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à la plus belle de mes copines. | ft. cleolya a. strauss

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à la plus belle de mes copines.
Cleolya x Milo


éclair de génie ou non, j'avais besoin de lancer le sujet. de prévenir mes proches qu'une certaine maeve nichait dans ma vie, à l'instar de celui que je semblais aimer plus de raison. bête idée que d'avoir proposé à la princesse de se lier à moi, d'un prestige bien plus moindre que le sien mais conséquent quand on fait fi de la fortune des novak. petite fortune face à d'autres, mais pourtant aisé dans le monde criard des affaires économiques.
l'importation apportait mais l'exportait rapportait. j'étais perdu en réalité, perdu entre deux eaux. celle d'avoir donné mon cœur bêtement à un mec qui me voyait que comme un plan parmi d'autre et qui se réveille miraculeusement en se pensant en couple avec moi, et celle d'avoir donné ma parole de la sortir de son enfer et de lui octroyer du temps. « plus ou moins. » que je finis par dire.
ce n'était pas politique, car sinon je n'aurai jamais été accepté, même pas suggérer. « économique, plutôt. »
et pas du tout sincère. mais le mensonge devait brûler mes lèvres, car j'avais promis, promis de ne rien dire sur la réalité des choses. promis de cacher que tout n'était que factice, au point de faire croire à de l'amour.
pourtant, les plus proches amis... ils savaient qui hantait mes nuits, qui me hurlait dans la tête. « je. » non, j'ai pas le droit. « c'est une fille bien, une amie d'enfance. » un sourire, et j'ai beau regardé mahé, c'est surtout l'illusion qui vient voiler mon regard. à se poser plusieurs fois la question de : " et si. "
et si c'était mahé ? et si c'était vrai ? et si et si.
mais on referait le monde si on usait du si. alors, je reste cantonné à ma position. pourtant sa réflexion me prend légèrement de court. écouter le cœur plutôt que la raison ? même dans nos mondes à nous ?
plus altruiste qu'on ne le croyait, j'avais un mal fou à imaginer revenir sur ma promesse de la protéger de ce monde véreux qui voudrait faire d'elle un pantin de presse.
et pourtant, elle a raison cleolya... je le sais. le bonheur ne se commande pas, le bonheur ne s'achète pas... et puis. si ce n'est pas moi, ce sera un autre.
je n'avais les pieds et les poings liés, je pouvais m'en libérer. c'est moi qui avais peur. peur de faire un mauvais choix, peur de sauter dans le vide.
et rajouter à ça, l'inquiétude de sa grosseur, de ce combat que mon amie devait mener pendant que moi, je cherche à conter fleurette. non. c'était terriblement pas le moment de penser à ce genre d'évènement.
les choses se feront ou se déferont seules. j'espère, sans que j'ai à y porter un choix entre deux âmes. l'une mon amie, l'autre... mon amant, incertitude quant au futur.
« je sais plus vraiment quoi faire... » en réalité.
mais la pudeur est un masque difficile à retirer, et je préfère dévier le sujet, amusé par cet infirmier qui, en plus, ne manquerait pas d'arriver sous peu. canon ou non, je voulais voir sa tête quand il verrait la belle pfor dans mes bras.
et la question qui me taraude depuis un moment, des nouvelles d'hadès et je sens mon sang se glacer. « il serait mortifié de l'apprendre sur le tard, non ? » il s'inquiéterait davantage, culpabiliserait sans doute de ne pas avoir été là. moi, c'est comme ça que je le ressentirai.
qu'on ne me fait pas suffisamment confiance pour me tenir au fait de la santé de celle que je suis censée... aimer ? « peur ? » que je demande en haussant un sourcil. « quel risque court-il quand c'est ta santé qui joue ? » il n'était pas malade lui, il ne pouvait pas nous filer entre les doigts.
cette douceur dans l'âme, de s'enquérir des autres avant de penser à elle... c'était risible et pourtant ça attendrissait mon cœur déjà bien trop mal mené.


(c) AMIANTE



@Cléolya A. Strauss
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Quiconque côtoyait de l’argent à foison, côtoyait les rouages que ceux-ci impliquaient. Et visiblement à entendre tes mots, c’était la relation que tu entretenais avec l’une des princesses de Monaco, Maeve. Entendu et respecter dans le milieu, c’était un bon choix stratégique, pensant cela politique, tu m’annonçais que c’était plutôt économique. Les deux n’étaient pas liés selon toi ? Pour moi l’argent allait de pair avec le pouvoir et si les gouvernements pensaient, ils exécutaient simplement les ordres des plus grands, grâce aux dessous-de-table, importants. Et j’avais parfois honte de faire partie des gens malhonnête, des futures têtes, mais je savais aussi que je ne pourrais pas passer à côté. La France, et mon pays d’origine, l’Angleterre allait me rapporter beaucoup, mais c’était pourtant ici à boston que je voulais faire perdurer notre nom, avec l’espoir que les générations suivantes feraient de même et s’implanteraient dans les plus grands pays de ce monde. « Oui, c’est compliqué quoi… » En fait je comprenais bien que tu n’avais pas d’autre choix que de suivre cette voie que tu avais emprunté avec elle, mais je ne cherchais pas à en savoir beaucoup plus. Parce que je respectais ton jardin secret et que je ne voulais pas être plus intrusive, alors que tu te confiais à moi concernant ta relation avec Mahé. « Si c’est une fille bien, je suis contente pour toi. » Mais comme tu le disais, c’était une amie, pas plus et j’avais peur qu’à terme tu souffres plus de cette situation, comme enfermé dans une prison doré ou Mahé ne trouverait jamais sa place à tes côtés, s’il le désirait un jour. L’amour ne gagnait pas toujours, j’en étais la preuve vivante. Hadès et moi s’était l’amour impossible, et l’espoir était mort, le jour du post instagram d’Aymalyne pour se venger d’Abélard. Et ton murmure, je le prenais comme un sos, celui de t’aider en étant présente, qu’importe tes choix. Et j’avais envie de te dire de foncer, de tout expliquer à cette fille, parce que j’étais certaine qu’elle comprendrait, mais vous n’étiez pas seul dans l’équation, sinon tout serait trop facile. Peut-être fallait-il contourner les règles, parce qu’elles étaient créées pour être brisées selon moi, pour évoluer vers quelque chose de meilleur, mais trop de personne préférait continuer, dans l’espoir de voir un jour une lueur d’espoir. « A défaut de savoir quoi faire, profites quand tu es avec lui en te laissant aller… » Et ensuite peut-être que tu saurais s’il valait de prendre un risque aussi important que de lâcher aux yeux du monde ton union avec Maeve. Et si j’avais abordé cet infirmier, c’était bien pour te laisser une porte de sortie, connaissant ta pudeur qui était semblable à la mienne. Les sentiments s’étaient déjà suffisamment compliqué à gérer, pour ne pas avoir à en parler sans cesse auprès des gens que certes nous aimions, mais qui ne comprenaient pas toujours l’importance et la complexité de ses derniers. J’avais pour ma part fait souffrir trop d’hommes, à cause de celui que j’avais dans la peau, mais qui aujourd’hui était aux abonnés absents. « Il doit être au courant… » Que je soufflais secouant doucement la tête. « Miles à du prévenir Alceste, son bras droit. Ils sont devenus amis à force de nous couvrir. » Et ils étaient tellement importants pour nous. « Hadès est quelqu’un de complexe. » Et je ne savais pas quel mot employé pour t’expliquer la situation, mais en effet, j’avais plus peur pour lui, que pour moi. Il avait dû subir trop de départs, comme le kidnapping de son plus jeune frère, jamais retrouvé, pour rester indemne face à mes problèmes de santé. « Avant tout ça, avant l’avc, un de ses meilleurs amis est tombé dans le coma, il m’en a fait part et ne comprenait pas pourquoi il ne lui en avait pas parlé… Et c’est comme ça qu’il a su en premier pour la grosseur. » Bien avant tout le monde, juste après mes premiers tests. « Il a débarqué un matin, complètement paniqué, faisant de grand discours sur toutes les possibilités que cette grosseur pouvait être, faisant des grand gestes et… Dans ses yeux, il me voyait déjà mourante. » Et si j’avais tout fait pour le rassurer, il avait fui, comme il le faisait toujours lorsqu’il n’avait pas la situation sous contrôle. « Il ne supporte pas l’idée que je puisse d’une manière ou d’une autre, ne plus faire partie de sa vie et je n’ai pas besoin qu’il me le dise pour le savoir. » Il me l’avait fait comprendre, me l’avait fait ressentir lorsque ses bras s’étaient enroulé autour de ma silhouette, son palpitant se régulant à la même fréquence que le mien.


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Cleolya x Milo


c'était ça le plus dur. faire semblant, objecter, se contredire... ne pas trouver la force de faire un choix, même simple.
la raison, le cœur... les obligations. ce n'était même pas un mariage arrangé, je pouvais me sortir de tout ça en claquant des doigts, mais c'était surtout une question de loyauté. de tout donner pour oublier mon mal être.
et c'est là, seulement là, que je me rends compte que j'utilise maeve comme d'un pansement, comme d'une œillère. pour cacher le mal ancré, le trou dans lequel l'amour se cachait, osant peu se dévoiler, de peur de tout faire exploser. mon âme, mon esprit... plus rien ne se retrouve sain. parce que j'avais cette foutue appréhension de ne pas être accepté, qu'on allait me laisser souffrir si je laissais les portes ouvertes... en soi, est-ce que ce n'était pas légitime de ma part d'avoir peur ? de cet homme qui semble ressentir pour moi des choses que j'aurais aimé qu'il ressente bien avant.
j'étais coincé maintenant... entre ses menaces, ses demandes incessantes et ma promesse faite à maeve de l'empêcher de se marier avec le premier inconnu que sa famille aurait estimé pour elle.
mais au fond de moi, j'espérais que je finisse par sortir de ça, que je devienne grand, que j'arrête de fuir, d'être lâche... d'avoir la force de dire merde.
de conquérir le monde et notamment, le cœur du seul homme qui me faisait complètement vrillé, chaviré. pour qui j'avais autant de haine que d'amour... parce qu'il me faisait souffrir, mine de rien.
et les conseils de cleo tombe à pique, profiter. ouais. mais à quel détriment... pour combien de douleurs, je vais devoir profiter ? personne n'accepterait de sortir avec un mec en couple avec une fille qui passe dans la presse people.
elle était patiente, cleo... beaucoup trop douce.
si douce que lorsqu'on parle de hadès, elle se livre sans soucis, la voix légèrement changée d'une mélancolie nouvelle, d'une douceur qui n'existe que pour lui. et j'écoute attentivement, sans oser la couper. de ces confidences qui m'étonnent, à ces moments où elle le préserve lui plutôt que son cœur.
c'est là que je me rends compte, à nouveau, combien l'amour est complexe. et douloureux. parce qu'en soi, j'ai envie de dire à cleo que ce n'est pas à lui qu'elle devrait penser quand c'est elle qui dort dans les draps d'un hôpital mais je ne peux mesurer le niveau d'inquiétude de le savoir perdu, inquiet, triste.
au fond, ne serait-ce pas ce que ferait n'importe quel amant ? préserver. protéger.
mais la suite ne me plait pas du tout, à imaginer qu'un homme amoureux puisse penser la femme aimée morte. « quel con. » que je ne peux m'empêcher de commenter. vraiment gêné par cette révélation... « j'en reviens pas. » pose la main juste au dessus de son sein. « tu es bel et bien en vie. » car il bat le cœur et il va se battre surtout. « tu es trop conciliante avec lui... mais je suppose que c'est ça, l'amour. » regarde la porte où l'infirmier peut débarquer. « accepter les défauts de l'autre et les aimer autant que les qualités. » est-ce que c'est ce que je ressens pour mahé ? un peu. « dis moi que tu lui as prouvé que tu étais la meilleure battante du monde, qu'il ait pu se retrouver con me ferait du bien. » pour éviter d'avoir à le détester, l'apprécier pour toi.
la porte de la chambre qui finit par s'ouvrir, le rictus qui se dessine. « oh, dis moi que c'est lui. » l'infirmier bizarre.


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Un dilemme, quel qu’il soit n’était jamais évident à aborder. Pourtant, la vie ne nous faisait pas de cadeaux, elle se jouait de nous, riant sûrement de nos faits et gestes avec un air supérieur. On pensait avoir le choix sincèrement, mais plus le temps passait, plus je pensais que nous étions tous des pantins articulés. Que ce soit le cas ou non, la situation restait délicate pour toi et je me sentais impuissante, en entendant tes mots. Bien sûr que c’était compliqué, quand est-ce que ça ne l’était pas de toute façon ? Mais on s’efforçait d’avancer, s’accrochant au bras des multitudes de personnes qui entraient dans nos vies et à qui on accordait notre confiance. Et toi, je n’avais pas l’intention de te lâcher, non pas uniquement parce que tu répondais présent dès lors que j’avais besoin de toi, mais surtout parce que même sans ça, t’avais su capter mon attention, t’avais su te faire une place. Aujourd’hui au détour de toutes les personnes touchées par cet accident, tu prenais le temps de venir jusqu’à moi, m’occupant l’esprit, par le récit de tes aventures à Hawaï, en évoquant les tourments actuels de nos vies. Et je te savais réservé, pudique, mais petit à petit, tu te confiais, sur Maeve, sur Mahé et j’avais l’espoir que l’amour véritable gagne. Tu méritais d’être heureux et de partager ta vie avec celui qui faisait battre ton cœur, alors mon discours t’encourageais dans ce sens. De mon côté, je n’avais pas cette chance, comme je pouvais te l’expliquer en te parlant de la réaction d’Hadès face à ma grosseur. Il était complexe, mais avait su, il y a plus de deux ans à capter mon attention. Il avait su, sous ses airs froid, hautain et prétentieux à conquérir mon cœur, à se battre pour lui, pour moi. Bien sûr que je comprenais ta réaction quand tu l’insultais de con, mais sans avoir tous les tenants et les aboutissants, c’était compliqué d’être objectif. Tu me protégeais en disant ça, parce que t’étais bienveillant avec moi et tu jugeais sa personne sur ce que tu savais. Il brillait par son absence à tes yeux, mais il avait bien plus pour moi, dans l’ombre, à l’abri des regards pour moi que n’importe qui sur cette terre. « Je sais… » Que je soufflais simplement, préférant taire ses faiblesses, pour ne pas troubler l’image qu’il donnait de lui. Ta main glissait doucement au-dessus de ma poitrine, pour sentir les battements de mon cœur. « C’est sa façon d’aimer et je l’accepte comme il est avec ses nombreuses qualités cachées et ses nombreux défauts apparents. » Que je soufflais dans un petit rire, à la suite de tes mots. La réalité, c’est qu’il me manquait, atrocement et si je comprenais les raisons de son absence, cette fois, j’avais du mal à l’accepter. L’amour rendait faible, mais dans ce cas, il me rendait vivante et seul Hades arrivait à me pousser dans mes extrêmes. La joie, la tendresse autant que les disputes et la haine rythmaient notre quotidien. « Je crois qu’il le sait déjà, et je vais lui prouver en sortant indemne de tout ça. » Et dans un souffle, j’ajoutais : « Mais quand il reviendra, ce n’est pas l’amour qu’il trouvera à ma porte, mais la haine. » Et une pause nous permettrait de nous retrouver entre deux débats, entre deux critiques. Tant qu’il y avait de la haine, l’amour existait toujours, telle était notre devise. Un bruit, puis la porte qui s’entrouvrait pour laisser place à un visage qui m’était familier et qui comme tu l’avais bien compris, était l’infirmier. « Oui… » Collant un peu plus ma tête dans ton cou, on était crédible dans cette position de toute façon, non ?


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Cleolya x Milo



les amours, les passions... elles étaient toutes différentes. et pour chacun qui voyaient midi à sa porte, c'était difficile de concevoir y trouver autre chose à la porte du voisin. j'avais une image de l'amour, de l'acceptation et du couple assez puriste. d'un côté je refusais d'haïr, mais je refusais aussi d'aimer. c'était paradoxal.
mais le sentiment qu'elle semble décrire ne me rassure pas, c'est tout à fait le genre de sentiments et d'émotions que je cherche à garder loin de mon cœur. parce que je refusais de détester mahé autant que j'essayais de repousser l'inévitable amour qui venait me consumer... autant je refusais d'aimer maeve mais j'essayais de ne pas la détester de m'éloigner de mahé. c'était compliqué, car aucun des deux ne méritait que je sois si rancunier.
alors comment tu faisais toi, cléo, pour réussir à laisser ton cœur parler sans laisser ton esprit le guider ? comment tu faisais pour l'aimer autant que tu semblais le détester ? quelle était cette étrange passion qui t'étrangle doucement et t'empoigne le cœur avec force ?
car de ta voix, je ne perçois pas le mal, seulement beaucoup de douceur. comme si tu comprenais ses pensées, ses gestes, ses mots... comme si toi seule était capable de lire en lui comme dans un livre ouvert. mieux que personne.
c'était pourtant dans la lumière de l'amour que se dessinaient les ombres les plus sinistres.
acceptation des vices et des qualités, tu étais bien plus forte que le commun des mortels, douce princesse.
et à tes pieds devraient se voir prosterné celui qui souhaite un jour devenir le tien, savoir qu'il aura dans sa vie la plus merveilleuse créature, capable de bienveillance et de flegme.
et s'il devait trouver à sa porte de la haine, alors je la laisserai se consumer par ses démons, laissée emporter par les ombres pour qu'au bout du compte la lumière viennent terrasser les méandres de tes craintes, pour qu'enfin tu trouves le bonheur au creux des mains.  

et la porte s'ouvre sur l'infirmer, chamboule mes pensées, fait naître un sourire malicieux sur les lèvres. est-ce le fameux qui n'ose pas vraiment aborder la belle et qui pense l'avoir à coup de fessiers dévoilés ?
il a bien du mal à se rendre compte des efforts qu'il faille faire pour oser prétendre, ne serait-ce, que courtiser la belle strauss.
et il entre, sentant cleo se rapprocher un peu plus, du mieux qu'elle peut. « c'est parfait. » que je chuchote doucement alors qu'il a encore la tête dans ses papiers. entre, salue la belle sans pour autant la regarder avant d'arriver à son pied de lit et de lever enfin la tête de ses papiers.
le regard qui se pose d'abord sur moi, puis sur elle. la surprise qui semble prendre tout son ensemble avant de porter le masque de l'indifférence ou du bien pensant. je ne saurais pas vraiment le dire.
basculant de mon côté pour tirer un fil, m'invitant à me redresser. comprenant le message, un léger rire. « vous inquiétez pas, je vais quitter le lit. » replaçant doucement cleolya à sa place. levant les yeux au ciel, écoutant le sermon un peu décalé de l'infirmier sur la dangerosité d'être dans le lit et de la déplacer. « je repasserai te voir bientôt. » que je dis sans écouter l'infirmier. un baiser sur son front, et le silence.
jouons un peu alors, sentant le regard de l'infirmier sur nous, les doigts qui viennent sous le menton de cleolya, l'aide à relever la tête, happe un bref instant ses lèvres, me pince les lèvres pour ne pas rire. « allez j'y vais mon amour, à demain ! » une tape sur l'épaule de l'infirmier, heureux de ma prestation. « prenez soin de ma femme. » clin d’œil à l'intéressé.
et c'est jusqu'à la maison que je m'envole pour de bon, des questions plein la tête. est-ce que je dois donc écouter mon cœur ? celui-là même qui me tire inévitablement vers mahé ?

FIN DU RP

(c) AMIANTE



@Cléolya A. Strauss
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