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Please take me home ❤ Nixon

Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : Please take me home ❤ Nixon 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : Please take me home ❤ Nixon MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : Please take me home ❤ Nixon 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
Please take me home ❤ Nixon Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
Préférences de jeu
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Please take me home ❤ Nixon TenorPlease take me home ❤ Nixon Tumblr_nqvoyvM6M31uqo0d2o1_250

Samedi 1er Février – 00:52 am. Cela faisait quelques heures que je me retrouvais seul dans cette chambre d’hôpital trop blanche et foutrement silencieuse. Katalia avait quitté mon chevet un peu plus tôt et fort heureusement parce que je n’aurais jamais accepté qu’elle passe la nuit dans ma chambre. Non. Il fallait que la belle Italienne se repose dans un vrai lit. Je voulais aussi qu’elle soit loin de cette atmosphère morbide qui semblait peser dans tout l’hôpital. J’avais tout de même promis à la demoiselle que je la ferais appeler à tout moment si un quelconque problème se présentait à moi. Ouais, je la ferais appeler parce que je ne savais toujours pas où se trouvait mon putain de téléphone portable. L’absence de mon mobile m’empêchait de prendre des nouvelles et cela rajoutait clairement à ma panique trop élevée. Mon autre angoisse portait le prénom de Lukas… Je ne l’avais pas revu depuis l’accident qui s’était produit quelques heures plus tôt. Nous avions été séparés lorsque les secours s’étaient pointés et je m’en voulais d’avoir lâché sa main. Je m’inquiétais tellement pour lui. Katalia était allé voir Lukas pour elle, pour aussi parce que je n’étais pas fichu de me mettre debout et que l’inquiétude me transperçait le cœur. À ma demande, la jeune fille m’avait rapporté des nouvelles de mon sexy musicien. Il allait bien. Il était pris en charge. Je n’avais pas eu plus de précision. Je n’en savais guère plus sur l’état du jeune homme. Et, malgré moi, je me demandais s’il n’y avait pas des informations qu’on me cachait ? Je ne pouvais pas le savoir et la panique refusait de me quitter. Elle ne me quitterait sans doute pas jusqu’à ce que mes prunelles se posent sur Lukas. Putain quand est-ce que je pourrais aller le voir ? Est-ce que je pouvais me lever maintenant en plein milieu de la nuit afin de tenter ma chance ?

Non. C’était ridicule. Je ne savais pas où Lukas se trouvait et je ne pouvais guère me promener dans les couloirs de l’hôpital à la recherche d’une telle information. Quelqu’un me verrait et on me renverrait trop rapidement dans ma chambre. C’était toujours l’effervescence dehors. Je l’entendais. Puis, zut, je ne pouvais pas me résoudre à retirer les aguilles des perfusions qui me permettaient d’échapper au plus gros de la douleur. Je ne voulais pas avoir à me manger une vague insurmontable de souffrance. Et, de toute manière, la question se réglait rapidement puisque je n’étais pas foutu de tenir debout. Je le savais. Je le sentais. J’étais trop épuisé. Ma jambe ne supporterait pas mon poids. Un soupir passa la barrière des mes lèvres tandis que je me tournais dans ce lit d’hôpital en faisant attention à mon corps blessé et aux fils des perfusions. Est-ce que j’allais pouvoir dormir ? J’aurais peut-être mieux fait de supplier Katalia de rester avec moi cette nuit. Elle aurait peut-être pu m’aider à fermer les yeux et à plonger dans le sommeil sans avoir peur de ce qui arriverait. Elle aurait peut-être su m’aider à rester loin des cauchemars. J’étais persuadé qu’ils allaient venir frapper si mes yeux se fermaient. C’était d’ailleurs pour cette raison que je refusais de céder. Je n’étais pas prêt à revoir ces images dans ma tête. Je n’étais pas prêt à faire face à cette horreur de nouveau. Non. 01:59 am. 02 :46 am. 03:27 am. 04:38 am. 5:54 am. Les heures défilaient et je luttais contre la fatigue qui pesait de plus en plus lourd. Cependant, à force de trop lutter, je n’en étais plus capable. Je ne pouvais plus me maintenir hors de l’eau. Et, je sombrais lentement dans un sommeil empli d’horreur.

Le choc était si soudain que je n’avais rien pu prévoir. Le bruit du wagon résonnait encore à l’intérieur de ma tête. La douleur était si violente et si réelle. Elle pulsait dans tout mon corps sans que je ne sache comment l’arrêter, sans que je ne sois en mesure de l’encaisser. Et, bordel, tout le monde hurlait autour de moi. Tout le monde pleurait. Il y avait tellement de sang. Il y avait même des corps qui ne bougeaient plus. Et… Je sursautais soudainement criant aussitôt sous la vague de douleur qui me parcourait. Mes prunelles se promenaient autour de moi pendant quelques secondes jusqu’à ce que je réalise que je me trouvais dans ma chambre d’hôpital. Je n’étais plus dans ce métro. Tout allait bien. Je refermais les yeux me rallongeant dans le lit tandis que je me concentrais pour calmer ma respiration affolée et les tremblements qui me parcouraient. Je me concentrais afin de calmer la course dingue de mon cœur qui avait foutu un boucan incroyable dans ma chambre à cause de ces putains de machines reliées à mon corps. Les secondes s’écoulaient et je reprenais conscience de la réalité. J’étais sorti de ce wagon. Tout allait bien. Tout irait bien. Levant la main, je m’empressais d’effacer les larmes qui couvraient mes joues avant d’ouvrir les yeux pour jeter un œil à l’horloge de la chambre. 08:03 am. J’avais finalement réussi à dormir, même si ça n’avait été que quelques heures. Ce n’était plus la peine d’essayer à présent. Je n’arriverais plus à me reposer. Rouvrant les yeux, mes prunelles sombres se posèrent sur ces béquilles qui attendaient à côté de mon lit. On m’avait dit qu’il faudrait que je les utilise pendant quelques semaines dès que je sortirais d’ici. Putain, je ne voulais pas. Mes pensées se perdaient sur ce futur emmerdant et je sursautais gémissant de douleur lorsque la porte de ma chambre s’ouvrait rapidement. Mes yeux se posaient sur un visage qui réchauffait mon cœur tandis que je soufflais soulagé.

Nixon…
@Nixon Sherwood
(Neal T. Hood-Spritz)
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@Neal T. Hood ✧ Nixon Sherwood

   

L'arrivée à la maison avait été brutale pour un vendredi soir. Commencée avec les meilleures intentions qui soient, puisque les plans qui s'annonçaient étaient des plus intéressants, le tournant qu'elle avait pris n'était absolument pas prévu. N'étant pas rentré tout de suite en finissant les cours, je m'étais isolé dans l'un des salons étudiants avec l'idée de passer au travers de la montagne de devoirs que j'aurais probablement dû répartir sur tout mon weekend pour ne pas avoir la cervelle en compote. Sauf que… je n'en avais aucune envie. Déjà que je ne suis pas le type le plus porté sur le scolaire et que je dois parfois me botter le cul pour faire quelque chose, si, en plus, y'a une promesse alléchante de l'autre côté de la balance… Fuck off, c'est clair que je vais sauter sur l'autre palier et que les feuilles de notes vont se faire oublier! Et la promesse étant l'arrivée de Neal au milieu de la nuit, c'est clair que j'avais eu besoin de me concentrer pour avancer dans mes travaux. Faisant un effort, je m'étais donc isolé et j'avais mis mon téléphone sur le mode avion afin de ne recevoir aucune notification d'aucune sorte. Et il avait fallu que ce soit LE soir où je n'aurais absolument pas dû faire ça! Mon manque de réponse à ses textos avait affolé ma soeur, la mettant dans tous ses états. J'étais responsable des larmes qui avaient rougit ses yeux trop longtemps et je m'en voulais. J'avais veillé sur elle un moment, jusqu'à ce qu'elle dorme ou, du moins, essaie. Cependant, à un point, j'avais dû finir par sombrer à mon tour puisque la sonnerie de mon téléphone m'avait réveillé en sursaut alors que la télévision, muette, me renvoyait encore les images des différents reportages de l'accident. La voix du paternel se faisant entendre à l'autre bout du fil, il m'avait fallu étouffer un bâillement et lui assurer à plusieurs reprises que Nadia et moi allions bien. Chose qui m'avait fait trouver le lit de ma petite soeur vide et sa présence manquante dans le studio. Direction les réponses qu'elle attendait depuis la veille, n'ayant pu se résoudre à attendre plus longtemps et je n'avais aucun mal à comprendre.

Quelques uns de mes propres messages étaient encore sans réponses et les fils de médias sociaux me donnant parfois certains mises à jour. À croire qu'il est plus logique pour certains de poster une photo de soi dans la salle d'attente de l'hôpital avec la bouche en coeur, filtre à l'appui, que de dire à ses contacts un simple "je vais bien" ou quelque truc semblable. Un simple copier/coller suffit, en fait. Plus rapide que la série de hashtags qui, pour le moment, m'énerve plus qu'autre chose. Le téléphone toujours en main, j'avais tenté d'appeler plusieurs numéros, malgré l'heure. Le bilan me faisant soupirer de frustration, j'avais finalement composer un ultime numéro : taxi. Et direction l'hôpital aussi. À peine avais-je pris le temps de changer de t-shirt, enfilant le premier qui me tombait sous la main avant de filer. Un texto à Nadia pour l'informer et j'étais en route.

La réceptionniste de l'hôpital ne m'étant pas d'une grande aide dans tout ce bazar, j'ai simplement fini par me diriger vers le secteur affecté à loger tous les blessés de l'évènement. Du moins, ceux qui ne nécessitaient pas de passage au bloc pendant des heures et des heures. De ce que j'avais pu comprendre. Avançant dans les couloirs, je ne peux m'empêcher de regarder chaque visage des victimes encore allongées sur les civières, se reposant comme ils le peuvent de l'épreuve subie. Mes yeux accrochent chaque plaquette près des portes où les patronymes ont été écrit à la hâte. Les premières initiales connues apparaissant, je m'engouffre à l'intérieur sans prendre la peine de toquer. Un gémissement de douleur amène mes yeux sur lui en une fraction de secondes à peine. Je préfère une toute autre sorte de gémissement sortant de ses lèvres. Ma présence semble tout de même calmer ses traits.

- Préviens si t'as l'intention de faire la fête ailleurs plutôt que de venir chez moi, la prochaine fois, tentais-je de plaisanter. Cependant le coeur n'y est pas tellement et mon sourire n'est pas aussi sincère qu'à l'habitude, l'inquiétude tintant mon regard. T'as une tête affreuse, ma muse, fis-je plus franchement, plus doucement en m'approchant tranquillement, comme si bouger trop vite près de lui pouvait lui apporter une douleur supplémentaire. Comment tu te sens?
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Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

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◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

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◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

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◆ Milo : ex boxing partner
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Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

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Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
L’enfer était loin d’être terminé malgré la fin de l’accident. L’horreur semblait vouloir se prolonger à l’intérieur de ma tête. Elle semblait vouloir impacter ma vie et je ne pouvais rien y faire. Je me contentais d’être là et de subir ces assauts dévastateurs. Je subissais cette fatigue atroce qui planait au-dessus de ma tête. Je subissais ces images cauchemardesques qui tournaient en boucle à l’intérieur de mon esprit dès lors que j’osais fermer les yeux. Je subissais la douleur horrible qui ne cessait de pulser dans tout mon corps malgré les antidouleurs que je recevais. Bordel, j’allais même devoir subir une dépendance envers des béquilles afin de parvenir à me déplacer. Je savais que je ne parviendrais jamais à marcher correctement sur mes deux jambes aussi rapidement. Je risquais juste de foutre ma jambe droite en l’air si j’essayais. C’était l’enfer absolu. Et, soudainement, une lumière se détachait de tout ce noir m’impactant. Un paradis semblait prêt à débarquer afin de raser mon enfer. Une bombe de couleur débarquait dans ce monde en noir et blanc si horrible. Nixon était là à l’entrée de ma chambre. J’étais foutrement soulagé de voir le jeune homme sous mes yeux. Il allait bien. Il m’avait même trouvé. Était-il venu ici juste pour moi ? Je n’en savais rien, mais j’étais plus qu’heureux de l’avoir sous les yeux. Son prénom glissait entre mes lèvres avec ce soulagement intense que je ressentais comme une vague délicieuse qui me parcourait quelques secondes effaçant tout le reste. L’artiste entrait dans ma chambre soufflant une tentative de plaisanterie qui ne m’arracha qu’un quart de sourire. Je voyais bien qu’il n’était pas dans ce mood de rire. Son sourire n’était pas suffisamment sincère. L’inquiétude se peignait sur ses traits. De toute façon, j’étais moi-même trop angoissé pour me laisser emporter dans une plaisanterie. Mes prunelles ne quittaient pas Nixon alors qu’il me confiait que j’avais une tête affreuse. Le surnom ‘ma muse’ passa entre ses lèvres venant se loger droit dans mon cœur pour le réchauffer et l’accélérer. J’étais trahi par les machines qui bipaient un peu plus fort. Mais, zut, ce n’était pas de ma faute s’il avait tant d’effet sur moi. Grimaçant, je demandais soudainement.

C’est si horrible que ça ?

La question m’échappait sans que je parvienne à la retenir. Et, quand bien même elle semblait légère comme sur le ton d’une plaisanterie, mon inquiétude demeurait audible. J’ignorais la tête que j’avais. Mais, au vu des propos de Nix’ et de l’inquiétude peinte sur son visage, je m’attendais au pire. Est-ce que je ressemblais tant que ça à un zombie ? Merde, pourquoi n’avais-je pas regardé plus tôt ? Je m’étais levé deux fois de ce lit depuis mon arrivée dans la cage blanche. À chaque fois, je m’étais rendu au petit coin en compagnie d’une infirmière parce que j’avais fait le mec têtu qui refusait de se servir des béquilles. À chaque fois, je m’étais empressé de faire mon affaire pour retourner m’allonger parce que le monde semblait trop instable. Je n’avais jamais pris le temps de lever les yeux vers le miroir. Je n’en avais pas la force. Je n’en avais guère le courage. Je ne voulais pas voir le désastre peint sur mon visage. J’avais assez avec celui de mon corps. Alors, ouais, je ne savais pas à quel point ma tête pouvait être affreuse et la question avait glissé d’elle-même. Le sexy tatoué approchait tranquillement de mon lit tout en me demandant comment je me sentais. Je ne savais pas quoi répondre. Je ne savais plus ce que j’étais censé souffler suite à cette question. Il n’y avait rien de compliqué pourtant. C’était si aisé. Néanmoins, j’étais trop perdu. Est-ce que je pouvais être sincère si je voulais sortir d’ici ? Est-ce que je pouvais craquer ? Est-ce que je pouvais être si pitoyable ? Putain, tout était trop compliqué. Mes doigts se mettaient à trembler et je m’empressais de les glisser sous la couverture comme si j’espérais parvenir à reprendre le dessus. Je fixais les draps blancs de mon lit comme si cela pouvait m’aider à me remettre les idées en place et à savoir quels mots prononcer à cet instant. Les secondes s’étiraient. Un peu trop longues. Foutrement trop réelles. Et, lentement, je relevais les yeux sur Nixon pour finir par bredouiller.

Je… J’sais pas… Je… J’suis fatigué Nix’… Je… J’ai mal… Et le… Les images sont toujours là… Les cris, l’horreur, le sang… Je… J’ai envie d’sortir d’ici…

Les babillements incompréhensibles glissaient entre mes lèvres de façon trop rapides comme si je désirais me débarrasser au plus vite de tous ces propos. Je mélangeais tout parlant de ma fatigue, de ma douleur et des cauchemars. Je babillais même sur mon désir de quitter l’hôpital. J’avais sans doute l’air d’un gamin trop pitoyable et j’aurais dû me sentir mal à cause de cela. Cependant, c’était Nixon qui se trouvait face à moi et j’avais l’impression qu’avec lui je pouvais être moi sans le moindre filtre. Juste moi. Absolument et sincèrement même si je n’étais plus qu’un gosse trop abîmé. Je mordillais nerveusement ma lèvre puisque, malgré tout, l’angoisse pulsait à l’intérieur de mon être. J’avais peur de la réaction de Nix’ face à mon babillement. J’avais la trouille que le sexy tatoué choisisse de faire demi-tour parce qu’il ne pouvait pas encaisser toute cette situation et faire face à ce type de Neal. Passant ma langue sur mes lèvres, je n’osais pas bouger de peur d’arrêter la progression de Nixon vers moi. Il venait trop lentement vers ce lit et je crevais d’envie de me lever pour aller me blottir le plus rapidement possible dans les bras de l’artiste qui savait me rendre dingue. J’avais tellement besoin de lui. J’en avais tant envie. Pourtant, je ne bougeais pas sachant déjà à quel point il me serait difficile de faire ces quelques pas. Je ne bougeais pas comme pour laisser la porte ouverte à Nixon… Comme pour lui laisser le choix de faire demi-tour. Mes yeux se fermaient quelques secondes. Et, trop soudainement, je venais murmurer « Je… J’veux aller à la maison… Avec toi… » Oh putain de merde ! Je n’aurais jamais dû souffler ça… Allez, avec un peu de chance, Nixon n’aurait rien entendu… S’il vous plaît… Un peu de chance.

@Nixon Sherwood
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J'essaie bien de plaisanter, mais le ton n'y est pas tellement et ma première remarque tombe facilement à plat. Ce n'est pas la première fois que je le vois blessé, sachant qu'il a une tendance à réagir aux quarts de tour parfois et se retrouver dans des batailles qu'il aurait pu éviter, mais bon… Et puis, j'en ai sûrement quelques unes également qu'on pourrait me reprocher, alors je ne me vois pas lui faire la morale pour ça. Par contre, c'est la première fois que je le vois ainsi allongé dans un lit d'hôpital. Pour une situation qui n'avait rien de ressort qui plus est. Ma voix se fait plus douce et j'essaie de ravaler quelque peu mon inquiétude bien que je n'y arrive pas particulièrement bien, celle-ci transperçant mon regard et me faisant lever trop rapidement la tête lorsque les machines se mettent à faire bip-bip. Qu'est-ce qui se passe? Sa voix se faisant à nouveau entendre, j'en oublie un peu ce qui l'entoure pour lui offrir à nouveau mon attention.

- La fatigue surtout, commentais-je simplement avec un vague haussement d'épaules. Tu commences à compétitionner dans la catégorie raton-laveur, me moquais-je doucement, un peu plus véridique.

Je ne veux pas l’inquiéter davantage, faire s'activer les machines encore une fois et le faire paniquer pour une question qui n’est qu’esthétique au final. Les épreuves subis ont marqués ses traits et ça va s’en dire que ça paraît. Outre les blessures physiques, il lui faudra aussi reposer ses muscles qui refuseront peut-être encore de fonctionner correctement pendant quelques temps parce qu'ils ont été trop longtemps crispés, trop longtemps sur le mode survie. Je ne serais pas tellement surpris qu'il aie encore des restants de réflexes quasi animal pour se protéger. Et c'est un peu pourquoi je ne m'approche de lui que lentement, calculant presque mes gestes. La chambre n'est pas des plus silencieuses puisqu'il est encore branché de partout, mais le tout me laisse l'automatisme de parler plus tranquillement, sur un ton plus bas. On est que nous deux après tout. Mais pas tellement comme on a déjà pu l'être. Il n'en a pas les mêmes réactions non plus. À croire que lui demander comment il se sent n'était pas la meilleure des idées.

- Doucement, chuchotais-je alors qu'il laisse se déverser une flopée de mots, passant doucement une main dans ses cheveux pour essayer de l'apaiser moindrement. Sans vouloir le faire taire, je ne veux simplement pas qu'il fasse une crise de panique, même si, j'ai peut-être un moyen de le déconcentrer assez pour la juguler momentanément. Ça reste que ce n'est pas au mieux pour lui en ce moment.

Les yeux fermés, une plainte quitte ses lèvres. Une requête qui me fait tiquer légèrement.

- C’est chez toi ou chez moi, ça? Demandais-je, un peu perdu. Prenant le parti que c'est chez moi, puisqu'il dit toujours apprécier l'endroit, je lui fais doucement remarquer que les choses seraient peut-être un peu différentes : T’aurais de la difficulté avec les escaliers à grimper pour ma chambre, mentionnais-je, ayant remarqué les béquilles posées contre le mur. Je ne crois pas qu'il aie particulièrement envie de les monter et les descendre sur le derrière au milieu de la nuit s'il doit se rendre au petit coin. Et si, moi, je passe parfois d'un étage à l'autre en n'y posant pas un pied, je doute qu'il aie l'envie ou la capacité à faire ce genre d'acrobatie dans l'état ou il se trouve. ...mais, je suppose qu’on peut faire quelque chose pour arranger ça, acquiesçais-je tranquillement. Quitte à refaire l'aménagement du salon pour qu'on puisse y dormir et qu'il soit toujours sur le même palier. L'ébouriffant tranquillement, lui mettant la crinière encore plus en pétard, je dois tout de même de rester un peu plus terre à terre dans les permissions accordées. Faudra quand même rester ici un moment, Neal. Les égratignures, je peux t’aider à les soigner, mais là, t’as quand même besoin de médecins qualifiés, expliquais-je, mes doigts glissant contre sa joue pour descendre sous son menton et m'assurer qu'il ne se dérobe pas à mon regard. Il doit rester. Au moins le temps de guérir un peu. On verra lorsqu’ils te donneront ton congé et on s'arrangera pour passer chercher quelques trucs chez toi avant de rentrer, si tu veux, lui proposais-je tout de même avec un sourire. ...ou tu flotteras dans mes vêtements un peu trop grand et tachés de peinture pendant un moment, ne puis-je m'empêcher d'ajouter avec un sourire en coin plus naturel.
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mots : 751 nightgaunt
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Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : Please take me home ❤ Nixon 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : Please take me home ❤ Nixon MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : Please take me home ❤ Nixon 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
Please take me home ❤ Nixon Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Nixon se trouvait à l’hôpital sans être blessé. Enfin cette information je la possédais déjà puisque je lui avais écris quelques textos plusieurs minutes avant l’accident et que je savais qu’il ne se trouvait guère dans ce métro de l’horreur. Pourtant, malgré tout, je m’étais inquiété pour le sexy tatoué comme si je n’étais pas fichu de m’en empêcher. C’était comme si j’avais besoin de l’avoir sous les yeux pour être sûr et certain qu’il allait bien et être ainsi totalement rassuré. Comme si mes souhaits avaient été entendus, Nixon se trouvait là sous mes yeux. Si rapidement. Si réellement. L’artiste se trouvait dans ma chambre et je ne saurais vous exprimer tout ce que je ressentais en cet instant. Il y avait tellement de choses qui pulsaient à l’intérieur de mon être. Il y avait tant de sensations qui cognaient dans mon cœur. Je pouvais simplement vous affirmer haut et fort que j’étais tellement heureux de le voir là comme s’il était venu uniquement pour moi. Une partie de mon cœur espérait d’ailleurs que ce soit le cas. Néanmoins, la partie la plus réaliste de mon être hurlait que le sexy tatoué n’était pas forcément là que pour moi. Je n’avais pas été le seul blessé dans cet horrible accident. Non. Il y avait eu tellement de monde. Tellement de cris. Tellement de sang. Je tiquais me demandant si Nixon avait des proches à lui dans le métro ? Est-ce qu’il était venu les voir avant de passer dans ma chambre ? Est-ce qu’il irait après ? Est-ce que sa sœur s’était trouvée dans le métro ? L’inquiétude s’invitait dans mon ventre et je m’apprêtais à l’interroger pour être sûr que tout allait bien. Cependant, je ne parvenais pas à ouvrir la bouche afin de le questionner car il utilisait ce surnom qui réchauffait mon être et accélérait mon cœur. Ce putain de surnom qui me coupait dans toute tentative de parole tant il avait d’effet sur moi. Ce putain de surnom qui me faisait dérailler et perdre le cours de mes pensées tandis que je rebondissais sur sa remarque en cherchant à savoir si mon état était aussi que ça. Ma tête était-elle si inquiétante ? Comme s’il avait perçu mon inquiétude, Nixon commentait que c’était surtout la fatigue. Malgré moi, je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il n’y avait pas que ça, qu’il y avait tellement pire. Néanmoins, le sexy tatoué ne pouvait pas tout voir. J’étais parfaitement caché sous les draps blancs et la chemise d’hôpital. Il ne voyait pas les bandages sur mon torse. Il ne voyait pas le bandage sur mon mollet. C’était peut-être mieux ainsi. Il ne voyait qu’une partie de l’horreur qui l’inquiétait déjà. Ouais, ça suffisait amplement. Je ne voulais pas qu’il se fasse plus de soucis. Il fallait que je reste parfaitement caché. Lorsque Nixon souffla que je commençais à compétitionner dans la catégorie raton-laveur, un rire franc glissa entre mes lèvres rapidement interrompu par un gémissement. Outch… Rire n’était pas une si bonne idée. Peu désireux d’inquiéter Nixon, je soufflais rapidement.

Je… J’crois que ç’va pas s’arrêter de sitôt… J’vais même pouvoir gagner la compétition…

J’haussais doucement les épaules tandis qu’un sourire en coin se dessinait sur mon visage à l’idée de cette compétition que je pouvais gagner. Putain, heureusement que j’avais dit que je ne voulais pas inquiéter le jeune homme. J’étais ridicule. En soufflant que ça n’allait pas s’arrêter, je n’allais faire que l’inquiéter un peu plus. Stupide gosse qui n’avait pas été fichu de taire la vérité. J’étais trop fatigué pour faire attention. J’étais trop épuisé pour mettre les filtres correctement en place et j’avouais juste que la fatigue n’allait pas s’effacer aussi vite. Je savais que les cauchemars n’allaient pas s’arrêter. Quand papa m’avait battu à mort, les cauchemars s’étaient éternisés régulièrement pendant plus d’une année. Aujourd’hui encore, ils ne m’avaient pas entièrement quitté. Aujourd’hui encore, mon père s’invitait dans mes cauchemars. Alors est-ce que les cauchemars s’effaceraient plus rapidement suite à cet accident ? Je l’ignorais parce que, dans le fond, il n’y avait pas que le métro. Mes blessures rappelaient le passé tant et si bien que tout avait la capacité de me mélanger pour me retourner complètement le cerveau et m’attaquer nuit après nuit. Nixon s’approchait de mon lit en me questionnant sur mon état et je ne paniquais. Je paniquais parce que je ne savais pas comment répondre pour que je sois sincère tout en n’ayant pas trop l’air minable. Je ne savais pas comment répondre pour dire la vérité tout en essayant de pouvoir quitter cet endroit le plus vite. Finalement, je m’étais mis à babiller rapidement tout ce qui se mélangeait dans ma tête sans chercher à donner de détails. La fatigue. La douleur, les images, mon envie de partir… L’essentiel était là, non ? Nixon chuchotait un mot et je me calmais aussitôt comme si son super pouvoir était de nouveau fonctionnel sur moi. Sa main glissait dans mes cheveux et je prenais une lente respiration pour me calmer complètement. Damn, ça faisait tellement de bien. C’était apaisant. C’était connu. C’était agréable. Je me contentais d’acquiescer comme pour lui dire que ouais, c’était bon, j’allais me calmer. Foutu menteur. Les yeux fermés, je ne tardais pas à quémander la maison avec lui. Putain, c’était une connerie qui n’aurait jamais dû franchir mes lèvres. C’était une connerie que Nixon n’aurait pas dû entendre. Mais, il l’entendait me demandant aussitôt si c’était chez moi ou chez lui ça ? Bordel, j’étais censé dire répondre quoi maintenant ? Que c’était chez lui ? Que je considérais son studio comme ma maison avec lui ? Damn it, j’étais trop fatigué pour faire attention à tout ce que je babillais et le danger pesait déjà sur moi. Ce n’était pas bon du tout. Ma langue glissa sur mes lèvres et je marmonnais.

Je… Chez… Chez toi… Pardon…

Je me reprenais en babillant ces quelques mots et ces excuses comme si je n’avais pas le droit de considérer le studio de Nixon comme ma maison. Et, putain, je n’avais clairement pas le droit. Ce n’était pas chez moi là-bas. Ce n’était même pas chez nous. NON. Cependant, Nixon semblait déjà avoir compris que je parlais de son studio puisqu’il me disait que j’aurais de la difficulté avec les escaliers à grimper pour accéder à sa chambre. Mes sourcils se fronçaient. Merde, il avait vu les béquilles. Je ne pourrais pas ne pas les utiliser maintenant. Monter les escaliers avec des béquilles… Ouais, franchement, ça irait une fois peut-être deux, mais après cela m’agacerait. Je risquais de finir par balancer les béquilles. Alors quelle était la solution ? Avant que je ne puisse tenter de faire une quelconque proposition, le sexy tatoué disait qu’on pouvait faire quelque chose pour arranger ça. Faire quelque chose pour arranger ça ? Comme quoi ? Aménager en bas afin que je puisse y dormir ? L’idée ne me plaisait pas. Aussi, j’haussais un sourcil avant de souffler « Sinon… Tu… T’pourras toujours me porter… » Un air amusé sur le visage, je tirais la langue au jeune homme suite à cette hypothèse. Ce n’était qu’une proposition lancée comme ça. Ce n’était qu’une solution que j’étais à accepter sachant déjà que je risquais d’en profiter. Ce n’était que des mots balancés peut-être dans le vent parce que je refusais d’agacer Nixon. La main de l’artiste continuait de glisser dans mes cheveux et, putain, je me fichais qu’il mette mes cheveux en pétard. C’était juste un contact agréable dont je ne voulais pas me passer. J’ouvrais les yeux lorsqu’il reprenait la parole pour me dire que je devais rester à l’hôpital un moment parce que, même s’il pouvait m’aider à soigner les égratignures, j’avais besoin de médecins qualifiés. Les doigts de Nixon sur ma joue me faisaient perdre la tête. Ils glissaient sous mon menton m’empêchant de me dérober sous son regard. Je plantais mes prunelles dans les siennes avant de glisser ma langue sur mes lèvres et de répondre d’un ton solennel « Je… J’vais rester ici jusqu’à avoir le droit de partir… Promis… Mais tu… T’passeras me voir ? » La question avait glissé entre mes lèvres sans que je ne sois capable de la retenir après ma promesse de rester sagement dans cet endroit que je détestais. Merde, je ne savais pas combien de jours j’allais rester ici, mais je ne voulais pas passer tant de jour sans voir mon sexy tatoué si rassurant. Moi ? Trop accro ? Bordel, peut-être bien. Nixon ajoutait que nous nous arrangerions lorsque les médecins me donneraient congés afin de passer chez moi chercher quelques trucs si je voulais avant de rentrer… Attendez… ‘Rentrer’… Est-ce que ça voulait dire que son studio pouvait être un chez nous ? Je mordillais ma lèvre secouant la tête pour ne pas penser à ça alors que sinon il me proposait de flotter dans ses vêtements trop grands et tâchés de peinture. Mes yeux posés sur le visage de Nixon qui souriait, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire à mon tour avant de lui répondre comme un gamin hésitant.

Ç’me dérange pas de flotter dans tes vêtements Nix’… D’ailleurs Je… J’ai aucun vêtement pour sortir… Je… Mon haut n’est plus là et mon… Mon pantalon est craqué… Tâché…

Je baissais les yeux en mordillant ma lèvre comme si je n’étais qu’un gamin trop responsable de ce qui lui était arrivé. Putain, je n’y avais pas pensé plus tôt, mais si je retirais cette chemise d’hôpital, je n’avais rien à me mettre. Mon pull devait être avec Lukas car c’était lui qui l’avait enfilé dans le métro. Mon tee-shirt s’était perdu dans l’horreur. Quant à mon pantalon, je me souvenais du trou dans le tissu au niveau de mon mollet. Je me souvenais du rouge tâchant la totalité de la jambe de mon jean. Je ne pourrais pas renfiler ça. Relevant les yeux sur le visage du sexy tatoué, je finissais par bouger pour m’asseoir dans le lit. Je ne gémissais pas sous la douleur qui me poussait tout de même à grimacer. La couverture glissait doucement, mais rien n’était visible. Mon mollet était toujours caché et la chemise de l’hôpital masquait mon torse abîmé. Je levais lentement une main pour venir la poser sur la joue de Nixon à qui je confiais dans un murmure « Je… J’suis content que tu sois là… » Et, avec une trop grande hésitation, je m’approchais lentement du visage du jeune homme. Mes yeux faisaient des allers-retours entre ses yeux et ses lèvres tandis que je mordillais les miennes trop hésitant sur mon droit de faire ça en cet instant.

@Nixon Sherwood
(Neal T. Hood-Spritz)
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Please take me home

Settle down, it'll all be clear
Don't pay no mind to the demons
They fill you with fear
The trouble - it might drag you down
If you get lost, you can always be found
Just know you're not alone
________________________
@Neal T. Hood ✧ Nixon Sherwood

   

Ma plaisanterie lui tire un rire franc qui s'éteint un peu trop rapidement, perdu dans une plainte de douleur qui me fait froncer les sourcils, me rappelant qu'il a le corps meurtri ou tout au moins les muscles endoloris d'avoir été sur l'adrénaline un trop long moment, d'avoir fourni des efforts un trop grand instant pour que même le simple fait de rire lui soit douloureux. M'inquiétant sur son état, je lui demande comment, osant croire qu'il me dira de quels maux il souffre, je ne m'attendais pas nécessairement à le voir déballer une flopée de demi-phrases qui me font tout de même comprendre qu'il est mentalement loin d'être à l'abri. Le laissant déverser, j'essaie tant bien que mal de réguler un peu le flot de ses paroles, ne voulant pas le faire taire, mais n'ayant pas envie qu'il aie besoin d'un quelconque calmant parce que la panique et la peur s'empareraient à nouveau de lui. M'installant à demi sur le bord du lit, à peine appuyé, ma main va aussitôt se loger sur sa tête, passant au milieu de la broussaille si ça peut l'apaiser moindrement. Semblant faire effet, sa respiration se calme alors qu'il ferme les yeux. Je n'aurais pas nécessairement été étonné de le voir baisser sa garde et tomber endormi d'un bloc. Je pouvais me permettre d'attendre qu'il émerge à nouveau également. Je n'aurai qu'à renseigner Nadia si elle me cherche, n'ayant, cette fois aucunement l'idée de couper la moindre notifications de mon téléphone.

Sans s'endormir, Neal en baisse tout de même un peu son bouclier, laissant filtrer une plainte qui me démontre qu'il est à bout sans que je ne puisse l'aider entièrement. Déjà, sa demande soulève une interrogation que je lui retourne en moins de deux, un peu surpris par la complète tournure. En soit, l'accompagner ne m'apparaît pas comme une corvée et que ce soit l'un ou l'autre des endroits, le tout peut se faire, mais ...est-ce seulement été passé du temps chez lui auparavant? Une image vague se forme dans mon esprit lorsque j'essaie de me souvenir, vitre remplacé par celle de mon propre studio où il m'a dit se plaire à plusieurs reprises. Puis-je compter qu'il parle directement de chez moi? Le prenant ainsi, je lui rappelle les escaliers pour accéder aux chambres au deuxième étage. Non pas qu'il aie besoin de celles pour atteindre la chambre de Nadia, mais ça n'empêche que pour atteindre mon lit, il faut se soumettre à la montée.

Un souffle amusé m'échappe alors qu'il indique une solution au problème. Je pourrais toujours le porter. C'est une idée, j'imagine. Je ne garantie simplement pas que je pourrais le faire au milieu de la nuit si on vient à peine de me réveiller. C'est comme le parkour : faut laisser le temps aux muscles de s'échauffer et au cerveau de se réveiller. Foutre le camp dans les escaliers avec Neal sur le dos ou dans les bras serait le comble dans tout ce tableau! Il n'a pas besoin de ça, il a déjà assez de soucis.

Pour autant, je ne lui ferme pas la porte au nez, me disant qu'on pourra toujours trouver une solution de rechange, quitte à faire camping dans le salon pendant un moment. On s'arrangera bien avec quelque chose. Et puis, il ne sera pas comme ça éternellement. Sinon, j'imagine que ça me fera travailler la muscu gratuitement de faire ces allées et venus avec lui. Cependant, d'ici là, il faut qu'il reste. Je ne connais pas l'ampleur de ses blessures, mais déjà, pour devoir se trimballer les béquilles qui reposent sagement contre le mur, ça me dit que ça requiert un minimum de soins que je ne suis pas en mesure de lui donner. S'il s'écorche les mains en se battant, je peux aider. S'il s'est cassé la cheville dans le métro, c'est hors de mes connaissances. Je ne pourrai qu'appliquer les recommandations des médecins. Il faut donc qu'il reste jusqu'à obtenir son congé. Je suis certain que ça l'emmerderait de devoir oublier la moto pour le restant de ses jours parce qu'il n'a pas écouter les consignes pendant quelques jours de sa vie. Sagement, sans se défaire de ma faible emprise, il acquiesce, promettant qu'il restera ...s'inquiétant aussi que je ne puisse le laisser seul ici.

- Bien sûr, articulais-je. Ce n'était pas les cours qui allaient m'empêcher de venir, ça n'avait jamais véritablement été un boulet. Ou peut-être un boulet dont j'arrivais facilement à crocheter la serrure pour gambader librement pendant quelques temps avant de me faire choper à nouveau par le rappel du pari qui planait sur mon diplôme.

Je ne sais pas quand il aura son congé, si ça s'éternisera ou non, mais en essayant un minimum d'être sage, j'essaierais d'arranger mes visites sans trop bousiller mon horaire de cours, puisque plus le temps filerait, plus je savais que je n'aurais pas cette même sagesse.

Plaisantant légèrement, je suis content d'arriver à lui tirer tout de même un faible sourire alors qu'il affirme que mes vêtements ne le dérange pas. Ne partageant pas la même taille, je me dis qu'une ceinture lui serait des plus nécessaires s'il veut porter mes jeans. Après, peut-être serait-il plus confortable dans un simple jogging. Me renseignant sur le fait qu'il n'a plus rien à se mettre, j'en fronce les sourcils légèrement, mon regard descendant sur ses chemises d'hôpital dont on ne sait trop si elles sont en papiers ou en tissu, mais qui ne doivent pas être des plus confortable.

- De quoi as-tu besoin? Le questionnais-je. Je te les rapporterai ce soir, si tu veux. Quitte à aller faire rapidement les boutiques si rien ne me semble lui convenir dans ma garde-robe. Chose que je ne me sens pas obligé de lui confirmer.

Ma pensée est, de toute façon, rapidement détournée alors qu'il se redresse pour s'asseoir, mes yeux suivant ses mouvements, mes doigts également, même si à distance, prêt à l'aider si besoin. Pourtant ce sont les siens qui se posent sur ma joue. Une confidence alors qu'il s'approche et un faible sourire incurve mes lèvres.

- Tu m'as inquiété… affirmais-je sur le même ton, attendant un instant qu'il bouge avant de finalement me pencher pour l'embrasser doucement lorsqu'il n'avance plus. Doucement, je lui ravis ses lèvres, glissant mes doigts à son cou, échangeant avec lui un baiser qui perdure jusqu'à ce que je sente que son souffle se fait plus difficile. Le relâchant finalement, j'en reste tout près, mais un questionnement s'inscrit dans mon esprit. Depuis quand es-tu gêné de m'embrasser? Le questionnais-je doucement alors que ma main glisse vers sa clavicule, se heurtant à ce vêtement d'hôpital qu'il aborde.
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mots : 1107 nightgaunt
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Description (3) : Please take me home ❤ Nixon 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
Please take me home ❤ Nixon Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Pouvais-je vous avouer à quel point j’avais eu peur dans ce wagon hier ? Pouvais-je vous confier à quel point l’angoisse avait tordu mon ventre lorsque je m’étais retrouvé couché sur le sol de ce métro que je n’empruntais jamais habituellement ? Putain de vie. Foutu destin à la noix. Bordel, cet événement avait été horrible et la peur m’avait complètement envahie. Alors, ouais, bien évidemment, j’avais eu peur pour ma vie comme n’importe quelle personne normale quand bien même Lukas aurait pu croire que je n’avais pas si peur que ça pour moi. Après tout, je m’étais comporté comme si je savais que tout allait bien se passer. Je m’étais comporté comme si j’étais habitué à une telle situation et que je savais que nous allions nous en sortir. Et, putain, je savais que je n’aurais jamais dû adopter un tel comportement. Encore moins devant mon sexy musicien. Cependant, je n’avais pas été en mesure de m’en empêcher. Non, ça avait été plus fort que moi. Les restes de la mafia avaient pris le dessus pour une fois. Les souvenirs de mon passé avaient cogné si fort en moi que je n’avais pas su les ignorer. J’avais réagi comme si j’étais encore en Italie et qu’on venait de subir une attaque. J’avais agi avec presque autant de calme que je l’aurais fait par le passé en soufflant mes consignes et en gardant la tête froide. Presque autant de calme bien évidemment… Parce que je n’étais plus en Italie. Parce que ce n’était pas une attaque contre la mafia. Et, parce que, putain, il n’y avait pas que moi. La peur n’avait pas pulsé uniquement pour ma vie ou ma jambe trop abîmée. Non, j’avais eu peur pour la vie de Lukas qui s’était retrouvé à mes côtés dans cet accident. J’avais eu tellement peur pour ce jeune homme qui faisait battre mon cœur si agréablement. L’inquiétude avait tant pulsé en moi pour l’état du jeune homme. J’avais été foutrement incapable de me concentrer sur tout ce qui se passait autour de nous dans ce métro. La panique m’avait tellement capturé après son black-out que j’avais fini par oublier comment m’en sortir. Et, bordel, ce n’était pas tout bien évidemment. À présent que Nixon se retrouvait dans ma chambre face à moi, je me rendais compte que la panique que j’avais ressentie dans ce métro le concernait lui aussi. Elle nous concernait. Je m’étais inquiété pour le sexy tatoué quand bien même je savais qu’il n’était pas dans le métro. Je m’étais inquiété parce que je savais qu’il allait m’attendre ce soir et que je n’avais aucun moyen de lui dire que je ne pourrais pas venir. Je m’étais inquiété parce que j’avais eu peur de ne jamais le revoir… De ne jamais pouvoir le remercier pour tout ce qu’il faisait pour moi… De ne jamais pouvoir lui avouer à quel point il comptait pour moi… Tellement plus que ce qu’il pouvait penser sans doute. Je m’en étais finalement sorti. J’étais dans cette chambre d’hôpital et Nixon se trouvait face à moi. Mon inquiétude revenait à la charge comme pour me rappeler toutes ces choses que j’avais pensé et que j’avais envie de dire au jeune homme. Des choses que je n’étais pas foutu de confier alors que Nix’ me questionnait sur mon état. Je lui répondais en paniquant totalement me perdant dans tout ce que je soufflais. Merde. Ce n’était pas de ma faute. Il fallait que je fasse tellement attention à ce que je soufflais que j’en perdais la tête. Nixon finissait par agir afin de me sortir de ce tourbillon infernal. Sa voix, sa présence, sa main dans mes cheveux… Pouf. Magie à l’état pur. J’étais soudainement calmé comme s’il avait encore et toujours ce super pouvoir sur moi. Tout devenait si relaxant et apaisant autour de moi que j’aurais pu m’endormir sans craindre les cauchemars pour une fois. Néanmoins, même si je fermais les yeux, je ne plongeais pas dans le sommeil. Non. Je préférais quémander un retour à la maison. Et, même dans une telle situation, l’artiste parvenait à m’apaiser et à me faire sourire. Il agissait comme si mes mots étaient normaux. Il agissait comme s’il était parfaitement logique que je considère son studio comme notre chez nous. Il agissait comme s’il était déjà prêt à aménager son salon juste pour m’accueillir sans le moindre problème et putain, ça me touchait tant. Il réchauffait tellement mon cœur. Les doigts de Nixon glissaient sous mon menton. Son regard dans le mien m’empêchait de me dérober et je ne pouvais que lui obéir lorsqu’il me demandait de ne pas quitter l’hôpital sans autorisation. Je l’acceptais sans même chercher à discuter… Enfin, je demandais quand même à Nixon s’il passerait me voir. Je ne savais pas combien de temps j’allais rester ici, mais je savais que je risquais de devenir dingue dans cette chambre si blanche et sans la moindre occupation. La télévision n’était pas pour moi. Ça m’ennuyait toujours en un quart de seconde. Heureusement pour moi, Nixon finissait par articuler ce ‘bien sûr’ qui réchauffait complètement mon être et me poussait à lui sourire si grandement, si sincèrement. Mes prunelles plantées dans les siennes, je finissais par lui souffler.

Merci… Je… Tu… T’es pas obligé d’venir tous les jours… Je… Je… J’espère que j’vais pas trop tarder à sortir… L’semaine prochaine normalement… À condition que j’accepte de marcher avec ces béquilles pour… Pour quelques semaines j’crois…

Je jetais un regard mauvais à ces béquilles qui reposaient pas très loin de mon lit comme pour me permettre de bouger sans réellement m’offrir un moyen de m’enfuir au loin. L’idée de devoir les utiliser ne me plaisait pas le moins du monde. Et le fait de ne pas savoir combien de temps cela risquait de durer était pire que tout. Bordel, je n’avais aucune envie de dépendre de ces choses moi. Je ne voulais pas être obligé de les utiliser pour me déplacer. Je ne voulais pas être ce gosse si faible et tellement pitoyable qui attirerait les regards de pitié sur lui. Je ne voulais pas… Mais, je savais déjà que je n’aurais pas le choix. Il faudrait que je les utilise quand bien même cela voulait dire que je ne pourrais plus utiliser ma moto et que je ne pourrais sans doute plus bosser pendant quelques temps. Oh, bordel, comment est-ce que j’allais faire pour m’en sortir ? Comment est-ce que j’allais me débrouiller pour garder la tête hors de l’eau ? Je ne savais pas. Heureusement pour moi, je ne me laissais pas entraîner dans des interrogations si déprimantes pour le moment puisque Nixon continuait de babiller à mes côtés me proposant d’enfiler ses vêtements si je venais chez lui sans la moindre affaire. Putain, ouais, j’étais carrément partant pour porter les vêtements de l’artiste moi. Cela ne me dérangeait pas le moins du monde que ce soit trop grand ou tâché de peinture. Tout ce que je retenais était que ces vêtements auraient le parfum de Nixon et ça me plaisait follement. Heureusement pour moi, je ne soufflais guère ces mots trop fous à haute voix. Non. Je me contentais de confier que je n’avais plus de vêtements pour sortir de cet hôpital. Lorsque Nix’ fronça les sourcils, je levais à peine le doigt pour lui indiquer l’espèce de bassines un peu plus loin. Cette foutue bassine qui dans laquelle se trouvait mon pantalon tout déchiré et coloré de mon sang. Mon tee-shirt devait être perdu dans le métro maintenant. Et mon pull… Nuls doutes qu’il devait être dans la chambre de Lukas, mais ça je me gardais bien d’en parler. Je ne voulais pas repenser à cet accident. D’ailleurs, je ne me perdais pas dans ces douloureux souvenirs encore une fois grâce à Nixon qui me demandait si j’avais besoin de quoi que ce soit parce qu’il me les rapporterait ce soir si je voulais. Est-ce qu’on pouvait m’expliquer comment j’avais fait pour dénicher une personne aussi parfaite au sein de ma vie ? Un sourire glissa sur mon visage tandis que je babillais comme un gamin hésitant : « Je… J’voudrais bien juste un sweat… et un jogging aussi… Les tiens… Les miens… Peu importe… S’tu veux j’te laisse la clé de chez moi que tu puisses y aller… Et si… Si en repassant ce soir, tu… T’peux me rapporter n’importe quoi de mangeable, je prends… Je pouffais légèrement suite à ma dernière demande. Mais, zut, j’avais l’impression de ne pas avoir mangé depuis des jours et je mourrais de faim. Ce n’était pas la nourriture de l’hôpital qui me donnait envie. Je rêvais de quelque chose qui ne me ferait pas faire la grimace. Je voulais simplement manger autre chose qu’un truc fade servi ici. Avec un peu de chance, Nixon pourrait me rapporter ça et partager un repas avec moi. Il me rapporterait surtout ces vêtements… Ce sweat et ce jogging que je demandais… C’était tout ce dont j’avais besoin pour traîner ici de toute manière. Je n’avais besoin de rien d’autre pour me vêtir. Dans le fond, je croisais les doigts pour que Nix’ me souffle qu’il allait me ramener les siens puisque cela me permettrait d’avoir son parfum autour de moi et j’en avais tant besoin pour me sentir rassuré. Je m’imaginais déjà avec son sweat sur moi au lieu de cette chemise qui me grattait. Putain, ouais, ce serait tellement bien. Je m’asseyais lentement dans le lit déposant ma main sur la joue de Nixon avant de lui confier que j’étais content qu’il soit là et je m’approchais trop hésitant. Mes yeux se perdaient sur les lèvres attirantes du jeune homme qui murmurait que je l’avais inquiété. J’aurais tant aimé lui présenter des excuses. Cependant, aucun mot ne semblait vouloir glisser entre mes lèvres. Non rien… De toute façon, j’étais bien vite trop occupé. Mon sexy tatoué s’emparait doucement de mes lèvres et je me laissais entraîner dans ce baiser dont j’avais tant besoin. Mon cœur s’affolait si délicieusement. Mon ventre se tordait déjà sous lé désir naissant. Et, putain, je me sentais en vie. Je me sentais à ma place. Je me sentais si bien. La main de Nix’ glissait dans mon cou entraînant des frissons sur son passage parce que ce matin, après avoir frôlé la mort, j’étais si réactif. Nixon finissait par s’éloigner de nouveau alors que j’étais à bout de souffle. J’ouvrais aussitôt les yeux plantant mes prunelles dans celles du jeune homme dans l’idée de me plaindre de la fin de ce baiser. Cependant, il me demandait depuis quand j’étais gêné de l’embrasser et je ne savais plus quoi dire. Bordel, et voilà que sa main glissait vers ma clavicule me poussant à perdre la tête. Il était fou de voir le pouvoir que Nix’ avait sur moi avec de simples petites caresses. Il me rendait dingue. Je fermais les yeux sous le contact des doigts qui glissaient sur ma peau. C’était si délicieux. Ça me faisait me sentir tellement en vie et putain c’était clairement appréciable en cet instant. Les yeux toujours fermés, je finissais par sourire un bref instant avant de souffler doucement.

Peut-être d’puis que j’ressemble à un raton-laveur tout cassé ?

Un léger rire passa entre mes lèvres avant que je ne mordille ma lèvre inférieure sous la nervosité qui cognait soudainement dans mon être. Putain, mais qu’est-ce que je disais ? C’était n’importe quoi. Je finissais par hausser doucement les épaules comme pour avouer qu’en vérité il n’y avait pas de raison à mon hésitation. J’haussais doucement les épaules comme pour souffler que je ne savais absolument pas pourquoi j’avais marqué une telle hésitation. Merde ! Pourquoi diable avais-je hésité à embrasser Nixon ? Peut-être à cause de tout ce qui pulsait en moi à cet instant… Tous ces sentiments trop forts qui risquaient juste de foutre la merde entre l’artiste et moi. Toutes ces sensations si puissantes qui risquaient de me rendre accro. Ou peut-être que j’avais simplement peur de ne pas savoir me contrôler au point de ne pas être capable de me contenter d’un baiser. Putain, je n’en savais rien dans le fond et j’avais babillé cette réponse qui ressemblait quand même à une ouverture dont je pouvais profiter. Je me reculais de quelques centimètres avant de bouger le bras pour parvenir à défaire le nœud de ma chemise d’hôpital. Et, avec une lenteur extrême pour ne pas arracher d’aiguilles, je faisais glisser la chemise le long de mes bras. Je la laissais tomber lentement permettant à Nixon de découvrir mon torse nu couvert d’un bandage. Je finissais même par bouger ma jambe droite afin de la sortir des couvertures pour que Nixon puisse voir le bandage entourant mon mollet. Et, là, je relevais les yeux vers mon sexy tatoué comme si je n’étais qu’un gosse qui avait fait une connerie. Enfin, en l’occurrence, je n’avais aucunement cherché qu’un tel accident arrive et m’inflige de telles blessures. C’était juste arrivé. Et, j’avais morflé. Beaucoup trop. Aussi, je profitais de ma phrase précédente pour donner l’occasion à Nixon de jeter un œil sur mon état. Je lui montrais les résultats de l’accident. Je lui montrais ces blessures qui me composaient à présent. Pourquoi est-ce que je faisais ça ? Je ne savais pas. Peut-être parce que, dans le fond, j’avais juste envie qu’il sache. Je savais déjà qu’en sortant de cette chambre blanche, je risquais de finir chez l’artiste alors autant qu’il soit au courant de tout ce que j’avais pour qu’il puisse m’aider et prendre soin de moi comme il savait si bien le faire. Je désirais simplement tout partager avec Nixon. Après quelques minutes, je glissais de nouveau ma jambe sous les draps. Cependant, je ne renfilais pas la chemise de l’hôpital. C’était foutrement compliqué. C’était fichtrement douloureux. Et, cela ne me gênait guère d’être torse nu face à Nixon. Bien au contraire. Je triturais mes doigts entre eux alors que, malgré moi, ma bouche s’ouvrait de nouveau « Je… Je… J’ai eu tellement peur Nix’… Je… J’savais pas si j’allais sortir de là-bas… Ce… C’était horrible… Il y avait tellement… Tellement d’monde… Et je… Putain… J’avais tellement peur d’plus jamais t’voir… Tu… Je… Bordel… T’es essentiel dans ma vie t’sais… Je… J’tiens vraiment beaucoup à toi… Vraiment… » Bordel de merde ! Je ne pouvais vraiment pas fermer ma bouche hein ? À cause de toute cette fatigue et des médicaments, je n’étais pas capable de tout contrôler comme je le faisais habituellement et voilà que je me mettais à souffler ça comme un con. J’osais à peine relever les yeux vers Nixon alors que ces propos si sincères venaient de m’échapper. Il avait fallu que ces mots si importants glissent entre mes lèvres. J’avais l’impression de ne pas lui avoir assez dit. J’avais l’impression de ne pas lui avoir fait comprendre à quel point j’étais heureux de l’avoir rencontré et à quel point ma vie était colorée grâce à lui. J’avais l’impression de ne pas lui avoir prouvé à quel point je pouvais être attaché à lui. Merde, est-ce que je pouvais lui dire que je l’aimais ? Les mots étaient sur mes lèvres. Je crevais d’envie de les laisser glisser. Cependant, j’avais trop peur de ce que ça pourrait impliquer. J’avais trop peur de tout foutre en l’air. Aussi, au lieu d’ouvrir la bouche, je me penchais vers Nixon sans la moindre hésitation cette fois. Je m’emparais des lèvres du jeune homme laissant une de mes mains venir se déposer sur sa cuisse. Je l’embrassais comme si ma vie en dépendait. Je l’embrassais avec passion, avec amour, avec attachement. Je l’embrassais et je me sentais en vie. Tellement bien. Malheureusement, je me retrouvais trop vite à bout de souffle et j’appuyais doucement mon front contre celui du jeune homme. Les yeux fermés, le souffle court, je confiais « Je… J’ai… envie de toi Nix’… » alors que ma main remontait lentement sur la cuisse du sexy tatoué. Quoi ? Comment ça ce n’était pas le moment ? Putain, j’avais eu la trouille de ma vie dans ce métro. J’avais cru que je ne le reverrais jamais. J’avais cru que j’allais peut-être y rester. Alors si clairement, c’était le moment…

@Nixon Sherwood
(Neal T. Hood-Spritz)
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Please take me home

Settle down, it'll all be clear
Don't pay no mind to the demons
They fill you with fear
The trouble - it might drag you down
If you get lost, you can always be found
Just know you're not alone
________________________
@Neal T. Hood ✧ Nixon Sherwood

   

Le doigt pointé, il m'explique me donne en partie un éclaircissement sur sa situation, indiquant une bassine où trempait ce que je devais deviner comme étant ses vêtements, j'imagine. Ceux qu'il ne peut plus mettre parce que tous déchirés. De toute façon, a-t-il vraiment besoin de ré-enfiler ce qui lui rappelleront probablement des situations de cauchemars? Non. Définitivement pas. Aussi, je lui demande simplement ce dont il a besoin, promettant de le lui rapporter le tout ce soir sans préciser quel arrêt sera nécessaire à son bonheur. Ses hésitations me tirent un sourire et je les chasses d'un revers de la main, comme si la question était réglée. Puisqu'elle l'est.

- Et que réclame ton estomac? Demandais-je sur un ton plus léger. Tant que ça se trimballe pas trop mal en plat pour emporter, ça me va. Si je dois faire ce repas moi-même… je vérifierai la complexité de la chose, disons, avant d'acquiescer. J'ai pas envie de passer quatre heures aux fourneaux. Même si ça lui tire un sourire, je préfère encore trouver quelque chose de plus rapide et passer les heures ici. Ça me semble plus logique.

M'inquiétant pour lui, un peu étonné de le voir réticent à m'approcher, à m'embrasser, la question sort d'elle-même, sans reproche, pour essayer de comprendre ce qui peut lui passer par la tête. Un sourire triste apparaît cependant sur mes lèvres à sa réponse. J’essaie de formuler mes pensées pour une fois, prenant le temps de choisir mes mots. Les bons mots. Pour dire les choses correctement. Ne pas le blesser. Ne pas être mal interpréter. "J'ai rien contre les ratons-laveurs" étant la première chose qui me passe par l'esprit, mais ça ne suffit pas. Une petite plaisanterie ne suffit pas ici. Il faudrait qu'il comprenne à quel point, je me moque de ses blessures. Non de le savoir blessé, ça il m'inquiète, c'est évident, mais je me fous de comprendre qu'il aura une cicatrice de plus à son actif. Celle-là, pourtant, je saurai d'où elle vienne. Peut-être que j'agirai différemment en fonction de l'information. J'en sais rien. Les autres, j'y passe parfois les doigts, doucement. Je les caresses, comme un motif sur sa peau. Presque'hypnotisant, en un sens. Envoûtant, à sa manière. Je ne cherche pas à comprendre leur origines, il me les donnera, un jour, si le coeur lui en dit. Ou peut-être que ça restera un secret à jamais. Je ne lui en tiendrai pas rigueur. Au plus, je déplore lorsqu’il se retrouve dans une bagarre, mais je ne suis pas non plus celui qui doit ou veut lui faire la moral à cet effet. Je préfère encore savoir que je détiens la place de celui vers qui il se tourne, une fois que c’est terminé et qu’il a besoin de panser ses blessures, de se reposer ou d’une épaule pour s’appuyer afin de se relever. Mieux encore, je préfère être celui vers qui il se tourne avant d’atteindre l’éclatement. Savoir qu'il vient chercher refuge dans mes bras avant de perdre la tête. Comme cette semaine. Comme lorsqu'il m'a demandé s'il pouvait rester au lieu de risquer de vriller tout seul. Affublez-moi du complexe du chevalier si vous le voulez, peut-être qu'il y a une part de vrai. Peut-être qu'il y a une part d'égoïsme aussi de ma part, de savoir que je peux être la raison de ses sourires ou des étincelles dans ses yeux. Allez savoir quand exactement, il s'est fait une toile sous ma peau, peut-être depuis le premier regard, quand les yeux ont trouvé une muse pour quelques heures et que le coeur a trouvé plus qu'un ami pour un temps infini.

Me décidant à ouvrir la bouche pour parler, même si je ne suis pas certain que tout sera cohérent, je ne prononce pourtant pas la moindre syllabe alors qu'il bouge, lentement, mais sûrement. À nouveau, par réflexe, mes yeux et mes mains suivent chacun de ses gestes à distance, prêt à l'aider au moindre problème, à la moindre grimace de douleur. Et j'en fronce les sourcils lorsqu'il fait glisser sa chemise d'hôpital. Neal, c'est pas…

La protestation de mon cerveau s'arrête avant même d'être formulée, mon incompréhension laissant place à une mine inquiète et désolé alors que je découvre ses blessures, mes yeux passant du pansement à son torse à sa jambe qu'il libère des couvertures pour me permettre de voir l'ampleur des dégâts. Ou du moins, m'en laisser une idée puisque les bandages cachent les blessures. Les blessures physiques tout au moins. Puisque lorsque sa jambe retourne sagement sous les draps, mes prunelles accrochant sur ses doigts qu'il triture me font relever la tête plus rapidement pour croiser son expression. Il trébuche, bredouille, mais continue de s'exposer, vulnérable à ma connaissance.

Et comme un con, je n'ai rien à répondre à tout ça. Devant ses bouleversements, devant ses aveux à demi-mots… en est-ce vraiment? Pour ça? Ou a-t-il simplement besoin de moi à défaut de n'avoir son autre ami sous la main. Je n'en sais rien. Mais je réponds tout de même à sa fougue, à son énergie, lorsqu'il m'embrasse, mes doigts trouvant le chemin de cou pour aller fourrager dans les cheveux sur sa nuque, ne daignant le relâcher faiblement que lorsque le souffle vient à lui manquer, ne pouvant malheureusement lui partager le mien aussi facilement.

Son front contre le mien, je tente de calmer mes battements de coeur qui cherchent à m'emplir les tympans un peu trop rapidement. Un façon rapide pour y arriver est ce frisson qui me remonte le long de la colonne vertébrale, me faisant ouvrir les yeux alors qu'il souffle une plainte à mon égard.

- Pas comme ça Neal, murmurais-je en interceptant doucement sa main avant qu'elle n'atteigne le but qu'il s'est fixé. Mes lèvres glissent à nouveau sur les siennes avant qu'il ne se fasse des idées, qu'il ne pense qu'il ne m'attire plus. Me redressant juste assez pour pouvoir le regarder, mes doigts quittent sa nuque pour balayer sa joue et se glisser sous son menton tranquillement, sans pression. J'ai peur de faire encore plus mal, mon beau, avouais-je, sans détour aucun, optant pour une franchise crue qu'un lot de rubans et de paillettes qui, au final, ne voudront rien dire. Ne penses pas que t'aie perdu ton pouvoir d'attraction sur moi, indiquais-je avec un demi-sourire, tu sauras toujours comment rendre dingue de la meilleure des façons, confirmais-je en passant la pulpe de mon pouce sur sa lèvre inférieure, mes pupilles suivant le mouvement instant tandis que j'en mordille la mienne sans même m'en rendre compte. Mais laisses-toi un peu de temps. Donnes-toi une chance de guérir avant d'essayer de retrouver l'énergie de faire flamber un lit. Libérant sa lèvre de mon pouce, je ne le laisse pas prononcer le moindre son avant d'y apposer les miennes avec une lente tendresse, une douce passion. Lorsque son souffle se fait un peu plus court, j'en dépose encore un baiser au coin de ses lèvres continuant sur sa joue, remontant sur sa pommette pour y laisser un nouvel effleurement, puis près de son oeil, juste un peu plus bas que sa tempe. Ça s'apprivoise pas trop un raton-laveur, je crois, souris-je contre sa peau, dans un murmure. Mais sinon, on fera du kintsugi, Nealou : t'es pas tout brisé, t'as de l'or pleins les veines, indiquais-je en serrant sa main encore poser sur ma cuisse, posant à nouveau à nouveau mes lèvres sur sa tempe, l'attirant un peu plus près de moi. Suffit juste que t'arrives à te voir comme moi je te vois… soufflais-je encore.
________________________
mots : 1107 nightgaunt
(Invité)
Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : Please take me home ❤ Nixon 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : Please take me home ❤ Nixon MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : Please take me home ❤ Nixon 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
Please take me home ❤ Nixon Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
De quoi avais-je besoin ? Sincèrement, j’aurais aimé vous souffler que j’avais simplement besoin que toutes ces dernières heures s’effacent complètement de mon esprit et de ma vie parce qu’elles étaient en train de tout foutre en l’air. Elles étaient en train de me foutre en l’air. Putain. J’avais juste besoin que ce métro disparaisse de ma tête quand bien même je savais déjà que c’était foutu. Je savais qu’il allait me hanter pour de longs mois et rendre mes phases de sommeil foutrement compliquées. Je savais déjà que l’horreur risquait de me courser chaque nuit. Ça m’effrayait tellement que j’avais presque l’envie de prendre mon flingue afin de me tirer une balle en pleine tête. Je n’étais pas prêt à subir ça. Je désirais tout arrêter avant même que ça ne puisse commencer. Je voulais mettre un frein à cette horreur avant qu’elle ne puisse me dévorer entièrement. J’étais déjà trop faible. Bordel. J’avais tant besoin que cet accident s’évapore entièrement de mon corps. Néanmoins, je savais que ce n’était guère possible. Plus maintenant. Les blessures étaient là. Foutrement réelles. Fichtrement oppressantes. Elles ne pouvaient guère disparaître en un clin d’œil et j’allais devoir apprendre à vivre avec. J’allais devoir apprendre à négocier mon quotidien avec ces douleurs et ces imprévus. J’allais devoir apprendre à voir mon futur avec ces nouvelles cicatrices et ces nouvelles contraintes quand bien même c’était loin de me plaire. Merde. J’avais tellement besoin que ces souvenirs quittent mon esprit parce qu’ils me faisaient tellement mal. En cet instant, je ne voulais plus ressentir cette peur qui avait tordu mon ventre pendant de si longues minutes dans ce wagon de l’horreur. Cette peur pour mon futur et ma santé. Cette peur pour Lukas et mes autres proches possiblement dans le métro ou à l’extérieur à s’en faire pour moi. Cette peur pour l’après métro et cette vie qui en changerait. Zut, je ne voulais plus laisser cette angoisse dévorante prendre le dessus dans cette chambre d’hôpital. Malheureusement, elle résonnait encore en moi parce que j’allais devoir utiliser ces putains de béquilles et parce que, merde, je ne savais pas réellement comment allait Lukas. Kat’ m’avait dit qu’il allait bien, mais je ne l’avais pas vu et ça m’inquiétait toujours. Ça me heurtait trop profondément. Ça me dérangeait si désagréablement. Je ne voulais plus penser à cette douleur dévorante qui mordait mon mollet et mon torse au moindre mouvement. Malgré les antidouleurs, je ressentais toujours ces pics qui me faisaient regretter ma conscience. Enfin… Au moins, tant que j’étais conscient, je ne pensais plus à ces images qui me faisaient si mal et je parvenais à occulter en parti cette histoire digne de la pire horreur. Alors… De quoi avais-je besoin ? Pour être tout à fait honnête avec vous, à cet instant précis, j’aurais aimé souffler de but en blanc à Nixon que j’avais juste besoin qu’il me fasse l’amour. Là. Tout de suite. J’avais besoin de sentir ses lèvres sur les miennes qui m’emportaient dans un autre univers. J’avais besoin de sentir ses doigts sur ma peau qui savaient me rendre complètement fou. J’avais besoin de son corps contre le mien qui avait le pouvoir de me faire tout oublier. Putain, ouais. J’avais besoin que mon sexy tatoué m’apaise comme lui seul savait si bien le faire. J’avais tant besoin qu’il me fasse me sentir en vie. Je voulais tant qu’il me fasse ressentir toutes ces choses qui me semblaient trop loin à présent tant l’angoisse, la douleur et l’horreur étaient au premier plan de ma vie. Je voulais juste quelque chose de plus fort que tout ça. Quelque chose qu’il pouvait faire. Quelque chose qui me ferait perdre la tête et oublier. Quelques temps. Pitié, j’en avais tant besoin. Malheureusement, je ne pouvais aucunement lui demander ça. Je ne pouvais pas demander au jeune homme de me faire l’amour dans cette chambre et tout de suite… N’est-ce pas ? Non. Je n’avais pas le droit. Je lui en demandais déjà tellement. Il allait venir me voir dans cette prison blanche pendant que j’y serais coincé. Il était là aujourd’hui. Et, il reviendrait un peu plus tard pour répondre à mes besoins… Des besoins matériels puisque c’était sur cela que Nixon me questionnait à cet instant. De quoi avais-je besoin ? Je m’efforçais d’occulter toutes les folles idées qui me traversaient la tête et qui voulaient glisser entre mes lèvres. Je finissais par réfléchir réellement à quelque chose de concret qu’il pourrait me donner. Et, je finissais par répondre correctement. Il me fallait des vêtements pour remplacer cette blouse dérangeante. Un simple sweat et un jogging auraient le pouvoir de me rendre heureux alors s’il pouvait m’apporter ça, j’étais partant. Encore plus s’il s’agissait des siens parce qu’il y aurait son parfum rassurant autour de moi même lorsque je me retrouvais seul dans cette chambre. Cette idée me plaisait tellement. J’hésitais quelques secondes avant de bredouiller comme un gosse une autre demande : quelque chose à manger. Quelque chose de mieux que ce qu’on proposait comme menu à l’hôpital. Mon sexy tatoué balayait toutes mes hésitations d’un revers de la main et, putain, je craquais un peu plus pour lui encore. C’était comme si, encore une fois, Nixon était prêt à tout pour moi et mon cœur cognait agréablement dans ma poitrine à cette idée. Il me demandait soudainement ce que réclamait mon estomac. Oh damn… C’était la bonne question ça et en toute sincérité, je ne parvenais pas à savoir sur le champs. Mes sourcils se fronçaient pendant quelques secondes. Plusieurs plats me faisaient follement envie. Plusieurs plats de chez moi. Mais, ils n’étaient guère aisés à préparer ou alors ils prenaient trop de temps et je ne voulais pas ça. Je ne voulais pas que Nix’ passe des heures derrière les fourneaux pour moi. Non. Alors quoi ? Oh… Attendez… La lumière se faisait soudainement dans ma tête et un sourire étirait aussitôt mes lèvres. Je savais ce que j’avais envie de manger. Je savais quoi demander à Nixon. Relevant les yeux vers lui, je quémandais soudainement.

Une pizza ?

Mes yeux brillaient comme ceux d’un gamin qui venait d’avoir une idée merveilleuse et qui priait pour qu’elle se réalise. Je ressemblais sans aucun doute à un gosse qui venait de sortir d’une horrible phase et qui espérait de tout cœur qu’on dise oui à ce qu’il proposait. À son petit caprice. Franchement, une pizza serait plus que parfaite pour mon estomac. Je savais que cela me calerait suffisamment pour le week-end même si je ne touchais pas aux plateaux repas qu’on me servirait ici parce que la nourriture ne me plairait pas. Cette pizza aurait sans doute le pouvoir de me redonner quelques forces. Elle empêcherait peut-être ma tête de tourner au moindre mouvement un peu trop brusque… Ou peut-être qu’elle n’y pourrait rien parce que c’était plus psychologique que physique. Je ne parvenais plus à faire la différence. Je n’en savais foutrement rien. Puis, zut, ça importait peu parce que je voulais quand même ma pizza. Et, damn, dans le fond, j’espérais aussi que manger quelque chose originaire de mon pays natal parviendrait peut-être à m’apaiser. Je croisais les doigts pour que cela arrive au moins à calmer ma violente angoisse. C’était sans doute stupide d’espérer une telle chose. Ce n’était qu’une pizza… Elle n’aurait aucunement les moyens de noyer tous mes soucis et de me guérir… Enfin… Manger quelque chose de connu parviendrait peut-être à me rassurer un peu sur la réalité et sur le fait que j’étais bel et bien en vie. Aussi je demandais cette pizza à Nixon et mon ton demeurait interrogatif comme si je ne voulais rien lui imposer. C’était comme si je lui demandais son accord avant de réellement faire ma demande de nourriture. Je voulais être sûr que ma demande conviendrait parfaitement à l’emploi du temps de Nixon et qu’il pourrait me rapporter cela sans que ça ne l’embête trop de venir jusqu’ici avec ça dans les bras en plus des vêtements. Je voulais être sûr et certain. Zut, quand bien même mon sexy tatoué semblait vouloir balayer toutes mes hésitations, j’étais encore à hésiter tant je détestais le déranger. Je ne voulais aucunement être un poids qu’il traînait derrière lui parce qu’il se sentait contraint ou obligé. Je ne voulais pas être une contraire dans la vie du jeune homme. Enfin… Normalement, il n’y avait aucune raison pour qu’il me refuse cette pizza. Il n’y avait aucune raison pour que ce soit une contrainte. Une pizza était facilement trouvable au sein de Boston et elle était encore plus aisément transportable. Il n’y avait donc aucune raison pour que Nixon me souffle de choisir autre chose. N’est-ce pas ? Je finissais par m’asseoir lentement sur le lit avant de déposer ma main sur la joue de mon sexy tatoué pour lui confier que j’étais heureux qu’il soit là. Avec moi. Dans cette chambre. Aussi rapidement. J’avais follement envie de l’embrasser. J’avais tant envie de lui dire tellement de choses. Néanmoins, je ne faisais rien. Non. Rien. Ce fut Nixon qui franchissait les derniers centimètres nous séparant. Il s’emparait de mes lèvres doucement et c’était juste délicieux. C’était exactement ce dont j’avais besoin en cet instant. Mon cœur s’accélérait de la meilleure des façons et ça me rassurait tellement. Je me sentais en vie. Je me sentais de nouveau à ma place. Et, putain, c’était mille fois mieux qu’une pizza. Le désir s’éveillait déjà à l’intérieur de mon bas-ventre. Mais, zut, ce n’était pas de ma faute. J’étais foutrement trop réactif au moindre contact de mon Nix’ à cet instant. Sa main dans mon cou me rendait complètement fou à tel point que j’avais envie de lui souffler de me prendre. Là. Tout de suite. Malheureusement, Nixon s’éloignait de moi et je me retrouvais à bout de souffle entendant alors la question sur mon hésitation à l’embrasser. Je prétendais que c’était dû à ma ressemblance avec un raton laveur tout cassé, mais je savais qu’il y avait tellement plus. J’avais hésité à cause de ces sentiments trop forts qui s’étaient éveillés violemment. J’avais hésité à cause de ces sensations si puissantes qui cognaient en moi. J’avais hésité à cause de cette putain d’addiction qui risquait de naître et de perturbe mon futur. Et, putain, bien évidemment, j’avais hésité à cause de ce désir que je ne saurais guère brider. Je finissais par me détourner de toute cette réalité en faisant glisser ma chemise d’hôpital le long de mon torse. Je sortais ma jambe de sous les couvertures comme pour me mettre encore plus à nu aux yeux de mon sexy tatoué. Nixon avait ainsi l’occasion de voir les bandages sur mon corps et de mesurer plus ou moins l’ampleur de mes blessures suite à l’accident du métro. Il ne voyait pas tout. Il n’en voyait certainement pas assez pour tout comprendre. Mais, il savait au moins où je souffrais maintenant et c’était tout ce qui comptait pour le moment. Sa mine inquiète et désolée me faisait tellement de mal. Je ne supportais pas de voir le jeune homme ça. Je ne supportais pas Non. Alors, je me mettais à triturer mes doigts entre eux comme un gamin qui hésitait à prendre la parole parce qu’il avait peur de faire une connerie. Et, malgré ça, sans la moindre hésitation, je venais quand même confier ce qui me passait par la tête. Je mettais des mots sur ce qui pulsait en moi. Ma peur de ne pas sortir du métro. Ma peur de ne plus le voir. Lui qui était si essentiel à ma vie et à qui je tenais si réellement. Je n’osais pas relever les yeux vers Nixon tout de suite parce que je ne voulais pas savoir ce qu’il pensait après ces révélations. Ces foutues révélations qui le laissaient trop silencieux au point de venir écorcher mon cœur douloureusement. Heureusement que je n’étais pas allé aussi loin que mon cœur me le hurlait. Heureusement que je ne lui avais pas dit que je l’aimais putain. Le silence s’éternisait et ça tordait si désagréablement mon ventre. Je n’aimais pas ça tant et si bien que je finissais par me pencher vers Nixon pour m’emparer de ses lèvres. Une de mes mains se déposait sur sa cuisse tandis que je l’embrassais avec un peu trop d’amour, fichtrement trop de passion. La main de Nixon glissait dans mes cheveux dans ma nuque et je le voulais tellement. À bout de souffle, je déposais mon front contre le sien avant de confier mon envie. Cette envie qui cognait depuis de trop longues minutes. Ma main remontait tranquillement sur la cuisse de Nixon espérant obtenir ce que je demandais. Mais, elle était trop rapidement interceptée m’empêchant de monter plus haut. Et Nixon soufflait ce ‘pas comme ça’ qui me faisait froncer les sourcils et foutrement douter. Est-ce que maintenant je n’étais qu’un objet trop cassé et inintéressant ? Je mordillais ma lèvre avant de souffler.

Mai…

Je ne pouvais même pas me plaindre de ce refus qu’il m’imposait. Foutrement trop soudain. Fichtrement trop douloureux. Je ne pouvais même pas chercher à contredire mon sexy tatoué. En tout cas, pas suffisamment longtemps afin de développer un réel argumentaire qui aurait peut-être fini par me faire gagner cette partie. Après tout, face à Nixon, je pouvais toujours gagner. J’avais toujours les bons pouvoirs pour me mener à la victoire. Je savais toujours comment agir afin de faire craquer le jeune homme et l’entraîner ainsi sur le chemin que je désirais tant. Enfin… En règle générale… Parce que là, ça me semblait complètement foutu. Je ne pouvais guère argumenter plus que ce début de mot puisque les lèvres de Nixon se posaient de nouveau sur les miennes. Et, franchement, je n’avais aucune envie de mettre fin à notre baiser simplement pour pouvoir babiller quelques mots supplémentaires qui risquaient de ne rien changer à la situation dans laquelle je me trouvais. Je le pressentais au fond de moi. Quelque chose me criait que je ne pourrais pas gagner aisément aujourd’hui. Que je ne gagnerais pas du tout même. Pas dans mon état. Pas avec ce Nixon si bienveillant et protecteur envers moi. Aussi, je préférais m’abandonner dans ce baiser. Je profitais simplement de nouveau contact qui fut foutrement trop court d’ailleurs puisque Nixon ne tardait pas à se redresser en me regardant. Mes prunelles sombres – emplies de désir pour lui – se plantaient dans les siennes tandis que j’attendais foutrement trop conscient que quelque chose allait venir. Il ne m’avait pas simplement embrasser pour m’empêcher de me lancer dans une argumentation qu’il risquait de perdre. Non. Il l’avait fait comme pour me rassurer sur ce qu’il ressentait à mon égard. Il l’avait fait comme pour m’aider à accepter ce refus quand bien même il ne me plaisait pas le moins du monde. Les doigts de Nixon quittaient ma nuque pour balayer ma joue avant de se glisser de nouveau sous mon menton. Et, lorsqu’il avoua qu’il avait peur de me faire encore plus mal, un petit sourire glissa sur mes traits alors que, malgré moi, je secouais lentement la tête de gauche à droite. Je secouais négativement la tête comme pour lui dire que putain je m’en foutais totalement moi. Je me fichais de souffrir encore plus. Je me foutais d’avoir une période de convalescence un peu plus élevée. Ça ne comptait pas. Pas alors que j’avais juste tant besoin de lui. J’avais tellement besoin de le sentir contre moi. J’avais tant besoin qu’il m’aide à sortir de cet enfer dévorant. Pitié. Mais, non, mon sexy tatoué ne s’arrêtait pas sur mes actes. Il continuait de parler avec un demi sourire pour me confier que je ne devais pas penser avoir perdu mon pouvoir d’attraction sur lui. Il avouait même que je saurais toujours comment le rendre dingue de la meilleure des façons. Un petit sourire amusé étirait mes traits alors que la pulpe du pouce de Nixon glissait sur ma lèvre inférieur. Merde, il allait me rendre vraiment trop fou. Encore plus à se mordiller la lèvre comme ça juste sous mes yeux. Est-ce qu’il se rendait compte de son pouvoir d’attraction ? Est-ce qu’il se rendait compte d’à quel point il était sexy et envoûtant là tout de suite ? J’avais envie d’arracher l’aiguille plantée dans mon bras pour lui sauter dessus sans même attendre, sans même réfléchir à mes douleurs ou à mes actes. Il me rendait tellement dingue. Heureusement pour moi, la voix du jeune homme résonnait de nouveau et je me concentrais sur ce qu’il disait essayant d’occulter le contact si délicieux qu’il avait établit avec moi. Il me disait de me laisser un peu de temps, de me donner une chance de guérir avant d’essayer de retrouver l’énergie de faire flamber un lit. Nix’ libérait ma lèvre de son pouce avant de s’en emparer de nouveau avec une tendresse renversante. Une passion dévorante. Le baiser me laissait bien trop vite à bout de souffle. Les lèvres de Nixon se posaient au coin de mes lèvres, sur ma joue. Il remontait sur ma pommette avec un effleurement qui me faisait frisonner. Il déposait un baiser près de mon œil en disant que ça ne s’apprivoisait pas trop un raton-laveur et, malgré moi, je rétorquais du tac au tac « J’suis sûr que t’es capable de tout apprivoiser toi ! » Un petit rire glissa entre mes lèvres suite à cette réflexion complètement stupide. Nixon souriait contre ma peau et je fermais les yeux l’écoutant me murmurer qu’on ferrait du kintsugi, je n’étais pas tout brisé, j’avais de l’or plein les veines. Sa main serrait la mienne encore sur sa cuisse. Ses lèvres se posaient sur ma tempe de façon si rassurante. Il m’attirait un peu plus près de lui avant de me souffler que je devais juste réussir à me voir comme il me voyait. Je me laissais emporter. Les larmes me montaient aux yeux. J’étais foutrement trop touché. J’étais fichtrement trop épris. Putain, je ne savais absolument pas quoi souffler après tout cela. Je ne savais plus comment j’étais censé réagir après ces mots qu’il venait de me souffler. Je secouais lentement la tête de droite à gauche comme si je ne parvenais pas à croire à tout cela. Toute cette tendresse. Tout cet amour. Tous ces mots si doux. Les larmes se mettaient à glisser silencieusement sur mes joues alors que je soufflais soudainement « Je… Putain… Qu’est-ce que j’ai fais pour te mériter Nix’ ? » La question cognait réellement entre nous. Elle cognait réellement à l’intérieur de ma tête. Merde… Nixon était si beau. Il était si parfait, si prévenant, si doux. Et moi… Moi j’avais tellement de chance de l’avoir à mes côtés. Tout le temps. Depuis des mois. Je me sentais si chanceux. Alors, la question glissait entre mes lèvres en même temps qu’un doux sourire se dessinait sur mon visage. Je venais déposer un rapide smack sur les lèvres de Nixon avant de finir par m’éloigner de lui pour bouger. Lentement. Je calculais tout. Je tendais le bras pour rapprocher ma perfusion. Je repoussais les couvertures afin de dégager mes jambes. Et, doucement, je bougeais afin de venir me coller à Nixon. J’en avais trop besoin. J’en avais tellement envie. Avec une grimace, mes jambes venaient se poser sur les genoux du sexy tatoué et je me faisais glisser jusqu’à ce que je sois collé à lui. Ma tête se déposait sur son épaule. Je me blottissais réellement contre Nixon et ça n’avait rien de sexuel, malgré mon désir violent pour lui. Je fermais lentement les yeux. Je profitais pleinement du contact. Je sombrais avec délice dans cet apaisement tant et si bien que je finissais par souffler ce qui avait déjà cogné plus d’une fois dans ma tête et ce qui ne cessait de cogner dans mon cœur. Le « Je t’aime Nix’... » passait mes lèvres sans même que je m’en rende réellement compte. C’était juste trop naturel. C’était simplement normal. Et merde… Ça sonnait si sérieux. Si sincère. Ce n’était pas juste un ‘je t’aime’ qu’on pouvait balancer à un ami comme ça. Ce n’était pas juste un ‘je t’aime’ qu’on soufflait à quelqu’un de proche. NON. Pas là. Putain. Ça avait une toute autre signification. C’était plus fort. C’était plus profond. C’était empli de désir. C’était empli d’amour. Et, je percutais soudainement ce que je venais de faire. Je me redressais si vite que je gémissais sous la douleur qui percutait mon torse suite à ce mouvement brusque. Ma tête s’était décollée de l’épaule de Nix’. Mais, mes jambes étaient toujours sur lui. Mon ventre se tordait violemment. Je n’aurais jamais dû souffler de tels mots. La panique pulsait dans mon cœur. Je voulais me laisser glisser à reculons dans le lit. Je voulais m’éloigner pour lui laisser la possibilité de partir. Mais, je ne parvenais plus à bouger. J’étais tellement perdu que je finissais par babiller « Je… Je… Tu… D… Je… » Incapable de faire une phrase. Incapable de m’excuser. Un pauvre abruti qui venait de laisser parler son cœur un peu trop réellement. Un petit con qui venait de commettre une erreur...

@Nixon Sherwood
(Neal T. Hood-Spritz)
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Please take me home

Settle down, it'll all be clear
Don't pay no mind to the demons
They fill you with fear
The trouble - it might drag you down
If you get lost, you can always be found
Just know you're not alone
________________________
@Neal T. Hood ✧ Nixon Sherwood

   

Son regard, comme celui d'un gamin lorsqu'il demande pour cette pizza arrive à me tirer un souffle de rire. Il me fait l'impression que si je la lui ramène, ce sera comme si j'offrais un matin de Noël à un enfant de cinq ans. Bon, j'exagère peut-être un peu, mais n'empêche… Aussi, j'avoue que je n'ai pas eu le déplaisir de goûter la nourriture ici, mais pour le peu que j'ai pu faire en séjour dans les hôpitaux dans ma courte vie, j'admets qu'outre le département pour enfant, ça ne semble pas génial. Après, peut-être est-ce simplement que ça me semblait si bon dans mon souvenir parce qu'on m'accordait autant de crème glacée à la fraise que je pouvais souhaiter. Chose que je suis désormais incapable d'avaler.

- Accordé, soufflais-je tout de même à l'attention de Neal, le rassurant ainsi sur l'un des repas à venir dans sa journée. Que ça fasse le plaisir du service infirmier ou non, ça, je n'en ai cure. Si c'est ce qu'il demande, c'est ce qu'il aura. Déjà que je m'attendais à quelque chose de nettement plus compliqué. Pas que ça m'aurait franchement dérangé de traverser la ville si ça pouvait lui rendre le sourire au moins momentanément, mais j'aurais cru avoir besoin de me casser la tête un peu plus. Pourtant, je n'ai désormais qu'à passer chez moi, récupérer quelques vêtements et autres basiques, flanqué le tout dans un sac et sur le chemin du retour, je n'aurai qu'à faire un petit crochet. Il y a un petit italien près du campus, je devrais pouvoir y trouver son bonheur.

Oh…
Faisant soudainement le rapprochement entre son accent qui pointe à tout moment, son intérêt certain pour la pizza dès qu'on cherche quoi commander par flemme de faire la cuisine et le petit restaurant, un léger sourire doux étire mes lèvres à son attention. Il est italien, si j'ai bien compris. ...malgré qu'il pourrait bien être espagnol que je ne saurait pas faire la différence! Mais, j'en reste tout de même avec l'impression que c'est une saveur de la maison. Le genre de met habituel qui nous vient automatiquement à l'esprit lorsqu'on ne sait quoi décider, parce que c'est usuel. Un goût habituel et peut-être réconfortant vers lequel se tourner lorsque le moral est bas, pour essayer de se donner un encouragement. Un peu comme les pêches grillées peuvent faire des miracles avec moi. Je m'imagine peut-être certains scénarios pour les motivations de du brun devant moi, mais peu importe, dans son état, je n'ai pas envie de lui refuser une telle demande. Déjà qu'en temps normal, j'ai de la difficulté… Il a un don particulier pour arriver à ses fins, disons-le.

Mais pourtant, aujourd'hui, il m'intrigue à ne pas venir le chercher. À ne pas m'embrasser de lui-même, attendant que je réduise les derniers centimètres qui nous séparent comme s'il n'osait pas le faire. Trop direct peut-être, la question franchit mes lèvres et je n'aime pas ce que j'entends, sans pour autant être véritablement capable de formuler la moindre réponse pour le calmer. Voulant trop choisir mes mots, de peur de le blesser alors qu'il m'explique davantage, je finis par en rester muet, incapable de formuler quoi que ce soit. Du moins, jusqu'à ce qu'il pose ses lèvres sur les miennes, me permettant de lui faire comprendre autrement que je n'en ai rien à faire qu'il aie une cicatrice ou douze. Tant qu'il puisse bien se porter. Cependant, il me ramène à la raison, m'envoyant un long frisson le long de l'échine alors que sa main s'égare sur ma cuisse et qu'il me fait part de son envie. Pas maintenant, mon beau. Pas comme ça. Ce n'est pas ce dont tu as besoin présentement, crois-moi. Et même si c'était le cas, j'ai la trouille de créer plus de douleur que de bien-être, d'aggraver les choses plus que de les améliorer. Et avant de créer des dommages autrement, je finis par ouvrir la bouche pour lui parler, lui expliquer : ce n'est pas un refus à tout jamais, mais il doit patienter un peu et se laisser le temps de guérir. Une fois sorti de cet environnement trop blanc et aseptisé, on pourra bien reprendre là où on avait arrêter. Peut-être un peu plus lentement ou délicatement au départ, mais, ça, on verra bien rendu là. Il a un don pour faire monter la vapeur, je ne pense pas qu'il l'aie nécessairement perdu parce qu'il est blessé, alors ça me demandera peut-être un plus grand effort mental pour me contrôler face à lui. Rejetant la peur que je peux avoir de causer bien des maux, il reste tout de même assez sage pour comprendre mon point de vue et ne pas insister. Assez éveillé, il rebondit facilement sur ma remarque sur les ratons-laveurs, m'assurant que je peux probablement tout apprivoiser.

- Je veux bien essayer, répondis-je sur le même ton que lui, calant un léger rire contre le sien avant de poursuivre, proposant de lui apprendre une technique de réparation japonaise que j'ai toujours apprécié et qui, aujourd'hui, me la fait lui associer. Ces cicatrices, depuis le début, ont su le détacher de la masse, me le rendre intéressant et envoûtant. Et si je n'ai pas besoin de savoir d'où elles viennent, je ne les regarde aucunement d'un mauvais oeil. Elle me rappelle ces réparations qui, loin de cacher les imperfections, les font briller au grand jour avec de la poudre d'or mélangé à la colle. C'est d'une beauté assourdissante à ceux qui savent le voir. Il suffit parfois de regarder le monde différemment.

Le serrant contre moi, je le laisse secouer la tête, attendant d'entendre un opposition qui tarde à venir. J'en sens plutôt, contre mon menton, ce que je devine être des larmes, fermant simplement les yeux sans passer le moindre commentaire, attendant que l'orage passe. J'y resterai des heures s'il le faut. Mais il a besoin d'évacuer, de se libérer et si c'est ainsi que ça passe, soit, ce sera ainsi. Pourtant, il ne reste pas silencieux aussi longtemps que je le croyais et sa question me tire un léger sourire amusé contre sa peau.

- T'as eu assez de cran pour poser nu dans un cours universitaire, répondis-je mi-plaisantin, mi-sérieux. Après tout, c'est bel et bien la raison de notre rencontre. Et ça prend un certain courage pour s'exposer ainsi. Courage, maîtrise et confiance en soi ...ou une certaine stupidité, ce qui serait probablement le point qui m'aurait pousser à le faire. Un pari stupide aurait pu me faire me dévêtir ainsi et poser. Autrement, je n'en trouve pas tellement l'intérêt. Pour Neal, je n'ai jamais vraiment demandé quelle était sa motivation principale, mais avec ses agissements une fois rendu chez moi, alors que nous n'étions que nous deux, j'ai mis le tout sur le compte de la confiance en soi. Et peut-être l'idée de remporter un défi qu'il s'était lui-même lancé. Les cicatrices qui orne son corps sont difficiles à rater une fois que ses vêtements ne les cachent plus. Et sous les yeux d'une trentaine de personnes, c'est évident que ça ne passerait pas inaperçu. Donc, est-ce que c'était pour prouver que ça ne dérange rien? Que personne ne dirait rien? Peut-être. Si c'est le cas, ça a dû être un succès sur le coup, puisque la prof veille normalement à ce qu'il n'y aie pas une parole échangée durant l'heure de dessin. Pas le moindre murmure n'est accepté, que le bruit du crayon sur la feuille. Je me souviens cependant avoir conseillé à une fille, la semaine suivante, de ne pas terminer la phrase qu'elle s'apprêtait à formuler, ayant clairement compris que ses propos ne seraient pas des plus délicats pour demander si Neal serait encore le modèle attitré. Elle a dû me trouver particulièrement froid et désagréable. Mais je n'avais pas envie d'être gentil et courtois à ce moment. Encore peut-elle se compter chanceuse; certains se serait pris mon carnet de dessins sur la tête pour ce genre de paroles. Et j'ai parfois un manque de délicatesse des plus horribles, j'en ai bien conscience. Mais bref… Ça n'en reste pas moins que cette petite heure de cours, inoffensive et totalement ordinaire à la base, où l'on s'est rencontré, mon Robin et moi, est le déclencheur de beaucoup plus aujourd'hui. On ne prévoit pas croiser des gens comme lui. Ils passent sur votre route à un moment et, avant qu'on ne s'en soit réellement rendu compte, ils se taillent une place des plus importantes dans votre vie sans que vous n'en ayez vraiment le contrôle et sans que vous ne désiriez faire autrement. Alors, oui, ça n'aurait pu être qu'un cours banal, mais lui ne l'est pas. Il a su capter mon attention et, aujourd'hui, il est vachement plus qu'un simple modèle dont les seuls souvenirs ne sont que des esquisses sur papier.

Sentant le brun se redresser, je relâche ma prise, lui laissant sa liberté de mouvement avant de m'étonner de recevoir un smack. Smack qui a l'avantage de me tirer un nouveau sourire amusé alors que j'en fronce pourtant les sourcils cherchant à savoir ce que Neal peut bien vouloir faire. Et si je crains un instant qu'il se lève, cette hypothèse est rapidement écartée lorsqu'il se déplace dans ma direction, venant se poser à demi sur moi pour se blottir un peu plus. Sans me faire prier, une main passe dans son dos, tandis que l'autre remonte, par habitude et non pour mal faire, sur son mollet sans blessure, avant d'arrêter à son genou et ignorer le reste pour se poser sagement sur sa hanche. Tournant légèrement la tête, après que la sienne se soit poser sur mon épaule, j'en ferme les yeux, le nez entre ses mèches, attendant qu'il s'endorme dans mes bras, à défaut de se laisser emporter par ceux de Morphé. Pourtant, si son souffle se fait plus calme, sa voix se fait tout de même entendre, me faisant ouvrir les yeux d'un coup de par les mots qui tombe.

Il…

Mes lèvres s'incurvant doucement vers le haut, je n'ai qu'à peine ouvert la bouche qu'il remue brusquement, manquant de m'envoyer un coup de boule au visage. L'expression effrayée qu'il aborde me fait perdre le sourire qu'il m'avait tiré, le modifiant pour afficher un certain regret. Pourtant, ma voix est relativement naturel lorsque je m'adresse à lui, peut-être simplement adouci pour essayer de le calmer.

- Doucement… indiquais-je, tentant de lui rappeler qu'il est blessé et ne devrait pas bouger si rapidement. Au gémissement qui s'est échappé de ses lèvres, ce n'est probablement pas nécessaire, il s'en est probablement souvenu tout seul, mais bon... Si tu fous le camp par terre, ce sera pas mieux, remarquais-je en croisant son regard, mes mains refusant de quitter le bas de son dos et sa cuisse, ayant glissé de hanche, mais voulant l'empêcher d'aller plus loin. On dirait que t'as vu le fantôme des Noëls passés, plaisantais-je doucement alors qu'il bafouille quelques syllabes sans réelle cohérence, espérant ainsi qu'il puisse reprendre légèrement contenance, se débarrasser de la peur qui transforme ses traits. C'est sorti sans filtre, n'est-ce pas? Le questionnais-je sans véritablement attendre de réponse de sa part. Et tu as peur de ce que ça peut représenter, je me trompe? Hypothésais-je encore, pensant comprendre un peu. Depuis le début, c'est une entente tacite qu'on n'est pas vraiment un couple. Si au départ, j'ai simplement cru que ça ne l'intéressait pas, qu'il était peut-être plus du type à préférer les one-night ou les relations de fuckfriends, j'ai tout de même fini par comprendre qu'il partageait son temps entre moi et un autre. Allez savoir qui, ça, je n'en ai aucune idée; ça ne m'intéresse pas. Je n'ai jamais cherché à le mettre en cage, à me l'attacher, ayant tout simplement compris qu'il n'était pas de ceux qui acceptent facilement la chose. Et entre mes moments avec lui, sans pression, sans se casser la tête, ou le voir me filer entre les doigts parce que je le met au pied du mur en lui demandant de m'être exclusif, la question ne s'est même pas posé. On a simplement continué de se fréquenter comme des amis et comme plus que des amis, sans chercher à poser réellement une étiquette, même s'il pourrait en tenir au moins une dizaine. Mais, aujourd'hui, avec toutes ses paroles, je ne suis plus certain que ce n'est plus ce qu'il recherche. Plus certain qu'il y aie cet autre ou qu'il aie si peur d'un point d'attache. Est-ce les événements récents qui le font changer d'avis? La peur de m'avoir perdu lorsqu'il était dans ce métro, pensant peut-être que j'y étais aussi? Posant mon front contre le sien, je ferme les yeux un instant pour murmurer : Je ne m'enfuirai pas pour ce que tu as dit, Neal, le renseignais-je tranquillement. Je n'ai pas peur d'aimer et d'être aimer, mais je te laisse décider si tu veux revenir en arrière et effacer ce que tu as dit. Seulement… si tu veux continuer… commençais-je avant de lui subtiliser un nouveau baiser, lent et peut-être un peu trop court pour être réellement satisfaisant, avant de me redresser pour le regarder. ...j'ai pas la moindre hésitation à faire le chemin avec toi, assurais-je sans flancher.
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mots : 2204 nightgaunt
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