Une fois, pas deux.

Une fois, pas deux.


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Je crois que je suis vraiment entrain de rêver. Tout s'était finalement si bien ficelé que je ne pensais pas pouvoir lire de telles choses. Je suis pas de ce genre, a lire Veritas ou tous ces ragots qui flottent un peu partout mais cette fois, j'ai eu le malheur de me mettre à lire ce que Veritas avait à dire. Et je suis tombée de très haut. Je suis une sanguine, et c'est tout à fait normal que mon sang ne fasse qu'un tour une fois que j'ai terminé de lire ce que Veritas avait à dire sur toi. Je fulmine, je vois rouge, plus rien autour n'a d'importance présentement. J'envoie tout de même un SMS à Mahé pour lui dire qu'il faut que je me casse d'ici au plus vite sinon je vais vraiment faire une crise. Je suis pas douée pour la communication mais là je n'ai même pas envie de communiquer avec toi tant je te déteste. J'ai baissé ma garde. Je n'aurais pas dû le faire et mon cœur se serre en pensant une nouvelle fois à ce que je viens de lire. Toujours nue, je me lève d'un bon, enfile ma nuisette et déboule dans la salle de bain. J'ai envie de casser quelque chose, mais a la place, je vais simplement te déverser ma haine avant de me barrer sans ménagement. tu te fous de ma gueule que je te hurle en pleine face après avoir ouvert la porte de la douche Tu m'as eu une fois, pas deux. tu vas avoir mal, plus que moi, je te le garantie je m'en vais, ton vide couille tu le trouveras en la personne de cette catin que t'as engrossé je te regarde une dernière fois et te laisse tout seul dans la salle de bain pour aller m'habiller.

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Une fois, pas deux.


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Une bonne douche, c'est ce dont tu avais besoin pour redescendre, tu étais énervé par le véritas, un tissu de connerie vraiment. Tu espérais qu'Elisa ne tomberait pas dessus. De toute façon tu n'avais rien fait de mal, Katalia n'était pas enceinte, et surtout vous n'aviez pas couché ensemble au final, c'était juste une soirée bien arrosé ou tu avais fini par terminer nu dans ton lit et Kat à tes côtés, même si elle c'était barré au petit matin. Vous aviez fini par reconstruire la soirée et rien ne c'était passé entre vous simplement un baiser endiablé mais Katalia c'était plus comme une petite soeur et en plus c'était la meilleure amie de ta meilleure amie Meluzine. Tant bien même, il se serait passé quelques choses entre vous c'était avant d'être avec Elisa et même avant de la connaitre. Tout allait bien entre vous et tu n'avais pas envie de tout niquer pour une connerie pareil alors tu préférais ne rien dire pour ne pas vivre une dispute inutile, puis Elisa ne doit pas être du genre à suivre ses conneries de Véritas. Tu entendis las porte s'ouvrir derrière toi et tu te dis qi'Elisa allait te rejoindre dans la douche mais ça voix n'avait rien d'amicale, elle était en colère. Tu savais qu'elle parlait du véritas. « Et merde !» Tu l'as regarda dans les yeux et tu frissonnas, elle t'envoyait des éclairs. Tu reculas même d'un pas, tu ne l'avais jamais vu comme ça, tu avais l'impression de la dégouter. après sa dernière répliques sanglante, tu voulus lui attraper le bras mais elle avait déjà quitter la pièce. Tu sortis à la hâte de la douche prenant simplement une serviette pour entourer tes hanches. «Eli', il faut que tu me crois, il c'est rien passé avec Kat', elle est pas enceinte ! On a même pas couché ensemble. Véritas n'a dit qu'un tissu de mensonge. » Tu posas une main sur la sienne pour qu'elle arrête de faire sa valise. « S'il te plait il faut que tu me crois.» Tu l'as chercha du regard, mais ses yeux te fuyaient.

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Une fois, pas deux.


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Je me demande pourquoi je lis ce torchon, je me demande pourquoi aujourd’hui, j’ai décidé de lire quelque chose qui ne me plait pas, qui ne m’intéresse pas. Je crois que c’était écris, que c’était le moment d’ouvrir l’application et de lire tout ce que veritas avait envie de dire. Je n’aurais clairement pas dû parce que mon sang n’a finalement fait qu’un tour. C’est dur, trop dur pour que je laisse passer tout ça. Je sais que ma réaction est disproportionnée, je sais que je réagis peut-être un peu trop vite mais je n’ai qu’une envie, partir loin et te laisser finir les vacances seul ou avec ta pouffe. On a tous un passé, on a tous déjà connu l’amour ou bien les aventures d’un soir, ou de plusieurs mais mettre une femme enceinte, çà je ne pourrais vraiment pas le laisser passer. Et tu sais pourquoi ? Parce que même si ce n’était qu’un coup comme ça, cette femme peut-être enceinte, et tu ne peux pas la laisser vivre çà toute seule. Je ne sais même pas si elle est enceinte, je ne sais même pas si toute çà est vrai, mais je suis sanguine et je déboule dans la salle de bain, ouvrant la porte de la douche. Je ne te laisse pas le temps d’en placer une, je fulmine, ne déverse qu’à moitié mon venin et repars aussi sec pour faire ma valise. Je vois rouge, je ne vois rien d’autre et ma peau frissonne tant je suis énervée. Tu pose ta main sur la mienne, mais je la retire aussi sec pour me tourner vers toi. Je tremble tant je ne sais même plus ou donner de la tête avec tout ça, avec les mots de Milo, et ceux de Mahé. pourquoi ? Pourquoi je te croirais ? que je te demande en te regardant droit dans les yeux que tu couches avec elle, je m’en fiche, c’était avant moi… mais.. je ne peux même pas terminer ma phrase. J’aimerai pouvoir respirer et reprendre calmement mais c’est au dessus de mes forces.

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Une fois, pas deux.


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Mahé était venue engueulé par rapport à l'annonce, Milo avait prit ta défense et c'était chamaillé avec Mahé. ça t'avais déjà gonflé que ton meilleur pote et Mahé s'embrouille pour quelques choses qui n'avait même pas eu lieu. Toute cette histoire puait franchement la merde. Et Katalia qui avait laissé un mot sur toi au bureau des plaintes de la pfo, t'accusant d'avoir parlé à quelqu'un hors tu n'avais absolument rien dit, sauf à Milo comme quoi tu pensais avoir couché avec Katalia mais au final non et du coup pas de risque de grossesse. Et même si vous aviez pas couché ensemble, tu l'as fait tellement stressé qu'elle avait quand même fait un test de grossesse. Tu ne pensais pas qu'Elisa viendrait te voir en furie avec le message de véritas, tu pensais juste que si elle le voyait, elle te demanderait des explication et c'est tout, mais non, elle était vraiment en colère contre toi, elle ne t'avait même pas donné le bénéfice du doute. Pour elle tu étais fautif.  Ca te fis un sacré choc qu'elle pense ça et tu essayas de lui faire comprendre que ce n'était pas le cas, que ce n'était qu'un mensonge. Tu es sorti de la salle de bain allant à la suite d'Elisa, laissant des traces de pas derrière toi, puisque tu dégoulinais. Tu posas une main sur elle pour attirer son attention mais elle l'enleva aussi tôt et tu reculas d'un pas. Tu restas interdit face à sa question. Pourquoi te croire ? Parce que tu es innocent ! C'était vraiment une question ? tu te sentis blessé qu'elle ne te croit pas. « Je te le jure sur la vie de Milo ou sur la vie de Nova ! Je n'ai pas couché avec Katalia, c'est juste une amie. Alors si je n'ai pas couché avec elle, il n'y a pas de bébé. Ou alors si elle est enceinte ce n'est pas de moi, mais j'ai eu des nouvelles d'elles encore aujourd'hui et elle n'est pas enceinte. Si tu veux je peux l'appeler maintenant en face time pour qu'elle te le dises elle même. » Katalia  t'avait même proposé cette solution. Qu'est ce que tu pouvais dire pour ta défense, difficile de ce justifier de quelques choses qu'y n'est pas arrivé.  Tu grimaças. « Je n'ai pas couché avec elle. Et puis tu crois vraiment que si une femme était enceinte de moi, je l'a laisserais dans la merde ? Il n'y a pas de bébé et je n'ai pas d'enfant caché. Je suis pas assez con pour mettre une fille en cloque. En plus cette histoire date d'avant le nouvelle an, je ne comprend pas comment ça peut sortir maintenant. Mais vraiment ? Tu préfères croire un tissu de mensonge plutôt que ton mec ?» Bon tu avais quand même cru à un moment donné que Kat était enceinte. Tu l'as regardais seulement, tu essayais de capter ses émotions, voir l'étendu des dégats.

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Une fois, pas deux.


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Tout se chamboule dans ma tête, tout est bien trop flou pour que j’arrive à penser, pour que j’arrive à discerner le vrai du faux. J’ai mal, c’est fou, qui aurait pensé que je puisse être blessée à ce point ? Et pourquoi ? Pourquoi je suis dans un tel état alors que tu pouvais coucher avec n’importe qui jusqu’au 13 Février, jour où on s’est mis tous les deux. C’est n’importe quoi, j’arrive plus à réfléchir, j’arrive plus à rien là, et faut que je me calme sinon je vais casser quelque chose. Je suis déjà partie loin avec Mahé, je n’ai pas envie de continuer sur cette voie. Je suis entrée comme une furie mais je repars aussi comme une furie, te laissant nu, sous l’eau chaude qui coule. Mon coeur est serré alors que je commence à faire ma valise. J’ai pas envie de partir, mais si je reste là, je vais vraiment mal le vivre. Je comprends pas, je comprends ce qui est en train de se passer. On est quoi toi et moi ? Un couple ? Ou juste deux personnes qui ne savent pas ce qu’elles font ensemble ? Tu te rends compte que çà pourrait être moi ? Cette fille, parce qu’on a pas mis de capotes quand on est arrivés ici. non, il a fallu qu’on assouvisse nos envies comme des sauvages. surtout ne jure pas sur Nova ! ouais, j’aurais pu dire de ne pas jurer sur aucun, parce qu’il faut bien admettre que Milo m’a quand même bien apaisé pour le coup, et je n’en reviens d’ailleurs toujours pas. je comprends pas pourquoi elle sortirait çà maintenant si c’était un tissu de mensonge… et pourquoi ta pouffe elle fait un test que maintenant ? attendez, elle l’a vraiment fait que maintenant ? Non, une fois encore, je divague complètement. je lève les yeux au ciel, parce qu’en plus tu veux l’appeler parce qu’en plus, tu l’as eu récemment au téléphone ? dites moi que je rêve putain mais tu te fou de ma gueule ou quoi putain. j’ai toujours tendance à être un peu trop vulgaire lorsque je suis énervée. Imaginez les injures sortant de la bouge d’un ange comme moi. je veux pas… je veux pas lui parler, pas la voir. Je veux pas qu’elle me raconte ce que mon mec à ait ou pas. oui mon mec. C’est étrange, parce que oui, à cet instant, t’es toujours mon mec. je sais pas.. je sais plus… c’est trop confus dans ma tête Jay oui bien trop confus dans ma tête pour que j’arrive à me raisonner pour l’instant. Je ne me suis même pas encore changée, et c’est toujours en nuisette que je sors de la pièce pour aller me mettre sur le balcon. J’ai besoin de sentir la fraicheur me prendre aux tripes, quitte à tomber malade alors que j’aimerai juste que tu me prennes dans tes bras, que tu m’embrasses. Je soupire, j’ai envie de frapper dans quelque chose, il faut que je redescende.

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Une fois, pas deux.


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Ca te fis un pincement au coeur de la voir comme ça, car tu avais l'impression de tout foirer, de pas être à la hauteur. Déjà que le mot couple te faisais assez peur, tu n'avais pas été en couple depuis longtemps et la dernière fois, tu t'étais rendu compte que ce n'était qu'un tissu de mensonge et rien d'autre. Elisa était arrivée avec son sourire, son air taquin et la façon dont elle te regardait, elle savait parfaitement quoi faire pour te faire craquer et finalement elle avait atteint ton coeur, chose que tu pensais impossible, mais avec l'histoire de Milo et Mahé, voir ton meilleur ami autant heureux, ça avait créé une brèche dans ton coeur et Elisa était arrivé pour l'ouvrir un peu plus, tu étais entrain de tomber amoureux de cette fille et tu ne savais pas comment t'y prendre. Tu ne pensais pas que cette histoire pouvait faire autant de mal puisqu'elle n'avait jamais eu lieu, juste des circonstances. Vous aviez beaucoup trop bu avec Kat' et vous vous étiez retrouvé nu dans le même lit, enfin toi tu étais nu, elle avait encore son sous vetement et un t-shirt à toi. Tu n'aimais pas te justifier surtout pour quelques choses que tu n'avais pas fait et là tu te trouvais en plein dedans. Elle t'avait laissé sans te donné le temps de parole, alors que tu étais le premier concerné, tu avais le droit de lui expliqué ce qu'y c'était passé. Tu n'arrivais pas à comprendre sa reaction, pourquoi elle était autant blessé ? « J'aurais jamais juré sur des personnes qui me son chère si il c'était passé quelques choses. » Tu essayais de voir l'éttendu des dégats, tu ne voulais pas qu'elle te repousse. « Je sais pas pourquoi ça sort maintenant, cette histoire c'est passé il y a presque deux mois, Je ne sais même pas pourquoi ça sort maintenant, pour moi j'avais complétement oublié cette histoire. Je pense qu'elle a du l'acheter y a deux mois aussi après notre discussion. C'est moi qui lui est foutu le doute, C'est moi qui pensais qu'elle pouvait être enceinte et qui est flippé, elle a du le faire ... Je sais pas pourquoi elle là fait alors que quand on a revécu toute la soirée en mémoire, on a vu qu'on avait pas couché ensemble... » C'était vraiment le pire moment pour que l'histoire sorte, elle n'aurait pas pu sortir il y a des mots, au moment des faits ? « Oui elle voulait savoir si j'étais au courant du véritas, Katalia non plus n'est pas bien pour cette histoire. » Tu fronças les sourcils car tu savais que Katalia se sentait mal pour cette histoire et surtout que ça allait touché Meluzine, tu te retrouvais pris dans les grappes, sans avoir rien demandé tout ça à causse d'une erreur. « Eli', Kat c'est juste une amie, c'est la meilleure amie de ma meilleure amie, il y a rien entre nous, pas d'attirance physique, c'est comme mes soeurs ! » Tu n'avais jamais rien imaginé avec elle, enfin juste au début de votre rencontre tu t'étais dis que Kat était une très belle femme mais entre temps vous étiez devenue un trio et cette pensée t'avais vite quitté. « Mais putain j'ai rien fais avec elle, elle te racontera juste que j'ai rien fais. » Tu passas une main sur ton visage, en soit tu t'en foutais de cette histoire, c'était juste un mensonge mais voir que ça avait atteint Elisa, ça te fis un pincement au coeur. Vous étiez ensemble depuis seulement deux jours mais tu tenais beaucoup à elle. Tu l'as regardas aller sur le balcon et pensé qu'elle puisse partir, juste te quitter, et t'abandonner ici, te serras la gorge. Tu sortie dehors alors que tu étais en serviette encore dégoulinant mais tu t'en foutais de tomber malade, tout ce que tu voulais c'est la prendre dans tes bras. Tu pris quand même la résolution de la ramener à l'interrieur avec toi, tu n'avais pas envie de te donner en spectacle ni de vraiment tomber malade. « Ecoute ! Kat' c'est juste une amie, avec qui il ne se passera jamais rien. Premièrement parce que c'est Kat', on se connait depuis longtemps, depuis 5 ans et si il avait fallu qu'il se passe quelques choses ça se serait déjà passé. Et deuxièmement mais pas des moindres, je suis entrain de tomber amoureux de toi, ok j'ai essayé de repousser mes sentiments pour toi, car le fait que tu puisses avoir une emprise sur moi ça me terrifie, mais à l'heure d'aujourd'hui je n'ai envie d'être qu'avec une seule personne et c'est toi, ça fait déjà un bon moment que tu as pris place dans mes pensées, T'es pas juste un passe temps. Si je choisi d'être en couple avec toi, alors il n'y a que toi pour moi dans ma tête et dans mon coeur. Et j'ai choisi. Il t'appartient. » Tu avais pris sa main pour la posé sur ton coeur, C'était plus seulement de l'attirance avec elle, c'était bien plus que ça. Tu la tiras contre toi et avant qu'elle puisse te repousser tu l'embrassas, c'était un baiser doux et un peu désespérait, un baiser qu'y voulait dire, je suis là et je te laisserais pas tomber car tu m'appartient et je t'appartiens car si ce baiser pouvait parler il en aurait des choses à dire.

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Une fois, pas deux.


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Trop de choses se bousculent dans ma tête. J’ai du mal à réfléchir et j’oscille entre colère et blessure. Je pense vraiment que Milo et Mahé ont raison, que ce n’est qu’un tissu de mensonges, mais mon caractère m’emmerde plus que de raison et je n’arrive pas à redescendre. Te laisser comme ça me satisfait un peu, même si je suis blessée par ce que je viens de lire. Finalement, je me fiche pas mal des femmes que t’as pu baiser avant qu’on soit ensemble mais même pas 48h après qu’on soit ensemble, voilà que çà nous tombe dessus. J’ai rien demandé, j’ai pas demandé à tomber amoureuse de toi, t’es arrivé dans ma vie comme si de rien n’était et j’arrive pas à t’en faire sortir parce que je tombe amoureuse de toi, parce que je pense qu’à toi, parce qu’on vit en colocation ensemble, et qu’on est toujours ensemble ou presque. T’es dans ma tête, tout le temps putain, et j’arrive pas à me défaire de ton emprise et je me rends compte à cet instant précis que t’es plus important que je ne voudrais le croire. Que tu prends une place beaucoup plus grande que je ne l’aurais pensé et même voulu parce que je ne connais pas l’amour, je suis pas douée avec l’amour et que j’ai peur de ne pas l’être du tout d’ailleurs. Mon caractère me trahira toujours, fera fuir aussi, et je ne pourrais rien contre ça. Je te rejette alors que j’ai tout bonnement envie que tu m’aimes, et que tu sois avec moi. qu’est-ce que tu veux que je te dise ? là, tu vois, je ne peux pas te contre dire, parce que ma tête me dit qu’il faut que je me résonne et que je te crois parce que oui, tu pourrais pas jurer sur Nova ou Milo, mais je n’en fais qu’à ma tête, et je le sais très bien. Je me blesse moi-même à te repousser, je me fais du mal, c’est dans mes veines tout ça. Tu t’enfonces, tu me raconte ce qu’il a pu se passer mais je veux pas le savoir Je veux pas le savoir putain, je veux rien savoir de tes relations passées je veux pas en entendre parler, parce que les filles avant moi, même peut-être moi, je sais qu’elles n’étaient que de passage. Savoir que tu lui parle encore, là, alors que çà vient de sortir, que je viens de le lire, me blesse encore plus. oui, Milo a raison, t’es d’une maladresse déconcertante. superbe, vraiment superbe que je m’exclame alors que je me tourne très bien… je n’ai pas d’autres mots, pas d’autres pensées pour le coup. JE VEUX PAS PUTAIN ! je veux pas lui parler à cette fille, alors lâche moi avec çà j’ai les yeux qui me trahissent, je t’en supplie fiche moi la paix avec ta Kat, je veux rien savoir, je veux pas lui parler, pas même la rencontrer. Jamais. J’ai mal au cœur, pourquoi j’ai si mal au cœur ? Je déglutis et me barre sur le balcon en me fichant pas mal d’avoir froid. Je ferme les yeux une seconde, le vent me pique la peau, mes poils se hérissent au contact de cette fraicheur, mais tu me récupère pour me ramener à l’intérieur, je me laisse faire. Je me fige lorsque tu me dis que tu es en train de tomber amoureux de moi. Mon cœur bat un peu plus vite, j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine. D’accord, je ne suis donc pas toute seule dans ce cas-là. Tu me tues, je te jure, tu me tues… ma main sur ton cœur, je suis complètement pétrifiée et soulagée en même temps. je ne peux rien dire puisque tu m’embrasses sans même attendre une réponse de ma part. Mes mains se placent alors autour de ta nuque afin de répondre tendrement à ce baiser. Mon front se colle finalement au tiens une fois que le baiser s’interrompt. je… tu vois… pour la première fois t’arrives à me faire taire, et j’ai pas les mots. Non j’ai pas les mots là, parce que je pensais être la seule comme ça, je pensais être la seule prise par des sentiments naissants et qui me font peur parce que je suis pas douée, je sais pas faire ça… que je crève déjà à l’idée de me blesser ou de te blesser t’es dans ma tête, tout le temps, je peux pas me passer de tes bras, de toi… je deviens folle quand t’es pas là, c’est … déroutant je commence à me calmer, tu vois, cette confession elle me touche, elle me fait du bien.

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Une fois, pas deux.


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Si jamais tu chopais l'enfoiré qui avait publié ce message, il passerait un sale quart d'heure, surtout quand tu avais vu les yeux d'Elisa, ce regard froid et de haine qu'elle t'avais lancé même en étant sous l'eau chaud, ce regard t'avais donné froid dans le dos. Tu ne l'avais jamais vu énervé de la sorte, la dernière fois c'était par message juste avant que vous vous mettiez ensemble, mais tu ne l'avais pas vu péter un câble, non toi tu étais perdu sur le sentier comme un con à t'embrouiller par message. Mais aujourd'hui tu avais vu une nouvelle facette d'Elisa, la Elisa blessé, tu ne savais pas si elle t'en voulait vraiment à toi car en sois tu n'avais rien fais. Ce petit bout de femme semblait si forte mais tu avais réussi à apercevoir une facette d'elle si fragile et tu n'avais aucune envie de la voir avec le cœur brisé. Ta tête avait le dont de te dire de partir avant que ça ne devienne trop sérieux, avant qu'elle soit totalement dans ta tête et ton cœur ? Mais ton cœur lui disait de rester, tu avais envie de connaître se sentiment de bien être, celui que Milo semblait avoir trouvé, ça te donné envie et Elisa était le première femme depuis bien longtemps à arriver à te faire tanguer. « Je veux juste que tu me crois. » tu essayais de la raisonner car au fond de toi ça te faisait mal de l'entendre dire qu'elle ne te croyais pas, qu'elle restait buter sur ce que Veritas disait plus tôt que de t'entendre toi. Et elle te repoussait, tu n'aimais pas cette sensation, celle de pouvoir la perdre à tout instant. « OK. » tu le as les mains en signe de défense mais faut dire que toi non plus tu n'avais pas réellement envie de l'entendre parler de mec avec qui elle aurait pu coucher ou encore pire de mec qu'elle aurait pu aimer. Tu étais maladroit dans tes propos, tu ne savais pas ce que tu devais dire, ce que tu devais faire et tu liras plus tard un SMS de Milo te donnant des conseils sur ce que tu ne devais pas faire, bien sur tu avais tout fais, parler de Katalia et lui dire que vous n'aviez pas couché ensemble, c'était le sujet à éviter et tu t'étais lancé dedans. Ce qui fait qu'elle s'énerva d'avantage. Tu prenais noté de ne plus parler de Katalia même s'il était fort probable qu'un jour les deux femmes se rencontre. Elle partie sur le balcon, te laissant là, tu te sentais sali comme si tu avais perdu le contrôle sur ta propre vie. Tu la rattrapas, la forçant a rentrée à l'intérieur plutôt que de rester dans le froid. Tu ne réfléchissais plus et tu lui parlas simplement, tu lui dis ce que tu resents pour elle comme si ça l'obligeras a rester à tes côtés, tu laisses tout simplement tomber tes barrière sans retour en arrière possible. Et sans lui donner le temps de répondre, tu l'embrasses dans un acte désespéré pour ne pas la perdre. Elle répond à votre baiser, elle ne te réponse pas et instinctivement ton cœur s'accelera, comme s'il avait retrouvé la vie. Tu rigoles quand elle te dit que tu as réussi à la faire taire. Et tu es sur que peu de personne réussis cet exploits. « Je ne suis pas doué non plus, c'est tout nouveau pour moi. Je suis désolé si je ne dis pas les choses qu'il faut, ou si je ne fais pas les choses bien, car je ne sais pas comment faire pour être le petit ami parfait. » En même temps tu n'avais pas envie d'être parfait, simplement celui, qu'il lui faut, et tu n'étais pas parfait. « Alors ne part pas et reste dans mes bras. Je veux avancer avec toi. Mais pour ça il faut que tu me fasses confiance. » tu n'avais pas envie qu'elle parte, qu'elle quitte tes bras. T'avais juste envie de la garder contre toi pour que plus personne ne puisse lui faire du mal.

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Toute cette histoire me dépasse, je réagis tellement fort que je n’arrive même pas à décerner le faux du vrai mais je n’ai pas envie là tout de suite de me focaliser sur tout ça. Je suis encore bien trop énervée, bien trop blessée et pourquoi ? Pour quelque chose qui ne devrait même pas m’atteindre finalement puisque çà c’est passé avant nous, avant qu’on se mette ensemble, avant même qu’on se connaisse quand on y repense. C’est compliqué, trop compliqué pour moi parce que je me suis attachée à une vitesse incroyable, j’ai laissé mon coeur s’ouvrir pour toi, j’ai pas réfléchis à toutes les conséquences que çà pouvait avoir et j’ai peur. C’est bien la première fois que j’ai peur comme çà parce qu’on ne se connait pas encore parfaitement bien, qu’on doit encore se découvrir sur plusieurs points mais c’est çà aussi qui rend belle cette histoire naissante. Parce qu’on ne connait pas tout, et il y a encore tant de choses à savoir de l’un et de l’autre. Je recule d’un pas, je suis tiraillée entre l’envie d’être dans tes bras et l’envie de m’enfuir en courant pour ne plus avoir à te faire face. Encore un mot, une parole envers cette fille, envers veritas et je te jure que je vais finir par casser quelque chose et partir en pleurant. Pourquoi en pleurant ? Parce que quand je suis énervée il m’arrive de pleurer tant mes nerfs sont à vifs. et me faire mal ensuite ? te croire je peux le faire, mais croire tous les autres, je peux aussi très bien le faire. J’ai un fort caractère, je me laisse jamais faire, mais là tu vois je suis en train de tanguer parce que c’est nouveau pour moi et toi, et bien t’es ma faiblesse. Je le comprends maintenant, t’es ma faiblesse, t’es aussi mon point fort parce qu’avec toi, je me sens encore mieux, je me sens plus forte, mais t’es aussi ma faiblesse parce que je vais tout de suite partir au quart de tours comme aujourd’hui. Mon coeur bat plus vite qu’il ne le devrait lorsque j’écoute ta longue tirade. soulagée, et en même temps apeurée, je veux que çà fonctionne entre nous, je veux que cette histoire aille quelque part, qu’elle ait un avenir parce que c’est ce que j’ai eu de mieux depuis longtemps. C’est fou parce que je n’aurais jamais pensé que deux petits mois à peine pourraient me rendre ainsi. Mais à force d’pitre avec toi, j’ai laissé mon coeur parler, et mon attachement pour toi s’accroitre. Je réponds à ton baiser, mes bras enroulant alors ta nuque pour que nos corps se rapprochent au maximum, comme si tu allais finir par partir une fois le baiser terminé. il va falloir qu’on s’y mette tous les deux. Qu’on grandisse tous les deux, mains dans la mains je crois. On y connait pas grand chose, mais si on y croit, y’a pas de raison que çà fonctionne pas. çà c’est Milo qui me l’a susurré par sms tu vois et il a eu entièrement raison. Si on ne s’entend pas lui et moi, il a réussi à m’apaiser un peu et à me faire redescendre et voir que notre histoire valait la peine d’être vécue. Et vécue pleinement. Je passe ma main sur ta joue c’est à moi de m’excuser Jay.. parce que je suis partie trop loin comme je fais d’habitude. Parce que je suis tellement pas douée pour tout ça, que çà me tue et que je gâche toujours tout. Je veux pas d’un petit ami parfait, je veux juste de toi gros bêta c’est pas compliqué si ? Mais je comprends pas grand chose aux garçons, et toi aux femmes mais on va finir par s’en sortir. Je passe mes bras autour de ta taille, alors que t’es encore mouillé et torse nu et ma tête se pose sur tes pectoraux. t’es tout mouillé.. que je te murmure comme une gamine. Mais qu’importe, t’es là, et je suis bien. j’ai… j’ai besoin de toi. je m’en voulais de t’avoir fais ça, et j’avais conscience que je t’avais blessé.

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Une fois, pas deux.


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Tu n'arrivais pas vraiment à comprendre sa réaction que tu trouvais surdimensionner pour toi. Tu n'avais pas vous que ça lui face autant mal, surtout pour des conneries pareils en sachant qu'il ne c'est rien passé, et qui se serait passé avant que vous soyez ensemble et même avant votre rencontre. Tu ne comprennais pas grand chose aux femmes, c'était surement pour cela que tu étais aussi maladroit, tu n'avais pas envie de la blesser, tu voulais juste vivre quelque chose de vrai avec cette femme, car cette sensation, ce bien être intérieur, tu ne l'avais pas vécu depuis bien longtemps, trop longtemps. Tu avais envie d'apprendre à la connaitre d'avantage, que ce soit pour toi un livre ouvert, savoir ses peurs pour la protéger, ses doutes pour la rassurer, ses envie pour la combler. Tu fronças les sourcils, lui faire mal était ta dernière de tes envies. « Je n'ai aucune envie de te blesser. Si je ne t'ai pas parlé du véritas quand je l'ai vu, c'est simplement que cette histoire est un tissu de mensonge. Je ne pensais pas que de tel conneries pourrait te blesser autant, sinon je t'en aurais parlé avant que tu ne l'apprennes. » Pourquoi pensait-elle que tu voulais lui faire du mal alors que tu cherchais justement à ne plus qu'elle souffre. Tu avais un passée d'homme à femmes, un passé que tu ne pourrais pas effacé et tu ne regrettais pas de t'être amuser plus d'une fois car tu en avais envie sur le moment mais tes envies avaient changé, si elle pensait que tu allais allé voir ailleurs elle se trompait, surtout qu'elle comblait à merveille tes envies. Tu lui avouas ce que tu avais sur le coeur, ce que tu pensais sans mensonges ni omission. Tu t'étais mi en position de faiblesse, mais tu ne le regrettas pas, surtout avec ce baiser aussi passionné qui voulais dire beaucoup de chose. Tu avais goûté au bonheur et tu n'avais pas envie de le lacher car avec elle tu te sentais bien. Tu avais mit du temps avant de te rendre compte qu'Elisa était plus qu'un physique pour toi, plus qu'une relation charnelle, tu avais mit du temps à accepter les sentiments naissant que tu ressentais et qui semblait s’accroitre aux fils des jours. Tu ne savais pas où cette histoire allait vous mener mais tu avais envie de la vivre, et de faire un bout de chemin avec elle. Le baiser se rompt et tu la sert contre toi, pour ne pas qu'elle parte, tu avais eu l'impression de la perdre quelques minutes plutôt et tu n'avais pas envie de vivre l'expérience, alors tu ne la lachas pas. « Si tu me lâches pas, alors je ne te lacherais pas. J'ai envie de créer quelques choses de nouveaux avec toi. » Et tu y croyais, tu croyais que cette histoire pouvait fonctionner car tu en avais envie. Tu poses ta main sur la sienne et lui caresse la main alors qu'elle s'excusait de son comportement, instinctivement tu la serras contre toi. « Ne gâche pas notre histoire pour ça, il va falloir qu'on apprenne a communiquer ensemble parce que autant nos corps se comprennent parfaitement, autant nos cerveaux ont plus de mal j'ai l'impression. Et puis tu m'as rien que pour toi ! » Tu souriais comme un con quand elle te dit qu'elle te voulait, tu en profitas pour cacher ta tête dans ses cheveux, pour ne pas qu'elle te voit, alors qu'elle posait sa tête sur toi, tu te mis à rire. « En même temps, on est venue me déranger pendant que je prenais ma douche, en plus quand je t'ai entendu entrée dans la salle de bain, je pensais que tu venais pour tout autre chose. » Tu étais très vite redescendu bien évidement. « Je compte pas partir Eli' mais il faut que tu es plus confiance en moi. Je n'aime pas quand tu doutes de moi comme ça. Je sais que j'ai un passé mais je veux que de toi dans mon présent.» Tu avais réussi à ne pas partir au quart de tours dans cette histoire mais tu n'étais pas vraiment une personne calme, et si tu t'enervais, tu pouvais frapper là où ca fait mal, tu espérais qu'elle ne verrait pas cette facette de toi un jour.

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