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How can I trust you? Neakas

2 participants
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
Description (1) :

How can I trust you? Neakas 210307011101321484 How can I trust you? Neakas 210307011100239403 How can I trust you? Neakas 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas 210307010918770936 How can I trust you? Neakas 210307011001575388 How can I trust you? Neakas 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas 2511619667
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• Têtes de Mules
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• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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How can I trust you? Neakas 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
06/04/2020

Vélo, cours, dodo, c'était à peu  prés le quotidiens que j'avais depuis la mort d'Alyson, sauf que je le vivais pas tout seul, L'absence Kat à mon retour du Spring Break avait bouleversé tellement de chose, beaucoup trop de chose. Si bien que je me retrouvais à vivre chez toi Neal, depuis fin mars. Ouai folle histoire que tout ça. J'étais rentré lundi 23 et j'avais passé les porte de l'appartement que je partageais avec Katalia et Méluzine, accueillis comme un prince par Meeko, qui venais rapidement prendre sa place de charroquet (chat-perroquet) sur mon épaule, alors que je traversais l'appartement pour retrouver les filles qui partageais ma vie. Seulement une était absente, l'autre dans tout ses états... Elles s'aimaient ces deux là d'un amour profond, intense, trop profond, trop intense, si bien que si l'un d'elle se sentait incomprise par l'autre alors le monde s'effondrait. Leur monde. Voilà pourquoi j'avais retrouvé une Méluzine seule, qui m'expliquait le pourquoi du comment Katalia, était partie en Italie, pour une durée indéterminé. Ses souvenirs étaient revenus suite à sa disparition, un enlèvement. Je n'avais aucun détail supplémentaire... Juste un enlèvement... De quelques heures semblerai t'il puisque dés le mardi elle se trouvait à l'hôpital des souvenirs de ce lundi soir manquant. Je me retrouvais donc avec une colocataire en mois. La suite de cette semaine ne s'arrangeait pas puisque deux jours plus tard en voulant accepter un travail qu'Alyson me proposais depuis des semaines. L'accompagner dans son travail à la pâtisserie, la demoiselle connaissait mes talents et les appréciais, oh bien sur j'avais des choses à apprendre, mais j'étais là pour apprendre et partager que proposer et imposer mes idées je le savais, je m'y était rendu le cœur léger, bien loin de me douter de ce qui m'attendais. A l'intérieur, le spectre de la mort, j'avais tressaillis et m'étais retrouvé dans les bras d'un ours bienveillant, un Mark, qui m'avait appris la fatale nouvelle, la blonde à qui  j'avais porté secours n'était plus, l'enfant dont j'avais appris l’existence n'étais plus. C'était a goutte de trop... Parce qu'en moins d'une semaine j'avais supporté tout ça, mais il fallait en plus rajouter le spectre de la semaine précédente, le spectre de ta mort Neal. S'en était trop pour moi, alors sur le trottoir quand j'entendais l'homme me parler de son histoire et de sa rupture avec la blonde, pour une histoire de tromperie, d'avortement, de faire du mal, assumer une relation, rompre par texto... mourir assassiné... J'en bien trop a bout pour pouvoir agir sainement à cette instant, alors oui j'étais parti en crise de panique imaginant que ça pourrai t'arriver, que cette situation pourrai m'arriver, putain j'en était conscient... alors j'avais lancé le signal, notre signal, infaillible, qui signifiait l'urgence absolue, qu'il fallait agir, que tu devais venir, et tu m'avais rejoins, inconscient sur ta moto, écrivant texto sur texto pour ne pas me laisser sombrer. T'avais pris soin de moi, m'aidant à me relever à rester debout. Mais qu'est ce qu'il s'était passé pour que je finisses chez toi ? Tout simplement, le départ de Méluzine le week end suivant pour deux semaines. Alors toi et ton inquiétude n'avaient fait qu'un tour, toi et ton inquiétude m'avais fait installé chez toi le temps de cette absence.
Une collocation qui se passait relativement bien de mon côté, j’espérais sincèrement tout de même ne pas être un poids pour toi et ton inquiétude, ne pas te mettre dans des états, parce que vraiment tu m'aidais par ta présences... Les somnifères étaient absent de ma vie à chaque fois que tu étais là, à l'image des cauchemars que tu chassais par ta présence. Côté cours, je reprenais le rythme d'avant, celui d'y à longtemps, celui d'avant l'accident, régulier, assidue, concentré, focalisé sur ma seule réussite de ce doctorat à la fin de l'année. Alors si je n'étais pas chez toi, j'étais dans les salle de cours, à la bu, parce que j'avais tout mon retard à rattraper mais surtout parce que Kat', m'avait demandé de la rejoindre en Italie pour quelques jours, à Pacques. Je te l'avais proposé mais tu avais refusé et je le comprenais parfaitement, au vus de ta situation. Seulement, est ce qu'il n'aurai pas été mieux pour toi, pour vous de renouer le lien de cette façon ? Elle te manquais je le savais, elle demandait après toi. Elle te proposait de venir, c'était même pas moi. Non elle voulait que tu m'accompagne... Mais je comprenais ton refus totale. Au milieu de ça, j'avais noircis pas mal de page de carnet aussi, toute à la destination d'Alyson, parce que ça me soulageais, d'écrire sur notre amitié, ou ce que tu nous avais fait, on en avait pas forcement reparlé mais ça restait dans un coin de mon esprit, ancré, bien trop ancré, bien trop impacté. Alors je le gardais pour moi, dans ce coffre fort, qui s'était monté avec la totalité de vos secrets à tous, la totalité de vos confidences, dont la plus part était les tiens tout ce même et certainement les plus importants aussi. Parce qu'il marquait la confiance que tu avais en moi, même si ça n'avait pas été rose tout le jours, tu me faisais suffisamment confiance pour me livrer ces gros secrets de ta vie, qui faisait que je comprenais encore mieux qui tu étais, alors je t'en remerciais Neal. Je te remerciais pour ça, mais aussi d'être là pour moi, t'occuper de moi, me laisser être là pour toi aussi, parce qu'au delà de mes conneries de déguisement aussi enfantine soit'il l'objectif était aussi de te faire prendre conscience que tu ne devais pas avoir du regard des autres, que le ridicule ne tue pas. Alors peu être que tu feignais pour me faire plaisir j'en sais rien, seulement je profitais de ta présence pour ces exercices qui même inconsciemment pouvais te faire du bien. Et puis parce que ça me faisait penser à autre chose, j'étais plus léger un poids en moins. Mais aussi parce que je profitais de chacun de ces instants avec toi, parce que je savais qu'a mon retour de Milan, je ne serai plus chez toi, que je retrouverais mon appartement et des nuits bien moins calmes, bien moins chaudes aussi, malgré tes retours tardifs.
Seulement aujourd'hui je devais préparer la valise pour mon départ à Milan, ou du moins songer à récupérer mes affaires pour les mener à la laverie et avoir des affaires propres pour mon séjours, je croulais pas sous les vêtements de changes, et puis ça éviterais d'y faire au retour. Alors oui ce aujourd'hui j'aurai bien aimé larver avec toi encore dans le lit, larver dans tes bras. Continuer à caresser ta peau, comme je le faisais depuis bientôt une heure, du bout des doigts, ne pensant à rien, si ce n'est à l'instant présent et à quel point j'étais bien, calme, serein, dans tes bras, me forçant à  occulter l'absence que je te ferais subir, que je nous ferais subir. Je savais que tu ne serai pas seul, pendant ce temps,  mais je savais aussi que ça ne te plaisais pas que je partes si loin. Après un rapide baiser que je venais déposer sur tes lèvres, je prenais le parti de prendre une douche et de te laisser tranquille. Je restais un bon moment sous l'eau, avant de ressortir, en serviette de la salle de bain, pour venir m'habiller, tu n'étais plus là... J'attrapais un boxer propre, avant de me pencher au sol pour récupérer mon jean. Je tentais tout de même de te lancer une nouvelle fois la perche.Bébé tu te rappelles que je pars pour Milan dans la nuit de mercredi à jeudi ? C'est toujours certain que tu te sens pas de venir ? laissais je à travers l'appartement, pensant que tu te trouvais à l'autre bout pendant que je vérifié qu'aucun boxers ou chaussettes ne s'était glissé sous ton lit. Déplaçant cette boite à chaussure comme tout les jours, à laquelle je ne prêtais aucune attention. Seulement aujourd'hui contrairement au autre jour, j'oubliais de la replacer directement, et en me redressant pour te saluer, mon pied venait la rencontrer, cette boite venais se vider, à mes pieds. Je posais mes yeux, sur le contenus qui n'étais autre que des billets et un p'tit paquet... J'arquais les sourcils, redressant la tête... Tu t'étais là et tu me regardais...

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
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Lundi 6 Avril.

Le retour du Spring Break ne s’était pas déroulé de la manière dont je pensais qu’il se déroulerait. Rien ne se passait comme je l’avais parfaitement prévu à l’intérieur de mon esprit durant le trajet en avion qui nous ramenait à Cambridge. Rien ne se déroulait de la façon dont j’aurais souhaité que cela se passe afin que ça colle parfaitement avec le petit plan que je m’étais imaginé. Sur les conseils de Milo, je prévoyais de prendre mes distances avec Lukas et Nixon dès le premier jour du retour du Spring Break. Je prévoyais de me plonger dans les cours afin de rattraper tout le retard que j’avais accumulé ces derniers mois parce qu’au final je n’avais aucune envie d’abandonner l’université. Je voulais obtenir mon diplôme. Je prévoyais également de m’abandonner à mes deux boulots afin de tenter de me faire encore plus d’argent pour parvenir à prévoir l’opération de mon mollet un peu avant l’été. Je désirais laisser de côté mon téléphone et ces contacts que j’avais avec ces deux garçons qui faisaient tellement pulser mon cœur. Sur les conseils de Milo à qui je faisais toujours une confiance aveugle malgré notre rupture, il fallait que je parvienne à me recentrer complètement sur moi-même. Je devais réapprendre à m’aimer correctement et à être indépendant avant de finalement pouvoir effectuer un choix concernant ces histoires de couples non exclusifs. Ces histoires de garde partagée comme ils disaient. Bordel. Je comptais réellement m’éloigner de Lukas et Nixon afin de revenir avec une décision qui mettrait alors fin à cet enfer douloureux que je leur imposais depuis des mois maintenant. Je comptais prendre mes distances afin de leur offrir une réponse dès que je reviendrais vers eux. Je voulais me lancer dans une réelle histoire. Je voulais être en mesure d’être exclusif avec l’un ou avec l’autre en prenant le risque de perdre quelque chose de l’autre côté. Parce qu’il était clair que je serais perdant dans tous les cas de cette histoire. Je perdrais plus ou moins fortement en fonction de mon choix, mais je perdrais. Cependant, rien ne s’était déroulé comme je le pensais. Je n’avais pas pu mettre mon plan à exécution. La soir-même de notre rentrée du Spring Break, Lukas m’avait contacté afin de m’apprendre que Katalia s’était enfuie en Italie parce qu’elle avait retrouvé ses souvenirs et autant vous dire que cela ne m’avait guère plu. Oh non, pas le moins du monde. Merde, mon ange était censé me prévenir dès que les images lui reviendraient. Elle était censée me contacter afin que je puisse venir l’aider. Au lieu de quoi, je n’avais été au courant de rien et elle s’était envolée loin avec Toni. Cette soirée m’avait rendu tellement dingue que je n’avais plus été capable de couper les ponts après ça. Je n’avais plus été fichu de prendre mes distances comme je l’avais prévu. Encore plus alors qu’à peine deux jours après, Lukas m’avait envoyé le signal. Notre signal. Celui que nous avions mis en place pour signaler à l’autre que quelque chose n’allait vraiment pas et qu’il fallait la présence de l’autre. Il avait appris la mort d’une de ses amies Alyson alors qu’il pensait aller la voir afin d’accepter un emploi. Il m’avait fait une crise d’angoisse assez folle ce jour-là. Le genre de crise qui m’avait poussée à conduire téléphone en main pour le garder avec moi. Le genre de crise que j’avais peur qu’il me refasse parce que je n’étais pas certain qu’il ait encore totalement encaissé cette nouvelle. J’avais peur qu’il recommence à paniquer et que je ne sois pas là pour le secourir. J’avais peur qu’il angoisse de nouveau et que personne ne soit capable de s’occuper de lui comme je savais le faire. Alors, je n’avais pas été fichu d’accepter qu’il reste seul et qu’il me contacte uniquement en cas de besoin. Non, je ne pouvais pas me comporter comme cela. Je ne pouvais pas le laisser tout seul dans son appartement et rester dans le mien à angoisser à chaque vibration de mon téléphone. D’autant plus que Lukas aurait été réellement seul chez lui. Katalia était en Italie. Meluzine était partie je ne savais où. Je savais juste qu’elle n’était pas à l’appartement et qu’il serait donc tout seul. Et, ça, putain, je n’avais pas pu l’accepter. Je n’avais pas pu laisser faire. Les premiers jours, je squattais l’appartement de Lukas. J’avais même pris la peine de poser des congés prétendant avoir des examens importants à réviser. Ce n’était pas tout à fait un mensonge puisque je profitais réellement de mes soirées libres pour bosser mes cours allongé dans le lit de mon sexy musicien. Néanmoins, j’avais fini par reprendre le travail. Il le fallait aussi bien pour ma santé mentale que pour mon compte en banque. J’avais alors proposé à Lukas de venir dans mon appartement. J’étais plus proche du Lord Hobo et ça rendait mes trajets plus aisés à faire le soir lorsque j’étais complètement fatigué. Je faisais tellement d’efforts pour me concentrer en cours et au boulot que j’étais vidé de toute énergie une fois la nuit tombée et je n’aurais sans doute pas été capable de conduire jusque chez Lukas. Nous étions également plus proche de l’université et cela nous permettait de larver au lit tous les matins l’un contre l’autre. Le plan était parfait. Lukas avait accepté de venir quand bien même il avait l’impression de s’imposer dans mon quotidien. Et, cela faisait maintenant une semaine que mon quotidien était effectivement bouleversé par la présence du jeune homme. Une semaine que je calculais la moindre de mes actions pour être sûr et certain de chaque répercussion. Une semaine que je faisais attention à tous les détails afin d’éviter de commettre une quelconque erreur qui le ferait partir. Cela faisait une semaine que Lukas vivait avec moi et qu’il changeait la donne. C’était agréable. C’était dérangeant. Je ne parvenais pas réellement à me décider sur la qualification de cette réalité. J’aimais avoir le jeune homme au sein de mon appartement. Cela rassurait l’inquiétude qui pulsait violemment dans mon ventre dès que je le savais loin. J’aimais pouvoir lui voler des baisers à n’importe quel moment. J’aimais l’avoir dans mes bras pour toute la nuit et me réveiller à ses côtés. J’aimais pouvoir l’observer dormir si calmement la nuit sans même avoir besoin de somnifère. Putain, ouais, j’aimais ces heures passées avec lui, à côté de lui comme si petit à petit nous trouvions comment construire une réelle histoire. Mais, putain, j’étais effrayé. J’avais l’impression de perdre toute liberté. Je n’osais plus accepter de sortir avec mes proches de peur de faire des histoires et de le laisser tout seul. Je n’osais même plus me prostituer parce que je ne voulais pas rentrer avec des marques et de l’argent en poche. Cela n’aurait pas pu passer inaperçu. Je n’osais même pas porter la nouvelle chaîne qui était censée orner mon cou depuis l’anniversaire de Nixon. Ce collier qui m’engageait tellement avec mon sexy tatoué. Ce collier qui restait dans mes poches la majorité du temps. J’avais de plus en plus l’impression d’étouffer dans cette routine pourtant si agréable la majeur partie du temps. Alors… Vivre avec Lukas… Qu’est-ce que ça me faisait dans le fond ? Je n’en savais rien. Je n’osais pas y réfléchir. Ça rendait notre histoire tellement plus réelle. Ça la rendait presque trop exclusive alors qu’il arpentait mon appartement comme s’il était chez lui. Et, malgré cette angoisse qui pesait dans mon ventre et qui cognait dans ma tête, je n’aurais pas dit non pour qu’il reste encore.

Cependant, le séjour de Lukas au sein de mon appartement allait être écourté puisqu’il avait accepté de partir en Italie afin de retrouver Katalia pour quelques jours. Il m’avait proposé de l’accompagner dans ce voyage. Elle m’avait proposé de venir avec Lukas. Il m’avait proposé de venir avec lui pour la retrouver. Mon ange qui me manquait tellement. Lukas m’avait sans doute aussi lancé cette invitation afin que nous restions ensemble… Après une semaine l’un avec l’autre, ces jours à des kilomètres l’un de l’autre risquaient d’être compliqués. Mais, damn it, je n’avais pas pu lui dire oui. Je n’avais pas su accepter une telle proposition. Je ne voulais guère remettre les pieds dans mon pays natal. Encore moins dans l’état instable dans lequel je me trouvais ces dernières semaines. Mes crises de panique étaient tellement violentes et régulières. Je savais que si je me trouvais dans le pays de la mafia, je risquais de dérailler complètement. Aussi, malgré le besoin de retrouver la sublime Katalia et l’envie de ne pas laisser Lukas partir, il était hors de question que je fasse ce voyage. Si ça avait été un autre pays, aurais-je accepté de partir avec le jeune homme ? Sans doute pas non. Je me souvenais tellement bien de la dernière fois où nous étions partis rien que tous les deux loin de Cambridge. Je me souvenais de ce week-end au ski qui avait été fabuleux, mais qui avait fini par foutre totalement en l’air notre relation. Je n’avais aucune envie de retenter l’expérience parce que je n’étais pas prêt pour une telle souffrance. Je n’étais pas prêt à l’abandonner après tout ce bonheur. Et, de toute manière, je n’avais pas envie de prendre de nouveau du retard dans mes cours et je ne voulais pas perdre d’autres soirées de boulot. Il fallait que j’étudie. Il fallait que je travaille. Puis, pour tout vous confier, je ne voulais guère m’éloigner de Nixon. Je ne pouvais pas m’éloigner de mon sexy tatoué. Je ne pouvais pas partir loin de Tomas non plus. Pas alors que j’étais victime de ces crises qui me rendaient fous. Nixon et Tomas avaient chacun leur magie et ils savaient m’apaiser. Alors, je ne pouvais pas prendre le risque de m’envoler dans un autre pays sans eux. Aussi, malgré la douleur de l’absence de Katalia et malgré le manque que Lukas allait créer dans mon être, je savais que je parviendrais à survivre à Cambridge. J’avais les deux points d’ancrage les plus solides de ma vie ici. Nixon et Tomas étaient là. Tout irait bien. Ces pensées tourbillonnaient dans ma tête depuis plus d’une heure maintenant parce que le départ de Lukas approchait et que je savais qu’il risquait de m’inviter à partir avec lui encore une fois. Une heure que j’étais réveillé à y réfléchir… Que nous étions réveillés collés l’un à l’autre en silence. Lukas se trouvait dans mes bras et il caressait ma peau en silence comme s’il savait que j’étais en train de cogiter et que j’appréciais de pouvoir le faire dans le calme. Mes doigts glissaient le long du dos de mon sexy musicien en une caresse constante, presque devenue habituelle. Malgré l’agitation de mes pensées, je gardais les yeux fermés somnolant à moitié. J’appréciais l’instant. Mes sombres pensées ne parvenaient pas à m’entraîner. Je n’avais pas à me presser en ce lundi matin puisque je n’avais cours qu’en milieu d’après-midi. Je pouvais pleinement profiter de cet instant sans me soucier du futur. J’étais si bien. J’étais si serein. Le calme avant la tempête qu’on disait en général hein… J’aurais dû être plus méfiant. Soudainement, les lèvres de Lukas se déposaient sur les miennes. Le baiser était rapide. Tellement rapide que je n’avais pas le temps d’en profiter ou de le retenir. C’était comme s’il savait déjà que s’il m’en laissait l’occasion, il ne sortirait pas aussi vite que ça de ce lit. S’il m’en laissait l’occasion, il se serait retrouvé sous mon corps dans les secondes suivant son baiser. Je l’observais me filer entre les doigts alors qu’il s’éloignait vers la salle de bain. Je l’observais avant de reposer mes yeux sur le plafond en soupirant. En dépit de mes efforts, je sentais l’angoisse monter de plus en plus au fil des jours. Il partait bientôt pour Milan et cela m’angoissait réellement de le savoir si loin de moi. S’il faisait une crise là-bas, je ne pourrais pas débarquer pour le sauver. Je ne pourrais rien faire si ce n’était être présent à distance. Est-ce que cela suffirait ? Secouant la tête pour chasser ces sombres pensées, je tendais l’oreille. L’eau de la douche coulait toujours alors j’avais le temps de lui préparer un petit-déjeuner. Un truc sans doute minable puisque la cuisine n’était pas ma meilleure amie. Me levant du lit, je me contentait d’enfiler un boxer propre. Je ne comptais pas sortir avant plusieurs heures alors cela ne me dérangeait pas de rester dans cette tenue. Après une semaine avec Lukas, je ne me sentais plus obligé de mettre un t-shirt tous les matins pour masquer au plus vite les marques de ma peau. Me dirigeant dans la cuisine en sifflotant, j’attrapais des œufs au frigo avant de les mettre à chauffer. Il s’agissait de l’unique petit-déjeuner que je pourrais offrir à Lukas puisque je n’avais aucune envie de mettre les pieds dehors à la recherche d’un repas plus conséquent. Je me mettais à préparer du café lorsque la voix de mon sexy musicien résonnait dans l’appartement me poussant à sursauter. Il était sorti de la douche. Il me rappelait qu’il partait pour Milan dans la nuit de mercredi à jeudi comme si je pouvais l’avoir oublié. Enfin, dans le fond, ce n’était pas si ridicule que ça. Depuis ma noyade – ouais, je préférais l’appeler comme cela plutôt que tentative de suicide – ma mémoire se plaisait à me jouer des tours tant et si bien que je m’étais mis à coller des post-it un peu partout sur mes cours pour ne pas oublier des choses importantes. Néanmoins, le départ de Lukas, je ne pouvais pas l’oublier. Et, comme je m’y attendais, l’interrogation ne tardait pas à tomber de nouveau. Le jeune homme me demandait si j’étais toujours certain de ne pas me sentir de venir. Un soupir passait entre mes lèvres. Shit, il pourrait me le demander autant qu’il le souhaitait, je ne risquais pas de changer d’avis. Tournant les œufs, je babillais assez fort pour qu’il m’entende de la chambre « J’peux pas oublié que tu pars super loin très bientôt… Et j’suis toujours certain que je ne me sens pas de venir… J’peux pas y retourner… J’veux pas y retourner… J’suis désolé… » Je mâchouillais nerveusement ma lèvre après avoir soufflé ma réponse. J’espérais qu’il ne m’en voudrait pas de refuser encore une fois. J’espérais qu’il puisse comprendre que je ne pouvais pas assumer ça maintenant. J’espérais qu’il cesse de me le demander. Je n’étais pas capable de faire ce voyage. Mon esprit divaguait sur l’Italie. Sur la mafia. Sur papa. Sur maman. Sur tellement de choses de mon passé pendant de longues minutes. Ce ne fut que lorsqu’une odeur de brûlé heurta mes narines que je reprenais conscience de la réalité. Mes yeux se posaient sur les œufs un peu trop cramés et je jurais à voix basse. Soupirant pour la énième fois depuis que j’étais levé, j’attrapais une assiette pour les mettre quand même dedans avant de vider du café dans une tasse. Et, accompagné de l’assiette, de couverts et de la tasse de café pour mon bébé, je repartais en direction de la chambre. Mon café ? Je l’avais déjà bu en préparant à manger… Ou peut-être pas ? Je ne savais plus. Me rapprochant de la chambre les yeux rivés sur les œufs, je babillais « J’ai voulu te faire des œufs, mais je cr… » Je m’arrêtais soudainement dans ma phrase me stoppant brutalement à l’entrée de la chambre. Une goutte de café tombait au sol, mais ce n’était pas ça qui retenait mon attention. Non. Mes prunelles sombres se posaient sur ma boîte à chaussures. Cette boîte qui était censée être sous le lit. Cette boîte qui était complètement ouverte aux pieds de Lukas. Cette boîte qui contenait mes revenus en tant que prostitué. Voir les billets au sol faisait augmenter mon rythme cardiaque trop follement. Ma respiration se mettait à accélérer elle aussi. Je relevais les yeux sur Lukas qui me fixait les sourcils arqués comme en attente d’une explication. Je mordillais nerveusement ma lèvre avant de m’approcher. Je déposais l’assiette et la tasse sur la table de nuit. Mes mains tremblaient tellement que je n’aurais pas pu les tenir plus longtemps. Et, tout en me penchant pour ramasser le contenu de la boîte, je babillais sans oser le regarder.

Ce… C’est… C’est l’argent pour mon opération… Je la mets de côté dans la boîte… Ce… Ç’vient de mon salaire en tant que barman…

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
Description (1) :

How can I trust you? Neakas 210307011101321484 How can I trust you? Neakas 210307011100239403 How can I trust you? Neakas 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas 210307010918770936 How can I trust you? Neakas 210307011001575388 How can I trust you? Neakas 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
How can I trust you? Neakas Tumblr_o17ow1XtXM1r2xr06o7_500
• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas 2511619667
How can I trust you? Neakas Cadeau11
• Têtes de Mules
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• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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How can I trust you? Neakas 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
J'avais rejoins ton appartement à ta demande afin que tu veilles sur moi, parce que les événement récent avait été trop compliqués à gérer sur l'instant, et que j'allais me retrouver seul, et toi tu ne le voulais pas alors, je me retrouvais là dans ton lit ce lundi matin, avec quasiment toute ma vie ici, ma guitare, mes carnets , mes cours, mon chat, qui se plaisais faut le dire. D'ailleurs je te remerciais jamais assez d'avoir cleané un coup avant notre arrivé, même si je ne doutais pas que tu ne laisser traîner aucune pilule au sol de manière habituelle. J'étais arrivé ici, parce que les souvenir de Kat avait refait surface et qu'elle avait laissé tout ses amis nous y compris dans l'ignorance, j'étais arrivé ici parce que la crise de panique que j'avais fait en apprenant la mort d'Alyson avait été un peu trop violente, et qu'elle raisonnait encore aujourd'hui, même si t'étais à mes côtés. L'idée de rompre par sms et de plus t'avoir à mes côtés, réellement, définitivement étaient tellement plausible après cette noyade que oui je n'avais pas sus gérer tout ça. Et puis j'étais arrivé ici parce que Méluzine s'absentait pour les deux semaines à venir, parce qu'elle avait besoin de se couper de Boston, parce que malgré ce Spring Break, ce Break de printemps, cette coupure n'avait pas été qu'une coupure dans les cours mais aussi une coupure dans nos vie, ce Spring Break avait causé beaucoup de tord à beaucoup de monde... Alors je me retrouvais chez toi et même si tu me disais que c'était pas le cas que ça te faisais plaisir, j'avais la sensation de m'imposer.
Notre petite routine s’était installé au fil des jours, un espèce de quotidiens, un peu trop réel un peu trop factice aussi parce que je sentais bien que tu te privais de certaine choses, ça se sentais ça se voyais et je ne disais rien. Parce que je profitais de ta présence. Pourtant rien ne t'interdisais de sortir, j'étais pas de ceux là, je ne l'étais pas de base et je ne le serai jamais, et puis ça voudrait dire aussi que je m'interdisais de voir mes amis... Seulement c'était la première semaine et t'avoir avec moi, rien qu'a moi, quasiment m'endormir dans tes bras, me réveiller à tes côtés, c'était bien trop délicieux pour ne pas vouloir en profiter encore un peu plus. Seulement entre temps Kat' m'avait proposé de la rejoindre, elle nous avais proposé de la rejoindre. Alors pourquoi pas, j'avais accepté, cela faisait tellement d'année que je n'avais pas mis les pieds en Italie, même pour allez voir mes grands parents en Sardaigne, bien entendu j'avais pris de leur nouvelles, mais ils faisais les déplacements plus que moi... peu être que j'allongerais le séjour pour les voir.
On avait abordé le sujet de Milan plusieurs fois, c'est vrai et peu être que j'étais un peu trop insistant à ce sujet, j'en sais rien pourtant je savais que tu ne viendrais pas, je le savais au fond de moi, que tu ne me suivrais pas, parce qu'il y avait tout ce passé bien trop difficile à encaisser, je le savais et pourtant une ultime fois que je redemander si tu étais certain de toi. Et ta voix raisonnais dans l'appartement, me décrochant un sourire quand tu déclarais que je partais super loin très bientôt, comme si je t'abandonnais, et que tu n'allais pas survivre sans moi, après cette semaine où on avait passé tellement de temps ensemble. Alors oui je m'en voulais un peu de couper cours à cette colocation, que tu nous avais offert. J'm'en voulais de te laisser et qu'a cause de ton passé tu ne puisses pas m'accompagner pour rejoindre cette Kat' qui nous manquais tant. Dis pas ça comme si je t'abandonnais … mais t'inquiète pas t'as pas être désolé, je sais pourquoi... avant de marmonner pour moi même, mais peu être un peu trop fort, j'sais pas : j'espère que tu pourras y retourner un jour être couper de ses racines n'est pas forcement bon non plus. L'odeur dans l'appartement changea rapidement, passant d'une odeur agréable à un légère odeur de brûlée, mélangé au café, je souriais pendant que je m'affairais sous le lit, me souvenant de son j'sais faire des œufs et encore je me moquais intérieurement parce qu'il était si attentionné, parce qu'il voulait bien faire... c'est pour cette raison que je me redressais rapidement, oubliant de replacer cette boite, bien trop pressé de venir déposer mes lèvres sur les siennes déposer mes yeux sur son corps que je savais quasiment nu avec le temps. Et déguster ce petit-déjeuner préparer avec attention... Enfin à peut prés. Mais dans cet empressement j'embarquais la boite avec moi.

La boite ouverte à mes pieds, les billets à mes pieds, les pieds dans le plat, encore et toujours, les pieds dans le plat, mais plus moyen de se dérober maintenant, ni toi, ni moi, plus moyen d'éviter la question, enfin peut-être si tu n'avais eu aucune réaction, que tu étais resté impassible, ou un peu moins angoissé. Peut-être que si je n'avais pas vus passé dans tes yeux la lueur d'un secret, alors peut-être que ton mensonge aurai pus passé, que comme tu disais tu me balançais un truc qui pourrait être vrai avec l'espoir que ça passe sans histoire... Mais même toi t'y croyais pas... Pas cette fois... Comment est ce qu'on pourrai se dérober cette fois ? Parce que tout ton corps transpirait le mensonge, ta voix transpirait le mensonge, je le savais et je sais pas ce qui était le plus difficile que tu continue à persister, dedans ? Que ce mensonge qu'on avait déjà abordé une fois et qui restais gravé sur toi, comme pour me le rappeler constamment, que tu voulais pas me dire les choses et que je t'avais poussé à bout. Et là dans cette chambre, ta chambre, tu sautais, plongeais dans ton mensonge encore plus fort, comme pour le protéger à tout prix. Alors je restais complètement spectateur de cette scène parce que je ne savais pas comment réagir, je sais plus quoi faire, parcourus d'un frison glacé. Deux choix s'offraient à moi, exploser parce que tu me mentais clairement, parce que plus d'une fois on avait parlé explicitement que tu avais un deuxième travail, réfléchissant même à un troisième. Et maintenant tes mains dans cette boite tu n'étais que barman, plus que barman et que cette argent était pour l'opération... J'me fichais pas mal des détails, pourtant... alors oui je pouvais exploser, foutre le camps, fuir, tout, toi et tes mensonges, parce que je ne savais plus quoi faire... parce que cette fois tu me mentais et t'avais même pas le courage de le faire dans les yeux. Je pouvais exploser et t'obliger à me regarder te contraindre, au risque qu'une énième marque s'appose sur ton corps, que tu t'imposerais toi même dés que j'aurai le dos tourné. Ou alors je pouvais te prendre la main, encore faisant fis de mes états d'âmes, passer outre tes mensonges et les blessures que tu m'infligeais dans mon cœur à cet instant, passer outre calmer la panique que je voyais en toi, que je voyais sur toi, tremblant comme une feuille. Faire fis de toute cette confiance que tu brisais avec des simples mots que tu avais déjà prononcé et auquel je n'avais pas crus la première fois, comment pus tu penser que ça marche encore une fois.
Alors je restais là interdis, réfléchissant à la meilleure option, parce que j'avais l'impression que la destination était un trajet sans retour. Parce que j'étais tiré entre les deux côtés, ces deux extrêmes. Je reculais pour laisser tomber mon siège sur le lit, me penchant, vers toi, lentement, ma main pour venais rencontrer la tienne, doucement, pour t'arrêter. J'avais vus s'était trop tard pour le cacher. J'attendais que tu relèves la tête, jusqu'à ce que ton regard croise le mien. Pour que tu puisses voir, que je secouais la tête que je te disais, que je te soufflais un calme... Arrête c'est trop tard.

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Vivre avec quelqu’un… Ce n’était pas quelque chose d’habituel pour moi. Je n’avais jamais réellement vécu avec qui que ce soit au cours de mon existence. Bien évidemment, je ne comptais pas les premières années de ma vie avec ma mère et mon père puisque ce n’était absolument pas la même chose. Je n’étais qu’un gosse. Je ne pouvais guère rester tout seul. Alors, ça n’avait rien à voir. Mais après ? Lorsque je m’étais retrouvé tout seul avec papa, je ne vivais pas vraiment avec lui. Je faisais tout mon possible pour le croiser au minimum et ainsi éviter les coups qu’il m’infligeait continuellement. Ce n’était pas une réelle réussite puisque papa avait rapidement compris mon manège et il s’était mis à m’attendre. Chaque jour. Chaque soir. Il s’installait dans son putain de fauteuil face à la porte et dès qu’elle s’ouvrait, il venait se venger sur ma peau. Alors ouais, je ne vivais pas vraiment avec mon père. Chez moi n’était chez moi que pour dormir parfois et me faire maltraiter toujours. J’essayais de passer certaines de mes nuits chez Milo, mais je ne pouvais pas m’y inviter tous les soirs. Pas en gardant la bouche close sur ce que je vivais. Et, à l’époque, il était hors de question que je parle. Il était hors de question que je me plaigne. Aussi, je ne pouvais jamais fuir ma maison de façon continuelle. Je n’aurais pas osé de toute manière puisque je savais que la punition aurait été terrible. Avec papa, je ne vivais pas. Je me contentais de survivre au sein d’un univers qui m’effrayait et qui me donnait tant envie de fuir. La mafia était arrivée par la suite. Et, si pendant des semaines, j’avais cru que j’étais réellement en train de vivre avec Antonio, je m’étais rapidement rendu compte que ce n’était pas le cas. Ce n’était pas ça vivre avec quelqu’un. Une fois remis du traumatisme avec mon père – autant que je pouvais m’en remettre – Antonio s’était mis à tirer les fils de ma marionnette. Je m’étais alors contenté de cohabiter en mode survie avec toutes les personnes de la mafia. Mon rythme de vie ne ressemblait pas à celui qu’ils avaient. Je passais mes journées seul dans la maison d’Antonio à dormir, à me faire soigner lorsque c’était nécessaire et à me remettre de toutes ces heures passées sous les mains d’autres personnes. Je passais mes nuits dans des hôtels luxueux à être utilisé par des clients d’Antonio. Alors, non, ce n’était pas une vie. Ce n’était pas ça vivre avec quelqu’un. Après la mafia, après avoir jouer à quitte ou double avec ma vie, je m’étais retrouvé sur la route pendant deux longues années. Deux années à changer si rapidement de villes que je n’avais jamais le temps de m’installer quelque part avec qui que ce soit. Je me contentais des chambres d’hôtels minables que je pouvais me payer. Je me contentais de ces nuits invité dans les chambres d’hôtels de clients. Je me contentais de ces journées à errer dans les villes sans réel but, sans réelle envie autre que de profiter de l’instant présent, de profiter de ma liberté. Je m’étais installé à Cambridge fin 2018 et j’avais refusé de me mettre en colocation. Je m’étais dégoté un petit appartement qui me convenait bien pour être tout seul. Avec mon trouble Borderline, je ne pouvais pas me permettre de vivre avec qui que ce soit. Il aurait fallu que je parle à cette personne de mon problème mental parce qu’elle aurait fini par être témoin de mes crises ou elle serait tombée sur mes médicaments à un moment ou à un autre. Alors ouais… Vivre avec quelqu’un, je ne connaissais guère et je n’avais pas voulu connaître. Enfin, ce n’était pas tout à faire vrai. Je commençais doucement à connaître cette vie. Je devais bien vous avouer que je vivais presque totalement chez Nixon depuis quelques mois. Je passais des semaines entières avec lui et une forme de quotidien avait pris place entre nous. Un quotidien qui ne m’oppressait pas parce que je savais que j’étais libre. Cette vie avec Nixon me plaisait à tel point que je me sentais de plus en plus prêt à vivre avec quelqu’un… Avec lui peut-être. Mais, depuis une semaine, je vivais plus réellement et plus concrètement avec quelqu’un d’autre que mon sexy tatoué. La situation se jouait dans un appartement que je payais. Mon appartement au sein duquel Lukas se trouvait à mes côtés depuis une semaine. Et, putain, j’aimais vivre avec quelqu’un… Non… J’aimais vivre avec Lukas. Savoir qu’il m’attendait le soir après le travail me donnait follement envie de rentrer. Savoir qu’il serait là à mon réveil me rassurait continuellement. Le simple fait de partager mon quotidien avec lui faisait battre mon cœur plus vite et plus agréablement. Vivre avec quelqu’un… En vérité, je détestais ça autant que je l’adorais. Le fait d’avoir Lukas chez moi me poussait à me sentir moins libre. J’avais l’impression de devoir me justifier pour tout ce que je faisais dès lors que j’avais du retard. Mon sexy musicien ne me le demandait même pas. Je le faisais simplement comme si je n’étais pas fichu de m’en empêcher, comme si j’avais besoin de dire les choses. Enfin, pas tout dire. Je n’avais pas avoué à Lukas que je continuais à voir Nixon même s’il était chez moi. Il avait su pour le mercredi soir et le jeudi bien évidemment puisqu’il s’agissait de l’anniversaire de Nix’. Néanmoins, toute la semaine dernière, j’avais croisé Nixon sur le campus pour des retrouvailles qui étaient loin d’être imprévues, pour quelques baisers échangés ou tellement plus. Je continuais de voir Nixon même si je n’en disais rien, même si je n’étais pas chez Nix’. Et j’avais un peu plus l’impression de tromper Lukas… De tromper Nixon… Avec cette semaine, je me rendais encore plus compte d’à quel point notre situation n’était pas bonne. Ma situation amoureuse n’était pas correcte. Et la fin du séjour de Lukas chez moi arrivait me poussant à me dire que je pourrais peut-être essayer de mettre de la distance de nouveau. Lukas partait bientôt. Étais-je paniqué de le voir partir ? Bien sûr. Étais-je rassuré de retrouver ma liberté totale ? Tellement ouais. Lukas allait retrouver Katalia en Italie et il rentrerait sans doute dans son appartement après ces quelques jours dans un autre pays. Sans doute ouais parce que nous avions bien parlé du fait qu’il pouvait rester chez moi, mais ça n’avait pas été réellement sérieux. Ça n’avait été qu’une discussion dans le fil conducteur de ce que nous disions. Ça n’avait été qu’une discussion que j’avais oublié ou peut-être un peu trop occultée parce que je n’étais pas vraiment prêt pour vivre avec qui que ce soit même si Lukas me faisait tant de bien. Allongé dans ce lit avec mon sexy musicien tout contre moi, je me sentais à ma place. Je me sentais heureux. Je me sentais apaisé. Je pouvais somnoler sans me faire attaquer par de sombres pensées. Je pouvais penser à tout et n’importe quoi sans pour autant me faire happer par l’horreur puisque les doigts de Lukas glissaient sans cesse sur ma peau et ils m’ancraient dans le présent. Dans ce silence agréable, je laissais mes doigts glisser sur la peau de Lukas que je connaissais par cœur après tous ces mois. Le bien-être finissait par se tarir lorsque Lukas s’évadait afin de rejoindre la douche. Zut… J’aurais bien aimé passer la matinée au lit avec le jeune homme moi. Cependant, je me doutais que Lukas avait des affaires à préparer pour son départ en Italie. Aussi, je le laissais filer simplement tout comme je le laisserai prendre cet avion pour l’Italie même si je n’aimais pas ça. Il faudrait que je prévienne Kat’ de faire attention à lui. Il faudrait que je lui explique dans les grandes lignes pour qu’elle soit capable de s’occuper de lui s’il partait dans une panique incontrôlable. Parviendrait-elle à mettre de côté ses problèmes afin de se concentrer sur ceux de Lukas ? Je l’espérais putain. Rien que d’y penser, je sentais mon cœur cogner plus fort. La situation m’angoissait. Je savais mettre de côté les choses pour me concentrer sur Lukas… J’en étais capable. Est-ce que Kat’ le pourrait aussi ? Réellement ? Je l’espérais tellement, mais il faudrait que je lui parle avant le départ de Lukas. Pour me rassurer. Peu désireux de me laisser envahir par ces angoisses, je me levais du lit enfilant un boxer propre et rien de plus. Je n’avais plus besoin de cacher mon corps comme les premiers matins où Lukas s’était trouvé là. Je ne me sentais plus obligé de me précipiter sur des vêtements comme si j’avais peur que Lukas réalise d’un seul coup que j’avais beaucoup trop de cicatrices alors que, damn, il les connaissait maintenant. Je me mettais en action pour tenter de préparer le petit-déjeuner du jour : des œufs et du café. Il ne fallait pas trop m’en demander derrière les fourneaux. Et, je sursautais en entendant la voix de Lukas parce que je ne le pensais pas déjà hors de la douche. Il me rappelait son départ et me demandait confirmation de nouveau pour être sûr que je ne voulais pas venir. Je babillais une réponse exagérant à peine ma réaction déçue de son départ et confirmant que je ne voulais pas le suivre en Italie. Je m’excusais comme si j’étais trop responsable et que je nous empêchais de vivre quelque chose. Lukas me répondait de ne pas dire ça comme s’il m’abandonnait. Il me disait de ne pas m’inquiéter, de ne pas avoir à être désolé parce qu’il savait pourquoi je refusais de venir. Bien sûr qu’il savait pourquoi je n’avais pas envie de rentrer en Italie. S’il n’avait pas été au courant de mon passé, s’il n’avait pas été dans la confession, comment aurais-je pu lui dire que je ne voulais pas l’accompagner dans ce voyage ? Il ne l’aurait pas compris sans doute et nous nous serions pris la tête à ce sujet. Aussi j’étais heureux de lui avoir ouvert la toile de mon passé pour qu’il puisse comprendre et qu’il ne m’en veuille pas. Je l’entendais marmonner d’autres mots qui ne résonnaient pas correctement dans ma tête. Alors, je soufflais.

Tu m’abandonnes un peu quand même… Mais j’comprends parfaitement Amore et t’sais très bien que je t’en veux pas… J’suis content que tu puisses aller en Italie, ça va te faire du bien de changer d’air…

Ma voix était douce. Je tentais de rassurer mon sexy musicien parce que je me trouvais dans cette cuisine et que je ne pouvais pas le prendre dans mes bras en soufflant ces mots. Je ne pouvais pas le tenir tout contre moi pour qu’il se rende compte que mon reproche n’était pas réellement un reproche. Est-ce qu’il le devinait ? Est-ce que le reste de mes propos l’aidait à s’en rendre compte ? Est-ce qu’après cette semaine de colocation, il me connaissait encore mieux pour le savoir ? Peut-être. Je l’espérais sincère parce que je n’avais aucunement envie de me prendre la tête avec lui ce matin. Je ne voulais pas créer d’ennuis. Je ne voulais pas connaître de dispute à quelques jours de son départ. Ce matin, je désirais simplement lui apporter ce petit-déjeuner que je préparais. Je voulais le faire basculer dans mon lit sous mon corps afin de capturer ses lèvres de nouveau. Je désirais laisser mes doigts glisser sur la peau délicieuse de mon sexy musicien. Ouais putain… Même s’il avait des choses à faire et à préparer, j’avais envie de le faire mien ce matin encore et je comptais bel et bien le faire. Il ne me résisterait pas n’est-ce pas ? Je ne lui aurais pas résisté de mon côté tant il me rendait fou. Dans mon esprit, le plan de cette matinée se dessinait ainsi et cela me poussait à sourire. Mon cerveau s’évadait quelques instants afin de se concentrer sur les propos que Lukas avait marmonné un peu plus tôt. C’était comme si une partie de moi voulait absolument savoir ce qu’il avait pu souffler. C’était comme s’il était trop important que je puisse décoder quelque chose qui m’avait échappé. Alors, je me concentrais afin de tenter de démêler les mots du bruit parvenu à mes oreilles. Je faisais un réel effort pour parvenir à savoir ce qu’il avait pu marmonner. Et, plus le bruit se rejouait dans ma tête, moins je le comprenais en vérité. Je n’avais compris que ce ‘retourner un jour’ qui, au final, me permettait peut-être de deviner ce que mon sexy musicien avait dû souffler. Il avait dû formuler cet espoir que je puisse retourner en Italie un jour. Il avait dû formuler cet espoir que je puisse rentrer chez moi à un moment ou à un autre de mon existence. Mes racines étaient là-bas. Toute la vie de maman avait été là-bas. La tombe de ma mère se trouvait en Italie aussi. Putain, depuis combien d’années n’y étais-je pas allé ? Mon cœur se serrait douloureusement à cette pensée. Je savais que si je retournais dans mon pays natal, la première chose que je ferais serait de me rendre au cimetière afin de visiter ma mère. Ouais, putain, je voulais le faire un jour. J’en avais réellement envie. J’en avais tellement besoin. Je voulais en être capable. J’y avais pensé plus d’une fois. Plus d’une fois, j’avais regardé le prix des billets pour un aller-retour express sur mes terres natales. Cependant, à chaque fois, je m’étais découragé avant de faire quoi que ce soit. Je ne pouvais pas rentrer. Que se passerait-il si mon père était toujours en Italie ? Il était plus probable qu’il soit en Irlande sans doute, mais je ne pouvais pas savoir. Rien n’était confirmé. Puis, merde, que se passerait-il si la mafia me reconnaissait ou entendait parler de moi ? Je n’étais pas le plus discret des mecs par moment surtout que je risquais de sortir dans des bars et de me foutre la tête à l’envers. Je risquais de chuter en me rendant en Italie parce qu’il y avait tant de mauvais souvenirs. Pourtant, sans même que je m’y attende, je babillais suffisamment fort pour que Lukas m’entende « Tu… Peut-être qu’un jour… Dans quelques mois… J’sais pas… Peut-être qu’on pourra essayer d’aller en Italie… Tous les deux… Mais juste une journée et si ça va pas on repart… » Je me mettais à l’imaginer pendant quelques secondes. Durant quelques minutes, je me perdais dans cette folle idée et je ne parvenais pas à savoir si elle était vraiment bonne. Je ne pouvais guère me décider. Puis, merde, j’avais encore le temps d’y réfléchir. Rien n’était fait. Il ne me forçait aucunement à partir. Je pourrais y repenser plus tard. Contre lui. L’odeur de brûlé me percutait soudainement et mes yeux se posaient sur les œufs. Ils étaient trop cramés… Bon, ce n’était pas autant que la fois où j’avais vraiment failli m’être le feu à la cuisine la semaine dernière, mais quand même ils étaient loin d’être réussi. Jurant à voix basse, je les retournais pour observer les dégâts. Ils seraient sans doute mangeables ceux-là, mais je restais déçu. Je n’étais pas foutu de réussir à préparer au moins un bon petit-déjeuner à mon sexy musicien et cela m’agaçait royalement. J’aurais tant aimé savoir cuisiner correctement. Cependant, cela ne semblait vraiment pas être pour moi. Je finissais toujours par me perdre dans d’autres pensées au point d’oublier la cuisine. Je mettais les œufs dans une assiette tout en soupirant devant mon incapacité. Et, après avoir préparé une tasse de café, je retournais dans la chambre armé de ce petit-déjeuner spécialement réservé à mon Lukas. Les yeux rivés sur les œufs, je babillais sur l’état de la nourriture comme pour m’excuser d’avancer d’avoir encore loupé quelque chose d’aussi simple. Néanmoins, je n’avais même pas le temps de finir ma phrase puisque mes yeux se posaient sur la boîte au sol. Cette foutue boîte à chaussures qui étaient censée être sous mon lit. C’était une bonne cachette non ? Et, puisque Lukas savait que je prenais de la drogue, cette boîte aurait pu être l’endroit où je planquais ma drogue simplement tant et si bien que je ne l’avais pas changée de place avant qu’il ne vienne. Je pensais qu’il n’y toucherait pas. Pourtant, là, la boîte était grande ouverte. Les billets s’étalaient au sol. Je déraillais. Je sombrais. Je glissais. Mon cœur cognait si fort que j’aurais aimé porter ma main à ma poitrine avec l’espoir de le calmer. Je me mettais à haleter tant et si bien que je n’étais plus certain de savoir respirer. Mes prunelles se relevaient sur Lukas. Il était là et il semblait attendre une explication. C’était presque comme s’il me mettait devant le fait accompli cette fois. J’entendais les questions résonner dans ma tête. D’où vient tout cet argent ? Comment tu fais pour l’avoir et te payer tes médicaments ? Ça ne peut pas venir que d’un emploi de barman n’est-ce pas? Je mordillais nerveusement ma lèvre en réfléchissant déjà aux propos qui allaient franchir mes lèvres. Est-ce que je pouvais me sortir de cette situation sans lui avouer la vérité ? Est-ce que je pouvais trouver quelque chose qui me permettrait de ne pas lui confier mon véritable métier ? Pâle comme un linge, je me dirigeais vers la table de nuit pour déposer l’assiette et la tasse de café avant qu’elles ne m’échappent des mains. Et, tremblant, je me penchais afin de ramasser le contenu de la boîte. Je babillais une explication un peu trop bancale et pourtant si réelle. Cet argent était pour mon opération. C’était vrai. La majorité des billets dans cette boîte l’était. Cet argent venait de mon salaire de barman. Ça c’était faux par contre. Mon salaire de barman me servait plus pour les factures, la bouffe, l’essence… Les choses quotidiennes de mon existence. Tandis que je m’affairais à ranger les billets, Lukas s’asseyait sur le lit sans même prononcer un seul mot. Il se penchait vers moi et je ne le voyais même pas jusqu’à ce que sa main ne  saisisse la mienne. Doucement. Réellement. Je sursautais au contact que je n’attendais pas. Il tentait de m’arrêter et j’obéissais presque aussitôt. Je me stoppais dans mes mouvements et je restais simplement accroupis au sol. Quelques secondes à fixer les billets. Quelques secondes à tenter de contrôler mon souffle avant d’oser relever la tête. Mes prunelles sombres croisaient le regard blessé de Lukas. Il secouait la tête et je fermais les yeux sous la déferlante de douleur qui me percutait violemment. Il me soufflait cet ‘arrête’ beaucoup trop calme qui faisait pulser mon cœur encore plus vite. Foutrement trop vite. Ma respiration se coupait de nouveau. Je me remettais à haleter tandis que je me laissais doucement tomber en arrière. Je m’asseyais à même le sol rouvrant mes yeux emplis de larmes pour les planter dans ceux de Lukas alors que j’ouvrais la bouche. « Je… » Je me stoppais là. Si rapidement. Si réellement. J’étais tellement perdu. Est-ce que la vérité devait vraiment sortir aujourd’hui ? Alors qu’il se trouvait chez moi ? Alors qu’il n’y avait personne chez lui ? Est-ce que la vérité devait sortir avant qu’il parte en Italie ? Et putain, s’il m’abandonnait totalement ? Un sanglot passa entre mes lèvres malgré tous mes efforts pour le contenir alors que le pire se dessinait dans ma tête. Je ramenais mes genoux contre mon torse. Je croisais les bras sur mes genoux enfouissant ma tête à l’intérieur. Quelques secondes. Juste le temps de contrôler les sanglots qui me parcouraient. Lorsque je parvenais à les calmer un peu, je me redressais à peine. Et, sans oser le regarder, je babillais « Je… J’sais que j’ai parlé de chercher un troisième boulot… J’m‘en suis rendu compte et je… Tu m’as pas questionné sur le deuxième… J’sais pas ce que tu as imaginé… Mais je… L’argent dans cette boîte… Les longues nuits dehors je… Ce… C’est mon deuxième boulot… » Je tremblais de plus en plus. Mon cœur cognait si fort que j’avais l’impression de n’entendre que ça. Je me levais soudainement. Si soudainement que je manquais de tomber. Me dirigeant vers la table de nuit, je choppais mon paquet de clope en glissant une entre mes lèvres. Je perdais deux minutes à l’allumer tant mes doigts tremblaient. Mais, finalement j’y parvenais. Je tirais dessus. Une fois. Deux fois. Je faisais quelques pas dans la pièce. Je m’arrêtais debout face à Lukas à quelques mètres de lui. À quelques mètres du lit. Ma langue passait sur mes lèvres. Je fixais mon sexy musicien un instant. Je portais ma clope à mes lèvres avant de basculer la tête en arrière fixant le plafond tout en soufflant la fumée dans les airs. Et, fermant les yeux, je lâchais la bomber sans oser le regarder parce que je ne pouvais pas voir son visage. Je ne voulais pas voir sa réaction.

Prostitué… C’est ça mon deuxième boulot…


@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
Description (1) :

How can I trust you? Neakas 210307011101321484 How can I trust you? Neakas 210307011100239403 How can I trust you? Neakas 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas 210307010918770936 How can I trust you? Neakas 210307011001575388 How can I trust you? Neakas 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

How can I trust you? Neakas 210307010926939059
” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas 2511619667
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• Têtes de Mules
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• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
How can I trust you? Neakas 2oor
• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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How can I trust you? Neakas 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


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Messages : 46487
Préférences de jeu
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Lukas O. Spritz-Hood
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LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Ce matin je savais qu'il fallait que j'agisse, que je prépare mes affaires, seulement je n'arrivais pas à venir briser cette sérénité qui s'était installé en moi depuis mon réveil, j'étais bien trop agréablement installé contre toi, laissant glisser mes doigts contre corps venant dessiner des choses et d'autre, peut être y laisser même écrire un ou deux je t'aime au fil des minutes. Mais aussi parce que je te savais réveillé et que ta main en faisait de même dans mon dos et que ça rendait le tout bien trop agréable, et que j'aurai pus rester encore des heures à attendre comme ça, le temps qui passe. Mais non j'avais des choses à faire alors dans un soupire de désespoir que déposais mes lèvres contre les tiennes, rapidement pour éviter de me faire prendre dans tes filets, parce que je risquait de prendre du retard dans ma journée, même si j'avais du temps devant moi.
Je rejoignais la douche, et la sérénité du lit me quittait peu à peu parce que je savais qu'il ne me restait plus beaucoup de temps à faire ces aller-retour, entre le lit et cette douche, cette douche et tes bras, je devais rejoindre notre Kat' qui amputait notre colocation, et je savais que tu allais t'inquiéter beaucoup trop de mon absence, que t’allait te sentir impuissant s'il m'arrivait quelques choses, que tu t'en voudrais, parce que malgré tout t'avais du mal à lâcher du leste, mais là tu n'aurais pas d'autre choix, et c'était bien plus radicale que ce que je pensais à la base. Alors peut être que c'est pour ça que je ramenais aussi le sujet de mon départ sur le tapis à la sortie de la douche.
Oui tes mots sonnais comme un abandon un peu poussé alors je jouais un peu de ça, parce que ça me plaisais te t'entendre dire que ou que tu me fasse comprendre que tu préférais que je reste à tes côtés parce que j'y était sacrément bien, mais il y avait Kat' et elle avait besoin de moi, et j'avais besoin d'elle aussi, parce que son absence lors de ces deux semaines n'avaient pas était comblé par ta présence. Non tu ne pouvais pas combler l'absence de Kat', parce qu'elle était devenue indispensable dans ma vie elle aussi, elle était de ces amis, qui prenait une place essentielle dans ma vie, bien trop importante. Alors oui je t'abandonnais un peu quand même comme tu disais. Mais tu comprenais et un ne m'en voulais pas. T'étais tout de même content que je puisses partir pour changer d'air. C'est pas comme si nous revenions tout juste du Spring Break, le changement d'air datait de deux petite semaines, mais deux petites semaines qui n'avaient pas été normale. Alors oui peut-être que ce changement d'air pour Pacques était le bienvenu j'en sais rien. Alors pour répondre à tes mots dans cette voix douce qui se voulais cajoleuse, bien sur que je savais que tu ne me reprochais rien, je n'avais rien d'autre qu'un Je t'aime tu le sais ça... a te laisser. Mais bien sûr que tu le savais puisque je passais mon temps à te le dire, à te l'écrire. Avant de me mettre a marmonner pour moi même, que j’espérais qu'un jour tu pourrais retourner en Italie, mais peut être un peu trop fort, puisque qu'après quelques seconde ta voix raisonnais pour une réponse à cette réflexion, cette espoir, que j'avais pour toi. Je me laissais aller à un sourire, tout de même parce que t’étais plus si catégorique, alors oui j'avais un doux sourire sur le visage, qui t'étais destiné même si tu n'étais pas là face à moi. Alors je laisser flotter un Oui qui traduisais ce sourire que je te destinais. Je te forcerai pas, jamais, tant que tu ne serais pas prés, si ça prend des semaines, des mois, des années... Il fallait que tu puisses y retourner. J'avais tellement d'espoir pour toi en fait. Beaucoup trop, j'étais même pas certain qu'une vie suffirais pour tous les réaliser mais pourtant il le fallait, j'le voulais pour toi. Et l'odeur changeante me faisais me redresser, au moins ça sentais moins fort que la dernière fois. Et je sentais bien que tu pestais intérieurement parce que la cuisine et toi ça faisait quatre, mais il y avait d'autre chose que tu savais faire. Alors oui c'était pas vitale, mais peut être que si tu transposais la mécanique dans la cuisine tu y arriverais. Je secouais à cette idée, non trop d'objectif. Tu faire accepter Meeko, tu faire prendre confiance en toi et accepter le regard des autres, c'est déjà de sacré challenge, 'fin le dernier plus que le premier, alors rajouter la cuisine. Oui je me redressais pour venir chercher un baisser, parce que le bruit des couverts raisonnais dans l'assiette sonnant l'heure d'un petit-déjeuner ''raté'' préparé avec amour, que je dévorerai, je me retournais pour venir chercher un baisser qui ne viendrait pas, faute à cette boite à mes pieds.

Et cette scène légère fut rapidement remplacé par, quelques chose de plus sérieux, en présence de cette boite, et de ces billets, en présence de toi et moi, de ce face à face, auquel on ne pourrait pas se dérober. Un face à face, qui me fis m'asseoir.
Assis sur ce lit je te regardais essayer de ranger ces billets, comme pour cacher mais c'était trop tard, ton visage quelques secondes plutôt avait dis trop de choses, tes yeux avaient dis trop de choses, ton corps présentement disais trop de chose, me renvoyais le mensonges qui passais tes lèvres, et ça faisait tellement mal Neal, putain ouai, et je restais interdis sentant, beaucoup trop de chose monter en moi. Tu essayais de t'affairer pour cacher ces billets verts, mais ça ne servais à rien. Alors je tendais ma main vers la tiens, une main tendue, encore, toujours, à jamais Neal, je crois qu'on pouvait le dire maintenant, à jamais, j'aurai toujours une main tendue vers toi pour venir chercher, quoi que tu fasses, quoi que tu me fasses, j'aurai toujours une main tendue pour toi, quoi que tu me fasses. Qu'importe jusqu'au tu brisais ma confiance, qu'importe à quel point tu me faisais mal, ma main serai là, toujours, à jamais. Ma main s'approchant de la tienne, bien sur tu ne t'attendais pas à a ce que je viennes te décrochant ce sursaut auquel je m'attendais, mais qui me surpris tout de même. Je te lâchais pas du regard, attendant que tu viennes à moi, silencieux patient encore, toujours, te regardant agir comme un enfant devant sa bêtise, avait d'avoir tes yeux dans les miens un instant, quelques seconde, peut être un regard qui en disais trop sur moi, un regard bien trop blessé de ces mots que tu m'avais déjà lâchais, quelques secondes avant de perdre tes yeux dans cet arrête que je te soufflais.
Tu te laissais tomber au sol avant, de te reconnecter avec moi, d'un de ces regards que je ne te connaissais pas, Amore qu'est ce que c'était que ces yeux là ? Ces yeux plein de larmes totalement perdu, faisait monter encore plus les miennes ? Tu essayais un je ne sais quoi, avant de laisser tomber, et je ne lâchais pas ton regard dans lequel je voyais des questions qui t'étais propres, que tu garderais, mais traduisais un certaine peur, j'le sentais, au fond de moi je le sentais. Et ton sanglot ne venais pas aider dans tout ça, laissant les larmes perler sur mes joues. Puis tu te recroquevillais sur tout même, comme pour te sécuriser, comme pour te rassures, comme pour reprendre des forces, comme si ça te permettais de trouver la solution à la scène qui se jouait. Tu étais le seul maître Neal, parce que je pouvais rien faire, rien dire, qu'est ce que j'aurai pus faire, qu'est ce que j'aurai pus dire ? Tu parvenais tout de même à te calmer, pour ouvrir la bouche, et mon cœur se mettait à battre, vite, douloureux, beaucoup trop, introduisant nos discussion passées. Cette évocation d'un troisième travail, auquel je t'avais plutôt proposé de prendre un véritable travail si tu comptais arrêter les cours. Oui je t'avais pas posé de question, parce que je m'étais imposé dans ma tête et dans mon corps, dans mon cœur que t'étais dealer, que tu dealais pour avoir tout ce dont t'avais besoin, j'veux dire, s'était tellement plus simple de croire ça, mais au fond ça sonnait faux nan ? Parce que même si ça faisait une semaine que tu rentrais tôt, il y avait eu toute ces nuits, oui tu étais rentré à pas d'heure. Mais surtout ces mots, qui raisonnais depuis mois, encore toujours, je veux pas y retourner dans la rue. … ces mots ils étaient toujours là gravé quelques part, attendant une réponse. Et ils revenaient de plein fouet en moi, parce que ces mots les longues nuits dehors les appelaient avec une forces invraisemblable, parce que je voulais pas de mensonge je sentais que la vérité allait arrivée. Mais est ce que j'allais pouvoir l'encaisser ? Est ce que j'allais pouvoir l'accepter ? Alors j'attendais...
Je laissais les secondes passer, les minutes passer attendant que tu sois prés à me lâcher la vérité, qui venais s’imposer mais que je ne voulais pas croire tant que ça n'aurai pas passais tes lèvres. Tu avais changé de place et mes yeux venais se planter sur cette boite, me disant que j'aurai mieux fait de ne jamais y toucher, que j'aurai mieux fait de faire comme tout les matins, la remettre à sa place et reprendre ma vie. Mais non aujourd'hui j'étais trop pressé de retrouver tes lèvres. Je relevais les yeux sur toi la blessure n'étais plus là, mais il me fallait les mots tu devais me les donner. Et mon cœur battait fort, et mon souffle était dur, et mon ventre se tordait dans l'attente alors que je te regardais. Trois, Deux, Un... Tu la lâchais. La vérité, parce que ça on pouvait pas l'inventer... Parce que tu ne pouvais pas mentir sur ça... parce que ça finissais un puzzle que j'avais commencé en début d'année. Nan tout ceci ne pouvais pas être un mensonge. Et qu'est ce que ça me faisais maintenant de savoir ? Qu'est ce que ça changeait maintenant ? J'en savais rien, j'avais cette vérité, et je ne savais pas quoi en faire... Parce que maintenant que le puzzle était terminé je devais me prononcer... Je voulais pas me prononcer... Je pouvais pas me prononcer...
Alors par automatisme je me redressais pour m'approcher de toi, passer mes bras autour de toi, j'sais pas si t'en avais besoin mais moi, j'avais besoin de ça tout de suite, te prendre dans mes bras, te serrer contre moi, parce que je savais pas ce que ça changeait , si ça changerai quelques choses, mais tout de suite j'avais besoin de ton corps contre le mien. Et te lâcher ce Merci qui pansait la blessure de ton mensonge passé, ce merci que je t'avais peu être déjà servis par le passé, j'sais plus, ce merci parce que je savais que c'était la vérité.

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
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Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
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Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
Préférences de jeu
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Mes doigts glissaient dans le dos de mon sexy musicien traçant des motifs sans réels sens… Ou peut-être bien que j’étais en train de dessiner des cœurs sur sa peau si douce… Peut-être bien que j’écrivais ce Ti Amo qui cognait à chaque battement de mon cœur… Mes doigts glissaient avec tendresse sur la peau offerte de Lukas et je me laissais emporter dans un tourbillon de pensées. Des pensées qui pouvaient me déranger désagréablement de façon générale. Des pensées qui aujourd’hui ne parvenaient pas à m’angoisser. J’étais dans mon lit. Lukas était contre moi. Je sentais sa peau chaude contre la mienne. J’entendais sa respiration si rassurante qui résonnait dans la pièce. Je n’avais aucune raison de me laisser aller à la panique. Je n’avais aucune raison de plonger dans une angoisse dévastatrice. Je pouvais juste réfléchir tout en me concentrant sur les doigts du jeune homme qui glissaient sur ma peau. Ces doigts qui m’ancraient tellement bien dans la réalité de cet instant magique que nous partagions. Ces doigts qui auraient pu réveiller mon désir si je me concentrais uniquement sur eux. Mais, ce n’était pas le cas. Je divaguais dans ma tête. Je repensais à des mots que j’avais lancé à mon sexy musicien. Je lui avais proposé de venir ici même à son retour de voyage… Je lui avais proposé de vivre chez moi même si c’était sur le ton de la rigolade. Mais, putain, je n’aurais jamais dû faire ça. Qu’avais-je dis à la meilleure amie de Lukas lors de l’anniversaire de mon sexy musicien ? Je lui avais dit que je ne comptais pas faire miroiter quelque chose au jeune homme si je n’étais pas sûr de pouvoir lui offrir à cent pour cent. Alors, putain, qu’est-ce que je foutais avec cette espèce d’invitation ? J’avais même osé parler de mariage… C’était tombé dans la discussion… Ou je l’avais un peu provoqué… Je ne savais plus. Mais, putain, j’en avais parlé. Et je n’aurais jamais dû. J’aurais pu partir encore plus loin dans ces réflexions, mais du mouvement m’interpellait. Lukas finissait par quitter mes bras afin de rejoindre la douche et je restais quelques secondes couché dans mon lit. Je restais quelques secondes immobile comme si j’étais prêt à attendre que mon sexy musicien revienne pour le capturer cette fois parce que, damn, il avait su échapper à mon corps quelques minutes plus tôt, mais je ne comptais pas le laisser tranquille aujourd’hui. Certainement pas ce matin. Cependant, bien trop vite, les nuages sombres de mes pensées planaient de nouveau au-dessus de moi et je m’empressais de me lever. Je quittais mon angoisse afin de rejoindre la cuisine pour préparer l’unique petit-déjeuner que j’étais en mesure d’offrir au jeune homme. Le seul petit-déjeuner que je pouvais tenter de réussir sans la moindre garanti de succès en plus. Et, tandis que je m’agitais en cuisine afin de combler ce garçon qui faisait tant pulser mon cœur, sa voix se mettait à résonner dans l’appartement. Elle parvenait à mes oreilles entraînant aussitôt un sourire sur mon visage. Il était tellement agréable de l’entendre. C’était foutrement bien de savoir qu’il se trouvait dans les parages à agir comme chez lui. J’aimais ça. J’aimais poser mes yeux sur ses affaires qui se trouvait là. J’aimais sentir son parfum dans l’air. J’aimais entendre sa voix comme ça comme si… Comme si nous étions un couple normal. Mais, damn it… C’était foutrement dérangeant n’est-ce pas ? J’étais en train de donner vie à une routine que nous allions devoir casser. J’étais en train de m’accrocher à quelque chose qui n’allait pas durer. Quelque chose que je ne pouvais pas faire durer. Et, au-delà de me faire du mal à moi, ça allait lui en faire aussi. Tiens… En parlant de cette fin, Lukas la mettait sur le tapis et je répondais de façon exagérée le poussant à me répondre de ne pas dire les choses de cette manière. Pourtant, j’en rajoutais une couche soufflant qu’il m’abandonnait un peu quand même. Je jouais. Je le taquinais. Je soufflais ces mots uniquement pour m’amuser. Je sifflais ces propos simplement pour lui montrer à quel point sa présence allait me manquer, à quel point il allait me manquer. Je soufflais ces mots pour lui prouver que je n’avais pas réellement envie qu’il quitte mon appartement. S’il s’était contenté de rentrer chez lui, est-ce que j’aurais agis pareil ? Sans doute pas non… Ou moins en tout cas. Son appartement était proche et je pouvais toujours y aller en quelques minutes de trajet en moto. L’Italie en revanche… C’était loin. Tellement loin que je sentais déjà la boule d’angoisse remonter dans mon être. Comment allais-je faire pour contrôler mon angoisse constante ? Déjà que lorsqu’il se trouvait à Boston, je ressentais cette anxiété… Comment j’allais faire pour gérer lorsqu’il serait vraiment loin et que je n’aurais aucun moyen de réellement agir s’il y avait un problème ? Damn it. Est-ce qu’il faudrait que j’augmente les doses de mes médicaments pour lutter contre cette panique ? Est-ce qu’il faudrait que je me mette à passer mes nuits à l’extérieur à laisser la drogue circuler dans mon corps ? Est-ce qu’il faudrait que j’aille m’offrir à des inconnus toutes les nuits pour que l’angoisse disparaisse un temps ? Je n’en savais foutrement rien. Et, putain, je ne voulais pas y penser. Il me restait encore quelques jours avec Lukas. Il me restait encore quelques jours à profiter de sa présence au sein de mon appartement. Je babillais qu’il m’abandonnait, mais ma voix était douce et il n’y avait aucun reproche. Bien au contraire, j’étais heureux qu’il puisse partir en Italie après ces dernières semaines qui n’avaient pas été de tout repos. J’étais heureux qu’il puisse se changer les idées loin de tout ça. Mon sexy musicien devinait parfaitement que je ne lui en voulais pas parce que le ‘je t’aime’ ne tardait pas à résonner dans mon appartement. Mon cœur cognait plus fort de façon tellement agréable. Mon ventre se nouait délicieusement sous ces mots. Le sourire refusait de quitter mes lèvres tandis que je rétorquais « Je t’aime aussi Amore… » Ça glissait si naturellement entre mes lèvres à présent. C’était parfaitement normal de souffler ces mots à l’attention de Lukas. Je n’avais plus aucune difficulté à lui confier mes sentiments. Putain, comme les choses avaient changé en quelques semaines. Quelques semaines plus tôt, un mois plus tôt, je n’étais pas foutu de lui dire que je l’aimais en retour dans cette chambre d’hôpital. Aujourd’hui, je ne m’imaginais pas passer une journée sans lui dire que je l’aimais comme si j’avais peur qu’il puisse oublier cette vérité. C’était comme si j’avais peur que mes propos s’envolent de sa tête ou s’effacent de son cœur. Je voulais lui dire que je l’aimais. Encore et encore. Toujours. Sans cesse. Je voulais lui souffler incessamment comme pour lui montrer que, malgré la particularité de notre situation, je ne jouais pas avec lui. Je demeurais sincère. Je l’aimais réellement tout comme j’aimais Nixon. Au diable les personnes qui osaient dire que ce n’était pas possible d’aimer deux personnes à la fois. J’aurai aimé que quelqu’un soit dans ma peau pour se rendre compte que c’était possible. Mes sentiments pour Lukas étaient aussi forts que ceux que j’avais pour Nixon. Mon histoire avec Lukas n’était pas la même que celle avec Nixon, mais elles me faisaient du bien toutes les deux. Elles m’apportaient quelque chose dont j’avais besoin. Je savais qu’un jour il faudrait que je prenne une décision. C’était prévu. C’était essentiel. Mais, putain, j’étais tellement effrayé à l’idée de ce choix que je ne voulais même pas y penser. Non, plutôt me concentrer sur le présent. Ce matin où j’avais envie de montrer à mon sexy musicien combien je l’aimais. Les gestes valaient plus que les mots parfois. Alors ouais, ce matin, après le petit-déjeuner que je préparais spécialement pour Lukas, je désirais le faire mien. Je me fichais de retarder son programme. Je me foutais de me mettre en retard pour ma propre journée. La seule chose qui comptait était ce temps que j’avais en compagnie du jeune homme. Ce temps dont je voulais réellement profiter.  Je désirais glisser mes mains sur sa peau. Je voulais lui murmurer combien il était beau. Je désirais laisser mes lèvres recouvrir son corps de baisers. Je voulais lui susurrer à quel point je l’aimais. Je désirais le posséder et lui faire atteindre le septième ciel. Putain ouais, j’en avais follement envie. Rien que d’y penser, mon bas-ventre se tordait de désir. J’avais envie de faire ça chaque matin avant qu’il ne parte. Avant qu’il ne s’envole loin de moi. Avant qu’il ne prenne cet avion afin de rejoindre Katalia en Italie. Dans mon pays.

Ce pays où je n’avais pourtant pas mis les pieds depuis que j’avais pris la fuite. Ça faisait quoi maintenant ? Cinq ans ? C’était tellement long. Tout le désir que je ressentais quelques secondes plus tôt s’évaporait pour laisser place à la culpabilité. Elle pointait le bout de son nez me poussant à me sentir mal. Je m’en voulais de ne pas être allé au cimetière depuis tout ce temps. Ma mère ne sortait bien sûr jamais de ma tête. Je fixais souvent cette photo d’elle qui se trouvait dans mon portefeuille. Il m’arrivait même de lui parler comme si elle pouvait m’entendre. Néanmoins, cela faisait de trop nombreuses années que je n’étais pas allé sur sa tombe. Et, cette soudaine pensée me poussait à babiller que peut-être un jour dans quelques mois, Lukas et moi pourrions essayer d’aller en Italie juste tous les deux. Nous pourrions tester d’y aller sur une journée pour voir si je pouvais réellement gérer. Une simple journée qui me permettrait sans aucun doute d’aller au cimetière. Une simple journée sans autre programme parce qu’il faudrait voir au fur et à mesure. La proposition était lancée à haute voix sans même que je ne me rende compte de ce que je foutais. Et, Lukas ne tardait pas à laisser flotter un oui dans l’air. Un oui qui me laissait foutrement rêveur. Est-ce que je pourrais réellement retourner voir la tombe de maman ? Est-ce que je pourrais lui montrer mon vrai chez moi ? Lui faire visiter tous ces endroits qui avaient bercé la majorité de ma vie ? C’était diablement tentant. C’était aussi réellement effrayant. Que se passerait-il si… L’odeur de brûlé m’arrachait soudainement à ces pensées aussi angoissantes qu’intéressantes. Elles m’angoissaient parce qu’elles me poussaient à penser à tant de choses que je n’avais encore jamais envisagées. Elles m’intéressaient parce qu’elles m’ouvraient un futur auquel je n’avais jamais réellement pensé tant j’étais persuadé que l’Italie était désormais la zone rouge. Chassant toutes ces pensées, je me mettais à râler dans ma cuisine. Non, mais franchement, il devrait exister des machines pour tout préparer tout seul. Ce n’était clairement pas possible de laisser une personne comme moi derrière les fourneaux. Il ne fallait surtout pas m’offrir la possibilité de cuisiner. Ce matin était moins atroce que la semaine dernière ou que d’autres jours où, seul dans mon appartement, j’avais failli mettre le feu. Ce matin, les œufs étaient cramés certes, mais ils demeuraient mangeables. J’en étais persuadé quand bien même je m’en voulais d’une telle incapacité de ma part. Moi qui voulait tant faire plaisir à mon sexy musicien, ça commençait mal. Pourtant, je préparais sagement l’assiette et la tasse de café avant de me diriger vers la chambre pour retrouver Lukas qui viendrait sans doute quérir mes lèvres comme pour me dire qu’il ne m’en voulait pas d’avoir encore une fois raté le petit-déjeuner. Ça avait été comme ça les quelques fois où je m’étais essayé à la cuisine. Il s’empressait de venir m’embrasser dès que je débarquais dans la pièce comme pour effacer toute cette inquiétude qui pulsait en moi. Néanmoins, même en sachant cela, j’entrais dans la chambre les yeux rivés sur les œufs à m’excuser de leur état si désastreux. Enfin… Je tentais de m’en excuser parce que je n’avais pas le temps de finir ma phrase. Ce n’était pas parce que les lèvres de Lukas se déposaient sur les miennes. Non… J’aurais pourtant préféré que ce soit pour cette raison que je me taise si brusquement. Je me taisais si rapidement parce que mes yeux rencontraient une boîte au sol. Une boîte qui ne m’était pas inconnue tant je la déplaçais souvent pour en compléter le contenu. C’était ma boîte à sous. Elle était censée se trouver parfaitement rangée sous mon lit. Mais non… Elle se trouvait là à la vue de tous. À la vue de Lukas. Elle était là et elle était grande ouverte. Les billets recouvraient le sol et je sombrais presque aussitôt. Le souffle me manquait à tel point que j’avais l’impression que quelqu’un était en train de compresser mes poumons. Mon cœur cognait si violemment dans ma poitrine alors que je relevais les yeux sur Lukas qui semblait maintenant attendre une explication. Je me retrouvais devant le fait accompli. Je me retrouvais devant cette question que j’avais tenté d’éviter avec un mensonge. Ça me revenait en plein visage et je mordillais nerveusement ma lèvre à la recherche de ce que je pourrais dire pour m’en sortir. Est-ce que je pouvais réellement éviter de lui confier la vérité ? Je n’avais pas envie de lui dire. Je ne me sentais pas prêt à lui avouer. Pas encore. Pas si vite. Pas maintenant. Je me dirigeais vers la table de nuit déposant l’assiette d’œufs et la tasse de café avant qu’elles ne glissent sur le sol pour se briser comme mon cœur était en train de le faire. Je me penchais rapidement afin de ramasser le contenu de ma boîte tout en babillant une explication bancale et à moitié vraie. Je confiais la véritable utilisation qu’aurait ces billets. Néanmoins, je mentais quant à leur provenance parce que je ne voulais pas lever ce voile si dangereux. Pas maintenant putain. Pitié. Pas aujourd’hui. La main de Lukas saisissait la mienne doucement, réellement et je sursautais au contact. J’obéissais presque aussitôt au toucher cessant de me presser à ranger les billets pour les masquer de nouveau. C’était trop tard. Il les avait vu. Il avait tout vu. Je restais accroupis au sol à regarder ces billets. Je restais posé là à tenter de contrôler mon souffle avant d’avoir le courage de relever les yeux sur ce garçon que j’aimais tellement et qui allait me haïr. Mes prunelles croisaient le regard blessé de Lukas et je fermais les yeux. La déferlante de douleur était trop insupportable. Il soufflait cet arrête qui poussait mon cœur à cogner plus fort. Plus dangereusement. Avait-il pris ça pour un ordre ? Allait-il me sauver et s’arrêter là ? Une partie de moi se mettait à le souhaiter tandis que je m’asseyais sur ce sol. Mes yeux s’emplissaient de larmes et j’osais à peine les reposer sur Lukas en ouvrant la bouche pour marmonner un je qui n’allais pas très loin. Je ne savais pas ce que j’étais censé faire à cet instant. J’étais tellement perdu. Et, putain, je n’étais certainement pas prêt pour l’abandon qui risquait de survenir si la vérité cognait. Les larmes glissaient sur les joues de Lukas et j’avais follement envie de me lever pour l’embrasser. Je voulais me lever et lui faire l’amour avec l’espoir que ça pourrait tout effacer, avec l’espoir que ça pourrait lui faire oublier ces dernières minutes. Stupide gamin. Je ramenais mes genoux contre mon torse croisant les bras dessus et enfouissant ma tête à l’intérieur. Il fallait que je me calme avant de dérailler. Il fallait que je reprenne le dessus sur ces sanglots qui bouleversaient mon corps. Il le fallait putain. Je me calmais me redressant à peine pour me mettre à babiller. Je remettais le contexte en place avouant que j’avais un deuxième boulot dont on avait plus ou moins parlé. Un deuxième boulot sur lequel il ne m’avait pas questionné. Un deuxième boulot qu’il avait sans doute imaginé. Mais, l’argent dans cette boîte et les longues nuits dehors correspondaient à ce boulot. Tout mon corps se mettait à trembler. Mon cœur cognait si fort que j’en avais mal. Je me levais rapidement manquant de chuter dans ma précipitation. Je m’empressais de glisser une cigarette entre mes lèvres. Je tirais dessus nerveusement me brûlant les doigts. Je faisais quelques pas dans la chambre comme réfléchissant à ce que je devais faire. Je n’étais pas habillé. Je ne pouvais pas me barrer en courant. Est-ce que je pouvais aller m’enfermer dans la salle de bain ? L’idée cognait un instant dans mes pensées tandis que je me stoppais à quelques mètres de Lukas. Face à lui. Ma langue glissait sur mes lèvres. Ma tête basculait en arrière. La fumée s’élevait dans les airs. Et, les yeux fermés, je lâchais la bombe. J’avouais que mon deuxième boulot était prostitué. Je me prostituais. Je gardais les yeux fermés attendant les mots d’insultes qui risquaient de tomber. Je gardais les yeux fermés attendant la colère qui risquait de cogner. Je gardais les yeux fermés attendant les coups qui pourraient tomber. Parce que, merde, je venais d’avouer de but en blanc que je couchais avec d’autres personnes. Et, vu l’argent dans ma boîte, ça ne se limitait pas à un petit nombre. Et, vu les bleus qui avaient déjà eu l’occasion de se dessiner sur ma peau, ce n’était pas toujours très doux. J’attendais l’explosion. Pourtant, il n’y avait pas de cris. Il n’y avait pas de coups. Il n’y avait rien. Si… Du bruit… Des pas. Lukas s’approchaient de moi. Ses bras passaient alors autour de moi. Wait… What ? Il me prenait dans ses bras. Il me serrait contre lui lâchant un simple merci. Je me blottissais contre lui enfouissant ma tête dans son cou alors que de nombreux sanglots me traversaient. Des sanglots que je ne parvenais pas à contrôler. Et, soudainement, je parlais « J’suis désolé… Désolé, désolé, désolé, désolé… » La litanie glissait entre mes lèvres. Elle était inarrêtable. Elle était si réelle. Elle était si concrète. Le mot glissait encore et encore. Je ne parvenais plus à me taire. Je ne parvenais plus à fermer la bouche. Je disais encore et encore que j’étais désolé. Je l’étais tellement. J’étais désolé de lui confier cette vérité qui risquait de tout modifier entre nous. J’étais désolé de lui avouer ce métier qui risquait de remettre notre relation en cause. J’étais désolé de ne pas lui avoir confié avant… Avant qu’il ne me touche… Avant qu’il ne tombe amoureux de moi. J’étais désolé de faire ce métier. J’étais désolé de laisser d’autres hommes me toucher et me posséder. J’étais désolé d’offrir ce privilège à d’autres hommes. J’étais désolé de le tromper comme ça. Et Lukas me tenait dans ses bras. Et je me sentais tellement sale. Je me sentais tellement minable. Si pitoyable. Ses doigts sur ma peau me brûlaient. Cela faisait une semaine que je n’allais pas dans la rue, mais je savais déjà que je ne tarderais pas à recommencer même s’il me demandait d’arrêter. Je ne pouvais pas arrêter. Mon corps réclamait ces nuits. Mon compte en banque les voulait aussi. Cela faisait une semaine que mon corps n’était pas marqué par d’autres que Lukas ou Nixon… Marqué uniquement par eux signifiait que je n’avais pas de bleus comme j’avais pu en avoir par le passé, comme j’en aurais dans le futur. Me dégageant doucement des bras de Lukas, je me reculais pour aller écraser ma cigarette puis je m’empressais de me diriger vers ma penderie. Je choppais le premier sweat qui me passait sous la main ainsi que le premier jogging. Et, je m’empressais de les enfiler. Me cacher… Cacher ce corps dont il n’aurait peut-être plus envie après tout ça. Cacher ce corps qui au final ne lui appartenait pas. Cacher ce corps dont tant d’autres avaient pu profiter. Cacher qui j’étais. Simplement me cacher. Les yeux rivés au sol, j’enfouissais mes mains dans les poches de mon sweat. Je continuais de sangloter. Je continuais de marmonner ces « Désolé… » qui refusaient de s’arrêter. Et j’attendais… J’attendais l’instant où il claquerait la porte parce que ça ne pouvait pas se passer autrement. J’attendais cet instant parce que c’était Lukas face à moi et qu’il ne réagirait pas comme d’autres… Il ne viendrait pas me bousculer contre un mur pour me dire que j’étais à lui et que je n’avais pas le droit d’offrir mon corps à d’autres. Non, il ne viendrait pas me posséder comme ça. C’était Lukas et, même s’il ne se mettait pas à me détester pour cette vérité, il allait être tellement blessé. Tellement qu’il allait finir par prendre la fuite et s'éloigner de moi... De mon horreur... N’est-ce pas ?

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
Multicomptes : /.
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LUKAS OWEN SPRITZ
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” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

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How can I trust you? Neakas 210307010918770936 How can I trust you? Neakas 210307011001575388 How can I trust you? Neakas 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

−·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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• Cadeau de Neal pour les 25 ans How can I trust you? Neakas 2511619667
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• Têtes de Mules
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• #KLM
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• NeaKas nique le temps
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• Porte Clé Souvenir du labyrinthe
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• KaNeakas <3
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• Souvenir de Cap Code
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• New Familly
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• Tentation
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•Nous Sommes Uns
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Description (3) : How can I trust you? Neakas 20021608055864050


How can I trust you? Neakas 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas 1116103942

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RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
J'avais quitté tes bras pour cette douche, pour ne pas sombrer dans des pensées seulement je n'aurai peu être pas du bouger, puisqu'au final c'est sous cette douche qu'elle venait, parce que je savais que nos jours étaient compté, que malgré ta proposition de venir chez toi, de resté à mon retour je ne le ferai pas, parce qu'il n'y avait qu'une seule raison de ma présence ici, l'absence des filles de mon quotidiens, j'étais ici seulement pour cette raison, parce que tu ne voulais pas me savoir seul. Et je savais très bien que si je n'étais pas ici tu ne serais pas là non plus, je le savais dans le fond, tout au fond de moi, tu me l'avais bien dis de toute façon, que tu réfléchissais à lâcher ton appartement, et à vivre chez Nixon on en avait jamais reparlé parce que le sujet n'étais jamais revenu sur le tapis, parce que trop de chose s'était passé depuis, pour toi, pour moi. Et même si j'étais là avec toi maintenant, que c'était bien, je savais que mercredi sonnerai le glas de cette colocation et que ton rythme reprendrai à mon départ et que peu être on se retrouverai de temps à autre, comme avant. Seulement j'essayais de ne pas y penser, préférant penser à l'idée de revoir cette Kat' qui me manquait et que j'allais retrouver, pour quelques jours, alors c'est vrai que j'aurai aimé que tu viennes à mes côtés que tu m'accompagnes histoire de t'avoir encore un peu pour moi. Te garder jalousement encore quelques temps, mais ton passé m'en empêchais et je ne pouvais rien contre ça. Et je ne pouvais m’interdire de te le demander un nouvelle fois à la sortie de la douche, pour être certain que tu ne te sentais pas de venir même si je le savais, comme pour être certain que j'allais te manquer, même si tu ne serai pas seul, que j'allais te manquer, comme pour me rassurer sur ça même si je le savais. J'avais besoin de l'entendre, de le ressentir dans ta voix, même si on se l'exagérai chacun l'un l'autre. J'en avais besoin, parce que toi aussi tu allais me manquer. C'est pour ça que je finalisais le tout par un je t'aime au quel tu répondais, et qui sonnais si bien dans mes oreilles pour venir se loger au milieu de mon cœur, parce que malgré la complexité de cette relation je savais qu'il était vrai, parce que jamais je n'en avais entendu aucun autre comme les tiens, tu étais le seul à m'avoir touché à ce point, à m'avoir accordé autant d'espace dans ta vie, à avoir pris autant d'espace dans la mienne. Tu m'avais touché tellement profondément, si sincèrement, c'est pour cette raison que j'avais tout ces espoirs pour toi. Même si je savais qu'il y avait un risque, extrêmement élevé, que ces espoirs n'aboutisse pas à mes côtés je le savaient, j'en étais conscient, mais à tes côtés je les occultais profitant des instants que l'ont s'offraient parce qu'ils étaient bien trop précieux à mes yeux. Chaque jours, chaque heures, chaque minutes, chaque secondes à tes côtés je les prenais comme un cadeaux qui m'enfonçais encore plus dans cette attachement douloureux que j'occultais bien trop systématiquement quand j'étais à tes côtés, que j'oubliais totalement quand j'étais dans tes bras, sous ta peaux ou tes baisers. Je m'oubliais pour un nous provisoire, si intense. Je m'oubliais au point que j'oubliais cette boite à mes pieds, parce que te rejoindre pour sceller mes lèvres sur les tiennes étaient plus important que tout à cet instant, parce que je voulais répondre à ce je t'aime et toutes les attentions, même mal adroite que tu avais pour moi. Alors oui j'oubliais la boite, cette boite qui me priverai de ce baiser que je voulais te donner.

Cette boite qui levais le voile sur bien des choses, beaucoup trop de choses, qui mettais un terme aussi aux mensonges passé, aux semi vérité, parce qu'il était venus le temps de la vérité aussi difficile fût elle à entendre, à dire pour toi je le voyais bien je le sentais bien. C'est bien pour ça que tu agissais comme un enfant face à cette boite béante, que tu voulais cacher ta bêtise, cette vérité que tu n'assumais pas, je suppose. Alors je m'asseyais pour prendre le temps de faire le point, comme pour éviter d'exploser dans ses premiers mots que j'entendais, que je ré-entendais et qu'au fond je n'acceptais absolument pas. Alors, je te tendais la main pour que l'enfant parte, ou du moins qu'il se calme, qu'il pouvait avoir confiance et qu'il ne lui arriverait rien, aucune punitions aucun châtiments aux sens physique tu termes. Je te tendais la main pour te calmer te dire d'arrêter, qu'il ne fallait plus continuer sur cette lancé bien trop destructrice, parce la dernière fois par sms interposé ça avait été si loin, beaucoup trop loin à mon goût. Aujourd'hui ce serai quoi si je perdais réellement mon sang froid ? Si je ne canalisais pas ? Alors simplement oui je te tendais la main pour te demander de t'arrêter... arrêter cet état dans lequel tu te mettais, il était inutile. Et pourtant j'aurai pus évité d'avoir la vérité à cette instant même, j'aurai tellement pus mettre fin à ça. En ouvrant ma bouche calmement, en disant qu'on aurai le temps pour ça, que tu n'étais pas prés pour ça, qu'on pourrai attendre un peu encore, que je pouvais bien rester à attendre cette vérité, qu'elle pourrai attendre mon retour d'Italie pourquoi pas ? Mais non je n'avais rien rajouté. Je te demandais simplement d'arrêter, tes mots, tes gestes, avant de t'écouter après tout ce silence. Tout ces regards bien trop difficile à soutenir, mais que je ne pouvais lâcher. Alors oui te voir dans cet état faisait couler les larmes parce que je sentais que le chemin qu'on empruntait à l'instant même dessinait le reste de nos vie. Un point de non retour malgré la vérité, qui s'approchait... Qui était là. Qui tombait, explosait au milieu de tes sanglots. J'avais la vérité, j'avais ouvert la boite de pandore et la vérité éclatait, elle complétait tout le puzzle et bouleversait tout le reste.
Et pour le moment je n'avais pas envie de voir les conséquence de cette vérité, je voulais pas les entendre, je ne voulais pas en prendre conscience, savoir ce que ça impliquait. A l'instant tout ce que je voyais c'était toi et ce qui te bouffais. Alors oui je m'approchais en silence pour venir te prendre dans mes bras, et calmer tes sanglots, pour te remercier de la vérité. Et là, ta tête dans mon cou, je baissais mon visage pour venir le poser dans tes cheveux, pour te recouvrir, te protéger de je sais quoi, je te serrais contre moi, peut-être un peu plus fort et tes excuses étaient tellement difficile à supporter que je ne pouvais m'empêcher de t'accompagner. Et ce peau contre peau qui d'ordinaire était si agréable était bien trop douloureux, parce que chacun des larmes que tu laisser couler contre le long de mon corps était à l'image d'un acide, qui venais me ronger, parce que finalement c'est moi qui te m'étais dans cette état, pour une vérité qui aurai pus attendre non ? Et soudainement tu quittais mes bras, pour prendre un sweat et un jogging ? Je... je restais coi, tout en essuyant mon torse humide de tes larmes, avant d'essuyer mes yeux. Laissant un Qu.. Qui s'étouffait au fond de ma gorge... Puis je comprenais vite ce manque de confiance en toi, cette image de toi fracassé, brisé par le passé. Tes yeux au sol honteux comme si mon regard changerai en quelques secondes quelques minutes comme si j'allais être dégoûté par toi ? Tu cachais au possible, comme si tu voulais disparaître. Et je pouvais pas m'empêcher d'aller vers toi, te récupérer encore et toujours au milieu de tes désolé je prenais ton visage ton visage délicatement, Te caches pas s'il te plait... Non je voulais pas que tu te caches de moi, pas après les efforts que j'avais vus cette dernière semaine, je ne voulais pas que tu te caches sous prétexte que de cette vérité. C'était ton corps et tu en faisais ce que tu voulais, enfin pour le moment c'est ce que je pensais en tout cas enfin si j'étais capable de penser à quoi que ce soit... Seulement j'étais pas capable de penser à quoi que ce soit là tout de suite, tout ce que je voulais c'était te consoler, et calmer ce qui te rongeais ou je sais pas. J'étais totalement perdu. Je savais pas quoi faire, quoi dire... Je ne savais même pas où était mal place pour le coup, je voulais être juste avec toi. En tout cas je ne te bousculerais pas... Alors je restais là un long moment, mes mains soutenant ton visage, pour le graver, pour me l’imprégner, pour le pas l'oublier. du temps... voilà ce qui sortais de ma bouche à cette instant, comme si elle se contrôlais toute seul, oui, il me fallait du temps, quelques heures, prendre du recule parce que là c'était impossible. De réfléchir, de faire quoi que ce soit d'autre. Et je fermais durement les yeux parce que je savais, je sentais ce que tallais ressentir, t'allais penser que j'allais fuir, pour ne jamais revenir, te sentir abandonnais, putain ouai je le sentais. Et je voulais tellement pas que tu penses ça que tu ressentes ça mais il me fallait ce temps. Parce que là tout de suite ne pouvais rien faire rien dire, rien gérer. Reculer pour mieux sauter, j'en sais rien. Alors après une grande inspiration, dans une voix tremblante la gorge nouée. Moya Lyubov', …. je part pas …. non je part pas …. juste du temps …. hm ? Du temps …. je part pas … Et je resterais autant de temps qu'il faudra que tu comprennes que je reviendrais.





07/04/2020
J'avais pas une partie de la nuit dehors, incapable de rentrer où que ce soit, parce que incapable de prendre une décision reculer pour mieux sauter mon œil, j'étais parti au matin en enfilant un t'shirt, un pull et mon manteau, laissant la totalité de mes affaires chez toi, tout était chez moi, ma vie était chez toi, beaucoup trop installé, ma affaires étaient chez toi, ma guitare était chez toi, mon chat était chez toi, mes médicaments étaient chez toi, mon cœur et ma tête était chez toi, seul mon corps était en dehors de cette appartement où la vérité avait éclaté. Et même si une partie de la journée j'avais occulté cette vérité, ce soir au paint bar, et surtout après la vérité n'avait pas quitté ma tête. Jonglant entre éthique et moral, jonglant avec mes règles d'or et mes sentiments, parce que tout ceci n'était plus compatible l'un avec l'autre. Parce qu'après ces trois verres, je pouvais pas m'empêcher de jalouser tout ces hommes qui te touchais, mais en même temps c'était ton corps, c'était toi et je ne voulais pas t'emprisonner, même si je savais que tu ne voulais plus de la rue, t'étais sincère quand tu le disais bon sang, c'était indéniable tu souffrais je l'ai pas rêvé quand même, ou est ce que ma mémoire me jouais des tours ? Que le visage même sous cachet avait réussis à me mentir ? Tu avais besoin d'argent d'accord, alors est ce que tu t'étais tourné vers ce métier, ce travail simplement parce que c'est tout ce que tu connaissais, c'est tout ce que tu avais appris et que tu savais que ça marchais ? Et parce que tu l'avais dis c'était un besoin ? Un besoin qui comment tu avais dis ? J'sais plus mais c'était devenus un putain d'habitude, de coucher tout les jours, pendant quatre ans... Et si t'étais devenus à a cause de ça un putain de drogué du sexe et qui trouvais dans la prostitution en plus de l'argent un espèce de soulagement... j'en sais rien. Est ce que c'était possible ? Putain avec toi rien n'étais impossible... rien... Alors je marchais dans les rues de Boston sans forcement un but précis, jusqu'à me rendre compte que j'arrivais devant chez toi... Je savais au moins où j'allais passer la nuit... J'avais peu d'espoir de t'y trouver, de toute façon, préférant penser que tu passerais ta nuit chez Nixon, que dans des draps avec un autres hommes. J'entrais dans l'immeuble, n'allumant pas la lumière des fois que tu sois là et les miaulements de Meeko venait m’accueillir. M'arrachais une larmes. J’ôtais ma veste, avant de le prendre dans mes bras. Je traversais à tattons l'appartement pour me rendre dans ta chambre, comme pour revenir sur le lieu du crime. Je soufflais un Amore... qui restais sans réponse. Bien entendus tu n'étais pas là... Je prenais le direction de la fenêtre pour ouvrir et faire partir l'énergie qui était encore empreint de la matinée. Si dérangeante, si étrange, j'aurai tellement y retrouver la sérénité qu'on avait eu des minutes plus tôt. Avant tout ça. Je prenais le parti de me déshabiller et de rejoindre les draps, non sans passer par ta penderie pour prendre un de tes sweats, l'enfiler et mettre cette veilleuse à laquelle je m'étais habitué au fil des jours. Je sais même pas si on se recroiserai, je sais même pas si je t'attendrais, si tu repartirais d'ici mon départ pour Milan, j'voulais te voir une fois, encore une fois, peu être une dernière fois. Et les questions du futurs se jouais dans ma tête m'empêchant de trouver le sommeil, tournant dans ce lit froid, recroquevillé sur moi même laissant les larmes couler sur ce futur incertain... Parce qu'au final j'étais toujours aussi paumé... peu être même plus. Qu'est ce qu'il fallait faire... Parce que j'en savais clairement rien... Et au fil de la nuit je me laissais emporter par le sommeil, entre coupé de sursaut, une nuit agité, une nuit douloureuse, une nuit de cauchemars, une nuit marqué de ton absence... 03:00 am 04:55 am 05:35am 08:48am 10:29am ........

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
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Lukas
Côme
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QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
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Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Les événements ne pouvaient jamais bien se dérouler n’est-ce pas ? Ma vie ne pouvait guère être rose hein ? C’était comme si je n’avais pas réellement le droit de vivre dans un tel bonheur. C’était comme si, dès que je tendais le doigt un peu trop loin hors de mon enfer, il se mettait à brûler ma peau. Violemment. Réellement. C’était comme si je n’avais pas le droit de m’imaginer acteur d’un futur agréable. Je n’étais que ce gamin un peu trop malade qui ne pourrait pas y avoir droit. J’étais tellement trop compliqué. J’étais foutrement difficile et je ne pouvais pas accéder au bonheur comme tout le monde. Je faisais les choses trop différemment. Je ne savais pas me contenter des normalités que les autres appréciaient. Je ne savais pas faire. Et, à chaque fois que les choses commençaient à être vraiment bien dans mon existence, il y avait toujours quelque chose qui survenait pour tout foutre en l’air. Il y avait toujours un événement qui débarquait pour tout envoyer valser et me pousser encore plus à l’épreuve. Il y avait sans cesse quelque chose qui débarquait et qui renversait toute cette magie délicieuse qui me laissait croire que j’avais aussi droit à un futur agréable. J’avais passé une semaine fantastique avec Lukas emplie de bonheur et d’amour. Ok, la semaine n’avait pas été calme et ça me semblait assez logique étant donné qui j’étais. Nous avions dû essuyer de nombreux soucis, de nombreuses crises. Néanmoins, nous avions toujours réussi à passer au-dessus de tout ça ensemble. Nous avions toujours réussi à nous retrouver. Il ne s’agissait que d’épreuves de notre quotidien. Des épreuves qui pourraient clairement faire parties de la totalité de notre vie si notre histoire devenait exclusive. Dans le fond, Lukas découvrait un peu plus ce que cela faisait de vivre avec une personne Borderline. Il découvrait l’envers d’un décor qu’il n’avait aperçu que par petites touches jusqu’à présent. Ce n’était peut-être pas si mal. Après tout, il n’était pas encore parti en courant. Pas encore hein… Et ça ne semblait pas plaire à la vie ça. Elle était prête à tout foutre en l’air elle. Elle était prête à tester encore plus mon sexy musicien avec l’épreuve du jour. Une épreuve qui n’allait pas nous laisser intactes. Ni lui. Ni moi. Ni nous. Ce matin, tout se renversait d’une façon tellement imprévisible. Alors que je profitais de la chaleur du corps de Lukas contre moi, rien ne m’avais préparé à cela. Alors que je me perdais dans différentes pensées, je n’aurai jamais osé imaginer qu’une telle confrontation allait se pointer. Damn it. Je n’étais pas prêt pour cette révélation. Je n’en avais tellement pas envie. Néanmoins, il était trop tard n’est-ce pas ? La vie en avait déjà décidé autrement. Elle me foutait devant le fait accompli tandis que je revenais de la cuisine. Je revenais de cette cuisine le sourire aux lèvres parce que je savais que j’allais avoir le droit à un baiser réconfortant pour tenter de me faire oublier la culpabilité due à ma maladresse. Je revenais de cette cuisine le sourire aux lèvres parce que ces ‘je t’aime’ avaient flotté délicieusement dans l’air. Je revenais un air heureux sur le visage puisque je venais de parler d’un futur voyage en Italie qui me laissait foutrement rêveur. Alors ouais, malgré le petit-déjeuner raté dans l’assiette, je revenais le sourire aux lèvres parce que j’allais retrouver ce garçon que j’aimais et je comptais bien le faire mien ce matin. Cependant, mon sourire se fanait bien trop vite. La claque de la vie me heurtait violemment lorsque je passais le pas de la porte. La réalité me revenait brutalement en plein visage tandis que la situation se dessinait sous mes yeux. Ma boîte à sous était ouverte au sol. Les billets étaient étalés à la vue de tous. À sa vue à lui. Je me retrouvais devant le fait accompli et je ne savais plus comment gérer toute cette histoire. J’aurai pu lui souffler que je ne voulais pas en parler maintenant alors qu’il partait bientôt en Italie. J’aurai pu lui dire que ce n’était pas le moment d’avoir une telle discussion. J’aurai pu lui avouer que je n’étais pas encore prêt et putain c’était vrai. Je n’étais pas prêt. Dans le fond, je ne serais sans doute jamais prêt pour lancer une telle vérité. Je tentais alors de babiller l’explication bancale de la dernière fois. Celle qu’il n’avait pas cru. Celle qu’il savait être un mensonge. Lukas me disait rapidement d’arrêter. Arrêter de m’agiter à cacher ces billets alors qu’il les avait vu. Arrêter de lui mentir en face aussi sans doute. Mon regard croisait le sien tellement trop blessé et cela me faisait mal. Cela me faisait atrocement mal. C’était insupportable. C’était ingérable. Alors, je ramenais mes genoux contre mon torse posant ma tête dessus. J’espérais calmer mon cœur. J’espérais contrôler ma respiration comme j’avais appris à le faire. J’espérais simplement prendre le dessus sur cette crise de panique qui se réveillait doucement dans mon être. Et, sans même savoir comment, j’y parvenais peut-être parce que la vérité devait vraiment sortir. Peut-être parce que la vie me poussait dans cette direction et qu’elle m’aidait plus aisément à passer outre. Je reprenais le dessus malgré les sanglots qui continuaient de bouleverser mon corps. Je commençais à babiller pour replacer le contexte avant de parvenir à me lever. Mon corps tremblait follement. Mon cœur cognait tellement fort. Ma respiration m’échappait tant. Je manquais de chuter avant de finalement parvenir à mettre un pied devant l’autre jusqu’à la table de nuit où j’attrapais une cigarette qui retrouvait mes lèvres. Poison de nicotine pour apaiser le poison de mon enfer. Je tirais nerveusement dessus marchant de long en large dans ma chambre à la recherche d’une issue. Je tentais de trouver un moyen de m’en sortir sans laisser la vérité passer entre mes lèvres. Mais, finalement, je n’en voyais aucun. Il était trop tard. J’étais trop enfoncé. Alors, je lâchais la bombe. D’un seul coup. Sans hésitation. Les mots m’échappaient. La vérité glissait. J’étais un prostitué. Cette vérité que peu de personnes connaissaient. Cette vérité que beaucoup de personnes auraient pu deviner en y prêtant réellement attention. Ce n’était pas normal de travailler jusqu’à cinq ou six heures du matin tous les jours dans un bar. Ce n’était sans doute même pas autorisé pour un simple job étudiant. Et tous ces bleus sur ma peau. J’étais un prostitué. Les yeux fermés, j’attendais la suite. Je me préparais aux insultes et aux coups. Je me préparais à la colère et au dégoût. Mais, putain, rien de tout cela n’arrivait non. Lukas s’approchait de moi pour m’offrir une tendresse que je ne méritais sans doute pas. Ses bras entouraient mon corps me serrant beaucoup trop fort, mais je m’en foutais. Je me blottissais un peu plus contre lui enfouissant ma tête dans son cou à la recherche d’un réconfort qui ne viendrait pas. Les sanglots incontrôlables me traversaient alors que la litanie de ‘désolé’ glissait si rapidement entre mes lèvres. Ces excuses pour qui j’étais et ce que je faisais. Ces excuses pour enfin lui avouer peut-être beaucoup trop tard. Et les doigts de Lukas me brûlaient. Sa peau contre la mienne me heurtait comme si quelque chose savait que je ne pouvais pas y avoir le droit. Pas en laissant tous ces hommes me posséder. Je me sentais tellement pitoyable. Je me sentais tellement sale. Je ne voulais plus profiter de ce contact. Je me dégageais de son étreinte pour aller écraser ma cigarette et je m’empressais de me diriger vers ma penderie enfilant un sweat et un jogging le plus rapidement possible. Je voulais me cacher. Je désirais disparaître. Moi, le garçon qui s’offrait trop. Je voulais cacher ce corps qui était touché par beaucoup, possédé par tellement d’étrangers. Et, là, à côté de ma penderie, je ne cessais pas de sangloter. Je continuais de marmonner des excuses attendant d’entendre la porte claquer pour réellement me laisser aller. Ça ne venait pas. Ça tardait tellement. Et, soudainement, les doigts de Lukas glissaient délicatement sur mon visage. Ça aurait dû faire tellement de bien. Ça faisait juste tellement de mal parce qu’une part de moi savait qu’elle ne méritait pas ça. Pas le moins du monde. Il me disait de ne pas me cacher. Il me suppliait de ne pas me cacher et je secouais négativement la tête comme pour lui dire que je ne pouvais pas faire autrement. Je ne pouvais plus faire autrement maintenant. Soudainement, la voix de Lukas me percutait de nouveau. Du temps. Il me demandait du temps. Ça sortait de nul part. Ça sortait de partout. Il voulait du temps. Un sanglot minable m’échappait à ces mots et mes yeux se fermaient. Du temps… Cela pouvait signifier plusieurs heures comme de nombreux mois. Cela pouvait même vouloir dire quelques années peut-être. Du temps… C’était assez pour tout oublier… Pour m’oublier… Pour m’abandonner sur le bas-côté comme une machine sans notice tellement compliquée à comprendre. Il utilisait toujours mon surnom avant de me dire qu’il ne partait pas et qu’il fallait juste du temps. Il répétait les mots qui se perdaient quelque part dans ma tête sans jamais réellement s’ancrer. Pourtant, j’acquiesçais sagement comme acceptant de le laisser fuir. Que pouvais-je faire d’autres de toute manière ? Je finissais par m’asseoir sur le bord de mon lit et Lukas s’agitait partout autour de moi. Il se préparait. Il gravitait. Il s’habillait. Et, soudainement il n’y avait plus rien. Plus un bruit. Plus un mouvement. Lukas venait de quitter l’appartement. Ses affaires étaient toujours là. Meeko était toujours là. Mais lui. Lui il était parti. Il n’était plus là. Il m’avait abandonné. Comme je le méritais tellement…

Lundi 6 Avril. 10:45 am Qu’est-ce que je foutais dans une salle de cours ? Comment est-ce que j’étais arrivé jusqu’ici ? Les choses étaient foutrement floues dans ma tête. Je ne me souvenais pas avoir marché jusqu’à l’université. Je ne me souvenais pas avoir pris ma moto pour venir jusqu’ici. Damn it, pourquoi serais-je venu ici alors que je n’avais pas cours ce matin ? Pourquoi est-ce que je me serais faufilé dans un amphithéâtre qui n’était pas le mien ? Je n’y comprenais rien. Pourtant, je me trouvais bien dans cet amphithéâtre bondé d’étrangers. Le professeur entrait et il se mettait à babiller. Je n’entendais rien. Je voyais ses lèvres bouger et je n’entendais foutrement rien. Ce n’était qu’un charabia qui n’avait pas le moindre sens à mes oreilles. Ce n’était qu’un charabia qui pulsait et provoquait la douleur violente de ma tête. Ça m’embrouillait tellement. Je me sentais si perdu. La sueur perlait sur ma peau. Mon cœur cognait de plus en plus fort. Mes yeux se posaient sur le diaporama que le professeur était en train de diffuser et je ne parvenais plus à lire un seul mot. Toutes les lettres semblaient mélangées. Plus rien n’avait de sens. Je n’étais même pas foutu de me concentrer pour savoir où je me trouvais. Ma respiration s’accélérait au point d’en devenir tellement douloureuse. Je déraillais. Je le sentais. Je me sentais glisser. Je sentais cette panique arriver. Elle s’insinuait lentement en moi. Alors, putain, que devais-je faire ? Une partie de moi me criait d’envoyer le signal à Lukas. Dans tout autre contexte, ça aurait été la chose la plus logique à faire. Cela aurait sans doute pu m’aider à comprendre. Néanmoins, je ne me sentais pas capable de faire ça. Pas après cette vérité qu’il venait de découvrir. Pas après cette fuite qu’il avait prise. Je ne pouvais pas faire ça. Je ne voulais pas faire ça. Je ne voulais pas lui courir après. Non. Je ne me sentais même pas capable d’attraper mon téléphone pour chercher de l’aide auprès de Nixon ou de Tomas. Je me contentais d’attraper mon sac de cours et de me glisser tremblant à l’extérieur de l’amphithéâtre. Le plus silencieusement possible, je me dirigeais vers la porte de secours qui se trouvait sur le côté et l’air frais ne tardait pas à me percuter. Tout tremblait. Tout bougeait. Tout se voilait. Je me sentais mal. Tellement plus mal que quelques secondes plus tôt. Je m’immobilisais soudainement fermant les yeux avec le fol espoir que tout ça ne soit qu’un foutu cauchemar dont j’allais pouvoir très vite m’éveiller. Pitié. Juste un cauchemar. Pitié que la vérité n’ait jamais glissé entre mes lèvres. Pitié, pitié, pitié. Damn it. J’étais tellement ridicule. Je finissais par courir à moitié pour me précipiter dans les toilettes de l’université. La porte d’une des cabines complètement ouverte, je venais rendre le peu que j’avais dans mon estomac. Retourné. Perdu. Heurté. Je restais un moment penché au-dessus de la cuvette avant d’oser agir. Mes mains s’agitaient toutes seules comme si je n’avais plus le contrôle de mon être. Je sortais cette cale en bois qui restait toujours quelque part dans mon sac. Je la prenais entre mes mains. Je faisais le tour des toilettes rapidement avant de finalement glisser la cale au niveau de la porte afin de la bloquer. Plus personne ne pourrait rentrer. Plus personne ne pourrait venir m’importuner. Je retournais doucement vers les lavabos déposant mes mains sur l’un d’entre eux. Je soufflais plusieurs fois espérant me calmer, espérant calmer mon cœur. Rien n’y faisait. Rien ne m’aidait. Je relevais doucement le visage pour croiser mon reflet. Pâle. Angoissé. Meurtri. Mes yeux se perdaient sur mon reflet pendant de longues minutes alors que la voix m’incitait. Elle me poussait lentement. Je la sentais qui cognait. De plus en plus fort. De plus en plus persuasive. Et, finalement, je cédais. Je craquais. Mon poing droit s’abattait sur le miroir. Une fois. Deux fois. Trois fois. Je criais. Je cognais fort. Trop fort. Et, je ne sentais strictement rien malgré les éclats de verre qui tombaient. Malgré les éclats de verre qui se plantaient à l’intérieur de ma main, je ne ressentais plus rien. Rien si ce n’était ce vide qui avalait mon âme et cette douleur qui écrabouillait mon cœur. Je finissais par me laisser tomber au sol les larmes coulant bien trop vite sur mon visage. Le sang glissait sur ma peau et je n’y prêtais même pas attention. Non. J’agissais en mode automatique alors que j’attrapais mon téléphone pour contacter Nixon. Il était le seul à pouvoir me sortir de là. Il était le seul à qui je faisais confiance. Il était le seul à pouvoir m’aider. J’avais tellement besoin de lui. Alors, je lui parlais. Je laissais la panique redescendre au fil des messages que nous échangions. Et, après ce qui me semblait être des heures, trois petits coups étaient portés à la porte. Trois petits coups portés par Nixon qui me poussaient à réagir. Je me levais retirant la cale et me laissant tomber dans ses bras. Le reste de la journée ? Putain, je ne saurais pas vous dire. Nixon avait soigné ma main blessée. Nous avions fini dans son studio. Il ne m’avait pas posé la moindre question. Il était simplement resté à mes côtés. Si doux. Si aimant. Et je voguais dans un état trop indescriptible. Je voguais dans ma tête. Je voguais dans mon enfer. Continuellement. Et les heures s’écoulaient. Si rapides. Si réelles. Mardi 7 Avril. 10:29 am. Mes prunelles sombres s’ouvraient difficilement et je gémissais sous la douleur qui cognait dans ma tête. La nuit avait été rude. Elle avait été si longue et si peu reposante. Je m’étais contenté de sommeiller sans jamais réellement parvenir à m’endormir malgré les bras de Nixon enroulés autour de moi. Avec le corps du sexy tatoué contre le mien, je m’étais senti en sécurité. Je m’étais senti un peu moins sale. Néanmoins, mon esprit refusait de me laisser tranquille. Dès que je tentais de sombrer pour me reposer, je me retrouvais transporté dans l’une de ces ruelles sombres où je m’offrais la nuit. Je me retrouvais dans l’une de ces ruelles et Lukas débarquait devant moi pour me crier dessus. Il me soufflait à quel point j’étais minable. Il hurlait pour dire que je n’étais qu’un gosse pitoyable qui donnait son corps à n’importe qui. Je n’avais aucune valeur. Coucher avec moi n’avait aucune valeur. Il me disait à quel point il avait honte de moi et de notre relation. Il criait pour me faire entendre à quel point il regrettait tous ces corps à corps entre nous. Il hurlait qu’il n’acceptait pas de vivre comme ça. Il me partageait déjà avec Nixon et il ne voulait pas avoir à me partager avec des inconnus qui me payaient. Alors, dans ma tête, l’ultimatum tombait. Lui ou mon métier. Et, j’aurai aimé vous souffler que le choix était aisé. J’aurai aimé vous dire que le cauchemar devenait rêve. J’aurai tant aimé ouais. Mais, je ne pouvais pas. Ce serait un fucking mensonge. Je ne pouvais pas abandonner mon métier. Je ne voulais pas l’abandonner. J’avais besoin de cet argent. En une nuit dans la rue, je me faisais presque autant qu’en un mois de salaire du Lord Hobo. Au-delà de cet argent facile, j’avais follement besoin de ces corps à corps. Mon corps le réclamait. J’avais besoin de coucher aussi souvent. J’avais besoin de ces hommes qui prenaient sans chercher d’amour ou de tendresse. J’avais besoin de cette violente domination que ni Lukas ni Nixon ne pouvaient m’offrir. Et, enfoncé dans toutes ces images, je n’avais pas su dormir correctement. Je savais que je ne parviendrais plus à me reposer maintenant que ça venait de se rejouer. Il fallait que je bouge de ce lit. J’avais passé tellement d’heure allongé. Il fallait que je me lève et que je me rende ce cours. Et, pour se faire, je devais d’abord passer dans mon appartement pour récupérer le devoir que je devais rendre cet après-midi. Je quittais lentement les draps me dirigeant vers la salle de bain. Le studio était silencieux. Tellement silencieux. Nix’ et Nadia étaient sans doute partis en cours. Je prenais une douche brûlante et extrêmement rapide avant de refaire le bandage à ma main droite. Je l’avais tellement oublié que je l’avais trempé sous la douche. Je prenais le temps de le refaire avant d’enfiler mes vêtements de la veille en mode automatique et de me glisser en dehors du studio que je fermais à clé. Comme un zombie qui ne savait pas trop ce qu’il faisait, je me dirigeais dans la rue montant dans un taxi et babillant mon adresse. Le trajet fut long… Ou court… Je n’en savais rien. Je savais juste que j’arrivais un peu trop vite à mon goût chez moi. Je payais ma course avant de me diriger vers mon immeuble. Je montais rapidement les escaliers me retrouvant alors devant la porte de mon appartement. Et maintenant ? Il y avait un risque que Lukas soit là non ? Il avait laissé son chat, sa guitare et ses médicaments chez moi… Je marchais de long en large devant ma porte. Est-ce que je pouvais me pointer en cours d’ingénierie en soufflant que j’avais oublié mon devoir chez moi ? Non… Bien sûr que non. Je n’étais déjà pas assidu. Je ne pouvais pas me permettre de faire ça. Alors, prenant mon courage à deux mains, je glissais ma clé dans la serrure de l’appartement. Et, après avoir déverrouillé la porte, je m’avançais dans l’appartement sur la pointe des pieds. Meeko ne venait pas me trouver. Est-ce que cela signifiait que Lukas était là ou simplement que le chat était planqué ? Je n’en savais rien. Je ne voulais pas réfléchir sinon j’allais faire marche arrière. Je soufflais plusieurs fois avant d’avancer doucement jusqu’à ma chambre. Et, là, sur le pas de l’entrée de ma chambre, je me figeais d’un seul coup. Lukas était là. Il se trouvait dans ma chambre. Mon cœur s’accélérait aussitôt. Je faisais deux pas en arrière comme si j’avais l’espoir de pouvoir m’enfuir en courant. Je faisais deux pas en arrière comme si ça pouvait me faire disparaître de son regard. Foutue illusion. Il m’avait vu. Son regard se levait sur moi et je ne pouvais pas lui échapper. Je bougeais à peine pour rabattre ma capuche sur ma tête et masquer mon teint pâle, mes yeux si rouges d’avoir pleuré, si noirs d’avoir peu dormi. Je glissais bien vite ma main droite dans ma poche pour masquer ce bandage qui l’entourait. Et, les yeux rivés au sol, je soufflais de nouveau pour prendre sur moi alors que j’avançais dans la pièce. Je maintenais le maximum de distance entre Lukas et moi Je me dirigeais vers mon bureau tout en soufflant. « Je… J’suis désolé… J’suis juste venu chercher un devoir… J’en ai besoin pour mon cours… » Putain, ouais j’en venais à m’excuser comme s’il était chez lui et que je n’étais plus chez moi. J’en venais à babiller des excuses pour me rendre dans mon propre appartement. De ma main gauche, je farfouillais rapidement dans les papiers sur mon bureau avant de trouver le devoir tant désiré. Je le glissais dans mon sac à dos sans perdre de temps. Et, tout en remettant le sac sur mon épaule, je traversais la chambre. Je voulais m’enfuir. Juste fuir le plus loin. Simplement quitter cet endroit. Juste le quitter comme lui l’avait fait hier matin. Pourtant, une partie de moi me poussait à aller trop lentement alors que j’arrivais à l’entrée de la chambre comme si je voulais qu’il me rattrape. Comme si je voulais qu’il vienne me chercher. Mais il ne le ferait pas… Il ne le ferait plus… Plus face au garçon que j’étais devenu. Ce mec dont il n’aurait sans doute plus jamais envie…

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)
Lukas O. Spritz-Hood

Âge : 29
Lieu de naissance : St Pettersbourg
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
Situation sentimentale : Marié à Neal
Études / Métier : Gérant et propriétaire du SunRock
Date d'inscription : 13/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Babs
Icon : Piou
Faceclaim : Finn Cole
Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
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Description (1) :

How can I trust you? Neakas 210307011101321484 How can I trust you? Neakas 210307011100239403 How can I trust you? Neakas 210307011132892730
LUKAS OWEN SPRITZ
✧ ✦ ✧
” who is he "
Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

✧ ✦ ✧

How can I trust you? Neakas 210307010918770936 How can I trust you? Neakas 210307011001575388 How can I trust you? Neakas 210307011002251164
” if you need more "

✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


your life isn’t your if you
always care what others think.

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My distinctive signs

✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

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” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
” love makes a family "

Horaire des cours
Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
Mardi: 12h - 16h
Horaire du SunRock
Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.


Description (2) : • Meeko en Kat Sitting (emo)
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• Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
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• Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
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How can I trust you? Neakas 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
C’est notre héros Lukaman.
Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
Qui prouvera que l’on peut gagner ?
C’est notre héros, Lukaman.
Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
C’est notre cher Lukaman.
Notre grand héros de la Chatbox,
Entendra nos souhaits de liens.
Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
Le porte bannière de nos étudiants
C’est notre héros Lukaman,
Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
Notre héros fidèle,
Notre Lukaman adoré.
Même lorsqu’il n’est pas là,
Il hante les couloirs de notre grande maison,
Il veille sur nous, même endormi,
Notre héros, Lukaman.
Comment oublier l’amour de ce héros ?
Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
Il nous aime à chaque venue à la maison,
Notre grand héros,
Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
De nos corps attirés par Timmy,
Timeout cruel de notre Chatbox.
Notre Héros,
Lukaamaaan. How can I trust you? Neakas 1116103942

How can I trust you? Neakas NpszQwXL_o

RPS en cours :
Meetsachussets
The SunRock
oWen
Warnings : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression, infidélité.


RPS : 395
Messages : 46487
Préférences de jeu
veritas
Lukas O. Spritz-Hood
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LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-coleFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukasProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owenComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
Tout ceci était bien trop beau pour être vrai, c'est clair putain, je sais pas ce qu'on avait fait au temps, mais y avais toujours ce putain de tic tac au dessus de nous en fait. Depuis le début, depuis toujours, même la première fois, rappel toi... Le tic tac silencieux, de cette cigarette qui se consumais sur ces t'shirts imbibé d'alcool, et nous entrain de nous perdre une première fois dans cette ruelle. Le tic tac de mon cœur, attendant d'imploser au Badgirlz, alors que t'étais dans les bras de cet homme, me provoquant totalement, moi jouant contre toi et ta provocation final avec ton homonyme, pour me faire totalement chavirer pour toi. Ce tic tac qui s'était jouait au ralenti alors que notre santé physique était en danger, ce tic tac qui aurai pus totalement s'arrêter, fatalement. Le tic tac, qui avait pris une accélération incontrôlé à la montagne, comme si le temps nous avait échappé et qu'on était plus incapable de rien. Que j'étais plus incapable de contrôler, et je nous avais envoyé droit dans le mur... fatalement et de plein fouet. On avait réussis à atteindre le zéro, le zéro du temps qui nous avais été accordé non ? C'est bien pour ça qu'on s'était retrouvé devant cet italien pour mettre fin à ce tic tac, pour repartir brisé chacun de notre côté, mais tout de même entier. Et je ne sais comment on avait réussis à retourner le sablier, par je ne sais quel miracle, le sablier s'était retourné et le tic tac recommençait, plus lent plus paisible je crois, nous laissant le temps, de nous découvrir encore un peu plus à chaque fois, rajoutant des grains de sable même à chaque confession que l'ont se portait, à chaque preuve de confiance qu'on se faisait, on se rajoutait du temps, en en perdant à chaque mensonges, cachotteries, mais on avait toujours du temps devant nous nous, aussi flou soit'il on avait du temps … Et comme venu de nul part tu avais fait passé notre temps à quarante huit heures, brutalement, sans rien dire si ce n'est prendre ces distances, distances que tu voulais prendre fatalement, qui en quelques dizaines de minutes étaient passé de quarante huit heure, à ZERO... Un zéro absolu si je n'avais pas était présent. Un putain de zéro absolu... Et le tic tac de notre relation s'était arrêté, au moment où ton cœur avait cessé de battre sur cette plage. Alors je m'étais battu contre ça, bien sur, il était impensable que je ne me battes pas contre ça et alors le tic tac, s'était ré-enclenché. Et les événements non avait redonné du temps, bien plus précieux encore que les moments précédent, bien plus intense encore, bien plus fort, bien plus unique, parfait dans leur imperfection, parfait dans notre imperfection. Un parfait Neakas imparfait ...
Mais là c'était un autre tour que le temps nous jouait, parce qu'avec cette boite à mes pieds, ses billets à mes pieds, alors qu'un instant avant il nous restait le temps de voyager, d'espérer, de construire, de déconstruire et recommencer, de vivre, de rire, de pleurer, de chanter, de jouer, de nous serrer dans les bras, de nous caresser, de nous embrasser, de prendre nos corps à tour de rôle, nous dire je t'aime, Le temps au dessus de notre tête affichais Fatal error 409 : Conflict : la requête ne peut être traité dans l'état actuel Le temps entrait en conflit avant même qu'on s'en rende compte, alors que tu me lâchais la bombe de vérité. Le tic tac, n'était plus qu'un tic incessant, tic, tic, tic, tic, tic, tic, tic, tic, tic, tic. Une horloge cassée.
Alors j'essayais un peu de sortir les outils que j'avais sur moi pour réparer l'horloge essayer de la remettre en route dans un sens ou dans un autre, mais tu me repoussais, tu me fuyais, pour te cacher sous une couche de vêtement qui n'avait lieu d'être à mes yeux, t'était prostitué avant, tu l'étais encore maintenant, ouai … fatal error 409 : conflict … Lukas ça percute pas dans ta tête. Physiquement tu étais toujours la même personne, à l'intérieur tu était toujours la même personne, une vérité supplémentaire s’accrochait sur toi, une étiquette supplémentaire, toute ces étiquettes que je refusais pour qui que ce soit, parce qu'elle n'avait pas d'importance, parce que ces étiquettes étaient là pour juger et que je ne jugeais pas ... enfin je crois … fatal eror 409 : conflict Lukas Alors je venais prendre ton visage maintenant beaucoup trop caché, te demandant de ne pas le faire. Et tu secouais la tête refusant de m'écouter, et je détestais ce manque de confiance en toi, je le détestais tellement ce peut d'estime de toi. Parce que tu valais tellement mieux que de te sous estimer. Et comme sortir de nul par pour essayer de conjurer ce fatal error, mes lèvres laissais passer deux mots... Du temps Je te demandais du temps Neal, combien je ne sais pas mais, je devais prendre du recule. Quelques heures au moins, pour essayer de traiter les informations. Puis dans le silence j'voulais que tu saches que je ne partirais pas, que je te laisserais pas sans réponses, surtout pas, non je ne fuirais pas. Parce que tu méritais pas, ça je ne le méritais pas non plus, on ne méritais pas ça, je ne le voulais pas non plus. Alors je te répétais que je ne partais pas. J'avais juste besoin de sortir, pour la journée, faire ce que j'avais à faire, mais que je serai de retour, quand … a quel heure … quel jour … j'étais limité de toute façon, alors au plus tard mercredi au plus tôt après les cours … Mais je sentais bien que même si tu acceptais c'était vint... Malgré ces je ne part pas, qui pour moi signifiait je ne part par de ta vie, je compte y rester. Pour toi ce serrait autre chose. Je déposais mes lèvres sur les tiennes pour essayer de te réveiller. Lyubov' … je part pas … j'aurai tellement du te dire que je reviendrais parce que j'aurai du te rassurer, dans tout ça, puis finalement t'allais t'installer sur le lit, me laissant finir de m'habiller dans ce silence totalement dérangeant, où les secondes étaient des minutes beaucoup trop longue, et qui me faisait mal au cœur, j'enfilais t'shirt et pull, alors que j'aurai mieux fait de ne pas te laisser seul. Déposant tout de même un baisser sur ton front, te jeter un dernier regard et te souffler un dernier Je t'aime...

Lundi 06/04/2020 time not found

Je suis un prostitué ça se répétait dans ma tête depuis que j'avais fini mes verres, et mon cerveau n'arrivais pas à traiter l'information, clairement simplement, non pas ce soir pas aujourd'hui l'information ne serai pas traité. ça se répétais en boucle et je sais pas ce que j'en ferais ... Parce que ça entrait trop en conflit avec mes sentiments, ça bousculait trop de chose, ou que c'était peu être pas assez violent. J'en sais rien, mais l'information ne serai pas traité par mon cerveau aujourd'hui. Tout ce qui m'inquiétais c'était ton estime de toi, ta sécurité, et le fait que tu m'avais repoussé, tes mots prostitué voulaient s'imposer et ça ne marchait pas.


Mardi 07/04/2020 10:29am
Et comme à chaque réveil de cette longue et insupportable nuit, j'avais le souffle cours et les yeux humides, le cœur qui battait trop fort, parce que si je ne te perdais pas dans le métro, c'était sur cette plage, si ce n'étais pas sur la plage, alors tu te détruisais, par ma faute, incapable de te contrôler, comme ça avait déjà pus t'arriver, et quand c'était pas ça maintenant un nouveau cauchemars s’accumulait aux autres : celui où tu me repoussais totalement, de par ta condition, celui où tu ne voulais plus de moi simplement parce que je savais ce que tu faisais et que tu pouvais penser que tu me dégouttais, comme si quoi je pouvais dire n'étais que des mensonges, que je n'avais plus aucun moyen de te faire entendre raisons, que mes mots devenais inutiles. Alors toutes ces heures avaient été un supplice, et je pouvais simplement me consoler dans l'odeur de tes draps, dans l'odeur de ton sweat. Le dernier réveil était certainement le plus douloureux parce qu'il y avait le mélange de tout ça et que j'en restais estomaqué, à bout de souffle, j'entendais les clés tourner dans les serrures, je fermais les yeux pensant que mon esprit me jouais un tour. Alors je restais un moment dos à la porte parce que ça ne pouvais que dans ma tête, mais après les clés, venais le verrou, puis la poignée, m'obligeant à me retourner. C'est là que ta silhouette se dessinait milieu de la porte de la chambre, alors que tu te cachais à ma vue de nouveaux, le cauchemars était donc devenu une putain de réalité, tu voulais plus que je te vois. Je me redressais passant ma main sous chacun de mes yeux rougis par cette nuit, sur chacune des mes joues humidifiés de ces larmes. Je me redressais pour m’asseoir sur le bord de ton lit, alors que tu semblait vouloir longer les murs pour m'éviter et prendre ce que t'étais venus chercher, ce devoir qui se trouvais chez toi qui était à toi, ici je n'étais qu'un invité au final. Et j'aurai voulus avoir la force de te dire que tu pouvais faire ce que tu voulais, t'étais chez toi finalement. Mais je disais rien, tu agissais comme si ma présence te dérangeait tellement, que tu voulais me fuir. Et je te regardais sans rien dire, parce que j'aurai aimais te dire tant de chose. Parce que je voulais pas que ça finisse comme ça. Je t'avais dis que je ne partais pas, mais t'avais rien compris. Parce que je m'étais encore planté de mots avec toi, parce que pour toi tout était tellement définitif, ou je sais pas. Alors je te voyais commencer à partir. Dos à moi, je me redressais lâchant un Neal... s'il te plait … reste … part pas... S'il te plait... pas comme ça... pour casser le silence pesant tout en avançant vers toi, pour tendre la main, et attraper ton bras. Per favore ... Mio amore …. Non scappare da me Espérant que l'italien te ferait rester, qu'il aurai plus de poids, et plus de douceur peut-être j'en sais rien. J'attrapais ton bras pour te faire tourner doucement face à moi, venant glisser ta main dans la mienne. Lyubov' … j'suis pas prés à partir, à te laisser partir … j'suis pas prés à me poser des questions sur la situation, même s'il le faudrait, j'suis pas près … Je laissais un léger silence, envahir la pièce alors que je venais retirer la capuche de ta tête, tout en caressant ton visage blême, et vus comme je me sentais, je devais certainement être dans à peu prés le même état que toi, et je m'en fichais pas mal. Je posais mes mains autour de ton visage pour faire glisser mes pouces au dessus de tes joues espérant y croiser ton regard rougis. Neal … je … je t'aime … et ça … la vérité n'a pas tout changé en un claquement de doigts … ni mes sentiments, ni mon regard sur toi … ça aurai pus, mais c'est pas le cas … alors per favore … amore … me fuit pas … j'pouvais pas être plus sincère dans mes propos de toute façon, j'pouvais pas faire plus, j'me sentais pas de faire plus si ce n'est venir déposer mes lèvres sur les tiennes dans un doux baisser que j'avais peur que tu me refuserais.

@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)




You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride


Titre de propriété :


Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : How can I trust you? Neakas 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : How can I trust you? Neakas MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Leone : protector in the Mafia, good dominator
◆ Milo : boxing partner, good sex

FRIENDS
◆ Ares : client temptation
◆ Chelsia : good friend
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Khol : special friend from the past
◆ Nevan : complicated friendship

HATE
◆ Lion : ex friend threatened

Description (3) : How can I trust you? Neakas 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
How can I trust you? Neakas Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 5
Lukas
Leone
Lukas
Côme
Anthea

QnT - 2
Milo
Leone
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 254
Messages : 48985
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veritas
Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Le perfide secret débarquait dans l’appartement comme un tremblement de terre foutrement violent et imprévu. Cette catastrophe naturelle qui venait tout foutre en l’air sur son passage. Ce putain de tremblement de terre qui détruisait tout autour de lui. Alors ouais, putain, on pouvait toujours reconstruire derrière. En mieux. En plus fort. En plus résistant. Mais, parfois, certaines personnes préféraient abandonner. Elles préféraient choisir quelque chose de moins complexe dans un endroit moins dangereux. Bordel, qu’allait-il arriver de nous après ce tremblement ? Est-ce que Lukas allait finir par choisir un autre chemin plus aisé à vivre ? Allait-il choisir une relation plus saine et simple à construire ? Allait-il sélectionner une vie moins compliquée loin de moi ? Sans moi ? Je n’en savais rien. Tout était tellement flou encore perdu dans la poussière du tremblement. Encore blessé de cette catastrophe imprévue. Le perfide secret cognait entre les quatre murs de chez moi. Il mettait fin à l’ambiance générale agréable qui s’était installée depuis une semaine en ces lieux. Il mettait fin à cette cohabitation délicieuse et presque sans obstacles. Il mettait fin à cette matinée qui s’annonçait bonne parce que je comptais le faire mien à nouveau et lui dire combien je l’aimais. Ce putain de secret venait détruire cette matinée qui annonçait une excellente journée à pouvoir profiter, à pouvoir s’aimer pendant les quelques jours qu’il restait avant son départ pour l’Italie. Son départ loin de moi. Le perfide secret débarquait. Les sourires s’évaporaient. Le futur s’effaçait si lentement, si réellement. Y aurait-il encore un nous demain ? Y aurait-il encore des corps à corps entre Lukas et moi ? Y aurait-il un jour ce voyage en Italie que j’avais mentionné quelques minutes plus tôt ? Juste lui et moi. Peut-être pas. Peut-être plus. Les pages devenaient si blanches et sans le moindre plan, sans la moindre idée de ce que l’avenir nous réservait. Le perfide secret débarquait effaçant les ‘je t’aime’ et les baisers tant attendus. Le perfide secret glissait entre mes lèvres. Il tombait entre nous. Entre Lukas et moi. Il venait de glisser pour enrayer la totalité de la machine. Pour la détruire ? Est-ce que mes propos pouvaient mettre fin à notre Neakas imparfait et pourtant si parfait à sa manière ? Est-ce que cette révélation avait le pouvoir de nous pousser à une rupture définitive ? Cette rupture que nous n’avions pas été foutus de tenir même en nous la crachant au visage des semaines plus tôt. Est-ce que ce secret pouvait réussir là où nous avions échoué ? Le perfide secret venait de tomber et je ne savais plus comment j’étais censé me sentir. Tellement peu de personnes étaient au courant de cette histoire. Tellement peu de monde comprenait réellement le besoin que je ressentais de me retrouver dans les rues sombres de Boston pour m’offrir à des étrangers. C’était peut-être un peu trop fou. C’était sans doute tellement trop complexe. Qui était au courant de ce secret ? Tomas bien évidemment… Il était mon contact de secours dans ce monde parfois si dangereux. Lorsqu’un homme m’effrayait, je prenais toujours soin d’écrire l’adresse à Tomas comme pour qu’il sache où je me trouvais. S’il n’avait pas de nouvelles au bout de quelques heures, c’était que quelque chose n’allait pas. Lorsqu’un homme se montrait un peu trop violent, lorsque je finissais foutrement trop incapable de bouger des chambres d’hôtel, Tomas était mon contact. Il était celui sur qui je pouvais toujours compter quand bien même je savais qu’il n’appréciait guère la situation. Qui d’autre était au courant ? Côme bien sûr… Enfin Laurys si j’utilisais sa nouvelle identité. Il avait payé pour une nuit. Il savait que je continuais de m’abandonner à cette activité pratiquée dans la mafia. Il le savait et je savais aussi que si un homme me faisait du mal, je n’aurais qu’à lui dire. Je pouvais lui dire et cet homme pouvait disparaître. Qui d’autre était au courant ? C’était tout n’est-ce pas ? Il y avait eu quelques personnes du passé qui avaient découvert mon emploi. Cependant, actuellement, à Boston, il n’y en avait que deux. Deux qui acceptaient mon métier même si ça ne leur plaisait pas réellement. Deux avec qui je n’avais pas une relation comme j’avais avec Lukas bien sûr. Deux… Maintenant trois. Bientôt quatre. Parce qu’il faudrait que je le dise à Nixon un jour. Parce qu’à force de trop me cacher derrière des mensonges ça faisait plus mal. C’était ce que disait les yeux de Lukas. Il brillait de cette douleur que j’allumais. Le perfide secret était tombé et mon sexy musicien me prenait dans ses bras. Ce n’était pas normal. Ce n’était pas de cette manière que les choses étaient censées se passer. Il ne devait pas agir ainsi. Il ne devait pas rester tendre. Il ne devait pas accepter la tête baissée sous prétexte qu’il m’aimait. Il ne devait pas et ça me faisait tant de mal de le voir agir comme si c’était normal, comme si tout allait bien alors que PUTAIN LUKAS ce n’était pas le cas. Je voulais lui hurler dessus. Je voulais rentrer dans les détails pour qu’il comprenne que je me rendais dans ces rues et que je me vendais à des étrangers. Je voulais être plus clair. J’avais envie d’être plus cru. Plus violent. Je désirais simplement obtenir une réaction. Du dégoût. De la colère. Des insultes. Des coups. J’étais prêt pour ça. Mais, putain, je n’étais certainement pas prêt pour ces bras qui m’entouraient avec tendresse. Et, même en cherchant à me blottir contre lui pour tout oublier, je ne parvenais pas à trouver ce réconfort qui me faisait tant besoin. Les sanglots continuaient. Les excuses ne cessait jamais comme si je n’étais qu’un pitoyable gamin qui avait commis une connerie qu’il ne contrôlait pas. Bordel, pourquoi est-ce que je m’excusais au juste ? C’était mon métier. Personne ne m’y forçait. Je le faisais avec plaisir la majorité du temps. Pourtant, la réaction de Lukas était anormale et ses doigts se mettaient à brûler ma peau. Son corps contre le mien faisait trop mal. Je ne voulais pas de ce corps à corps empli de tendresse et d’amour. Pas après ce que je venais de lui avouer. Alors, je m’évadais pour me cacher sous des couches de vêtements. Je m’évadais et je restais ce gosse malade qui sanglotait et qui s’excusait. Lukas s’approchait de nouveau. Une main tendue. Pour toujours et à jamais hein… Jusqu’où était-il prêt à aller pour moi ? Jusqu’à quel point était-il prêt à se sacrifier comme ça ? Et si je lui soufflais que j’avais tué un homme… Après tout, c’était le seul secret qui me restait maintenant. Est-ce que mon passé de meurtrier le pousserait à réagir cette fois ? Je ne parvenais pourtant pas à ouvrir la bouche puisque ses doigts se posaient sur moi. Il me touchait. Ça brûlait. Il ne voulait pas que je me cache. Je devais faire quoi alors ? Me pavaner devant lui en hurlant que j’étais un prostitué. Me pavaner sous ses yeux en babillant que tellement d’hommes avaient eu l’occasion de me posséder. Je secouais la tête négativement pour lui dire que je ne pouvais plus m’afficher. J’avais besoin de ce rempart qu’était devenu mes vêtements. J’en avais tellement besoin ouais. Et soudainement, il me demandait du temps… Du temps pour réfléchir ? Du temps pour m’effacer ? Du temps sans moi… Loin de moi. Je sanglotais comme un minable gamin qui acceptait pourtant son destin. J’acquiesçais alors qu’il finissait par poser ses lèvres sur les miennes. Ça ne me faisait rien. Elles ne me ramenaient même pas dans notre réalité. Et putain, Lukas avait beau dire qu’il ne partait pas, ELLE disait le contraire et je la croyais. Je croyais à cet abandon. Je l’acceptais trop aisément conscient que je le méritais si follement. Je me dirigeais vers le lit m’installant dessus alors qu’il s’agitait autour de moi. Je le laissais faire. Je le laissais simplement me fuir. Je restais là comme un spectateur trop immobile, trop absent. Est-ce que les lèvres du musicien s’étaient posées sur mon front ? Est-ce qu’un ‘je t’aime’ avait résonné dans l’appartement ? Même après la révélation ? Ma tête hurlait que non. Ce n’était qu’un foutu rêve. Un bien joli rêve en dehors du cauchemar réel qu’était devenue ma réalité. Ce cauchemar où mon appartement été désert. La porte se fermait et je restais seul. Le perfide secret avait prit vie. Et Lukas m’avait laissé là. Moi. Le déchet.

Lundi 6 Avril. 10:45 am Je ne savais pas comment ça s’était passé exactement. Je ne parvenais plus à saisir comment tout avait pu arriver. Je n’y comprenais plus rien Lukas… C’était comme si j’étais trop absent. Comme cette nuit où j’avais quitté l’appartement pour me retrouver en plein milieu de Boston sans même m’en souvenir. C’était comme si mon corps n’était plus à moi. C’était comme si ma tête ne m’appartenait plus réellement. Je revenais à moi dans cet amphithéâtre bondé. Cet amphithéâtre qui n’était certainement pas le mien. Ce cours qui n’était absolument pas celui que je devais suivre. J’étais assis sur cette chaise entouré d’étrangers qui me dévisageaient. J’étais coincé dans cette pièce et je subissais le déraillement. J’en avais tellement conscience. Les gouttes de sueurs perlaient sur ma peau. Ma respiration s’affolait un peu trop vite, un peu plus follement. Je la sentais me glisser entre les doigts. Mon cœur cognait toujours plus fort. Et, je me retrouvais juste là incapable de tout. Je me retrouvais simplement capable de me glisser à l’extérieur dans ce monde voilé et tremblant. L’air frais percutait mon visage et ça me faisait encore plus mal. Tellement mal que je finissais par me réfugier de nouveau  à l’intérieur du bâtiment. Je me retrouvais dans ces toilettes pour vomir le peu que j’avais encore dans l’estomac. Est-ce que j’étais encore malade ? Non sans doute pas… Ou peut-être que si. Mais, je n’étais pas malade comme ce week-end non. J’étais malade d’être moi. J’étais malade de mes secrets. J’étais malade de mon métier. J’étais malade de l’abandon de Lukas. Et le gouffre m’entraînait sans que je ne sache lui résister. Je n’avais plus rien à quoi me raccrocher. Il n’y avait plus la moindre prise autour de moi pour m’empêcher de sombrer. Mon corps se mettait déjà à agir en mode trop automatique. Je mettait en place cette cale contre la porte pour empêcher quiconque d’entrer ici. Pour empêcher quiconque de venir me secourir si je commettais le geste de trop. Il était dingue de voir que, même dans un était si pitoyable, une part de mon cerveau conservait assez de logique pour parvenir à parfaitement m’isoler du monde et putain c’était effrayant. J’étais effrayant. Mes yeux croisaient mon reflet. Je me perdais lentement. Réellement. Terriblement. Je le sentais. Je la sentais. Comme ce jour-là sur la plage. Mais, je n’avais rien pour sombrer aussi profondément ce matin. Je n’avais rien pour partir aussi loin… Ou peut-être que je savais que je ne pouvais plus partir aussi loin parce que Nixon était là. Quelque part. Dans mon cœur. Dans ma tête. Dans mes veines. Lukas était là aussi. Et Katalia. Pourtant, elle cognait. Elle me poussait et je ne savais pas lui dire non. Je ne savais pas lui résister. Je ne pouvais que lui céder. Je ne pouvais que lui dire oui. Mille fois oui. J’acceptais de me blesser. Je cognais ce miroir me foutant des éclats de verre. Je cognais ce miroir encore et encore avec l’espoir de faire disparaître le vide de mon être. Je cognais dans ce miroir comme si ça pouvait retirer le poids qui écrabouillait mon cœur. Et, à bout de force, je me laissais tomber au sol au milieu des débris. Débris du miroir. Débris de mon cœur. Débris de mon âme. Les larmes coulaient si vite sur mes joues. Le sang glissait si chaud le long de ma main. Et j’avais mal. Pas à l’extérieur non. J’avais mal à l’intérieur. Ça me charcutait incessamment et je ne savais pas comment y échapper. Alors, elle poussait encore. Elle voulait que j’attrape un morceau de verre. Elle voulait que j’attrape l’un de ces morceaux de miroir pour le déposer contre ma peau. Contre ma carotide. Perte de conscience en cinq secondes. Mort en douze secondes. Les statistiques cognaient dans mon esprit alors qu’elle m’encourageait. Elle me poussait. Vivement. Réellement. Ma main se serrait. Y avait-il un morceau de verre entre mes doigts ? Non… C’était mon téléphone que je serais si fort. Une partie de moi s’était mise à agir en mode automatique contre la voix. Et, je contactais Nixon. J’appelais du secours. Je l’appelais au secours. Il devait me sortir de cet enfer. Il devait effacer ce qui cognait à l’intérieur de ma tête. Il devait me tirer hors de cet endroit. Il le fallait. Vite. Vite. Vite. Avant qu’elle ne reprenne la main. Nix’ ne me quittait pas une seule seconde. Les messages arrivaient. Ils m’accaparaient. La panique refluait. Lentement. Réellement. Il me sauvait tandis que la véritable douleur débarquait. Ma main me faisait mal. Elle était la preuve que je replongeais dans la réalité alors que Nixon finissait par frapper contre cette porte que je lui ouvrais. Cette porte qui m’emportait loin de mes conneries. Cette porte qui me faisait plonger dans une journée trop vague. Je glissais dans un enfer continuel dont je n’avais pas conscience alors que les heures s’écoulaient sans moi. Et putain, je m’en foutais. Plus rien ne comptait.

Mardi 7 Avril à 10:29 am. C’était la première fois que je reprenais réellement conscience depuis des heures… Depuis la veille. C’était la première fois où j’avais l’impression d’être conscient aussi bien dans ma tête que dans mon corps. Je parvenais à tenir un raisonnement et à agir. La douleur cognait dans ma tête. Elle était plus forte que tout le reste. Ma nuit avait été si rude. J’avais encaissé tellement de mots joués à l’intérieur de mon crâne. J’avais plongé dans tellement de cauchemars. J’avais vécu cet ultimatum qu’il aurait dû me lancer. Cet ultimatum qu’il me lancerait peut-être plus tard en se rendant compte qu’il ne pouvait pas me partager de cette manière. Je finissais par repousser les draps du lit de Nixon pour me rendre dans la salle de bain. Une douche brûlante et express m’accueillait. Je ne voulais pas prendre le temps de me perdre dans ma tête. Je ne voulais pas laisser la possibilité à la voix de reprendre le dessus. Il fallait que je m’occupe. Il fallait que je me fixe des objectifs et le premier était de retourner à mon appartement pour récupérer mon devoir d’ingénierie. Non… Le premier était de refaire ce bandage à ma main droite. Je m’y concentrais parce que je savais que je devais m’occuper l’esprit sans cesse si je ne voulais plus glisser. Il le fallait. C’était indispensable. Tout en récitant mes cours de mécanique, je retournais dans la chambre pour enfiler les vêtements de la veille me fichant du sang qui tâchait encore mon sweat. J’enfilais mes vêtements de la veille comme si j’étais en mode automatique alors que, putain, j’aurais pu en mettre de nouveau. J’en avais une partie ici. J’avais une partie de mes affaires chez Nixon. Mais non, j’enfilais ceux d’hier comme si l’épreuve n’était pas encore terminée et que je devais continuer de la subir. Je les enfilais et j’agissais en pilote automatique. Monter dans le taxi. Payer la course. Monter les escaliers jusqu’à mon appartement. M’arrêter devant cette porte. C’était chez moi et pourtant je n’osais pas entrer. Et s’il était là ? Si Lukas se trouvait dans mon appartement ? Il avait laissé toutes ses affaires ici et ce serait logique qu’il s’y trouve. À moins qu’il ne soit venu pour tout retirer dans la nuit. Je marchais de long en large. Mon cerveau repartait trop vite. Et, au moment où ELLE allait prendre le dessus, je finissais par trouver mon courage. Il le fallait bien. J’avais besoin de ce devoir. J’avais besoin de cette concentration. J’avais besoin d’agir. Je déverrouillais ma porte avant de pénétrer dans mon appartement. J’avançais sur la pointe des pieds tentant de ne pas réfléchir à l’absence de Meeko qui aurait pu me faire trop paniquer et me pousser à faire demi-tour. Et, arrivé à l’entrée de ma chambre, je me figeais si réellement. Lukas se trouvait là. Dans un sweat. Dans mon sweat ? Peut-être. Je ne savais pas. Je ne voulais pas prendre le temps de le regarder. Il était là et mon cœur se chamboulait. Brutalement. Violemment. Je reculais comme si je cherchais à disparaître de devant son regard. Je reculais comme pour chercher à m’effacer de ce monde douloureux, de cette épreuve si violente. Je rabattais ma capuche sur ma tête comme pour effacer mon visage marqué par toute cette douleur. Je glissais ma main dans ma poche comme pour masquer la connerie que j’avais encore faite. Je voyais Lukas bouger, mais je n’y prêtais pas plus d’attention. Je ne voulais pas m’attarder. Il ne fallait pas que je perde de temps. Alors, les yeux rivés au sol, j’avançais dans la pièce gardant une distance de sécurité entre le jeune homme et moi. Je sifflais des excuses marmonnant la raison de ma présence dans cet endroit qui était pourtant le mien. Je venais chercher un devoir. Juste un devoir et j’étais prêt à m’effacer de nouveau. Je ne faisais que passer dans le paysage farfouillant rapidement sur mon bureau. Je dénichais le précieux le glissant dans mon sac avant de retraverser la chambre pour m’enfuir. Cependant, la voix de Lukas résonnait. Je me stoppais aussi sec. C’était comme si l’ordre d’un alpha venait de tomber et que je n’étais pas foutu de faire quoi que ce soit. Je ne pouvais plus bouger. Je ne parvenais plus à avancer. Je m’arrêtais alors qu’il me suppliait. Ne pas partir. Rester. Ne pas partir. Pas comme ça. Mais lui… Lui il l’avait fait hier. Pourquoi n’aurais-je pas le droit de partir moi aussi ? Pourquoi n’aurais-je pas le droit de m’effacer du paysage également ? Je l’entendais s’avancer vers moi et j’aurais dû m’éloigner. Avant qu’il ne me touche. Mais, il utilisait l’Italien comme pour capturer un peu plus mon cœur, comme pour enticher un peu plus mon âme. Et, je ne pouvais plus désobéir. Je ne me dégageais pas lorsqu’il attrapait mon bras. Je suivais le mouvement lorsqu’il me poussait à me tourner face à lui. Sa main glissait dans la mienne et mes prunelles se perdaient sur nos mains liées pendant quelques instants. La voix de Lukas résonnait alors. Il n’était pas prêt à partir et à me laisser partir. Il n’était pas prêt à se poser des questions sur la situation même s’il le faudrait. PUTAIN ! Cela signifiait que toutes ces heures loin de moi n’avaient servi à rien. Il n’avait même pas encaissé la nouvelle. Il n’avait même pas réfléchi à ce qu’il voulait me dire. Il n’avait même pas pensé à ce qu’il désirait faire. Il n’y avait ni réponse, ni question. Il n’y avait toujours pas de réaction si ce n’était celle de faire comme si mes mots n’étaient pas encore arrivés à destination. Les doigts de Lukas venaient retirer ma capuche et je le laissais faire garder les yeux rivés au sol. Ses doigts se perdaient sur mon visage et je fermais les yeux sous la sensation dévastatrice et délicieuse qui glissait en moi. C’était si tendre. C’était si agréable. Ses pouces glissaient sur mes joues alors qu’il me disait qu’il m’aimait. Il me confiait que la vérité n’avait pas tout changé en un claquement de doigts. Ni ses sentiments. Ni son regard. Cela aurait pu, mais ce n’était pas le cas. Et, il me suppliait encore une fois de ne pas le fuir. Soudainement, les lèvres de Lukas percutaient les miennes pour m’offrir un baiser trop doux. Un baiser que je ne méritais pas. Un baiser dont je ne m’évadais pas. Un baiser auquel je ne répondais pas pour autant. Je finissais d’ailleurs par reculer d’un pas sans lâcher sa main. Sans m’enfuir au loin. ELLE cognait en moi me disant de le pousser dans ses retranchements. Elle me disait de l’obliger à réagir. Alors, lentement, réellement, j’étais prêt à obéir. À lui obéir parce que, putain, j’avais besoin d’une réponse moi aussi. J’avais besoin de savoir ce qu’il en était. Il n’était pas tout seul dans cette histoire si complexe. Ma main relâchait la sienne tandis que je sortais ma main blessée de ma poche. J’attrapais mon sweat par le bas avant de le retirer rapidement. Sans la moindre hésitation, je me mettais torse nu face à Lukas. Je balançais le vêtement au loin avant de m’approcher de mon sexy musicien. Un peu trop vite. Un peu trop réellement. Par je ne sais quelle force qui se trouvait en moi, je glissais mes mains sous les cuisses de Lukas pour venir le soulever. Mes prunelles croisaient les siennes et je ne savais pas ce que je renvoyais. Était-ce rassurant ? Était-ce inquiétant ? Putain, au fond de moi, j’espérais que je n’étais pas en train de tout foutre en l’air. J’espérais que je n’étais pas en train de l’effrayer. Mais, ça pouvait être le cas puisque c’était elle qui me poussait à agir. Je bougeais vers le lit faisant basculer le corps de Lukas sur le matelas. Doucement. Lentement. Il y avait tellement d’amour dans le moindre de mes gestes. Il y avait encore tellement de tendresse comme si je ne pouvais pas être méchant avec lui. Et, putain, je ne pouvais pas l’être. Je ne pouvais pas devenir le même monstre que mon père. J’étais amoureux de Lukas. Je ne voulais pas lui faire de mal. Je voulais juste obtenir une réaction. Je désirais simplement qu’il se lâche. Qu’il n’hésite pas. Pour une fois. Pour cette fois. Qu’il ose face à moi. Sans peurs. Sans réserves. Je venais m’installer à califourchon sur les hanches de mon sexy musicien. Mes mains venaient bloquer ses poignets de chaque côté de son visage. Je n’étais pas violent. J’étais simplement un peu plus brutal qu’à l’accoutumé. J’étais foutrement dominant. Tellement plus que d’habitude. Avait-il peur ? Était-il effrayé de ce que je pourrais lui faire ? Ou sentait-il lui aussi l’excitation qui pulsait malgré tout dans la pièce ? Je me penchais doucement sur lui. Je m’approchais de son visage. Et, à quelques millimètres de ses lèvres, je finissais par cracher les mots douloureux qui cognaient en moi « T’as pas le droit ! » Non, putain, il n’avait pas le droit d’avoir pris tout ce temps pour au final me dire qu’il n’avait rien décidé, qu’il n’y avait même pas réfléchi.  « Tu m’as laissé et t’as pas le droit de revenir en m’disant que c’était pour rien parce t’es pas prêt à affronter la situation !!! T’as pas le droit de faire ça ! » Non, putain. Il ne pouvait pas me faire ça. Il ne pouvait pas m’avoir demandé du temps sans l’avoir utilisé. Qu’avait-il fait pendant tout ce temps là ? Avec qui était-il ? Mes yeux se plantaient dans les siens et je soufflais doucement comme pour le pousser à réagir « Je… Des hommes me possèdent la nuit… Et je les laisse faire… Ils me touchent… Ils me prennent… Putain Lukas… Je les laisse faire et je prends mon pied… Alors vas-y… Oses me regarder dans les yeux là tout de suite et me dire que tu as encore envie de moi… Oses me dire que tu me désires encore malgré tout ça… Malgré eux. Oses me dire que tu m’aimes encore alors que je couche avec tellement de personnes. » L’un de mes sourcils se relevaient. La lueur de défi brûlait dans yeux. Putain qu’il ose. Qu’il se place. Qu’il se décide. Et, comme pour le provoquer un peu plus, mes hanches ondulaient contre les siennes me poussant à me mordre la lèvre sous la friction que je provoquais. Je le cherchais. Je l’allumais. Et, soudainement, mes mains relâchaient ses poignets. Je me relevais. Si vite. Trop vite. Je manquais de chuter alors que je m’éloignais du lit de plusieurs pas. Je levais les deux mains en l’air dont ma main bandée. Je levais les deux mains en l’air comme pour dire que je n’irais pas plus loin, que je ne lui ferais certainement pas de mal. Mais, damn, est-ce que je lui avais vraiment fait mal ? Non. Sans doute pas. Je levais les deux mains en l’air comme en attente de la sentence. En attente de cette sentence que je réclamais tant. Putain Lukas… Ose prendre une décision. Ose agir face à moi. Ose t’imposer dans ce Neakas. Ose simplement… J’en avais tant besoin.

@Lukas O. Spritz
(Neal T. Hood-Spritz)

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