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blood calls to blood ★ ─
w/ @Lyra Bain
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w/ @Devon Bulger
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w/ @Lyra Bain
La lame scindait ma peau en deux, m’arrachant un cri de douleur, très vite éclipsé par des gémissements de plaisir. Ce moment passé à tes côtés était de loin une partie de jambes en l’air mémorable. Ta candeur n’avait de cesse de m’étonner. Toi toute entière en fait. Une première fois comme celle-ci, jamais une fille normale n’aurait pu accepter, jamais une fille normale aurait pu apprécier. Mais toi, t’étais pas comme toutes les autres. Tu te donnais corps et âme dans cet échange et je me démenais pour te rendre la pareille. Et le point culminant, il était atteint pour ma part, les trois derniers coups de rein étaient fatidiques et malgré moi, j’essayais de t’emmener avec moi. C’était inédit comme sensation, comme envie qui me tiraille. Mais je voulais que tu prennes ton pied comme j’avais pu prendre le mien. C’était étrange ce qui me prenait aux tripes quand mon regard se perdait dans le tien. Mais c’était de courte durée, puisque je décidais de m’allonger à côté de toi, stoppant ainsi tout contact entre nous. Je n’avais pas fait gaffe à l’état de nos corps, de ton lit, préférant fermer les yeux pour me remémorer ton visage, imprimé dans mon esprit, quand l’orgasme t’avait foudroyé. Un sourire se dessinait alors tout seul sur mes lèvres à cette simple image. Après tout, j’étais doué, je le sais. Et malgré toi, tu l’étais aussi. Réceptive plus que jamais à mes désirs les plus profonds, je savais que j’allais être capable de tout faire avec toi. Quelles limites pouvais-tu avoir quand tu avais accepté le monstre que je suis pour ta première fois, avec toutes les parts d’ombre qui allaient avec ? Je rouvrais les yeux quand je te voyais bouger, te redresser. Ma main glissait le long du bas de ton dos, geste inoffensif à la base, mais qui semblait être un peu trop tendre pour un être comme moi. Alors je mettais ma main sous ma tête, avant de regarder le plafond. Ça m’aidait à me calmer, calmer ce rythme effréné que mon cœur avait pu prendre pour atteindre la jouissance. Puis tes doigts se retrouvaient sur mon corps, provoquant un nouveau pic de désir pour toi. Dès que tu me touches, l’effet est instantané. Qu’as-tu fait Lyra ? Qu’as-tu fait de moi ? Alors que tu t’en allais, je finissais par me redresser, m’asseyant sur le bord du lit, profitant de ma nudité pour me refroidir un peu, la chaleur me montant peut-être un peu trop à la tête. Et je ne pouvais pas m’empêcher de regarder la scène du crime, le sang un peu partout, et je pouvais savoir quelle était la source de chaque goutte, chaque marque. Mes doigts glissaient sur le reste de ton innocence, un sourire sur les lèvres. J’y avais été fort, mais je n’avais aucun regret. Et à la façon dont tu te comportais, j’avais bien l’impression que c’était pareil de ton côté. J’étais distrait par ta voix, tournant la tête vers toi, adorant bien trop la vue qui m’était proposé. « Ouais. Et du whisky. » Si tu n’en as pas, j’irai t’acheter un stock pour les prochaines fois. Parce que n’imagine pas que ça se reproduira pas. Il était évident que ça allait arriver, plus d’une fois. Et tu seras bien vite au courant de mes petites habitudes. Tendant la main, j’attrapais le joint que je glissais entre mes lèvres, le regard rivé sur toi. Je tendais mon autre main pour t’attraper et t’attirer vers moi, entre mes jambes. Recrachant la fumée, le regard rivé sur toi en tout temps, mes lèvres se plaquaient contre ta peau, entre tes seins.
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blood calls to blood ★ ─
w/ @Devon Bulger
C’est un étrange spectacle qu’on offre au monde mais peu importe, nous en sommes les seuls spectateurs. Et c’est à toi que j’offre mes drames. Toi qui étais encore un inconnu jusqu’alors. Ce n’est pas comme si il y avait à chercher une certaine forme de logique dans nos actes. Avec toi, j’ose me révéler, j’ose exulter celle que je suis, ma part sombre est exposée. Il n’y a qu’à regarder. Observe ma silhouette menue mais forte, observe les empreintes de tes pulpes sanguines sur ma porcelaine, observe comme mes cheveux se sont agrémentés de tes tourmentes, comme mes prunelles ne cessent de te défier derrière la fumée de poison qui se répand entre nous. Peut-être qu’on est un poison l’un pour l’autre Devon. Peut-être qu’on est la clé, la liberté ultime. Peut importe. C’est nous. Et quelque chose me dit qu’on a pas fini de se conjuguer à deux. Je viens embraser le joint à mes lèvres, laissant mes paroles se frayer un chemin à travers ma bouche. Un léger sourire qui vient rajeunir mon affront lorsque tu veux accompagner l’herbe de whisky. Mais tu ne me laisses pas le temps de te chercher ce qu’il te faut. Ta main m’attire jusqu’à toi pour mieux venir le joint entre mes doigts. Je me laisse faire docile, déjà apaisée par ces quelques effluves, mes douleurs lancinent un peu moins. Quant à mon cœur c’est tout autre chose. Mes prunelles s’abaissent lorsque les tiennes se relèvent et peut-être que tu sens le traître tressaillir davantage sous l’assaut de tes lèvres. Mes phalanges viennent se poser dans ta chevelure et je tire légèrement en arrière alors que mes jambes viennent se faufiler autour de ta taille et que mes lèvres viennent cueillir les tiennes. Mes mains se posent sur tes épaules puis ton dos. C’est plus de douceur dans nos gestes mais toujours un peu de cette violence qui dort. Elle n’est jamais loin et on le sait. Toujours à proximité de toi, je viens murmurer « Fais-moi une soufflette. » Autant économiser, autant avoir encore davantage de toi. Après j’irai te chercher ton whisky, sans doute le seul alcool que je possède ici mais on ne peut pas renier ses origines écossaises.
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w/ @Lyra Bain
Une plénitude inattendue. Voilà jusqu’où tu m’avais emmené. Tu avais les clés en main pour me combler bien plus que de nombreuses femmes réunies. Tu avais su toucher en moi le point culminant, sûrement en m’agressant comme je l’avais demandé. Cette première fois a sûrement été différente de tout ce que tu avais pu imaginer, mais j’ose espérer que tu n’en regrettes aucun moment. Bizarrement, contrairement à tout ce que j’avais pu te dire, je m’étais presque concentré sur ton propre plaisir. C’était sûrement la seule et unique fois que ça arriverait. Espérons-le. Disons que tu avais un espèce de pouvoir sur moi que j’étais incapable de contrôler, de contrer. Il fallait que je me recentre sur moi-même, que je t’empêche d’avoir la moindre emprise sur moi. Mais quand je te vois te lever, dans ton plus simple appareil, je ne peux me résigner à aller contre ma nature. Tu étais la femelle que je voulais. Tu étais celle que je désirais le plus. Tu étais celle que je voulais retrouver une nouvelle fois dans ce lit. Calmant mes pulsions animales, je finis par aller à l’encontre de mon ordre, t’attirant vers moi après avoir attrapé le joint. Fumée inhalée, je finissais par poser les lèvres sur ta peau, entre tes seins, bien que recouverte de mon sang. Je m’en fichais pas mal, ça te donnait possiblement meilleur goût. Tu finissais par t’installer au dessus de moi, tes jambes autour de moi, tes doigts dans mes cheveux, ordonnant à ma tête de se baisser vers l’arrière pour que tu aies plus facilement accès à mes lèvres. Baiser rendu dans son intégralité, sans surenchère. À tes mots, je calais le joint entre mes lèvres, à l’envers, prêt à t’offrir ce que tu voulais. Mains à présent libre, je les passais sur ton ventre, remontant jusqu’à ta poitrine dénudée, sentant alors ton cœur battre peut-être un peu trop vite. Difficile de se remettre de ce qui s’est passé dans ce lit ? Peut-être bien… ou peut-être était-ce autre chose. Une fois que tes mains instauraient le chemin propice pour la fumée, tes lèvres non loin des miennes, mes pouces retrouvaient la pointe de tes seins, encore durcies par le plaisir ressenti, et je les caressais pour te stimuler encore une fois.
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w/ @Devon Bulger
Regarde-nous, esprits du chaos, dressés au milieu de nos ruines. La scène n’a rien de romantique, rien de beau. Du sang, des peaux entaillées, des regards qui ne cueillent que la lucidité abrupte du monde. Plus de place aux rêves, plus de place aux faux-semblants. Juste toi et moi. Juste nos failles et nos forces. De mon corps que j’endors par les fumées épaisses et cotonneuses de ces herbes qu’on cultive dans les bas-fonds. Du charnu de mes lèvres qui vient provoquer les tiennes, en demandant toujours plus. Je m’obstine à ne pas répondre à ton ordre mais à un bien plus sournois appel. Celui de ton corps contre le mien, celui de tes violences contre les miennes. C’est presque autoritaire que ma voix te commande ce petit jeu adolescent entre nous. Et tu t’exécutes, docile pour une fois peut-être. Tu ne peux pas me refuser de m’entraîner davantage dans le vice. C’est un Roi qui a trouvé sa Reine. Mes mains plaquées autour de nos bouches pour composer de peau un tunnel, j’aspire à vide la fumée agonisante de ta bouche pour la recueillir dans la mienne. Mes paupières se ferment toutes concentrées à l’exercice, la peau qui se relève sur la pression doucereuse et obstinée de tes pouces. C’est le sourire aux lèvres que je me recule légèrement pour offrir la fumée de nos vices au monde. Tu sens mon cœur tressaillir, tu vois ma peau manifester l’intérêt qu’elle te prouve et déjà le désir à nouveau se réveille. Je suis comme une affamée qui se découvre, après des années de privation. Mais t’es la seule nourriture que je désire. Devon. Stark. Bulger. Peu importe ton nom, c’est ton corps que je découvre. Je reprends le cône entre mes lèvres, sourire qui balbutie et qui vient éclairer mes prunelles alors que tes mains restent à explorer mes courbes. Je viens poser mes paumes sur ton torse, t’allongeant d’un mouvement quelque peu abrupt. J’aspire une goulée de poison avant de remettre l’offrande entre tes lèvres. « Encore. » que je murmure comme une petite fille vouée à ses caprices. « Encore plus… » que je commande en entraînant mon bassin dans cet arc presque félin, venant à te posséder cette fois, en attendant ta réplique.
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w/ @Lyra Bain
Il faut pas croire les apparences. J’étais plus déterminé que jamais de faire de toi une vraie femme, sans que les rôles ne soient inversés. Certes, tu me demandais de faire des choses et je les exécutais. Mais ça ne changeait pas la hiérarchie. Je te commandais, et j’allais continuer de le faire. C’était une certitude que tu allais rester dans ma vie, une perle comme toi ne pouvait pas s’en aller. Et si tu prends la fuite, je mettrais tous les détectives privés de Boston à tes trousses. Tu ne pourras pas m’échapper. Et peut-être aussi que j’essaye de te marquer au fer rouge pour que justement, tu n’aies aucune envie de prendre la fuite. On allait bien ensemble, dans ce lit, à se donner du plaisir mutuellement. Baignant dans le sang qui fuyait de mes blessures. Je voulais recommencer, de toute évidence. Nos deux corps dénudés, proches l’un de l’autre, l’appel était évident. Toi et moi devions recommencer. C’était écrit. Tu te reculais mais pas assez pour que tu sois hors de portée. Et je sais pourquoi, tu apprécies un peu trop les caresses que je te prodigue. C’est sûrement pour cette raison que je me retrouvais rapidement allongé sur le lit, toi au dessus de moi. Tu aspirais de nouveau la fumée avant de me rendre le cône entre les lèvres, j’aspirais, tout en te regardant, avant de l’attraper entre mes doigts et je l’éteignais contre ta peau, sur ta clavicule, le laissant ensuite tomber par terre. La douleur, c’est ce qu’il te faut, parce que tu es comme moi. Tu as les mêmes attentes que moi et il était évident que j’allais pouvoir assouvir tout ça. Reprenant assez vite le contrôle, inversant nos positions, je nous laissais aller pour le reste de la nuit à ces plaisirs charnels, les premiers que tu vivras, certainement pas les derniers, je te le promets.FIN DU RP
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