06/04/2020
Vélo, cours, dodo, c'était à peu prés le quotidiens que j'avais depuis la mort d'Alyson, sauf que je le vivais pas tout seul, L'absence Kat à mon retour du Spring Break avait bouleversé tellement de chose, beaucoup trop de chose. Si bien que je me retrouvais à vivre chez toi Neal, depuis fin mars. Ouai folle histoire que tout ça. J'étais rentré lundi 23 et j'avais passé les porte de l'appartement que je partageais avec Katalia et Méluzine, accueillis comme un prince par Meeko, qui venais rapidement prendre sa place de charroquet (chat-perroquet) sur mon épaule, alors que je traversais l'appartement pour retrouver les filles qui partageais ma vie. Seulement une était absente, l'autre dans tout ses états... Elles s'aimaient ces deux là d'un amour profond, intense, trop profond, trop intense, si bien que si l'un d'elle se sentait incomprise par l'autre alors le monde s'effondrait. Leur monde. Voilà pourquoi j'avais retrouvé une Méluzine seule, qui m'expliquait le pourquoi du comment Katalia, était partie en Italie, pour une durée indéterminé. Ses souvenirs étaient revenus suite à sa disparition, un enlèvement. Je n'avais aucun détail supplémentaire... Juste un enlèvement... De quelques heures semblerai t'il puisque dés le mardi elle se trouvait à l'hôpital des souvenirs de ce lundi soir manquant. Je me retrouvais donc avec une colocataire en mois. La suite de cette semaine ne s'arrangeait pas puisque deux jours plus tard en voulant accepter un travail qu'Alyson me proposais depuis des semaines. L'accompagner dans son travail à la pâtisserie, la demoiselle connaissait mes talents et les appréciais, oh bien sur j'avais des choses à apprendre, mais j'étais là pour apprendre et partager que proposer et imposer mes idées je le savais, je m'y était rendu le cœur léger, bien loin de me douter de ce qui m'attendais. A l'intérieur, le spectre de la mort, j'avais tressaillis et m'étais retrouvé dans les bras d'un ours bienveillant, un Mark, qui m'avait appris la fatale nouvelle, la blonde à qui j'avais porté secours n'était plus, l'enfant dont j'avais appris l’existence n'étais plus. C'était a goutte de trop... Parce qu'en moins d'une semaine j'avais supporté tout ça, mais il fallait en plus rajouter le spectre de la semaine précédente, le spectre de ta mort Neal. S'en était trop pour moi, alors sur le trottoir quand j'entendais l'homme me parler de son histoire et de sa rupture avec la blonde, pour une histoire de tromperie, d'avortement, de faire du mal, assumer une relation, rompre par texto... mourir assassiné... J'en bien trop a bout pour pouvoir agir sainement à cette instant, alors oui j'étais parti en crise de panique imaginant que ça pourrai t'arriver, que cette situation pourrai m'arriver, putain j'en était conscient... alors j'avais lancé le signal, notre signal, infaillible, qui signifiait l'urgence absolue, qu'il fallait agir, que tu devais venir, et tu m'avais rejoins, inconscient sur ta moto, écrivant texto sur texto pour ne pas me laisser sombrer. T'avais pris soin de moi, m'aidant à me relever à rester debout. Mais qu'est ce qu'il s'était passé pour que je finisses chez toi ? Tout simplement, le départ de Méluzine le week end suivant pour deux semaines. Alors toi et ton inquiétude n'avaient fait qu'un tour, toi et ton inquiétude m'avais fait installé chez toi le temps de cette absence.
Une collocation qui se passait relativement bien de mon côté, j’espérais sincèrement tout de même ne pas être un poids pour toi et ton inquiétude, ne pas te mettre dans des états, parce que vraiment tu m'aidais par ta présences... Les somnifères étaient absent de ma vie à chaque fois que tu étais là, à l'image des cauchemars que tu chassais par ta présence. Côté cours, je reprenais le rythme d'avant, celui d'y à longtemps, celui d'avant l'accident, régulier, assidue, concentré, focalisé sur ma seule réussite de ce doctorat à la fin de l'année. Alors si je n'étais pas chez toi, j'étais dans les salle de cours, à la bu, parce que j'avais tout mon retard à rattraper mais surtout parce que Kat', m'avait demandé de la rejoindre en Italie pour quelques jours, à Pacques. Je te l'avais proposé mais tu avais refusé et je le comprenais parfaitement, au vus de ta situation. Seulement, est ce qu'il n'aurai pas été mieux pour toi, pour vous de renouer le lien de cette façon ? Elle te manquais je le savais, elle demandait après toi. Elle te proposait de venir, c'était même pas moi. Non elle voulait que tu m'accompagne... Mais je comprenais ton refus totale. Au milieu de ça, j'avais noircis pas mal de page de carnet aussi, toute à la destination d'Alyson, parce que ça me soulageais, d'écrire sur notre amitié, ou ce que tu nous avais fait, on en avait pas forcement reparlé mais ça restait dans un coin de mon esprit, ancré, bien trop ancré, bien trop impacté. Alors je le gardais pour moi, dans ce coffre fort, qui s'était monté avec la totalité de vos secrets à tous, la totalité de vos confidences, dont la plus part était les tiens tout ce même et certainement les plus importants aussi. Parce qu'il marquait la confiance que tu avais en moi, même si ça n'avait pas été rose tout le jours, tu me faisais suffisamment confiance pour me livrer ces gros secrets de ta vie, qui faisait que je comprenais encore mieux qui tu étais, alors je t'en remerciais Neal. Je te remerciais pour ça, mais aussi d'être là pour moi, t'occuper de moi, me laisser être là pour toi aussi, parce qu'au delà de mes conneries de déguisement aussi enfantine soit'il l'objectif était aussi de te faire prendre conscience que tu ne devais pas avoir du regard des autres, que le ridicule ne tue pas. Alors peu être que tu feignais pour me faire plaisir j'en sais rien, seulement je profitais de ta présence pour ces exercices qui même inconsciemment pouvais te faire du bien. Et puis parce que ça me faisait penser à autre chose, j'étais plus léger un poids en moins. Mais aussi parce que je profitais de chacun de ces instants avec toi, parce que je savais qu'a mon retour de Milan, je ne serai plus chez toi, que je retrouverais mon appartement et des nuits bien moins calmes, bien moins chaudes aussi, malgré tes retours tardifs.
Seulement aujourd'hui je devais préparer la valise pour mon départ à Milan, ou du moins songer à récupérer mes affaires pour les mener à la laverie et avoir des affaires propres pour mon séjours, je croulais pas sous les vêtements de changes, et puis ça éviterais d'y faire au retour. Alors oui ce aujourd'hui j'aurai bien aimé larver avec toi encore dans le lit, larver dans tes bras. Continuer à caresser ta peau, comme je le faisais depuis bientôt une heure, du bout des doigts, ne pensant à rien, si ce n'est à l'instant présent et à quel point j'étais bien, calme, serein, dans tes bras, me forçant à occulter l'absence que je te ferais subir, que je nous ferais subir. Je savais que tu ne serai pas seul, pendant ce temps, mais je savais aussi que ça ne te plaisais pas que je partes si loin. Après un rapide baiser que je venais déposer sur tes lèvres, je prenais le parti de prendre une douche et de te laisser tranquille. Je restais un bon moment sous l'eau, avant de ressortir, en serviette de la salle de bain, pour venir m'habiller, tu n'étais plus là... J'attrapais un boxer propre, avant de me pencher au sol pour récupérer mon jean. Je tentais tout de même de te lancer une nouvelle fois la perche.Bébé tu te rappelles que je pars pour Milan dans la nuit de mercredi à jeudi ? C'est toujours certain que tu te sens pas de venir ? laissais je à travers l'appartement, pensant que tu te trouvais à l'autre bout pendant que je vérifié qu'aucun boxers ou chaussettes ne s'était glissé sous ton lit. Déplaçant cette boite à chaussure comme tout les jours, à laquelle je ne prêtais aucune attention. Seulement aujourd'hui contrairement au autre jour, j'oubliais de la replacer directement, et en me redressant pour te saluer, mon pied venait la rencontrer, cette boite venais se vider, à mes pieds. Je posais mes yeux, sur le contenus qui n'étais autre que des billets et un p'tit paquet... J'arquais les sourcils, redressant la tête... Tu t'étais là et tu me regardais...
@Neal T. Hood
Vélo, cours, dodo, c'était à peu prés le quotidiens que j'avais depuis la mort d'Alyson, sauf que je le vivais pas tout seul, L'absence Kat à mon retour du Spring Break avait bouleversé tellement de chose, beaucoup trop de chose. Si bien que je me retrouvais à vivre chez toi Neal, depuis fin mars. Ouai folle histoire que tout ça. J'étais rentré lundi 23 et j'avais passé les porte de l'appartement que je partageais avec Katalia et Méluzine, accueillis comme un prince par Meeko, qui venais rapidement prendre sa place de charroquet (chat-perroquet) sur mon épaule, alors que je traversais l'appartement pour retrouver les filles qui partageais ma vie. Seulement une était absente, l'autre dans tout ses états... Elles s'aimaient ces deux là d'un amour profond, intense, trop profond, trop intense, si bien que si l'un d'elle se sentait incomprise par l'autre alors le monde s'effondrait. Leur monde. Voilà pourquoi j'avais retrouvé une Méluzine seule, qui m'expliquait le pourquoi du comment Katalia, était partie en Italie, pour une durée indéterminé. Ses souvenirs étaient revenus suite à sa disparition, un enlèvement. Je n'avais aucun détail supplémentaire... Juste un enlèvement... De quelques heures semblerai t'il puisque dés le mardi elle se trouvait à l'hôpital des souvenirs de ce lundi soir manquant. Je me retrouvais donc avec une colocataire en mois. La suite de cette semaine ne s'arrangeait pas puisque deux jours plus tard en voulant accepter un travail qu'Alyson me proposais depuis des semaines. L'accompagner dans son travail à la pâtisserie, la demoiselle connaissait mes talents et les appréciais, oh bien sur j'avais des choses à apprendre, mais j'étais là pour apprendre et partager que proposer et imposer mes idées je le savais, je m'y était rendu le cœur léger, bien loin de me douter de ce qui m'attendais. A l'intérieur, le spectre de la mort, j'avais tressaillis et m'étais retrouvé dans les bras d'un ours bienveillant, un Mark, qui m'avait appris la fatale nouvelle, la blonde à qui j'avais porté secours n'était plus, l'enfant dont j'avais appris l’existence n'étais plus. C'était a goutte de trop... Parce qu'en moins d'une semaine j'avais supporté tout ça, mais il fallait en plus rajouter le spectre de la semaine précédente, le spectre de ta mort Neal. S'en était trop pour moi, alors sur le trottoir quand j'entendais l'homme me parler de son histoire et de sa rupture avec la blonde, pour une histoire de tromperie, d'avortement, de faire du mal, assumer une relation, rompre par texto... mourir assassiné... J'en bien trop a bout pour pouvoir agir sainement à cette instant, alors oui j'étais parti en crise de panique imaginant que ça pourrai t'arriver, que cette situation pourrai m'arriver, putain j'en était conscient... alors j'avais lancé le signal, notre signal, infaillible, qui signifiait l'urgence absolue, qu'il fallait agir, que tu devais venir, et tu m'avais rejoins, inconscient sur ta moto, écrivant texto sur texto pour ne pas me laisser sombrer. T'avais pris soin de moi, m'aidant à me relever à rester debout. Mais qu'est ce qu'il s'était passé pour que je finisses chez toi ? Tout simplement, le départ de Méluzine le week end suivant pour deux semaines. Alors toi et ton inquiétude n'avaient fait qu'un tour, toi et ton inquiétude m'avais fait installé chez toi le temps de cette absence.
Une collocation qui se passait relativement bien de mon côté, j’espérais sincèrement tout de même ne pas être un poids pour toi et ton inquiétude, ne pas te mettre dans des états, parce que vraiment tu m'aidais par ta présences... Les somnifères étaient absent de ma vie à chaque fois que tu étais là, à l'image des cauchemars que tu chassais par ta présence. Côté cours, je reprenais le rythme d'avant, celui d'y à longtemps, celui d'avant l'accident, régulier, assidue, concentré, focalisé sur ma seule réussite de ce doctorat à la fin de l'année. Alors si je n'étais pas chez toi, j'étais dans les salle de cours, à la bu, parce que j'avais tout mon retard à rattraper mais surtout parce que Kat', m'avait demandé de la rejoindre en Italie pour quelques jours, à Pacques. Je te l'avais proposé mais tu avais refusé et je le comprenais parfaitement, au vus de ta situation. Seulement, est ce qu'il n'aurai pas été mieux pour toi, pour vous de renouer le lien de cette façon ? Elle te manquais je le savais, elle demandait après toi. Elle te proposait de venir, c'était même pas moi. Non elle voulait que tu m'accompagne... Mais je comprenais ton refus totale. Au milieu de ça, j'avais noircis pas mal de page de carnet aussi, toute à la destination d'Alyson, parce que ça me soulageais, d'écrire sur notre amitié, ou ce que tu nous avais fait, on en avait pas forcement reparlé mais ça restait dans un coin de mon esprit, ancré, bien trop ancré, bien trop impacté. Alors je le gardais pour moi, dans ce coffre fort, qui s'était monté avec la totalité de vos secrets à tous, la totalité de vos confidences, dont la plus part était les tiens tout ce même et certainement les plus importants aussi. Parce qu'il marquait la confiance que tu avais en moi, même si ça n'avait pas été rose tout le jours, tu me faisais suffisamment confiance pour me livrer ces gros secrets de ta vie, qui faisait que je comprenais encore mieux qui tu étais, alors je t'en remerciais Neal. Je te remerciais pour ça, mais aussi d'être là pour moi, t'occuper de moi, me laisser être là pour toi aussi, parce qu'au delà de mes conneries de déguisement aussi enfantine soit'il l'objectif était aussi de te faire prendre conscience que tu ne devais pas avoir du regard des autres, que le ridicule ne tue pas. Alors peu être que tu feignais pour me faire plaisir j'en sais rien, seulement je profitais de ta présence pour ces exercices qui même inconsciemment pouvais te faire du bien. Et puis parce que ça me faisait penser à autre chose, j'étais plus léger un poids en moins. Mais aussi parce que je profitais de chacun de ces instants avec toi, parce que je savais qu'a mon retour de Milan, je ne serai plus chez toi, que je retrouverais mon appartement et des nuits bien moins calmes, bien moins chaudes aussi, malgré tes retours tardifs.
Seulement aujourd'hui je devais préparer la valise pour mon départ à Milan, ou du moins songer à récupérer mes affaires pour les mener à la laverie et avoir des affaires propres pour mon séjours, je croulais pas sous les vêtements de changes, et puis ça éviterais d'y faire au retour. Alors oui ce aujourd'hui j'aurai bien aimé larver avec toi encore dans le lit, larver dans tes bras. Continuer à caresser ta peau, comme je le faisais depuis bientôt une heure, du bout des doigts, ne pensant à rien, si ce n'est à l'instant présent et à quel point j'étais bien, calme, serein, dans tes bras, me forçant à occulter l'absence que je te ferais subir, que je nous ferais subir. Je savais que tu ne serai pas seul, pendant ce temps, mais je savais aussi que ça ne te plaisais pas que je partes si loin. Après un rapide baiser que je venais déposer sur tes lèvres, je prenais le parti de prendre une douche et de te laisser tranquille. Je restais un bon moment sous l'eau, avant de ressortir, en serviette de la salle de bain, pour venir m'habiller, tu n'étais plus là... J'attrapais un boxer propre, avant de me pencher au sol pour récupérer mon jean. Je tentais tout de même de te lancer une nouvelle fois la perche.Bébé tu te rappelles que je pars pour Milan dans la nuit de mercredi à jeudi ? C'est toujours certain que tu te sens pas de venir ? laissais je à travers l'appartement, pensant que tu te trouvais à l'autre bout pendant que je vérifié qu'aucun boxers ou chaussettes ne s'était glissé sous ton lit. Déplaçant cette boite à chaussure comme tout les jours, à laquelle je ne prêtais aucune attention. Seulement aujourd'hui contrairement au autre jour, j'oubliais de la replacer directement, et en me redressant pour te saluer, mon pied venait la rencontrer, cette boite venais se vider, à mes pieds. Je posais mes yeux, sur le contenus qui n'étais autre que des billets et un p'tit paquet... J'arquais les sourcils, redressant la tête... Tu t'étais là et tu me regardais...
@Neal T. Hood
(Lukas O. Spritz-Hood)
You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride
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