenir la chaleur encore plus ardente que j'avais dans le corps, seulement ça marchait pas... Je me levais du lit, et commençais a tourner comme un lion en cage... Alors je laissais sortir, ouvrant les vannes de mes yeux, de ma bouche et de mon coeur...  Putain mais tu veux que je te dises quoi ??? Que tu me dégoûte ? Et que j'ai plus envie de te voir ? Que j'ai plus envie de toi?  C'est ça que tu veux entendre ? Bordel Neal j'te le dirais pas...  Que tout mes sentiments pour toi il s'efface comme ça... juste parce que tu couches, que tu prends ton pied avec la moitié de la ville ? Mais putain oui j'aimerais tellement pouvoir te le dire que je t'aime plus et que me donne envie de vomir, ça serai tellement plus facile et plus simple pour prendre une décision... Mais merde Neal, j'peux pas te dire ça parce que c'est pas vrai, ça serai un putain de mensonge de te dire que je t'aime plus, tu m'entends ??? Je m'arrêtais un instant face a toi, pour prendre ton menton plus durement, et planter les yeux dans les tiens. Putain Neal, je t'aime et tu me revulses pas. Je t'aime et j'ai envie de toi. Dire le contraire ça serai te mentir et me mentir. Je venais voler un baiser un peu trop violent, avant de reculer, te lâcher faisant tourner ta tête dans le mouvement, et retourner faire les cent pas. Tu m'appartiens pas Neal, t'es pas a moi, t'es pas ma propriété, j'arrive même pas a dire que t'es mon mec, alors que je suis clairement le tiens ou un des tiens comme tu veux... T'es pas mon mec et t'es celui que j'aime, t'es l'homme que j'aime, t'es mon amour, mais t'es pas mon mec, t'es celui que j'aime, celui pour qui je donnerai ma vie, autant de fois qui le faudra, celui que j'irai toujours repêcher au milieu de la mer parce qu'il veut se foutre en l'air, celui que j'irai chercher au milieu de la nuit, parce qu'il est en pleine crise... T'es l'homme que j'aime et tu te prostitue... T'es pas a moi et ton corps m'appartiens pas. Tu fais ce que tu veux avec si ça te fais plaisir. Si t'arrive a vivre avec l'idée grand bien t'en face. T'es celui que j'aime et dont j'ai envie, avec qui je veux faire des projets, avec qui j'veux faire une parti du chemin... Alors voilà tu te prostitue et ça me plaît pas, ça me plaît pas, mais tu m'appartiens pas... Alors oui j'suis désolé si c'est pas ce que tu veux entendre mais c'est la vérité. J't'aime et t'es pas a moi... Alors oui j'suis pas près a te laisser partir, ni même a partir ... J'ai passé mon temps a essayé de trouver une solution, une réponse, des questions et rien me venais d'accord? Parce que je culpabilisais bien trop de t'avoir laissé dans l'état que tu étais et que t'allais encore une fois te blesser a cause de moi... et j'avais pas tord au final.... fis je en lançant ma main pour montrer la tienne sous se bandage. Ta putain de sécurité, ton estime de toi, et le fait que tu m'aie repoussé voilà tout ce que j'ai pensé toute la journée... Comment est ce que d'un claquement de doigt tu passes de l'un a l'autre.... répond pas j'le sais...d'une espèce de légèreté, tu retourne dans ta tanière... tu me dis que tu prends ton pied avec les autres, mais tu me dis aussi que tu veux pas retourner dans la rue... tu te laisse toucher par les autres mais tu me laisses pas te voir et te regarder, tu te caches... Et tu me repousses tellement a chaque fois qu'il y a un truc, tu préfères me repousser que me rentrer dedans ... Voilà la totalité de mes pensées depuis hier. Parce que je sais pas ce que ça implique d'être consciemment avec quelqu'un qui se prostitue... putain non j'en savais foutrement rien... Alors excuse moi de prendre le droit de te faire ça ... de te foutre dans une situation instable, de pas de prendre gants avec toi juste parce que je sais pas, aller on va dire que pour cette fois je pense qu'a ma gueule, ouai on va dire ça cette fois je pense qu'a moi, je prend le droit... parce que tu l'as créé, on l'a créé ensemble, que t'aurai pus éviter... largement, si tu m'avais dis la vérité. le premier jour là première fois, quand j't'ai demandé. Seulement maintenant j'peux pas me décider !!! Et je sais que je m'en voudrais... et je sais que je vais souffrir... putain de merde Neal j'le sais ... s'était bien plus facile de t'imaginer dealer, même si je savais que c'était des conneries... qui deal en plein milieu de la nuit... j'dis pas que ça s'fait pas mais... ça avait une certaine logique... dans ton état... tu voulais que je te dises ce que j'en pensais... alors voilà t'étais servis, tu avais réussi a faire sortir rien de plus qu'une pseudo colère sincère qui pour ma part ne m'apportais pas de réponse... Je venais me placer devant toi Tu me brûle Neal, tu me brûles trop , beaucoup trop fort et ça me fout des cicatrices, j'suis là,  j'ai été en enfers et pas qu'une fois pour toi … Comment tu peux dire que que j'ai pas le droit ...   ... le souffle cours parce que j'avais débité tellement dans ce marathon de parole, un peu trop sec, un peu trop violent que j'en pouvais plus ... tu voulais continuer a me provoquer a m'en remettre une couche, j'vois pas ce que je pouvais dire de plus mais s'il le fallait j'le ferais...

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas - Page 2 MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas - Page 2 Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
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Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
J’aurais aimé que tout cela ne soit qu’un horrible cauchemar un peu trop réel et oppressant. J’aurais tant voulu que tout cela ne se soit passé qu’à l’intérieur de ma tête. J’avais follement envie de m’en convaincre tant je n’étais pas prêt à affronter une autre réalité. Néanmoins, ce n’était pas vrai et je ne pouvais pas faire semblant bien longtemps. Je ne pouvais pas ignorer un tel événement alors qu’il devenait si impactant à l’intérieur de mon existence. Je ne pouvais pas agir comme si ce n’était pas arrivé parce que ça s’était bel et bien passé. Je le savais parfaitement maintenant que je me retrouvais face à Lukas en ce mardi matin. Mes prunelles croisaient les siennes un bref instant et je savais. Je savais que cette histoire n’était pas juste dans ma tête. C’était vraiment arrivé. Je l’avais blessé. Je m’étais ouvert. Et j’avais provoqué un changement sans doute un peu trop irréversible. Le type de changement qui remettait en cause la totalité de notre histoire. Notre sublime petite bulle de bonheur et d’amour bancale avait éclaté dans cet appartement la veille. Elle avait éclaté à l’instant même où la vérité avait glissé entre mes lèvres. La vérité avait glissé lorsque les six mots avaient franchis mes lèvres. Prostitué… C’est ça mon deuxième boulot… J’avais soufflé les mots dans chambre quelques heures plus tôt. J’avais balancé cette vérité que je n’avais pas su lui dire plus tôt. Cette vérité que je n’avais même pas voulu lui dire plus tôt. Pourquoi ne l’avais-je pas fait ? À vrai dire, je n’en savais rien. Peut-être que, dans le fond, j’attendais qu’il me mette juste devant le fait accompli. Peut-être que, dans le fond, j’espérais qu’il devinerait tout seul. Après tout, je passais des nuits dehors et je revenais souvent avec des bleus qui n’avaient rien à faire sur ma peau. Des bleus qui ne pouvaient pas être l’effet de ma maladresse. Pourquoi n’avais-je rien dit ? Pourquoi n’avais-je rien avoué quand il m’avait questionné ? Pourquoi putain ? Peut-être parce que je savais que je n’étais pas prêt à arrêter de faire ce métier… Je n’étais pas prêt à quitter les ruelles si jamais il venait à me le demander. Je n’étais pas prêt à le faire aujourd’hui. Puis, c’était aussi parce que je n’étais pas prêt à le voir disparaître. Je n’étais pas prêt à voir son regard de dégoût glisser sur mon être. Je n’étais pas prêt pour tout ça. Je n’étais juste pas prêt. C’était sans doute pour ces mêmes raisons que je n’avais rien soufflé à Nixon et putain j’en venais à être tétanisé maintenant. En ce mardi matin, j’étais tétanisé pour mon futur avec Lukas. Pour mon futur avec Nixon quand il découvrirait la vérité. Et si je le perdais ? Et si je les perdais ? Mon cœur cognait douloureusement à cette pensée. La veille, la réaction de Lukas avait été incompréhensible. Le jeune homme m’avait pris dans ses bras après avoir découvert la vérité et il avait fini par me dire qu’il ne partait pas et qu’il m’aimait. Pourtant, mon sexy musicien s’était habillé et il avait fini par franchir la porte de l’appartement parce qu’il avait soit disant besoin de temps. Du temps pour lui. Du temps loin de moi. Il avait franchi la porte la veille m’abandonnant tout seul dans cette chambre où je remettais les pieds ce matin. Les mots doux et les baisers de Lukas n’avaient rien changé à mon ressenti. Il m’avait abandonné. C’était ainsi que je l’avais senti. C’était ainsi que je le voyais. Et je l’avais laissé faire sans faire d’histoire parce que c’était comme cela que ce devait se passer. Ça me semblait foutrement normal. Cela semblait être parfaitement logique. Beaucoup plus que lorsqu’il m’avait pris dans ses bras. La réalité de la situation aurait dû me percuter un peu plus tôt et me pousser à chercher Lukas pour parvenir à m’expliquer avec lui parce que nous devions en parler. Je ne pouvais pas lâcher une bombe et ne rien expliquer. Nous devions en parler. Cependant, je m’étais retrouvé dans un état un peu trop instable. Un état foutrement trop flou et je n’avais pas été foutu d’agir rationnellement. Je m’étais retrouvé à l’université sans comprendre comment j’avais fait pour arriver sur place. Je m’étais retrouvé dans cet amphithéâtre que je ne connaissais pas et je m’étais laissé entraîné par le véritable gouffre. Ce gouffre qui m’avait poussé à frapper un miroir me blessant la main droite. Ce gouffre qui laissait la voix prendre le dessus sur tout le reste… Comme ce jour-là à la plage au Mexique. Ce gouffre qui aurait pu me pousser à commettre un acte un peu trop fou pour attenter à mes jours. Ce gouffre que j’avais su éviter en contactant Nixon. Mon Nixon qui était rapidement venu à mon secours et qui avait su me sortir de là. Le reste du Lundi était flou comme si je repoussais au plus loin tout ça. C’était comme si je ne parvenais pas à accepter la réalité qui venait de se dérouler. Comme si je désirais me plonger dans un état comateux pour que tout ne soit qu’un cauchemar que je pourrais oublier. Mais, ce n’en étais pas un. Je le savais maintenant que Lukas se tenait là sous mes yeux en ce mardi matin. Ça me percutait violemment. Ça me chamboulait si vivement. Lukas était là. Teneur de la vérité. Victime d’un Neal destructeur. Lukas était là. Dans ma chambre. Dans mon lit. Dans mon sweat. Dans n’importe quelle autre situation, cela aurait pu éveiller mon désir. Cela aurait pu me donner follement envie de m’approcher de lui pour l’embrasser langoureusement et lui dire combien je l’aimais. À l’instant T, je tentais de l’ignorer. Je voulais me faufiler dans cette chambre le plus rapidement possible afin de disparaître aussi vite. Comme si je n’existais pas. Comme si cette vérité n’avait jamais glissé. Comme si cette confrontation pouvait être évitée. Stupide gosse. Remontant ma capuche sur ma tête, glissant ma main droite dans ma poche, je m’empressais de bouger soufflant la raison de ma présence et mon excuse pour être chez moi. Je récupérais ce qu’il me fallait sans perdre de temps et j’étais déjà prêt pour le chemin inverse. J’étais prêt pour partir. J’étais prêt pour m’effacer. J’étais prêt pour faire comme si je n’avais jamais mis les pieds chez moi. Malheureusement, ce n’était pas ce que Lukas voulait. Il me stoppait me suppliant de rester et je ne savais pas aller à l’encontre de sa demande. De son ordre ? Je restais planté là dans la pièce. Dos à lui. Je l’entendais s’approcher. J’aurai dû lui dire stop. J’aurai dû le supplier de rester loin. Mais, je ne faisais rien. Je ne bougeais même pas pour m’éloigner acceptant de me retourner pour lui faire face lorsqu’il faisait pression sur mon bras. Sa main se liait à la mienne et mes yeux se perdaient un instant sur ce contact. Ce contact qui existait comme si rien n’avait changé. Foutue connerie. D’ailleurs, la voix du jeune homme ne tarda pas à me ramener sur Terre alors qu’il me disait qu’il n’était pas prêt à se poser des questions sur la situation. Attendez… Autant d’heures loin de moi pour rien… Pas une réponse… Pas une décision… Rien. La rage se réveillait en moi. La colère cognait. Je la sentais pulser à l’intérieur de mes veines alors que Lukas retirait ma capuche. Je le laissais faire docilement acceptant la caresse sur mon visage. Mes yeux se fermaient sous les sublimes sensations que je ressentais encore. Que je ressentirai sans doute à jamais à chaque fois qu’il me toucherait. Et, doucement, réellement, ses lèvres se posaient sur les miennes. J’acceptais le baiser parce que je ne pouvais pas le repousser. J’acceptais le baiser sans réellement l’accepter puisque je n’y répondais pas. Non. Pas le moins du monde. Je restais stoïque finissant même par reculer pour mettre fin à ce contact. Ma main lâchait la sienne. Mes yeux se perdaient au sol. Ça pulsait tellement. Il revenait sans rien. Il revenait sans réponse. Et bordel, voilà même qu’il m’embrassait. Ça pulsait trop. Il fallait que ça sorte. Je devais faire réagir le sexy musicien. Il fallait que j’obtienne une réaction. Il fallait que j’obtienne une décision. Ouais, putain, il le fallait. Alors j’agissais. Stupidement. Violemment. Bestialement.

Je retirais mon sweat le balançant à l’autre bout de la pièce sans même regarder où il atterrissait. Je ne comptais pas le remettre. Je comptais rester torse nu pendant de longues minutes encore. Mes prunelles remontaient alors sur Lukas et je me rapprochais de lui. Vite. Trop vite. Mes mains retrouvaient leurs places sous les cuisses du jeune homme comme cette fois au Badgirlz. Néanmoins, ça n’y ressemblait en rien. Je ne comptais pas le faire mien. Je ne comptais plus le faire mien aujourd’hui. Je soulevais mon sexy musicien l’emmenant vers le lit et faisant basculer son corps sur le matelas. Malgré la rapidité de mes agissements, malgré la colère cognant en moi, j’agissais avec tellement de tendresse et d’amour parce que c’était Lukas entre mes mains. Malgré tout, je n’avais aucune envie de le blesser. Je ne voulais pas l’effrayer. Je refusais de le heurter au point qu’il ne veuille plus m’approcher. Je désirais lui montrer à quel point cette situation me déplaisait. Je voulais trouver une façon de faire sortir tout ce qui cognait si violemment en moi. Je désirais parvenir à le faire agir… À le faire réagir. J’avais envie qu’il cesse d’être ce Lukas acceptant tout et se complaisant dans le silence. Bordel. Par le passé, je me serais sans doute contenté d’une baise bestiale avec la personne avec qui je venais de me disputer. Une baise qui aurait suffit à tout résoudre parce que par le passé mes relations avaient toujours été simples et claires. Néanmoins, avec Lukas, je ne pouvais pas agir comme ça. Parce que notre Neakas était complexe. Et, sans doute aussi parce que je l’aimais trop pour lui imposer une telle chose. Alors, je me contentais de venir m’installer à califourchon sur ses hanches avec lenteur. Mes mains bloquaient ses poignets de chaque côté de son visage. Et… Putain, est-ce qu’il venait de gémir ? Je mordillais ma lèvre avant de secouer la tête. Non. Je ne devais pas penser à cela sinon je n’allais pas être foutu de me raisonner. J’allais lui arracher ses vêtements pour le faire mien là sur le champs et ce ne serait pas correct. Je ne devais pas faire ça. Ignorant cet appel à la luxure, je me rapprochais de son visage afin de lui faire entendre qu’il n’avait pas le droit de faire ce qu’il venait de me faire. Ce qu’il était en train de me faire subir. Il n’avait pas le droit de m’abandonner ici avant de finalement s’incruster de nouveau dans mon existence tout en m’annonçant qu’au final il avait disparu pour rien puisqu’il n’était pas prêt à affronter la situation. Vingt-quatre putain d’heures. C’était long non ? Cela lui laissait tellement de temps. Et pourtant, il revenait bredouille. Alors, je poussais encore plus. Je provoquais tellement. Pour obtenir quelque chose, j’en rajoutais à toute cette situation déjà foutrement tendue. J’exposais les faits plus clairement que par cette phrase soufflant mon métier. La vérité glissait entre mes lèvres. Froide et cruelle. Sans le moindre ménagement. Des hommes me possédaient la nuit. Autres que lui. Autres que Nixon. Je laissais ces hommes faire. Je les laissais me toucher et me prendre. Je prenais même mon pied – ce n’était pas tout à fait vrai, mais il n’avait pas à le savoir tout de suite. Lentement, réellement, je lançais le défi. Qu’il ose me dire qu’il avait encore envie de moi, qu’il me désirait, qu’il m’aimait malgré eux. Malgré cet emploi qu’il découvrait. La lueur de défi brûlait dans mes prunelles sombres et je ne cédais pas face aux larmes qui emplissaient ceux de Lukas. Le jeune homme serrait les dents. Il serrait les poings. Était-il prêt à craquer ? Était-il enfin prêt à se lâcher et à s’imposer dans toute cette situation ? C’était tout ce que je demandais. C’était tout ce que je désirais. Je le poussais plus comme pour réellement donner vie à la bête sommeillant en lui. Mes hanches ondulaient contre les siennes un bref instant. La friction me poussait à me mordre la lèvre. Je ne voulais pas gémir malgré l’envie qui cognait en moi. Je ne voulais pas le supplier de me prendre là tout de suite pour me prouver qu’il en avait encore envie, qu’il en était encore capable. J’aurai tant aimé pourtant. J’aurai tant aimé qu’il me renverse et qu’il me fasse sien. Sans la moindre douceur si c’était ce qu’il fallait. Mais, putain, je voulais tant le sentir. Je voulais tant me dire que j’étais à lui. J’avais besoin que cette vérité cogne en moi. Pourtant, je ne cédais pas sur ce chemin. Je me contentais de me relever sagement avant de m’éloigner du jeune homme. Vite. Si vite que je manquais de trébucher en reculant. C’était comme si je percutais tout ce que je venais de faire. Cette provocation. Cette tentative pour le chauffer. C’était comme si soudainement je me réveillais d’un état que je n’avais pas su contrôler. Je m’éloignais encore plus levant les deux mains en l’air comme pour clamer haut et fort que je n’irai pas plus loin. Comme pour lui hurler que je ne lui ferai pas de mal. Comme pour supplier que la sentence parvienne à mes oreilles. J’en avais besoin. Lukas se redressait sur ses coudes avant de s’asseoir sur le lit en massant ses poignets. Mes sourcils se fronçaient. L’inquiétude glissait sur mon visage. Est-ce que je lui avais fait mal ? Mes prunelles se perdaient un instant sur ses poignets et j’hésitais. Je voulais m’approcher pour vérifier son état. Je désirais lui demander si ça allait. Mais, avant même que je ne puisse ouvrir la bouche, avant même que je ne puisse regretter mes actes, Lukas se mettait debout et il tournait comme un lion en cage. Sa voix ne tarda pas à résonner. Qu’est-ce que je voulais qu’il me dise ? Ma bouche s’ouvrait aussitôt alors que je voulais lui demander de me dire la vérité. Juste comment il se sentait. Là. Tout de suite. À vrai dire, je m’en foutais que la décision ne parvienne pas. Je m’en rendais compte. Mais, je ne pouvais pas rester dans le noir. Je voulais savoir comment il se sentait. Je voulais savoir comment il prenait la chose. Néanmoins, je n’avais même pas le temps de parler que Lukas continuait. Est-ce que je voulais qu’il me dise que je le dégoûtais ? Qu’il n’avait plus envie de me voir ? Qu’il n’avait plus envie de moi ? C’était ça que je voulais entendre ? Je secouais négativement la tête parce que ce n’était pas ça. Et, heureusement pour moi, il me soufflait qu’il ne me le dirait pas. Est-ce que je voulais qu’il me dise que tous ses sentiments pour moi s’effaçaient juste comme ça parce que je couchais et je prenais mon pied avec la moitié de la ville ? Outch. Les mots étaient cruels. Les mots étaient blessants. Les mots étaient réels. Il agissait comme moi et je baissais les yeux sous l’attaquant secouant toujours négativement la tête. Je ne voulais pas ça. Je ne voulais pas entendre de tels mots. Je voulais la vérité. Je voulais savoir ce qu’il était prêt à accepter et comment il se sentait. Je désirais savoir ce qu’il en pensait au plus profond de lui. Je voulais juste… Juste une réaction. Et putain, j’avais le droit à cette réaction. Explosive. Douloureuse.

Les larmes se formaient dans mes yeux tandis que de nouveaux mots tombaient dans cette chambre qui, après avoir été la chambre de l’amour pendant des jours, devenait la chambre de l’enfer. Lukas aimerait tellement me dire qu’il ne m’aimait plus et que je lui donnais envie de vomir. Oh bordel… Mes yeux se fermaient alors que les propos se rejouaient dans ma tête. Il aimerait me dire ça. Il aimerait être capable de me souffler de tels mots et ça faisait mal parce qu’au fond je savais. Je savais que s’il ne m’aimait pas autant, il ne se serait pas gêné pour me les balancer. Je savais que s’il avait pu se voir sans moi, il n’aurait pas hésité à me les dire. Et ça faisait mal. Ça faisait mal parce que cette vérité pulsait en lui. Je lui donnais envie de vomir quelque part au plus profond de lui. Je le sentais. Un sanglot glissait entre mes lèvres et je m’empressais de porter ma main à ma bouche pour le taire au maximum. Pour effacer tous les autres. Il fallait que je sois fort. Il fallait que j’encaisse. C’était moi qui avait provoqué la réaction de Lukas. C’était à moi de supporter. Je n’obtenais que ce que j’avais demandé. Mon sexy musicien confiait que ce serait plus facile et simple pour prendre une décision s’il parvenait à me lancer ces mots. Mais, il ne pouvait pas parce que, dans notre Neakas imparfait, ce n’était pas vrai. Ce serait un mensonge de dire qu’il ne m’aimait plus. Mais… Je lui donnais vraiment envie de vomir alors… Non ? Putain. Je ne savais pas. Je ne parvenais plus à tout défaire alors qu’il me demandait si je l’entendais. Je n’osais pas ouvrir la bouche parce que j’avais trop peur de m’écrouler dans les secondes qui suivraient. Je n’osais pas bouger parce que j’avais trop peur de dérailler. Lukas débarquait face à moi. Sa main attrapait mon menton. Durement. Et un putain de gémissement glissait entre mes lèvres parce que, damn it, n’était-ce pas ce que je voulais dans le fond ? N’avais-je pas envie qu’il me fasse sien un peu plus brutalement qu’à l’accoutumé ? Mon sexy musicien plantait ses yeux dans les miens pour me dire qu’il m’aimait et les larmes dévalaient mes joues. J’encaissais cette vague de sincèrité un peu trop violente croisant son regard alors qu’il soufflait qu’il m’aimait et qu’il avait envie de moi. Dire le contraire serait se mentir et me mentir. Trop rapidement, les lèvres de Lukas s’abattaient sur les miennes. Un baiser volé. Un baiser violent. Un baiser si court. Un baiser qui, malgré moi, réveillait une certaine partie de mon anatomie. Lukas me lâchait et se reculait si violemment que ma tête tournait dans le mouvement. Il se remettait à faire les cents pas et je gesticulais à peine espérant oublier ce début d’érection qui trahissait mon désir. Mes prunelles se posaient sur le jeune homme circulant dans cette chambre. Cette chambre qui était devenue un lieu de vérité, un lieu de confrontation. Cette chambre qui me poussait à me sentir si mal à l’aise. Sa voix s’éleva. Je fermais aussitôt les yeux. Il disait que je ne lui appartenais pas. BOUM. Je n’étais pas à lui. BAM. Je n’étais pas sa propriété. BIM. Il n’arrivait même pas à dire que j’étais son mec alors qu’il était le mien ou l’un des miens. Je n’étais pas son mec. Victoire pour Lukas par KO. Ça me foutait un coup trop violent. Tellement trop inattendu. Je pensais être son mec. Je pensais être son copain. Je pensais qu’il parlait de moi comme ça. Putain… Si je n’étais pas son mec, qui étais-je dans sa vie ? Comme s’il avait entendu la question cognant dans ma tête, la réponse tombait. J’étais celui qu’il aimait. L’homme qu’il aimait. Son amour. Pas son mec. J’étais celui pour qui il donnerait sa vie autant de fois qu’il le faudrait. Celui qu’il irait toujours repêcher au milieu de la mer parce que je voulais me foutre en l’air. Celui qu’il irait chercher la nuit parce que j’étais en pleine crise. Dans un autre contexte, la déclaration aurait pu être belle. Elle aurait pu me toucher et me pousser à dire de jolies choses. Elle aurait pu me retourner le ventre plus agréablement que ce qui se passait actuellement. Dans un autre contexte ouais. J’étais l’homme qu’il aimait et je me prostituais. La phrase tombait et résumait parfaitement la situation. Cela résumait totalement ce dans quoi notre Neakas allait être plongé. Lukas répétait que je n’étais pas à lui et j’avais envie d’hurler. J’avais envie de crier que je voulais être à lui. Qu’il n’avait qu’à me le demander. Qu’il avait juste à le souffler. Je voulais être à lui. J’avais besoin d’être à lui. Rien ne passait mes lèvres pourtant et je le laissais continuer. Mon corps ne lui appartenait pas. Outch… Je ne savais pas comment je me sentais face à ces mots. Il m’avait fait sien quelques semaines plus tôt. Je l’avais laissé me faire sien. Je l’avais laissé déposer une empreinte sur moi, au sein de mon existence. Je lui avais offert mon corps sur cette plage au Mexique alors comment pouvait-il oser me dire ça ? Ça faisait mal. Tellement mal… Encore plus alors que je savais qu’il regrettait notre union sur cette plage. Il me l’avait confié. Je m’en souvenais. Ma langue passa sur mes lèvres tandis que je croisais mes bras contre mon torse. Et je le laissais continuer. Je le laissais me chavirer toujours plus. Il me disait que je faisais ce que je voulais avec mon corps si cela me faisait plaisir. Si j’arrivais à vivre avec l’idée, grand bien m’en face. Un rire m’échappait. Un rire triste. Un rire ironique. Il ne se rendait pas compte de la situation. Il ne m’avait pas laissé l’occasion de lui expliquer. Il n’avait pas pris le temps de comprendre. J’avais besoin de l’argent que je pouvais me faire en vendant mon corps. Et j’avais besoin de ces coucheries avec des étrangers parce que j’avais été formaté comme ça. Mais, cela ne me faisait pas plaisir pour autant. Cela n’était pas facile à vivre. Cela n’était guère facile à accepter. Je n’étais pas fier de ce que je foutais. Je n’avais pas le temps de me perdre dans ma tête puisque mon sexy musicien continuait. J’étais celui qu’il aimait et dont il avait envie. Celui avec qui il voulait faire une partie des projets et du chemin. Ma bouche s’ouvrait comme pour lui dire que l’envie était partagé. Comme pour lui hurler que c’était réciproque. Néanmoins, rien ne passait entre mes lèvres. Rien. Le silence… Non. Pas le silence parce que Lukas ne cessait pas de babiller. Cela ne lui plaisait pas que je me prostitue, mais je ne lui appartenais pas. Je secouais la tête. Non, ce n’était pas ce que je voulais entendre. Je voulais l’entendre me dire qu’il comprenait pourquoi je faisais ça. Je voulais l’entendre me dire qu’il était prêt à en parler. Qu’il était prêt à tenter de m’aider. Mais, non, ce n’était pas ça qui sortait des lèvres de Lukas. Il préférait me dire qu’il m’aimait, mais que je n’étais pas à lui. Et, voilà qu’il se mettait à parler de ce qu’il avait fait pendant ces vingt-quatre heures. Lorsqu’il montra ma main bandée, je m’empressais de la masquer dans mon dos comme si cela pouvait la faire oublier. Il disait qu’il avait pensé à ma sécurité, à mon estime de moi et au fait que je l’avais repoussé. Mes sourcils se fronçaient. Il avait pris ces vingt-quatre heures loin de moi pour penser plus à moi qu’à cette vérité glissant. Putain, mais il aurait mieux fait de rester avec moi. Il aurait mieux fait de calmer ma panique lundi matin et nous aurions mieux fait de passer la journée l’un face à l’autre à parler à cœur ouvert. Peut-être que les choses auraient été meilleures si nous l’avions fait. Je sursautais lorsque Lukas me demandait comme je passais de l’un à l’autre en un claquement de doigt ? Ma bouche s’ouvrait comme pour l’interrompre. Pour lui répondre et lui dire de se taire parce que ça faisait beaucoup trop de mots. Mais, je n’avais pas le temps de parler parce qu’il enchaînait. Encore et encore. Je disais que je prenais mon pied avec les autres, mais je lui avais aussi dit que je ne voulais pas retourner dans la rue. Oops… Vrai. Je mordillais ma lèvre baissant les yeux. Putain si tu savais Lukas… Ouais, si seulement il savait. Si seulement il avait pris le temps de comprendre. De réfléchir. Mon sexy musicien continuait disant que je me laissais toucher par les autres, mais que je me cachais de lui ne le laissant pas me voir et me regardais. Je le repoussais à chaque fois qu’il y avait un truc. Il ne comprenait pas hein… Il ne comprenait pas que je l’aimais et que ce qu’il pouvait penser, ce qu’il pouvait ressentir comptait tellement plus que ce que ces inconnus ressentaient. Je me foutais que ces étrangers me touchent parce qu’ils n’avaient pas d’impact dans ma vie. Mais lui… Lui il en avait tellement. Lorsque Lukas m’avoua qu’il ne savait pas ce que ça impliquait d’être consciemment avec quelqu’un qui se prostituait, j’ouvrais encore la bouche prêt à balancer les mots. Mais, encore une fois, je n’avais pas le temps. Il disait qu’on allait dire que pour une fois il pensait à sa gueule et il prenait ce droit parce que je l’avais créé en refusant de lui avouer la vérité le premier jour. Lukas m’avouait qu’il ne pouvait pas se décider et qu’il était plus facile de m’imaginer dealer. Putain, ouais, j’aurais préféré être dealer… Mon sexy musicien s’arrêtait face à moi et mes prunelles sombres se plantaient dans les siennes alors que de nouveaux mots glissaient. Une vérité douloureuse à encaisser pour moi. Il me disait que je le brûlais trop fort et que ça lui foutait des cicatrices. Il était là. Il avait été en enfer et pas qu’une fois pour moi. Lukas se tenait là face à moi le souffle court et il n’avait jamais été aussi bandant à mes yeux. Je fermais les prunelles un instant comme pour éviter de me laisser emporter par cette envie violente qui pulsait. Lorsque mes yeux se rouvraient, ils déviaient sur ses lèvres. Je n’avais qu’une fucking envie : l’embrasser. Je voulais l’embrasser et le supplier de me prendre. Je voulais l’embrasser et lui demander de m’attacher et de me faire sien. Les mots cognaient en moi. La supplication se formait dans ma gorge. Mais, je ne pouvais pas demander ça n’est-ce pas ? Alors, je faisais la seule chose logique. Je m’approchais de Lukas. Ma main glissait dans son cou et je m’empressais de venir capturer ses lèvres. Un baiser fou. Un baiser langoureux. Un baiser empli d’amour et d’envie. Mes doigts glissaient dans sa nuque alors que je pressais mon corps contre le sien. Et, à bout de souffle, je finissais par déposer mon front contre le sien avant de murmurer.

J’suis désolé… J’suis désolé de pas t’en avoir parlé plus tôt… Je… J’pouvais pas… J’voulais pas… Je… J’suis pas forcément fier de ce que je fais tu sais… Je… Mais je… J’peux pas arrêter et je… Être avec quelqu’un qui se prostitue c’est accepter que je passe des nuits dehors avec des hommes ou des femmes… C’est accepter de laisser des étrangers faire ce qu’ils veulent de moi… Je… Ils… Ils ont pas le droit de m’embrasser. Pas le droit de me marquer. C’est les seules interdictions… Mais je… Être avec un prostitué c’est ça je crois… Ouais, je croyais. Je n’en étais pas sûr. Je n’avais jamais été en couple tout en étant prostitué. Jamais. Mes doigts quittaient la nuque de Lukas et je reculais de quelques pas. Je m’éloignais encore plus vers la fenêtre que j’ouvrais tirant une clope de ma poche. Une clope que je glissais entre mes lèvres et que j’allumais aussi vite. Je m’efforçais de souffler doucement espérant faire disparaître l’érection qui déformait mon pantalon. L’érection que Lukas avait dû sentir lorsque j’étais pressé contre lui. Dos à mon sexy musicien, je tirais sur ma cigarette avant de murmurer. Je… J’pense… J’pense que tu devrais rassembler tes affaires et je… Tu… T’devrais aller passer ces quelques jours avant ton départ dans ton appartement…

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
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Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
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LUKAS OWEN SPRITZ
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” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

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How can I trust you? Neakas - Page 2 210307010918770936 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011001575388 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
How can I trust you? Neakas - Page 2 Tumblr_oyldxcjyMy1ug9tt2o1_1280
• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas - Page 2 2511619667
How can I trust you? Neakas - Page 2 Cadeau11
• Têtes de Mules
How can I trust you? Neakas - Page 2 200327113946269016How can I trust you? Neakas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
How can I trust you? Neakas - Page 2 FzbcgUN
• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
How can I trust you? Neakas - Page 2 Pendentif-trefle-a-4-feuilles-01
• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
How can I trust you? Neakas - Page 2 CapeCod_Silver_Navy_1024x1024
• New Familly
How can I trust you? Neakas - Page 2 210418091627249975
• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 20021608055864050


How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas

Putain ça sortais tout seul … sans même me rendre compte de l'impact que ça pouvais avoir sur nous, sur notre vie, notre histoire. T'avais provoqué ce flot de parole, incessant, lancinant à travers la chambre. Tu l'avais provoqué, en retirant ce sweat, en me soulevant comme jamais, en me déposant comme jamais sur ce lit qui vingt-quatre heures plutôt cocoonait encore nos corps. Tu me regardais de ce regard inconnu à la fois effrayant, provocant, rassurant aussi, parce que je savais que tu me ferais pas de mal, tu me toucherais pas, pas de cette façon … Non là c'était différent. Mais tu me faisais mal tout de même tes mains sur mes poignets, et c'est pas forcement par envie que je gémissais. Mon cœur battait, et ma respiration s'accélérait, et tu lâchais les mots entre tes dents, contre mes lèvres … J'avais pas le droit de partir et de revenir comme ça … Si tu savais comme je m'en voulais … Et tu me balançais ce que tu faisais, ce que tu étais … Et putain j'arrivais même pas à t'en vouloir … Ca faisait mal oui, j'aimais pas ces mots qui sortais de ta bouche, mais je t'en voulais pas, parce que c'est comme si je savais mais que je l'avais occulté, que j'avais préféré me le cacher dés le début … Alors ouai mes yeux s'embuaient et je serrais les dents, je serrais les poings jalousement. Jusqu'à ce que tu partes que tu me lâches, les mains en l'air pour dire que c'était à moi de jouer. Alors je me redressais, bouillonnant, tu m'avais lancé de le défis, c'était mon tour maintenant ... je devais te répondre … Et ça tombais des questions sans valeurs, qui montrait l'absurdité de ce que tu pouvais attendre de moi … Des questions qui tombais face à ta façon d'agir passé. De stupides questions, parce que ce que tu étais, qui tu étais n’effaçait en rien ce que je ressentais. Ça aurait été tellement facile... Tu te rends compte seulement à quel point je t'ai dans la peau ? A quel point même si t'es pas à moi, a quel point t'es en moi ? Tu t'en rends compte ?
Putain nan t'étais pas à moi, et je te le disais je te balançais ça en plein visage impossible de retenir les larmes dans mes yeux, parce que c'était la vérité, tu n'étais pas mon mec, parce que je me sentais tellement cet amant dans tout couple avec Nixon, comment est ce que je pouvait me sentir comme propriétaire de ta personne, comment je pouvais faire entrer dans ma tête que tu étais mon mec … Putain je t'aime tellement … Que je ferais tout pour toi … Mais cette idée cognais tout le long, je pouvais pas m'empêcher de te dire que t'étais pas à moi, q comme si je m'en voulais de pas pouvoir m'engager pleinement comme pour me protéger, pour me laisser une porte de sortie … Sauf que ça servais à quoi dis moi ? Pourquoi garder cette porte de sortie alors que je voulais pas la prendre ? Que j'étais pas capable de la prendre … Même après tout ça ? Même après la vérité, j'étais pas capable de la prendre la porte … Putain tu te rends compte à quel point t'es en moi ?
T'es pas à moi mais je m'inquiétais pour toi, je te voyais cacher cette main, mais pourquoi tu fais ça, je l'ai vus, je l'ai sentis sous mes cuisses, je l'ai sentis contre mon poignets, alors la cache pas. Je m'inquiétais pour toi, et j'essayais de te comprendre, enfin au fond de moi j'avais chacune des réponse, seulement là j'étais bien trop bouleverser, bien trop envahie par mes paroles pour les saisir, ou même pour te laisser la parole. Donc oui j'avais pris la pris le droit de te laisser pour revenir sans rien … et c'était une stupide erreur … Parce que je sais bien que je m'enfoncerai encore et toujours plus loin … que j'allais souffrir … Mais putain t'es en moi et t'es pas à moi !

Je me retrouvais de nouveaux face à toi, prés pour une autre parti, te déclarant à quel point t'étais en moi … Parce que finalement toi et moi c'était quelques chose de brut qu'on sculptait à vif … et que ça laissais des traces. J'étais haletant pour essayer de retrouver mon souffle les yeux rougis, dans les tiens dans le même état, trace d'eau salé sur les joues, putain qu'est ce que je détestais voir ces larmes sur tes joues on restait un long moment à ce regarder de cette façon, c'était à ton tour maintenant, et préférais utiliser ton corps, me prenant un peu par surprise parce que je pensais vraiment pas que tallais venir placer ton corps contre le mien, glisser ta main dans mon cou alors que mes mains venaient se placer au milieu ton dos pour ne pas te laisser partir … Puis tes lèvres sur les miennes, je ne pouvais pas retenir mes larmes, tellement ce baiser voulais tout dire, tellement y était rempli d'amour, alors que tu nous rapprochais toujours plus, si bien que je sentais ton envie qui ne me laissais pas de marbre … Et tu venais poser ton front contre le mien … pour me dire que t'étais désolé, qu'on en aie jamais parlé plus tôt … que t'avais pas été capable … t'étais pas fier mais que tu pouvais pas arrêter … et le souvenir de ce sms me revenais en pleine face quatre putain d'année de sexe forcé comment tu pouvais arrêter ? En tout logique c'était à double tranchant non ? Tu refuserai totalement de te faire toucher, ou alors justement tu continuerais, parce que tu n'avais connus que ça … Mais au final le plus important c'était de savoir si j'étais capable d'accepter que d'autre face ce qu'ils voulaient de toi … Est ce que je pouvais l'accepter ?? Est ce que j'étais suffisamment fou pour accepter ça ?? Mais après tout t'étais pas à moi …
Alors avec une voix faible et désolé pour toi je pouvais m'empêcher de lâcher … Ils t'ont tellement brisé que t'as jamais pus arrêter en fait ? Parce que c’était ça au final non ? C'était un simple constat qui me permettais peut être d'accepter plus facilement la situation … Co … comme une drogue ?

Puis ta main quittais ma nuque sonnant la fin de ce corps à corps, alors je te regardais t'éloigner vers la fenêtre avec ces mots que tu me donnais … Je te regardais me tourner le dos encore une fois … et ça me faisais serrer les dents encore plus, reniflant en passant ma main sous mon nez. J'avais envie de hurler de te demander de me regarder, de te retourner, j'en pouvais plus d'avoir à faire face à un dos, ou à une capuche … Parce que ce que j'avais que tu allais parler … Ca ne se faisais pas attendre … tu pensais qu'il valait mieux que je partes finir ces quelques jours avant mon départ chez moi … Sauf qu'il ne restait pas quelques jours … Après cette journée il ne restait que demain … Alors je me rapprochais de toi te prenant par les épaules tendrement pour te placer face à moi … reprenant ton menton pour que tu me regardes Me tourne pas le dos … je … s'il te plaît … je part demain … regarde moi … dans les yeux … et dis moi que tu veux je partes … Entre un supplique un ordre ...

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas - Page 2 MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas - Page 2 Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Tellement de mots avaient été balancé au sein de cette chambre. Cette chambre de l’Enfer qui avait, autrefois, été le témoin de mots plus doux. Des mots tout aussi importants que ceux qui étaient dit en ce mardi matin qui chamboulait notre vie entière. Des mots peut-être même beaucoup plus fort que tout ce venin qui se retrouvait craché entre nous comme une bombe nous explosant au visage. Ce venin venait lentement détruire notre Neakas déjà tellement bancal. Notre Neakas déjà si foutrement instable à cause de l’être que j’étais. Ce gosse trop incapable de vivre une relation exclusive. Ce gamin tellement incapable de s’offrir en entier à une seule personne. Hier j’avais osé face à Lukas… Enfin, non, en vérité, je n’aurai sans doute jamais osé. Je n’avais pas eu d’autre choix que de m’ouvrir. Je n’avais pas eu d’autres choix que celui de sombrer dans un bouleversement trop impactant parce que cette boîte de billets s’était renversée au sol. Hier matin, je venais gaiement retrouver mon sexy musicien avec des œufs à moitié cramés et l’espoir de passer une matinée délicieuse. Cependant, la vie en avait choisi autrement et elle m’avait foutu au pied du mur de façon si réelle et inattendue. Ma chambre avait alors été le témoin de ce bouleversement trop irréversible. Ce bouleversement qui semblait effacer tout le reste. Toutes ces sublimes déclarations qui avaient pu glisser entre Lukas et moi durant toute la semaine que nous avions passé ensemble. Tous ces merveilleux moments que nous avions partagés juste nous deux. Le bouleversement se provoquait et je ne pourrais jamais revenir sur mes mots. Je ne pourrais jamais les effacer. Je ne pourrais jamais souffler à Lukas que ce que je lui avouais était un mensonge. Je savais et il savait que ce n’en était pas un. J’étais beaucoup trop touché pour que ça puisse l’être. J’étais trop impliqué pour oser lui mentir une nouvelle fois sur cette histoire d’argent qui nous avait déjà détruits un peu trop par le passé. La chambre de l’Enfer… La chambre des révélations. J’étais un prostitué. C’était ça que Lukas avait appris. C’était ça qu’il devait savoir. C’était ces mots qu’il avait entendu la veille et qui l’avait poussé à disparaître trop vite de mon existence. Il s’était enroulé autour de moi quelques minutes avant de s’effacer à l’extérieur. Lukas avait été comme un voile de fumée qui me tournait autour, qui s’accrochait un instant et qui finissait par s’envoler trop loin ne me laissant aucun moyen de le rattraper. Je sentais toujours ce voile autour de moi. Il cognait. Il m’oppressait. Néanmoins, il n’était plus réellement là. Il avait disparu. Je m’étais retrouvé tout seul dans cet appartement et je m’étais enfoncé dans le gouffre sans même y faire attention. Je m’étais laissé happé par ce noir beaucoup trop attirant. Je m’étais laissé avoir par cette dépression si délicieuse qui me promettait mieux. Elle me promettait que je pourrais respirer après tout ça si je la laissais faire. Elle me promettait la fin de la souffrance si j’acceptais de plonger avec elle. Vingt-quatre heures… C’était le temps que Lukas avait disparu. Le temps pendant lequel il m’avait abandonné. Le temps pendant lequel j’avais sombré. Si loin. Si profondément. Enfin, non, pas totalement. Nixon était venu me sauver. Il était venu me sortir de ce gouffre si oppressant avant qu’il ne soit trop tard. Il était venu me tirer d’affaire avant que cette voix dans mon crâne ne me pousse à faire quelque chose de trop irréversible. Quelque chose qui me conduirait dans ma tombe. La tentation avait été si forte dans les toilettes de l’université. J’avais voulu y aller. J’avais voulu me laisser tomber. Nixon m’en avait empêché. Nixon m’avait sauvé. Et, j’avais repris le dessus voguant difficilement dans ce voile flou. J’avais repris le dessus et je finissais par revenir chez moi en ce mardi matin. Ma tête hurlait que je n’étais là que pour prendre un devoir pour me rendre en cours et me changer les idées. Ma vie me criait qu’en fait je me rendais chez moi pour être achevé encore plus parce que Lukas était là. Dans ma chambre. Dans mon lit. Dans mon sweat. Il était là et je n’avais pas eu d’autres choix que celui de lui faire face. Je lui avais fait face pour me prendre une violente claque en plein visage. Le jeune homme était parti pour revenir sans rien. Les mains vides. La tête loin. Le cœur brisé et incertain. Le bouleversement n’avait réussi qu’à nous charcuter un peu plus. Il avait fait disparaître Lukas loin de moi. Il n’avait réussi qu’à ça. L’entraîner si loin de mon être et rien de plus. Mon sexy musicien n’était pas prêt à se questionner sur ma situation. Il n’était pas prêt à faire face à cette situation qui pouvait modifier la totalité de notre relation. Putain, il n’était même pas prêt à mettre tout ça à plat pour prendre une réelle décision pour notre futur. Certainement pas ce matin et cela ne me convenait guère. J’aurai mieux fait de lui dire qu’on parlerait de cette histoire à son retour d’Italie. Il partait demain et je sentais déjà à quel point l’Enfer risquait de me ronger en son absence. Cette incertitude… Cette douleur… Je risquais de sombrer. Je risquais de me laisser embarquer dans de folles soirées pour oublier notre futur si instable. Pour effacer ce face à face si horrible au cours duquel je ne pouvais pas rester silencieux. Je réagissais à son absence, à l’absence d’une décision. Je ne pouvais pas accepter d’avoir été si longuement délaissé pour ne rien obtenir. Il n’y avait pas la moindre décision. Il n’y avait qu’un vide qui faisait trop mal et je ne pouvais pas l’encaisser. Pas de rejet. Pas d’acceptation. Juste le néant. Un néant qui me faisait basculer réveillant le pire en moi. Il me poussait à sortir de mes gonds embarquant Lukas sur mon lit trop précipitamment et avec trop de force. Je n’étais pas violent parce qu’une part de moi savait qu’il s’agissait de cet homme que j’aimais sous moi, contre moi. Une part de moi avait conscience qu’il ne fallait pas le blesser. Jamais le blesser. Il était trop précieux. Cependant, je ne savais pas réagir calmement et je me montrais trop dominateur sans même être fichu de contrôler ma force ou la peur que je pouvais infliger. Je m’installais à califourchon sur les hanches de Lukas et j’osais le tout pour le tout. Je le provoquais. Je lui sifflais tous ces mots au visage. Je lui balançais la cruelle vérité concernant mon job comme si cela pouvait avoir le pouvoir de le faire réagir. J’allais même encore plus loin osant onduler mes hanches contre les siennes comme pour que les mots s’ancrent un peu plus. Comme pour lui faire comprendre ce que je pouvais faire avec d’autres. Et la colère s’apaisait. Lentement. Réellement. J’avais tout lâché et je finissais par me relever en m’en rendant compte. J’avais été loin. Beaucoup trop loin peut-être. Ça ne me ressemblait pas. Moi si soumis. Moi si acceptant de tout. Je m’éloignais de mon sexy musicien levant les mains en l’air comme pour lui prouver que je me rendais compte de mon erreur et que je ne pousserais pas plus loin. C’était comme si je cherchais à m’excuser de cet instant. Stupide gamin. Il était trop tard. J’avais déjà commis tellement de faux pas. Je réveillais déjà l’horreur de notre histoire. Je réveillais déjà la colère de cet homme que j’aimais tant. Cet homme qui finissait par exploser sous mes yeux. C’était parti. L’Enfer me consumait. Réellement. Violemment. Follement. Le feu brûlait dans ma chambre. L’horreur cognait entre tous ces murs. Mon sexy musicien soufflait tant de choses. Il balançait tant de mots qui me marquaient comme un fer chaud qu’on laissait tomber sur ma peau. Brûlant. Violent. Cruel. Il soufflait tant de mots qui me transperçaient parce que, dans le fond, il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas que j’aurai préféré qu’il ne parte jamais. J’aurai préféré qu’on puisse s’installer pour en discuter hier matin. J’aurai préféré prendre le temps de répondre à toutes les questions qu’il pouvait avoir. J’aurai préféré qu’il me rassure. Qu’il me dise qu’il pouvait accepter ma situation pour le moment et m’aider à en sortir. Peut-être. Tout faire pour m’aider à m’en éloigner en tout cas. Mais, ce n’étais pas arrivé et il ne comprenait toujours pas ce que j’aurai tant aimé. Dans le fond, je n’avais même pas envie qu’il comprenne parce qu’à présent que ça explosait entre nous, c’était mieux comme ça non ? La vérité éclatait. Ça permettait d’y voir plus clair. Ça permettait de savoir ce qu’il pensait réellement.

Lukas m’attaquait de tous ces foutus mots trop blessants. Il m’attaquait avec ces mots si cruels qui cognaient dans mon esprit. Des mots qui me poussaient à baisser les yeux alors que les larmes ravageaient mes joues. Trop incontrôlables. Si réelles. Si blessantes. Ce qui me marquait le plus dans les propos qui glissaient était sans doute le fait qu’il aimerait me dire qu’il ne m’aimait plus et que je lui donnais envie de vomir. Ça sonnait si vrai. Ça sonnait si réel. Il aimerait me dire ça. Ouais, les mots se mettaient à tourner dans mon esprit parce que je savais maintenant. Je savais que s’il n’était pas tant amoureux de moi, il aurait pu les dire. Il aurait pu me balancer ces propos au visage et ça faisait mal. Quelque part en lui, je lui donnais envie de vomir et c’était si douloureux. Je le dégoûtais et c’était atroce de s’en rendre compte. Pourtant, malgré cette plaie béante qui s’ouvrait en moi et qui ne disparaîtrait plus jamais, je n’osais rien dire. Je subissais ces assauts cruels que j’avais provoqué en osant le défier. Je n’osais rien faire et il venait me voler un baiser un peu trop violent qui me faisait gémir malgré moi. Un baiser qui me donnait presque envie de le supplier sur le champs de me prendre. Un baiser qui me donnait envie de lui dire de me faire sien là tout de suite sans le moindre préliminaire. J’avais besoin de savoir que je pouvais être encore à lui et qu’il en avait encore envie. Il y avait ce désir si ardent qui cognait quelque part dans mon corps. Ce désir que je ne parvenais pas à faire taire. Ce désir que je n’avais jamais su refréner. Pauvre gosse incapable. Pourtant, malgré tout cela, je ne faisais rien. Je ne bougeais pas. Je ne pipais mot et Lukas continuait sa destruction. Ma destruction. Il soufflait ces mots toujours plus blessants. Chaque propos ressemblait à un fouet qui venait cogner contre ma peau pour laisser de vives cicatrices sur mon cœur. Des cicatrices qui resteraient à jamais témoin de notre histoire. Des cicatrices qui ne parviendraient jamais à guérir malgré tout l’amour entre nous. Il était trop tard pour ça. Mon sexy musicien ne cessait jamais de souffler une horreur. Il ne cessait jamais de rappeler que je n’étais pas à lui. Je n’étais pas son mec. Il balançait ces mots tout le temps comme pour faire ancrer dans ma tête que je n’étais rien à l’intérieur de sa vie. C’était comme s’il voulait me montrer que, même s’il m’aimait réellement, je n’étais rien dans son existence. Même s’il tenait à moi, même s’il me voulait, il ne cessait de balancer ces mots qui me faisaient si mal. Ces mots qui me poussaient à me sentir comme un être lambda dans sa vie. Quelqu’un sans importance. Quelqu’un qui faisait mal. Quelqu’un qu’il aimait. Quelqu’un qu’il aurait aimé ne jamais rencontrer peut-être au final. Je finissais par rire tristement lorsque d’autres mots percutaient mon cerveau. Il pensait que je parvenais à vivre avec ce métier. C’était tellement stupide de le croire. C’était idiot de le penser. Ce n’était pas aussi simple. Rien n’était aussi aisé dans toute cette histoire. Mais, ça, il n’avait pas pris le temps de le comprendre. Il n’avait pas réfléchit. Il n’avait pas assemblé la totalité du puzzle et je n’avais même pas eu le temps de parler de toute cette histoire. Je n’avais pas eu le temps de lui expliquer pour qu’il comprenne mieux… Qu’il réagisse moins violemment peut-être. Mon sexy musicien s’arrêtait face à moi comme un lion qui cessait de rager. Le lion cessait de tourner dans la chambre, mais il n’était pas calmer pour autant. La rage cognait violemment. La haine pulsait réellement. Nos yeux se trouvaient. Les larmes glissaient sur nos joues. Complémentaires… Différentes. Elles nous liaient. Elles nous éloignaient. Nos cœur se cherchaient… Ils se trouvaient… Ils s’écorchaient… Et pourtant, nous plongions quand même hein… Parce que là, à cet instant, j’aurai tant aimé souffler au jeune homme que je l’aimais. J’aurai aimé m’excuser de tant de choses surtout après cette ultime déclaration qui avait cogné dans la chambre. Cette déclaration qui me faisait comprendre qu’il m’aimait envers et malgré tout. Néanmoins, je me sentais incapable d’ouvrir la bouche. J’avais peur de déclencher une nouvelle vague de rage. Et je savais que je n’étais pas en mesure de supporter une autre vague. Une autre vague me pousserait à m’éloigner tellement vite, tellement loin pour me protéger de ces flammes qui cramaient ma peau. Je préférais alors me taire et agir. Ma main glissait dans le cou du jeune homme et mes lèvres venaient trouver les siennes pour lui offrir un baiser. Un baiser qui en disait plus que les mots. Un baiser qui était tellement plus utile. Un baiser qui était tellement mieux pour faire tout comprendre. Cet amour inconditionnel que je lui portais. Ce désir jamais éteint. Ces reproches que je ressentais à mon égard. Cette détresse qui pulsait en moi. Mes doigts caressaient la nuque du jeune homme alors que mon corps se pressait contre le sien. Désireux de plus ? Désireux de mieux ? Je n’en savais rien. Tout ce que je savais était que les mains de Lukas glissaient dans mon dos comme pour m’empêcher de partir. C’était comme s’il se rendait compte d’à quel point j’appelais à l’aide, d’à quel point tout me disait de m’enfuir. Et, il ne voulait pas me laisser faire comme conscient que je glisserai beaucoup trop loin dans le gouffre et que je ne serai plus capable d’en ressortir. Il m’empêchait de fuir et cela me convenait parce que nous étions tous les deux prisonniers dans cette histoire. Cette révélation venait placer tellement d’obstacles au sein de notre Neakas déjà si difficile à vivre. Dis-moi Lukas, crois-tu que nous aurons le droit au bonheur un jour ? Un bonheur simple et calme sans la moindre embûche… J’avais tant de mal à y croire. J’avais tant de mal à me dire que cela pouvait être possible. Le baiser prenait fin et je ne m’éloignais pas. Mon front se déposait contre celui du sexy musicien et j’ouvrais la bouche. Il le fallait bien. Je ne pouvais pas continuer de l’embrasser pendant des heures sans rien dire. J’aurai tant aimé, mais je savais que cela ne résoudrait pas nos soucis. Cela n’effacerait pas cette réalité. Alors je m’excusais de ne pas lui en avoir parlé plus tôt. Je m’excusais d’avoir été ce gosse un peu trop incapable. Mais, merde, comment aurais-je pu lui dire ? ’Salut Lukas. Tu me plais. Je te veux. Mais, je ne saurai pas être exclusif. Oh et en plus, je suis un prostitué.’ Cela était si difficile à dire, mais j’aurai peut-être dû me forcer à le faire avant de l’entraîner dans ce précipice douloureux avec moi. J’aurai dû le faire pour éviter qu’il ne sombre dans cette histoire. Cette histoire dont nous ne pourrions jamais ressortir indemne. Je confiais au jeune homme que je n’avais pas été capable de lui dire, que je n’avais même pas voulu lui dire. Et, même si je n’étais pas fier de ce job que je faisais, je ne pouvais pas l’arrêter. Pas comme ça. Même s’il me le demandait. Je ne pouvais pas. Ça impliquait tellement de choses. Tant de réalité. Lentement, j’exposais ma réalité… Notre réalité si jamais il l’acceptait ? Je mettais en avant cette vie avec un prostitué. Ces nuits dehors avec d’autres qui feraient de moi ce qu’ils voudraient. Ces autres qui n’auraient pas le droit de m’embrasser… Enfin, sauf certains client réguliers avec qui les limites avaient déjà été franchies, mais ça il n’avait pas besoin de le savoir. Ces autres qui n’avaient pas le droit de me marquer sauf lorsque j’étais trop à l’ouest pour l’empêcher ou simplement trop faible pour me débattre parce que ouais, Lukas, ce n’était pas rose dans ce monde où je me trouvais. Tant de violences en eux. Tant de faiblesses en moi. La voix de mon sexy musicien résonnait. Le constat semblait soudainement se faire dans sa tête et il le laissait glisser à autre voix soufflant qu’ils m’avaient tellement brisé que je n’avais jamais pu arrêter en fait. Le sanglot passait mes lèvres sans que je ne sache le retenir parce qu’il parvenait à viser juste. Avec tout ce qu’il savait sur moi, les pièces du puzzle s’assemblaient pour dépeindre ce portrait beaucoup trop sombre. Lentement, réellement, Lukas parvenait à tout reconstituer. Je mordillais nerveusement ma lèvre alors qu’il me balançait que c’était comme une drogue. Comme un pauvre idiot incapable de faire autrement, j’acquiesçais pour lui montrer qu’il était sur la bonne voie. Il avait compris la globalité de l’histoire. Ma langue glissait sur mes lèvres. J’ouvrais la bouche, mais aucun son ne franchissait mes lèvres. Rien. Le néant. Bordel. Mes yeux se fermaient un instant. Mon cœur cognait si fort dans ma poitrine. Et, là, tout contre Lukas, en quête d’un courage et d’un réconfort qu’il pourrait peut-être m’apporter, je finissais par oser parler.

« Je… J’ai toujours aimé les corps à corps tu sais… Avec mon premier copain, avec des coups d’un soir juste pour le fun… J’aimais beaucoup ça… Peut-être un peu trop ? Je… Dès que je sortais en Italie, je finissais par coucher… J’adorais beaucoup jouer… Provoquer les corps et le désir… M’enflammer sous les autres… Me laisser dominer après avoir guidé le jeu une partie de la soirée… Ouais… J’ai toujours apprécié les corps à corps… » Un sourire passait sur mes lèvres à ce souvenir. La vérité absolue tombait. Je ne cherchais pas à la masquer. Je ne cherchais pas à l’effacer. Je la laissais glisser si aisément. Et je continuais plongeant dans le récit de l’horreur. « Quand… Quand j’suis entré dans la Mafia, je… Les choses se sont clamées au début… Et je… J’avais pas franchement envie de sortir ou de chercher ces corps à corps… J’étais bien sans… J’étais bien à me contenter de ceux d’une relation… » Ouais, je couchais avec Antonio et ça me comblait. J’avais l’impression d’être dans une vraie relation. Puis, j’avais failli mourir sous les coups de papa et je ne pensais plus au sexe. J’osais à peine me dévêtir alors imaginer des corps à corps étaient trop pour moi. Je fermais les yeux laissant les mots glisser. « Puis je… Il a commencé à m’utiliser pour les affaires… Je devais coucher… J’avais pas le droit de dire non… J’pouvais pas désobéir… J’voulais pas désobéir… Alors je… Je couchais… Tous les jours… Toute l’année… » Parce que même ma journée off, je me retrouvais à coucher avec Antonio. Ouais, je m’en souvenais. Je me souvenais de ces fois où j’avais voulu refuser. Ces fois où finalement je cédais parce que je voulais rester dans la famille, parce que je voulais rester aimé. Rouvrant les yeux, les larmes glissaient sur mes joues et je continuais le récit. « Quand je… Quand j’suis parti et j’pensais que ça irait… Que j’pourrai effacer ça et m’en remettre… » Stupide gamin qui avait cru à une réalité trop folle. Je n’étais pas parti comme ça en plus. J’avais tué un homme pour partir et croyez-moi que ça m’avait suffisamment rendu dingue au point que je n’avait pas été capable de me contenir comme je le lui avouais. « Ce n’était pas vrai tu t’en doutes… Le manque s’est fait ressentir… J’avais besoin de coucher… Mais je… Je ne parvenais pas à coucher avec des coups d’un soir qui voulaient d’un plaisir partagé… Il y avait trop de plaisir pour moi et je… Je n’y étais plus habitué… En soirée, je me contentais d’allumer et de disparaître sans coucher… J’le fais encore aujourd’hui d’ailleurs… Je voulais… J’avais besoin… J’ai besoin d’être utilisé… Et je… J’avais besoin de fric aussi à l’époque… J’étais tout seul et j’avais rien… Après la Mafia, j’me suis mis à faire le trottoir et ce… J’suis peut-être devenu accro… Je n’ai jamais arrêté en tout cas… Et je… J’ai du mal à voir une vie où je cesserais… Alors ouais… C’est comme une drogue… Dangereux… Addictif… Et ça fout ma vie en l’air…

La vérité froide et cruelle de cette réalité glissait entre mes lèvres. Cette réalité qui foutait ma vie en l’air… Cette vie avec lui… Cette vie avec n’importe qui parce que personne ne serait assez fou pour l’accepter indéfiniment. Personne ne serait assez dingue pour accepter de me partager éternellement de cette façon. Certains pouvaient l’accepter quelques mois peut-être… Juste le temps de me sevrer… Simplement le temps de m’adapter à une nouvelle routine. Et, encore, il fallait assumer les conséquences et être prêt à coucher souvent avec moi. Trop souvent. Mais, continuer mon job de prostitué… Il fallait être dingue pour l’accepter et ne rien dire. Encore plus avec ce danger qui planait constamment parce que ouais la prostitution était devenue une drogue pour moi et tout le monde savait à quel point les drogues étaient un danger. La prostitution était un danger parce qu’il y avait tellement de clients inconnus. Il y avait tant de clients violents. Combien de fois m’étais-je retrouvé avec trop de bleus ? Combien de fois m’étais-je retrouvé avec des poignets en sang ou d’autres blessures tout aussi profondes ? Combien de fois m’étais-je fait abusé ? Souvent. Tellement. Et, bordel, il y avait toujours le risque de tomber sur un fou qui finirait par vouloir me découper en petits morceaux. Alors, en général, je percevais assez vite mes clients et lorsque je sentais qu’un danger planait, j’écrivais à Tomas. Je lui donnais l’hôtel où je me trouvais et il savait comme ça que s’il n’avait pas de nouvelles de moi, il fallait faire quelque chose. Intervenir. Appeler quelqu’un. Venir me sauver. La prostitution était comme une drogue parce qu’au-delà de ce danger, il y avait une addiction. Une addiction un peu trop réelle. Tellement trop puissante. Je la ressentais dès lors que j’évitais de coucher. Cela faisait une semaine que je n’avais pas fait le trottoir parce que Lukas était chez moi et que je ne pouvais pas prendre ce risque. Une semaine et j’avais constamment envie de coucher. Même là tout de suite malgré la dispute faisant rage. Foutu corps trop attaché à une ancienne réalité. Alors, ouais, Lukas avait raison. La prostitution était comme une drogue et elle pouvait foutre ma vie en l’air. Elle allait foutre notre vie en l’air et je m’en voulais tellement de lui imposer cette réalité. Je m’en voulais tant de cette vérité qu’il venait d’apprendre. Alors, lentement, je m’éloignais. Mes doigts quittaient la nuque de Lukas et je m’effaçais d’entre les bras du jeune homme. Je m’éloignais parce que je n’en pouvais plus. J’étouffais. Je mourrais. J’avais si mal. Je m’éloignais aussi parce que j’avais peur. Peur de me faire repousser. Peur d’entendre des insultes. Peur de voir qu’il ne voudrait plus. Ce serait tellement normal. Ce n’était pas une vie que je proposais avec moi… C’était un cauchemar constant. Ce n’était pas du bonheur… C’était un enfer incessant. Je me dirigeais vers la fenêtre m’empressant de l’ouvrir. Mes yeux se perdaient un instant vers le sol des mètres plus bas. Stupide gamin. Fichue voix. Elle me disait que je pouvais le faire. Je pouvais me précipiter par cette fenêtre et tout arrêter dès à présent. Je pouvais couper court à cette souffrance qui nous rongeait… Qui nous rongerait à jamais. Mais, je ne faisais rien. Je résistais à son appel glissant une cigarette entre mes lèvres. Mes doigts tremblaient. Mon érection était douloureuse et je soufflais avec l’espoir de l’oublier, de l’effacer parce qu’elle n’avait rien à faire là dans cette situation. Mais, ce n’était pas de ma faute… Si ? C’était juste la faute de notre proximité, de mon désir incessant pour lui. C’était simplement la faute de toute cette histoire et de tout ce manque. Je tirais sur ma cigarette avant de lui murmurer qu’il ferait mieux de rassembler ses affaires et d’aller passer ces quelques jours avant son départ dans son appartement. Loin de mon être si nocif. Loin de ce nous si instable. Loin de notre Neakas si bancal. Mon sexy musicien s’approchait. Je l’entendais et je ne faisais rien. J’aurai dû hurler. J’aurai peut-être dû partir. Partir loin. Lui hurler de déguerpir. J’aurai dû tout faire pour le pousser à s’effacer loin de cette histoire, loin de cette douleur. Mais, je n’en étais pas capable parce qu’au fond de moi, je voulais qu’il reste. J’avais tant besoin de lui. J’avais tant besoin de nous. Alors, je ne faisais rien et les doigts du jeune homme venaient se poser tendrement sur mes épaules. Tout semblait plus calme et plus doux. Presque agréable. C’était moins oppressant comme si le gros orage s’était effacé. Nous avions éclaté et les choses s’apaisaient lentement. La tempête ne cessait pas. La pluie continuer de tomber entre nous. Néanmoins, elle devenait si fine que rester dessous était presque agréable. Nous étions sortis de ce déluge instable et délirant même si nous n’étions toujours pas sortis d’affaire. Nous étions toujours engouffrés dans cette boue oppressante. La pression de Lukas sur mon épaule me poussait à céder. Je ne pouvais pas lui refuser. Je ne parvenais pas à me dérober. Je n’osais pas le faire. Je n’osais plus le faire. Il était trop tard de toute manière. J’étais trop éperdument amoureux pour lâcher prise. Je me tournais sagement laissant les doigts de Lukas se déplacer sous mon menton. Nos yeux s’accrochaient aussitôt comme si, dans le fond, nous ne voulions pas nous quitter. Nos prunelles se cherchaient. Elles se trouvaient. Et, nous glissions ensemble n’est-ce pas ? Nos orbes brillaient de cet amour trop fort, de ces blessures si violentes et de cette tristesse si oppressante. Mon sexy musicien finissait par parler me demandant de ne pas lui tourner le dos. Il me suppliait pour ça avant de me rappeler qu’il partait demain. Putain. Je le savais bien. J’avais voulu l’ignorer parce que je ne voulais plus y penser. Je ne voulais pas penser qu’il allait disparaître si loin pendant un temps trop indéterminé après que cette vérité m’ait échappé. Après cette bombe, je n’étais pas prêt à son départ. Il me demandait de le regarder dans les yeux et de lui dire que je voulais qu’il parte. Presque aussitôt, je secouais négativement la tête parce que je savais que je n’en étais guère capable. Je ne pouvais pas faire ça. Je ne pouvais pas dire ces mots-là. Je n’en avais pas envie. Bien vite, la confession s’échappait entre mes lèvres dans un murmure « J’peux pas… » Non. Bien sûr que non, je ne pouvais pas lui dire ces propos. Je ne pouvais guère lui demander de quitter mon appartement. Je ne pouvais pas lui dire de m’abandonner encore une fois ici après m’être tant habitué à sa présence cette dernière semaine. Je ne pouvais pas lui dire ça alors qu’il allait s’envoler pour l’Italie dans trop peu de temps. Ma main libre glissait sur la joue de mon sexy musicien caressant la peau, effaçant les restes de larmes. Je portais ma clope à mes lèvres de mes doigts tremblants. Je tournais à peine la tête pour souffler la fumée loin de lui. Et, replongeant mon regard dans le sien, je lui soufflais doucement « Je ne peux pas te dire que je veux que tu partes Lukas parce que je ne le veux pas… Non… J’veux pas ça… J’veux pas… » Ma tête s’agitait un peu trop vite, un peu trop réellement. Cela me donnait le tournis. Attendez… Est-ce que j’avais mangé hier ? Je ne savais plus. Ça ne comptait pas. Je m’évadais un instant du contact de cet homme que j’aimais tant. Je me rapprochais de ma table de nuit pour écraser ma cigarette à moitié consumé dans le cendrier. Et, bien trop vite comme un drogué en manque, je revenais auprès de Lukas. Mes mains se posaient sur ses hanches attirant son corps contre le mien. Mes prunelles se fermaient lorsque mon bassin s’emboîtait au sien. Ce contact réveillait mon désir qui ne s’était même pas éteint malgré tous mes efforts. Ouvrant les yeux de nouveau, je les plantais dans les siens avant de demander doucement « J’veux pas que tu partes… » Et ça sonnait tellement vrai. Tellement fort. Je ne voulais pas qu’il parte ce matin. Cependant, mes mots étaient beaucoup plus puissant. Je ne voulais pas qu’il parte pour l’Italie. Je ne voulais pas qu’il disparaisse aussi loin de moi. Je ne voulais pas qu’il fasse ce voyage. Non, je n’étais pas capable d’encaisser ça. Et, en écoutant attentivement ma supplication, on se rendait compte que ça allait encore plus loin. Je ne voulais pas qu’il parte de ma vie. Je ne parlais pas juste de mon appartement et de cette matinée à travers ce souhait. Je parlais de l’Italie. Je parlais de la vie. Je parlais pour toujours. Et c’était si franc. Je bougeais à peine me pressant un peu plus contre mon sexy musicien. Le gémissement franchissait mes lèvres sans que je ne puisse rien y faire. Sans que je ne sache rien y faire. C’était plus fort que moi. Nous n’avions pas fini de parler de toute cette histoire. Nous n’aurions peut-être jamais fini d’en parler. Ça reviendrait continuellement. Ça reviendrait incessamment jusqu’au moment où j’accepterais de cesser ce travail… Si seulement j’y parvenais un jour. Néanmoins, ce matin, j’étais à bout. Ce matin, je rendais les armes. Je n’avais plus rien à dire. Je n’avais plus rien à faire. Tout ne dépendait plus que de Lukas. Juste lui. C’était à lui de choisir les prochaines cartes de notre destin. Est-ce qu’il acceptait de continuer comme ça ? Est-ce qu’il me voulait encore malgré ça ? Approchant mes lèvres de celles du jeune homme, je susurrais « Je… J’voudrai que tu me fasses tien maintenant Lukas… J’suis à toi… » Ouais je l’étais. J’avais envie de lui dire comme pour contrer tout ce venin qu’il m’avait soufflé. Ce venin qui cognait encore dans ma tête. Ce venin où il n’avait cessé de dire que je n’étais pas à lui, que je n’étais pas son mec. Je tentais de le contrer à cet instant m’offrant à lui. Je voulais me donner entier au jeune homme ce matin. Je désirais qu’il puisse me voir comme à lui avant de partir. Au moins un instant. Au moins le temps d’un corps à corps dont j’avais diablement envie. Mais et lui dans tout ça ? Accepterait-il tout ça ? Non… Sans doute pas non. Ce n’était pas le bon moment pour coucher ensemble. Peut-être qu’avec un peu de chance, il accepterait de me prendre dans ses bras. Peut-être qu’avec un peu de chance, il accepterait que je reste contre lui pour la journée. C’était tout ce qu’on pouvait m’offrir n’est-ce pas ? Alors, comme si j’étais un peu trop conscient de tout cela, je finissais par souffler « Mais je… Tu… T’en as certainement pas envie… Je… J’devrai prendre une douche froide et je… On peut discuter de ça si tu veux… Ou… Ou juste rester l’un contre l’autre dans mon lit… Juste rester ensemble avant ton départ… Je… S’il te plaît… » Je suppliais parce que j’avais tant besoin de lui. Je suppliais parce que, même s’il refusait de me posséder ce matin, il pouvait peut-être accepter de me laisser être son copain quand même… Être ce garçon qu’il aimait et qu’il garderait tout contre lui. Ouais, dans le fond, c’était peut-être tout ce dont nous avions besoin maintenant… En plus d’une discussion. Une discussion plus poussée qui attendrait sans doute son retour d’Italie le temps de digérer l’histoire. Le temps de mieux accepter la situation. Parce qu’il allait l’accepter non… ? Il était trop amoureux pour refuser n’est-ce pas… ? Oh bordel, de mon côté, je m’en voulais parce que j’étais trop destructeur.

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
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Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
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LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas - Page 2 210307010918770936 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011001575388 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas - Page 2 2511619667
How can I trust you? Neakas - Page 2 Cadeau11
• Têtes de Mules
How can I trust you? Neakas - Page 2 200327113946269016How can I trust you? Neakas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
How can I trust you? Neakas - Page 2 Pendentif-trefle-a-4-feuilles-01
• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 20021608055864050


How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Pourquoi j'étais sorti hier ? Pourquoi j'avais franchis cette porte ? Pourquoi j'étais parti, alors que je te t'avais dis que je ne partais pas ? Pour qu'elle foutu raison ces mots avaient traversé mes lèvres ? C'était totalement stupide de ma part. Ou peut être pas. Peut être que cette porte était celle de la sortie et qu'il était l'heure de la prendre, que c'était le moment … qu'hier c'était le moment de prendre cette porte, pour ne plus jamais remettre les pieds dans cette histoire, une porte à prendre pour fuir … Nous fuir, te fuir. Me bâtir quelques chose de plus stable, de plus sain, quelques choses loin de toi et de tout nos sentiments. T'oublier, nous oublier, de la même façon que je me suis oublié en nous … Tout mes principes, avaient bien volé en éclat non ? J'avais bien changé depuis que je te fréquentais, que je m'abandonnais à toi, que je m'abandonnais en nous. Non ? … Alors oui cette porte je l'avais prise dans un sens, et puis dans l'autre … Parce qu'il m'étais impossible de ne pas revenir, je ne pouvais pas fuir, il m'était impossible de te fuir, de nous fuir. Parce que tu étais bien trop en moi, dans chacune de mes pensées, dans chaque centimètres carrés de ma peau, t'étais trop ancré dans ma vie, dans mon cœur. Parce qu'autant cette chambre était suffoquant, autant l'idée de ne plus t'avoir à mes côtés l'étaient tout autant … Une idée qui ne m'avait pas effleuré, celle de te fuir, j'aurai pus prendre cette porte et ne jamais revenir, mais l'idée ne m'étais pas venu à l'esprit, fuir loin de tout ça ? De toute cette vérité, tellement invraisemblable ?
J'avais franchis cette porte pour réfléchir ? A quoi ? A toi ? A moi ? A Nous ? J'étais revenu, sans réponse, sans question, même pas plus perdu qu'avant, juste une phrase qui tournait sans cesse, sans même vouloir se poser, s'imprégner quelques part, s'imprimer, se graver, comme si ça pouvait juste s'envoler d'un revers de main et que tout serai terminé. Mais non ça tournait, comme des corbeaux au dessus d'une charogne, attendant simplement, le parfait instant pour venir totalement dévorer la carcasse. Ces mots étaient là prés à attaquer... Et j'étais loin d'être mort … De me laisser faire par ces simple mots. Mais je devrais bien les affronter, est ce que c'était pour ça que j'étais revenu, prendre part au combat. Un combat qui s'imposait à moi, un combat qui s'imposait à nous ? Est ce que j'en étais seulement capable ? Est ce que j'étais capable de d’encaisser les prochains coups ? Et si oui pour encore combien de temps ? Trop de question qui pouvait s'être posé, trop de question que je pouvais me poser, mais qui était inutile … Puisque que je t'avais laissé et que je m'en voulait tellement. J'étais revenu simplement parce que j'étais incapable de partir, incapable de me détacher, incapable de t'abandonner … Et peut être un peu trop capable d'encaisser mais pour encore combien de temps.
Alors pourquoi j'étais parti hier ? Pour rien, si ce n'est pour déclencher une tempête au milieu de notre bulle, faire chauffer le verre jusqu'à ce qu'il cède sous les vérités qui tomberai ? Ou retrouver un semblant de foyer ? Ce foyer qu'on s'était construit en une semaine, beaucoup trop agréable beaucoup trop serein, malgré les coups de la vie. On était tellement hors norme depuis le début alors il était bien logiquement que nos problèmes de « couple » soit hors norme non ? C'était logique ? Ou alors ça n'avait aucun sens.
C'est tout ça qui avait tourné dans ma tête cette nuit, j'étais revenu ici parce que je me sentais bien ici, un peu trop comme chez moi, j'étais installé ici, j'avais ma vie ici, au delà de toi. J'étais dans ton lit, dans tes habits et il ne manquait que toi …

Jusqu'à ton arrivé, trop désireux de te cacher de mes yeux, seulement je ne pouvais pas te laisser partir, tout comme je ne pouvais pas partir, prendre une quelconque décision. Tu n'aimais pas ça, tu avais changé provocant une tempête de mot sans précédent, un peu trop vrai, un peu trop sincère et même trop violent qui sortait de ma bouche. Un peu trop automatiquement, trop l'avait provoquais et je t'accablais, chaque mots comme des coups de poings je m'en rendais bien compte, mais j'étais incapable de m'arrêter, et ça me transperçais en même temps. Dire et s'entendre dire que l'homme qu'on aime, pour qui on échangerai sa vie, couche avec tant d'autre, parce qu'il nous appartient pas … Ca laisse des marques, des cicatrices, aussi bien sur toi que sur moi tu sais. Je me rendais compte à quelle point je te faisais souffrir sous cette vérité, je voyais tes larmes et ta douleur, mais j'étais incapable de m'arrêter, bien trop animé par toutes ces émotions qui s'entrechoquait trop violemment dans ma tête, alimenté par la fatigue. J'étais épuisé de tout alors la tempête faisait rage dans cette bulle, seulement je voyais pas le verre se fissurer … Je le sentais pas se fissurer, pas comme la première fois pas comme la dernière fois … Le verre de notre bulle était intact malgré la tempête … Du moins c'est l'impression que j'avais là face à toi, alors que les larmes nous parcouraient après la déclaration que je t'avais fait … Je venais recevoir tes lèvres, comme une délivrance, un peu plus d'oxygène alors que j'avais encore le souffle court. Mais s'était apaisant, ça calmait tout ce qui tournais encore en moi. Je posais mes mains dans ton dos pour ne pas te voir partir, fuir trop rapidement, pour avoir un peu plus de toi aussi. Puis tu t'excusais de ne pas avoir agis plus tôt avec d'exposer ta réalité. Est ce que j'étais prés pour ça ? J'en savais rien … Tout ce que je savais c'est que l'idée de te voir vivre ça ne me plaisait pas. Mais que tout ça avait une origine, la mafia qu'ils t'avaient brisé et que tu n'étais plus réellement maître des tes envies, d'ailleurs est ce que tu avais des envies sincère réel ? Ou est ce qu'il fallait simplement satisfaire des pulsions de junkies ? La question était bien complexe. Des questions qui venaient sans cesses depuis que je venais d'ouvrir la bouche … Alors que tu acquiesçais pour me dire que j'avais réussis à assembler le puzzle. T'étais prés à me raconter l'histoire que je connaissais pour détailler sur le sujet qui nous intéressais. Toi et ta relation au sexe, toi et la prostitution. Appuyant légèrement sur ton dos pour te donner un peu de courage, te dire que j'étais prés à entendre … cette transformation.
Le sexe tu avais toujours aimé, de façon sérieuse, ou plus volage, tu l'appréciais, tu l'aimais … comme beaucoup de jeune de notre âge au final. Puis la mafia où au début il n'y avait rien qu'une « relation » avec qu'il ne te transforme, et je serrais les dents sous les mots, tu le disais toi même il t'utilisait, t'étais devenu un objet, ton corps ne t'appartenais plus … il faisait ce qu'il veut de toi … beaucoup trop soumis … bien trop reconnaissant d'être encore en vie, je suppose. Tout les jours, toute l'année … Ton corps n'étais plus le tiens … Tu n'avais le contrôle de rien … Tu l'avais perdu … Alors tu n'avais rien pus faire d'autre que t'accrocher à ce que tu connaissais, quand tu étais parti … C'est logique … Un sourire de compassion se dessinais … bien sur que je m'en doutais. Le sexe n'étais plus ce qu'il était … il n'était plus plaisir … tu te contentais d'allumer avant de disparaître … tu le faisais encore … Et je comprenais mieux pourquoi tu parlais de besoin et pas d'envie dans notre relation … puis le besoin d'argent, la solitude … tu n'avais jamais arrêté … Tu te voyais mal arrêter, un vie sans ça … Totalement dogué … conscient que ça foutait ta vie en l'air …
J'suis désolé … C'est tout ce que j'avais à te répondre, qu'est ce que je pouvais dire d'autre ? J'étais tellement désolé, que tu aie eu à vivre ça, désolé que tu aie eu à vivre cette vie, désolé que ton corps aie été utilisé, désolé que ton corps ne soit plus totalement le tiens et que tu doives répondre à des pulsions, désole que la seule réponse que tu aie trouvé pour te calmer soit de coucher pour l'argent, quoi que c'était peut être le seul avantage à en retirer ? Stupide idée Lukas … Désolé pour tout, désolé pour toi, désolé de ne rien pouvoir faire d'autre que d'être désolé à cet instant, désolé d'être capable de rien d'autre qu'une compassion au travers des larmes. Désolé que ça foute ta vie en l'air, désolé que ça foute la notre en l'air … Seulement dans tout ça t'en était conscient … alors il y avait peut être quelques chose à faire ? Une opportunité à saisir non ? Te tendre la main quand tout serai plus calme, un peu moins brouillon, un peu plus posé, un peu plus réfléchis. Un peu plus renseigné aussi ? Et alors que ces pensés tournaient tu venais me quitter.

Tu quittais alors mes doigts pour prendre place devant la fenêtre, l'ouvrir, avant de me demander de partir. Et à l'instant j'n'avais qu'une envie c'était de te crier de me regarder, de me le dire en face. J'en pouvais plus de tes fuites en avant, d'avoir le son de ton dos encore et toujours, devoir venir te chercher, c'était épuisant, blessant, comme si je ne méritais pas de voir la sincérité de tes mots … Comme si tu n'étais pas capable de dire la vérité en face, depuis tout ce temps … bordel … y avait plus rien qu'on ne pouvait plus ce dire dans les yeux quand même … Il y a encore quelques minutes t'étais sur mes hanches à onduler, à quelques millimètres de mes lèvres, me livrant que tu te prostituais … Comment tu pouvais me tourner le dos maintenant pour me demander de partir … Ou même penser, que je partirais maintenant ? Maintenant que je t'avais clairement dit que j'en étais incapable … Alors ça serrai peut être la dernière fois que je viendrais te chercher de cette façon, que je viendrais chercher la vérité, dans tes yeux, peut être la dernière fois que je me battrais pour savoir ce qu'il en est vraiment. Je m'approchais, te tournais pour que tu me fasses face, j'avais besoin de tes yeux, et même si c'était la dernière fois, j'avais besoin de les voir, j'avais besoin de te voir, parce que je voulais pas croire tes mots. Pas après ce dernier baiser … J'étais tellement perdu tu sais, tellement bouleversé, alors peut être que j'acceptais j'en sais rien, mais je me tenais devant toi, mes yeux dans les tiens te suppliant la vérité, je voulais être certain que c'est ce que tu voulais, que je parte maintenant, que demain je n'étais plus, j'voulais voir que c'est ce que tu voulais. Mais presque aussi tôt, tu secouais la tête négativement, pour me livrer que tu en étais incapable. Une douce pommade dans mon cœur, malgré les dernières larmes qui coulaient et ta main chaude qui venais les effacer … fermant les yeux dans ce contact bien trop délivrant, tout comme les mots qui suivaient. Tu pouvais sentir le soulagement, se dessiner quelques part, ou partout sur moi. J'avais aucune envie de partir, mais si c'est vraiment ce qu' tu voulais alors je l'aurai fait, sans même m'imposer. J'aurai pris mes affaires sans un mot, j'aurai pris ma guitare et mon chat, je n'aurai pas pris sur moi et j'aurai laissé couler les larmes de tristesses, et je t'aurai certainement jeté un dernier regard, pour voir si tu me regardais partir … Peut être te dire un dernier je t'aime. Mais non tu ne voulais pas mon départ, tu pouvais pas me le dire. Donc oui j'étais soulagé, je respirais un peu mieux … Tu me lâchais un instant me laissant dans une inspiration tremblante, et je te suivais du regard silencieux, totalement spectateur, avant que tu viennes de nouveaux te coller ton corps contre le mien, me provocant un agréable frisson sous ce sweat. Tes mains sur mes hanches, une façon bien personnel de me tenir contre toi, je replaçais mes mains dans ton dos, comme pour préparer l'action suivant tes mots qui me percutaient par la force de ton attachement qui se lissais dans tes yeux. Tu ne voulais pas que je parte, mais tu ne parlais pas seulement de maintenant n'est ce pas ? Tu parlais de ce voyage … Tu parlais de l'Italie aussi … et mais à coup sur du reste de ta vie … Un peu trop comme une promesse d'être déchiré le jour où je serai contraint de partir … Parce qu'il n'y a que ça, la contrainte qui me ferai partir définitivement, sous quelle forme ? J'en savais rien, mais elle devrait être sacrement plus puissantes cette contrainte, plus puissante, qu'un frère trop possessif, qu'un pari stupide, ou même mariage imposé … Je laissais glisser mes doigts sur ta peau. Pour finalement venir te dire je part pas … pas aujourd'hui … et ce pas aujourd'hui répondais à ta demande sous entendus, je sortirais pas de ta vie maintenant, ce n'étais pas notre heure, je ne voulais pas que ce soit notre heure … Mes mains venaient alors presser ton dos pour te rapprocher, te coller à moi, te serrer contre moi comme pour m'excuser tout de même de devoir aller en Italie, de devoir t'abandonner pour quelques jours trop indéterminés. Je te promet que je reviendrais … Oui je reviendrais après l'Italie. Et comme si le fait que je t'ai rapproché de moi, avait jouer un rôle plus important tu venais bouger, laissant entendre un gémissement. Et tes lèvres s'approchaient pour quémander que je te fasse mien … et ce n'étais pas l'envie qui m'en manquait, mais en moi je sentais qu'il ne fallait pas, qu'il y aurai encore ce goût de regrets, ce goût après la plage et puis surtout il y avait ce j'suis à toi qui sonnait trop comme une possession, une possession que je n'aimais pas, une possession négative, loin de cette histoire d'être mon mec ou non, une possession que je ne voulais pas. Et comme si tu comprenais erreur, tu te reprenais pour proposer quelques chose de plus acceptable dans l'instant... Je lâchais alors ton dos pour venir placer mes deux mains contre ton visage et glisser mes doigts dans tes cheveux. Non … je … pas maintenant … c'était pas un refus catégorique pour la journée, juste pour ces deux trois prochaines heures, juste le temps de parler, de laisser le temps de nous calmer un peu encore … Et comme pour te rassurer j'ai envie … juste pas maintenant … pas tout de suite … hein … je … oui … tu devrais … on verra … on restera ensemble oui jusqu'à ce que je partes … au lit l'un contre l'autre … Oui c'était le plus sage et parce qu'on en avait besoin autant l'un que l'autre je crois. Et comme pour sceller cet accord je venais déposer mes lèvres sur les tiennes amoureusement, pour te prouver qu'il n'y avait pas moins de désir, pas moins d'amour, malgré toute la peine, la douleur et la vérité Je t'aime ... un peu comme une main tendu, peu comme une bulle de Neakas un peu trop renforcé, parce cette épreuve.
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

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LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

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Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas - Page 2 Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Au fil des mois en compagnie de mon sexy musicien, les voiles se levaient afin de lui montrer le vrai moi et cette vraie vie dont je ne parlais pourtant pas aisément. Je préférais toujours laisser les autres me compter leur histoire et babiller que la mienne n’avait rien d’intéressant. Je préférais toujours garder mon passé sous silence plutôt que de l’étaler aux yeux des autres. Avec Lukas, au fil du temps passé ensemble, les voiles s’étaient envolés au sein de notre relation. Petit à petit. Lentement. Réellement. C’était comme pour nous offrir une histoire totalement réelle et absolument sincère. Vous savez le genre d’histoire où les deux amoureux savaient absolument tout l’un sur l’autre. Ils savaient le pire comme le meilleur et ils s’aimaient toujours. En si peu de temps, mon sexy musicien en avait tellement appris sur moi. J’avais accepté d’ouvrir la bouche face à lui pour laisser tous ces secrets passer parce que je me sentais bien à ses côtés. J’avais accepté de lui offrir ma confiance absolue parce que je savais que, même si les choses se passaient mal entre nous et que notre histoire en venait à se terminer, il n’irait pas balancer mes secrets à droite et à gauche. Je savais qu’il garderait tout pour lui. Ainsi, après ces quelques mois à peine, Lukas pouvait dessiner le portrait de ma vie infernale sans le moindre problème. Il pouvait tracer toutes les grandes lignes avec tellement de détails. Il en savait tant. Le jeune homme était au courant pour ce trouble Borderline qu’on m’avait diagnostiqué des années plus tôt et qui me poussait à prendre des médicaments en automédication depuis trop longtemps. Il était même au courant de ce que je prenais assez régulièrement. Lukas avait aussi connaissance de mon passé avec ce père violent qui avait assassiné ma mère. Ce père violent qui n’avait jamais cessé de me battre jusqu’à mes dix-huit ans. Jusqu’à ce fameux jour où il m’avait battu à mort avant de disparaître. Où était mon père actuellement ? Je n’en savais foutrement rien et c’était assez effrayant. Malgré les nombreux voyages que j’avais effectué, la trouille qu’il me retrouve pesait toujours sur mon être et même ça Lukas le savait. Ce n’était pas tout. Il avait également su tirer le voile sur mon histoire après mon père et il était au courant de ma participation au sein de la Mafia Italienne. Cette participation en tant que prostitué qui obéissait aux ordres. Cette participation qui, dans le fond, m’avait offert une véritable famille. Et, même après tout ça, le jeune homme n’était pas parti. Il ne m’avait pas quitté malgré ce passé si sombre et cette maladie destructrice qui rendait le quotidien si difficile. Il n’était jamais parti. Il ne m’avait jamais abandonné. Il ne m’avait jamais laissé. Jusqu’à hier… Hier quand il avait appris que j’étais un prostitué. L’information était tombée entre nous après cette semaine merveilleuse comme un vrai couple. L’information avait glissé entre mes lèvres parce que je m’étais retrouvé au pied du mur. J’avais été incapable de trouver la parfaite excuse pour expliquer les billets planqués dans la boite qui se trouvait sous mon lit. De toute façon, j’avais bien compris qu’il ne servait à rien de chercher une belle histoire. Lukas voulait la vérité. Ce n’était pas la première fois que le sujet financier tombait entre nous. C’était la première fois que je ne pouvais pas m’y soustraire. Que je ne voulais pas m’y soustraire. L’information était tombée entre nous laissant un nouveau voile s’envoler loin de notre histoire. Et ce voile avait emporté Lukas avec lui. Lukas avait quitté l’appartement suite à ce coup de massue. Il m’avait abandonné. Seul. Déchiré. Détruit. Si ouvert. Je m’étais confié et il m’avait abandonné pour aller digérer cette réalité. Je comprenais qu’il n’était guère aisé de se retrouver face à une telle chose. Je comprenais que ça demandait du temps. Cependant, mon sexy musicien m’avait totalement abandonné alors que nous aurions pu en parler ensemble dès le départ. Nous aurions pu désamorcer la bombe ensemble… Mais non, il avait préféré me laisser et laisser cette bombe m'exploser au visage. Il avait préféré me laisser sombrer dans un dédale si dévastateur. J’avais glissé dans un trou trop sombre. Je m’étais perdu dans une autodestruction si violente. Une autodestruction qui aurait pu me conduire tellement plus loin si Nixon n’était pas venu me secourir. Une autodestruction qui me poussait à douter du futur. Est-ce que Lukas allait revenir ? Que se passerait-il lorsqu’il reviendrait ? Et, putain, je n’étais pas encore tout blanc face à lui… Il y avait encore quelques secrets qui demeuraient entre lui et moi. Quelques secrets que je n’étais pas prêt à dévoiler. Quelques secrets que je ne pourrais sans doute jamais souffler parce que, merde, j’avais trop peur de me retrouver complètement abandonné. J’avais encore des secrets sur mes fréquentations en dehors de Nixon et lui. Je voyais d’autres hommes. Des hommes qui n’étaient pas des clients. Des hommes avec qui j’avais des relations plus ou moins compliquées. Néanmoins, ce n’était pas le secret qui me faisait le plus peur. Non… L’ultime secret était plus gros. Plus impactant. Je n’étais pas prêt à le dire. Je ne serais jamais prêt à le dire parce que j’avais bien trop la trouille du violent impact qu’il pourrait avoir. Je ne pourrai jamais dire que j’avais tué un homme. Je ne pourrai jamais confier ce secret à haute voix car, même si je l’avais fait pour mon bien-être, je l’avais fait de sang froid et j’avais pris mon pied à le tuer. À tuer Antonio. Puis, merde, rien qu’à voir la réaction de Lukas suite à l’aveu de mon job, je n’étais clairement pas prêt à lui balancer cet ultime secret si pesant. Je ne pourrai pas. Il y en avait déjà assez. Vingt-quatre heures après la révélation, je me retrouvais dans mon appartement face à mon sexy musicien. Il était là. M’avait-il attendu cette nuit ? Avait-il seulement été là cette nuit ? Je ne savais pas. Tout ce que je savais était qu’il revenait sans rien. Il n’avait pas réfléchi à mes propos. Il n’avait pas pris de décision concernant notre histoire. Qu’avait-il fait pendant son absence ? Je n’en savais rien. Alors j’explosais, j’éclatais. Beaucoup trop incontrôlable. Petit à petit, Mio Amore découvrait ce qu’était vraiment la vie avec un être Borderline. Je n’étais qu’un gosse qui pouvait passer d’un état à un autre en un claquement de doigt. Une phrase, un geste, un petit rien et boum je sombrais. Je passais d’un extrême à un autre sans pouvoir prévenir. Ça arrivait juste. Petit à petit, la vie qu’il pourrait avoir avec moi se dessinait devant lui et j’avais tellement peur. Tellement peur qu’il me dise que ce n’était pas pour lui, qu’il n’était pas prêt pour subir de telles choses tout au long de sa vie. Ça demandait tellement. Ça fatiguait tant. Je le savais. Et, en cette matinée, je n’étais pas le seul à perdre le contrôle. Lukas venait tout lâcher lui aussi. La rage et la haine pulsaient autour de nous dans cette chambre témoin de tellement de choses. Agréables. Désagréables. Réelles. Les mots cognaient entre nous venant me déchiqueter lentement. Les larmes glissaient le long de mes joues prouvant à quel point ça me bouleversait, prouvant à quel point j’étais en train de crever. Nos cœurs se fracassaient une nouvelle fois comme si notre histoire n’était faite que pour ça. C’était comme si notre histoire n’existait que pour nous écorcher encore et encore chaque foutu jour. Ce n’était pas agréable. C’était si douloureux. Aujourd’hui, après ma révélation, les masques tombaient si réellement. J’apprenais tellement. J’apprenais que je donnais envie de vomir à Lukas. Quelque part je le dégoûtais. Il n’osait pas dire les mots. Il n’osait pas les penser vraiment parce qu’il m’aimait trop pour franchir ce pas. Mais, une part de lui donnait vie à ces propos et à cette réalité déchirante. Et, face à moi, mon sexy musicien se lâchait. Il osait agir pour une fois. Il venait même me voler un baiser un peu trop violent. Il osait parler sans retenue. Il osait prendre ce qu’il voulait. Il osait dominer. Malgré moi, cela réveillait quelque chose dans mon corps, dans mon être. Ça me chauffait. Ça m’allumait. Ça me plaisait. Je n’avais encore jamais vu Lukas comme ça. J’avais tellement envie de me soumettre à lui là tout de suite parce que le désir était trop vif. Néanmoins, ce n’était pas le moment de se concentrer sur ça. À cet instant, les pièces du puzzle de ma vie se mettait en place et Lukas se mettait à comprendre l’ampleur de mon enfer. Il comprenait la totalité de ma vie. Il comprenait à quel point j’avais été brisé et utilisé au sein de la Mafia. Il réalisait à quel point je pouvais avoir besoin des corps à corps. Je n’étais qu’un addict à une drogue trop violente. Je n’étais qu’un addict à une habitude qui avait prit sa place dans ma vie. Mon cœur cognait fort dans ma poitrine parce que je n’avais jamais parlé de tout cela à haute voix. Je n’avais jamais clairement soufflé des mots pour le dire. Et, là, face à Lukas j’osais parler. Parler de mon goût pour les corps à corps et les jeux que ça entraînait. Parler de mon goût pour me faire dominer, pour me soumettre. J’osais avouer que j’avais su me contenter d’un homme au début de la Mafia. Pendant un temps, j’avais su ne coucher qu’avec Antonio sans doute à cause de la mort que j’avais frôlée sous les coups de mon père. Cependant, bien vite, les choses avaient changé et j’osais confier à Lukas que j’avais été utilisé au sein de la Mafia pour coucher jour après jour sans pouvoir dire non, sans vouloir le dire. Et, mon départ de la Mafia n’avait pas modifié mes habitudes. Des habitudes trop ancrées au point de créer un manque. Un manque qui m’avait poussé à faire le trottoir parce que les coups d’un soir en soirée était trop tendre pour moi, trop partageur. Que ce soit pour le côté sexuel où j’étais dominé ou pour l’argent dont j’avais besoin, la prostitution était devenue une drogue addictive pour moi. Une drogue dangereuse qui foutait ma vie en l’air, je le savais. Mon sexy musicien venait souffler qu’il était désolé comme si cela pouvait faire quelque chose. Il soufflait ces excuses comme si ça pouvait changer les choses. Mais ça ne le pouvait pas. Ça ne le pourrait jamais. Être désolé ne changeait malheureusement rien à la violente réalité.

Le silence tombait soudainement dans la chambre. Un silence fichtrement surprenant. Un silence foutrement angoissant. Cela faisait de trop longues minutes qu’on subissait les discours sans fin, les voix un peu trop forte et les sanglots qui glissaient. Et, là, tout se stoppait. Enfin… Pas tout… Mon cœur, en morceaux, continuait de battre follement. Il cognait beaucoup trop fort dans ma poitrine sous le stress de toute cette histoire, sous l’angoisse de tout ce futur instable. Le silence entre Lukas et moi s’éternisait parce que, zut, il n’y avait plus rien à dire sur toute cette histoire dans le fond, n’est-ce pas ? J’en avais déjà tellement dit. Lukas connaissait mon second métier maintenant et il possédait même l’explication qui allait avec. Cette explication qui lui permettait de mieux comprendre comment j’en étais arrivé là. Je ne pouvais rien dire de plus concernant cette addiction. Je ne pouvais plus rien faire parce qu’à présent, c’était lui qui avait les cartes en main. Et, le jeune homme semblait ne plus rien avoir à souffler concernant cette réalité à laquelle il n’avait pas réfléchi. Il n’y avait aucune décision qui tombait. Il n’avait pas la moindre questions à poser. Il n’avait pas de réflexions à faire. Tout était déjà sorti. Il n’y avait plus rien. Alors, après ce désolé qui ne pouvait rien changer, Lukas n’avait plus rien à dire lui aussi. De toute manière, qu’aurait-il pu ajouter après tout cela ? Après tout ce que nous nous étions dit ? Pour tout vous avouer, je m’étais attendu à une décision de sa part. Je m’étais attendu à ce qu’il accepte que je fasse ce métier ou qu’il le refuse totalement. Je m’étais peut-être même attendu à un quelconque ultimatum m’imposant de choisir entre lui et mon job. Mais, rien n’était arrivé. Il n’y avait eu que des tonnes de mots déchirants. Des tas de mots trop percutants. Des tonnes de mots qui n’apportaient rien dans le fond parce qu’ils ne nous permettaient pas d’avancer. Après mon aveu concernant le fait que je savais que ce métier était une addiction dangereuse, je m’étais attendu à d’autres mots et non pas à ce désolé. Peut-être que je m’étais attendu à ce qu’il ait envie de m’aider à aller mieux. Peut-être que je m’étais attendu à ce qu’il désire m’aider à me sortir de cette spirale un peu trop infernale qui me bouffait la vie depuis des années. Oh bordel… Une partie de moi aurait tant aimé que le jeune homme me souffle de tels mots. Une partie de moi aurait aimé qu’il me tende cette main afin de m’aider à m’éloigner de cette addiction tellement destructrice. Cette addiction qui ne pourrait sans doute pas avoir sa place dans notre histoire future parce qu’il fallait être trop stupide pour accepter de laisser son copain coucher avec d’autres hommes ou femmes… Encore plus dans un tel métier… Encore plus en connaissant les risques et en se rendant compte des blessures qui ornaient si souvent ma peau après des nuits dehors. Alors ouais, une partie de moi aurait souhaité qu’il me demande si je voulais m’en sortir. Une partie de moi aurait souhaité l’entendre me proposer de l’aide, me proposer quelque chose. N’importe quoi pour essayer de faire reculer cette horreur. Mais, il ne le faisait pas. Il ne le ferait pas. Je le savais. Je le sentais. C’était encore trop tôt. Le coup de massue était tout juste tombé des heures plus tôt. Il était beaucoup trop tôt pour lui demander une telle implication. Il était sans doute même trop tôt pour donner vie à un quelconque rapprochement entre le jeune homme et moi. Ce rapprochement qui se passait actuellement. Nos corps étaient beaucoup trop proche. Le désir cognait si follement en moi. Et, putain, ce n’était clairement pas le moment. Alors, prenant sur moi, je m’éloignais de Lukas lui soufflant qu’il ferait mieux de rentrer chez lui et de me laisser là. Il ferait mieux de retrouver son appartement où le monde était moins nocif, où la réalité était moins bancale. Il serait mieux loin de mon corps utilisé, de mon être totalement meurtri, de mon cœur en morceaux, de mon cerveau en bouillis et de mon érection douloureuse. Il serait mieux loin de moi. Cependant, encore une fois, je savais qu’il ne partirait pas parce que nous étions trop amourachés. Trop accro l’un à l’autre. Accro à cette relation tellement destructrice qui constituait pourtant la base de notre Neakas. Mio Amore m’approchait déposant ses doigts si doux sur mon épaule et je me tournais aussitôt vers lui. Nos regards se croisaient tandis qu’il me suppliait de ne pas lui tourner le dos. Il me demandait même de lui dire de partir en le regardant dans les yeux si c’était ce que je voulais. Lui comme moi savions que ce n’était pas le cas. Je ne voulais pas le voir partir. Je ne voulais pas le voir s’effacer. Jamais. Alors, je n’étais pas fichu de lui répéter de s’en aller. J’étais trop faible face à lui. J’étais si pitoyable face à nous. Malgré toute la douleur, malgré toute l’incertitude, je ne pouvais pas lui dire de partir. Pas après cette semaine si merveilleuse qui nous avait permis de nous lier un peu plus. Je ne pouvais pas lui dire de s’en aller après cette dispute trop pesante parce que je ne voulais pas que ça s’arrête comme ça. Aussi, je m’empressais de souffler les mots. Je ne voulais pas qu’il parte et j’agitais la tête un peu trop vite comme pour le prouver. Comme pour prouver la sincérité de mes propos. Le soulagement semblait se dessiner sur le visage de Lukas alors que je m’éloignais de quelques pas de nouveau. J’écrasais ma cigarette dans le cendrier avant de revenir bien vite à ses côtés. Mes mains se posaient sur les hanches du jeune homme et je rapprochais son corps frissonnant sous son contact, sous ses mains qui remontaient dans mon dos. Plantant mes yeux dans les siens, je confiais que je ne voulais pas qu’il parte et c’était tellement plus puissant que juste aujourd’hui. Je ne voulais pas qu’il me quitte maintenant. Je ne voulais pas qu’il disparaisse en Italie. Je ne voulais pas qu’il quitte ma vie à cause de ces révélations qui étaient tombées entre nous. Les doigts de Lukas glissaient sur ma peau alors qu’il me confiait qu’il ne partait pas. Pas aujourd’hui. Et, même si ça apaisait un peu mon cœur, je sentais toujours l’angoisse cogner en moi parce que je connaissais la suite. Ses mains me pressaient contre lui rapprochant mon corps du sien et je savais. Je savais déjà qu’il allait partir en Italie. Il ne pouvait pas annuler ça. Il ne pouvait pas laisser tomber Katalia. Et, ce rapprochement était comme une excuse de devoir partir après tout ça. Lukas me promettait qu’il reviendrait et j’acquiesçais doucement comme pour lui faire savoir que j’avais parfaitement compris les mots qu’il venait de me souffler, comme pour lui dire que je l’écoutais. Il disait qu’il reviendrait d’Italie et je mordillais ma lèvre retenant les sanglots. Je fermais les yeux tentant de souffler. J’essayais réellement de prendre sur moi. Cependant, malgré tous mes efforts, je finissais par ouvrir la bouche et je soufflais « Je… J’sais que tu reviendras… Mais je… J’veux pas que tu partes… Pas après ça… » Parce que ça faisait trop. Parce que ça allait être si dur de le voir disparaître. Parce que rien n’était résolu dans cette histoire. Parce que tout demeurait bancal. Parce que tout faisait toujours si mal. Je ne voulais pas qu’il aille en Italie. Je ne pourrais pas le supporter. Lui si loin… C’était tellement trop pour moi. Je me pressais alors un peu plus contre lui et je gémissais sans pouvoir le contrôler. Sans savoir gérer mon désir comme si je n’étais qu’un adolescent en rut. Et, bien vite, je déraillais. Je perdais le contrôle disant que j’avais envie qu’il me fasse sien. J’en avais tant besoin dans le fond. J’avais besoin de sentir son corps nu contre le mien. J’avais besoin qu’il me fasse l’amour avant son départ. Au-delà d’une réelle envie de Lukas, c’était un besoin primordial avant qu’il ne parte loin de moi. J’avais besoin de savoir qu’il m’aimait toujours et qu’il me voulait encore. J’avais besoin de savoir qu’il était là, qu’il serait toujours là. J’avais besoin de lui. Tellement besoin de lui. Mais, bien vite, je savais que cette réalité ne serait pas possible. Je n’aurais sans doute pas le droit à ces gestes rassurants. Alors, lentement, j’offrais l’alternative qu’il choisirait sans doute. Elle impliquait moins. Elle nous impliquait moins peut-être. Je parlais d’une douche froide et d’un simple câlin. Un câlin jusqu’à ce qu’il parte demain à l’aéroport. Un câlin que j’en venais à supplier parce que j’avais trop peur qu’il me quitte là maintenant. J’avais trop peur que ces heures soient les dernières avec lui. Les mains du jeune homme lâchaient mon dos venant se poser contre mon visage. Ses doigts glissaient dans mes cheveux et il soufflait ce ‘non pas maintenant’ que j’attendais déjà. Je n’étais pas surpris. J’entendais juste mon cœur se craqueler un peu plus face à cette réponse. Lukas ne me ferait pas sien aujourd’hui. Il ne me ferait sans doute pas sien avant de revenir d’Italie… Et encore… Peut-être qu’au final, à cause de ce métier appris, il ne me ferait plus jamais sien. Je secouais la tête pour chasser les mots que la voix prononçait et me concentrer sur ce qu’il disait. Lukas soufflait qu’il en avait envie, mais juste pas maintenant, pas tout de suite. Malgré mes effort, la voix se remettait à hurler. Elle criait que je le dégoûtais beaucoup trop maintenant. Elle hurlait que ce ‘pas maintenant’ allait s’éterniser jusqu’à devenir un jamais… Jamais il n’accepterait de me faire sien de nouveau. Elle criait trop fort et je faisais tant d’effort pour me raccrocher à la voix de mon sexy musicien. Cette voix qui me disait d’aller prendre une douche et qu’on allait rester ensemble jusqu’à ce qu’il parte. Au lit. L’un contre l’autre. Les lèvres de Lukas venaient alors s’emparer des miennes pour un baiser un peu trop court à mon goût. Un baiser qui avait le pouvoir de me ramener dans la réalité. Un baiser que je lui rendais. Tout comme je lui rendais sa déclaration de sentiment en soufflant ce « Ti Amo… » tout contre ses lèvres. Mes lèvres revenaient bien vite capturer celles de Lukas. Je l’entraînais dans un baiser langoureux où ma langue jouait avec la sienne, où mon corps se pressait contre le sien et où mes mains venaient lentement se perdre sur ses fesses. NON. STOP. STOP. STOP. Il avait dit non. À bout de souffle, usant toute ma force, je m’éloignais de ce garçon que j’aimais. J’appuyais mon front contre le sien laissant mes doigts remonter dans son dos en une douce caresse. Et, reprenant difficilement mon souffle, je venais murmurer.

J’reviens…

Je me rapprochais de nouveau de mon sexy musicien afin de déposer mes lèvres contre les siennes pour un rapide baiser. Un baiser un peu trop léger qui n’était là que pour le rassurer et lui prouver que j’allais revenir vers lui comme je le soufflais. Un baiser peut-être simplement volé tant j’agissais rapidement. Il le fallait. Il fallait que j’aille vite avant que tout se bouleverse de nouveau. Il fallait que je m’éloigne tant que je m’en sentais encore capable. Je devais le faire avant de tenter d’embarquer Mio Amore dans un corps à corps dont il n’avait pas envie pour le moment. Je me détachais du corps de Lukas avant de m’enfuir vers la salle de bain. Je prenais mon temps. Je marchais lentement. Mais, putain, dans le fond, je crevais d’envie de me précipiter en courant dans cette salle de bain loin de lui. Je prenais sur moi pour marcher normalement et je finissais par fermer la porte de la pièce derrière moi. Je la fermais lentement pour éviter de faire trop de bruit, pour éviter de le pousser à se précipiter ici de peur de ce que je pourrais faire une fois seul. Je m’adossais contre la porte prenant alors soin de tourner le verrou. Ce n’était pas bien je le savais. Lukas et moi avions toujours décidé que ce verrou ne devait jamais être tourné… Et surtout pas en temps de crise comme à cet instant parce que l’homme que j’aimais voulait pouvoir rentrer au cas où. Cependant, ce matin, je ne me sentais pas capable de respecter cette consigne. Je ne me sentais pas capable de lui offrir cette possibilité de venir me chercher, de venir me secourir peut-être. Ma respiration s’emballait soudainement alors que je me retrouvais enfin seul. Mon cœur cognait de plus en plus fort. Il me faisait tellement mal que j’en grimaçais. C’était insupportable. Et, lentement, toute la situation se rejouait à l’intérieur de mon esprit. Tous ces instants se remettaient à tourner un peu trop vite, tellement trop douloureusement. L’aveu d’hier, l’abandon de Lukas alors qu’il avait dit qu’il ne partait pas, les retrouvailles de ce matin, ma violente domination, le venin qu’il m’avait craché au visage, ce refus d’un corps à corps… Tout s’emballait. Tout me heurtait. Soudainement, mon cerveau s’arrêtait sur une idée. Sur des mots. J’aimerais tellement pouvoir te le dire que je t’aime plus et que tu me donnes envie de vomir. Un sanglot passait entre mes lèvres que je me mettais à mordre aussitôt. Trop de bruit. Ce n’était pas bon. Il fallait que je sois silencieux… Ou peut-être pas vraiment silencieux. Me décollant de la porte, je m’approchais de la douche pour allumer le jet et ainsi donner l’illusion de faire ce que j’étais vraiment censé faire. J’étais normalement parti prendre une douche froide pour effacer le désir qui s’était éveillé en moi. Il fallait bien que je donne le change. Il fallait que l’illusion devienne réelle. L’eau glissait et je savais déjà que je n’irais pas en dessous. Je n’avais aucune envie de me retrouver glacé jusqu’à l’os alors que mon cœur était déjà si gelé. Je ne voulais pas subir cet assaut supplémentaire. De toute façon, je n’en ressentais même plus le besoin pour effacer ce désir qui pulsait en moi. Loin de Lukas, avec ces mots tournant dans ma tête, le désir s’effaçait lentement. Il s’effaçait tout seul si aisément. Et, putain, une partie de moi savait. Une partie de mon être savait qu’il serait si difficile d’éveiller ce désir à nouveau à cause des propos que Lukas avait dit. À cause de ces foutus mots qui tournaient à l’intérieur de mon esprit et que la voix se plaisait à mettre en avant encore et encore. Quelque part en lui, je savais que Lukas pensait ces propos. Je le sentais bien. Lukas aurait aimé me dire que je lui donnais envie de vomir et je savais que ces mots ne s’effaceraient plus de ma tête. Une partie de moi en viendrait tout le temps à penser que je le répugnais et qu’il voulait vomir en me voyant. Une partie de mon être ne cesserait jamais de penser que mon corps nu lui faisait un tel effet. Et, putain, comment vouliez-vous ressentir un quelconque désir en pensant à ça ? Ce n’était pas possible. Mon désir venait d’ailleurs de totalement s’effacer. Plus d’érection. Plus la moindre envie. Juste un vide un peu trop profond. Simplement une blessure un peu trop violente. Je venais poser mes mains sur le lavabo alors que le monde se mettait à tourner trop vite autour de moi. Mes prunelles se relevaient lentement vers le miroir, vers mon reflet. J’avais une sale tête. Si pâle… Avec des cernes si grandes… Avec une tristesse si présente. La nuit avait été trop courte. L’angoisse avait été beaucoup trop violente. Et cette dispute venait d’être trop déchirante. Je n’en pouvais plus. J’étais tellement à bout. Ça faisait trop à encaisser pour moi. Je ne pouvais plus survivre. Je ne pouvais plus juste passer au-dessus de tout ça. Mes doigts finissaient par bouger d’eux-même afin de venir attraper une boîte de Deroxat. Je la contemplais pendant de longues minutes dans le silence de la salle de bain seulement troublé par le jet de la douche qui ne cessait pas de couler dans le vide. Devais-je avaler une pilule ? Devais-je avaler plusieurs pilules pour tenter de me rapprocher de la fin ? La voix hurlait que je devais le faire. Elle me poussait dans ce précipice. Elle m’envoyait dans cette horreur. Néanmoins, une partie de mon être savait que je ne pouvais pas le faire. Je ne pouvais pas provoquer une telle horreur une nouvelle fois. Cette fois au Spring Break avait été suffisante. Elle hantait beaucoup trop Lukas et je ne pouvais pas lui imposer cela de nouveau. Replaçant la boite, je m’empressais de fermer la porte du placard pour éviter de céder à cette tentation si grande et si violente. Je fermais cette porte et je me laissais lentement tomber au sol contre la douche. La tête posée sur mes genoux ramenés contre ma poitrine. Les propos tournaient en boucle dans mon esprit. L’horreur cognait si vivement en moi. Ça faisait mal. Beaucoup trop mal. Pendant combien de temps est-ce que je restais ainsi assis au sol ? Cinq minutes ? Dix minutes ? Vingt minutes ? Plus longtemps ? Je n’en savais foutrement rien. J’avais perdu tout contact avec la réalité. J’avais complètement perdu mon ancrage dans ce monde bancal parce que ça faisait trop mal. Ce ne fut qu’en me rendant soudainement compte que j’étais en train de gratter la paume de ma main jusqu’au sang que je réagissais. Tous mes mouvements se stoppaient tandis que je me redressais vivement. J’étais paniqué. Merde. Mes prunelles cherchaient une horloge. Je tentais de savoir si Mio Amore se tenait déjà derrière la porte à s’inquiéter du temps que j’étais en train de mettre. Il n’y avait pas de bruit derrière la porte. Néanmoins, ça faisait sans doute trop longtemps que j’étais fermé ici et il fallait que je me bouge avant d’inquiéter Lukas. Je savais qu’il serait capable de débarquer dans cette pièce et de tenter de défoncer la porte si je mettais trop longtemps. Je savais qu’il ferait tout pour débarquer ici si j’étais trop long. Ici… Cette salle de bain où j’étais censé prendre une douche froide pour calmer mon désir pour lui. Cette salle de bain où, finalement, je m’étais juste perdu dans ma tête totalement dévoré par l’horreur. Cette salle de bain où les mots se rejouant dans ma tête avaient suffit comme douche froide. Je me penchais vers la douche pour mouiller le haut de mon corps. J’y passais juste les épaules et la tête afin de mouiller mes cheveux. Il fallait que je donne l’illusion d’y être vraiment passé. Il fallait qu’il le croit. Passant ma main sous l’eau, je venais éteindre le jet avant d’attraper une serviette. Je m’essuyais rapidement les cheveux et je relevais ensuite les yeux sur mon reflet. Pitoyable gamin dévoré par des démons trop grand. Les mains posées sur le lavabo, je prenais le temps de souffler plusieurs fois assez fort. Souffler pour me calmer. Souffler pour faire baisser mon rythme cardiaque et reculer toutes ces crises qui cognaient en moi. Souffler pour prendre le dessus. Souffler pour être capable de jouer le jeu. Déverrouillant la porte de la salle de bain, je revenais dans la chambre toujours torse nu. Un bref sourire glissait sur mes lèvres tandis que j’apercevais Lukas toujours présent dans la pièce. Encore là à m’attendre. Je lui offrais ce bref sourire comme pour le rassurer et lui prouver que j’allais bien. M’approchant de lui, mes lèvres se déposaient sur sa joue pour un baiser très rapide avant que je ne me dirige vers mon lit. Je m’y laissais tomber sans prononcer le moindre mot. Il n’y avait plus rien à dire de toute façon. Il n’y aurait plus rien à dire jusqu’à ce qu’il prenne une décision. Me décalant dans le lit, j’ouvrais les bras afin que Lukas puisse venir se loger contre moi. Après tout, c’était ce qu’on avait choisi de faire. Juste rester l’un contre l’autre dans le lit jusqu’à son départ. Simplement profiter de la présence du jeune homme sans parler de ce sujet. Sans plonger dans l’enfer. Sans glisser dans un corps à corps. Juste rester l’un contre l’autre. Lorsque Mio Amore vint se lover contre moi, je refermais mes bras sur lui enfouissant ma tête dans son cou et fermant les yeux. Peut-être que j’allais pouvoir dormir finalement. C’était sans doute la seule chose à faire maintenant. Maintenant que je n’étais plus qu’un gosse aux secrets étalés et au cœur si piétiné. Dormir pour tenter d’oublier le mal-être. Dormir pour éviter la confrontation. Dormir pour profiter tant qu’il était encore à mes côtés, tant qu’il me voulait encore avec lui.

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
Description (1) :

How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011101321484 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011100239403 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas - Page 2 210307010918770936 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011001575388 How can I trust you? Neakas - Page 2 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas - Page 2 2511619667
How can I trust you? Neakas - Page 2 Cadeau11
• Têtes de Mules
How can I trust you? Neakas - Page 2 200327113946269016How can I trust you? Neakas - Page 2 200328021133309071
• #KLM
How can I trust you? Neakas - Page 2 FzbcgUN
• NeaKas nique le temps
How can I trust you? Neakas - Page 2 200616094954436404
• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
How can I trust you? Neakas - Page 2 Pendentif-trefle-a-4-feuilles-01
• KaNeakas <3
How can I trust you? Neakas - Page 2 2oor
• Souvenir de Cap Code
How can I trust you? Neakas - Page 2 CapeCod_Silver_Navy_1024x1024
• New Familly
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• Tentation
How can I trust you? Neakas - Page 2 Neakas-4
•Nous Sommes Uns
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Description (3) : How can I trust you? Neakas - Page 2 20021608055864050


How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas - Page 2 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


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Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Quatre mois, quasiment jours pour jours, quatre mois c'est le temps que tu avais mis pour me faire ta révélation, me dire la vérité, cette vérité. Celle qui aurai évité tellement de chose, celle qui aurai évité autant de destruction, celle qui aurai évité tant de souffrance, celle qui aurai changé tellement de chose, celle qui aurai pus faire partir les choses du bon pied, celle qui aurai pus nous faire partir sur de bonne base. Celle que tu aurai pus me dira parce qu'à ce moment là je te l'avais demandé. Alors oui si j'avais sus, on aurai fait les chose autrement, j'aurai fait les chose autrement, mais on aurai pris notre temps, on aurai pus trouver des solutions parce que nos sentiments n'étaient pas aussi fort que maintenant et que j'aurai pus te tendre la main pour t'aider à t'en sortir, je t'aurai tendu la main immédiatement parce que je n'aurai pas était aussi impliqué que maintenant. Oh moya Lyubov' ces quatre mois auraient été tellement différent si j'avais eu la vérité sur l'instant. Parce qu'on aurai pris notre temps, avant de nous laisser aller. Et peut être même qu'il ne se serait jamais rien passé, si ce n'est une amitié encore plus forte entre nous … Mais non, tu n'avais rien dis … pas un seul mot si ce n'est ce Oh Et nous voilà aujourd'hui quatre mois après. Quatre mois au cours desquels ont avait succombé à nos pulsions, bien trop attiré l'un par l'autre. Quatre mois où on avait vécut tellement de choses, et peut être même le pire, on avait tellement de fois flirté avec la mort, tu l'avais même embrassé. Quatre mois où j'avais appris à te connaître, bien plus profondément que je ne l'aurai imaginé. Des choses si intimes, si importantes avaient été révélées, ton trouble et ton passé. Tu m'avais fais confiance pour tellement de chose, pour garder tes secrets. Alors oui les choses n'étaient pas facile à vivre, parce que j'étais constamment sur le qui vive, pour parer une quelconque panique. Les choses n'étaient pas facile à vivre parce que je devais te partager avec le frère de mon premier amour. Quelles étaient la probabilité qu'il en soit ainsi franchement ? Entre toi et moi ? C'était quoi la probabilité pour que l'autre mec que tu fréquente ce soit celui qui m'a retiré mon premier amour ? Celui pour qui j'aurai du me battre … Nos vie auraient été si différentes si je m'étais battu pour elle. Durant ces quatre mois on avait vécut tant de chose, laisser couler tellement de larmes, il y avait même eu du sang, tellement de cauchemars et d'insomnie, tellement d’angoisse et de panique. Tellement de messages, tellement de contact, tellement baisers, tellement de corps à corps, tellement d'amour. Tellement de nous. Quatre mois et cette vérité au milieu de nous, totalement enlisé dans nos sentiments, enlisé dans notre amour, incapable d'en sortir, incapable de prendre une décision, parce que tu n'avais rien dis.

Alors tout était sorti hier, par accident ou par défaut peut importe mais c'était sorti et maintenant je savais, je savais et je ne savais pas quoi faire, parce que j'étais pris à la gorge, j'étais assommé et qu'il me fallait du temps pour m'en remettre. Alors ouai j'étais désolé c'est tout ce que je pouvais te dire maintenant … Désolé que ta vie n'aie été qu'un cauchemars sans nom, désolé que ta vie ne soit que violence, désolé que tu aie eu a vivre tout ça, désolé que tu aie eu à rencontrer ces gens, désolé que tu vives sous l'angoisse permanente, désolé d'être parti, désolé de revenir sans rien, désolé de ne pas pouvoir prendre une décision, désolé de devoir prendre du temps pour comprendre les choses, désolé de devoir prendre du temps pour analyser les choses, désolé de ne pas savoir comment réagir, désolé d'avoir besoin de temps, désolé d'être moi, désolé d'être si différents de toi … Ouai j'étais désolé de tout ça et de tellement plus encore. Mais ça ne servais à rien de te le dire puisque ça ne changerait pas les choses. Tu  sera toujours celui qui à été battu à mort par son père, celui qui avait échappé à la mort pour finir dans les mains de la mafia, celui qu'on a prostitué, celui qui se prostitue encore parce qu'il n'arrive pas à s'en sortir, celui qui est atteins d'un trouble de la personnalité borderline. T'étais celui là, mais pas que … T'étais et tu sera toujours aussi, celui qui est doué de ses mains, celui qui s'intéresse à la médecine, celui qui prend soin des autres, celui qui prend soin de ceux que tu aime, celui qui veut rendre les autres heureux, celui qui profite de la vie malgré tout, celui qui malgré tout était toujours en vie parce que bien plus courageux et fort que tu ne le penses. Tu étais tout ça et bien plus encore. Tu étais … tu es celui que j'aime envers et contre tout celui que je ne peux pas quitter maintenant, alors que tu me tournais le dos pour me demander de partir. J'en étais incapable. Trop incapable. Je voulais que tu me le dises en face dans les yeux, me prouver que tu le voulais vraiment. Non … tu ne pouvais pas. Tu ne voulais pas que je partes au delà de maintenant, au delà d'aujourd'hui et de demain pour l'Italie. Je te rapprochais plus de moi, sans quitter tes yeux, j'aurai aimé t'étreindre avec encore plus de force pour calmer nos cœurs, pour essayer de faire éloigner l'orage qui venait de s’abattre sur nous il y a encore quelques minutes. Te serrer contre moi pour nous soulager et faire partir se poids que je ressentais en moi, celui qui mettrais des jours, des mois à partir à présent, ce poids qui ne me lâcherai pas. Je te confiais que je reviendrais malgré tout, que ce n'étais qu'un voyage, bien loin de la fin de nous et je comprenais tellement que tu ne voulais pas mon départ. Seulement c'était Kat' et je ne pouvais pas la laisser. Tu savais à quel point elle était importante, tu savais que je n'avais pas le choix, que si ce n'avait pas été elle j'aurai tout annulé mais c'était Kat'. J'ai pas envie de partir non plus… Amore … je veux pas partir … sans toi … Non je ne voulais pas partir en Italie sans toi, tu le savais, je te l'avais bien demandé plusieurs fois et peut être que j'aurai pus te le demander une dernière fois, mais ça serai inutile, tu n'étais pas près à y remettre les pieds. Tes mots suivant me poussais à fermer les yeux parce que tu m'en demandais trop, encore plus tu voulais être à moi, que je prenne possession de toi, seulement malgré l'envie qui parcourais mon corps je ne pouvais pas, il ne fallait pas, je ne pouvais pas céder parce que je le sentais que cette fois là aurai eu le goût d'une dernière fois. Que si je cédais ce ne serai pas un corps à corps pour nous retrouver mais un corps à corps pour nous dire adieu, je le sentais au fond de moi, je pouvais pas t'offrir ça, je ne voulais pas. Je ne voulais pas d'une dernière fois, histoire d'avoir encore un peu de toi. Alors il fallait mieux attendre, comme tu le proposais, passer la journée dans les bras l'un de l'autre, en silence peut-être, après cette douche froide pour te calmer. J'étais d'accord avec ça, c'était l'option la plus sage, la plus calme, la plus douce, la moins nocive pour toi et moi. C'est celle qui nous fallait si on ne voulait pas se perdre. Je venais déposer mes lèvres sur les tiennes pour sceller cette accord dans un je t'aime que tu me rendrais bien vite, beaucoup trop intense, beaucoup trop en contradiction avec ce qu'on venait de ce dire tout comme tes mains qui glissaient sur mes fesses. Un assaut dont j'étais incapable de résister, un assaut qui faisait glisser mes mains vers le bas de ton dos, un assaut qui faisait battre mon cœur tellement fort comme un signal pour me faire arrêter … J'en étais bien incapable. Tu avais sus nous arrêter tout de même, me pinçant les lèvres, fermant les yeux, parce que trop faible de te résister, face à une bêtise que nous allions commettre, je sentais ton front se poser contre le mien et cette caresse rassurante, apaisante, pour me préparer à ton retour. J’acquiesçais une sourire doux et bienveillant sur les lèvres, un sourire qui voulait aussi dire que je ne voulais pas te voir partir loin de moi si longtemps, qu'une simple douche. Et trop rapidement un dernier baiser sur les lèvres, sur lesquels je venais poser mes doigts comme pour en avoir plus, alors que je te regardais partir, vers cette salle de bain.

Immobile, je te regardais disparaître, derrière cette porte qui ne devais pas être close, alors que j'entendais le verrous. Un Non... plaintif, inaudible traversa mes lèvres, tandis que je me déplaçais vers cette porte qui nous séparai. Tu savais que tu ne devais pas, et pourtant tu l'avais fait, tu venais placer cette porte entre nous, m'empêchant de venir te chercher … Et là seul devant cette porte alors que j'aurai pus forcer, je me ravisais, je laissais glisser ma main comme pour me raccrocher à toi, avant de glisser le long et de m’asseoir au sol. L'oreille collé à la porte comme pour entendre ce qui s'y passait. Un sanglot je crois puis le silence. Une silence long, beaucoup trop long. Trente minutes … C'est ce qui venait s'afficher dans ma tête, un compteur que je t'accordais trente minutes dans lesquels je t'accordais de te perdre, trente minute dans lesquels je savais que je pouvais te perdre, si tu décidé de te laisser guider par cette voix qui j'en était certain venait t'envahir. Le silence puis l'eau … L'eau comme pour faire taire le silence, l'eau pour le briser, l'eau pour donner l'illusion. Mais cette eau était trop régulière, trop identique chaque seconde, ce n'était pas une douche mais simple. Et là assis au sol, mes yeux se portait sur le fantôme de la scène, toi et moi debout, moi dans tes doigts alors que tu me portais, moi sous toi allongé, la cruelle vérité, moi et cette chaleur qui je n'aimais pas. Et puis ces mots, qui revenaient, ce discours insensé que j'avais prononcé, tout les mots me revenaient en tête et je me rendais compte alors à quel point j'avais été blessant, assassin peut être même. Les larmes aux yeux, je laissais le regrets d'avoir prononcé ces mots, parce que la plus part étaient faux … Parce que dans la précipitation de l'action, je t'avais dis que  j'aimerais tellement pouvoir te le dire que je t'aime plus et que me donne envie de vomir j'avais contré la première partie de la phrase oui, mais le reste … la seconde partie, je ne l'avais pas contré et elle était tellement fausse, jamais je n'aurai du dégoût face à toi … jamais je n'aurai envie de vomir en te voyant … Jamais. Je t'aime tellement Neal … venais dans un souffle pour moi même, alors que Meeko venait se placer contre, comme pour apporter un réconfort, …. j'suis tellement désolé … dans un murmure de sanglot, alors que je portais la boule de poil contre mon torse, y faire glisser ma main pour des caresses pour un réconfort. La suite de mon discours revenais tout de même plus vrai. Et peut être même le plus douloureux, parce qu'il renvoyait à cette situation de tout les jours, celle où je devais te partager, et plus seulement avec Nixon maintenant. Et ce t'es pas mon mec qui venais cogner dans ma tête … Non tu ne pouvais pas être à moi, pas maintenant, pas tout de suite, parce que ça me demandait un engagement, un engagement que je n'étais pas près à assumer, un engagement qui faisait tellement peur, auquel je ne pouvais pas  céder pour le moment, parce que j'étais tout simplement pas prés. T'es pas mon mec et pourtant je te donnerai ma vie … J'avais peur de cet engagement et je te donnerai ma vie pour que la tienne soit meilleure et plus douce. J'avais peur de cet engagement, mais j'aimerai tellement de chose avec toi. Vivre tellement plus que tout ces déchirements incessant. Et cette pique inutile maintenant je m'en rendais bien compte tu ne faisais pas ça par plaisir, cette pique qui avait du être un coup de poignard. J'aurai tellement dus me taire. J'étais stupide de ne pas avoir sus me maîtriser, de pas avoir sus maîtriser les mots qui étaient sorti de ma bouche, parce que tout ça était sous le coup de l'émotion …  J'aurai pas du partir je le sais, je n'aurai pas du franchir cette porte, j'aurai dus rester à tes côtés, mais il était trop tard maintenant, je ne pouvais m'en prendre qu'a moi même si tu étais blessé parce que je savais que j'aurai pus l'éviter, j'aurai pus, j'aurai dus, prendre juste quelques minutes en bas de l'immeuble, prendre le temps de respirer un peu et d'affronter tout ça, directement. Ça aurai évité tout ces mots et des pensées inutiles qui n'avaient servit à rien si ce n'est faire souffrir encore plus. Nous faire souffrir. J'étais égoïste … égoïste de vouloir te garder malgré tout ce que ça pouvais impliquer … malgré toute la souffrance qu'on allait en retirer … Mais Neal je t'aime tellement tu sais. Tu m'as marqué, beaucoup trop profondément pour que je ne puisse t'effacer … Je sais pas combien de temps je suis resté dans cette position, à laisser couler les larmes, à m'en vouloir de mes mots assassins. C'est seulement quand Meeko avait décider de me quitter, que je prenais la décision de me relever. Passant la main sur mes yeux, pour essayer d'essuyer toutes ces larmes. Je me dirigeais vers la fenêtre, après avoir saisis un paquet de cigarette qui traînait par là. Le tiens ? Le miens ? Peut importe, on avait pas été regardant de la semaine pourquoi l'être maintenant ? Fixant un point dans le vide, je laissais la cigarette se consumer sur mes lèvres. Qu'est ce qu'on allait devenir toi et moi ? Est ce que tu me pardonnerais ces mots ? Est ce que tu pardonnerai celui que j'étais, celui qui avait besoin de temps pour prendre des décisions, celui qui prenais son temps, celui qui ne savait pas faire autrement que d'être doux ou alors beaucoup trop perçant ? Est ce que tu me pardonnerai pour tout ça ? La braise bien proche du filtre, je venais l'écraser dans le cendrier, avant de m’apercevoir, de ma tenu. J'avais toujours ton sweat, sur le dos et j'étais toujours en boxer, je pouvais pas rester comme ça. Je retirais le haut venant le poser sur le bord du lit, après avoir ramassé le tiens, puis je me dirigeais dans tes affaires pour y prendre un jogging, j'en avais pas ramené, et je me sentais ni de rester en boxer, ni d'être en jean. Je l'enfilais et alors que j'allais pour prendre un t'shirt, tu faisais ton apparition. Tu venais accrocher un sourire rassurant, avant de déposer un rapide baiser sur la joue, au contact duquel je fermais les yeux, savourant un peut trop l'instant.

Tu rejoignais le lit, ouvrant tes bras pour m'accueillir, je laissais tomber l'idée du t'shirt, pour venir me m'installer à tes côtés, dans tes bras, pour un peau à peau plus que rassurant. L'un contre l'autre, silencieux, profitant simplement de ta présence. Dans ces derniers instant, dans ces dernières heures. Ton souffle chaud dans mon cou, mes mains dans ton dos, fatigué usé de tout. Un moment de répi comme on se l'est promis. Mais le cœur qui pleure sur cette idée fixe : Mon amour je t'aime.  Je t'aime quand il fait soleil et quand il pleut. Je t'aime quand tu es tout contre moi et quand tu es contre moi. Je t'aime quand c'est toi et quand je ne te reconnais pas. Je t'aime quand tu te trouve beau et quand il n'y a que moi qui le voit. Je t'aime quand m'écoute et quand c'est moi qui t'écoute. Je t'aime quand tu es là et quand tu n'es pas là. Je t'aime quand tu es avec moi et quand tu es avec lui. Je t'aime parce que tu es mon amour, mais tu ne sera jamais totalement à moi.

FIN DU RP

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


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