Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityC'est dans les moments pareils qu'on a besoin de ceux qu'on aime (Nora) - Page 2
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C'est dans les moments pareils qu'on a besoin de ceux qu'on aime (Nora)

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Ta sœur essaie tant bien que mal de te rassurer et de te calmer, mais ce n’est pas chose facile. Tu es bien trop têtu pour l’écouter vraiment, mais tu fais tout de même des efforts parce que mine de rien, ça te fait du bien d’avoir ta petite sœur à tes côtés dans ces moments difficiles. Votre famille était toujours au cœur de nombreux problèmes quand même mais vous vous en sortiez toujours parce que rien ne pouvait faire tomber un Oberyn ! « Comme dirait mon supérieur, la confiance n’exclut jamais le contrôle… Mais on verra ! Ils ont juste intérêt à sauver Lily » dis-tu finalement d’une voix plus posée mais ta sœur pouvait tout de même comprendre que tu ne blaguais pas là. Tu comptais réellement faire du mal à l’hôpital si quelque chose foire et que ta fille en pâtisse. Par contre, tu sens bien qu’elle n’apprécie pas l’idée qu’Aymalyne puisse s’occuper de Lily mais tu n’as pas trop le choix en réalité. Puisque de tous les jeunes médecins que tu connaissais, seule elle faisait partie du service pédiatrique. « Ne t’en fais pas pour ça, Nono. De toute façon, c’est le médecin-chef qui me contacte directement, elle n’est qu’interne pour le moment. Elle ne me donnera des infos que si personne d’autre ne peut. » dis-tu afin de rassurer ta sœur sur la position actuelle d’Aymalyne dans ta vie. Certes elle t’avait fait du mal, mais tu t’en es vite remis… Tu t’en fiches même royalement de tout ce qu’il s’était passé, tout ce que tu voyais, c’était le fait que tes filles l’adorent et tu ne comptes pas les interdire de la voir. Après une tendre étreinte fraternelle inédite, Nora te parle de Jenny et clairement la jumelle de Lily était une force de la nature. Au lieu de se sentir toute triste, elle gardait la pêche pour donner de bonnes ondes à sa sœur et d’ailleurs, tu sors ton téléphone pour montrer à ta sœur une vidéo de ta princesse. « Elle ressemble tellement à sa mère, c’est abusé. Et oui je le sais ! Mais pour le moment, elle restera chez ses grands-parents. Tu pourras la prendre d’ici trois semaines, le temps que l’incubation soit terminée. ». Tu sais que tes filles adorent leur tante, même si Nora n’était pas vraiment habituée à tout ça mais elle s’est bien débrouillée pendant tes semaines en mission.
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Depuis le temps qu'on s'est retrouvés, je ne t'ai jamais vu dans cet état. En même temps, avoir ta fille en réanimation ça te chamboules ta vie. Encore que t'y sois par rapport à tes missions, c'était tout autre chose, mais quand ça touche un membre de ta famille, t'es bouleversé. Et mon état est plus calme que toute à l'heure, même si mon coeur bat toujours à la chamade. J'essaye de ne rien laisser paraître pour ne pas plus t’inquiéter, pourtant l'anxiété demeure encore. « Ils vont la sauver, ils feront tout pour... C'est des médecins, ils sont là pour ça même si tu n'as pas confiance là il va falloir. » Ouais pas le choix que de leur faire confiance, ils ont ta fille entre leurs mains que tu le veuilles ou non. C'est bien pour cette raison qu'ils essayent de la sauver, de la réanimer comme ils le peuvent. T'as tes expériences à propos de cet hôpital si néfastes que tu en perds toute raison de croire en eux. Je peux le comprendre, mais faut garder en tête qu'ils font ce métier pour sauver des vies. Quand tu me parles d'Ayma, j'avoue que ça m'irrite, je la déteste et tu le sais aussi bien que moi depuis qu'elle t'as brisé le coeur, je ne comprends toujours pas pour quelle raison tu gardes contact avec elle, mais bon de toute façon tu connais mon opinion à son sujet. « J'espère bien que tu n'auras pas à passer par elle. Je comprends même pas pourquoi tu garde contact avec elle, mais bon ce n'est pas le moment de parler de ça. » Je te redis, même si tu me diras que c'est pour les filles, qu'elles l'aime bien, mais c'est parce qu'elles sont trop petites pour comprendre alors vaut mieux qu'elle parte de leur vie maintenant que plus tard. Après une accolade entre frère et soeur, tu me sors ton téléphone portable afin de me montrer une vidéo de Jenny qui a le sourire aux lèvres, elle rigole si fort et elle est si douce, si jolie qu'un sourire vient s'étirer sur mes lèvres. « J'ai jamais connu sa mère, mais je n'en doute pas. Elle a ton sourire aussi, même si c'est rare quand tu souris. » Je dis ça pour te taquiner, essayer de te faire sourire un peu pour penser à autre chose. « Ça sera avec plaisir, elle me manque, elles me manques toutes les deux même... »
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Bien que tu n’aurais jamais confiance aux médecins, tu restes tout de même calme en espérant que ta fille aille mieux et voir ta petite sœur te rassurer autant, ça te fait plaisir. Et dire qu’il y a encore quelques mois de cela, votre relation était difficile mais voilà vous vous êtes retrouvés et plus rien ne semble capable de briser votre lien unique de frère et sœur. « De toute façon, on n’a pas le choix… On doit suivre leur rythme » dis-tu tristement avant que l’un des sujets épineux ne vienne sur le tapis, en l’occurrence ton ex-petite amie Aymalyne. Tu sais très bien à quel point elle insupporte ta sœur et tu évites au maximum de parler d’elle, sauf que là tu ne pouvais pas nier le fait qu’elle se trouve exactement dans le service où est placée Lily. Puis ta fille adore la blonde donc voilà. « Tu sais que je m’en fiche de ce qu’il s’est passé. C’est un truc rayé de ma vie, pour garder juste ce qu’on avait avant » dis-tu en haussant les épaules pour bien montrer à ta sœur que ça ne te faisait ni chaud ni froid à vrai dire. Bien au contraire, tu te sens bien et tes proches devraient en faire pareil. Bref, vous faisiez un câlin assez rare avant que tu ne lui montres une petite vidéo de Jenny et sa petite voix toute mignonne, son sourire et son visage d’ange. « La voilà. » dis-tu en sortant ton portefeuille et en lui montrant une petite photo de tes trois blondes en 2016. Quelques jours avant ce terrible attentat ayant fauché la vie de ta femme. « Un Soldat ne sourit jamais petite sœur » répliques-tu en tirant la langue pour répondre à sa petite taquinerie sur le fait que tu souris rarement. Après tu ne nies pas que c’est vrai. Tu es de toute façon, du genre à rester impassible pour analyser froidement une situation. « Bientôt tu pourras les reprendre et t’amuser avec elles. »
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C'est vrai qu'on se sent vraiment impuissant dans ce genre de situation. On ne peux rien faire que de continuer à espérer qu'elle survive, parce que clairement elle se bat contre sa maladie cardiaque déjà et là contre celle du covid19. On tient le coup, on essaye de garder la tête haute, de ne pas craquer. Je ne peux pas te dire que ça va bien se passer, je croise tous mes doigts pour ça et je prie, ça m'arrive jamais, mais si il faut je le ferais. Il y a toujours un drame qui vient quand je suis heureuse dans ma vie, à croire que la vie est faite d'épreuves qu'on doit subir pour se relever plus forte. Alors que tu me parles d'Ayma, ce sujet m'irrite parce qu'elle m'insupporte, rien que son prénom, j'en ai en horreur. Tu essayes de me faire changer d'avis sur son sujet, mais j'ai du mal, je suis plutôt têtue tu me connais. « Ouais bah elle ne te mérite même pas en tant qu'ami ou sexfriends, j'en sais rien... Bref. » Ouais évitons de parler d'elle, tu sais bien que ça m'agaces alors vaut mieux ne pas en parler et changer de sujet. D'ailleurs tu me sors une photo de ton ex femme décédée de ton porte-feuilles et je la contemple durant un long moment. « Elle est magnifique... Était, pardon... » J'ai toujours du mal à parler au passé quand on parle de ce genre de sujet délicat. Puis les filles lui ressemblent vraiment. Je te souris d'un air amusé quand tu réponds à ma taquinerie. « Il devrait de temps en temps, fréro. » Que je lance en te tirant la langue à mon tour. Et ça fait plaisir de sourire un peu après tant d'angoisse et d'anxiété. « J'ai hâte. En tout cas elles ont le sourire de leur mère. »
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