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coming back in our life. Jayson x Milo |
C'était à peine croyable quand j'ai vu le nom de Jayson s'afficher avec la localisation à Boston. J'ai bien cru que mon téléphone me faisait une blague ou qu'il buguait... Car Jayson il est en Italie depuis plusieurs mois, il nous avait finalement quitter très tôt. C'était impossible qu'il revienne... La marque avec qui il travaille avait plein de projets pour lui, c'était impossible pour moi de croire que mon meilleur ami était de retour en ville... Ou alors c'est une surprise.
En lisant le message, il m'annonce de but en blanc qu'il est de retour et qu'il m'attend. C'est une blague. Quelqu'un lui a volé son téléphone et c'est juste pas possible. Tellement pas possible que ma première réaction est de lui demander confirmation. C'est vraiment toi, t'es vraiment de retour... Pour moi, c'était comme un rêve, mon meilleur ami de retour, y a que dans les rêves qu'on voit ça. Mais je veux tellement y croire que je lui demande de pas bouger qu'on se retrouve au starbucks... Et il enchaine en me disant qu'il a beaucoup de choses à me raconter. En l'espace de deux mois, il est bien foutu d'avoir vécu toute une vie... J'ai vraiment hâte qu'il me raconte ses déboires ou ses réussites. Le malheur que je lui souhaite c'est d'être heureux.
Je sors la berline du garage et c'est en trombe que je pars de la maison sans prendre la peine d'en parler à Elvia. Elle n'était pas là mais c'est vrai que j'aurais pu penser à lui envoyer un message... Mais depuis que j'ai compris qu'il y avait plus qu'une simple amitié, une certaine jalousie s'était insinué et pour le moment, je voulais être le seul à le retrouver. Avant de me sentir de trop, comme la cinquième roue du carrosse. C'était avant tout mon meilleur ami et je ne voulais pas le laisser à quiconque.
La possessivité même en amitié, j'ai vraiment un problème.
J'arrive près du starbucks et me gare où je peux. En descendant, c'est presque en courant que j'arrive près de lui. « Puttana. » que je dis en italien, une bonne injure qui caractérise la surprise. Alors que je le prends dans mes bras en l'entrainant dans le Starbucks. « Pourquoi t'es de retour, mec ? » que je demande en m'installant dans la queue. « Tu devais devenir une star internationale de mannequinat... » et cette ambition était à la hauteur de son talent.
En lisant le message, il m'annonce de but en blanc qu'il est de retour et qu'il m'attend. C'est une blague. Quelqu'un lui a volé son téléphone et c'est juste pas possible. Tellement pas possible que ma première réaction est de lui demander confirmation. C'est vraiment toi, t'es vraiment de retour... Pour moi, c'était comme un rêve, mon meilleur ami de retour, y a que dans les rêves qu'on voit ça. Mais je veux tellement y croire que je lui demande de pas bouger qu'on se retrouve au starbucks... Et il enchaine en me disant qu'il a beaucoup de choses à me raconter. En l'espace de deux mois, il est bien foutu d'avoir vécu toute une vie... J'ai vraiment hâte qu'il me raconte ses déboires ou ses réussites. Le malheur que je lui souhaite c'est d'être heureux.
Je sors la berline du garage et c'est en trombe que je pars de la maison sans prendre la peine d'en parler à Elvia. Elle n'était pas là mais c'est vrai que j'aurais pu penser à lui envoyer un message... Mais depuis que j'ai compris qu'il y avait plus qu'une simple amitié, une certaine jalousie s'était insinué et pour le moment, je voulais être le seul à le retrouver. Avant de me sentir de trop, comme la cinquième roue du carrosse. C'était avant tout mon meilleur ami et je ne voulais pas le laisser à quiconque.
La possessivité même en amitié, j'ai vraiment un problème.
J'arrive près du starbucks et me gare où je peux. En descendant, c'est presque en courant que j'arrive près de lui. « Puttana. » que je dis en italien, une bonne injure qui caractérise la surprise. Alors que je le prends dans mes bras en l'entrainant dans le Starbucks. « Pourquoi t'es de retour, mec ? » que je demande en m'installant dans la queue. « Tu devais devenir une star internationale de mannequinat... » et cette ambition était à la hauteur de son talent.
(c) AMIANTE
@Jayson King
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