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i put my trust on you. | ft. june carvalho

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June x Milo



arrivant chez june, je prends une grande inspiration avant de sonner et d'attendre sagement qu'elle m'ouvre la porte.
ces derniers temps, tous mes amis semblaient être pris dans cette sphère infernale faite par le métro. de ces traumatismes créés, je voulais être le parfait soutien pour les leur enlever ou du moins les amoindrir comme je le pouvais.
au fond, je me sentais responsable d'avoir abandonné mes amis dans de telles circonstances. car j'avais au fond de moi, l'impression d'être à l'origine de ce carnage. l'effet papillon, vous connaissez ?
c'est sans doute très égocentrique de le penser. sachant que je n'y suis pour rien, et qu'il est impossible que j'y sois pour quoi que ce soit.
mais m'être retrouvé démuni sans rien pouvoir faire... a été le pire jour de ma vie, autant que leur souffrance était le leur.

je n'avais pas revu june depuis notre date en octobre.
moi qui avais cru qu'elle m'avait littéralement oublié, ou que je n'avais pas laisser un souvenir suffisamment marquant pour créer une histoire ensemble. j'avais eu la surprise de recevoir un sms en janvier.
si surpris que je n'ai pas pu m'empêcher de le lui faire remarquer, feignant de n'avoir jamais reçu le dit sms, ce que je veux bien croire. car elle ne m'avait pas sembler menteuse ou mesquine.
nous avions eu une complicité toute particulière, de ces amitiés sympas au premier abord. et je m'étais juré de devenir un ami digne de ce nom par la suite.
mais nous n'avons jamais eu l'occasion de nous retrouver de nouveau. même si l'accident est tragique, c'était notre moment à nous... de nous revoir. et de la faire sortir de ce cauchemar qui semblait étreindre ses pensées versatiles.

me balançant d'avant en arrière sur les talons, avec cette petite angoisse malgré tout dans le ventre. portant un slim gris et des rangers marrons, un pull orange et un manteau noir long. je me rappelais encore la première fois que je l'avais vu. magnifique avec ses cheveux blonds, le sourire ravageur et de ses taquineries amusantes.
je n'éprouvais plus rien pour elle, mais c'était quand même un crush donc la petite appréhension était présente.
mais je ne doutais pas que tout cela allait se transformer en une amitié des plus sincères. elle avait déjà fini par se confier à moi sur ses amours, j'espérais devenir son confident autant qu'elle serait la mienne.

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@June Carvalho
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Depuis l’accident de métro, j’ai beaucoup de mal à sortir. Je me fais violence, je profite tout de même de la vie mais il est hors de question que je prenne le métro. Alors je marche, ou bien je prends de temps en temps un uber, et je m’essayerais bien au vélo, mais j’ai beaucoup trop peur à présent. Ça me soule, je n’aime pas vivre dans la peur comme çà mais il va me falloir du temps pour reprendre le métro, çà c’est une certitude. J’aimerais pouvoir demander de l’aide à Eljin mais à chaque fois qu’il est près de moi, je flanche, j’ai tout simplement envie de l’embrasser, de lui avouer à quel point mon coeur bat la chamade à chaque fois. Alors je préfère aller bosser, aller en cours, et rester à la maison. Je sais que je ne devrais pas m’isoler de la sorte mais c’est plus fort que moi alors quand tu me proposes de sortir un petit peu, je ne peux pas refuser. J’aurais pu te dire de venir et de rester à la maison, mais je sais qu’il faut que je sorte, que je m’aère aussi l’esprit un petit peu. Je t’avais donc donner mon adresse afin que tu puisses venir à la maison me récupérer. C’est tout de même étrange, toi et moi, je ne pensais pas qu’on pourrais se revoir et pourtant, quand on repense à notre date du mois d’Octobre, je t’avais dis qu’on était du genre à être amis, de très bons amis, qu’il n’y avait rien de sexuel entre nous, qu’on ne coucherait pas ensemble, ou bien qu’on sortirait pas non plus ensemble mais que nous étions voués à une belle amitié. Je ne savais pas si t’allais accepter et si on pourrait se revoir mais le courant était plutôt bien passé entre nous. J’étais complètement à l’ouest, je te l’accorde, je n’ai même pas reçu le sms que tu sembles m’avoir envoyé peu de temps après notre rencontre, et j’en suis encore désolée car crois moi, je t’aurais répondu très rapidement parce que j’avais vraiment envie de te connaitre plus et de pouvoir être amie avec toi. j’ai tout de suite senti chez toi, que tu était quelqu’un de bien et j’ai su que je ne voulais pas te laisser partir comme ça. La sonnerie de mon appartement me sort rapidement de mes pensées et je m’avance vers la porte, robe en laine sur le dos, mes bottes hautes claquant sur le parquet du couloirs qui mène à l’entrée. Milo ! que je te lance en te faisant la bise et te prenant dans mes bras je suis contente que tu sois là c’était tout de même un peu étrange, non ? Et en même temps, toi et moi, je pense sincèrement que çà peut déboucher sur un amitié très précieuse. je t’en prie entre, comment vas tu ?
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arrivé devant sa porte, toute l'appréhension finit par s'envoler quand elle l'ouvre et qu'elle apparait fatiguée mais en plus grande forme que ne le laissait supposer ses sms. j'étais rassuré en soi, parce que tous mes amis étaient dans un piteux état, je n'étais pas sûr de vouloir l'affronter une énième fois.
un sourire aimable et la surprise d'avoir une bise avant une accolade. les américains étaient bien plus tactiles que le laissaient croire les rumeurs. « je suis content d'être là aussi. »
sinon je n'aurais jamais proposé qu'on aille faire du patin au centre de boston. qu'on oublie les tracas de l'accident et qu'elle retrouve confiance.
une confiance perdu dans la vie... les accidents pouvaient arriver, autant que se trouver au mauvais endroit au mauvais moment.
je ne doute pas qu'elle puisse réussir à se sortir la tête de l'eau toute seule, mais le soutien des proches était important, non ?
même si nous ne l'étions pas tant que ça... découvrir que june était la sœur de crystal avait rééquilibré la balance. et je ne lui en voulais plus du tout de m'avoir oublié.
nous n'étions simplement pas fait pour être amants.
mais je ne doute pas que notre amitié serait forte. voire incassable.

je rentre chez elle en ayant le regard curieux sur la décoration intérieur. c'était très chaleureux, il n'y avait rien à dire.
enlevant mon manteau pour contrer le chauffage, le posant sur une chaise sur le passage. « ça va. » un peu déboussolé par tout ça, mais ça va. « et toi, la belle ? mieux qu'hier ? » car c'était inquiétant de sentir la détresse même si ce n'était qu'écrit. même si ce n'était pas clairement formulé.
et elle n'était pas la seule qui était perdue après tout ça... mahé, elvia, jayson, cléolya... tous mes proches avaient au moins un proche pris dedans et/ou étaient eux même à l'intérieur de ce merdier.
et moi j'étais pas foutu de faire quoi que ce soit, je les avais abandonné. partant pour hawaï, de ce que je croyais être le voyage de ma vie. « je suis revenu d'hawaï en catastrophe, comme je t'ai dit ma sœur était dedans aussi... bref. on va pas parler de ça aujourd'hui, ok ? » je lui souris. si je dormais très peu, j'avais quand même une forme du feu de dieu. « t'es prête pour passer une après-midi sur la glace ? » que je demande en haussant les sourcils. « tu en as déjà fait ? » car je voulais prouver que j'avais fait des progrès et que je pouvais ressembler à un pro.


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@June Carvalho
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Je suis contente que tu viennes me chercher et qu’on parte faire une petite activité. Je t’avoue que depuis l’accident du métro, j’ai beaucoup de mal à sortir et il faut que je me fasse violence. Heureusement que je travaille, sinon, je pense que je n’irais même pas en cours et que je resterai à la maison toute la journée. Je n’ai pas eu grand chose, non, j’ai eu beaucoup de chance dans tout ça, mais je garde vraiment des séquelles psychologiques. Je souffle, je me reprends, je t’attends patiemment et je sais que ce sera une bonne journée en ta compagnie. Çà va me faire du bien, j’en suis certaine mais j’appréhende aussi beaucoup parce que je tremble encore par moment, je pense encore à tout çà par moment. J’ai vu des choses horribles, des choses qui auraient pu m’arriver à moi et qui, heureusement ne me sont pas arrivées. J’ai vu ma soeur mal en point, alors que moi je me faisais piétiner par la foule apeurée qui n’avait rien et qui voulait seulement sortir d’ici. Je suis contente de voir que t’es là malgré tout, oui, parce que tu aurais pu ne plus me parler, ne plus répondre car je ne t’avais pas répondu, alors que je n’avais juste par reçu ton message. J’en suis encore désolée, mais c’est tout moi çà tu vois. cependant, je ne doutais absolument pas que nous deviendrons vraiment de très bons amis toi et moi et tu es déjà quelqu’un qui commence à être plus qu’important pour moi. La preuve, je sors pour passer une journée avec toi alors que c’est compliqué et j’ai aussi envie de me confier toi malgré que certaines choses soient encore bien trop compliquées à dire. ça peut aller… je fais encore quelques cauchemars dont un beau cette nuit, mais çà ira … je sais que çà passera, il me faut juste un peu de temps pour remettre tout çà en ordre. Mais j’ai appris une chose, oui, c’est qu’il fallait que j’arrête d’avoir peur de ce que pouvait m’offrir la vie et il fallait que je prenne mon courage à deux mains pour faire les choses que j’ai envie de faire. Je soupire, je suis un peu à l’ouest ces derniers temps mais sortir va me faire du bien. oui, j’imagine, j’espère que çà va tout de même pour elle ? parce que je préfère parler des autres que parler de moi, même si je sais que c’est aussi pour mon bien que je le fasse. j’ai dû en faire une fois… je sais pas si je suis douée pour ça mais çà peut être drôle. Tu me rattrapes si je tombe le cul sur la glace j’espère je te fais un clin d’oeil, prête à te suivre et toi ? que je te demande tout en mettant mon manteau et tu vas devoir me dire pourquoi et comment tu peux rayonner comme ça, parce que oui, tu rayonnes et ne me dis pas le contraire
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les cauchemars. c'était une part de ma vie aussi, je comprends donc par quoi elle passe. les traumatismes se traduisaient souvent dans les cauchemars, se confondaient avec une réalité alternative, couchant les démons dans un inconscient bien à nous. c'était logique en soi. elvia me parlait souvent de l'accident, du sang qui avait coulé et de son amie qui avait failli mourir par manque de précaution et de rapidité à voir les secours arrivés.
fort heureusement, il n'y avait plus trop rien à craindre. il y avait des morts à déplorer... et l'histoire de cette petite fille brûlée vive avait fait couler de l'encre mais aussi beaucoup de larmes. pas les miennes mais celles des autres. notamment celles des victimes... ce qui étaient compréhensibles. ils auraient tous pu être à la place de cette gamine et l'imaginer doit les tuer davantage. « ça passera. » que je lui dis avec beaucoup de sollicitude. en toute connaissance de cause. « ça s'apaisera. ça sera moins récurrent et tu apprendras à vivre avec. » parce qu'on finit toujours par s'habituer, même au pire.
parlant d'elvia, laissant entendre que ma sœur aussi était prise dedans, s’enquérant de sa santé. je souris. « à part ronfler maintenant, elle va bien. » je montre mon nez pour lui faire comprendre qu'elle avait eu le nez cassé mais rien de bien méchant. « elle est un peu secouée aussi mais ça va, elle a pas trop de séquelle. » loin d'avoir les même que les siennes, mais parce que nous avions l'habitude de vivre dans un cocon assez excentré du monde. les souffrances ont les connaissaient que dans les films et il suffisait seulement de les retranscrire de la même manière. je suppose.

et je chasse le démon d'un revers de main. notre journée était faite pour lui changer les idées, et non pas pour lui rappeler l'enfer dans lequel elle était plonger depuis.
alors je suis content de l'emmener patiner, de montrer que j'étais pas qu'une guimauve devant son pc qui fait des maths et qui comptent les étoiles. je pouvais réussir à faire de belles choses, même sur la glace.
et ouais, les gars. je me suis mis au sport... pour plaire ? non. parce que ça permettait de passer les nerfs sur quelque chose, et ça faisait du bien au moral et au corps, que demande le peuple finalement.
je ris en reprenant finalement mon manteau pour lui signifier qu'on part maintenant, pas le temps de la laisser cogiter. je comprends qu'elle a du mal à se décider à sortir, et il était temps de profiter de ce léger entrain pour la tirer par la main. « je promets de ne pas te lâcher. » en parfait échos à une jane qui avait fait la même chose pour moi quand on patinait, je saurais prendre soin de june à mon tour. « moi ? j'ai patiné y a pas longtemps, et j'ai même fait du roller, madame. » et oui, j'ai peut être pas la gueule de l'emploi mais j'avais fait l'effort de m'y intéresser pour une amie.
je plisse les yeux, étonné par sa dernière demande. « rayonner ? » alors si effectivement j'avais parfois le cœur en vaine, j'étais surtout très fatigué. mais c'est vrai que ça allait mieux depuis quelques jours. du moins depuis la veille. « je t'en dirai plus quand tu auras mis ton manteau et qu'on sera dehors. allez, hop hop, on s'active. » que je dis en frappant doucement dans mes mains. « si t'es sage, on se mangera une gaufre après l'effort. » oui, j'avais clairement l'impression d'être un daron.
finalement, j'ai bien fait de lui reparler. on serait passé à côté de quelque chose.
manteau sur le dos, je la pousse dehors lui offrant mon bras. « tu connais de monaco ou rothschild ? » ouais à croire que j'attirais des titres prestigieux.


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Il s’est passé trop de choses d’un coup et l’accident du métro m’a vraiment mise mal à l’aise. Je ne sors plus beaucoup mais j’essaie tout de même de sortir en plus des cours et du travail mais il est hors de question que je reprenne le métro. Je ne peux pas, et il ne faudra pas me forcer pour le prendre sinon je sais que ce sera encore plus compliqué pour moi. Heureusement que j’ai le travail sinon ce serait beaucoup trop difficile de gérer tout ce qu’il s’est passé. J’essaie de relativiser, me disant que je suis en vie, que j’aurais pu mourir ou bien être encore dans un lit d’hôpital, et c’est ce qui me fait tenir. Je suis contente que tu viennes me voir, et que tu me sortes un petit peu parce que je n’aurais pas vraiment eu la force de faire quoique ce soit aujourd’hui. Ta présence me sera bénéfique et nous allons pouvoir vraiment apprendre à nous connaitre toi et moi. Je suis bien contente d’être tombée sur toi sur tinder, car ce n’est pas de l’amour qui est né mais bel et bien une amitié qui ne va cesser de grandir. J’en suis certaine. oui, j’imagine… le temps panse toujours les blessures que je te réponds avec un petit sourire ah ben si elle ronfle c’est donc bon signe j’étouffe un petit rire quand tu me dis ça, et je suis certaine que çà doit y aller les vannes entre elle et toi comment çà se passe avec ta soeur? C’est quoi votre relation ? je crois qu’on en a déjà un peu parlé toi et moi lors de notre rendez-vous, mais j’ai l’impression d’être à la ramasse depuis l’accident, alors ne m’en veux pas si je te demande des choses que je devrais déjà savoir. Cette journée va me faire oublier tous les évènements, çà va me vider la tête et je vais pouvoir me concentrer sur toi et toi seul. Parce que je compte bien profiter de cette journée pour pouvoir te poser des questions et pouvoir accentuer et solidifier notre amitié. Rien que de te voir ici, me fait vraiment plaisir et me touche. T’es quelqu’un de bien, et t’as un bon fond, je le sais. On file à la patinoire, j’en ai pas fais depuis des lustres, alors t’as intérêt à ne pas me lâcher sinon, je pourrais rapidement finir le cul par terre, je voudrais tout de même éviter d’attraper un rhume du fessier tu vois. t’as intérêt que je te lance, en te faisant un regard assez menaçant avant de rire. ah oui ? Et bien j’en apprends dis donc… et du roller carrément ? Tu sais que tu vas devoir m’en dire bien lus là tout de suite, parce que tu viens d’éveiller ma curiosité. tu le sais déjà, je suis de nature bien curieuse, mais là, j’ai vraiment envie de savoir ce que tu entends par roller. Genre Roller derbie, ou roller genre tu sais le soir tu tournes en rond, boule à facette et tout ? Ouais j’ai une imagination débordante je sais et une curiosité à toute épreuve ! Je vois que tu rayonnes, et je demande à en savoir plus. Oui, oui, j’ai l’oeil et tu vas pas me la faire à moi oui, rayonner et tu peux pas me dire le contraire je récupère mon manteau, le met rapidement sur mon dos et te suis oh tu sais me parler toi je suis tellement gourmande, que ce n’est pas passer dans l’oreille d’un sourd crois moi. Une fois dehors, je prends ton Bras et nous filons direction la patinoire hum… absolument pas, je connais rothschild de nom mais … je me tourne vers toi attends ! Tu te fais un Rothschild ? j’ai un petit sourire en coin.
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à croire qu'on était à jamais confronter à ce métro. qu'il allait souvent rester dans les conversations. j'en parlais peu, c'était plus simple pour tout le monde d'oublier le mal qui grondait en eux.
je ne pensais pas qu'un jour tout ce monde là brûlerait dans les cauchemars et l'océan ténébreux de la fumée qui emprisonnait leurs poumons. je me sentais si désolé, si triste de ne pas avoir pu être là pour les aider, les sauver de ce mal qui grondait si fort que même moi, de ma toute petite place, je le sentais pour eux. détestable et étranglé.
alors c'était ma seule option : ne plus en parler, leur changer les idées, les emmener dans un monde plus doux, plus simple où finalement le danger... n'existe que dans le traumatisme. « ouais, enfin, elle dort à l'étage et je l'entends quand même de ma chambre. » que je dis en riant alors qu'on s'apprête à partir.
je me rappelle de la conversation sur nos familles respectives, mais ça remonte à si loin que je me doute que certaines informations ont disparus dans le néant, en plus d'avoir l'esprit obnubilé par l'accident. je ne pouvais pas lui en vouloir d'avoir oublié la nature de ma relation avec ma sœur. « on se charrie beaucoup. on s'insulte même. je l'appelle la morue, et elle m'appelle le puant. » que je dis en lui ouvrant la porte pour nous emmener dans le centre de boston à pied. « mais on s'entend excessivement bien, si l'un ne va pas bien, l'autre non plus... et on sera toujours là, l'un pour l'autre. » je souris doucement, ça m'agaçait de l'admettre que la morue était tout ce qui comptait dans ma vie. plus que tout au monde. « ma mère est persuadé d'avoir fait des jumeaux mais qu'il y en a une qui a décidé de rester plus longtemps au chaud. » je ris doucement.
dans les rues de boston, je finis par répondre à ses interrogations concernant le roller. « pour en revenir au roller, c'est du roller en salle. une amie faisait du derbie et elle voulait m'apprendre à tenir sur mes deux pieds. » offrant mon bras à june en continuant dans marché dans la fraicheur de boston. « c'était compliqué au début, je passais mon temps à tomber, mais j'ai fini par trouver un centre de gravité et maintenant je m'y tiens. je t'apprendrai. » que je dis en la poussant légèrement avec mon épaule alors qu'on fend la foule qui devient danse à mesure qu'on s'approche de la patinoire en plein air.
puis vient sur le tapis les affaires avec mahé. oh, j'étais fier oui, mais je n'étais pas encore en couple... et j'étais surtout dans les doutes. « pas vraiment. » que je dis doucement, lui offrant un sourire assez triste.
ce moment de ma vie où j'étais plus que jamais indécis, perdu entre mon altruisme et mon égoïsme. « je sors actuellement avec maeve. maeve de monaco. » que je dis en haussant les sourcils. « mais je suis en réalité très amoureux d'un rothschild. néanmoins, il a pas très bonne réputation, il est complètement fou... et même si on a eu quelque chose... j'ai l'impression que c'est voué à l'échec. je suis plus intéressant qu'un autre, et encore moins stimulant que les courbes d'une femme. »

arrivés à la patinoire, nous prenons des chaussures à nos tailles et les enfilons avant de marcher en canard jusque la piste. « je passe en premier. » que je dis en me stabilisant sur la glace, tendant la main pour qu'elle me rejoigne, l'attirant dans mes bras pour l'aider à mieux se positionner. « une fois que t'as les deux pieds posés, t'as fait le plus dur. »


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J’essaie de pas parler de çà, j’essaie vraiment parce que çà me perturbe plus qu’il ne le faudrait, mais j’ai envie d’oublier tout çà parce que sinon çà n’en finira jamais. T’arrive au moment propice afin de me sortir un petit peu. Dis comme ça, c’est un peu étrange, mais je n’étais pas du tout prête à sortir aujourd’hui. Ne travaillant pas, j’avais pour but de rester bien tranquillement au chaud. quoi ? Tu l’entends de ta chambre malgré tout ? j’éclate de rire, et j’ai l’impression que çà fait une éternité que je n’ai pas ris comme ça. Çà fait du bien. Je n’arrive pas à m’arrêter, je vois que tu as une relation bien particulière avec ta soeur mais je vois aussi que vous tenez vraiment l’un à l’autre, c’est une belle relation en somme. je vois que c’est une sublime relation dis moi c’est une belle relation, vraiment et çà me fait penser à celle que je peux entretenir avec mes soeurs et mon frère. Sacha étant partie au Brésil, je ressens souvent le manque de la jeune femme, elle a laissé un très grand vide en repartant au pays, mais on arrive toujours à se joindre quand elle ne fait pas la java je ne sais où. Elle me manque, mais fort heureusement, j’ai encore Davi et Crys à mes côtés pour tenir quoiqu’il arrive. c’est beau… ça me rappelle ma relation avec Crys et Davi… enfin, on n’en est pas à s’insulter, non mais on s’aime tellement fort, on ferait toujours tout pour l’un ou pour l’autre, la famille s’est sacré et sans eux, je sais que je ne serai pas la jeune femme que je suis aujourd’hui. Si Crys va mal, je vais mal, si Davi n’est pas bien, je ne suis pas bien. C’est toujours comme çà entre nous, mais je suis tellement fière d’eux, tellement fière de voir que Davi est papa, et qu’il a une jolie petite famille. Nous marchons jusqu’à destination, il fait froid mais l’air est sec et pas venteux, le ciel est bleu, ce qui me donne envie d’avancer. Je prends ton bras et continue sur notre lancée alors que tu m’expliques ce que tu fais avec les rollers Ah ouais ? Mais t’en as d’autres des talents cachés ? Tu fais de bonnes études, t’es un passionné là dessus, tu fais du roller, dis m’en plus tu piques ma curiosité pour être honnête, et j’ai envie d’apprendre à te connaître réellement et çà m’évite de penser à des choses négatives. tu vas devoir me tenir et me mettre des genouillères quand tu m’apprendras parce que sinon je finirai toujours par terre, c’est une certitude j’ai toujours été maladroite, j’ai toujours eu deux pieds gauches, je pouvais me prendre les pieds sans rien faire de fou, mais çà a aussi son charme malgré tout. Tu commences alors à me parler de Rothschild et de De Monaco. Je t’avoue que je ne suis pas très calée sur toutes les familles royales, mais je connais tout de même de nom. Mais je te vois rapidement triste quand je te demande si tu t’es tapé un rothschild. Non, mauvaise pioche et j’ai envie de me frapper pour avoir fais une vraie petite boulette. June, tais toi pour une fois. ah shit… désolée, je suis… con parfois que je te lance alors que tu finis par me sortir que tu sors avec Maeve de Monaco. Les bras m’en tombent, je me suis vraiment trompée sur toute la ligne. Attends… et je vais peut-être me montrer naïve, mais je dois vraiment te parler, et te demander certaines choses tu sors avec une femme que tu n’aimes pas… tu es amoureux d’un homme mais parce qu’il n’a pas bonne réputation, tu.. ne veux pas d’une relation avec ? j’essaie de comprendre et de prendre le plus d’informations possibles même si je n’ai pas non plus envie de t’embêter mais au moins, çà me fait penser à autre chose et on parle de toi. Milo… pourquoi tu penses que c’est voué à l’échec? Tu as tenté quelque chose avec ? Et pourquoi tu serais moins bien qu’une femme ? N’importe quoi, là je dois vraiment te contre dire et limite j’aurais envie de te frapper j’ai l’impression que t’as perdu toute confiance en toi d’un coup. Une fois à la patinoire, je récupère mes chaussures et les enfile, en m’installant à côté de toi. J’ai déjà peur de tomber à la renverse. Et on n’est pas encore sur la glace ! Tu passes le premier et je récupère tes mains que tu me tends, je prends une grande respiration et commence à m’avancer vers toi me lâche pas, je te jure… me lâche pas stoplait une fois que je suis sur la glace, un type déboule à cent à l’heure et passe tout près de moi il veut ma mort lui ou quoi ?!
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ma relation avec ma sœur était un sujet qui tombait très régulièrement dans le cœur d'une conversation légère. ça faisait rire qu'on se tape dessus tout en se protégeant des maux du monde.
à croire que nous puissions être les seuls à se détester alors qu'on s'aimait de tout notre cœur. j'imaginais mal ma vie sans elle, et j'espérais qu'on resterait à jamais l'un près de l'autre. heureux, car à défaut d'avoir eu des parents, nous avons eu une relation fraternelle forte. qui remplace parfois le manque d'un parent. triste, n'est-ce pas ? et pourtant rien ne nous rendait vraiment triste. nos larmes avaient depuis longtemps séché, et nous pouvions avancer comme on l'entendait. rien que tous les deux avec quelques nouvelles de notre mère. rares de notre père. " on nous le dit souvent. " qu'on est unique mais que notre relation est enviée par beaucoup.
si demain j'avais un corps à cacher, elle serait la première à sauter à pieds joints pour l'enterrer et couvrir mes arrières.
c'était ce genre de confiance qu'on avait pas dans toutes les fratries. nous avions la chance d'avoir cette connexion spéciale.
et elle fait le parallélisme avec ses propres frangins, même si je ne connais pas tout le monde, crystal est une de mes amies les plus proches. « je connais bien crystal, tu ne dois pas t'ennuyer. » et je pense que c'était si peu de le dire.
et puis il faut dire que vu son tempérament de feu, ça doit y aller au niveau des disputes. june me semblait plus calme, ce qui m'allait parfaitement. même si je n'avais rien contre les personnes pleine d'énergie, j'étais en meilleure harmonie avec les gens calmes.
la rue est calme, l'air est frais et le soleil nous baigne d'une lumière apaisante. j'aimais bien ce temps, bien qu'il me tarde l'été. « des talents cachés ? » je souris en coin. « tu m'aurais vu y a deux mois, j'étais loin d'être doué, même là, hein ? t'attends à voir le saut de l'ange, je tiens juste sur mes jambes. » son bras sous le mien, je l'emmène jusqu'à destination où nous pourrions oublier les cauchemars qui continuent de l'étrangler, même éveillée.
le sujet épineux abordé et j'essaie de faire bonne figure. c'est vrai que cette situation était chaotique et je me demande encore comme j'ai fait pour glisser dedans sans pour autant réussir à en sortir.
je ferai forcément du mal à quelqu'un, mais qui ? « hm. » je secoue la tête pour la rassurer. « tu peux pas deviner. » un sourire alors que j'explique ma situation, et ça semble tant l'étonnée que je me demande si je suis net ou si ma réflexion était biaisée par la peur. j'attends comme elle le demande, se concentre alors que je regarde les gens marcher devant nous, fixant un point dans le dos de la dame. puis sors de ma torpeur en plissant doucement les yeux. « pas exactement. » c'était si compliqué que je me demande même comment être clair.
à nouveau je secoue la tête, cette fois amusé. « n'importe quoi, me tape pas je suis fragile. » je prends une inspiration et essaie de me faire clair. « il est du genre volage, qui couche avec plein de monde. c'est pas mon genre mais on a déjà couché ensemble. » et pour une fois, je ne me sens pas honteux, mais surement parce que j'avais quelque chose pour lui. « mais c'était pas sérieux, on se téléphonait quand même et on se draguait vite fait, mais y avait une fille qu'il aimait bien aussi. j'avais zéro chance, et puis on était loin l'un de l'autre... donc j'ai voulu l'oublier. et maeve avait besoin d'un coup de main, donc je jouais le rôle du gendre idéal mais... y a eu l'acc-. » je la regarde. « enfin tu sais, et il était dans le coma. quand il s'est réveillé... il a cru qu'on était en couple parce qu'il avait les souvenirs emmêlés et il a foutu le bordel dans ma vie. et maintenant ? » je hausse les épaules. « je pense qu'il sait pas ce qu'il dit. c'est le choc, quand il reprendra ses esprits, il m'oubliera aussi vite qu'il s'est souvenu de moi. » et c'est pas grave, le silence et la douleur ça va bien ensemble.

arrivés et désormais sur la glace, je lui tends la main pour qu'elle me rejoigne. ses mains glissent dans les miennes et je la tire doucement vers moi pour qu'elle glisse en douceur sur la glace. « bien. » mais pas le temps de l'entrainer à l'écart du monde, un connard la frôle et je la tire vers moi pour qu'il ne l'effleure seulement. « t'as des cons qui se prennent pour des patineuses de haut niveau. » foudroyant du regard l'importun qui se retourne et je fronce les sourcils. « quoi ? » que j'aboie, mais à part lever les yeux au ciel, il s'échappe et continue son tour en nous évitant au prochain tour. « bien, comme je disais, on va y aller doucement. entrelaçant nos doigts, je donne un premier coup. « comme si tu glissais sur le parquet, tu sais, comme on est gosse. les chaussettes sur le parquet et que tu glisses. c'est tout pareil. »
on allait y aller doucement de toute façon, on était pressé. « je te rattrape si tu tombes. » ce qui voulait littéralement dire que je tomberais en même temps mais j'atténuerais la chute malgré tout.


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Je chérie la relation que j’entretiens avec ma famille. Ils sont toute ma vie, tout ce que j’ai, et malheure à celui ou celle qui leur fera du mal. j’ai déjà bien donné quand mes parents biologiques se sont ramenés et ont très mal parlé de mes papas. S’ils n’étaient pas venus me récuépérer, je ne serai peut-être plus là aujourd’hui, et je me retrouverai dans un bidonville du Brésil. On ne sait jamais ce qui aurait pu se passer et je les aime plus que tout depuis qu’ils m’ont récupérés de l’orphelinat et qu’ils m’ont ramenés avec eux. Ils m’ont aussi donnés un frère et deux sœurs, et je suis tellement fière d’eux, de ce qu’ils sont devenues que çà en est complètement fou par moment. Mais je les aime et je ferai n’importe quoi pour eux. Ouais, même déplacer des montagnes. C’est bien pour ça que je ne suis pas très bien depuis l’accident du métro, j’ai vu ma sœur, ma petite sœur se prendre un coup assez violent et j’ai vraiment eu peur pour elle malgré que j’étais tout bonnement en train de me faire piétiner de tous les côtés par les personnes qui étaient encore valides et qui préféraient fuir plutôt que tenter d’aider d’autres personnes. Oui, je pense aussi que je l’ai très mal vécu et que je suis aussi un peu en colère. Cependant, je ne peux pas en vouloir aux personnes qui sont partis et qui étaient complètement apeurés. Ta relation avec ta sœur me fait sourire, mais en même temps, je ne la voyais pas autrement pour être honnête. Parce que tu dégages tellement une belle énergie que tout le monde doit vraiment bien t’apprécier. Je regrette vraiment de ne pas avoir reçu ton sms le jour ou tu me dis l’avoir envoyé car je t’aurais répondu tout de suite et cette amitié aurait commencé bien avant. Les gens qui t’entourent, je l’espère, se sentent chanceux de t’avori dans leur vie. On sent qu’une belle aura se dégage de toi. Ah non, on ne s’ennuie jamais avec elle. C’est ma petite sœur, mon petit chat, et elle est toujours présente pour s’amuser. Elle a eu des moments difficiles aussi, et je préfère largement la voir faire la folle ou sourire comme une folle que de la voir mal et la voir pleurer. quand son ex est décédé, j’ai bien cru qu’elle n’allait vraiment pas s’en remettre et çà m’a fait tellement de peine, mais je suis contente qu’elle aille mieux aujourd’hui, malgré l’accident. Mais tu ne connais pas la pire de toute, celle qui ne peut que te donner le sourire H24, la plus folle de la famille… elle est repartie au Brésil malheureusement mais si elle revient un petit peu, je n’hésiterai pas à te la présenter nous sommes tellement tous différents dans la famille, c’est fou mais c’est ce qui donne cette richesse que nous possédons. Alors tu assimiles vite les choses dans ce cas. Mais je suis certaine que tu me caches des choses, tu dois bien avoir des talents cachés, tu n’as pas que tes études quand même que je te lance avant de reprendre et d’ailleurs en parlant de ça, j’aimerais bien en voir un peu plus sur le travail que tu fais pour tes études oui çà m’intéresse beaucoup, je dois bien l’avouer et puis çà pourrait aussi me changer les idées. On passe d’un sujet à un autre, mais c’est çà que j’apprécie tu vois, toute cette spontanéité qu’il peut y avoir et tous les sujets que nous pouvons aborder. D’accord… bon c’est une situation assez délicate tout de même mais il faudrait peut-être penser à toi avant toute chose non ? je dis çà mais je suis folle d’un type qui ne le sait pas forcément alors bon. Je ne suis pas très douée pour conseiller ou parler d’amour, après ma relation avec Julian, je n’ai pas voulu m’engager à nouveau et j’ai couché avec Eljin seulement. c’est pour dire depuis combien de temps je n’ai rien fais… tristesse. toi t’es fragile ? que je te demande avec un large sourire bon, pour cette fois, je te frapperai pas, mais attention à ton cul que j’ajoute avec un petit sourire en coin. Tu m’expliques alors un peu la situation, et je vois bien que tu te sens un peu comme dans une impasse et que t’as le cul entre deux chaises. Ok… je vois…. Bon, t’as couché avec et tu regrettes ? Non je pense pas je réponds avant toi oui désolée c’était pas sérieux ? j’ai l’impression que c’est plus sérieux que tu n’essaies de le croire non ? Et tu penses qu’il es toujours volage c’est ca ? c’est çà qui t’empêcherais de le voir comme potentiel copain ? pardonne moi toutes les questions, mais j’ai vraiment envie de t’aider même si je ne sais pas si je pourrais vraiment le faire. mais attends avec Maeve, tu sors avec pour de vrai ou bien seulement pour l’aider ? Parce que ce n’est pas pareil, si tu l’aides juste, c’est que t’as pas envie d’être avec elle, désolée je sais pas pourquoi je m’excuse à chaque fois pourquoi tu lui fais pas confiance ? Pourquoi tu penses tout de suite que ce qu’il dit c’est que du au choc et rien d’autre ? Tu sais je vais te dire une chose, parce que je t’apprécie et que tu sembles vraiment être mal… ne fais pas la même connerie que moi. n’attends pas, fonce si tu sens que t’as envie d’être avec lui, ouvre toi, fais confiance, ou tente de faire confiance. Et Parle lui, parlez tous les deux, c’est la clé d’une belle relation, en plus du sexe bien évidemment bon dieu, si je n’avais pas couché avec Eljin, je serai vraiment dans le mal depuis bien longtemps. tu dis des bêtises, t’es inoubliable mon cher je te fais un clin d’oeil et nous voilà finalement sur la glace quelque minutes plus tard. l’angoisse, j’ai peur mais je me lance malgré tout. Il fallait bien qu’on tombe sur un abruti pensant qu’il était Gwendal Peizerat. merci.. te lance-je alors que tes doigts sont entremêlés au miens et que tu m’as rapproché le plus possible de toi pour ne pas que l’autre abruti ne me tombe dessus. Je te suis avec une petite appréhension mais mes pieds suivent les tiens et je glisse comme tu me dis de le faire. comme ça ? et tu sais ce que j’ai en tête ? La fameuse scène de Tom cruise quand il débarque dans le salon en glissant sur le parquet avec ses chaussettes et vêtu d’une chemise. Je continue, doucement mais surement et je sens que je commence à perdre l’équilibre. Je te lâche d’une main, pour tenter de récupérer mon équilibre mais récupère celle-ci rapidement. Mais je ne sais pas pourquoi mes deux pieds se touchent et font n’importe quoi. Voilà que je pars en arrière et coucou les fesses sur la glace !
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