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He that sends mouths sends meat. ★ OWEN

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He that sends mouths sends meat. ★ ─ w/ @Owen Wonka
Douleur profonde au niveau des côtes, je pose ma main dessus. La panique plane dans l'atmosphère. Piétiné pas ce ras de marré, je m'étais relevée difficilement. Il fallait que je parte d'ici. Ma respiration semblait coupé. Asthmatique, j'avais l'impression de m'asphyxier. " aille... " sifflais-je. Je suis les quelques personnes qui s'étaient déjà échappés. Priam me suivait, ce mec qui avait déjà tant subit. Je marchais comme je pouvais auprès de lui. Main dans la sienne, il me guidait comme il pouvait vers une sortie. Mon regard se releva au son des cris. Un autre mouvement de foule qui me sépara cette fois ci du seul a qui je me rattachai. Épaule qui se jette sur moi, encore. Un autre mouvement de foule. Trop petite pour esquiver. Un craque raisonna dans mon corps. Je venais de comprendre que je venais sans doute de me casser une côte. Putain. Je décide de suivre le mouvement, batailler contre m'était impossible de toute façon. La lumière du quais me rassura. J'avais trouvé la sortie. Je grimpe comme je peux, et me relève difficilement à l'aide de cette main. Mon corps affaiblit, je me rends compte que je suis en tee-shirt. Affaire laisser à l'abandon dans le wagon. Mon regard se relève pour me stopper sur lui. Owen Wonka, alias gros connard. " gueule d'ange qui vient me sauver, j'aurai pas pu rêver mieux... " dis-je en rigolant. Rapidement mon rire se transforme en un soupire de douleur. Putain que sa faisait mal. Je grogne. Ma main appuie un peu plus sur ma côte.
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T’avais prévu de passer la fin de journée avec l’une de tes sœurs, celle dont tu étais le plus proche. Romy. Adolescente, elle avait refusé qu’tu viennes la chercher en moto et préférait venir en métro, toute seule, comme une grande. T’avais accepté à conditions qu’tu puisses la récupérer à la sortie de la station. Vendu. Elle t’envoie un texto pour t’signaler qu’elle est montée à bord de tramway et qu’elle serait là d’ici 20 minutes. C’est le temps qu’il te faut pour descendre dans une petite bakery, acheter une boîte de donuts et te rendre à la sortie du métro, n’pouvant pas aller bien plus loin à cause des barrières. Tic tac, les minutes passent et c’est tout à coup un boucan infernal qui t’fait sursauter. Des cris, les lumières qui sursautent avant de s’éteindre et laisser places aux loupiottes de sécurité. Qu’est-ce que.. qu’tu murmures, t’approchant des barrières pour entrevoir quelque chose. Des cris arrivent, de plus en plus fort, des pleurs aussi. Les gens courent, cherchant à sortir d’ici le plus vite possible. Appelez les secours ! Allez les aider ! Sortez d’ici ! Il y a eu un accident ! Tout autant de phrases différentes que de gens qui passaient à tes côtés. Romy ! qu’tu souffles à nouveau dans ta barbe mal rasée avant d’te jeter dans la gueule du loup. Tu pianotes rapidement sur ton téléphone. « T’es où ? » Tu descends les escaliers deux par deux, rapide et vif, prix de panique. Une main t’attrape la cheville, tu t’retournes et un rire déchire le visage égratigné d’celle que tu croisais un peu trop souvent à ton goût. Coca-Cola. Merde, tu f’sais quoi now ? Ta sœur pouvait être n’importe où et de là où t’étais, t’avais vue sur toute la scène et ton cœur loupe un battement. Des wagons étaient sur le quai, des gens criaient, pleuraient, saignaient, d’autres semblaient inertes, morts. Est-ce que ça va ? T’étais peut-être un connards mais t’allais pas faire comme si tu l’avais pas vu. Les gens paniquent, te bousculent dans l’escalier. Tu grognes. Dis moi qu’ça va, Coca-Cola, que j’puisse repartir à la recherche de ma sœur.. Un regard sur ton téléphone, et rien. Pas de réponse. Nouveau message de ta part. « ??? » L’idée qu’elle soit dans ce carnage te remue d’l’intérieur.

@Sasha Farell
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He that sends mouths sends meat. ★ ─ w/ @Owen Wonka
Deux semaines que j'étais ici. Un accident de voiture et voilà que je venais de rajouter un accident de métro à ma liste. Ma soeur allait me tuer, s'était certains. Ma gorge se noue et j'arrive à articuler un fin sourire lorsque alias le connard me demande si je vais bien. Assise sur le rebords d'un escalier, je n'osais même pas imaginer me relever. Allais-je bien ? je ne m'étais même pas poser la question. En vrai, je ne savais pas quoi répondre. Mon regard vagabonde à droite et à gauche. Certains ne répondent plus et d'autres hurles. Vision d'horreur que j'emmagasine sans le vouloir. J'allais bien... enfin comparer aux autres. Douleur qui ne faiblit pas. Mon regard se reporte sur lui. Seul personne que je connaissais vraiment. Téléphone en main, il vacille. Perturbé et inquiet. J'attrape sa main et affiche une grimace. " Je vais bien, aide moi à me relever s'il te plait " bras qui se durcit, il m'aide. J'étouffe un couinement lorsque je suis enfin en équilibre sur mes jambes. Ma respiration se coupe, parce que je ne vois pas d'autre moyen d'atténuer la douleur. Une fois levé, mains dans les siennes pour ne pas tomber. Visage qui se relève et regards qui se croisent. " tu cherches qui ? je vais t'aider " dis-je en hochant la tête signe que j'allais bien. Aussi étrange que cela puisse paraître, ma rancœur s'était mise de côté. Prête à l'aider. " ça va aller t'inquiète, j'ai juste des petites égratignure " minimalisme à souhait.
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L’irlandaise t’avait repéré et te sommais de l’aider. Sa main attrape ton bras avant même qu’tu n’ai pensé à lui proposer. Ouais, j’t’en pris. Ton regard se pose à peine sur elle, cherchant la chevelure bouclée de ta sœur. Putain, elle était où. La voix de Sasha qui t’propose de t’aider t’fait tourner la tête. Elle est en piteux état, se tenant le ventre et semblant sacrément avoir pris cher. Tu secoues la tête. Tu rigoles ? T’es pas en état, Farell. Tu serais bien mieux aux urgences à t’faire soigner. Mais ça serait surement un soucis pour elle. Elle n’avait pas d’assurance auto alors une perso ? Ca lui couterait un bras. Tu connais quelqu’un qui pourrait l’aider mais, grrr, t’avais d’autres priorités dans la minute, quelqu’un d’plus important que cette insupportable gnome. Quelques égratignures ? A vu d’nez j’dirais deux côtes cassées, une si t’as d’la chance. Ton portable vibre. C’est Romy. Ton souffle se coupe pendant que tes yeux lisent le message.  « Station avant. Mais ils nous font sortir, je ne comprends pas. » Romy doit être complètement perdue et la communication n’est pas son fort. Evidemment, elle est sourde. Et les gens sachant signer n’se trouvent pas à tous les coins de rues. T’oublies complètement Sacha et pianote sur ton téléphone. « Il y a eu un accident, un grave accident. Paie toi un uber et rentre chez maman, on se voit demain. Et ne t’inquiète pas, ta nièce sera toujours là et tu la verras. Promis.» Un rapide regard sur l’heure. Ta fille devait arriver dans une heure et demi et t’avais une Sasha sur les bras. Le soulagement se lit sur ton visage. Je n’cherche plus personne. Sasha s’était rassise, le temps qu’tu l’ai lâchée. Tu t’accroupie face à elle. Dans les escaliers, c’est toujours la cohue. Qu’est-ce qui s’est passé ? La curiosité piquée à vif. Un agent avec un gilet orange aidait à l’évacuation. N’restez pas ici s’il vous plait. Evacuez, avec calme ! Ouais, bien. Tu t’relèves et tends à nouveau la main à la gnome. Tu vas réussir à monter les marches.. ?

@Sasha Farell
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He that sends mouths sends meat. ★ ─ w/ @Owen Wonka
Aider me paraissait normalement. Mon état était minime comparé à certains. Sourire crispé, je lève les yeux au ciel lorsqu'il me demande si je rigolais. Bien sûr que non, j'étais sérieuse. Je ne pouvais peut-être pas déplacer des personnes, mais mon aide pouvait être précieuse. J'en étais persuadée. " Non ça va, sa passera Wonka ! " dis-je en reprenant son nom de famille comme il avait fait avec le mien. Bien sûr que je me souvenais de son prénom et nom de famille. Pour être honnête, je me souvenais même de son numéro de téléphone #(456) 359-4327. Mémoire rapide et photographique, j'étais le genre de personne à mémoriser un peu prêt tout et n'importe quoi. Je fronce légèrement des sourcils lorsqu'il me fait le bilan de mes blessures. " hum... et qu'est-ce qui te fait dire sa ? " dis-je curieusement. " t'était infirmier dans une vie antérieur ? " j'ai envie de le tester, de le piquer mais en vrai, je n'ai pas la force. Son attention se rapporte sur son portable. Il cherche quelqu'un j'en étais sûr. Visage sans expression, bloquer. Je décide de me rasseoir en vrai, j'ai mal putain. Je n'arrive pas à respirer correctement et je me connais. Je ne vais pas tarder à faire une crise d’asthme. Je le sais. Mes yeux se ferment et je décide de bloquer ma tête entre mes mains. Je me concentre parce que mon sac est restée là bas et je n'ai pas d’inhalateur. Je relève la tête lorsqu'il m'annonce qu'il ne recherchait plus personne. Tant mieux pour lui. Je l'aimai peut-être pas mais je ne lui souhaitai pas de mal. Il s'accroupit et finit par me poser la question. Contrôle Sasha. Contrôle. " je sais pas... j'étais dans le dernier des wagons. Je n'ai rien vu du tout mais je sais que c'est grave. " dis-je en repensant à la scène. Souvenir qui me perturbe déjà. Gorge nouée, respiration qui se bloque encore. Un agent arrive et nous demande de bouger. Maintenant ? putain ! Il se relève et tends sa main me demandant si sa allait aller. En réalité, je savais que non. Respiration sifflante. La crise n'est pas loin. Mon regard se perds et je sais que le contrôle se dérobe. J'attrape sa main et je l'approche vers moi. Accroupi de nouveau, je dis difficilement : " je suis asthmatique.. " grimaçant. Mes mains encadrent de nouveau mon visage. Impossible de bouger pour moi. J'ai besoin de me taire, besoin de me concentrer. Je lui mime un inhalateur. " il est... " j'attends et recommence par lui dire " là bas " putain !
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Foutaises, t’étais quand même bien capable de reconnaître une personne aux côtes cassées et la gnome avait tout l’air d’en être. Elle insiste pourtant et tu finis par te résigner en haussant les épaules. Après-tout, elle était bien assez grande pour décider elle-même et par deux fois elle t’avait dit que ça irait. Il était hors de question que tu l’entendes se plaindre de la douleur puisque… ça allait et ça passerait. Pas moi, non. Ta mère était du milieu cependant alors bon, t’avais quelques notions dans le domaine. Une fois rassuré que ta sœur est hors de danger, tu ranges ton téléphone et prends le temps de t’informer sur la situation. Accroupie devant l’irlandaise, tu attends sa réponse. Hm.. un accident ? Ou un acte volontaire ? Mais pas le temps de répondre, sa réponse est écourtée par un agent qui vous demande de déguerpir pour facilité l’arrivée des secours aux personnes en ayant le plus besoin. Aidant Sasha à se relever, cette dernière t’annonces qu’elle est asthmatique. Et merde, il ne manquait plus qu’ça. Reste calme, Coca-Cola ! Mais plus facile à dire qu’à faire, visiblement, la panique de l’accident n’aidant en rien. Son doigt pointe la direction du quai. Elle veut qu’t’aille chercher son inhalateur là bas ? Tu tournes la tête vers la scène d’horreur qui se joue sous tes yeux, les lèvres pincées. Autant chercher une aiguille dans une motte de foin. Va falloir faire d’sans. Même avec l’indication qu’elle était dans le dernier wagon, rien ne t’assurais que son sac n’ai pas été déjà volé ou bougé par la cohue. Allez respire, j’vais t’sortir d’ici. Tu l’attrapes doucement en essayant de n’pas trop comprimer ses côtes (si tant est que t’avais raison et qu’elle avait bien une côte fêlée ou cassée), la portant dans tes bras comme tu l’pouvais. Et tu grimpes les escaliers, passant les barrières qui avaient toutes été ouvertes pour faciliter l’évacuation. Les pompiers débarquaient déjà accompagnés des urgentistes. L’irlandaise toujours dans les bras, tu traverses la sortie de métro pour retrouver enfin l’air extérieur où le jour commençait à peine à décliner en cette fin d’après-midi. Les véhicules, sirènes hurlantes, continuaient d’arriver pour venir en aide aux pauvres gens qui n’avaient pas eu la même « chance » que Sasha. Tu trouves un banc, y dépose délicatement la jeune femme avant d’sortir ton téléphone et trouver un contact que tu appelles. Salut Madi, c’est Owen. …. Ouais et toi ? … Super, j’peux passer t’déranger ? … Je sais, ouais. …. T’es la meilleure, j’suis là dans une dizaine de minutes, ciao. Et tu raccroches. Cherches un nouveau contact, téléphones et t’éloignes de quelques pas, cette fois. Ouais Salut, écoute j’serais pas à l’appart à 19h30, j’ai un empêchement, emmène là chez ma mère. …. Je n’peux pas, y’a eu un accident alors non, j’pourrais vraiment pas. … C’est ça, salut. Tu raccroches et, légèrement agacée, revient vers une Sasha toujours en piteux état. T’es en état d’marcher un peu ? Je t’emmène voir une amie qui s’occupera.. d’ça. qu’tu dis en pointant son corps abimé de l’index.

@Sasha Farell
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He that sends mouths sends meat. ★ ─ w/ @Owen Wonka
Tendance fâcheuse à minimiser les situations. Je me pensais apte à aider les personnes qui se trouvaient autour de moi. Mon regard s'arrêta sur cet homme. Visage en sang, jambes affaiblies, ma conscience prenait soudain le dessus sur ce que je venais de vivre. Un accident ? un attentat ? nous ne savions rien. Le résultat était la seule réponse à nos questions. Bien trop de blessé et bien trop de mort à mon gout. " En faite, j'en sais rien..." dis-je épaule qui se redresse pour appuyer ma réponse. J'étais aussi perdu que lui sur ce qu'il venait d'arriver. La seule chose qui nous différenciait, c'est que j'avais vécu le truc et lui non. Ma respiration s'accélère, se coupe. La douleur me perturbe et j'indique ainsi à Owen que je suis asthmatique. Visage qui se décompose et qui m'indique de rester calme. J'affiche un fin sourire en signe de réponse. Reste calme, si facile à dire... Mes yeux se ferment et j'essaye de me concentrer. Ses paroles se frayent un chemin dans mon esprit. Je devais sortir d'ici, prendre l'air au moins. Ici, j'agonisais. Mon visage se relève et ses mains se frayent un chemin derrière mon dos et sous mes genoux. Il me lève sans difficulté, porté par celui de tout mes soucis. Le comble de l'ironie mais à cet instant, j'étais contente de le savoir là. Visage qui se niche dans le creux de ses bras, mes mains entourent sa nuque. Il marche vite, l'adrénaline peut-être. Mon regard se disperse, c'est tellement le bordel, tellement de gens à secourir. L'air frais caresse ma joue, on venait enfin d'arrivés à la surface. Un faible frissonnement me surprends. Pour la première fois depuis tout à l'heure, je ressentais le froid. Il me dépose sur ce banc " doucement " dis-je entre deux respiration sifflante. Je savais qu'il était doux mais la douleur, elle ne cessait d'augmenter. Une nouvelle fois concentrée, sa voix me parvenait à l'esprit. Qui sait qu'il devait aller chercher ? curiosité vraiment mal placé pensais-je. Cinq minutes plus tard, Owen revient me voir. Indiquant qu'il avait appelé une amie pour m'aider. Surprise, j'acquise un nouveau sourire. " qui l'aurait cru... " difficile de parler. J'avais vraiment besoin de cette inhalateur. L'air frais me faisait du bien mais mes bronches se resserraient à chaque instant. Je me lève et indique que je peux marché. Les premiers pas semblent facile avant de rapidement comprendre que j'allais avoir du mal. " c'est loin gueule d'ange ? " Il m'indique que non. Ma main attrape machinalement celle de Wonka. J'ai besoin d'un peu d'aide, sa main suffisait. Quelques minutes et nous voilà devant cette maison de quartier. Il sonne à la porte et moi je me tiens contre le mur de l'entré. Allez putain ! J'en peux plus.
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Pourquoi tu l’aides ? Allez savoir, c’était ta bonne action de janvier. Et avec c’que tu lui avais fait, elle aurait été capable de t’coller un procès au cul pour non-assistance à personne en danger. T’avais vraiment pas besoin de ça. Quelques appels passés et vous voilà en route, marchant lentement pour ne pas qu’elle souffre trop et ne pas raviver sa crise d’asthme plus que nécessaire. Cinq minutes à pied. Mais avec toi, dix. qu’tu réponds en l’aidant à marcher. Les dix minutes passent, vous tournez dans une petite ruelle et tombez sur la maison qu’tu cherchais. Tu frappes, Madeleine ne tarde pas à ouvrir, au courant de votre arrivée. Merci Madi. Elle est asthmatique et a perdu son inhalateur, elle est en pleine crise mais ça semble s’être calmé. qu’tu dis en premier lieu, laissant Sasha entrer, la précédent de peu. Madeleine et toi vous connaissiez de peu mais vous aviez rapidement accroché. La petite brune aux cheveux ondulés prends en charge l’irlandaise. Y’a eu un accident dans l’métro, j’en sais pas plus. Des blessés et d’nombreux morts. qu’tu l’informes avant d’te poser dans un fauteuil et allumer la télévision sur la chaîne des informations. Bingo, flash info spécial sur l’accident qui venait de se produire. Ok. Je suis Madeleine, j’ai été infirmière. Dis moi ce qui t’arrives, je vais regarder. L’infirmière reconvertie en pâtissière te lance un regard plein d’incompréhension. Elle a pas d’assurance et les frais hospitaliers lui auraient couté un bras. qu’tu lâches pour expliquer votre venue ici sans décrocher de la télé.

@Sasha Farell
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Je ne pouvais pas aller à l'hôpital. Owen semblait l'avoir compris. Assurance qui ne recouvrait pratiquement aucun frais, je n'avais pas les moyens de me soigner. Trop inquiète aussi à l'idée de faire ce test. Celui que j'ai refusé au décès de ma mère. Je savais qu'en rentrant dans cet enseigne, je repartirai avec des réponses que je ne souhaitai pas. Maladie génétique qui lui avait voler sa vie. Passons... Son ami ouvrit rapidement la porte. Il explique la situation et je ne vois rien d'autre à en dire. De l'air, j'avais besoin d'air. La fameuse Madeleine m'indique de rentrer, j'affiche un petit sourire en signe de reconnaissance. Elle m'indique du doigt une chaise. Je m'assoie, analysant la situation. Owen allume la télévision, image d'horreur. Mon regard reste bloqué et je finis enfin par reporter mon regard sur son amie. Elle me pose des questions. Owen réponds, en vrai sa m'énerve de ne rien pouvoir dire. De ne pas pouvoir me justifier mais il avait raison. Ces frais m'auraient coûté bien trop cher. " j'ai besoin d'air... " dis-je en hochant la tête. Les yeux de la femme se plissent, elle se hâte et part quelques instant. " monte le son s'il te plait " dis-je en direction d'Owen. Madeleine revient vers moi. Bouteille d'oxygène dans les mains. Seul une infirmière pouvait avoir ce genre de bouteille, rare était ces personnes qui en possédaient. " Tiens met ce masque sur le visage, ça va te dégager les bronches par contre tu risques de délirer un peu, c'est normal d'accord " me dit-elle en passant le masque sur mon visage. Je hoche la tête. Elle dégoupille et je prends une grande inspiration. Aspiration qui fait mal mais qui soulage instantanément mes bronches. Ma main se reporte sur mes côtes. Mes yeux vacillent un peu. " j'ai mal ici, je crois " étais-ce vraiment de l'oxygène qu'elle venait de me mettre. J'avais l'impression de délirer. Je lève délicatement mon haut. Hématome qui se forme au niveau de mes côtes, et sur tout mon corps. " c'est pas beau dit donc " dis-je grand sourire. Mon regard se relève et se porte sur Owen. Mon doigt le pointe et je dis à la jeune femme. " je crois qu'il m'aime bien " dis-je en affichant un grand sourire de gamine. Merci Madeleine.
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Madeleine s’occupe de Coca-Cola et toi, t’as la tête rivée dans les informations. Ils dénombrent déjà une dizaine de morts mais tu l’sais, il y en a beaucoup plus. La grande question que tout l’monde se pose : est-ce accidentel ou prémédité ? La réponse, on l’ignore encore. Pour l’instant tout porte à croire que c’est accidentel mais.. ça venait juste d’arriver alors.. Hm.. qu’tu opines en appuyant sur le bouton volume de la télécommande. Tu laissais les filles entre elles. Après tout, c’était pas toi l’ancien infirmier. Tu sais pas ce qu’elles font, t’entends juste leur voix en bruits de font, le bruit d’une bouteille qu’on dégoupille, le bruit des gants qui claquent sur les mains de Madeleine. Et puis la phrase de Sasha t’arrive aux oreilles. Tu souris en coin et secoues la tête. T’excite pas, c’est pas tant désintéressé. Madeleine t’interroge à nouveau du regard. Elle m’a pété ma bagnole la semaine dernière. J’attends mon dû pour la réparer alors tu penses bien qu’si elle a des dettes de santé… qu’tu réponds en pouffant, sortant le sachet de donuts que t’avais acheté pour ta sœur de ta poche. Un donuts les filles ? qu’tu dis en leur tendant le paquet, changeant même de place. T’avais eu les infos dont t’avais besoin, le reste allait tourner en boucle. Alors qu’est-ce qu’elle à notre leprechaun dopée au gaz hilarant? Madeleine tâtait la taille de Sasha, en pleine réflexion. A priori quelques côtes fêlées. Je dis bien à priori, il faudrait une radio pour confirmer tout ça. La jeune femme se dandinait de douleur sous les légères pressions des mains de Madeleine. Il te faut du repos. Tu vas surement avoir mal pendant un mois ou deux. Un traitement qu’elle doit prendre ? que tu demandes en mordant dans ton donut. Elle opine du chef, Madeleine, et sort un calpin à ordonnance. Antidouleurs jusqu’à ce que tu n’ai plus mal. Et myorelaxants pour détendre les muscles. Je te rajoute un nouvel inhalateur aussi. Elle gribouille et arrache la feuille. C’était finalement moins que c’que j’pensais, Farell. T’as plutôt eu d’la chance. Mais elle souris niaisement, Sasha. Pouffe au moindre mot prononcé. Mais quelle dose tu lui as mis ? qu’tu glousses en regardant la brune qui hausse les épaules innocemment.

@Sasha Farell
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