Please, Talk to me! (Ft. Elisa)

C'était arrivé si vite que tu n'avais rien vu venir, tu t'étais laissé prendre dans cette vague de bonheur et tu n'avais pas envie de revenir à ta vie d'avant, tu était amoureux d'elle, tu en étais sur maintenant. Elle était devenue si importante pour toi, la femme là plus importante de ta vie à l'heure actuelle. C'était une femme surprenante, avec un sale caractère parfois, mais tu l'aimais comme elle était. Par contre quand elle voulait se barrer à New York, tu l'aimais un peu moins de te faire endurer cette douleur, la douleur de pouvoir la perdre. Tu savais qu'elle ne t'était pas acquise mais savoir qu'elle voulait partir pour s'éloigner de toi était vraiment insupportable, tu avais l'impression que c'était de ta faute, que tu avais mal fait les choses mais tu avais simplement donner ton opinion. Votre relation est liée à l'echec si elle te sort qu'elle veux partir à chaque dispute, fuire plutôt que d'affronter ses problème. Toi aussi quand tu avais une grosse prise de tête, tu aimais avoir le temps pour réfléchir, le temps de te calmer, mais tu n'allais pas partir dans une autre ville pour fuir tes problèmes. Si tu n'étais pas aussi aveuglé par ta relation, tu aurais pris ça comme de la manipulation, le fait qu'elle n'ai pas ce qu'elle veux, du coup elle s'en va, s'en était en quelque sorte, et tu savais qu'un jour tu finirais par lui dire de partir si elle te redissait qu'elle préférait aller dans une autre ville à la suite d'une dispute, mais ce n'est pas comme ça qu'une relation peu fonctionner. Toi aussi c'était ta première vrai relation saine et tu avais encore beaucoup de chose à apprendre. Tu t'en voulais de l'avoir fait se sentir si mal qu'elle voulait te quitter, tout quitter. Tu étais devenue si dépendante d'elle, en si peu de temps. C'était compliqué comme sensation, et assez effrayant. Bizarrement c'est dans les bras de ton meilleur ami, qu'elle avait trouvé du réconfort, et tu étais content qu'il l'ait retrouvé et forcé à rentrée. Elle était devant toi à présent et tu n'avais qu'une envie c'est qu'elle reste à tes côtés pour le reste de ta vie. « Tu ne peux pas fuir quand les choses deviennent trop difficile Elisa ... Hier, j'ai cru que je t'avais perdu pour ces conneries, j'ai cru que tu allais me quitter pour aller à New York. Tu n'imagines pas à quel point j'ai eu mal en pensant que je t'avais perdu ... » C'était ce que tu avais cru, que tu l'avais perdu pour de bon. « Elisa .. Tu as tellement d’emprise sur moi. Putain, je t'aime tellement ... Je ne savais pas que c'était possible d'aimer autant ! S'il te plait ne doute plus de mon amour pour toi, parce qu'il est bien réel ! » Tu passes une main derrière sa nuque pour l'embrasser passionnément. Avant de parler de la nouvelle boule de poils qui vient de prendre place dans cette maison. « Je vois que je m'absente une soirée, et tu m'as déjà remplacé ? Prends pas trop l'habitude, je reprends ma place dés ce soir. » Tu te tournes vers elle pour lui faire un clin d’œil avant de te tourner vers Ragnar. « Coucou toi, t'es tous beau. Mais tu es tout petit !» Tu t'allonges sur le lit pour être prêt de Ragnar et le caresser et ce dernier vient vers toi te renifler et te lécher le visage. « Faudra l'emmener chez le véto pour faire ses vaccins. Tu vas voir, tu vas être trop bien avec nous. »

J’ai fais ce que je n’aimerai pas que tu me fasses. Je t’ai fais souffrir, me faisant souffrir par la même occasion . Les regrets sont plus forts que tu ne peux l’imaginer mais c’est moi, j’ai ce défaut de me fermer et de tout faire pour éloigner toutes les personnes que j’aime. Je m’éloigne en même temps, laissant ma tête plus que mon coeur me dicter ce que je dois faire. J’ai eu mal, pire que tu ne peux l’imaginer parce qu’en partant, je savais que c’était toi qui allait souffrir le plus. Cette passion qui m’anime est si soudaine, elle est cette douce torture que je ne connaissais pas avant de te connaitre, elle est folle, elle a plus d’emprise sur moi que je ne l’aurais pensé. Cette passion, elle peut être destructrice si je ne la contrôle pas, elle prend possession de tout mon corps, elle m’enchaîne à toi, elle déchaine mes sens mais je ferai n’importe quoi pour éprouver cette passion chaque instant que dieu fait. J’ai mal dormi, je me suis repassé cette soirée sans cesse dans mon esprit et j’ai regardé inlassablement dormir mon petit Ragnar. Cette crise, elle a du bon, çà m’a permis de me rapprocher de Milo et d’avoir avec moi cette petite boule de poil que j’aime déjà beaucoup trop. Pas plus que toi, je te le promet. Te faire souffrir était la dernière chose que je souhaitais hier soir, mais plus fort que moi, je n’ai pas pu faire autrement. Je voulais partir, fuir cette ville qui n’est pas mienne, je voulais retrouver New-York, berceau de cette vengeance et colère que j’éprouve depuis que ma mère est décédée. Tu ne connais pas encore toute mon histoire, je me suis promis de ne pas l’ébruiter même pour toi. Je me suis promis que j’essaierai, pour toi, pour nous, de ne plus trop penser à cette soif que je n’arrive pas à assouvir. Baissant les yeux, j’ai honte, c’est bien la première fois que la honte me monte aux joues. je sais… murmure à peine audible je suis désolée, vraiment je suis désolée, c’est pas du tout ce que je voulais, je te jure, je me suis fais mal en même temps, et plus jamais … j’avais le coeur en miette, mais c’était entièrement de ma faute et je me sens stupide de te faire subir autant de choses comme çà, alors que j’ai juste envie de te donner tout l’amour que je te porte. je sens mon coeur battre plus vite que d’ordinaire, mon corps, mon coeur et ma tête sont à toi, n’en doute jamais. Gorge serrée, battements prononcés, ma poitrine est prête à laisser sortir ce coeur qui bat pour toi. Tes mots m’apaisent, me font du bien, je suis tienne, comme tu es miens. Une larme perle sur mon visage, surprise, émue, ce je t’aime vaut plus ce que tu ne le penses. je te le promet.. je ne peux pas douter toi, c’est de moi que je doute, pas de mon amour attention, mais du fait que je pourrais te faire du mal mais mon amour, n’en doute jamais, il est là, bien présent, je t’aime plus que de raison chéri et je n’ai pas envie d’être raisonnable. Tu me sautes au cou, je me laisse aller, t’embrassant avec la passion qui coule dans mes veines depuis notre première rencontre. Sourire prononcé sur mon visage, je te regarde, les yeux remplis d’amour quand tu te mets à parler à cette petite boule de poils tu devras partager jusqu’à ce que j’achète un petit lit douillet à ce petit père je suis heureuse, et je n’ai pas envie de perdre ce que tu m’offres oui, j’y ai pensé, il faut que je le fasse, ou … si tu veux qu’on le fasse tous les deux je m’allonge près de toi, ma main dans ta nuque si je m’écoutais, je te sauterai dessus, là tout de suite. faussement innocente, je laisse ma main caresser ta nuque avant de retrouver cette petite boule de poils qui va faire partie intégrante de notre couple.

Votre couple pouvait être solide, mais il fallait que chacun fasse des effort notamment au niveau de la communication et il y avait beaucoup de progrès à faire mais tu étais tomber amoureux d'elle et tu comptais vivre pleinement votre amour, car si vous souffrez, vous souffrez à deux et ce n'était clairement pas le but de ce que tu entreprenais avec elle. Ce passion qui vous animée pouvait se montrer destructrice , surtout que chacun avait du mal à changer ses habitude et été jaloux. Elle était devant toi et tu ne pouvais que la prendre dans tes bras pour la rassurer. Tu te montrer sincère mais en rien tu n'étais pas là pour l’engueuler ou vous prendre la tête. Alors donne moi ton amour, j'ai envie d'être avec toi à chaque instant, je suis bien avec toi et je ne t'imagine pas ailleurs qu'à mes côtés. Alors s'il te plait ne me dit plus que tu veux partir loin de moi. Tu lui caressais les cheveux pour la rasurer comme une promesse de lui dire que tout irait bien. Tu lui essuie la larme qui dévale sa joue. Pleure pas bébé. Je sais que tu ne me feras jamais de mal intentionnellement et moi non plus. Je t'aime à un points, je ne savais pas que c'était possible d'aimer autant. Tu finis pas t'écarter d'elle pour aller voir le nouvel arrivant. Il est tous petit. Oh je lui es acheté quelques bricoles comme je ne sais pas de quoi il avait besoin Dans le salon il y avait un arbre à chats, des jeux en tous genre, un panier pour le chat une couverture, une litière, un petit biberon, du lait spéciale chaton, des croquettes pour chaton, de la pâtés, et même un livre pour mon chat. Je ne savais pas vraiment de quoi il avait besoin alors j'ai pris ce qui me semblais utile. Tu avais fait les cours toi même alors tu dévalisé pas mal de catégorie du magasin et prit aussi pour Nova quelques nouveaux joués et le collier de la même couleur pour les deux petite crapule. Tu caressais la petite boule de poile toute mignonne alors qu'elle venait prés de toi.  Je veux bien venir avec toi Je vais devenir gaga encore. tu étais en train de caressais la boule de poil quand elle te dit ça calmement, tu te tournas vers elle avec un sourire joueur C'est mauvais de refouler ses envies. dis-tu en rigolant avant de rouler sur elle en l'embrassant.  Tu allas vite fermer la porte pour continuer votre affaire.

FIN