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leave a light on. | ft. mahé rothschild

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leave a light on.
★ ─ w/ @Mahé Rothschild

les mots glissés d'un amour éternel me laisse redescendre doucement de mon nuage. toute ma vie, j'ai cru que je marierai ma sœur en premier, que je pourrais trouver repos et confort dans ma vie que si ça pouvait être son cas.
mais finalement, est-ce que j'avais le droit à tout ça avant que ce ne soit son cas ? je suis désolé, elvia, de choisir l'amour pour une fois.
d'avoir peur de perdre quelqu'un. de ne pas te faire passer en premier, pas cette fois-ci même si je serai toujours là. quoi qu'il arrive.
aujourd'hui et demain aussi, je voulais surtout jouir du bonheur que m'offrait mahé. je n'aurais jamais cru qu'un jour, je puisse me sentir aussi léger. malgré le chaos et la fin du monde qui nous entourait.
c'était lui et moi, personne d'autre.
de ce garçon arrogant au regard de feu qui s'amusait de tout mais surtout de tous, qui avait fini par posé ses yeux mais aussi ses lèvres sur moi avait fini par avoir raison de moi. me faisant quitter ma léthargie d'avant. de ce garçon pathétique qui avait peur de tout, mais surtout de l'amour. qui détruisait et quittait tout pour ne pas être celui qui souffre. de ce garçon qui avait l'insolence dans la voix, il faisait naître en moi une passion que j'ignorais si prenante... laissant les silences et sa réputation conserver une distance de sécurité entre nous. m'offrant à lui en toute connaissance de cause. je savais que je souffrirai... mais je ne pouvais plus me détacher de lui. je l'aimais déjà. et j'étais prisonnier.
prisonnier finalement d'un destin qui me sera favorable. regarde-nous. qui aurait cru qu'on en serait là ? personne, encore moins moi... encore moins toi.
et ces je t'aime qui ne finissent plus de pleuvoir, de ses baisers qui nous pompent l'âme, fermant les yeux sous tes lèvres, me demandant si c'était juste de demander que ça ne s'arrête jamais, de sourire contre tes lèvres, de ne pas pouvoir empêcher l'amour et le bonheur s'insinuer entre nous.
je suis bien avec toi, mahé. et tu seras bien... car nous deux, c'est gravé maintenant. scellé par une promesse. et cette larme qui a vu le jour, glissant sur ta peau... elle suffit largement à tout dire même si j'aime quand tu me répètes que tu m'aimes. qu'au final, je me sens unique.
me laissant faire, d'un côté je n'avais pas trop le choix. car si j'avais toujours été celui qui portait, je me sentais si petit face à lui... moins fort, mais. si mon égo aurait pu en prendre un coup, finalement, je m'en fous.
alors ouais, je me laisse porter, on avait beau faire quasiment la même taille, j'étais plus frêle, ça devait donc être logique.
tombant sur le lit, le regardant venir se nicher au dessus de moi, je ferme doucement les yeux avant de les rouvrir pour le voir. venant l'embrasser une énième fois, passer mes mains sur son dos, l'attirer à moi et c'est tout ce dont j'ai besoin pour retrouver de l'énergie perdue.
les vêtements s'envolant, tombant pour un confort plus optimal, d'un simple caleçon, je me calais finalement sous les draps pour trouver le repos qui se faisait la malle depuis longtemps.
morphée m'oubliait mais cette fois je n'avais pas besoin de lui, j'avais mahé. m'enfermant dans ses bras pour m'endormir presque aussi vite que je n'ai pu finir de dire que je l'aime.
encore et encore... et ce, jusqu'au petit matin.


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Ce sentiment étrange, mais ô combien merveilleux de se faire dire oui après avoir demandé la main de la personne que nous aimons. Ce n’était pas tout à fait une demande en mariage, on le sait tous. Je suis beaucoup trop craintif, même si je n’oserais l’avouer, mais c’était tout comme pour moi. Je t’aime et jamais je ne pourrais te laisser filer entre mes bras sans avoir testé quoi que ce soit pour te garder. Et le simple fait que tu me dises oui ce soir, malgré notre dispute, malgré mes commentaires offensants ou simplement ceux qui te font réagir, me prouve en quelque sorte que c’est réciproque.
Et me voilà en train de te regarder dormir en ce si beau matin. Il est très tôt, plut tôt que j’en ai l’habitude de me lever. Je ne sais pas pourquoi est-ce que j’ai les deux yeux ouverts. Est-ce que j’ai seulement dormi ? Peut-être est-ce que je t’ai regardé dormir toute la nuit ? Là est la question. Je ne saurais le dire, ayant perdu la notion du temps, mais je suis heureux. Heureux de te voir enfin tranquille. Tu sembles paisible et en contrôle avec tes émotions, comme si plus rien autour de toi n’a d’importance, comme si tous tes problèmes s’étaient envolés pour que je puisse en absorber au moins la moitié.
Je souhaite que ça continue ainsi, souhaite que ton réveil soit le plus paisible possible. Et une idée me vient en tête, une idée qui, si elle fonctionne comme elle le devrait, te fera vivre un moment doux libérateur.

C’est dans la plus grande douceur, telle une caresse, que je descends lentement, tout lentement pour ne pas que tu te réveilles, ton caleçon, seul vêtement qui te recouvre ce matin. L’objet de mes désirs enfin libéré, je me permets de te regarder, amoureusement plusieurs longues secondes, me trouvant si chanceux d’avoir un mec comme toi dans ma vie.
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★ ─ w/ @Mahé Rothschild


et ouais, le sommeil était réparateur. j'oubliais les ressentiments, la fatigue accumulée... la dispute.
ce serait être hypocrite de dire que j'ai pas eu peur de le perdre. hypocrite de me rappeler combien nous étions fortement disputé. que c'était dur de voir son regard quand j'étais à sa porte.
j'avais plus les mots, je savais plus quoi dire. j'étais juste fatigué. fatigué de voir ma meilleure amie mourir et ne rien faire pour m'aider à supporter la décadence, fatigué de me disputer avec mon mec pour tout et rien. fatigué de jongler entre les sms et les appels, écouter les pleurs, les mauvaises nouvelles... absorber leur mal sans que je puisse transmettre le mien.
et la césure avait fini par tomber sur mahé. oui, au fond, je regrettais de m'être emporté, et d'avoir été dur.
mais mes mots, je les ai jamais contrôlé. ils sont toujours venu bruts, sans que j'ai besoin de les polir pour qu'ils soient mieux acceptés. j'étais entier, franc... peut-être un peu condescendant... d'accord. beaucoup.
mais j'aimais profondément, mahé. et je pouvais faire ces efforts là pour mieux appréhender les prochaines disputes. arrêter de mettre une barrière entre nous, pour que je sois plus communicatif, ranger le sarcasme pour le rassurer sur des craintes qu'il connait pour la toute première fois.
première relation.



des réveils comme ça ? j'en veux tous les jours.


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Toujours le visage au creux de ton cou, je pense à tout ce qui vient de se passer. Toute la dévotion et la confiance que je te porte. Je suis si bien ainsi avec toi, j’ai trouvé ma place, il n’y a plus aucun doute.

Finissant par me relever doucement, avant de glisser sur le côté, attrapant la boîte de mouchoir au passage pour enlever toute trace en mon plaisir encore visible sur nos torses. Je finis par venir me recoller à toi, un bras autour de toi, aussi possessif que je ne le suis en réalité.
Je frôle du bout des doigts le contour des quatre rectangles sur le haut de ton torse, venant déposer un énième baiser sur tes lèvres, doux et léger, rempli d’amour. « Tu veux aller à la douche, pendant que je m’occupe du petit déjeuner ? » Si je ne sais pas cuisiner, en revanche je sais faire plaisir à mon homme de cette façon, je suis même un As des petits-déjeuner.
Je ne te laisse même pas me répondre, que je suis déjà debout, à tes côtés, ouvrant ma commode pour y sortir un boxer propre. Moi la douche, ça sera pour plus tard.
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★ ─ w/ @Mahé Rothschild

on pourrait nous croire fous. je suis même persuadé qu'on le pense déjà. de cette passion dévorante qui nous habite depuis quelques temps. qui nous détruit et nous construit chaque fois un peu plus.
et c'est ça, c'est cette passion là que je cherchais... celle qui me rend fou, qui me capte. qui m'entraine, me réveille, me stimule.
et j'arrive pas à me l'enlever de la tête. il est omniprésent. et on a beau vivre que depuis quelque semaines quelque chose d'unique, ça n'en reste pas moins que c'est la première fois en vingt-quatre ans que je me sens si vivant.
de ces moments de tendresse à la bestialité. à ces moments où on s'aime et se déteste... à tous ces moments qui ne font que confirmer combien je t'aime.
on est loin d'avoir réussi à se canaliser, à s'apprivoiser. mais en même temps, j'aime savoir comme tu peux rester libre, sauvage.
rester ce mahé fou qui m'avait séduit sur la plage. tu es incroyable. et j'ai pas les mots pour le dire, j'ai que mes pensées pour m'exprimer.
et tout se fini, la respiration encore saccadée. mes doigts qui passent délicatement sur la peau alors que son souffle cogne contre mon cou. c'était une position agréable, je me rendormirais volontiers comme ça, mais il se défait. bouge, retire la chaleur de son corps du mien.
et c'est fou comme ce sentiment de vide peut être envahissant alors qu'il est pourtant juste à côté. comblant finalement mon manque pour revenir se nicher près de moi, je caresse son bras, réceptionne ses lèvres alors que ses doigts jouent des lignes noires tracés à jamais sur mon torse.
haussant un sourcil, me demandant si je préfèrerais pas rester là et ne plus bouger de la journée, je finis par le suivre, me relevant difficilement, attrapant mes vêtements de la veille. pas très à l'aise avec le fait de reporter les mêmes fringues pendant plusieurs heures d'affilées, mais je me changerai à nouveau en rentrant. « je vais prendre une douche alors. » me laissant guider par ses indications avant de trouver refuge sous l'eau.
mon seul regret avec cette phobie c'est de m'enlever l'odeur de mahé chaque fois que je me douche.
essuyé, habillé.
je retourne dans le salon, en me passant une main sur le front. j'étais fatigué mais j'avais si bien dormi, j'avais trouvé un repos oublié. et c'était si agréable, bordel. « tu as bien dormi ? » passant mes bras sur ses hanches, glissant sur son ventre avant d'attraper mon poignet et d'ainsi l'emprisonner dans le creux de mes bras, déposant un baiser sur son épaule puis sa nuque. « ça faisait longtemps que je n'avais pas été aussi bien. » posant mes lèvres contre son épaule, marmonnant contre sa peau, gêné de m'ouvrir, même légèrement. « c'est grâce à toi. » toi et cette bague qui signifie bien plus qu'une promesse.
c'est un éternel, un pacte de non abandon. « tu nous fais quoi ? » j'étais un adepte de petit-déjeuner. d'ordinaire c'est moi qui le prépare pour ma sœur. me faire choyer, c'est une première. le libérant finalement pour mieux voir.


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L’odeur commençait déjà en envahir la pièce. Je n’aime pas cuisiner, je déteste ça même. Je préfère et de lui me faire servir, mais pour toi, oui pour toi je suis prêt à sortir mes talents de chefs cuisinier. Et il faut dire qu’un petit-déjeuner, n’est rien à côté d’un repas cinq services dans un restaurant.
Et comme tous répète sans cesse qu’il s’agit du repas le plus important de la journée, rien de mieux que de tout préparer pour tes beaux yeux, en attendant que tu prennes tes aises sous les jets d’eau chaude de la douche.
Je serais venu te trouver avec la plus grande jolie, pour passer une fois de plus mes mains partout sur ton corps, comme j’aime tant le faire encore et encore, mais je ne voulais pas non plus paraître pour un sauvage.
Alors oui, je suis en train de préparer tout ce que je pouvais retrouver dans mon frigidaire ou garde-manger.
Entendant tes pas revenir quelques minutes plus tard, je me tourne la tête, moi qui te faisais dos, pour te regarder et te souris, t’envoyant un baiser souffler.
« À merveille ! Et toi mon amour ? » dis-je me collant toujours un peu plus à toi, qui venait d’encercler mon torse de tes bras, baissant le regard pour le déposer sur la bague offerte quelques heures plus tôt. « Mais j’avoue que j’ai sans doute passer une grande partie de la nuit à te regarder dormir. » C’était facile de le faire, sachant que j’avais acheté une petite veilleuse expressément pour les jours où tu venais dormir. Et ce n’est pas parce que je n’arrivais pas à dormir, non juste que je me sentais si bien, si chanceux de pouvoir partager tous ces moments en ta compagnie. Chanceux d’être capable de calmer nos colères pour mieux se retrouver suite à nos chicanes. « Grâce à moi ? J’y suis pour rien, mais j’aime que tu puisses le penser. »
Je me dandine finalement dans tes bras de sorte que je puisse me retourner pour te faire face, arrêtant de couper les fruits au préalable.
Mes bras enrouler autour de tes épaules, je dépose un bref baiser sur ton front, ton nez et ensuite tes lèvres. « Un peu de tout. Bacon, saucisses, gaufres, pancakes, œufs, jus d’orange pressé à la main, rôties et café. Sans oublier les fruits frais.  » Oui je me donne, je fais des efforts mais je veux tellement que tu sois heureux.
Tu me libères finalement de ton étreinte, faisant de même, je te désigne le plan de travail. « Ouais, j’vais avoir un peu de rangement à faire. » dis-je légèrement sur le ton de la honte. Il faut dire que tu es un peu comme moi. Tu n’aimes pas que ce soit sens dessus dessous. « Je me suis un peu… Beaucoup laisser aller pour toi. » rigolant doucement, j’attrape deux verres dans l’armoire pour te servir un verre de jus. « À moins que tu veuilles aussi un smoothie ? » les yeux brillants, je te regarde amoureusement. Je n’ai jamais été aussi bienveillant envers quelqu’un. Tu me fais du bien Milo Novak.
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longtemps que je n'avais pas réussi à trouver le repos entre toutes les comédies, tous les problèmes. toutes les santés en jeu et cette difficulté à m confier, à m'ouvrir.
notre relation avec mahé n'était pas non plus de tut repos, ça avait beau être récent, de ces quelques jours qui rendaient le tout presque irréel, j'avais l'impression que ça me pompait plus d'énergie que ça ne m'en donnait.
on ne se connaissait pas encore très bien, on doutait, c'est logique. doutait de nous, de soi... de l'avenir. un avenir qu'il avait pourtant fini par me promettre, ensemble. rien que tous les deux versus le monde, c'était la plus belle preuve et promesse d'amour que l'on m'avait faite de toute ma vie, et je jurai que je prendrai soin de cette relation tout le restant de mes jours.
car l'unique fatigue qu'il était bon de combattre, c'était celle-ci. le rassurer, lui faire comprendre que je n'étais pas le mauvais garçon du film, que j'étais prêt à tous les sacrifices du monde pour ses beaux yeux bleus.
et je voulais surtout qu'il sache que son passé, même peu reluisant, n'était pas un obstacle au bonheur que l'on pouvait s'octroyer. je l'aime. je l'aime mahé, et il fera parti de mon âme, de mes murs... de ma vie. aussi longtemps qu'on nous l'accordera, aussi longtemps qu'il voudra de moi.
alors ouais, ça faisait bien longtemps que je n'avais pas dormi comme ça, que j'avais pas trouvé un repos. pas de téléphone, pas de mauvaises nouvelles et protéger dans les bras d'un homme qui rendait les choses difficiles et faciles à la fois.
le paradoxe à l'état brut. « très bien aussi. » les bras qui viennent l'enfermer, serrent sa taille, baiser déposé sur l'épaule. le sourire qui se dessine à la commissure des lèvres, rire léger et gêné alors que le rose monte aux joues. « c'est creepy. » que je dis uniquement pour cacher une timidité nouvelle, alors que je trouve ça plutôt adorable. en espérant ne pas avoir baver durant la nuit.
et qu'il pense à mes phobies m'avait touché. dormir dans le noir complet m'aurait perturbé, j'aurais pu surmonter en étant dans ses bras mais la veilleuse était le cadeau, la cerise sur le gâteau. embrasse encore sa nuque puis son épaule. le sentant se dégager, je relâche mon étreinte, le regarde se mouvoir dans l'espace. il est si beau, putain. « si, c'est grâce à toi, même si tu ronfles. » un sourire qui dévoile les dents alors que finalement les yeux se closent, les baisers posés respectivement sur le front, le nez puis les lèvres au quel je réponds avec douceur, amour.
demande le menu du matin et reste un moment sans voix. « tu veux me faire prendre trente kilos en un repas ? » posant les mains dans son dos, glissent le long de la colonne, s'attardent la naissance des fesses. un baiser sur la joue et le libère finalement en regardant le bordel qu'il désigne. « en effet, on sera pas trop de deux. » parce que si j'aimais les surprises, j'aimais moins le désordre, mais c'était un gros point commun qui ferait qu'on serait parfaitement heureux de vivre ensemble, un jour. « non, le jus de fruit c'est largement suffisant, et puis vu tout ce que tu as fait, on va manquer de rien. ne gâchons rien. »
attrape le verre, trinque bêtement. « à nous, mon amour. » et une gorgée avant de prendre le mauvais réflexe de commencer à ranger, ordonner. « dis-moi, tu as quelque chose de prévu aujourd'hui ? on. » me pince les lèvres, regarde ma bague avec une certaine tendresse. oublie le rangement un bref instant. « on pourrait s'enfermer et ne plus exister encore vingt-quatre heures, ce serait bien, non ? » tourne l'anneau, le repositionne. puis attrape son visage entre les mains avant qu'il puisse répondre, dépose un énième baiser, plus fort sur les lippes prisonnières des miennes. le front qui se pose finalement sur le sien. « je t'aime, tellement. »


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Prendre le temps parfois de comprendre la personne que nous aimons, de trouver le moyen de se racheter pour une faute commise ou simplement pour une bévue. Ou peut-être encore simplement pour la rendre heureuse, lui faire plaisir après une prise de tête, est quelque chose d’essentiel pour moi. Ou du moins l’est devenu avec toi. Parce que si, avant de te rencontrer, je n’en avais rien à faire de faire du mal à mon entourage, ce n’est plus la même avec toi.
Depuis que nous sommes ensemble, j’ai cette impression que nos hauts et nos bas nous demande beaucoup trop d’énergie. Et savoir, après quelques discussions passées avec toi, que tu as peur que je te quitte pour une raison ou une autre, arrive à me mettre dans tous mes états. C’est sans doute pour cette raison, que cette chicane que nous avons eu hier soir, m’a fait comprendre qu’il était temps de poser un geste pour notre couple. Te faire comprendre, du moins essayer de te faire comprendre que je ne suis pas là pour te quitter.
Cette promesse, j’avais prévu de te la faire plus tard, mais tu me répètes sans cesse que pour toi le temps n’a pas d’importance et j’en ai eu la preuve lorsque tu m’as dit oui.
J’ai senti un tel bonheur qu’au petit matin, je voulais que ce bien-être perdure encore de nombreuses heures. Donc, il était normal pour moi, après avoir passé un réveil intéressant, que je te prépare ce petit-déjeuner de roi. Où j’ai créé un fouillis monstre dans la cuisine. On pourrait croire que la tornade Mahé est passée et qu’elle a tout détruit sur son passage. « Hum… Peut-être as-tu vu ton petit corps tout maigre. J’ai presque peur de te casser en deux lorsque je te prends dans mes bras. » ce n’est pas vrai, mais qui aime bien, châtie bien. Et là c’est toi qui a commencé.
Le frisson ressentis lorsque tes mains glissent le long de mon dos, s’étend jusqu’au bout de mes orteils. Je me sens bien, trop bien en ta présence, je pourrais librement me laisser tenté pour que ce soit toujours ainsi, à tous les jours de ma vie.
Un rictus pointe le bout de son nez et je t’écoute parler alors que ton idée me semble très intéressante. N’ayant pas le temps de te répondre, tu captures de nouveau mes lèvres. « Je t’aime aussi et j’accepte ta proposition à une seule condition. Tu ne touches pas à cette cuisine. » Je parle bien entendu ici du ménage. J’ai une femme ménagère qui s’en occupe.
Je t’attrape sous les fesses pour te faire asseoir sur le plan de travail, me positionnant entre tes jambes. « Et si tu n’as pas faim, pas toute suite du moins, je te propose qu’on place tout ça au réfrigérateur et qu’on s’abandonne juste toi et moi. »
Plongeant de nouveau sur tes lèvres, comme si elles m’étaient essentielles à ma survie, je te prends dans mes bras sans même te laisser répondre, à ton tour et t’emmène dans la chambre à coucher où j’avais pour projet de continuer à s’enfermer et ne rien faire d’autres que s’embrasser et se toucher pour plusieurs heures encore. Le ménage peut attendre, ton bonheur, non…
Nous allons continuer à nous aimer jusqu'au bout de la nuit et au-delà !

FIN DU RP
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