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sisters in the hood ★ ─
w/ @Laïa Leeuwen
Celle qu’elle considérait comme l’équivalent de sa petite sœur avait vécu quelque chose de traumatique et si Eris n’avait pas eu le temps de s’occuper pleinement d’elle jusque là, cette soirée serait complètement consacrée elle. Sapée d’un joggine et d’un débardeur de basket, Eris trottait chez elle pour tout préparer. Son habituel sachet de weed posé sur la table avec tout le nécessaire pour rouler des joints ou fumer directement à la pipe, ceci entouré de verres et de quoi faire des mojitos maisons, des chips, des bonbons,… bref, tout pour faire une soirée entre filles où la dernière chose à laquelle elles penseraient serait leur ligne ou même généralement à quoi elles devaient ressembler.
Malgré leur différence d’âge et la particularité de leur relation, Eris n’avait jamais été maternante envers Laïa. Elle se doutait à quel point ce serait désagréable si soudain une amie proche devenait tout d’un coup une maman de substitution. Non, elle était au mieux sa grande sœur quand la jeune femme avait besoin d’une phrase motivationnelle ou d’un coup de boost au moral, et sinon majoritairement juste sa très bonne pote sur laquelle elle pouvait compter à tout moment.
Lorsque la sonnette retentit, Eris était en train de danser en préparant les premiers mojitos – les premiers car probablement les premiers d’une longue série qui allait alcooliser leur soirée – et dut s’interrompre pour aller ouvrir à son amie.
- Salut ma chérie ! Tu connais le chemin, gueula-t-elle dans l’interphone qui fonctionnait de manière aléatoire.
Sachant que la porte du bas était à présent ouverte, elle se dirigea vers la porte de son appartement. Celui-ci n’avait rien de grand ou de luxueux, il était ce qu’il était : un studio étudiant. Mais Eris avait été tellement charmante avec les proprios que lorsqu’ils se sont rendus compte qu’elle paierait toujours à temps, ils lui ont complètement foutu la paix. Ce qui a fait qu’elle a pu le personnaliser, clouer ses posters et les dessins de ses potes, qu’il y a des traces de mains en peinture fluo sur les murs – parce qu’un soir ils s’étaient dit que ce serait drôle – qu’il y a des tags, etc. Elle savait bien qu’en repartant elle repeindrait tout en blanc et perdrait quand même sa caution mais pour le moment, ça faisait qu’elle avait un chez elle où elle se sentait vraiment chez elle.
- Hey beauté, lança-t-elle en voyant la jeune femme apparaître dans l’embrasure de sa porte.
Elle la prit dans ses bras et déposa un baiser dans ses cheveux. Les siens étaient d’ailleurs tressés en arrière en mode boxeuse et son maquillage était inexistant. Comme ça, si jamais elles voulaient se faire des grosses masques à l’argile, elles pouvaient le faire.
- Entre, entre, installe-toi. Pose tes trucs, pose tes fesses, tout ça… Je prends ce qui reste à mettre sur la table basse et j’arrive.
Encore de la bouffe de toute façon, des petites choses à grignoter histoire de pouvoir se dire que cet apéro ne manquerait réellement de rien.
Malgré leur différence d’âge et la particularité de leur relation, Eris n’avait jamais été maternante envers Laïa. Elle se doutait à quel point ce serait désagréable si soudain une amie proche devenait tout d’un coup une maman de substitution. Non, elle était au mieux sa grande sœur quand la jeune femme avait besoin d’une phrase motivationnelle ou d’un coup de boost au moral, et sinon majoritairement juste sa très bonne pote sur laquelle elle pouvait compter à tout moment.
Lorsque la sonnette retentit, Eris était en train de danser en préparant les premiers mojitos – les premiers car probablement les premiers d’une longue série qui allait alcooliser leur soirée – et dut s’interrompre pour aller ouvrir à son amie.
- Salut ma chérie ! Tu connais le chemin, gueula-t-elle dans l’interphone qui fonctionnait de manière aléatoire.
Sachant que la porte du bas était à présent ouverte, elle se dirigea vers la porte de son appartement. Celui-ci n’avait rien de grand ou de luxueux, il était ce qu’il était : un studio étudiant. Mais Eris avait été tellement charmante avec les proprios que lorsqu’ils se sont rendus compte qu’elle paierait toujours à temps, ils lui ont complètement foutu la paix. Ce qui a fait qu’elle a pu le personnaliser, clouer ses posters et les dessins de ses potes, qu’il y a des traces de mains en peinture fluo sur les murs – parce qu’un soir ils s’étaient dit que ce serait drôle – qu’il y a des tags, etc. Elle savait bien qu’en repartant elle repeindrait tout en blanc et perdrait quand même sa caution mais pour le moment, ça faisait qu’elle avait un chez elle où elle se sentait vraiment chez elle.
- Hey beauté, lança-t-elle en voyant la jeune femme apparaître dans l’embrasure de sa porte.
Elle la prit dans ses bras et déposa un baiser dans ses cheveux. Les siens étaient d’ailleurs tressés en arrière en mode boxeuse et son maquillage était inexistant. Comme ça, si jamais elles voulaient se faire des grosses masques à l’argile, elles pouvaient le faire.
- Entre, entre, installe-toi. Pose tes trucs, pose tes fesses, tout ça… Je prends ce qui reste à mettre sur la table basse et j’arrive.
Encore de la bouffe de toute façon, des petites choses à grignoter histoire de pouvoir se dire que cet apéro ne manquerait réellement de rien.
credits img/gif: google
code by lumos s.
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