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« I want you to feel me, every time you dance with somebody  » ∇ ALEXITO

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 I want you to feel me, every time you dance with somebody
w/ @Quito Halgrove
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Demandez-lui comment il y parvient, à maintenir la flamme au creux de ses doigts. Entre ses mains, il contient la tumulte d’une vie. Il fait même pas d’effort. Il souffle le calme à chacune de ses expirations, il prend de sa colère à chacune de ses inspirations. Les cicatrices sont moins douloureuses, à chaque fois qu’il touche la peau abîmée. Y a cet espèce d’espoir qu’il entretient sans le savoir, ce truc qui grandit dans son ventre et son battant, cette accalmie après l’orage. T’es ce soleil qu’on attends, désespérément, à la sortie de l’hiver. Sauf qu’on t’as livré à moi, et que j’suis pas sûre de savoir ce que je fais. J’improvise, j’étouffe les peurs et j’fonce dans un avion. J’me rends même pas compte que j’en raconte trop sur ce qui se taraude sous ma chair, quand j’fais ce genre de truc stupide. J’me rends même pas compte que j’te donne accès libre à un métronome qui s’arrange sur le tien. Ca marche. J’sais pas comment c’est possible, mais ça marche. Parce que mon dos se tend quand tes doigts s’y hasardent, et si j’avais pas peur d’être embarquée pour attentat à la pudeur, j’appliquerai ce qui assaille mon esprit. Délicate morsure qui enflamme les reins, et électrise les nerfs. Les doigts féminins qui s’énervent et se serrent dans les cheveux trop longs, infligeant surement une légère douleur. « Ca va mal finir. » Qu’elle prévient de sa bouche qui  se pince, le corps entier qui se contient et les prunelles qui bouffent l’adversaire. Il aura bien fallu Abelard pour faire diminuer de quelques degrés ce sang qui s’échauffe. Se reculer légèrement pour mieux s’amuser des réactions de l’homme. S’arme de malice. « Qui te dit que je ne suis pas venue ici pour profiter de toi une dernière fois ? » Comme un au-revoir. Ca m’fait rire, tellement ça me parait loin quand tu me regardes comme ça. Ca l’fera pas longtemps. Alors, profite, se nourrit de chaque sourire, de ce bonheur qui grignote tout le reste. Lèvre inférieure assaillie par les dents qui se plantent. « Halgrove est un homme courageux. » Halgrove est tout un tas de trucs, Halgrove rallonge tous les jours la liste des choses que j’aime chez lui. Prisonnière hypnotisée par son geôlier ; c’est pas sérieux. Tire un peu sur les poignets maintenus, et s’approche pour ne s’arrêter qu’à une distance infime d’Il. « Je suis persuadée qu’il te matte. » Souffler davantage sur les braises. Une jambe s’échappe du tissu de la robe pour venir capturer le bassin masculin, et lui infliger un contact plus franc avec le sien. Me demande pas d’aller récolter des coquillages après ça ; y a l’esprit qui tourne à l’obsession, y a la bouche qui s’écrase contre celle adverse et qui fait passer le message. Y a l’attention qui se rends compte qu’on arrive, et les prunelles s’ouvrent, dévient, voit le type débarquer, cet espèce de maitre-nageur qui doit mater le spectacle depuis le début. « Justement il arrive. » Glousse l’idiote contre les lèvres de l’homme, tout en se dégageant, profitant de ce moment de flottement. « On y va, on y va ! » Hilare, attrape la main de Quito et l’entraine quelques mètres plus loin, juste de quoi changer de plage, et dégager du radar du curieux. Lâche la main, recule vers l’eau. Dégage sa robe, le sourire bloqué sur les traits. « Attrape-moi si tu peux. » Amazone qui s’élance, non sans lui avoir lancé un baiser au vent, gamine. Tu vois, j’ai besoin de rien plus pour composer mon paradis.



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 I want you to feel me, every time you dance with somebody
w/ @Alexis Callaghan
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Vivre, c'est ça que j'éprouve quand je suis avec elle. Je hais la routine, les jours qui se ressemblent et le cœur qui reste tout le temps sur la même note, constamment. Depuis quelques mois, je redécouvre cet organe qui a trop longtemps dormi. J'avais oublié la sensation que c'était d'être bien avec quelqu'un. De pouvoir échanger un regard avec la personne et se comprendre qu'en battant des cils. Cette façon d'être apprécié, d'être unique aux yeux de quelqu'un. Bon sang, dans quel merdier je me suis foutu ? Je suis fou. Fou de sa chevelure, de ses fossettes quand elle grimace et de ses yeux en amande. Je crois pas qu'un jour je puisse me défaire des traits de son visage. J'ai envie de l'embrasser partout. Un baiser sur son nez quand elle le fronce, ses joues quand elle éclate de rire... Comment je vais faire moi si on m'enlève tout ça ? Si je la perds du jour au lendemain ? J'ose même pas imaginer. J'y pense pas. Car pour moi, c'est presque parfait. Y'a pas de contraintes. Elle a pas d'sang royal, elle est pas amoureuse de son meilleur ami. Je le sens bien, et je vais tout faire pour que ça soit réciproque. Des regards complices, des caresses, des sourires. On plaisante sur cet Abelard que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam. Et s'il veut me chercher des noix, je l'attends au tournant, sans problème. La jeune métisse provoque en moi des sensations que je ressens qu'avec elle, quand elle me surplombe en s'écrasant sur mon bassin. J'attrape sa lèvre avec fougue, je la regarde, puis je reviens posséder sa bouche avec envie. Mais la demoiselle m'arrête, elle regarde sur le côté et je suis son regard. Un maître nageur nous observe. « quel petit pervers, on peut même pas être tranquille. » je m'en fous si je parle fort. Qu'il entende, et qu'il devienne tout rouge, ça va être drôle. La pforzheimer me tire tellement fort par le bras que je manque de trébucher dans le sable. Gamins, on s'éloigne du méchant monsieur qui veut nous gronder. On s'éloigne assez pour disparaître de son champ de vision et Alexis éjecte sa robe en un coup de vent. L'envoyant plus loin dans le sable. Je profite un moment du spectacle de la vue qu'elle m'offre puis je souris quand elle me défie de l’attraper. « t'es vraiment sûre ? car si je t'attrape, je te retire ton petit bikini et t'auras pas le choix d'me laisser t'occuper de toi. » je lève un sourcil amusé, lui envoyant un sourire coquin. Je laisse mes tongs sur le sable et je cours vers elle. Comme un lapin. Mais elle s'échappe aussi vite. C'est comme si tu veux attraper de la fumée à pleines mains. Je tourne autour d'elle, frappe les pieds dans l'eau qui nous éclabousse. Puis dans le mouvement, j'arrive à attraper sa jambe. Bam, la jeune femme s'étale à terre mais se rattrape sur ses pattes comme un chat. « je t'avais prévenue ! » des rires résonnent tout autour de nous. Je la retourne comme une crêpe sur le dos et je m'écrase doucement sur elle. « maintenant tu sais ce qui va t'arriver hm ? » joueur, je laisse un doigt jouer avec la ficelle de son bikini le long de son cou, et j'échange un regard complice avec elle.


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w/ @Quito Halgrove
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Quand tout a été difficile, quand tout n’a été que lutte ; Quito est la paix. Il est le passage le plus apaisant de son existence. Le silence qu’elle n’osait plus imaginer, la simplicité de deux êtres qui se retrouvent et s’attachent. Ca ressemble si peu à son quotidien, que Lex cligne parfois trop fort des paupières, elle t’imprime dans sa mémoire, elle veut garder ce sentiment de réconfort au fonds de son ventre, et cette légèreté qui la gagne quand ses doigts se referment sur les tiens. Me lâche pas, même quand je courrais trop vite, même quand j’voudrais fuir. Me lâche pas, même si un jour t’as toutes les raisons de le faire. Rappelle-toi que l’orage de mes billes s’apaisait, à peine elles se posaient sur toi. Rappelle-toi que j’ai marqué ta peau pour que tu ne m’échappes pas. Rappelle-toi que je l’ai pris cet avion, et que j’ai laissé l’allié derrière ; retiens aussi mes sourires idiots, ma tendresse inédite et mon rire omniprésent. Mon cœur savait avant l’esprit, à peine tes yeux s’étaient posés sur l’adolescente paumée que j’étais. Tu t’rends pas compte de ce que tu fais, du bordel que tu fous dans mes certitudes. J’me battrais pour nous, à m’en fêler les poignets. Qu’elles viennent, les plus jolies, qu’ils viennent ceux qui nous feraient douter. Je m’accroche à tes lèvres et j’peux m’y installer des heures. Amour de jeunesse, qu’on rattrape des années après. J’ferais comme si t’étais le premier, et que chaque parcelle de ma peau t’appartenait. Alors je t’enlève loin de l’intrus, qui capte pas qu’il fait pas le poids contre des semaines sans l’autre. J’me décalerais à chaque fois d’un pas, pour sortir de son champ de vision. Tu m’échapperas pas, Halgrove. Parce que des types comme toi, j’en connais pas d’autres. Des rois les mains dans le cambouis, des mecs qui ont peur de rien, même pas du bonheur. Un chevalier à la vie gravée dans le dos ; et toujours debout. Qui pardonne le passé sans se faire ravager par la colère. Qui oscille entre le gamin et l’homme, soutire un rire puis un soupire. « Quelle menace ! » Se moque, les lèvres armées d’un sourire aux commissures. « Je suis te-rro-ri-sée. » Allez, attrape-moi, j’me retourne et mes pas s’élancent, mais ralentissent, freinés par le corps qui réclame, et ton stratagème d’attaque. Franchement, c’est comme ça que tu captures tes proies ? Ca m’fait marrer, j’me prends de la flotte, et j’fais même plus gaffe à ce qu’il se passe. Le fait de basculer, ça, j’l’avais clairement pas vu venir. Vite, tenter de se redresser, vite, échouer et s’faire écraser. Le rire résonne. « Tu sais que tu vas le payer ? » Les prunelles qui se réveillent ; accros à la provocation. La peau qui se réveille, accro au Halgrove. C’est qu’elle partirait bien à la guerre, si seulement tu ne l’attirais pas vers d’autres batailles. Les lèvres se pincent, et demoiselle joue l’ingénue. « Je sais plus.. » Moue boudeuse ; de celles qui n’existent que pour te faire céder. « Il va m’arriver quoi ? » Mes doigts dans ton dos, qui s’amusent de leurs griffes, à te laisser imaginer celles que je te ferais. Qui contrastent avec cette innocence que je te sers. « Il me faudrait.. deux-trois indices. » Même si l’impatience a déjà compris.


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w/ @Alexis Callaghan
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Gamin hystérique qui contrôle pas sa force quand l'excitation est présente. J'aurais pu l'attraper gentiment, la sirène. Mais au lieu d'être délicat, je lui fais un croche patte en tirant sur sa jambe et elle roule dans le sable. C'est pas une chochotte. Je la connais. Un ongle cassé, c'est pas ça qui va la faire me détester. Elle va plutôt se venger et foutre ma tête dans l'eau salée jusqu'à ce que mes yeux n'en peuvent plus. Sans parler de mes nasaux. Deux enfants qui se chamaillent, qui dégagent des ondes positives. On pourrait presque les envier. Des petits vieux seraient nostalgiques en nous voyant. On a passé l'âge de rien du tout. Si demain, j'ai envie de faire du vélo avec des petites roues, j'en ferais. Callaghan fait l'innocente. Joue un jeu dangereux. Oh oui, fais donc, ça me donne encore plus envie de faire ce que j'ai envie de faire. Je sens ses griffes dans mon dos et je frissonne. Mon dos abîmé, qui attire les regards, mais dont j'ai plus honte quand je suis avec toi. Car t'as cette façon de me toucher, d'accepter mes cicatrices comme j'accepte les tiennes, quand mes doigts tracent le contour de la plaie sur ton ventre. « des indices hm ? » pas de soucis. Je viens chercher tes mains dans ma nuque pour emprisonner tes poignets et les plaquer sur le sable. J'ai pas peur de serrer pour t'empêcher de bouger. Je te regarde, amusé, puis je viens planter mes lèvres dans ton cou. Ta peau est salée, à température agréable. Je sais pas si c'est la crème solaire ou ton odeur corporelle au soleil qui me fait vibrer. Mais c'est agréable. « repousse-moi si tu veux, mais tu sais que je suis le plus fort. » mes lèvres dévient sur sa mâchoire. Mes dents se pressent légèrement sur sa peau, jusqu'à ce que ma langue retrouve la sienne. Quelques baisers sensuels, ma spécialité pour réveiller le feu au creux des entrailles d'une femme. Une main agile vient se placer derrière sa cuisse pour relever sa jambe contre ma hanche. Je presse un peu plus mon corps contre le sien. « c'est là que tu vas me dire 'non quito, arrête, pas ici, t'es fou'. » j'imite une voix de fille qui ne ressemble pas du tout à celle d'Alexis mais qui m'est venue comme ça. Ouais, j'ai toujours été nul comme comédien. Y'a quoi ? Je suis au moins doué pour pousser la chansonnette. Veut-elle que je chante comme un coq pour lui donner envie de moi ? Arrête, je serais cap.


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Oublie la délicatesse, jouons comme si on ne pouvait rien se casser si ce n’est le cœur. Jouons comme si personne ne pouvait nous voir, les deux corps étalés dans le sable, en plein Spring Break. Comme si tout Harvard ne se baladait pas loin de là, et ne pouvait débarquer. Ils pourraient arriver que je ne verrais rien, les prunelles absorbées par tes mouvements. J’me fais surprendre par ta souplesse, j’l’ai pas vu venir. Vla que tu noies mes réflexes Quito, et que je ne vois plus que toi. Douce obsession que cet homme aux cheveux bouclés. Je ferais de nouvelles cicatrices au milieu de plus anciennes, je nous créerais des souvenirs dont tu te remémoreras, quand le temps ne sera plus à notre fête. Un jour, on soufflera sur le soleil, et il laissera place aux nuages. Un jour nous serons moins beaux. Pas toi. Toi j’arrive pas à imaginer que tu te fanes, avec ton sourire de gamin, et tes lèvres qui me rappellent que t’as grandis. Qu’on ferait autre-chose d’une cabane de couette désormais. La bouche se pince, car il faut se contenir demoiselle. Bien que le « Hm hm » avec cette tête qui hoche de bas en haut, ne laisse pas vraiment de doute sur le fait que tout l’intérieur est perturbé par ton emprise. Allez, serre encore, que j’ai l’impression de ne jamais pouvoir m’échapper. Que j’oublie même qu’un jour j’ai envie de le faire. Marque ma peau et fait-la tienne. Demoiselle résiste un peu, et agonise dans la morsure. Elle se sert, elle prolonge chaque baiser, elle y insuffle son feu. Ca brûle depuis les reins, et la jambe amenée te compresse. Y a l’urgence du manque. Y a le rire qui se pointe quand la voix se fait bien trop féminine. Comment tu fais sérieux ? Pour osciller entre les registres ? J’te le ferais payer, cette imitation honteuse. Mais, se mord la lèvre, douce allumeuse aux airs innocents. Joue les ingénues, avec cette même voix surjouée. « T’es fou Quito, pourquoi tu me déshabilles comme ça ? » Les doigts prisonniers, qui attrapent comme ils peuvent le bout de la ficelle de son haut de bikini, et tirent doucement. « Oh non, pas ici, tout le monde pourrait nous voir. » Moue boudeuse, et l’autre jambe qui vient s’arrimer à ton bassin pour l’allumer au mien. J’te laisserai jamais partir.


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Une dizaine de jours. Une dizaine de jours seulement sans sa présence et je suis totalement obsédé par elle. A l'idée de la toucher, de l'embrasser, de faire tout ce que les couples font quand ils se retrouvent. C'est bête, mais la savoir à des kilomètres et des kilomètres de moi, je n'étais pas serin. La panique m'a souvent prise, à me demander si elle allait bien, si elle ne manquait de rien, si elle était en sécurité. Ouais, rien que ça. Avoir plus peur pour quelqu'un que sa propre personne. J'ai arrêté de penser qu'à moi, et appris à penser pour deux. Au fond, j'ai toujours pensé pour deux avec ma sœur. Mais ce n'est pas comparable avec Alex. Elle est belle, elle est bien là, sa peau est douce, ses cheveux dégagent une odeur agréable. Je sens tous mes sens en ébullition. Elle et moi, couchés sur cette plage, à nous prendre pour un film de comédie romantique. Manquerait plus que le coucher de soleil nous éblouisse avec l'éclat de l'eau, et là, ce serait encore plus cliché. C'est surement l'endroit des amoureux, ou de ceux qui ont juste envie de baiser. Car il n'y a personne. Peut-être que le vent tourne mal ? Ou que les vagues peuvent se déchaîner si on est trop prêt de l'eau. Tant pis, la mer peut m'emporter avec ma sirène. Nous emporter et nous recracher plus loin sur une île perdue. Le rêve. Un sourire plein de malice se dessine aux coins de mes fossettes alors que la brune retire agilement la ficelle dans sa nuque. « on risque peut-être d'aller en garde à vue, ou d'aller directement en prison... » je ris bien sûr. Enfin, on est quand même au Mexique. Je sais pas si on peut appeler ça attentat à la pudeur. Si des gosses de six ans nous surprennent maybe. « mais tu ne m'aides vraiment pas à être raisonnable. » ça y est, c'est de ta faute maintenant Lex. Je relâche ses mains pour venir me débarrasser du tissu qui couvre ses formes. Le cadre est encore plus beau sans nos vêtements. De nouveaux baisers sur sa gorge et son thorax. Mes mains tremblent sur sa peau sablée tellement l'envie est pressante. Réciproquement, à la façon dont elle presse son bassin contre le mien. Ma respiration n'est même plus constante, le désir prend totalement possession de mon corps. Mentalement et physiquement. Je n'ai que ce mot en tête : Alexis, Alexis, Alexis. On a pas trop le temps de s'attarder non plus. Le reste de nos petits plaisirs pourront avoir lieu enfermés dans notre chambre d'hôtel. Mais en attendant, nos pulsions sont là, et ce serait trop frustrant de s'arrêter brusquement. Je tire sur sa culotte de maillot, l'en débarrasse aussi vite que je fais glisser mon short. Un baiser, deux baisers, et les premières poussées en elle commencent.


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Les paupières s’abattent au-dessus des orbes foncés, et j’crois que j’aurais peur de te perdre de vue, si je battais trop fort des cils. Reste là,  devant moi, reste là avec moi. Le temps était bien trop long quand tu étais loin, les minutes s’éternisaient, et j’ai fini par croire que le doute était capable de s’incruster dans ton esprit. Mettre la pagaille et que tu finisses par oublier mon rire. Alors je le fais retentir, pour qu’il se grave, tout comme mes doigts qui rappellent à ta peau leur appartenance. C’était trop tôt pour nous séparer. Si ça n’avait pas été pour Il, je me serais pendue à tes épaules, pour ne pas te quitter lors de ce voyage. Il faut rattraper les minutes manquées, et ne laisser aucun instant se dérober entre nos mains. Tous les récupérer, et nous gaver de nous. On ne sait pas combien de temps ça va durer, ce bonheur sans nuage. De là où on est, ça semble éternel. Mais regarde les nuages au loin, méfie-toi des éclairs. J’viens peut-être de m’en prendre un, là, le long de l’échine, qui remonte et électrise les sens. Vient mettre le feu au cœur, et incendie les lèvres qui parlent aux tiennes, et racontent combien tu leur as manqué. T’entends tout le récit ? Est-ce que t’entends que je me fous bien du lieu, de la possibilité de quelques regards curieux, est-ce que t’entends que j’vois que toi ? Le corps est dans l’urgence, et j’t’assure que chaque recoin croisé jusqu’à l’hôtel aurait pu servir de lit adéquat. Les doigts qui défont le nœud, la provocation qui se glisse jusqu’à la bouche. Le rire qui se pointe. « Tu crois qu’ils nous laisseront ensemble dans la cellule ? » On peut m’enfermer n’importe où, pourvu qu’on me laisse à tes côtés. Changez les décors, mettez un fonds vert, j’suis accrochée à ton regard. Et, être raisonnable n’a jamais été ma spécialité. L’air innocent qui ne colle pas, qui s’installe quand même sur mes traits alors que tu cèdes. On invitera le romantisme pour nos prochaines rencontres, mais laisse-le à la porte pour cette fois. Il comprendrait pas que le temps est infiniment long, sans gouter le salé de ta peau, et sans ton souffle dans mon cou. Puisque l’image est belle. Puisque nous ne sommes qu’un dans un mouvement suivant, et que mes dents agrippent ta lèvre inférieure, ton épaule, que mes ongles se plantent dans la chair de ton dos, et que le corps entier se réveille, couvert de sable et de frissons. Puisqu’éclairé par le soleil qui se barre et bercé par les vagues qui nous percutent, tu n’avais jamais été aussi beau que ce jour-là.


FIN    « I want you to feel me, every time you dance with somebody  »  ∇ ALEXITO - Page 2 1365124802



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