I still remember • Ralvisio

Dim 5 Jan 2020 - 17:37

Alex Ralston & Veïa Alvisio

I still remember

Tu rentrais dans mon jeu si facilement. Si tu avais envie de me prouver que tu étais l’artiste hors pair de la situation je te laisserai faire et j’adore qu’on me prouve le contraire. Et j’ose penser que ton œuvre ne se limite pas simplement au coup de peinture que tu applique sur ma peau. Elle est présente aussi dans les caresses et dans les baisers qui auront peut-être la chance d’être répété. «Je n’attends que d’être convaincu.» Arrête d’avoir peur et montre moi cette confiance que tu avais la première fois. Elle était si fabuleuse et des plus étonnante. Je me demandais si c’était moi qui imaginais tout ça, mais il semblait que ton cœur s’affolait lorsque je frôlais ta poitrine. Qu’il tambourinait comme un malade contre ta cage thoracique sous ce baiser humide et délicat. Par le fait même le miens s’empotait aussi tapant de plus belle, même dans mes tympans et dans ma tête. Je voulais te sentir contre moi à nouveau. Je voulais que tu redécouvre chaque parcelle de ma peau, comme la toute première fois. Je contenais ma respiration du mieux que je pouvais, mais avec toi devant moi je perdais le fil. J’étais chamboulée et égarée. Perdue de sentir le besoin de te sentir près de moi alors que je me remets à peine. Mais ça serait encore bien plus douloureux de m’écarter et de refermer la porte de cette chambre. Nos lèvres se frôlent et je me retiens du mieux que je peux pour ne pas les capturer. Je veux apprendre à me soigner à tes côtés. Même si c’est égoïste de penser ainsi. Le supplice prend fin et elles s’imbriquent parfaitement. Je t’accueille dans un baiser passionné me remémorant petit à petit cette nuit. Chaque détail, chaque soupire et chaque spasme que tu avais éveillé en moi. Je pousse Milo loin dans mon esprit te laissant la chance d’être sous les projecteurs. Ma peau crépite avec tes mains sur mes hanches, j’appose les miennes dans le bas de ton dos te ramenant à moi. Je me laisse tomber sur le sol te gardant contre mes lèvres et les mèches de mes cheveux s’embrouillent dans la peinture. Celle qui était à peine séchée sur nos corps se mélangent comme une jolie aquarelle. Je ne veux plus penser, je veux bien croire que j’ai le droit de m’abandonner. «Reste avec moi...» dis-je entre deux baisers te suppliant. Oublie que j’ai le cœur brisé. Mes mains remontent le long de ton dos te barbouillant davantage et te pressant contre mon âme.

AVENGEDINCHAINS

@Alex Ralston

(Invité)

22/06/2015

i still remember ★ ─ w/ @Veïa Alvisio

Je ne savais pas quoi faire, quelle était la bonne décision. Est-ce que t’embrasser pour te faire oublier ton ex était bien ? Est-ce que cela faisait-il de moi quelqu’un de profiteur ? Qui saute sur la moindre occasion de te déshabiller pour coucher avec toi ? Non. Je n’étais pas cet homme là, qu’importe les décisions que je prenais. Je me laissais simplement guidé par mes intuitions, mes envies et mes désirs. Et nul n’était aussi vrai que mon attirance pour toi, depuis le jour un. Depuis que mes yeux se sont posés sur ton profil Tinder, depuis que je t’ai vue dans ce bar et que notre alchimie s’est métamorphosée en… nous. On a un truc, de toute évidence. Et il était difficile d’aller à son encontre. Certes, c’était plus facile quand tu étais en couple, respectant ta volonté d’être avec un autre. Je ne suis pas un briseur de couple, tout simplement. Mais là, tu es célibataire. Brisée oui, mais célibataire. Et je sens dans tes gestes, dans ta posture que toi aussi tu le veux, toi aussi tu veux m’embrasser comme au premier jour. Alors je n’hésite pas. Je n’hésite plus. Mes lèvres capturent les tiennes délicatement, pour ensuite laisser place à un baiser passionné, piloté par la simple envie de nos deux corps collés l’un contre l’autre. Puis tu te laissais tomber en arrière, m’attirant avec toi dans ta chute, mais aucune douleur, aucune. Juste le plaisir de te retrouver à mes côtés, comme au premier jour. Et ce souvenir si divin, ce moment dans l’espace temps qui semblait si loin, tout me revenait d’un coup. Ce soir n’était pas si différent, si ce n’est qu’on est déjà dans une chambre, la mienne, et que nos corps sont barbouillés de peinture. Ce n’étaient que les seules différences puisque, dans le fond, mon cœur bat au même rythme qu’avant, l’envie était tout aussi exponentielle. Je te voulais, et je n’allais pas t’abandonner. « Je comptais pas partir » soufflais-je avant de capturer de nouveau tes lèvres. Mes mains retrouvaient ton corps, parcourant tes courbes colorées, jusqu’à retrouver une de tes bretelles pour la faire glisser. « Laisse-moi te redécouvrir » demandais-je alors, cessant tout contact buccal pour te fixer dans les yeux. Laisse-moi capturer ce moment, ton corps, afin que je ne l’oublie jamais.

credits img/gif: chrysalis
code by lumos s.

(Kaze Faulkner)

“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

Dim 5 Jan 2020 - 23:26

Alex Ralston & Veïa Alvisio

I still remember

Est-ce que c'est mal d'avoir envie de tout ça ? D'avoir envie que tu me fasses tienne encore une fois. De sauter à pied joint dans ce moment alors que mes idées sont encore embrouillées. Et je ne désire plus apporter de l'importance aux douleurs du passé, du moins, pas pour le moment. Parce qu’on n’éteint pas une alchimie aussi facilement, quelque chose d'aussi fort en un claquement de doigt. Peut-être avais-tu accepté de rester à mes côtés pendant que j'étais en couple, te contentant de la simple figure d'ami. Je désirais tant que tu sois mon amant ce soir. Je ne peux pas poser des mots sur tout ça, mais je veux bien te faire comprendre à travers mes gestes que dans tout ça, l'électricité de nos deux corps et esprit est sur le point de me rendre dingue. Et s'il y avait une raison à cette rupture. Même si je devrais aller à pas de tortue, je me laisse filer comme une étoile filante. La raison égarée et le coeur emballé. J'avais besoin malgré moi que tu me rassures. J'avais besoin de te serrer contre moi, pour que tu restes plus longtemps. Pour recommencer à nouveau. Tu remplis ma promesse de tes mots et un sourire ému s'accroche sur mon visage. Tes mains frôlant chaque partie de mes courbes et une bretelle qui quitte l'espace-temps. Je soupire de plaisir et encore plus quand tu oses demander si tu as le droit de toucher la poupée de nouveau. «Je t'en prie...vas-y» ne me le demande pas. Redécouvre-moi, toute la nuit s'il le faut. Je pousse une mèche de tes cheveux, caressant ta joue le regard ancré dans le tien. «Je veux voir le ciel» Je veux flotter, je veux voler encore et toujours plus haut. Je t'attire rapidement à moi, n'en pouvant plus que tu sois si loin. Je reprends le contact de tes lèvres fiévreuse de reprendre les mêmes événements divins que tu m'avais fait découvrir. Mes mains toujours prisent dans ton dos descendent un peu plus sur tes fesses. «Et les étoiles...» Je souffle à ton oreille ses mots, bercé par tes mots, bercé par le fait que je ne sois que perfection pour ton regard. Je renverse la tête t'offrant mon cou et mon âme au passage.

AVENGEDINCHAINS

@Alex Ralston

(Invité)

22/06/2015

i still remember ★ ─ w/ @Veïa Alvisio

Il était évident que mon corps te désirait encore et toujours. Le désir s’était manifesté assez rapidement et j’étais pas vraiment apte à tout stopper. Heureusement, tu ne semblais pas vouloir non plus de ton côté. Faut dire, qu’une fois nos deux corps proches l’un de l’autre, il était difficilement possible de les séparer. Non pas qu’on avait déjà essayé, mais je savais que ça pouvait être compliqué. Et je me dis que tu es célibataire alors… je fais quoi si ça se réitère ce genre de soirée ? Je sais que je peux très vite m’attacher et… je voulais juste pas brûler les étapes. Le genre d’étapes que tu étais prête à brûler avec ton ex. Enfin, je cessais de penser à tout ça, préférant de loin me concentrer sur toi, sur ton corps qui était sous le mien. J’avais possibilité de le redécouvrir et pour être certain qu’on était sur la même longueur d’ondes, je le déclarais à voix haute, chose que tu m’accordais de toute évidence. Tes mains venaient se glisser dans mes cheveux, caressant ma joue, et je frissonnais presque à ce contact. Nos regards étaient liés, ne se lâchaient pas, et ça me confortait dans l’idée que c’était la bonne chose à faire. Me laisser aller avec toi. Tu le voulais, peut-être pour d’autres raisons que les miennes, mais dans le fond ça pourrait peut-être t’aider à tourner la page de ton ex. Peut-être, ou peut-être pas. Je sais pas, je n’ai jamais été dans une situation telle que la tienne et heureusement, j’ai envie de dire. « Tes désirs sont des ordres… » glissais-je doucement avant de reprendre tes lèvres encore une fois, laissant l’envie et la passion prendre le dessus, la chaleur envahissant alors rapidement la pièce. Je parsemais ta peau de baiser, avant de prendre place dans ton cou. J’aurais pu te boire ton sang, tel un vampire… mais l’idée la première qui me venait en tête, c’était de te marquer. Puéril, je sais, mais c’était ce qui me venait en tête. Alors je l’appliquais, même si ce n’était pas vraiment ce qu’il fallait faire à une fille qui venait à peine de rompre. Seulement, je ne réfléchissais plus vraiment en ce moment, laissant mes pulsions prendre le dessus. Quand finalement j’avais terminé, je capturais de nouveau tes lèvres avant de me redresser en t’embarquant avec moi, afin qu’on soit sur nos deux pieds. Face à moi, nos corps étaient de nouveau collés, mes lèvres liées aux tiennes, tandis que mes doigts te débarrassaient de ton soutien-gorge. Une fois à égalité en terme de vêtements, je te faisais tomber sur mon lit, qu’importe si nos corps étaient barbouillés de peinture, je m’en fichais pas mal, je te voulais toi. Me plaçant au dessus de toi, te surplombant, je laissais mes lèvres te parcourir entièrement, avant de remonter à tes lèvres, mes mains partant à leur tour à la recherche de chacune de tes formes.

credits img/gif: chrysalis
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(Kaze Faulkner)

“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

Lun 6 Jan 2020 - 23:09

Alex Ralston & Veïa Alvisio

I still remember

J’ai envie de m’époumoner dans un voyage céleste. J’ai envie de profiter de l’alignement parfait des étoiles, même sans savoir pourquoi. Oublier peut-être que je devrais ralentir, ne connaissait pas forcément les raisons qui font en sorte que je m’abandonne à toi. Mais sache que je n’ai jamais été une profiteuse. Je suis victime de l’attirance que j’ai toujours eue pour toi et de notre passion passé qui refait surface. Et la vie fait les choses de façon étrange, parfois elle n’explique pas son timing, mais je m’abandonne à toi oubliant la notion du temps. J’aimerais que tu en fasses de même. Que tu me dévore sous tes baisers en ne pensant pas que j’ai encore le cœur brisé. C’est difficile de me raisonner quand mes désirs deviennent ta priorité. C’est difficile de te repousser quand tu marques ma peau comme si j’étais déjà tienne. Cette facilité de m’arracher un soupire délicieux. Tu devais parler avec tes gestes comme les mots auraient été de trop cette fois, mais tes pulsions étaient plus fortes. En espérant que tu ne fuis pas, voulant être ta déesse encore une fois. Je me laisse ainsi faire en me disant que je trouverai bien un moyen de te marquer toi aussi. Atterrissant sur mes deux pieds, j’avais l’impression que le plancher se dissipait sous mes pieds, alors que c’était mes jambes qui tremblaient. Contre tes lèvres ma poitrine se dévoilait à toi avant que tu me laisse tomber contre le matelas. Mon bassin prit son envol et j’écartais les cuisses pendant que tu me surplombais. Chaque parcelle de ma peau goûtait à tes baisers ne laissant aucune région être jalouse, suivit de tes mains. Ma peau frémit à chaque coup de langue et caresse que tu m’impose. Ma poitrine continue de barbouiller la tienne de peinture ainsi que tes draps encore vierge de nos idées d’artistes. Je te presse contre moi et nos bassins s’entrechoquent me tirant un gémissement en imaginant le reste. Je te pousse délicatement sur le côté, la raison bien égarée pour te surplomber à mon tour. Je te regarde une dernière fois le regard chargé de désir comme jamais.

AVENGEDINCHAINS

@Alex Ralston

(Invité)

22/06/2015

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(Kaze Faulkner)

“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

Jeu 9 Jan 2020 - 3:03

Alex Ralston & Veïa Alvisio

I still remember

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@Alex Ralston

(Invité)

22/06/2015

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(Kaze Faulkner)

“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

Ven 10 Jan 2020 - 14:24

Alex Ralston & Veïa Alvisio

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AVENGEDINCHAINS

@Alex Ralston

(Invité)

22/06/2015

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