DAISY C. ADAMS ► ashley greene

C'est le 3 mai 1992 à Athènes en Grèce, que les membres de la famille Adams m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Daisy Calypso. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Eliot.

Je suis orpheline depuis mes 13 ans et de ce fait, j'ai hérité de la grande fortune de mes parents. ▲ J'ai toujours cherché à me faire une carapace grâce à mon sourire, ne voulant pas montrer mes faiblesse. ▲ J'ai un côté fleur bleue que je tente de cacher au maximum, d'où le fait que je sois encore célibataire alors que je suis amoureuse depuis un bon moment déjà... ▲ Je n'aime pas afficher l'argent que je possède, même si ce n'est pas réellement un tabou pour moi, seuls mes proches sont au courant. ▲ Je suis très sportive, cela me permet d’extérioriser tout ce que je garde au fond de moi. ▲ Je suis également très gourmande, mon plus gros pécher mignon est le chocolat. ▲ J'ai beaucoup de succès auprès de la gente masculine mais même si j'aime à savoir que je plais, au fond mon coeur est déjà prit.▲ J'ai eu une relation de quatre ans avec un jeune homme que j’ai quitté lorsqu'il a commencé à me battre.▲ Je suis somnambule et il arrive régulièrement de me voir me balader dans les couloirs en pleine nuit.▲ Je suis très attentionnée et affective mais ne suis pourtant pas du genre à me laisser facilement marcher sur les pieds.

▲ Aujourd'hui, je suis amoureuse depuis un bon moment déjà et malgré cela, je préfère être en conflit permanent avec le jeune homme en question plutôt que de risquer de dévoiler mes sentiments pourtant évidents. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Il y a pas mal de chance pour que j’y aille, je ne suis pas du genre grande fêtarde à sortir dès que j’en ai l’occasion mais en dehors de cela, j’aime bien faire la fête de temps en temps, histoire de me changer les idées. Par contre, la condition principale pour me motiver est sans aucun doute que je n’irais pas seule, mais accompagnée pourquoi pas.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Tant que c’est pour la bonne cause, why not ? Une bonne action de temps en temps n’a jamais fait de mal à personne et je pense qu’à partir du moment où on a les moyens d’aider les autres, cela ne peut être que bénéfique pour nous mais aussi et surtout pour les personnes dans le besoin.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

J’irai probablement mais certainement juste pour encourager mes amis qui auraient pris leur courage à deux mains pour participer aux auditions. Je ne suis pas du genre à vouloir à tout prix m’afficher devant un public, et probablement me ridiculiser aussi d ‘ailleurs. Après, si on me lance au défis de le faire, pourquoi pas mais de là à être prise lors des auditions, rien n’est moins sûr.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je ne suis pas du genre envieuse et malgré mon comportement parfois un peu masculin, j’aime beaucoup plaire et sais que généralement, mon charme opère assez facilement. Est-ce que j’en suis superficielle pour autant ? Pas le moins du monde mais je ne suis pas du genre à vouloir ressembler à X personne. Donc, certes, je constaterais forcément le fait qu’elle soit une fille pour ainsi dire parfaite (fille que je ne suis pas) mais je suis satisfaite de ce que je suis et donc je ne chercherais absolument pas à lui ressembler.

Les Winthrops font une enchère tous les ans.Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Dans un total second degré et juste histoire de rigoler un peu, oui, se serait bien mon genre. Mais bon, je ne serais pas du genre à chercher à ce qu’il soit à mon service, j’utiliserais probablement ce prétexte pour taquiner la dite-personne et prendre plaisir à sortir au bras de ce bel inconnu. Par contre, une chose est sûre, cela n’irait absolument pas plus loin.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je ne pourrais pas m’empêcher de pousser un léger soupire et de lever les yeux au ciel. Les personnes qui affichent ainsi leur argent avec des choses aussi superficielles ont une grande tendance à m’exaspérer. Lorsque j’ai perdu mes parents, j’ai hérité de leur fortune et pourtant, jamais je n’ai souhaité m’en vanter ou même en parler ouvertement à n’importe qui, je reste discrète là-dessus, même si au fond, je sais que je suis du même milieu que ces personnes, bien malgré moi.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Oui, sans aucune hésitation. J’ai toujours eu beaucoup de facilité dans mes études et plutôt que de me reposer sur mes acquis, j’en ai profité pour travailler encore et encore pour me donner un maximum de moyens pour y arriver. Pour autant, je ne passe pas tout mon temps la tête plongée dans mes cours mais je m’intéresse à beaucoup de choses et cette conférence, aussi longue soit-elle, ne pourrait m’être que bénéfique pour la suite.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Loey et j'ai un âge bien trop éloigné de la retraite à mon goût. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Il est génialissime, fantastique et original, bref totalement orgasmique alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 1000 mots par RP (pour les longs RPs mais en règle générale je m'adapte à mon ou ma partenaire) et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ Quand j'ai rempli le début de ma fiche et en particulier ce passage "C'est le 3 mai 1992 à Athènes en Grèce, que les membres de la famille Adams m'ont accueilli(e) dans leurs bras", j'ai pas pu m'empêcher d'imaginer une famille plutôt glauque habillée tout en noir et avec des goûts plutôt morbides... Bref, je viens de flinguer l'image que je me faisais de la famille de Daisy... C'est grave docteur ?

Mai 1992 - Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.

J’étais promise à un avenir serein mais au final, la vie en a voulu autrement puisqu’au fond, nous ne sommes que des pions sur un échiquier géant, quoiqu’on fasse, quoiqu’on puisse croire, jamais rien ne se déroulera comme on aurait pu le prévoir.
Mon père possédait un cabinet d’avocats et ma mère était préalablement une de ses employés avant que le coup de foudre entre eux deux n’opère. Ils étaient ensemble depuis cinq ans déjà lorsqu’ils décidèrent d’avoir un enfant, amoureux comme jamais, ayant des moyens financiers plus qu’aisés, lorsque ma mère tomba enceinte, elle arrêta donc de travailler pour profiter pleinement de son futur enfant. Ils nageaient dans le bonheur, rien n’aurait pu entraver leur joie de se dire que peu de temps après, ils tiendraient enfin leur petite princesse dans leurs bras. Le 3 mai 1992 ce fut chose faite, ce petit être qu’ils auraient presque pu tenir dans les paumes de leur main, ils s’étaient promis de la protéger et de la rendre heureuse jusqu’à la fin de leur vie. Je suis née en Grèce, à Athènes plus précisément mais ai grandit à Atlanta. J’étais fille unique, gâtée comme peu de petites filles l’étaient, avec une mère particulièrement attentionnée et un père, certes souvent absent mais qui tentait de passer un maximum de temps avec sa petite famille, multipliant les excursions aux zoos et aux parcs d’attraction dès qu’il avait une journée de libre. J’étais une petite fille plutôt sage, enjouée et qui savait ce qu’elle voulait. Malgré le fait que j’étais pourrie gâtée, je n’en étais pas pour le moins capricieuse pour autant et, quelque peu avancée pour mon âge, je gardais tout de même la tête sur les épaules. J’avais une vie rêvée, digne d’un conte de fées et ne pouvais espérer mieux, j’étais particulièrement proche de mes deux parents et il n’était pas rare, lors d’un de nos moments de complicité de m’entendre dire : « Papa, maman, vous êtes les meilleurs parents du monde et je vous aime grand comme ça ! » tout en ouvrant les bras le plus grand que je le pouvais.

Octobre 2003 - La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié.

Un simple échange scolaire et une vie qui bascule, on s’était promis un jour que rien ne nous séparerait et on ne s’était pas trompés…
J’avais eu une enfance plutôt facile et malgré les ravages de l’adolescence et cette fameuse envie de faire tout le contraire de ce qu’on vous disait de faire, j’avais toujours été une très bonne élève. J’avais beaucoup d’amis, quelques ennemis également, il faut dire que je n’avais pas la langue dans ma poche et qu’apparemment, cela ne plaisait pas à tout le monde. Un jour, on m’avait proposé un échange scolaire et malgré le fait que j’étais particulièrement enjouée de cette nouvelle expérience, je n’avais pu m’empêcher de ressentir une certaine appréhension quant au fait de partir si loin de chez moi, de quitter mes parents et de me rendre dans un endroit où je ne connaissais personne. J’avais tout de même décidé de me rendre à Capri, malgré mes 11 ans et surtout le fait que je n’avais jamais quitté le cocon familial jusqu’alors. Lors de mon arrivée, j’étais totalement perdue, derrière mes airs de dure à cuire, j’avais toujours eu au fond de moi un côté très sensible et ressentais un besoin permanent de me sentir entourée et protégée, je n’avais jamais aimé être seule et cela n’avait aucunement changé avec les années. Lançant des regards tout autour de moi, dans une école dont je ne connaissais rien, mes yeux s’étaient stoppés sur un garçon, d’environ mon âge. Il avait suffi d’un regard, un sourire, quelques mots pour que nous soyons liés comme jamais je ne l’avais été auparavant. Loin d’être un sentiment amoureux, une forte amitié, comme le frère que je n’avais jamais eu, j’avais vite compris que ce jour était et resterait un tournant dans ma vie et que je n’étais pas prête d’oublier ce moment. Les adieux avaient été difficiles mais Valentin n’avait pas tardé à venir me rendre visite à Atlanta puis nos échanges avaient finis par devenir des habitudes et s'étaient rallongés au fur et à mesure du temps qui passait. A chaque fois que l’un ou l’autre devait rentrer chez lui, je ne pouvais m’empêcher de lui murmurer : « On se revoit bientôt, tu me promets ? » Bien sûr qu’il me le promettait, je crois qu’on aurait difficilement pu tenir bien longtemps sans se voir. Après cette réponse, je le serrais dans mes bras, ne pouvant cacher mon émotion puis chacun était forcé de reprendre sa vie de son côté, loin l’un de l’autre.

Janvier 2005 : Ce pays inconnu d'où nul voyageur ne revient...

J’avais 13 ans et étais à des milliers de kilomètres de savoir que ce matin-là, alors que je partais pour le collège, se serait la dernière fois que je serrerais mes parents dans mes bras, la dernière fois que je verrais leur sourire et la fierté dans leur yeux lorsqu’ils me regardaient. J’étais à l’école lorsque la police était arrivée et avait demandé à me parler en plein pendant l’un de mes cours. Je ne comprenais pas ce qui se passait, lorsque je m’étais levée, j’avais l’impression que mes jambes n’arriveraient pas à supporter mon poids bien longtemps. Dans un des couloirs déserts de l’école, à quelques pas de ma classe, la nouvelle était tombée comme un coup de poignard qui m’aurait frappé en plein cœur, en l’espace de quelques minutes, je venais de devenir orpheline. Ce mot je le détestais, je ne pouvais y croire, mes parents ne pouvaient pas me laisser comme ça, ils n’avaient pas le droit, pour moi ils étaient immortels, ils ne pouvaient pas partir à cause d’un simple accident de voiture. Je m’étais littéralement effondrée sur le sol, bouleversée, à deux doigts du malaise et avait passé la fin de ma journée à l’infirmerie puis le soir, on m’avait ramené chez moi pour que je prenne quelques affaires et j’avais été placée dans un orphelinat. A partir de ce jour, j’avais perdu un bon nombre d’amis, ma tristesse s’était brutalement transformée en une haine contre le monde entier, je me sentais différente des autres, j’avais l’impression d’être l’ombre de moi-même. La semaine, j’étais à l’internat de mon école et le week-end, je devais retourner dans ce fichu centre que je détestais. La seule personne qui avait su trouver les mots et m’avait permis peu à peu de remonter la pente n’était autre que Valentin, qui n’avait jamais cessé d’être présent pour moi et restait mon seul espoir d’un avenir meilleur et qu’un jour je redevienne enfin la véritable Daisy, celle que j’avais toujours été.

Un nouveau départ - Un rêve sans étoiles est un rêve oublié.
J’étais promise à un avenir serein, une place de choix dans une chaleur familiale que personne ne peut oublier, une vie idyllique. Malgré tout ce que j’ai pu vivre, je me dis que finalement, ce sont nos expériences qui font ce que nous sommes et que si je suis devenue celle que je suis aujourd’hui, si j’ai eu cette force au fond de moi, c’est aussi grâce à toutes ces choses qui m’ont fait tant souffrir. Au lycée, j’ai rencontré Priape, qui était lui aussi devenu comme un frère pour moi, nous étions fusionnels, nous passions le plus clair de notre temps ensemble, inséparables au point d'avoir même du mal à se quitter l'espace d'une seule nuit... Par la suite je l’ai présenté à Valentin et le coup de foudre amical a opéré entre les deux jeunes hommes, au point que nous devenions un trio inséparable. A 15 ans, j’ai décidé de tout quitter, de laisser mon passé derrière moi pour emménager à Miami, plus grand-chose ne me retenait à présent, surtout lorsque Priape m’avait annoncé qu’il comptait me suivre et que Valentin fit de même. J’avais peu à peu retrouvé le sourire, j’étais entourée, j’avais de la chance de les avoir tous les deux auprès de moi et je leur devais beaucoup, entre autre cette sorte de renaissance à laquelle je ne croyais plus, je m'étais découvert une nouvelle famille que je ne quittais plus et cela m'avait fait un bien fou. Mes sentiments pour Priape avaient changés avec le temps mais le traumatisme de la perte de mes parents restait toujours ancré au fond de moi, je les avais déjà perdus eux et cela avait été assez dur... Priape était un Don Juan, j’avais peur, trop peur de souffrir à nouveau pourtant, je ne pouvais réprimer au fond de moi ce sentiment qui me rongeait peu à peu lorsque je croisais le regard de celui qui avait auparavant été comme un frère pour moi, je lui avais même offert ma virginité à mes seize ans mais malgré tout, je n'avais pu réprimer cette angoisse de ne devenir pour lui qu'une conquête parmi tant d'autres. Il n'avait pas trouvé les mots pour me rassurer, j'avais l'impression qu'il ne m'aimait pas aussi fort que moi je pouvais l'aimer et que je ne pourrais pas changer cela, il m'aurait suffit de quelques mots, quelques mots qui auraient pu s'avérer devenir un véritable déclic pour moi... J'étais prise dans l'engrenage et je ne pouvais pas m'en sortir, piégée entre l'amour et la peur, prisonnière d'un tas de sentiments que je ne pouvais pas contrôler, donc j’avais fui, j’étais sorti avec le dernier des salops avant de partir pour Harvard pour oublier une nouvelle fois cette mauvaise expérience. Harvard… C’était juste l’université rêvée et malgré mes excellents résultats, je n’avais pu empêcher un doute de subsister au fond de moi quant à mon éventuelle future adhésion. Finalement, j’avais été admise, contre toute-attente de ma part puisque j’avais toujours cette fameuse tendance à sous-estimer mes compétences, puis j’avais entamé mes études de journalisme, ce dont j’avais toujours rêvé. A partir de ce jour, j’avais réussi à me forger une nouvelle vie, à me trouver un nouveau cocon dans lequel je me sentais bien, en compagnie de celui qui avait tant d’importance à mes yeux : Valentin, mais aussi de celui avec qui tout était devenu tellement compliqué au fil des années.