Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnd my heart skip a beat. • helina
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And my heart skip a beat. • helina

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Je me suis encore une fois loupée avec Helina. C'était pas forcément conscient, c'était pas forcément voulu non plus, mais c'était un fait et elle m'en voulait. J'ai tenté de me rattraper, de rectifier le tir, mais j'ai bien senti au fil de ses messages sur Whatsapp qu'elle était malgré tout encore blessée, même avant que je ne claque la porte de mon appartement, skate à la main, grande veste sur le dos, jeans slim aux jambes, vans noires aux pieds et bonnet sur la tête. En arrivant dans la rue, je pose ma planche au sol et m'élance sur le bitume, jusqu'à la porte de son bâtiment. Le vent frais a fouetté mon visage, le faisant rougir légèrement. Je sonne à l'interphone comme à chaque fois, avant de grimper chez elle et de me trouver devant sa porte d'entrée. La planche posée contre le mur et les mains dans les poches de ma veste, je lui souris timidement, comme une gosse qui sait qu'elle va se faire engueuler. 《Désolée de t'avoir fait attendre..》

@Helina De Luna
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J'étais encore énervée contre Naelle. Elle croit qu'elle peut passer la nuit avec moi et m'oublier le lendemain, et les quasiment trois semaines qui suivent, sans même une excuse valable ? C'est mal me connaître. Je ne suis pas le genre de fille qui ferme sa gueule quand quelque chose me déplaît comme ça. Et je lui ai fait savoir durant nos échanges par messages. J'ai malgré tout envie de la voir, parce que je me suis attachée à cette fille, mais j'ai pas envie qu'elle croit avoir tout gagné en passant le pas de ma porte. Je la presse un peu d'arriver, et cette fois-ci, l'accueil sera différent de la dernière rencontre. Mais c'est pas pour autant qu'elle va me voir dans un gros survêtement dégueulasse, non. Je vais lui faire comprendre qu'elle ne doit plus m'oublier. Alors je me mets en bombe, cheveux naturellement ondulés, croc top noir et jeans militaire taille basse, trait de maquillage aux yeux et j'entends l'interphone marquer sa présence. Je lui donne accès à l'intérieur du bâtiment et j'attends un moment avant de lui ouvrir la porte. "Vas-y rentre. Ça va, tu t'es souvenue de l'adresse. " lui dis-je sans montrer aucune réaction et de la laisser passer.
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Quand je la vois ouvrir la porte de chez elle, je la trouve sublime. Comme toujours, c'est un fait avéré. Mais ce qui me frappe le plus, c'est le ton froid sur lequel elle m'accueille. Je constate alors à quel point elle a été touchée de mon manque de nouvelles et de cette sensation d'avoir été utilisée. Je baisse la tête, quelque part un peu déçue de voir que notre discussion n'avait rien apaisé. 《Non, j'ai pas oublié...》 dis-je simplement, avant d'attraper ma board et de rentrer dans son salon. Je quittais ma veste et mon bonnet, avant de passer une main dans mes cheveux pour les recoiffer le mieux possible, avant de lui faire face. 《Ça me fait du bien de te voir, même si t'as pas l'air super emballée de l'inverse. 》 dis-je en souriant, tout en cherchant dans son regard une once de joie de me trouver là, mais j'avoue avoir du mal à la trouver. 《Tu sais, je t'en veux pas de m'en vouloir, parce que je m'en veux. J'aurai pas dû te laisser sans nouvelles après ce qu'il s'est passé entre nous...》 Je suis en train d'avouer mes torts pour la première fois de ma vie. J'ai envie de la prendre dans mes bras, mais j'ai pas envie qu'elle me rejette, alors j'ouvre simplement mes bras, pour voir si elle accepte de s'y rendre ou si je vais avoir l'air conne.
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Qu'elle est belle, Naelle, dans son jeans moulant, sa veste longue qui vient épouser la forme longiligne de son corps, son regard appuyé par la couleur sombre de son bonnet. Je joue la fille insensible et froide face à elle, mais je suis heureuse de la trouver là. " On dira que tu t'en es rappelé. " répondis-je sobrement avant de fermer la porte derrière elle. Je la regarder quitter sa veste et son bonnet, se recoiffer comme elle peut, avant qu'elle ne se tourne vers moi pour me sortir un petit baratin. " Je suis énervée après toi, c'est tout. " soufflais-je, tout en essayant de fuir son regard. Elle continue en me sortant les violons, comme quoi elle comprend, bla bla bla. Puis elle m'ouvre les bras, comme si tout était réglé. Je la regarde un instant, avant de m'avancer puis de feinter son étreinte pour gagner la cuisine. " C'est vrai, t'aurais pas dû. Je pensais que ça représentait quelque chose pour toi, au moins un minimum. J'ai eu la sensation d'être qu'un petit coup vite fait parmi d'autres. Un objectif que tu t'étais fixé et une fois atteint, elle dégage la Helina. " dis-je en marquant une pause, pour sortir deux canettes de soda du frigo et de les poser sur le plan de travail. " Alors c'est pas parce que tu débarques avec tes belles paroles, ton câlin et tes beaux yeux que j'oublie tout. " ajoutais-je alors, avant de soupirer.
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Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu quelqu'un d'aussi froid face à moi. Trois ans. Ce dernier regard froid de mon père avant qu'il ne me claque la porte à la gueule, me laissant sous la pluie et perdue. Mauvais souvenir qui vient d'encrasser ma mémoire une nouvelle fois. Je n'ose rien répondre quand elle me dit que je m'en suis simplement souvenue. Elle enfonce légèrement le clou en me disant qu'elle est énervée après moi, et je sais que des excuses ne suffiront pas à apaiser ce sentiment. Je continue de chercher son regard qu'elle veut fuyant, avant d'abdiquer mollement. Je ne veux pas l'énerver plus qu'elle ne l'est. Mais j'ai une lueur d'espoir quand elle s'approche de mes bras, avant qu'elle ne m'esquive pour gagner sa cuisine. J'ai eu l'air conne, et je crois que c'était bien fait pour ma gueule. J'allais m'expliquer, avant qu'elle ne pose les canettes sur le plan de travail et qu'elle ne reprenne sa tirade. Fusillée sur place. Je bafouille légèrement, sonnée par les mots qui me sont tombés dessus. « T'étais pas qu'un objectif. T'es pas une parmi d'autres. T'es... T'es importante pour moi. C'est pas juste des belles paroles, j'suis pas venue là juste pour te sortir des disquettes. Je tiens vraiment à toi, et j'vais faire plus attention à prendre de tes nouvelles, ou à te rendre visite. » dis-je en posant mes mains sur le comptoir , avant de la fixer, avant de tenter de calmer les choses avec un peu d'humour. « Alors comme ça, j'ai des beaux yeux ? » dis-je en souriant.
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J'ai pas l'habitude d'être froide avec quelqu'un. Je ne suis pas du genre à laisser plusieurs chances, sauf cette fois. J'ai du mal à être comme ça avec Naëlle, et pourtant je lutte contre mes envies profondes de la pardonner. Je veux marquer le coup, surtout. En face de moi, j'ai l'impression d'avoir une enfant qui attend sa punition, qui cherche à savoir si elle va prendre cher dans le regard de l'adulte qui va faire tomber le couperet. Puis j'écoute finalement ce qu'elle me dit, ces quelques mots qui malgré tout, font du bien. C'était pas qu'un petit coup comme ça, j'étais pas qu'un numéro supplémentaire à sa liste. Elle dit que je suis importante pour elle et qu'elle va faire en sorte que ça n'arrive plus. Je regarde ses mains sur le comptoir pour fuir son regard un instant, avant qu'elle ne m'arrache un léger rire et que je ne plonge mon regard dans le sien. « Mouais, sont pas moches quoi. » dis-je simplement, avant de lui glisser la canette devant ses mains. « Tu veux dire quoi quand tu dis que je suis importante pour toi et que tu tiens vraiment à moi ? Et si c'est le cas, pourquoi t'es comme ça ? Je comprends pas. » J'aime savoir où je mets les pieds, je veux savoir si je dois vraiment attendre quelque chose de cette relation étrange qu'on entretient, ou si je dois mettre des distances entre nous.
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J'ai rarement été aussi honteuse devant une fille. En soit, j'ai rien fait qui soit réellement punissable, mais j'aurai dû mieux faire que ça. Donner des nouvelles, ça ne me coûtait rien. Ce n'était pas comme si j'avais été occupée à être en famille. La famille, ça fait presque plus de 1096 jours que j'ai tiré un trait dessus, et qu'eux, ils ont oublié mon existence, en dehors de mes soeurs. De mes parents, pas un texto, un mail ou un appel depuis trois ans. Trois ans qu'ils m'évitent alors qu'ils vivent en ville. Gwenaëlle, le vilain petit canard qui n'est pas conservatrice des valeurs d'il y a 300 ans. Trois ans que je passe mes fêtes de fin d'année en solitaire, en tête à tête avec mon écran de télé, un repas et une bonne bouteille de vin. Alors franchement, j'ai merdé, et je peux même pas lui expliquer pourquoi. Je souris légèrement quand elle dit que mes yeux sont pas moches. « C'est mieux que rien. Moi j'trouve les tiens particulièrement beaux. » dis-je en souriant, avant qu'elle ne me pose des questions que je redoutais. J'ai tendu la perche, en même temps. J'attrape la canette qu'elle a fait glisser devant moi afin de l'ouvrir, d'en boire une gorgée et de respirer longuement. Je ne cherche pas mes mots, mais bien la façon dont les dire. « J'commence vraiment à m'attacher à toi et ça m'fait peur... J'me dis que j'suis peut-être trop vieille pour toi, que j'ai un train de vie totalement décalé face au tien, puis j'pars souvent à l'autre bout du monde pour le boulot. J'me prends grave la tête alors que c'est pas ma spécialité. J'veux que les choses se fassent naturellement, sans forcer le destin. Je pense pas vraiment que ça t'aide à mieux me comprendre. » dis-je en me redressant, avec ma canette dans la main. Et cette fois, c'est moi qui voulait fuir son regard.
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Elle parvient à m'arracher un sourire quand elle complimente mes yeux, mais la joie est de courte durée. Quand je l'écoute m'expliquer les raisons pour lesquelles elle est comme ça, je tombe de haut. Je suis véritablement blasée. Je soupire tout en ouvrant mon soda à mon tour. Les mots s'entassent dans ma tête alors que je tente de trouver son regard. Cette fois, c'est elle qui fuit. Je mords ma joue nerveusement, car des questions m'éclatent en pleine tronche. « T'as raison sur une chose. Ca m'aide vraiment pas du tout à te comprendre. Je vois pas ce qu'il y a d'effrayant dans le fait de t'attacher à moi, je vois pas ce que la différence d'âge a à voir là dedans, et tout ce que je vois, c'est que c'est des excuses que tu te trouves peut-être. » Je suis redevenue aussi froide qu'en début d'après-midi dans nos messages échangés. J'ai envie de lui jeter des trucs dans la gueule, parce que je ne comprends pas ce comportement. « Je crois qu'il est préférable qu'on prenne des distances, j'ai pas envie que tu aies trop peur de t'attacher à moi. » dis-je alors, sans la regarder. Réaction de femme blessée. Je n'ai aucune raison de lui dire que je suis vraiment attachée à elle, que j'ai envie de construire quelque chose avec elle, après ce que je viens d'entendre. Je n'ai pas envie de souffrir parce qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut, ou qu'elle le sait que trop bien pour pouvoir l'assumer. Je sors de ma cuisine pour m'installer dans le canapé, passant à côté d'elle sans lever les yeux dans sa direction. « T'as le droit de rester, si tu veux. Je ne te mettrais pas dehors. » dis-je simplement, en allumant la télé sur une chaîne musicale.
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Je m'en veux d'avoir laissé ces mots sortir de ma bouche. Mais il est trop tard pour revenir en arrière, le mal est fait. Mais je ne sais pas ce qui est le plus violent. Devoir fuir son regard, ou l'écouter me dire que je me trouve des excuses pour ne pas être avec elle. Je pose mes mains sur mon visage, afin de le frotter un instant. Puis c'est une grande claque qui vient me bousculer. Elle veut qu'on prenne des distances. Je laisse mes bras retomber de mon visage, et j'accuse le coup. Je reste silencieuse quelques secondes, avant de passer une main dans mes cheveux. « C'est pas de m'attacher à toi qui m'effraie, c'est de tout faire foirer qui m'fait peur. J'ai pas été aussi bien près de quelqu'un depuis longtemps. J'me cherche pas d'excuses, c'est pas ça, c'est... Je sais pas ce que c'est. J'ai pas envie de prendre de distances avec toi, mais si c'est ce que tu veux, j'vais respecter ton choix... » finis-je par dire, dépitée. Ça me fait bien plus mal que ce que je pouvais l'imaginer et que ce que j'oserai le dire. Je lève finalement mon regard dans sa direction, alors qu'elle est dans son canapé, à me dire que je pouvais rester. « Tu me laisses le droit de m'installer à côté de toi ? » demandais-je timidement, tout en m'approchant du canapé, avant de savoir si je pouvais m'y installer ou non.
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Les mots sont parfois une arme dangereuse, et je crois qu'elle vient de comprendre la portée des siens envers moi. Je suis triste, mais je garde la tête haute, je ne veux pas qu'elle pense qu'elle a une quelconque emprise sur moi, que quoi qu'elle dise où fasse, je peux tomber dans ses bras en un claquement de doigts. Je jette un regard vers elle, et je remarque qu'elle est vraiment mal. Bien fait pour elle, elle doit assumer ses propos. Elle me dit qu'elle n'a pas peur de s'attacher à moi, mais de se foirer et compagnie. Des excuses, encore et encore. Je soupire. " Si tu le dis. Je crois juste que c'est préférable. " Bien évidemment que j'en ai pas vraiment envie, de prendre des distances avec elle. Mais je ne veux pas souffrir pour rien, m'attacher encore plus pour au final être déçue. Au fond de moi, ça m'arrache la gueule de lui dire tout ça. J'évite de la regarder, pour ne pas céder, avant qu'elle ne s'approche du canapé où je suis déjà installée, en me demandant si elle pouvait s'installer près de moi. " Si tu veux. " lui répondis-je en regardant près de moi. Allez viens, plus près, prends-moi dans tes bras et dis moi que tout ça, c'était des conneries. pensais je alors que son parfum venait chatouiller mes narines.
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